Hundreds of Syrians in Libya take up offer of free tickets home

Hundreds of Syrian refugees living in Libya poured into a travel agency in Tripoli on Saturday to take advantage of an offer of free tickets to Damascus, AFP journalists saw.By midday, more than 700 Syrians, many of them residing in Libya for years after fleeing their country’s civil war, had come to collect tickets and travel passes from the agency commissioned by the new authorities in Damascus, who ousted longtime ruler Bashar al-Assad in December.In all, thousands have taken up the offer since it was first announced by the Syrian foreign ministry.Walid Hamud, a 32-year-old refugee who arrived five years ago, acknowledged that “the situation still isn’t very stable” back home, but nonetheless wanted to return, while keeping open the possibility of coming back to Libya for work “legally with a residence permit”.Fellow refugee Rami Hassun fled Idlib province in 2020 because his life was in danger, he said.”Today, Syria is finding peace and is in a better situation than before. We’re returning to our country, thank God,” he told AFP.Once there, “we will strive to work and rebuild everything, given the scale of the destruction”, said Mahmud Nasr al-Din, who has been in Libya for three years.Din said he anticipated “strong demand for labour” back home, but noted returning would have been difficult without the new travel arrangement, given Syria’s lack of a fully functioning embassy in Libya.In mid-August, a delegation from Damascus symbolically reopened the embassy, which was shut in 2012, but it currently does not offer consular services.While there is no official census of Syrians in Libya, thousands of families have been living in the country for decades, with thousands more arriving since the start of the Syrian civil war in 2011, many hoping to cross the Mediterranean to Europe.

Ligue 1: Paris s’impose sans forcer à Brest

Grâce notamment à un doublé d’Achraf Hakimi, le Paris SG a battu Brest (3-0) sans forcer samedi pour reprendre provisoirement la tête de la Ligue 1 devant Marseille, lors de la 9e journée.Avec 20 points, le PSG compte deux longueurs d’avance sur l’OM qui se déplace à Lens dans la soirée, et termine bien une semaine marquée par son carton à Leverkusen en Ligue des champions (7-2), mardi.Brest pointe, de son côté, au 12e rang avec 9 points.Avec Ousmane Dembélé, buteur en C1 pour son retour à la compétition, sur le banc au coup d’envoi, tout comme Désiré Doué et Marquinhos, Luis Enrique n’avait pas sorti “la grosse équipe” à Francis-Le-Blé, même si le trio a fait son entrée à la 70e.Pour Marquinhos, c’était d’ailleurs son premier match depuis sa blessure à une cuisse lors du Classique perdu contre l’OM (0-1), le 22 septembre.Cela n’a pas empêché le club de la capitale d’enchaîner un 33e match d’affilée sans défaite face aux Bretons, dont 25 succès.Moins flamboyant peut-être que les 5-2 et 3-0 infligés à domicile aux Brestois en championnat et en barrage d’accession aux huitièmes de finales de la C1 la saison passée, mais paradoxalement peut-être avec un sentiment de contrôle encore plus fort.Moins armé que lors de son aventure continentale et affaibli par plusieurs blessures, Brest n’a que très rarement fait ne serait-ce que frissonner les champions de France et d’Europe qui ont même semblé avoir le destin avec eux.Sur un penalty accordé au bout d’un interminable intermède par l’arbitre central Jérémy Pignard, en déjugeant les arbitres de la VAR, Romain Del Castillo, qui n’avait raté qu’une seule tentative sur 16 en L1 jusqu’ici dans cet exercice, a glissé et envoyé le ballon dans les tribunes (59e).- Le réalisme de Hakimi -Hormis cette péripétie, et un face-à-face gagné par Lucas Chevalier devant Mama Baldé (87e), les actions ont entièrement été en faveur du club de la capitale patient et appliqué pour percer la double muraille de neuf joueurs positionnés à 30 mètres de la cage brestoise.Sans se créer non plus des dizaines d’occasions, Paris a su faire le break par son capitaine Hakimi, toujours aussi adroit devant le but, dans le dernier quart d’heure du premier acte.Le latéral droit a d’abord été à la réception d’une louche astucieuse de Vitinha pour reprendre de volée du plat du pied et ouvrir le score (1-0, 29e).Dix minutes plus tard, alors que Radoslaw Majecki venait de réussir une belle parade devant Khvicha Kvaratskhelia, le Géorgien et le Marocain ont combiné avec une facilité désarmante dans la surface, permettant à Hakimi de catapulter le ballon dans la lucarne gauche brestoise, comme à l’entraînement (2-0, 39e).Avant une nouvelle semaine à deux matches qui les verra se déplacer à Lorient et recevoir Nice, les Parisiens auraient été bien inspirés de se mettre à l’abri plus tôt.Kvaratskhelia puis Warren Zaïre-Emery (65e) ont eu le troisième but au bout du pied, tout comme Doué, servi idéalement par une passe tranchante de Dembélé avant de trop croiser sa frappe (89e), puis de trouver le poteau sur un centre-tir rentrant dans le temps additionnel.L’ex-Rennais a fini par trouver le chemin des filets, lancé en contre avant de conclure tranquillement du gauche (3-0, 90+6) pour sceller un succès plus qu’incontestable.

