Ligue Europa: Postecoglou-Amorim, une même galère et une même lumière

Stars défaillantes, blessures en cascade et performances exécrables en Premier League ont plombé la saison de Ruben Amorim et Ange Postecoglou, les entraîneurs de Manchester United et Tottenham, et un seul verra la lumière au bout du tunnel, mercredi en finale de la Ligue Europa.A Bilbao, le Portugais et l’Australien d’origine grecque s’arracheront le billet pour la Ligue des champions promis au vainqueur. Malheur au vaincu!. Amorim, mi-figue mi-raisinLe limogeage en novembre d’Erik ten Hag et l’arrivée d’Amorim, jeune crack venu du Sporting, étaient censés réenchanter Old Trafford, le “théâtre des rêves” au surnom devenu désuet.Mais le souffle d’espoir entourant le technicien de 40 ans est très vite retombé.Son système tactique préférentiel (3-4-3) a semblé inadapté à l’effectif, sa gestion du cas Marcus Rashford (mis de côté puis exfiltré en prêt à Aston Villa) a posé question et sa franchise face caméra a allumé quelques incendies.L’équipe doit s’améliorer “partout” car elle n’est “pas à la hauteur”, répète-t-il souvent. “C’est ma faute, je suis responsable. Si nous ne pouvons pas changer cela rapidement, nous devrions donner notre place à d’autres personnes”, a-t-il même lâché il y a une dizaine de jours.Manchester United devrait toutefois maintenir sa confiance au Portugais, dont le recrutement a coûté plus de dix millions d’euros, même au bout d’une saison désastreuse en Premier League (16e avant la dernière journée).Sous sa direction, le club au maillot rouge a perdu 14 de ses 26 matchs en championnat. En Ligue Europa, en revanche, c’est une autre histoire: son équipe est invaincue en 10 matchs et la machine tourne à plein régime, avec une moyenne de 2,8 buts par match, à mille lieues des pauvres statistiques affichées en championnat.Le dernier trophée continental remporté par Manchester United remonte à 2017, sous José Mourinho, déjà en Ligue Europa.. Postecoglou, à quitte ou doubleSi Amorim a eu son lot de joueurs défaillants (Onana, Hojlund, Zirkzee…) ou blessés (Shaw, Mainoo, Amad, Mount…) en cours de saison, la palme de la malchance revient à Ange Postecoglou.L’entraîneur australien de 59 ans, né à Athènes, a été douché par une pluie de forfaits de longue durée sur toute l’étendue du terrain: le gardien Guglielmo Vicario, les défenseurs centraux Romero-van de Ven, et un paquet d’attaquants (Richarlison, Odobert, Werner…).La malédiction s’étend jusqu’à la finale de Bilbao, que manqueront sur blessure James Maddison, Lucas Bergvall et Dejan Kulusevski. Le capitaine Heung-Min Son est rétabli, mais son rendement décevant cette saison ne gonfle pas d’optimisme les supporters des Spurs.Certains d’entre eux ont commencé à prendre en grippe “Ange”, comme il est appelé en Angleterre, au bout d’une campagne désastreuse en championnat (17e au classement après 21 défaites).Selon la presse britannique, son avenir dans le nord de Londres dépendrait en grande partie du résultat de la finale européenne à venir.En cas de victoire, celui qui est arrivé à l’été 2023 pourrait être élevé au rang de héros local dans un club privé de titre depuis 2008 (Coupe de la Ligue) et dont le dernier trophée européen remonte à 1984 (Coupe de l’UEFA).En septembre dernier, Postecoglou avait été moqué après avoir rappelé qu’il gagnait “toujours quelque chose” à la fin de ses deuxièmes saisons, en club ou en sélection.C’est effectivement ce qu’il a fait avec South Melbourne et Brisbane Roar (championnat d’Australie), l’équipe d’Australie (Coupe d’Asie), Yokohama (championnat du Japon) et le Celtic Glasgow (triplé domestique en Ecosse).Il lui reste un match à gagner pour prolonger la belle série et faire taire ses détracteurs.

