L’épisode caniculaire en déclin dimanche sur une grande partie de la France

L’épisode caniculaire va régresser dimanche et se concentrer sur la moitié sud du territoire et le sud-Bretagne, avec 36 départements placés en vigilance orange par Météo-France, au dixième jour de la vague de chaleur qui devrait toucher à sa fin lundi soir.Sur le pourtour méditerranéen, les températures prévues dimanche après-midi oscillent entre 35 et 37 degrés et atteindront dans l’intérieur du Languedoc et du Roussillon jusqu’à 41 degrés. Perpignan et Montpellier devraient dépasser la barre des 40 degrés selon Méteo-France.La France connaît son deuxième épisode caniculaire depuis le début de l’été et le 51e depuis 1947, ces phénomènes étant rendus plus fréquents et plus intenses par le changement climatique.L’air plus frais présent au nord du pays gagne progressivement du terrain vers le sud et va faire descendre les températures partout en France. Les maximales ne dépasseront plus les 29 à 31 degrés dans toute la partie centre et nord. Les prévisionnistes tablent sur une fin de la vigilance orange dimanche matin pour les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes, de Bretagne, ainsi que pour les départements corses et les Hautes-Alpes.Météo-France a aussi placé la Corse en vigilance jaune pour les orages dimanche.La vague de chaleur a débuté le 8 août en France. D’abord cantonnée au Sud, avec des températures particulièrement élevées sur le Midi méditerranéen, elle a atteint un niveau exceptionnel entre lundi et mercredi du Sud-Ouest au Centre-Est, où de nombreux records ont été battus. Dans l’Hexagone, 266 stations météo ont enregistré au moins une fois une température de 40°C ou plus entre le 9 et le 12 août 2025 inclus. Soit plus que sur toute la seconde moitié du XXème siècle (235). Une nouvelle accentuation notable de la chaleur s’est opérée par le Sud-Ouest vendredi. La fin de l’épisode caniculaire est prévue entre lundi soir et mardi matin.Le sud de l’Europe n’est pas en reste avec notamment l’Espagne qui entre dans sa troisième semaine d’alerte vague de chaleur et n’en finit pas de combattre les incendies qui se concentrent dans le nord-ouest et l’ouest du pays.

L’épisode caniculaire en déclin dimanche sur une grande partie de la France

L’épisode caniculaire va régresser dimanche et se concentrer sur la moitié sud du territoire et le sud-Bretagne, avec 36 départements placés en vigilance orange par Météo-France, au dixième jour de la vague de chaleur qui devrait toucher à sa fin lundi soir.Sur le pourtour méditerranéen, les températures prévues dimanche après-midi oscillent entre 35 et 37 degrés et atteindront dans l’intérieur du Languedoc et du Roussillon jusqu’à 41 degrés. Perpignan et Montpellier devraient dépasser la barre des 40 degrés selon Méteo-France.La France connaît son deuxième épisode caniculaire depuis le début de l’été et le 51e depuis 1947, ces phénomènes étant rendus plus fréquents et plus intenses par le changement climatique.L’air plus frais présent au nord du pays gagne progressivement du terrain vers le sud et va faire descendre les températures partout en France. Les maximales ne dépasseront plus les 29 à 31 degrés dans toute la partie centre et nord. Les prévisionnistes tablent sur une fin de la vigilance orange dimanche matin pour les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes, de Bretagne, ainsi que pour les départements corses et les Hautes-Alpes.Météo-France a aussi placé la Corse en vigilance jaune pour les orages dimanche.La vague de chaleur a débuté le 8 août en France. D’abord cantonnée au Sud, avec des températures particulièrement élevées sur le Midi méditerranéen, elle a atteint un niveau exceptionnel entre lundi et mercredi du Sud-Ouest au Centre-Est, où de nombreux records ont été battus. Dans l’Hexagone, 266 stations météo ont enregistré au moins une fois une température de 40°C ou plus entre le 9 et le 12 août 2025 inclus. Soit plus que sur toute la seconde moitié du XXème siècle (235). Une nouvelle accentuation notable de la chaleur s’est opérée par le Sud-Ouest vendredi. La fin de l’épisode caniculaire est prévue entre lundi soir et mardi matin.Le sud de l’Europe n’est pas en reste avec notamment l’Espagne qui entre dans sa troisième semaine d’alerte vague de chaleur et n’en finit pas de combattre les incendies qui se concentrent dans le nord-ouest et l’ouest du pays.