Ligue 1: Paris s’impose sans forcer à Brest

Grâce notamment à un doublé d’Achraf Hakimi, le Paris SG a battu Brest (3-0) sans forcer samedi pour reprendre provisoirement la tête de la Ligue 1 devant Marseille, lors de la 9e journée.Avec 20 points, le PSG compte deux longueurs d’avance sur l’OM qui se déplace à Lens dans la soirée, et termine bien une semaine marquée par son carton à Leverkusen en Ligue des champions (7-2), mardi.Brest pointe, de son côté, au 12e rang avec 9 points.Avec Ousmane Dembélé, buteur en C1 pour son retour à la compétition, sur le banc au coup d’envoi, tout comme Désiré Doué et Marquinhos, Luis Enrique n’avait pas sorti “la grosse équipe” à Francis-Le-Blé, même si le trio a fait son entrée à la 70e.Pour Marquinhos, c’était d’ailleurs son premier match depuis sa blessure à une cuisse lors du Classique perdu contre l’OM (0-1), le 22 septembre.Cela n’a pas empêché le club de la capitale d’enchaîner un 33e match d’affilée sans défaite face aux Bretons, dont 25 succès.Moins flamboyant peut-être que les 5-2 et 3-0 infligés à domicile aux Brestois en championnat et en barrage d’accession aux huitièmes de finales de la C1 la saison passée, mais paradoxalement peut-être avec un sentiment de contrôle encore plus fort.Moins armé que lors de son aventure continentale et affaibli par plusieurs blessures, Brest n’a que très rarement fait ne serait-ce que frissonner les champions de France et d’Europe qui ont même semblé avoir le destin avec eux.Sur un penalty accordé au bout d’un interminable intermède par l’arbitre central Jérémy Pignard, en déjugeant les arbitres de la VAR, Romain Del Castillo, qui n’avait raté qu’une seule tentative sur 16 en L1 jusqu’ici dans cet exercice, a glissé et envoyé le ballon dans les tribunes (59e).- Le réalisme de Hakimi -Hormis cette péripétie, et un face-à-face gagné par Lucas Chevalier devant Mama Baldé (87e), les actions ont entièrement été en faveur du club de la capitale patient et appliqué pour percer la double muraille de neuf joueurs positionnés à 30 mètres de la cage brestoise.Sans se créer non plus des dizaines d’occasions, Paris a su faire le break par son capitaine Hakimi, toujours aussi adroit devant le but, dans le dernier quart d’heure du premier acte.Le latéral droit a d’abord été à la réception d’une louche astucieuse de Vitinha pour reprendre de volée du plat du pied et ouvrir le score (1-0, 29e).Dix minutes plus tard, alors que Radoslaw Majecki venait de réussir une belle parade devant Khvicha Kvaratskhelia, le Géorgien et le Marocain ont combiné avec une facilité désarmante dans la surface, permettant à Hakimi de catapulter le ballon dans la lucarne gauche brestoise, comme à l’entraînement (2-0, 39e).Avant une nouvelle semaine à deux matches qui les verra se déplacer à Lorient et recevoir Nice, les Parisiens auraient été bien inspirés de se mettre à l’abri plus tôt.Kvaratskhelia puis Warren Zaïre-Emery (65e) ont eu le troisième but au bout du pied, tout comme Doué, servi idéalement par une passe tranchante de Dembélé avant de trop croiser sa frappe (89e), puis de trouver le poteau sur un centre-tir rentrant dans le temps additionnel.L’ex-Rennais a fini par trouver le chemin des filets, lancé en contre avant de conclure tranquillement du gauche (3-0, 90+6) pour sceller un succès plus qu’incontestable.

