Trump to lead tributes at memorial for conservative leader Kirk

US President Donald Trump will lead tributes to Charlie Kirk on Sunday at a huge stadium gathering to honor the young right-wing influencer slain in the country’s latest spasm of political violence.The service has drawn an extraordinary level of attention and security, with some US media likening it to a state funeral.The highest echelons of the Trump administration and orbit, topped by the president himself, waited their turn to address the crowd as the memorial ceremony got underway in the early afternoon.As he left the White House to fly out west and pay his respects, Trump said the service aimed “to celebrate the life of a great man.”Thousands of people had lined up in the pre-dawn dark, hoping to get into the 63,000-seat American football stadium hosting the service and honor the young Republican star — a close ally of the president whose voter outreach is credited with helping Trump get reelected last year.”I look at him as a Christ martyr, definitely,” Monica Mirelez, a 44-year-old Texan who drove 12 hours to get there, said of Kirk.Jeremy Schlotman, a 21-year-old biology student, said Kirk gave him the courage to express his beliefs on campus.”For example, I think that biological men shouldn’t be in women’s sports. But I was too afraid to talk about stuff like that out loud,” Schlotman said as Christian bands played on stage and the stadium steadily filled up.- ‘Hatred’ -Kirk, 31, was shot in the neck on September 10 while speaking at a Utah university as part of his popular public debate series.Authorities arrested a suspect after a 33-hour manhunt and prosecutors said they would seek the death penalty.The killing of the founder of Turning Point USA, a right-wing youth action campaign, has inflamed often acrimonious and sometimes violent political divisions in the United States.Authorities say the suspected 22-year-old gunman cited the “hatred” he believed was stoked by Kirk — who was a vitriolic critic of transgender people, Muslims and others.Kirk used his millions of social media followers, the massive audience of his podcast and appearances at universities to bolster Trump with young voters and fight for a nationalist, Christian-centric political ideology.Even before the alleged killer was identified or arrested, Trump called Kirk “a martyr for truth and freedom” and blamed the rhetoric of the “radical left.”- Crackdown on liberal ‘terrorism’ -Trump, Vice President JD Vance, Secretary of State Marco Rubio and Defense Secretary Pete Hegseth will all speak at the memorial.Also speaking will be Director of National Intelligence Tulsi Gabbard, Health Secretary Robert F. Kennedy Jr., conservative commentator Tucker Carlson and other prominent Trump administration officials.Kirk’s widow, Erika Kirk, who is taking over the reins of Turning Point USA, will also address the audience. In response to the killing, the White House last week declared it would crack down on what it terms “domestic terrorism” by the political left. Trump said he would designate “Antifa” — a shorthand term for “anti-fascist” used to describe diffuse far-left groups — as “a major terrorist organization,” a move he threatened in his first term.Prominent late-night talk show host Jimmy Kimmel was yanked off the air Wednesday, hours after the government threatened to cancel broadcasting licenses because of comments he made about Kirk’s killing.The moves have sparked alarm among Trump’s critics who warn of possible steps to silence dissent of his divisive right-wing White House tenure, marked by a rolling back of social justice policies and an immigration crackdown that has seen widespread complaints of rights abuses.

