Fukushima: des robots déployés en vue du retrait des débris radioactifs

Des techniciens de la centrale nucléaire sinistrée de Fukushima au Japon ont envoyé mardi des robots télécommandés dans le bâtiment de l’un des réacteurs endommagés dans le cadre des préparatifs pour le retrait des débris radioactifs.En raison des niveaux de radiation dangereusement élevés, l’extraction du combustible fondu et des autres débris de la centrale touchée par un énorme tsunami en 2011 est considéré comme le défi le plus épineux du projet de démantèlement, qui doit durer plusieurs décennies.Environ 880 tonnes dematières radioactives demeurent à l’intérieur de la centrale, théâtre de l’un des pires accidents nucléaires de l’Histoire.Un porte-parole de Tepco, l’opérateur de la centrale, a déclaré à l’AFP que l’entreprise avait déployé deux robots pour mesurer le niveau de radiation.”Spot” et “Packbot” sont équipés de dosimètres mesurant la radioactivité, et Spot, qui a l’allure d’un chien, dispose d’une caméra.Les résultats de l’exploration seront utilisés pour aider à décider de “la méthode de récupération des débris”, a déclaré Tepco dans un communiqué.Cette étude doit durer environ un mois, selon la chaîne de télévision publique NHK et d’autres médias.De minuscules échantillons de matériaux radioactifs ont déjà été collectés à deux reprises dans le cadre d’un projet pilote, mais des extractions à grande échelle n’ont pas encore eu lieu. Ces échantillons ont été envoyés dans un laboratoire de recherche pour analyse. Tepco a annoncé le mois dernier que l’immense opération de retrait des débris avait été retardée au moins jusqu’en 2037, au lieu de l’objectif précédent du début des années 2030.Ce nouveau report remet en question le projet commun de Tepco et du gouvernement : déclarer la centrale complètement démantelée d’ici 2051, une échéance jugée très ambitieuse.

