“Ma mission est terminée”: ce qu’il faut retenir de l’interview de Lecornu

Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a déclaré mercredi soir que sa mission de négociateur était “terminée”, et que cela devrait permettre à Emmanuel Macron de nommer un chef de gouvernement d’ici vendredi soir.Ce qu’il faut retenir de son interview au 20H00 de France 2.- “Un Premier ministre dans les 48 prochaines heures” -A l’issue de deux jours d'”ultimes négociations” menées à la suite de sa démission, Sébastien Lecornu a jugé qu'”il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution”.”Je sens qu’un chemin est possible encore, il est difficile et j’ai dit au président de la République que les perspectives de dissolution s’éloignaient”, “je pense que la situation permet pour le président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures.”- Vers un débat sur les retraites -Le Premier ministre démissionnaire n’a pas éclairci quelles avancées permettent de lui dire qu’un compromis est possible alors que les partis ont multiplié les lignes rouges contradictoires.”Je vois bien que, en tout cas je l’ai dit au président de la République, il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites”, a-t-il dit. Face à la demande de la gauche qui demande a minima la suspension de la retraite à 64 ans, “vous aurez du mal à siffler en disant +non, non, circulez, y a rien à voir+”.Une suspension coûterait aux finances publiques “pas moins de trois milliards d’euros en fonction du périmètre” en 2027.- Un budget prêt pour lundi -Un projet de budget pour 2026 pourra être présenté en conseil des ministres lundi, date-butoir pour qu’il soit adopté d’ici la fin de l’année par le Parlement, mais il “ne sera pas parfait”.”C’est un budget dans lequel même il y a beaucoup à débattre parce que c’est un budget qui avait été plutôt imaginé aussi pour que le débat ait lieu”, a expliqué Sébastien Lecornu qui, démissionnaire, n’a pas voulu en commenter le contenu.- “Je ne cours pas après le job” -Emmanuel Macron pourrait-il le renommer à Matignon ? “Je ne cours pas après le job”, a répondu ce fidèle soutien du président.”Je suis un moine soldat, ce soir ma mission est terminée”, a-t-il ajouté, en référence aux ultimes négociations que lui avait confié le chef de l’Etat lundi après sa démission. “J’ai tout essayé”, mais pas tout réussi “de toutes les évidences”, a-t-il lâché.Il n’a toutefois pas totalement exclu de se succéder à lui-même.Celui qui est tombé juste après la formation de ses ministres en raison de divisions internes a aussi dit: “Si j’ai un regret sur la composition du gouvernement, c’est que j’ai désormais l’intime conviction que l’équipe qui devra prendre les responsabilités dans les temps à venir, quelle qu’elle soit (…), devra être une équipe qui est complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027”.Et il a pris soin de préciser que lui n’était “pas” candidat à l’Elysée.