CATL, le champion chinois des batteries porté par un patron audacieux

Le géant chinois des batteries CATL, introduit en bourse mardi à Hong Kong, incarne une réussite  portée par un fondateur audacieux et ambitieux, devant composer avec les rivalités technologiques et géopolitiques entre grandes puissances.Le groupe CATL, déjà côté sur la place financière de Shenzhen, a levé plus de 4,6 milliards de dollars lors de son entrée à la Bourse à Hong Kong mardi.Il s’agit jusqu’à présent de la plus importante introduction en Bourse au monde cette année.L’entreprise, basée à Ningde (est), a produit plus d’un tiers des batteries électriques utilisées dans les véhicules électriques en 2023, et collabore avec les plus grands constructeurs automobiles tels que Tesla, Mercedes-Benz, BMW ou encore Volkswagen.Ses batteries sont parmi les plus rapides au monde en matière de recharge, le nerf de la guerre du secteur des voitures électriques: sa batterie Shenxing deuxième génération, dévoilée cette année, permet de rouler 520 kilomètres après seulement cinq minutes de charge, y compris à très basse température, affirme CATL.C’est 30% de plus que la plateforme Super-e de son principal concurrent BYD, qui revendique environ 400 kilomètres d’autonomie pour la même durée de charge.Fondée en 2011, Contemporary Amperex Technology Co., Limited (CATL) a bénéficié du soutien massif de l’Etat-parti chinois, qui a injecté des milliards de yuans dans le développement de nouvelles technologies ces dernières décennies, notamment pour garantir son autonomie, voire sa supériorité, dans certains secteurs technologiques stratégiques.Ses batteries bon marché et ultra-rapides ont également porté l’essor fulgurant du marché chinois des véhicules électriques, aujourd’hui le plus grand au monde.- “Roi des batteries” -Le milliardaire Robin Zeng, fondateur et directeur général de CATL — surnommé un temps le “roi des batteries” en Chine — est aujourd’hui la cinquième fortune du pays et la 45e mondiale, selon Bloomberg.Son parcours est une ascension “classique, de la misère à la richesse”, qui a fait passer sa ville natale, Ningde, d’une “ville de province à un centre mondial des batteries”, écrit l’auteur et investisseur technologique Kevin Xu sur son blog Interconnected.Mais la firme se trouve prise en étau dans la rivalité technologique entre les États-Unis et la Chine.Les deux plus grandes puissances mondiales se disputent la maîtrise des technologies de pointe essentielles au fonctionnement de l’économie moderne, comme les batteries, les semi-conducteurs ou encore l’intelligence artificielle (IA).L’an dernier, un projet de partenariat entre CATL et le constructeur automobile Ford pour une usine de 3,5 milliards de dollars à Marshall (Michigan), aux Etats-Unis, a ainsi soulevé des inquiétudes en matière de sécurité nationale.Et en janvier, le département américain de la Défense a inscrit CATL sur une liste d’entreprises considérées comme liées à l’armée chinoise – une décision dénoncée par le groupe et par Pékin.- “Prospérer sous pression” -Les fonds levés lors de l’introduction en Bourse de mardi pourraient servir à accélérer les projets d’expansion internationale du groupe — en particulier en Europe.CATL construit actuellement sa deuxième usine sur le continent, en Hongrie, après avoir ouvert une première en Allemagne en janvier 2023.En décembre, l’entreprise a également annoncé un partenariat avec le constructeur Stellantis pour produire des batteries de véhicules électriques en Espagne, avec un début de production attendu en fin 2026.Et CATL a même investi plus en amont de la chaîne de valeur, comme en Bolivie ou en République démocratique du Congo, où elle a acheté en 2021 des parts dans une mine détenue par un des plus grands producteurs mondiaux de cobalt.CATL anticipe également l’avenir: le mois dernier, elle a dévoilé une batterie au sodium, présentée comme une alternative moins chère et plus sûre aux batteries lithium-ion, largement utilisées actuellement mais susceptibles de prendre feu en cas de dommage.”CATL est devenue ce qu’elle est grâce à l’aide du gouvernement, mais pas au point de sombrer dans la paresse”, écrit l’investisseur Kevin Xu.L’entreprise est dirigée par quelqu’un “aussi génial qu’intrépide (…), suffisament lucide pour décrypter les signaux politiques de Pékin, et suffisament paranoïaque pour prospérer sous pression”.