Italie: Pellegrini offre le derby à la Roma

L’AS Rome s’est adjugé dimanche le derby de Rome contre la Lazio (1-0) grâce à un but de Lorenzo Pellegrini, son ex-capitaine déchu.La 186e édition du “derby de la capitale” s’est trouvée un improbable héros. En inscrivant le seul but de la rencontre, sur une reprise instantanée à la 38e minute, Pellegrini a fait sensation pour sa première titularisation depuis début mai.Il a permis à la Roma d’enchaîner une troisième victoire et a propulsé son équipe à la quatrième place (9 pts) à une longueur du leader, la Juventus Turin, tenue en échec à Vérone samedi (1-1).Comme il l’a reconnu lui-même, l’international italien revient de loin: “Les dernières semaines ont été compliquées, mais je n’ai jamais douté grâce au soutien des tifosi et de mes coéquipiers”, a-t-il expliqué.Le milieu de terrain de 29 ans qui a fait quasiment toute sa carrière sous le maillot de la Roma, à l’exception de deux saisons à Sassuolo (2015-17), a perdu son brassard de capitaine et du temps de jeu.Souvent critiqué la saison dernière, Pellegrini ne semblait plus entrer dans le projet mis en place par le nouvel entraîneur de la Roma Gian Piero Gasperini, qui lui reprochait son manque d’engagement physique.- Guendouzi exclu -Mais à la surprise générale, “Gasp” a titularisé Pellegrini pour le choc romain: “Sur ce que j’ai vu à l’entraînement cette semaine, je n’ai pas longtemps hésité avant de le titulariser, je suis content pour lui”.Sa Roma aurait pu s’imposer plus largement sans des arrêts décisifs du gardien de la Lazio Ivan Provedel, devant Devyne Rensch (45e+3), Angelino (49e) et Tommaso Baldanzi (82e).La Lazio, réduite à neuf avec les exclusions de Reda Belahyane (85e) et de Mattéo Guendouzi (90e), a bien failli réussir un hold-up: dans le temps additionnel, Danilo Cataldi a frappé le montant gauche de Mile Svilar, battu.L’équipe de Maurizio Sarri, battue pour la troisième fois cette saison, a reculé à la 14e place (3 pts).Alors que le précédent derby, en avril, avait été marqué par de violents affrontements entre ultras et policiers, faisant six blessés, ce duel, avec son coup d’envoi avancé à la mi-journée pour réduire les risques, n’a donné lieu à aucun incident notable. Quatre jours après avoir été corrigé par le Paris SG (4-0), l’Atalanta a passé ses nerfs sur le Torino 3 à 0 et a bondi à la 5e place (8 pts).Ivan Juric en a profité pour donner trois minutes de jeu à l’attaquant nigérian Ademola Lookman, de retour dans le groupe depuis jeudi après en avoir été écarté pour avoir tenté de forcer son transfert vers l’Inter Milan.Côme a renversé la Fiorentina pour s’imposer 2 à 1 et se replacer au 8ème rang (7 pts). La “Viola” qui n’a toujours pas gagné sous la conduite de Stefano Pioli, est 17e (2 pts).