L’épisode caniculaire en déclin dimanche sur une grande partie de la France

L’épisode caniculaire va régresser dimanche et se concentrer sur la moitié sud du territoire et le sud-Bretagne, avec 36 départements placés en vigilance orange par Météo-France, au dixième jour de la vague de chaleur qui devrait toucher à sa fin lundi soir.Sur le pourtour méditerranéen, les températures prévues dimanche après-midi oscillent entre 35 et 37 degrés et atteindront dans l’intérieur du Languedoc et du Roussillon jusqu’à 41 degrés. Perpignan et Montpellier devraient dépasser la barre des 40 degrés selon Méteo-France.La France connaît son deuxième épisode caniculaire depuis le début de l’été et le 51e depuis 1947, ces phénomènes étant rendus plus fréquents et plus intenses par le changement climatique.L’air plus frais présent au nord du pays gagne progressivement du terrain vers le sud et va faire descendre les températures partout en France. Les maximales ne dépasseront plus les 29 à 31 degrés dans toute la partie centre et nord. Les prévisionnistes tablent sur une fin de la vigilance orange dimanche matin pour les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes, de Bretagne, ainsi que pour les départements corses et les Hautes-Alpes.Météo-France a aussi placé la Corse en vigilance jaune pour les orages dimanche.La vague de chaleur a débuté le 8 août en France. D’abord cantonnée au Sud, avec des températures particulièrement élevées sur le Midi méditerranéen, elle a atteint un niveau exceptionnel entre lundi et mercredi du Sud-Ouest au Centre-Est, où de nombreux records ont été battus. Dans l’Hexagone, 266 stations météo ont enregistré au moins une fois une température de 40°C ou plus entre le 9 et le 12 août 2025 inclus. Soit plus que sur toute la seconde moitié du XXème siècle (235). Une nouvelle accentuation notable de la chaleur s’est opérée par le Sud-Ouest vendredi. La fin de l’épisode caniculaire est prévue entre lundi soir et mardi matin.Le sud de l’Europe n’est pas en reste avec notamment l’Espagne qui entre dans sa troisième semaine d’alerte vague de chaleur et n’en finit pas de combattre les incendies qui se concentrent dans le nord-ouest et l’ouest du pays.

Ukraine: les alliés de Kiev se concertent sur le plan de paix voulu par Trump

Les alliés de l’Ukraine se concertent dimanche, lors d’une visioconférence de la “coalition des volontaires”, au sujet de l’accord de paix sans cessez-le-feu préalable voulu par Donald Trump après sa rencontre avec Vladimir Poutine.Le sommet en Alaska, qui était censé être crucial pour l’Ukraine et l’Europe, a offert au président russe un retour spectaculaire sur la scène internationale sans déboucher ni sur une pause dans les hostilités, encore moins sur de nouvelles sanctions visant la Russie.Le président américain soutient même une proposition de la Russie renforçant sa présence dans l’est de l’Ukraine, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass” et cède donc totalement ce territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine. Il propose par ailleurs un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).Quelques mois après avoir lancé son invasion de l’Ukraine, la Russie avait proclamé en septembre 2022 l’annexion de ces quatre régions ukrainiennes, même si ses troupes n’en contrôlent toujours aucune en totalité.Volodymyr Zelensky, qui a jusqu’ici rejeté toute concession territoriale, disant avoir les mains liées par la constitution ukrainienne, sera reçu lundi après-midi par Donald Trump dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.Se disant “reconnaissant de l’invitation”, le président ukrainien a toutefois prévenu samedi soir que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.- Garantie de sécurité -En amont de son déplacement à Washington, le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz réuniront dimanche à 13H00 GMT en visioconférence la “coalition des volontaires” alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.Les participants devraient aborder, selon des diplomates, la question des garanties de sécurité qui seraient accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix. Donald Trump a évoqué au profit de Kiev une garantie de sécurité similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle qui s’étend à ses frontières.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait pour commencer de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.- Sommet tripartite ? -Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien dont la quasi totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Ce n’est pas le cas des régions de Zaporijjia et Kherson, dont les principaux centres urbains sont toujours sous contrôle ukrainien.L’abandon par Donald Trump du scénario d’une trêve semble favoriser Vladimir Poutine qui veut négocier directement un accord global et définitif. Kiev et ses alliés européens dénoncent au contraire une manière de gagner du temps afin de poursuivre son offensive et élargir ses conquêtes territoriales.C’est pourtant “la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine”, a justifié le milliardaire américain sur son réseau Truth Social. “Un simple accord de cessez-le-feu (…) souvent ne tient pas”, a insisté Donald Trump, lui qui avait pourtant menacé Moscou de “conséquences très graves” si les hostilités ne cessaient pas.Il a laisser envisager un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky si “tout marche bien” lorsqu’il recevra le président ukrainien, six mois après l’avoir humilié avec son vice-président JD Vance dans le Bureau ovale, une scène incroyable en direct à la télévision qui avait consterné nombre d’alliés européens.burs-seb-nr/gmo/phs