Au Pakistan, les tatouages hindous s’effacent des visages des femmes

Après avoir mélangé du charbon à quelques gouttes de lait de chèvre, Basran Jogi, 60 ans, se tourne avec son aiguille vers ses invitées du jour: deux enfants pakistanaises venues recevoir leur premier tatouage traditionnel.Dans les villages hindous de la frontière orientale du Pakistan, près de l’Inde, les tatoueuses dessinent à l’aiguille des lignes de points, des cercles et autres ornementations géométriques sur les visages, les bras et les mains des fillettes depuis des siècles.”D’abord, on dessine deux lignes droites entre les sourcils”, explique Mme Jogi à une amie qui vient de se saisir d’une aiguille à coudre.”Et maintenant on enfonce l’aiguille entre ces deux lignes, doucement, jusqu’à ce que le sang apparaisse”, poursuit-elle.Pooja, six ans, fait la grimace alors que les points commencent à former des cercles et des triangles de points sur son front et son menton. Son aînée, Champa, sept ans, s’impatiente: “moi aussi, je suis prête!”.Cette scène, longtemps ordinaire, se fait de plus en plus rare ces dernières années, alors que de plus en plus de familles hindoues – 2% seulement des 255 millions d’habitants de la République islamique du Pakistan – partent s’installer en ville.- Se fondre dans la foule -“Ces tatouages nous rendent identifiables parmi la foule”, explique Durga Prem, étudiante en ingénierie informatique de 20 ans, originaire de Badin, une ville de la province méridionale du Sindh où se concentre la minorité hindoue.”Notre génération ne les aime plus. A l’époque des réseaux sociaux, les jeunes filles évitent de se tatouer le visage parce qu’elles trouvent qu’avec ces dessins elles seraient vues comme différentes et pas attirantes”, affirme-t-elle à l’AFP.Sa sœur Mumta a aussi refusé de se faire tatouer les points qui ornent les visages de leur mère et de leurs deux grand-mères.Mais “si on était restées au village, on aurait sûrement ces tatouages sur nos visages ou nos bras”, dit-elle.Dans un pays où les minorités non musulmanes se disent discriminées dans de nombreux domaines, “on ne peut pas forcer nos filles à continuer” à se tatouer, affirme de son côté Mukesh Meghwar, un défenseur des droits des hindous.”C’est leur choix. Mais malheureusement, nous serons probablement la dernière génération à voir des tatouages sur les visages, les cous, les mains et les bras des femmes”, poursuit-il, pointant aussi du doigt les réflexions “défavorables” de concitoyens, car certaines écoles de l’islam condamnent le tatouage.Ce serait alors la fin d’une pratique pluricentenaire, profondément ancrée dans la culture, disent les anthropologues. A tel point que la plupart des hindous rencontrés par l’AFP plaident pour le tatouage mais avouent ne pas pouvoir en expliquer le sens ou l’origine.- Eloigner les mauvais esprits -“Ces symboles font partie de la culture des populations issues de la civilisation de l’Indus”, à l’époque de l’âge de bronze, affirme l’un de ces anthropologues, Zulfiqar Ali Kalhoro.”Ces +marques+ étaient traditionnellement utilisées pour distinguer les membres d’une communauté” et pour “éloigner les mauvais esprits”, détaille-t-il.Pour Mme Jogi, le tatouage, c’est avant tout “une passion” pour embellir le visage des femmes.”On ne les fait pas pour une raison en particulier, c’est une pratique qui existe depuis longtemps”, se borne-t-elle à affirmer, en examinant avec attention les visages fraîchement tatoués de Pooja et Champa. Aujourd’hui, les points qui ornent désormais leurs fronts sont d’un noir profond, bientôt ils deviendront vert foncé et tiendront jusqu’à leur dernier souffle.Basran Jogi et Jamna Kolhi peuvent en témoigner.”Ces tatouages, c’est une amie d’enfance qui me les a dessinés, elle est morte il y a quelques années”, raconte Mme Kolhi, 40 ans.”Quand je les vois, je pense à elle et à nos jeunes années. C’est un souvenir pour toute la vie”.