Donald Trump en route pour l’Asie, où il rencontrera Xi Jinping

Donald Trump est en route samedi pour une importante tournée en Asie, dont le point d’orgue sera une rencontre avec le président chinois Xi Jinping, lourde d’enjeux pour l’économie mondiale.Le président américain a déclaré à bord de son avion Air Force One qu’il espérait une “très bonne rencontre” avec son homologue, et s’attendait à voir la Chine conclure un accord pour éviter des droits de douane supplémentaires de 100% devant entrer en vigueur le 1er novembre.Par ailleurs, M. Trump s’est dit “ouvert” à une rencontre avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un lors de cette tournée, sa première dans la région depuis son retour au pouvoir en janvier, qui le conduira en Malaisie, au Japon et en Corée du Sud.”J’aimerais bien, il sait que nous y allons”, a-t-il déclaré aux journalistes qui le questionnaient sur l’éventualité d’une telle entrevue. Sa dernière rencontre avec Kim Jong Un remonte à 2019.”J’avais une excellente relation avec lui”, a souligné Donald Trump.A la question de savoir s’il accepterait de reconnaître la Corée du Nord comme une puissance nucléaire — une condition posée à toute rencontre par Pyongyang –, le président américain a répondu : “Eh bien, je pense qu’ils sont en quelque sorte une puissance nucléaire… Ils ont beaucoup d’armes nucléaires, je dirais cela”.- Escale au Qatar -En chemin, le président américain rencontrera samedi, à bord de son avion, l’émir et le Premier ministre du Qatar pour des discussions sur le fragile cessez-le-feu dans la bande de Gaza, lors d’une escale dans l’émirat, selon la Maison Blanche.Avant l’arrivée de M. Trump à Kuala Lumpur, les discussions américano-chinoises qui se sont ouvertes dans la capitale malaisienne afin de trouver une issue à la guerre commerciale ont été “très constructives” et devraient reprendre dimanche, a affirmé un porte-parole du Trésor américain.Tous les pays hôtes devraient dérouler le tapis rouge à Donald Trump pour tenter de s’attirer ses faveurs et d’obtenir les meilleurs accords possibles en matière de droits de douane et de garanties de sécurité.Un haut responsable américain a déclaré vendredi qu’il “tiendrait ses promesses envers le peuple américain dans l’une des régions les plus dynamiques du monde sur le plan économique, en signant une série d’accords économiques”, notamment sur les terres rares.A Kuala Lumpur, le président américain participera dimanche au sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), qu’il avait snobé à plusieurs reprises lors de son premier mandat.Il devrait y conclure un accord commercial avec la Malaisie et, surtout, assister à la signature d’un accord de paix entre la Thaïlande et le Cambodge, qui avaient déclaré un cessez-le-feu le 29 juillet, à la suite d’une intervention de Donald Trump.Une rencontre avec le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, avec lequel les différends ont commencé à s’aplanir, est également prévue à l’occasion du sommet de l’Asean, a indiqué Donald Trump.- Terres rares -Le président américain se rendra ensuite lundi au Japon où il rencontrera le lendemain la nationaliste Sanae Takaichi, devenue cette semaine la première femme à prendre la tête du gouvernement japonais.Celle-ci a déclaré samedi avoir eu une “bonne et franche” conversation téléphonique avec Donald Trump. Tokyo a signé cet été avec Washington un accord commercial dont certains détails restent à discuter.La tournée se conclura en Corée du Sud, où Donald Trump est attendu à partir de mercredi pour un sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (Apec), en marge duquel il aura un entretien avec Xi Jinping à Gyeongju, programmé jeudi.Il a dit espérer conclure un accord avec le président chinois sur “tous les sujets”, même s’il entend surtout “discuter de la relation économique et commerciale”, selon un haut responsable américain s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.Cette rencontre, qui sera très suivie par les marchés boursiers, est d’autant plus cruciale que la Chine a annoncé une réduction de ses exportations de terres rares, à laquelle Donald Trump a répliqué en menaçant d’imposer 100% de droits de douane supplémentaires aux produits chinois.Le président américain rencontrera aussi, à l’occasion de ce sommet, son homologue sud-coréen Lee Jae Myung, prononcera un discours devant des hommes d’affaires et participera à un dîner des dirigeants de l’Apec, selon la Maison Blanche.