“Ma mission est terminée”: ce qu’il faut retenir de l’interview de Lecornu

Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a déclaré mercredi soir que sa mission de négociateur était “terminée”, et que cela devrait permettre à Emmanuel Macron de nommer un chef de gouvernement d’ici vendredi soir.Ce qu’il faut retenir de son interview au 20H00 de France 2.- “Un Premier ministre dans les 48 prochaines heures” -A l’issue de deux jours d'”ultimes négociations” menées à la suite de sa démission, Sébastien Lecornu a jugé qu'”il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution”.”Je sens qu’un chemin est possible encore, il est difficile et j’ai dit au président de la République que les perspectives de dissolution s’éloignaient”, “je pense que la situation permet pour le président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures.”- Vers un débat sur les retraites -Le Premier ministre démissionnaire n’a pas éclairci quelles avancées permettent de lui dire qu’un compromis est possible alors que les partis ont multiplié les lignes rouges contradictoires.”Je vois bien que, en tout cas je l’ai dit au président de la République, il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites”, a-t-il dit. Face à la demande de la gauche qui demande a minima la suspension de la retraite à 64 ans, “vous aurez du mal à siffler en disant +non, non, circulez, y a rien à voir+”.Une suspension coûterait aux finances publiques “pas moins de trois milliards d’euros en fonction du périmètre” en 2027.- Un budget prêt pour lundi -Un projet de budget pour 2026 pourra être présenté en conseil des ministres lundi, date-butoir pour qu’il soit adopté d’ici la fin de l’année par le Parlement, mais il “ne sera pas parfait”.”C’est un budget dans lequel même il y a beaucoup à débattre parce que c’est un budget qui avait été plutôt imaginé aussi pour que le débat ait lieu”, a expliqué Sébastien Lecornu qui, démissionnaire, n’a pas voulu en commenter le contenu.- “Je ne cours pas après le job” -Emmanuel Macron pourrait-il le renommer à Matignon ? “Je ne cours pas après le job”, a répondu ce fidèle soutien du président.”Je suis un moine soldat, ce soir ma mission est terminée”, a-t-il ajouté, en référence aux ultimes négociations que lui avait confié le chef de l’Etat lundi après sa démission. “J’ai tout essayé”, mais pas tout réussi “de toutes les évidences”, a-t-il lâché.Il n’a toutefois pas totalement exclu de se succéder à lui-même.Celui qui est tombé juste après la formation de ses ministres en raison de divisions internes a aussi dit: “Si j’ai un regret sur la composition du gouvernement, c’est que j’ai désormais l’intime conviction que l’équipe qui devra prendre les responsabilités dans les temps à venir, quelle qu’elle soit (…), devra être une équipe qui est complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027”.Et il a pris soin de préciser que lui n’était “pas” candidat à l’Elysée.

“Ma mission est terminée”: ce qu’il faut retenir de l’interview de Lecornu

Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a déclaré mercredi soir que sa mission de négociateur était “terminée”, et que cela devrait permettre à Emmanuel Macron de nommer un chef de gouvernement d’ici vendredi soir.Ce qu’il faut retenir de son interview au 20H00 de France 2.- “Un Premier ministre dans les 48 prochaines heures” -A l’issue de deux jours d'”ultimes négociations” menées à la suite de sa démission, Sébastien Lecornu a jugé qu'”il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution”.”Je sens qu’un chemin est possible encore, il est difficile et j’ai dit au président de la République que les perspectives de dissolution s’éloignaient”, “je pense que la situation permet pour le président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures.”- Vers un débat sur les retraites -Le Premier ministre démissionnaire n’a pas éclairci quelles avancées permettent de lui dire qu’un compromis est possible alors que les partis ont multiplié les lignes rouges contradictoires.”Je vois bien que, en tout cas je l’ai dit au président de la République, il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites”, a-t-il dit. Face à la demande de la gauche qui demande a minima la suspension de la retraite à 64 ans, “vous aurez du mal à siffler en disant +non, non, circulez, y a rien à voir+”.Une suspension coûterait aux finances publiques “pas moins de trois milliards d’euros en fonction du périmètre” en 2027.- Un budget prêt pour lundi -Un projet de budget pour 2026 pourra être présenté en conseil des ministres lundi, date-butoir pour qu’il soit adopté d’ici la fin de l’année par le Parlement, mais il “ne sera pas parfait”.”C’est un budget dans lequel même il y a beaucoup à débattre parce que c’est un budget qui avait été plutôt imaginé aussi pour que le débat ait lieu”, a expliqué Sébastien Lecornu qui, démissionnaire, n’a pas voulu en commenter le contenu.- “Je ne cours pas après le job” -Emmanuel Macron pourrait-il le renommer à Matignon ? “Je ne cours pas après le job”, a répondu ce fidèle soutien du président.”Je suis un moine soldat, ce soir ma mission est terminée”, a-t-il ajouté, en référence aux ultimes négociations que lui avait confié le chef de l’Etat lundi après sa démission. “J’ai tout essayé”, mais pas tout réussi “de toutes les évidences”, a-t-il lâché.Il n’a toutefois pas totalement exclu de se succéder à lui-même.Celui qui est tombé juste après la formation de ses ministres en raison de divisions internes a aussi dit: “Si j’ai un regret sur la composition du gouvernement, c’est que j’ai désormais l’intime conviction que l’équipe qui devra prendre les responsabilités dans les temps à venir, quelle qu’elle soit (…), devra être une équipe qui est complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027”.Et il a pris soin de préciser que lui n’était “pas” candidat à l’Elysée.