Ligue 1: Monaco s’en sort contre Metz grâce à doublé d’Ansu Fati

Monaco s’est sorti du piège tendu par un bon Metz (5-2) dimanche lors de la 5e journée de L1, grâce à un doublé du revenant, l’international espagnol Ansu Fati, auteur de son troisième but en trois jours.Jeudi soir, il avait déjà été le seul rayon de soleil lors de la débâcle à Bruges en inscrivant l’unique but de son équipe (1-4) en Ligue des champions. Et cette fois, Fati, entré à la pause, a par deux fois (2-1, 46e et 3-2, 83e) sauvé Monaco en souffrance.Au final, cette victoire arrachée après un match bien plus compliqué que ne le laisse croire le score permet à Adi Hütter et ses joueurs de pointer à la 2e place en L1, à égalité de points (12) avec le Paris SG, qui jouera lundi le classique à Marseille.Encore tuméfiés par la gifle belge, les Monégasques ont débuté la rencontre de la plus mauvaise manière. Les Messins, au plan de jeu clair et à l’implication parfaite, ont logiquement marqué. Parti de loin, Cheikh Sabaly a accéléré, pris de vitesse Jordan Teze et donné plein axe pour Habib Diallo. L’avant-centre sénégalais a remporté son face-à-face avec Philipp Köhn (0-1, 13e).Puis, bien servi par son capitaine Gauthier Hein, Koffi Kouao a vu sa bonne frappe excentrée sortie du bout du gant par un Köhn très vigilant (28e)Monaco a alors su réagir. Comme la saison dernière Thilo Kehrer a ouvert dans le demi-espace pour Takumi Minamino. Le Japonais a déposé son vis-à-vis, et centré à ras-de-terre pour Mika Biereth, seul au deuxième poteau (1-1, 28e).-Faute inexplicable de Minamino-Dans la foulée, Hütter a sorti Aladji Bamba, qui se plaignait d’une cuisse mais également encore en difficulté, pour le remplacer par le revenant Krepin Diatta, auteur d’un très bon match (33e). Teze est passé milieu défensif.Le deuxième changement effectué à la pause a eu un impact plus important: Fati a remplacé Paris Brunner. Il a marqué après 46 secondes passées sur la pelouse. Maghnès Akliouche, peu en vu, a lancé Lamine Camara, dont le centre en retrait a trouvé l’Espagnol, buteur pour la deuxième fois en trois jours alors que sa dernière réalisation remontait au 9 novembre 2023, avec Brighton contre l’Ajax Amsterdam en Ligue Europa (2-1, 46e).Les Rouge et Blanc pensaient alors avoir enfin la main sur la partie. Mais Metz, qui n’a jamais fermé le jeu, a continué à attaquer. En voulant sortir sur un adversaire, Minamino a inexplicablement commis une faute sur Kouao dans sa propre surface.Appelé par l’assistance vidéo, l’arbitre Stéphanie Frappart a visionné les images et accordé pénalty (65e). Hein, du gauche, a pris Köhn à contrepied (2-2, 67e).Mais Fati n’avait pas dit son dernier mot. Sur un centre de Diatta, il a encore donné l’avantage aux siens de la tête (3-2, 83e). Metz a lâché. Sur un corner de Camara, Kouao a marqué contre son camp (4-2, 86e). Puis, dans les arrêts de jeu, George Ilenikhena a parachevé la victoire (5-2, 90e+3).

Ligue 1: le classique OM-PSG reporté, Monaco et Strasbourg enchaînent

Choc de la 5e journée de Ligue 1, le match entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain prévu dimanche soir à Marseille a été reporté à lundi en raison des intempéries, tandis que Strasbourg et Monaco sont sur les talons du PSG après avoir signé un quatrième succès.Traditionnel sommet du championnat de France, le duel entre le Paris SG, champion de France et d’Europe, et son vieux rival marseillais, a été reprogrammé lundi à 20h00 (18h00 GMT), par mesure de sécurité face aux fortes pluies prévues à Marseille.Le match entre le PSG, leader du championant handicapé par de nombreuses blessures (Ousmane Dembélé, Joao Neves, Bradley Barcola, Désiré Doué) et l’OM se déroulera donc en même temps que la cérémonie du Ballon d’Or, dont Dembélé est le grand favori.Le voisin parisien du PFC, après deux succès consécutifs a, lui, calé à domicile contre Strasbourg (3-2), en prenant une leçon de réalisme. Largement dominateurs, les coéquipiers de Pierre Lees-Melou, menés 2-0 à 20 minutes de la fin de la rencontre, ont été punis sur les rares occasions strasbourgeoises.Le match s’est alors emballé: après la réduction du score d’Ouhan Dicko, de la tête sur un beau centre d’Ilan Kebbal (81e), Emmanuel Emegha a redonné de l’avance aux Alsaciens (87e), vite annihilée par Alimami Gory (90e+1).En vain: grâce à ce quatrième succès en cinq rencontres, les Strasbourgeois prennent place au pied du podium, à égalité de points (12) avec le PSG, Lyon et Monaco, tandis que le club de la famille Arnault reste en milieu de tableau (11e).Quelques jours  après la claque subie à Bruges en Ligue des champions (défaite 4-1), Monaco s’est fait peur à domicile contre la lanterne rouge messinne, malgré un score flatteur (5-2), et pointe à la deuxième place derrière le PSG.Menés 1-0, puis accrochés 2-2 après avoir pris l’avantage au score, les Monégasques peuvent remercier leur attaquant Ansu Fati. Déjà buteur jeudi, l’Espagnol s’est fendu d’un doublé, en scorant dès son entrée en jeu (46e) puis en fin de match de la tête (83e), avant que Metz ne craque et n’encaisse deux buts supplémentaires.Le promu, qui n’a pas encore remporté un match, ne compte qu’un unique point, à trois longueur de Lorient (17e, 4 points), accroché au Havre (1-1) après avoir ouvert le score.Auxerre, qui restait sur une série de trois défaites, y a mis fin en battant de peu Toulouse (1-0) à l’Abbé-Deschamps. Réduits à dix après l’exclusion de Fredrik Oppegard pour un accrochage avec un Toulousain, les Auxerrois ont tenu pour s’offrir un peu d’air, en remontant à la dixième place.Neuvième, le TFC enchaîne lui un troisième revers après ceux contre le PSG et Lille.

