Stock markets diverge awaiting Nvidia earnings

Stock markets diverged Wednesday following broad losses in the previous session, as attention turned to a key earnings update from AI giant Nvidia.Chinese stocks slid following modest gains Tuesday on Wall Street as investors sought to look beyond President Donald Trump’s move to oust a US Federal Reserve governor.The Paris stock market rebounded slightly after Tuesday’s tumble caused by fears that France’s minority government could be toppled after Prime Minister Francois Bayrou proposed a confidence vote over his proposed budget cuts.A slide for Shanghai’s market came despite a surging share price for Cambricon — a leading Chinese chipmaker and a Nvidia competitor — on the heels of a record first-half profit posted Tuesday.Nvidia will report second-quarter financial results on Wednesday, closely watched as a bellwether for the industry as worries about a tech bubble rise.”The company has outgrown the tech sector and become the market’s lodestar,” said Stephen Innes of SPI Asset Management.”Analysts expect revenue to soar 53 percent to $46 billion, but this is about more than revenue beats,” he added. “The crowd wants reassurance that the AI revolution isn’t just smoke and mirrors.”Also heavily impacting markets this week has been a highly unusual move by Trump to fire Federal Reserve governor Lisa Cook.He cited allegations of false statements on her mortgage agreements, but Cook said Trump had no authority or legal cause to fire her and her lawyer announced a planned legal challenge on Tuesday.The step adds to fears about the independence of the central bank, fuelled by Trump’s repeated public demands to Fed chairman Jerome Powell to lower interest rates.Powell suggested last Friday that more cuts to US interest rates were on the horizon, causing stocks markets to surge.The dollar firmed against main rivals Wednesday despite expectations of lower US borrowing costs.Investors were also awaiting US economic growth data due Thursday and a key inflation gauge Friday for clues on how far interest rates might fall — or not — in the coming months.Oil prices extended Tuesday’s fall, paring back recent increases as traders track a possible peace deal to end the war between Ukraine and key crude producer Russia.- Key figures at around 1045 GMT -Paris – CAC 40: UP 0.4 percent at 7,737.12 pointsLondon – FTSE 100: FLAT at 9,262.90Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 percent at 24,106.32Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 42,520.27 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.3 percent at 25,201.76 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.8 percent at 3,800.35 (close)New York – Dow: UP 0.3 percent at 45,418.07 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1584 from $1.1637 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3431 from $1.3475Dollar/yen: UP at 148.09 yen from 147.45 yenEuro/pound: DOWN at 86.24 pence from 86.36 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $63.08 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.3 percent at $66.48 per barrel

Israël intensifie ses opérations près de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche

L’armée israélienne a intensifié mercredi ses opérations autour de la ville de Gaza, quelques heures avant une réunion à la Maison Blanche sous la présidence de Donald Trump consacrée à des plans d’après-guerre pour le territoire palestinien dévasté.Elle a jugé “inévitable” l’évacuation de la population de cette ville, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza assiégée et d’où des milliers d’habitants ont déjà fui.Le Premier ministre Benjamin Netanyahu est sous pression croissante, tant en Israël qu’à l’étranger, pour mettre fin à son offensive à Gaza, lancée en riposte à une attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.Son cabinet de sécurité a approuvé début août un plan pour s’emparer de Gaza-ville, située dans le nord du territoire palestinien où les quelque deux millions d’habitants ont été déplacés plusieurs fois par la guerre. Mercredi, l’armée israélienne qui contrôle environ 75% du territoire, a affirmé que ses troupes “opéraient à la périphérie de Gaza-ville pour localiser et démanteler les sites d’infrastructures terroristes en surface et souterrains”.Des habitants du quartier de Zeitoun à Gaza-ville ont fait état de tirs de drones et d’intenses bombardements nocturnes, alors que la Défense civile et des sources hospitalières ont annoncé quatre morts par des tirs israéliens dans le sud du territoire palestinien frappé par la famine selon l’ONU.”Les avions ont bombardé à plusieurs reprises et des drones ont tiré toute la nuit”, a déclaré Tala al-Khatib, 29 ans, au téléphone à l’AFP. “Plusieurs maisons ont été détruites. Nous sommes toujours chez nous, certains voisins ont fui, d’autres sont restés. Mais où que vous fuyiez, la mort vous suit!”- “Ca suffit” -Abdelhamid al-Sayfi, 62 ans, n’est pas sorti de chez lui à Zeitoun depuis mardi. “Nous n’avons ni nourriture ni eau. Quiconque sort est pris pour cible par les drones.”L’ONU estime à près d’un million de personnes la population actuelle du gouvernorat de Gaza qui comprend Gaza-ville et ses environs.Le ministre de la Défense Israël Katz a menacé de détruire Gaza-ville si le Hamas n’acceptait pas d’être désarmé, de libérer tous les otages et de mettre fin à la guerre selon les conditions d’Israël.Mardi, des dizaines de milliers d’Israéliens sont descendus dans la rue pour réclamer un accord pour libérer les otages et arrêter la guerre, au moment où était réuni le cabinet de sécurité.”Ca suffit!”, a hurlé Silvia Cunio dont les deux fils, Ariel et David, enlevés durant l’attaque du 7-Octobre, sont encore retenus à Gaza.Après la réunion du cabinet, M. Netanyahu a affirmé: “(…) Nous ne laisserons pas ces monstres (le Hamas, ndlr) là-bas, nous libérerons tous nos otages et nous veillerons à ce que Gaza ne représente plus jamais une menace pour Israël”.Le 10 août, il a énuméré les objectifs d’Israël: “premièrement, désarmer le Hamas. Deuxièmement, tous les otages sont libérés. Troisièmement, Gaza est démilitarisée. Quatrièmement, Israël exerce un contrôle de sécurité prépondérant. Et cinquièmement, une administration civile pacifique non israélienne”.Alors qu’Israël poursuit son offensive à Gaza, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump, a annoncé “une grande réunion à la Maison Blanche” mercredi, sous la direction du président, sur l’après-guerre.- “Jour d’après” -“Nous élaborons un plan très complet sur le jour d’après” dans le territoire palestinien, a dit M. Witkoff sans plus de détails.Donald Trump avait créé la surprise en début d’année en suggérant que les Etats-Unis prennent le contrôle de la bande de Gaza, en évacuent ses habitants et y construisent des complexes immobiliers.M. Netanyahu avait salué cette proposition, rejetée par plusieurs pays européens et arabes.La semaine dernière, le Premier ministre israélien avait ordonné l’ouverture immédiate de pourparlers visant à obtenir la libération des otages, tout en persistant sur ses plans pour prendre Gaza-ville.Il n’avait pas répondu explicitement à une nouvelle proposition de trêve des médiateurs, acceptée par le Hamas, qui prévoit la libération échelonnée des otages sur une période initiale de 60 jours en échange de prisonniers palestiniens.L’attaque du Hamas du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont encore retenues dans Gaza dont au moins 27 sont décédées selon l’armée.L’offensive de représailles israélienne a fait au moins 62.819 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du gouvernement du Hamas à Gaza, jugés fiables par l’ONU. 

Israël intensifie ses opérations près de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche

L’armée israélienne a intensifié mercredi ses opérations autour de la ville de Gaza, quelques heures avant une réunion à la Maison Blanche sous la présidence de Donald Trump consacrée à des plans d’après-guerre pour le territoire palestinien dévasté.Elle a jugé “inévitable” l’évacuation de la population de cette ville, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza assiégée et d’où des milliers d’habitants ont déjà fui.Le Premier ministre Benjamin Netanyahu est sous pression croissante, tant en Israël qu’à l’étranger, pour mettre fin à son offensive à Gaza, lancée en riposte à une attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.Son cabinet de sécurité a approuvé début août un plan pour s’emparer de Gaza-ville, située dans le nord du territoire palestinien où les quelque deux millions d’habitants ont été déplacés plusieurs fois par la guerre. Mercredi, l’armée israélienne qui contrôle environ 75% du territoire, a affirmé que ses troupes “opéraient à la périphérie de Gaza-ville pour localiser et démanteler les sites d’infrastructures terroristes en surface et souterrains”.Des habitants du quartier de Zeitoun à Gaza-ville ont fait état de tirs de drones et d’intenses bombardements nocturnes, alors que la Défense civile et des sources hospitalières ont annoncé quatre morts par des tirs israéliens dans le sud du territoire palestinien frappé par la famine selon l’ONU.”Les avions ont bombardé à plusieurs reprises et des drones ont tiré toute la nuit”, a déclaré Tala al-Khatib, 29 ans, au téléphone à l’AFP. “Plusieurs maisons ont été détruites. Nous sommes toujours chez nous, certains voisins ont fui, d’autres sont restés. Mais où que vous fuyiez, la mort vous suit!”- “Ca suffit” -Abdelhamid al-Sayfi, 62 ans, n’est pas sorti de chez lui à Zeitoun depuis mardi. “Nous n’avons ni nourriture ni eau. Quiconque sort est pris pour cible par les drones.”L’ONU estime à près d’un million de personnes la population actuelle du gouvernorat de Gaza qui comprend Gaza-ville et ses environs.Le ministre de la Défense Israël Katz a menacé de détruire Gaza-ville si le Hamas n’acceptait pas d’être désarmé, de libérer tous les otages et de mettre fin à la guerre selon les conditions d’Israël.Mardi, des dizaines de milliers d’Israéliens sont descendus dans la rue pour réclamer un accord pour libérer les otages et arrêter la guerre, au moment où était réuni le cabinet de sécurité.”Ca suffit!”, a hurlé Silvia Cunio dont les deux fils, Ariel et David, enlevés durant l’attaque du 7-Octobre, sont encore retenus à Gaza.Après la réunion du cabinet, M. Netanyahu a affirmé: “(…) Nous ne laisserons pas ces monstres (le Hamas, ndlr) là-bas, nous libérerons tous nos otages et nous veillerons à ce que Gaza ne représente plus jamais une menace pour Israël”.Le 10 août, il a énuméré les objectifs d’Israël: “premièrement, désarmer le Hamas. Deuxièmement, tous les otages sont libérés. Troisièmement, Gaza est démilitarisée. Quatrièmement, Israël exerce un contrôle de sécurité prépondérant. Et cinquièmement, une administration civile pacifique non israélienne”.Alors qu’Israël poursuit son offensive à Gaza, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump, a annoncé “une grande réunion à la Maison Blanche” mercredi, sous la direction du président, sur l’après-guerre.- “Jour d’après” -“Nous élaborons un plan très complet sur le jour d’après” dans le territoire palestinien, a dit M. Witkoff sans plus de détails.Donald Trump avait créé la surprise en début d’année en suggérant que les Etats-Unis prennent le contrôle de la bande de Gaza, en évacuent ses habitants et y construisent des complexes immobiliers.M. Netanyahu avait salué cette proposition, rejetée par plusieurs pays européens et arabes.La semaine dernière, le Premier ministre israélien avait ordonné l’ouverture immédiate de pourparlers visant à obtenir la libération des otages, tout en persistant sur ses plans pour prendre Gaza-ville.Il n’avait pas répondu explicitement à une nouvelle proposition de trêve des médiateurs, acceptée par le Hamas, qui prévoit la libération échelonnée des otages sur une période initiale de 60 jours en échange de prisonniers palestiniens.L’attaque du Hamas du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont encore retenues dans Gaza dont au moins 27 sont décédées selon l’armée.L’offensive de représailles israélienne a fait au moins 62.819 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du gouvernement du Hamas à Gaza, jugés fiables par l’ONU. 

Les élections municipales auront lieu les 15 et 22 mars 2026, annonce le gouvernement

Les élections municipales se tiendront les 15 et 22 mars 2026, a annoncé mercredi la porte-parole du gouvernement Sophie Primas à l’issue du Conseil des ministres.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a présenté un décret fixant ces dates en Conseil des ministres, a-t-elle précisé.Ces élections municipales marqueront en particulier l’entrée en vigueur d’un nouveau mode de scrutin pour Paris, Lyon et Marseille.La réforme votée début juillet par le Parlement va conduire à un système de double élection, et donc deux urnes, l’une pour élire les membres du Conseil de la mairie centrale (Conseil de Paris, Conseils municipaux de Lyon et de Marseille) – lesquels élisent ensuite le maire -, l’autre pour élire ceux de l’arrondissement (à Paris) ou du secteur (à Lyon et Marseille).Elle met un terme pour les trois grandes villes au mode de scrutin instauré par la “loi PLM” en 1982: les électeurs à Paris, Lyon et Marseille votaient jusqu’alors dans chaque arrondissement ou secteur pour une liste de conseillers, les élus du haut de la liste siégeant à la fois au conseil d’arrondissement/secteur et au conseil de la mairie centrale.