Au Pakistan, les tatouages hindous s’effacent des visages des femmes

Après avoir mélangé du charbon à quelques gouttes de lait de chèvre, Basran Jogi, 60 ans, se tourne avec son aiguille vers ses invitées du jour: deux enfants pakistanaises venues recevoir leur premier tatouage traditionnel.Dans les villages hindous de la frontière orientale du Pakistan, près de l’Inde, les tatoueuses dessinent à l’aiguille des lignes de points, des cercles et autres ornementations géométriques sur les visages, les bras et les mains des fillettes depuis des siècles.”D’abord, on dessine deux lignes droites entre les sourcils”, explique Mme Jogi à une amie qui vient de se saisir d’une aiguille à coudre.”Et maintenant on enfonce l’aiguille entre ces deux lignes, doucement, jusqu’à ce que le sang apparaisse”, poursuit-elle.Pooja, six ans, fait la grimace alors que les points commencent à former des cercles et des triangles de points sur son front et son menton. Son aînée, Champa, sept ans, s’impatiente: “moi aussi, je suis prête!”.Cette scène, longtemps ordinaire, se fait de plus en plus rare ces dernières années, alors que de plus en plus de familles hindoues – 2% seulement des 255 millions d’habitants de la République islamique du Pakistan – partent s’installer en ville.- Se fondre dans la foule -“Ces tatouages nous rendent identifiables parmi la foule”, explique Durga Prem, étudiante en ingénierie informatique de 20 ans, originaire de Badin, une ville de la province méridionale du Sindh où se concentre la minorité hindoue.”Notre génération ne les aime plus. A l’époque des réseaux sociaux, les jeunes filles évitent de se tatouer le visage parce qu’elles trouvent qu’avec ces dessins elles seraient vues comme différentes et pas attirantes”, affirme-t-elle à l’AFP.Sa sœur Mumta a aussi refusé de se faire tatouer les points qui ornent les visages de leur mère et de leurs deux grand-mères.Mais “si on était restées au village, on aurait sûrement ces tatouages sur nos visages ou nos bras”, dit-elle.Dans un pays où les minorités non musulmanes se disent discriminées dans de nombreux domaines, “on ne peut pas forcer nos filles à continuer” à se tatouer, affirme de son côté Mukesh Meghwar, un défenseur des droits des hindous.”C’est leur choix. Mais malheureusement, nous serons probablement la dernière génération à voir des tatouages sur les visages, les cous, les mains et les bras des femmes”, poursuit-il, pointant aussi du doigt les réflexions “défavorables” de concitoyens, car certaines écoles de l’islam condamnent le tatouage.Ce serait alors la fin d’une pratique pluricentenaire, profondément ancrée dans la culture, disent les anthropologues. A tel point que la plupart des hindous rencontrés par l’AFP plaident pour le tatouage mais avouent ne pas pouvoir en expliquer le sens ou l’origine.- Eloigner les mauvais esprits -“Ces symboles font partie de la culture des populations issues de la civilisation de l’Indus”, à l’époque de l’âge de bronze, affirme l’un de ces anthropologues, Zulfiqar Ali Kalhoro.”Ces +marques+ étaient traditionnellement utilisées pour distinguer les membres d’une communauté” et pour “éloigner les mauvais esprits”, détaille-t-il.Pour Mme Jogi, le tatouage, c’est avant tout “une passion” pour embellir le visage des femmes.”On ne les fait pas pour une raison en particulier, c’est une pratique qui existe depuis longtemps”, se borne-t-elle à affirmer, en examinant avec attention les visages fraîchement tatoués de Pooja et Champa. Aujourd’hui, les points qui ornent désormais leurs fronts sont d’un noir profond, bientôt ils deviendront vert foncé et tiendront jusqu’à leur dernier souffle.Basran Jogi et Jamna Kolhi peuvent en témoigner.”Ces tatouages, c’est une amie d’enfance qui me les a dessinés, elle est morte il y a quelques années”, raconte Mme Kolhi, 40 ans.”Quand je les vois, je pense à elle et à nos jeunes années. C’est un souvenir pour toute la vie”.

Nouvelle-Calédonie: Manuel Valls a rencontré les indépendantistes du FLNKS

Le ministre des Outre-mer Manuel Valls a rencontré mercredi en Nouvelle-Calédonie une délégation du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), qui a rejeté la semaine dernière l’accord de Bougival sur l’avenir du territoire.La rencontre, à Nouméa, a duré deux heures et demie. La délégation du FLNKS, composée de membres de son bureau politique, n’a pas souhaité s’exprimer à la sortie, a constaté une journaliste de l’AFP. Elle doit d’abord rendre compte au président du mouvement, Christian Tein, chargé de “superviser les discussions avec l’Etat”.Plus tôt dans la matinée, Manuel Valls s’était adressé au Sénat coutumier, également critique vis-à-vis de l’accord. “L’accord de Bougival est une opportunité historique, saisissez-là”, a exhorté Manuel Valls, se disant “convaincu qu’il n’y a pas d’alternative crédible”.Le président du Sénat coutumier, Eloi Gowé, a lui estimé qu’il était “urgent, en s’inspirant de ces demi-échecs (de Bougival et de Deva en mai, ndlr), de proposer un nouveau cadre de discussion et une nouvelle approche”.Avant son départ, Manuel Valls avait déclaré au Parisien vouloir “convaincre le FLNKS de s’inscrire dans l’accord” de Bougival, conclu le 12 juillet à l’issue de plusieurs jours de négociations entre l’État, les indépendantistes et les non-indépendantistes de l’archipel.”Sans accord, sans stabilité politique, il n’y aura pas de repreneurs pour le nickel, la pénurie de soignants perdurera et les inégalités continueront de se creuser”, avait-il aussi averti après la formalisation du rejet de l’accord  par le mouvement indépendantiste, la semaine dernière.Mardi, le FLNKS a publié un communiqué dénonçant les “leçons de responsabilité” données par l’Etat. “Le ministre des Outre-mer semble engager d’ores et déjà un rapport de force et fait croire à l’opinion publique que sans cet accord, la situation économique et sociale deviendrait chaotique, alors que le pays est sous perfusion depuis plusieurs années et que les inégalités n’ont fait que se creuser depuis des décennies”, selon ce communiqué.Le FLNKS est le seul mouvement calédonien à avoir rejeté l’accord de Bougival, qui prévoit notamment la création d’un Etat de Nouvelle-Calédonie doté d’une nationalité propre, tout en restant inscrit dans la Constitution française.Les indépendantistes du Parti de libération Kanak (Palika) et de l’Union progressiste en Mélanésie (UPM), qui ont pris leurs distances du FLNKS il y a un an, ont eux donné leur feu vert, de même que l’Eveil océanien, “parti charnière” qui ne se positionne pas sur la question de l’indépendance, et l’ensemble du camp non-indépendantiste.