Le titre de la firme chinoise CATL s’envole lors de son introduction à Hong Kong

Le titre du géant chinois des batteries pour véhicules électriques CATL s’est envolé lors de son introduction à la Bourse de Hong Kong, considérée comme la plus grosse opération de ce type cette année dans le monde.Dans les heures qui ont suivi l’ouverture du marché à 09H30 (01H30 GMT), le titre a atteint 311.40 dollars de Hong Kong (35,4 euros), soit une hausse de 18,4% par rapport à son prix d’introduction de 263 dollars de Hong Kong. Le titre de l’entreprise a clôturé à 306,20 dollars de Hong Kong (34,69 euros), en hausse de 16%.”Cette cotation signifie notre intégration plus profonde dans les marchés financiers mondiaux et marque une nouvelle étape dans notre mission, qui est de mener l’économie mondiale sans carbone”, a déclaré Robin Zeng, fondateur et président de CATL, lors de la cérémonie de cotation de l’entreprise, mardi.Leader mondial avec plus d’un tiers du marché, CATL fournit des grandes marques comme Tesla, Mercedes-Benz, BMW et Volkswagen.Le fabricant de batteries est déjà coté à la Bourse de Shenzhen. Son projet de cotation secondaire à Hong Kong avait été annoncé en décembre.Selon un prospectus déposé la semaine dernière, le groupe a introduit sur le marché quelque 117,9 millions d’actions, ce qui chiffre le montant de l’opération à plus de 31 milliards de dollars de Hong Kong (3,5 milliards d’euros).Fondée en 2011 dans la ville de Ningde, dans l’Est de la Chine, CATL, de son nom complet Contemporary Amperex Technology Co. Limited, bénéficie de l’engouement croissant pour les véhicules électriques en Chine, premier marché automobile mondial.L’entreprise profite aussi d’un solide soutien financier de Pékin, qui donne la priorité au développement des industries nationales de haute technologie considérées comme stratégiques.- Expansion internationale -CATL a annoncé en décembre la création en Espagne avec Stellantis, pour 4,1 milliards d’euros, d’une vaste usine de batteries dont la production devrait démarrer d’ici fin 2026.Le groupe chinois construit une deuxième usine en Europe, en Hongrie, après avoir ouvert son premier site de production en Allemagne en janvier 2023.A l’heure où les ventes automobiles s’essoufflent, CATL continue d’afficher de solides performances. Son bénéfice net a bondi de 32,9% au premier trimestre pour atteindre près de 14 milliards de yuans (1,68 milliards d’euros).Dans une liste publiée en janvier par le ministère américain de la Défense, CATL a été désignée comme une “entreprise militaire chinoise”.La commission d’enquête de la Chambre des représentants américaine sur le Parti communiste chinois a souligné l’inclusion de CATL dans des lettres adressées à deux banques américaines en avril, les exhortant à se retirer de l’opération d’introduction en Bourse d’une “société chinoise liée à l’armée”.Mais les deux banques en question, JPMorgan et Bank of America, ont maintenu leur participation.Le gouvernement chinois a qualifié la liste du ministère américain de “persécution”, et CATL a nié être impliquée “dans des activités liées à l’armée”.CATL a également déclaré, dans des documents déposés en mai, que l’entreprise “s’engageait de manière proactive” avec le ministère américain de la Défense pour “remédier à la fausse désignation”.- Bourse pour les entreprises chinoises-La Bourse de Hong Kong attend avec impatience le retour des grandes sociétés de Chine continentale dans l’espoir de retrouver son statut de première place mondiale pour les introductions boursières.Hong Kong a connu une baisse constante des nouvelles introductions après un tour de vis réglementaire de Pékin à partir de 2020, qui a conduit plusieurs méga-entreprises de Chine continentale à suspendre leurs projets.Les données de la Bourse de Hong Kong montrent qu’elle traite cette année des dizaines de demandes émanant d’entreprises chinoises. Pour les experts, l’introduction en Bourse de mardi illustre le rôle de Hong Kong comme place où les entreprises chinoises peuvent lever des capitaux.”Nous constatons également une demande croissante de diversification des portefeuilles par rapport aux actifs libellés en dollars américains, soulignée par la récente force du dollar de Hong Kong”, indique à l’AFP Jason Lui, responsable de la stratégie des actions et des produits dérivés pour l’Asie-Pacifique chez BNP Paribas.