Ukraine: les alliés de Kiev se concertent sur le plan de paix voulu par Trump

Les alliés de l’Ukraine se concertent dimanche, lors d’une visioconférence de la “coalition des volontaires”, au sujet de l’accord de paix sans cessez-le-feu préalable voulu par Donald Trump après sa rencontre avec Vladimir Poutine.Le sommet en Alaska, qui était censé être crucial pour l’Ukraine et l’Europe, a offert au président russe un retour spectaculaire sur la scène internationale sans déboucher ni sur une pause dans les hostilités, encore moins sur de nouvelles sanctions visant la Russie.Le président américain soutient même une proposition de la Russie renforçant sa présence dans l’est de l’Ukraine, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass” et cède donc totalement ce territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine. Il propose par ailleurs un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).Quelques mois après avoir lancé son invasion de l’Ukraine, la Russie avait proclamé en septembre 2022 l’annexion de ces quatre régions ukrainiennes, même si ses troupes n’en contrôlent toujours aucune en totalité.Volodymyr Zelensky, qui a jusqu’ici rejeté toute concession territoriale, disant avoir les mains liées par la constitution ukrainienne, sera reçu lundi après-midi par Donald Trump dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.Se disant “reconnaissant de l’invitation”, le président ukrainien a toutefois prévenu samedi soir que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.- Garantie de sécurité -En amont de son déplacement à Washington, le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz réuniront dimanche à 13H00 GMT en visioconférence la “coalition des volontaires” alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.Les participants devraient aborder, selon des diplomates, la question des garanties de sécurité qui seraient accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix. Donald Trump a évoqué au profit de Kiev une garantie de sécurité similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle qui s’étend à ses frontières.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait pour commencer de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.- Sommet tripartite ? -Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien dont la quasi totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Ce n’est pas le cas des régions de Zaporijjia et Kherson, dont les principaux centres urbains sont toujours sous contrôle ukrainien.L’abandon par Donald Trump du scénario d’une trêve semble favoriser Vladimir Poutine qui veut négocier directement un accord global et définitif. Kiev et ses alliés européens dénoncent au contraire une manière de gagner du temps afin de poursuivre son offensive et élargir ses conquêtes territoriales.C’est pourtant “la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine”, a justifié le milliardaire américain sur son réseau Truth Social. “Un simple accord de cessez-le-feu (…) souvent ne tient pas”, a insisté Donald Trump, lui qui avait pourtant menacé Moscou de “conséquences très graves” si les hostilités ne cessaient pas.Il a laisser envisager un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky si “tout marche bien” lorsqu’il recevra le président ukrainien, six mois après l’avoir humilié avec son vice-président JD Vance dans le Bureau ovale, une scène incroyable en direct à la télévision qui avait consterné nombre d’alliés européens.burs-seb-nr/gmo/phs