“Ma mission est terminée”: ce qu’il faut retenir de l’interview de Lecornu

Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a déclaré mercredi soir que sa mission de négociateur était “terminée”, et que cela devrait permettre à Emmanuel Macron de nommer un chef de gouvernement d’ici vendredi soir.Ce qu’il faut retenir de son interview au 20H00 de France 2.- “Un Premier ministre dans les 48 prochaines heures” -A l’issue de deux jours d'”ultimes négociations” menées à la suite de sa démission, Sébastien Lecornu a jugé qu'”il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution”.”Je sens qu’un chemin est possible encore, il est difficile et j’ai dit au président de la République que les perspectives de dissolution s’éloignaient”, “je pense que la situation permet pour le président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures.”- Vers un débat sur les retraites -Le Premier ministre démissionnaire n’a pas éclairci quelles avancées permettent de lui dire qu’un compromis est possible alors que les partis ont multiplié les lignes rouges contradictoires.”Je vois bien que, en tout cas je l’ai dit au président de la République, il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites”, a-t-il dit. Face à la demande de la gauche qui demande a minima la suspension de la retraite à 64 ans, “vous aurez du mal à siffler en disant +non, non, circulez, y a rien à voir+”.Une suspension coûterait aux finances publiques “pas moins de trois milliards d’euros en fonction du périmètre” en 2027.- Un budget prêt pour lundi -Un projet de budget pour 2026 pourra être présenté en conseil des ministres lundi, date-butoir pour qu’il soit adopté d’ici la fin de l’année par le Parlement, mais il “ne sera pas parfait”.”C’est un budget dans lequel même il y a beaucoup à débattre parce que c’est un budget qui avait été plutôt imaginé aussi pour que le débat ait lieu”, a expliqué Sébastien Lecornu qui, démissionnaire, n’a pas voulu en commenter le contenu.- “Je ne cours pas après le job” -Emmanuel Macron pourrait-il le renommer à Matignon ? “Je ne cours pas après le job”, a répondu ce fidèle soutien du président.”Je suis un moine soldat, ce soir ma mission est terminée”, a-t-il ajouté, en référence aux ultimes négociations que lui avait confié le chef de l’Etat lundi après sa démission. “J’ai tout essayé”, mais pas tout réussi “de toutes les évidences”, a-t-il lâché.Il n’a toutefois pas totalement exclu de se succéder à lui-même.Celui qui est tombé juste après la formation de ses ministres en raison de divisions internes a aussi dit: “Si j’ai un regret sur la composition du gouvernement, c’est que j’ai désormais l’intime conviction que l’équipe qui devra prendre les responsabilités dans les temps à venir, quelle qu’elle soit (…), devra être une équipe qui est complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027”.Et il a pris soin de préciser que lui n’était “pas” candidat à l’Elysée.