Le titre de la firme chinoise CATL s’envole lors de son introduction à Hong Kong

Le titre du géant chinois des batteries pour véhicules électriques CATL s’est envolé lors de son introduction à la Bourse de Hong Kong, considérée comme la plus grosse opération de ce type cette année dans le monde.Dans les heures qui ont suivi l’ouverture du marché à 09H30 (01H30 GMT), le titre a atteint 311.40 dollars de Hong Kong (35,4 euros), soit une hausse de 18,4% par rapport à son prix d’introduction de 263 dollars de Hong Kong. Le titre de l’entreprise a clôturé à 306,20 dollars de Hong Kong (34,69 euros), en hausse de 16%.”Cette cotation signifie notre intégration plus profonde dans les marchés financiers mondiaux et marque une nouvelle étape dans notre mission, qui est de mener l’économie mondiale sans carbone”, a déclaré Robin Zeng, fondateur et président de CATL, lors de la cérémonie de cotation de l’entreprise, mardi.Leader mondial avec plus d’un tiers du marché, CATL fournit des grandes marques comme Tesla, Mercedes-Benz, BMW et Volkswagen.Le fabricant de batteries est déjà coté à la Bourse de Shenzhen. Son projet de cotation secondaire à Hong Kong avait été annoncé en décembre.Selon un prospectus déposé la semaine dernière, le groupe a introduit sur le marché quelque 117,9 millions d’actions, ce qui chiffre le montant de l’opération à plus de 31 milliards de dollars de Hong Kong (3,5 milliards d’euros).Fondée en 2011 dans la ville de Ningde, dans l’Est de la Chine, CATL, de son nom complet Contemporary Amperex Technology Co. Limited, bénéficie de l’engouement croissant pour les véhicules électriques en Chine, premier marché automobile mondial.L’entreprise profite aussi d’un solide soutien financier de Pékin, qui donne la priorité au développement des industries nationales de haute technologie considérées comme stratégiques.- Expansion internationale -CATL a annoncé en décembre la création en Espagne avec Stellantis, pour 4,1 milliards d’euros, d’une vaste usine de batteries dont la production devrait démarrer d’ici fin 2026.Le groupe chinois construit une deuxième usine en Europe, en Hongrie, après avoir ouvert son premier site de production en Allemagne en janvier 2023.A l’heure où les ventes automobiles s’essoufflent, CATL continue d’afficher de solides performances. Son bénéfice net a bondi de 32,9% au premier trimestre pour atteindre près de 14 milliards de yuans (1,68 milliards d’euros).Dans une liste publiée en janvier par le ministère américain de la Défense, CATL a été désignée comme une “entreprise militaire chinoise”.La commission d’enquête de la Chambre des représentants américaine sur le Parti communiste chinois a souligné l’inclusion de CATL dans des lettres adressées à deux banques américaines en avril, les exhortant à se retirer de l’opération d’introduction en Bourse d’une “société chinoise liée à l’armée”.Mais les deux banques en question, JPMorgan et Bank of America, ont maintenu leur participation.Le gouvernement chinois a qualifié la liste du ministère américain de “persécution”, et CATL a nié être impliquée “dans des activités liées à l’armée”.CATL a également déclaré, dans des documents déposés en mai, que l’entreprise “s’engageait de manière proactive” avec le ministère américain de la Défense pour “remédier à la fausse désignation”.- Bourse pour les entreprises chinoises-La Bourse de Hong Kong attend avec impatience le retour des grandes sociétés de Chine continentale dans l’espoir de retrouver son statut de première place mondiale pour les introductions boursières.Hong Kong a connu une baisse constante des nouvelles introductions après un tour de vis réglementaire de Pékin à partir de 2020, qui a conduit plusieurs méga-entreprises de Chine continentale à suspendre leurs projets.Les données de la Bourse de Hong Kong montrent qu’elle traite cette année des dizaines de demandes émanant d’entreprises chinoises. Pour les experts, l’introduction en Bourse de mardi illustre le rôle de Hong Kong comme place où les entreprises chinoises peuvent lever des capitaux.”Nous constatons également une demande croissante de diversification des portefeuilles par rapport aux actifs libellés en dollars américains, soulignée par la récente force du dollar de Hong Kong”, indique à l’AFP Jason Lui, responsable de la stratégie des actions et des produits dérivés pour l’Asie-Pacifique chez BNP Paribas.