Trump gives Putin ‘peace letter’ from wife Melania

US President Donald Trump handed Vladimir Putin a special item at their Alaska summit: a letter written by his wife, First Lady Melania Trump, pleading for the Russian leader to make peace in the name of children.The first lady’s office on Saturday reposted a Fox News article on X containing the short letter, a day after Trump and Putin failed to find a breakthrough at their high-stakes meeting.Putin read the “peace letter” immediately after Trump handed it to him, while delegations from both sides looked on, according to Fox News.”In today’s world, some children are forced to carry a quiet laughter, untouched by the darkness around them,” read the letter, which was signed by the first lady and did not mention Ukraine by name.”Mr Putin, you can singlehandedly restore their melodic laughter,” it added. “In protecting the innocence of these children, you will do more than serve Russia alone — you serve humanity itself.””Such a bold idea transcends all human division, and you, Mr Putin, are fit to implement this vision with a stroke of the pen today,” the letter read. “It is time.”In July, the US president had said that his wife, who was born in Slovenia, had helped change his thinking about Putin.”I go home, I tell the first lady, ‘you know, I spoke to Vladimir today, we had a wonderful conversation,'” Trump said.”And she said, ‘Oh really? Another city was just hit.'”Trump attempted a rapprochement with Putin shortly after starting his second term, having campaigned on a pledge to end the Ukraine war within 24 hours.During the early months of his new term, he largely directed anger at Ukraine for the lack of a deal, but gradually began expressing frustration that Putin continued his attacks on Ukraine.Before the summit in Alaska, Trump had warned of “severe consequences” if Russia did not accept a ceasefire. However after meeting with Putin, Trump dropped his demand for a ceasefire, saying the best way to end the war “is to go directly to a peace agreement.”Putin has long argued for negotiations on a final peace deal — a strategy that Ukraine and its European allies have criticized as a way to buy time and press Russia’s battlefield advances.

Trump drops Ukraine ceasefire demand after Putin summit

Donald Trump on Saturday dropped his push for a ceasefire in Ukraine in favor of pursuing a full peace accord — a major shift announced hours after his summit with Russian leader Vladimir Putin yielded no clear breakthrough.Prior to the high-stakes meeting in Alaska, securing an immediate cessation of hostilities had been a core demand of Trump — who had threatened “severe consequences” on Russia — and European leaders, including Ukraine’s Volodymyr Zelensky, who will now visit Washington on Monday.The shift away from ceasefire would seem to favor Putin, who has long argued for negotiations on a final peace deal — a strategy that Ukraine and its European allies have criticized as a way to buy time and press Russia’s battlefield advances.Trump spoke with Zelensky and European leaders on his flight back to Washington, saying afterward that “it was determined by all that the best way to end the horrific war between Russia and Ukraine is to go directly to a peace agreement which would end the war.”Ceasefire agreements “often times do not hold up,” Trump added on his Truth Social platform.This new development “complicates the situation,” Zelensky said Saturday.If Moscow lacks “the will to carry out a simple order to stop the strikes, it may take a lot of effort to get Russia to have the will to implement far greater — — peaceful coexistence with its neighbors for decades,” he said on social media.- ‘Harsh reality’ – In the call, Trump expressed support for a proposal by Putin to take full control of two largely Russian-held Ukrainian regions in exchange for freezing the frontline in two others, an official briefed on the talks told AFP.Putin “de facto demands that Ukraine leave Donbas,” an area consisting of the Donetsk and Lugansk regions in eastern Ukraine, the source said.In exchange, Russian forces would halt their offensive in the Black Sea port region of Kherson and Zaporizhzhia in southern Ukraine, where the main cities are still under Ukrainian control.Several months into its full-scale invasion of Ukraine, Russia in September 2022 claimed to have annexed all four Ukrainian regions even though its troops still do not fully control any of them.”The Ukrainian president refused to leave Donbas,” the source said.Trump notably also said the United States was prepared to provide Ukraine security guarantees, an assurance German Chancellor Friedrich Merz hailed as “significant progress.”But there was a scathing assessment of the summit outcome from the European Union’s top diplomat Kaja Kallas, who accused Putin of seeking to “drag out negotiations” with no commitment to end the bloodshed.”The harsh reality is that Russia has no intention of ending this war any time soon,” Kallas said.- Zelensky back in White House -The main diplomatic focus now switches to Zelensky’s talks at the White House on Monday.An EU source told AFP that a number of European leaders had also been invited to attend.The Ukrainian president’s last Oval Office visit in February ended in an extraordinary shouting match, with Trump and Vice President JD Vance publicly berating Zelensky for not showing enough gratitude for US aid.Zelensky said Saturday after a “substantive” conversation with Trump about the Alaska summit that he looked forward to his Washington visit and discussing “all of the details regarding ending the killing and the war.” In an interview with broadcaster Fox News after his sit-down with Putin, Trump had suggested that the onus was now on Zelensky to secure a peace deal as they work towards an eventual trilateral summit with Putin.”It’s really up to President Zelensky to get it done,” Trump said.- European pressure -The leaders of France, Britain and Germany are due to host a video call Sunday for their so-called “coalition of the willing” to discuss the way forward.In an earlier statement, they welcomed the plan for a Trump-Putin-Zelensky summit but added that they would maintain pressure on Russia in the absence of a ceasefire.Meanwhile, the conflict in Ukraine raged on, with Kyiv announcing Saturday that Russia had launched 85 attack drones and a ballistic missile during the night.Back in Moscow, Putin said his summit talks with Trump had been “timely” and “very useful.”In his post-summit statement in Alaska, Putin had warned Ukraine and European countries not to engage in any “behind-the-scenes intrigues” that could disrupt what he called “this emerging progress.”