Outcry after Trump urges Justice Department to charge his enemies

Top Democratic leaders on Sunday warned that President Donald Trump’s drive to go after his political opponents is putting America on a path to becoming a dictatorship and a “banana republic.”These dramatic statements came a day after Trump’s public call for the Justice Department to take action against perceived enemies and after prominent late-night talk show host Jimmy Kimmel was yanked off the air, following a threat from regulators loyal to Trump — among other aggressive Trump behavior that critics have described as authoritarian.Turning the Justice Department “into an instrument that goes after his enemies, whether they’re guilty or not… is the path to a dictatorship,” Senate Minority Leader Chuck Schumer Schumer said on CNN. “That’s what dictatorships do.”Connecticut Senator Chris Murphy, meanwhile, suggested that the United States was turning into a “banana republic.””The president of the United States is now employing the full power of the federal government, the FCC (Federal Communications Commission), the Department of Justice, in order to punish, lock up, take down off the air all of his political enemies,” Murphy said on ABC.”This is one of the most dangerous moments America has ever faced. We are quickly turning into a banana republic,” Murphy said.In a social media post on Saturday addressing “Pam” — apparently Attorney General Pam Bondi — Trump fumed over the lack of legal action against California Senator Adam Schiff and New York Attorney General Letitia James, both Democrats.Schiff and James are among a handful of people who have been accused by a close Trump ally, Federal Housing Finance Agency Director Bill Pulte, of falsifying documents on mortgage applications.”We can’t delay any longer, it’s killing our reputation and credibility,” Trump said.On Friday, Trump fired the federal prosecutor who was overseeing the probe into James, after the attorney reportedly insisted there was insufficient evidence to charge her with mortgage fraud.Erik Siebert, US attorney for the Eastern District of Virginia, told staff of his resignation via an email on Friday, the New York Times and other US media outlets reported.”I fired him, and there is a GREAT CASE, and many lawyers, and legal pundits, say so,” Trump said Saturday, apparently referencing the probe into James.On Friday, asked by a reporter to comment on the case, Trump said: “I am not following it very closely. It looks to me like she’s very guilty of something, but I really don’t know.”Former US Secretary of State and Trump’s White House challenger, Hillary Clinton, echoed Schumer’s criticism, calling his moves a “very dangerous turn in our politics.””What we’re hearing now from the White House and their supporters (is) that this may, you know, lead to even further political action, legal action, prosecutorial action, intimidation of all kinds,” Clinton said on CNN.Schiff and James have separately clashed with Trump, leading investigations that the Republican president alleges were political witch hunts.During Trump’s first term in the White House, Schiff, then a member of the US House, led the prosecution at the president’s first impeachment trial, which was based on allegations he pressured Ukraine to interfere in the 2020 election.After Trump left the White House, James brought a major civil fraud case against him, alleging he and his company had unlawfully inflated his wealth and manipulated the value of properties to obtain favorable bank loans or insurance terms. A state judge ordered Trump to pay $464 million in that suit, but a higher court later removed the financial penalty while upholding the underlying judgment.