Israel defence minister approves plan to conquer Gaza City

Israel’s defence minister has approved a plan for the conquest of Gaza City and authorised the call-up of around 60,000 reservists to carry it out, his ministry confirmed on Wednesday.Defence Minister Israel Katz’s move, confirmed to AFP by a spokesperson, piled pressure on Hamas as mediators pushing for a ceasefire in the nearly two-year war in Gaza awaited an official Israeli response on their latest proposal.While mediator Qatar had expressed guarded optimism over the latest proposal, a senior Israeli official said the government stood firm on its call for the release of all hostages in any agreement.The framework that Hamas had approved proposes an initial 60-day truce, a staggered hostage release, the freeing of some Palestinian prisoners and provisions allowing for the entry of aid into Gaza.Israel and Hamas have held on-and-off indirect negotiations throughout the war, resulting in two short truces during which Israeli hostages were released in exchange for Palestinian prisoners.The latest truce proposal came after Israel’s security cabinet approved plans to conquer Gaza City, despite fears it will worsen the already catastrophic humanitarian crisis.Qatar and Egypt, backed by the United States, have mediated the frequent rounds of shuttle diplomacy.Qatar said the latest proposal was “almost identical” to an earlier version agreed by Israel, while Egypt said Monday that “the ball is now in its (Israel’s) court”.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu has yet to publicly comment on the plan, but said last week that his country would accept “an agreement in which all the hostages are released at once and according to our conditions for ending the war”.Senior Hamas official Mahmoud Mardawi said on social media that his group had “opened the door wide to the possibility of reaching an agreement, but the question remains whether Netanyahu will once again close it, as he has done in the past”. – ‘White gold’ -The latest truce proposal came as Netanyahu faces increasing pressure at home and abroad.In Gaza, the civil defence agency reported Israeli strikes and fire killed 48 people across the territory on Tuesday.Agency spokesman Mahmud Bassal told AFP the situation was “very dangerous and unbearable” in the Zeitoun and Sabra neighbourhoods of Gaza City, where he said “shelling continues intermittently”.The Israeli military declined to comment on specific troop movements, saying only that it was “operating to dismantle Hamas military capabilities” and took “feasible precautions to mitigate civilian harm”.The military later said a strike in Khan Yunis overnight targeted a Hamas militant.Media restrictions in Gaza and difficulties accessing swathes of the Palestinian territory mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency or the Israeli military.In the Zikim area of northern Gaza on Tuesday, an AFP journalist saw Palestinians hauling sacks of food aid along dusty roads lined with rubble and damaged buildings.Gazan Shawg Al-Badri said it took “three to four hours” to carry flour, what she called “white gold”, back to her family’s tent.”This bag is worth the whole world,” she said.Hamas’s October 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.Israel’s offensive has killed at least 62,064 Palestinians, most of them civilians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza, which the United Nations considers reliable.