Les élections municipales auront lieu les 15 et 22 mars 2026, annonce le gouvernement

Les élections municipales se tiendront les 15 et 22 mars 2026, a annoncé mercredi la porte-parole du gouvernement Sophie Primas à l’issue du Conseil des ministres.Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a présenté un décret fixant ces dates en Conseil des ministres, a-t-elle précisé.Ces élections municipales marqueront en particulier l’entrée en vigueur d’un nouveau mode de scrutin pour Paris, Lyon et Marseille.La réforme votée début juillet par le Parlement va conduire à un système de double élection, et donc deux urnes, l’une pour élire les membres du Conseil de la mairie centrale (Conseil de Paris, Conseils municipaux de Lyon et de Marseille) – lesquels élisent ensuite le maire -, l’autre pour élire ceux de l’arrondissement (à Paris) ou du secteur (à Lyon et Marseille).Elle met un terme pour les trois grandes villes au mode de scrutin instauré par la “loi PLM” en 1982: les électeurs à Paris, Lyon et Marseille votaient jusqu’alors dans chaque arrondissement ou secteur pour une liste de conseillers, les élus du haut de la liste siégeant à la fois au conseil d’arrondissement/secteur et au conseil de la mairie centrale.

Le chikungunya toujours sur une pente croissante dans l’Hexagone

Les cas de chikungunya ont continué d’augmenter en métropole ces derniers jours, a observé mercredi Santé publique France, dans un été marqué par l’accroissement, la précocité et l’expansion géographique des cas de maladies virales transmises par des moustiques.Au 26 août, 30 foyers de transmission autochtone de chikungunya, totalisant 228 cas, ont été identifiés en France hexagonale, a résumé l’agence sanitaire dans un bilan hebdomadaire, soit “3 nouveaux épisodes de transmission de chikungunya (en Occitanie, Paca et Nouvelle-Aquitaine)”. Si plusieurs épisodes sont désormais clos, l’été 2025 est d’une ampleur sans précédent en métropole pour les cas autochtones de chikungunya, dont le virus se transmet d’un humain à l’autre via des piqûres de moustiques tigres.”Le nombre important de foyers de chikungunya constatés cette année et leur précocité sont liés à l’épidémie qui a sévi à La Réunion et dans la zone de l’Océan Indien due à une souche virale, bien adaptée au moustique Aedes albopictus”, a rappelé l’agence sanitaire. L’épidémie majeure à La Réunion a facilité l’arrivée de cas importés, qui ont ensuite favorisé des contaminations en métropole.Autre maladie transmise par le moustique tigre et en augmentation, la dengue ne totalise pas, à ce stade, autant de cas autochtones qu’en 2024 – avec un record de 66 en métropole- mais des foyers sont régulièrement identifiés depuis le mois de juillet. Il n’y a cependant pas eu de nouvelle hausse hebdomadaire et, sur les sept foyers identifiés dans l’Hexagone à ce stade, quatre sont clos.Les cas de chikungunya et de dengue identifiés jusqu’ici se situent dans les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse, Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes, déjà affectées les années précédentes, et pour la première fois en Grand Est, Nouvelle-Aquitaine et Bourgogne-Franche Comté.Dernière maladie sous surveillance renforcée: la fièvre “West Nile” ou fièvre du Nil occidental, qui n’est pas transmise par le moustique tigre mais la variété Culex, plus courante en France métropolitaine.Avec 15 cas autochtones identifiés pour l’instant, il n’y a certes pas de record battu pour l’instant cet été dans l’Hexagone, mais leur localisation confirme une transmission croissante hors de la zone historique de l’arc méditerranéen. Outre ceux en Paca et en Occitanie, plusieurs cas ont été identifiés en Ile-de-France pour la première fois.L’Europe a enregistré cette année un nombre record de cas de maladies transmises par des moustiques comme le chikungunya et le virus du Nil occidental, une “nouvelle normalité” créée par le changement climatique, a annoncé mercredi dernier l’agence de santé de l’Union européenne, insistant sur une prévention plus importante que jamais.