Au Sri Lanka, encore un éléphant sauvage tué par un train

Un train de passagers a déraillé mardi dans l’est du Sri Lanka après avoir percuté et tué un éléphant sauvage qui circulait sur les voies, trois mois après un accident similaire qui avait causé la mort de sept pachydermes.Le jeune éléphant tué près de Harabana, à 180 km à l’est de la capitale Colombo, a été percuté par le train qui avait été impliqué dans la collision du 20 février, ont indiqué les autorités locales.Aucun des passagers n’a été blessé dans l’accident survenu mardi avant l’aube, ont-elles précisé.Le trafic de la ligne Colombo-Batticaloa a été interrompu en attendant la remise du train accidenté sur les rails.Après la collision meurtrière de février, les chemins de fer srilankais avaient annoncé la mise en place d’une série de mesures pour tenter de prévenir ce type d’accidents.Elle avait ainsi adapté les horaires de circulation de ses trains aux mouvements des éléphants et promis des aménagements pour faciliter la détection des animaux par ses machinistes.Selon les chiffres du département de la faune sauvage du Sri Lanka, 138 éléphants ont été tués depuis dix-sept ans dans l’île à l’occasion de collisions avec des trains.De 2015 à 2024, un total de 1.195 personnes et 3.484 éléphants ont été tués dans l’île lors d’accidents impliquant humains et pachydermes, selon ces mêmes statistiques publiées en février.Au Sri Lanka, les pachydermes – environ 7.000 selon les estimations – sont protégés par la loi et considérés comme sacrés.

Trump Organization eyes new tower in Vietnam, local authorities say

US President Donald Trump’s real estate company is seeking to build a tower in Ho Chi Minh City, Vietnamese officials said on Tuesday, with his son due to scout locations this week.Authorities in Vietnam’s southern business hub said in a statement they met a representative of the Trump Organization and its local partner, the Kinhbac City Development Corporation (KBC).The statement said authorities had already conducted a field survey of two potential locations in the eastern part of the city on Monday and are scheduled to meet leaders of the Trump Organization on Thursday.The company, which builds luxury developments around the world, has come under scrutiny, with critics accusing Trump of leveraging his political position for personal financial gain.The state-controlled Tuoi Tre newspaper said the organisation’s senior vice-president Eric Trump, the US president’s second son, would lead the visit.It also said the delegation would visit a proposed location for “Trump Tower”.The Trump Organization did not respond immediately to AFP’s request for comment.Tuoi Tre said Eric Trump would also attend a ground-breaking ceremony on Wednesday for a $1.5 billion luxury resort and golf course developed by the Trump Organization and KBC.The 990-hectare golf complex in northern Hung Yen province outside Hanoi will feature a 54-hole course and residential villas, the newspaper said.Project director Charles Boyd-Bowman said in a meeting with Vietnam’s Prime Minister Pham Minh Chinh in March that his group aimed to finish the golf resort in March 2027, before Vietnam hosts the Asia-Pacific Economic Cooperation (APEC) summit.Vietnam and the United States are engaged in trade talks after President Trump threatened a 46 percent levy on Vietnamese goods as part of his global tariff blitz.Trump visited the Vietnamese capital in 2019 for his abortive second summit with North Korean leader Kim Jong Un.He described Hanoi at the time as an “incredible city”, praising Vietnam for “the job they’ve done — economic development”.