More than 20 dead in fresh Pakistan monsoon rains

More than 20 people have died on Wednesday in a torrential spell of monsoon rain in Pakistan, where downpours have swept away entire villages over the last week, killing more than 400.Eleven people died in the touristic northern region of Gilgit-Baltistan and 10 others in Karachi, the financial capital in the south, due to urban flooding that caused house collapses and electrocution, the National Disaster Management Authority (NDMA) said.Schools remained closed in the city of more than 20 million, as the meteorological department predicted more rain till Saturday.Amir Hyder Laghari, chief meteorologist of the Sindh province, blamed “weak infrastructure” for the flooding in big cities.As Karachi’s crumbling pipes and sewer system struggled to cope with the downpours, rush-hour drivers were caught in rising waters late Tuesday, and multiple neighbourhoods experienced power cuts.By Wednesday morning, the water had receded, an AFP photographer reported.Between 40 and 50 houses had been damaged in two districts, provincial disaster official Muhammad Younis said.”Another (rain) spell is to start by the end of the month,” NDMA chairman Inam Haider Malik.More than 350 people have died in Khyber Pakhtunkhwa, a mountainous northern province bordering Afghanistan, since last Thursday.Authorities and the army are searching for dozens missing in villages that were hit by landslides and heavy rain.- ‘Children are scared’ -The floods interrupted communication networks and phone lines in flooded areas, while excavators worked to remove debris clogging drainage channels.”We have established relief camps where we are providing medical assistance. We are also giving dry rations and tents to all the people,” army Colonel Irfan Afridi told AFP in Buner district, where more than 220 people were killed.Authorities have warned that the rains will continue until mid-September.”The children are scared. They say we cannot sleep at night due to fear,” said Anjum Anwar, a medical camp official in Buner. “The flood… has destroyed our entire settlements.”Landslides and flash floods are common during the monsoon season, which typically begins in June and lasts until the end of September.This year, nearly 750 people have died since the season started, according to authorities.Pakistan is among the world’s most vulnerable countries to the effects of climate change and is increasingly facing extreme weather events.Monsoon floods submerged one-third of Pakistan in 2022, resulting in approximately 1,700 deaths.

EuroMillions: le jackpot de 250 millions d’euros remporté pour la première fois en France

La somme record de 250 millions d’euros a été remportée à l’EuroMillions mardi soir en France, ce qui constitue le plus gros gain national dans un jeu de tirage, a annoncé FDJ United (ex-Française des jeux) dans un communiqué.Le précédent record de gain sur le territoire français s’élevait à 220 millions d’euros, décroché dans le cadre de l’Euromillions à Tahiti, en Polynésie française, en 2021.Ces 250 millions d’euros, qui correspondent au plafond des gains proposés par l’EuroMillions, avaient déjà été gagnés en Autriche et en Irlande en 2025.La cagnotte en jeu a atteint mardi sa somme maximale car aucun joueur n’avait trouvé les cinq bons numéros et les deux étoiles lors du tirage du 15 août, qui affichait un gain potentiel de 234 millions d’euros.Pour remporter la somme record mise en jeu par la FDJ et ses partenaires européens, il fallait cocher les numéros 24-31-34-41-43 ainsi que les étoiles 6 et 8.Le gagnant ou la gagnante a 60 jours à compter de la date du tirage pour se faire connaitre.Sur son site internet, FDJ United rappelle qu’en l’absence de gagnant du jackpot, le même montant est remis en jeu dans une limite de quatre fois successives avant d’être automatiquement redistribué au(x) gagnant(s) du deuxième rang (lors du 5e tirage successif au Jackpot plafond).