Military-ruled Guinea votes on new constitutionSun, 21 Sep 2025 16:23:49 GMT

Guineans voted Sunday on a draft constitution that would pave the way for elections but also permit the junta leader who seized power four years ago to run for president.Boycotted by the opposition, the long-awaited vote opens the way for stalled elections in the West African nation.The country has been ruled by General Mamady Doumbouya …

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L1: Strasbourg retrouve Emegha et gagne au Paris FC

Strasbourg a récolté dimanche au Paris FC (3-2) une quatrième victoire en cinq journées de Ligue 1, grâce à son capitaine Emanuel Emegha, buteur et passeur, de retour de blessure et de fâcherie avec les ultras.Réconciliation. Entré pour la dernière demi-heure, le Néerlandais a offert au bout d’un contre le deuxième but à Guéla Doué (78) et a signé lui-même celui du 3-1 (87).Il a couru vers la tribune visiteurs en brandissant son maillot — ce qui lui a valu un avertissement — quand l’arbitre vidéo a confirmé que le troisième but du Racing était valable. La grande majorité des 900 Alsaciens ont scandé: “Emegha ! Emegha !”L’annonce de son transfert l’été prochain à Chelsea, le club partenaire, avait entraîné une crise interne au Racing: banderoles offensives des ultras contre lui et la multipropriété et réactions courroucées du président Marc Keller et de l’entraîneur Liam Rosenior.”Je ne pense pas qu’Emanuel soit facilement affecté, a commenté le technicien anglais. Il a été contrarié un temps, c’est sûr, mais ce qui est génial avec sa mentalité, c’est qu’il reste concentré sur son football.”Contre le PFC, Emegha “a été exceptionnel. Pour moi, rien n’a vraiment changé. Je ne veux pas que le bruit extérieur affecte mes joueurs. Il continue d’être performant et de marquer pour l’équipe”, a ajouté Rosenior.Le capitaine, qui a repris à Mamadou Sarr son brassard en remplaçant l’Argentin Joaquin Panichelli (60), n’avait plus joué depuis le match de barrages de Ligue Conférence à Brondby où il avait signé un doublé (victoire 3-2) avant de se blesser.- Fin de série pour Paris -Avant l’entrée en scène d’Emegha, le jeune Kendry Paez (18 ans) s’était habilement glissé entre Hamari Traoré et Samir Chergi pour reprendre d’une tête croisée un centre de Diego Moreira (27). Il s’agit du premier but en Ligue 1 du grand espoir sud-américain prêté par le grand-frère Chelsea.Grâce à eux et Guéla Doué, Strasbourg revient avec 12 points à la hauteur du Paris Saint-Germain, dont le choc à Marseille a été décalé à lundi (20h00) en raison des intempéries, et de Lyon.Le PFC en revanche voit sa série de deux victoires stoppée, et s’incline pour la première fois à Jean-Bouin, le stade qu’il partage avec le Stade Français.Pour la première, les bleu marine avaient renversé Metz (3-2), mais cette fois les buts de Nouha Dicko (81) et Alimami Gory (90+4) sont arrivés trop tard.L’entraîneur Stéphane Gilli voulait que le nouveau stade du PFC devienne “une forteresse”, mais ses joueurs ont trop manqué d’efficacité devant le but pour éviter la défaite.Willem Geubbels en particulier a manqué d’adresse, gâchant notamment une balle d’égalisation à trois mètres de la ligne (45+3), avant d’être remplacé à la pause par Gory pour “une petit douleur à l’adducteur”, a précisé Gilli.Ilan Kebbal, qui a reçu le trophée UNFP de meilleur joueur de L1 du mois d’août, a aussi manqué de précision et s’est parfois enfermé dans des actions solitaires.Le PFC reste en milieu de tableau (10e) en attendant les autres matches de dimanche.