US facing worsening flight delays as shutdown snarls airports

Concerns over flight delays and missed paychecks due to the US government shutdown escalated Wednesday, as senators rejected yet another bid to end the standoff.Democrats voted for a sixth time to block a Republican stopgap funding measure to reopen government departments, keeping much of the federal workforce home or working without pay.With the shutdown in its eighth day, lines at airports were expected to grow amid increased absenteeism among security and safety staff at some of the country’s busiest hubs.Air traffic controllers — seen as “essential” public servants — are kept at work during government shutdowns, but higher numbers calling in sick rather than toiling without pay leads to shortages.Staffing problems have already been reported in almost a dozen airports from Chicago and Boston to Burbank and Houston, according to the Federal Aviation Administration (FAA), with further chaos expected at Newark, a major hub for the New York City area. Transportation Secretary Sean Duffy told reporters at Newark Airport on Monday there had already been a “slight” increase nationwide in air traffic controllers calling in sick.”I want to see your flight not be delayed. I don’t want you canceled, but our priorities are safety,” he said.”And so if we have additional sick calls, we will reduce the flow consistent with a rate that’s safe for the American people.”Aviation monitor FlightAware reported around 10,000 flights delayed on Monday and Tuesday. Although this is not thought to be an unusually high number, the FAA warned that snarl-ups could worsen.”As Secretary Duffy said, there have been increased staffing shortages across the system,” it said in a statement. “When that happens, the FAA slows traffic into some airports to ensure safe operations.”There appears to be little hope of a quick end to the shutdown, with Democrats refusing to back any funding bill that doesn’t offer an extension of expiring health care subsidies for 24 million people. Senate Majority Leader John Thune has been forcing votes most days on a temporary fix passed by the Republican-led House of Representatives, each one rejected by the Democrats.Meanwhile Trump continues to wield the threat of turning many of the 750,000 enforced absences — known as furloughs — into permanent layoffs.A draft memo circulated by the White House this week said furloughed workers aren’t guaranteed compensation for their time off — meaning many could lose out on back pay.Some federal workers — including US Capitol Police — are set to miss part of their pay for the first time on Friday — amping up pressure for Congress to end the crisis.A bigger so-called pain point comes next Wednesday, when 1.3 million active-duty service members — as well as tens of thousands of National Guard members and thousands of Coast Guard personnel — are due to miss their first paycheck.

Jane Goodall’s final wish: blast Trump, Musk and Putin to space

It’s like the opposite of naming your dream dinner party guests.In a Netflix interview aired posthumously, Jane Goodall, who died last week at 91, said she’d gladly send Donald Trump, Elon Musk, Vladimir Putin, Xi Jinping and Benjamin Netanyahu off the planet in a SpaceX rocket.Clips from the show “Famous Last Words” have since gone viral with tens of millions of views, drawing praise but also some scorn for the legendary primatologist, and even sparking debate over whether the footage was real or AI-generated.Netflix said she filmed the interview in March with the understanding that it would not be released until after her death.”Do you have people that you don’t like?” host Brad Falchuk asked Goodall, who began the interview by sipping a glass of whiskey — her pre-talk ritual to keep her voice supple.”Absolutely, there are people I don’t like, and I would like to put them on one of Musk’s spaceships and send them all off to the planet he’s sure he’s going to discover,” she replied.Musk, the world’s richest person, has made it his life’s mission to colonize Mars and make humanity a “multiplanetary species.”Goodall added that Musk would “be the host, and you can imagine who I’d put on that spaceship.””Along with Musk would be Trump, and some of Trump’s real supporters, and then I would put Putin in there, and I would put President Xi — I’d certainly put Netanyahu in there, and his far-right government. Put them all on that spaceship and send them off.”The conversation then turned to aggression in chimpanzees and whether the men she’d named were “alphas.”Goodall said among chimps there are two kinds of alpha: those who rely on brute force and burn out quickly, and those who build alliances and endure. Her research, she said, convinced her that aggression is innate to both chimps and humans, who share nearly 99 percent of their DNA.”But I truly believe that most people are decent,” she said.Goodall closed the interview with a message of hope — and a warning to those who would harm “Mother Nature.””If you want to save what is still beautiful in this world, if you want to save the planet for the future generations, your grandchildren, their grandchildren, then think about the actions you take each day,” she said.She added that she believed in life beyond death and that “consciousness survives.””I can’t tell you what you will find when you leave planet Earth, but I want you to know that your life on planet Earth will make some difference in the kind of life that you find after you die.”