TotalEnergies approves restart of $20-bn Mozambique gas projectSat, 25 Oct 2025 16:32:37 GMT

France’s TotalEnergies said Saturday the consortium it leads to build a $20-billion liquified natural gas project in Mozambique has decided to lift a suspension on the work imposed in 2021 because of jihadist violence.TotalEnergies said in a statement the “force majeure” halt to the Mozambique LNG project would be lifted but added that Mozambique’s government would …

TotalEnergies approves restart of $20-bn Mozambique gas projectSat, 25 Oct 2025 16:32:37 GMT Read More »

Afghanistan, Pakistan seek to firm up truce in Istanbul talks

Afghan and Pakistani negotiators were locked in talks to hammer out a lasting ceasefire Saturday, with Islamabad warning that if the Istanbul talks failed it could lead to “open war”. Two weeks ago, the Taliban government launched an border offensive following explosions in Kabul which it blamed on its Pakistani neighbour, triggering an outbreak of unexpectedly intense clashes that left dozens dead, among them civilians.Vowing a strong response, Islamabad then carried out “precision strikes” against armed groups on Afghan soil which are at the heart of the dispute, security sources said. After further clashes that left soldiers and civilians dead, both sides declared an initial 48-hour ceasefire which collapsed two days later, with Kabul blaming Islamabad. A second truce took shape last weekend following talks in Doha thanks to mediation by Qatar and Turkey, although the terms remained unclear. In Istanbul, negotiators were expected to detail the “mechanisms” announced in Doha that would ensure a return to stability. “The (Istanbul) talks are going on,” Pakistan’s Defence Minister Khawaja Asif told reporters in the eastern city of Sialkot on Saturday, while warning that if they “do not yield a positive outcome, there will be an open war with Afghanistan”. It was not clear where exactly the negotiators were meeting in Turkey’s largest city, nor how long the talks would continue.The Afghan delegation is led by its deputy interior minister, Haji Najib. Islamabad has not said who it has sent to the talks. For the Taliban government, the goal is to ensure Afghanistan’s territorial integrity. For Islamabad, the negotiations must address “the menace of terrorism emanating from Afghan soil towards Pakistan,” its foreign ministry spokesman Tahir Hussain Andrabi said on Friday. – ‘Essential’ meeting -Security issues are at the heart of recurring bilateral tensions. Facing a resurgence of attacks against its security forces, Islamabad has repeatedly accused its Afghan neighbour of “harbouring” groups it views as “terrorist”, primarily the Pakistani Taliban (TTP) — a charge Kabul denies. Throughout the confrontation, Islamabad demanded that the Taliban authorities “regain control” over fighters present on Afghan soil.From the Pakistani perspective, this would be key to the Istanbul talks, explained Ibraheem Bahiss, an International Crisis Group analyst in Afghanistan. “The meeting in Istanbul is going to be quite essential because that’s where the so-called mechanism would be agreed on in terms of when Pakistan has concerns that anti-Pakistan elements inside Afghanistan are doing things against Pakistan,” he told AFP. He said such “mechanisms” could involve intelligence sharing on armed groups. “For example, Pakistan would give coordinates of where they suspect TTP fighters or commanders are, and instead of carrying out strikes, Afghanistan would be expected to carry out action against them,” he said.But it was unclear if that would end the problem. “I’m not so hopeful that a technical mechanism will really address the fundamental drivers of this escalatory cycle,” he admitted.Before the latest skirmishes, Pakistan had long been the Taliban’s biggest supporter, bolstering them in Afghanistan for so-called strategic depth against arch-rival India.Two weeks ago, the initial explosions in Kabul — which triggered the escalation — took place as the Taliban foreign minister was making an unprecedented visit to India.Turkey has not commented on Saturday’s meeting beyond hailing the sides’ joint decision in Doha “to establish mechanisms to strengthen peace and stability” and pledging to “continue to support the efforts” to achieve that.