N’ayant pu l’obtenir de Poutine, Trump renonce à un cessez-le-feu en Ukraine

Donald Trump a abandonné samedi toute exigence d’un cessez-le-feu préalable en Ukraine, prônant désormais un “accord de paix” pour mettre fin au conflit, un revirement majeur après sa rencontre en Alaska avec Vladimir Poutine, sans résultat concret apparent.Le président américain soutient même une proposition de la Russie prévoyant un contrôle total de deux régions ukrainiennes et que le front soit gelé dans deux autres régions sur lesquelles Moscou n’a qu’en partie la main, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass”, territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine.Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien dont la quasi totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Donald Trump recevra lundi après-midi dans le Bureau ovale de la Maison Blanche son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, plusieurs capitales européennes assurant de leur côté vouloir “maintenir la pression sur Moscou”. Se disant “reconnaissant de l’invitation”, M. Zelensky a toutefois prévenu samedi soir que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.De fait, l’abandon par Donald Trump du scénario d’une trêve semble favoriser Vladimir Poutine qui veut négocier directement un accord global et définitif. Kiev et ses alliés européens dénoncent au contraire une manière de gagner du temps afin de poursuivre son offensive et élargir ses conquêtes territoriales.C’est pourtant “la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine”, a justifié le milliardaire américain sur son réseau Truth Social. “Un simple accord de cessez-le-feu (…) souvent ne tient pas”, a insisté Donald Trump, lui qui avait pourtant menacé Moscou de “conséquences très graves” si les hostilités ne cessaient pas.”La triste réalité est que la Russie n’a aucune intention de mettre fin à cette guerre de sitôt”, a déploré la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas.Le maître du Kremlin a, lui, qualifié son entretien avec Donald Trump de “très utile” en vue d’une résolution du conflit “sur une base équitable”.- Tribune pour Poutine – Le sommet d’Anchorage, qui était censé être crucial pour l’Ukraine et l’Europe, a offert à M. Poutine un retour spectaculaire sur la scène internationale, sans déboucher ni sur l’annonce d’une réunion tripartite avec M. Zelensky, ni sur une pause dans les hostilités, encore moins sur de nouvelles sanctions visant la Russie.La rencontre de plus de trois heures, “couronnée de succès” selon Donald Trump, a toutefois déclenché une effervescence diplomatique en Europe. Absents en Alaska, les dirigeants du Vieux continent ont affirmé être prêts à faciliter un sommet entre MM Trump, Poutine et Zelensky.Ce dernier sera donc lundi après-midi à la Maison Blanche, six mois après avoir été réprimandé et humilié par Donald Trump et son vice-président JD Vance dans le Bureau ovale, une scène incroyable en direct à la télévision qui avait consterné nombre d’alliés européens.”Si tout marche bien, nous programmerons alors une rencontre avec le président Poutine”, a assuré Donald Trump, laissant envisager un sommet tripartite.Le président américain a échangé depuis vendredi au téléphone avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, son homologue français, Emmanuel Macron, le chancelier allemand, Friedrich Merz, le Premier ministre britannique, Keir Starmer et le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte.Donald Trump a évoqué au profit de Kiev une garantie de sécurité similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait pour commencer de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.- Sans illusions -MM. Macron, Starmer et Merz ont convoqué une réunion dimanche avec les pays de la “coalition des volontaires”, alliés de Kiev.En Russie, le sommet en Alaska a été plutôt bien accueilli. Rencontré à deux pas du Kremlin, Vitali Romanov, employé de musée, estime qu’il a suscité “l’espoir que cela ira mieux, pour la Russie, pour le peuple et pour les gens qui combattent” sur le front.Les Ukrainiens semblent en revanche sans illusions, à l’instar de Laryssa Melny, pharmacienne de Kiev, qui croit qu’il n’y aura “pas de paix” prochainement.”Je pense que c’est une belle victoire diplomatique pour Poutine”, affirme Pavlo Nebroev, directeur d’un théâtre à Kharkiv.burs-seb-nr/gmo