Foot: l’Egypte qualifiée pour la Coupe du monde 2026

L’Égypte s’est qualifiée mercredi pour la Coupe du Monde 2026 de football aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada, après avoir battu Djibouti 3-0 à Casablanca.C’est la quatrième fois dans son histoire que l’Égypte participera à la Coupe du Monde après les éditions de 1934 et 1990, en Italie et de 2018 en Russie.”Vous avez rempli de joie le cœur des Égyptiens”, a réagi dans la foulée le président Abdel Fattah al-Sissi sur son compte Facebook. “Je tiens à adresser mes sincères félicitations aux héros de notre équipe nationale de football à l’occasion de leur qualification méritée pour la Coupe du Monde 2026.”Les buts de l’Égypte ont été inscrits par Ibrahim Adel (8e) et Mohamed Salah (13e et 84e), lors du match qui s’est tenu au Maroc en raison de l’inéligibilité des stades à Djibouti. Lors du match aller, l’Égypte s’était largement imposée 6-0.L’Égypte, qui termine officiellement en tête du groupe A des qualifications africaines, a porté son total à 23 points avec 5 points d’avance sur le Burkina Faso, qui finit deuxième (18 pts), devant la Sierra Leone (12 pts).Les coéquipiers de Mohamed Salah, la star de Liverpool, devaient s’imposer pour garantir leur qualification, quel que soit le résultat des autres matchs de la neuvième et avant-dernière journée du groupe A de la zone Afrique.L’attaquant de Manchester City Omar Marmoush, qui se remet d’une blessure, était absent de l’équipe égyptienne.Hossam Hassan, aujourd’hui sélectionneur national, fut lui-même membre de l’équipe égyptienne lors de la Coupe du Monde 1990. Trente-cinq ans plus tard, il conduit les Pharaons vers une nouvelle qualification, cette fois depuis le banc de touche. À l’époque, il avait inscrit le but décisif contre l’Algérie lors du match qualificatif au Caire en novembre 1989. Son frère jumeau, Ibrahim Hassan, désormais directeur de l’équipe, figurait également dans l’effectif.Les “Pharaons” avaient manqué la dernière Coupe du Monde 2022 au Qatar, après avoir échoué en qualification contre le Sénégal lors des tirs au but.La dernière participation de l’Égypte remonte au Mondial 2018 en Russie, où elle avait perdu ses trois matchs.La qualification étant déjà assurée, le dernier match face à la Guinée-Bissau prévu dimanche au Stade international du Caire ne présente aucun enjeu.Les Pharaons rejoignent la Tunisie et le Maroc, déjà qualifiés dans la zone Afrique.Pour la première fois, neuf représentants africains participeront à la Coupe du monde en juin 2026. Il pourrait même y en avoir un dixième après les barrages intercontinentaux.

‘I ain’t dead yet!’: Dolly Parton reassures fans after scare

A very much alive Dolly Parton took to Instagram on Wednesday to declare “I ain’t dead yet!” after her sister sent fans into a tailspin when she called for prayers for one of America’s most beloved celebrities.In a video posted to her official account, the 79-year-old Queen of Country thanked the public for their concern, but insisted she was not at death’s door.”There are just a lot of rumors flying around, but I figured if you heard it from me, you’d know that I was okay,” she said from what appeared to be a photo studio.”I’m not ready to die yet. I don’t think God is through with me, and I ain’t done working.”The “Jolene” singer posted the video captioned “I ain’t dead yet!” the day after her younger sister Freida Parton sparked panic with a post that some people interpreted as indicating the star’s recent health problems were terminal.”Last night, I was up all night praying for my sister, Dolly. Many of you know she hasn’t been feeling her best lately,” Freida Parton wrote on her Facebook page.”I truly believe in the power of prayer, and I have been lead to ask all of the world that loves her to be prayer warriors and pray with me.”The “9 to 5” singer delayed upcoming Las Vegas gigs last week, citing unspecified “health challenges,” and disclosed that she was set to undergo multiple medical procedures.But on Wednesday she appeared in good health.”I know lately everybody thinks that I am sicker than I am. Do I look sick to you? I’m working hard here,” she said.Parton said she had neglected herself after the death of her long-time husband, but was now undergoing treatment “Nothing major. But I did have to cancel some things so I could be closer to home” for medical care. “But I wanted you to know that I’m not dying.””Those of you that seem to be real concerned, which I appreciate and I appreciate your prayers, because I’m a person of faith, I can always use the prayers for anything and everything, but I want you to know that I’m okay.”Parton became a major star in the 1970s, with singles including “Coat of Many Colors,” and followed up with smash hits such as “I Will Always Love You,” famously covered by Whitney Houston.She is due to receive an honorary Oscar next month, but Hollywood trade publication Variety said she was no longer expected to attend the Los Angeles ceremony.