Battery giant CATL ends up more than 16% on Hong Kong debut

Chinese battery giant CATL ended its first day on the Hong Kong Stock Exchange more than 16 percent higher Tuesday, having raised US$4.6 billion in the world’s biggest initial public offering this year.A global leader in the sector, CATL produces more than a third of all electric vehicle (EV) batteries sold worldwide.The firm has been buoyed by a rapid growth in China’s domestic electric vehicle sector and it now works with major brands including Tesla, Mercedes-Benz, BMW and Volkswagen.However, it has also found itself in the crossfire of a superpower clash between Washington and Beijing for tech dominance, with Washington putting it on a blacklist naming it as a military company.The firm is already traded in the southern Chinese city of Shenzhen, and its plan for a secondary listing in Hong Kong was announced in December.In morning trading its Hong Kong shares hit a high of HK$311.40 (US$39.92), up 18.4 percent from its listing price of HK$263.00.The stock closed at HK$306.20.”This listing signifies our deeper integration into the global capital markets and marks a new milestone in our mission to drive the global zero-carbon economy,” CATL’s founder and chairman Robin Zeng said at the firm’s listing ceremony on Tuesday.The raised funds could be used to accelerate its overseas expansion, including building its second European factory in Hungary after launching its first in Germany in January 2023.The strong interest in the company’s shares come even as it comes under the spotlight in the United States.In a list issued in January by the US Defense Department, CATL was designated as a “Chinese military company”.The US House Select Committee on the Chinese Communist Party highlighted this inclusion in letters to two Wall Street banks in April, urging them to withdraw from the IPO deal over its alleged links to the military.But the banks — JPMorgan and Bank of America — remain onboard.- Hong Kong IPO goal -Beijing has denounced the list as “suppression”, while CATL denied engaging “in any military related activities”.CATL also said in May filings it was “proactively engaging” with the Pentagon to “address the false designation”.Founded in 2011 in the eastern Chinese city of Ningde, the company has been given strong financial support from Beijing, which has sought in recent years to shore up domestic strength in certain strategic high-tech sectors.It has also weathered a fierce price war in China’s expansive EV sector that has put smaller firms under huge pressure to compete while remaining financially viable.Tuesday’s blockbuster listing is also a boon for Hong Kong’s stock exchange, which is eager for the return of big-name Chinese listings as it looks to regain its crown as the world’s top venue for IPOs.The Chinese finance hub saw a steady decline in new offerings after Beijing’s regulatory crackdown starting in 2020 led some mainland mega-companies to put their plans on hold, while a strict security law added to the uncertainty for companies looking to list.Data from the Hong Kong Stock Exchange shows it is processing dozens of applications from Chinese companies this year.Analysts said Tuesday’s IPO showcases Hong Kong’s role as a place for Chinese companies to raise capital.”We are also seeing a rising demand on portfolio diversification away from US dollar-denominated assets, underscored by the recent strength in the Hong Kong dollar,” Jason Lui, head of APAC equity and derivative strategy at BNP Paribas, told AFP.

La Bourse de Paris fait du surplace en l’absence de catalyseur

La Bourse de Paris est stable mardi, dans un marché sans impulsion, en attendant d’en savoir plus sur la trajectoire budgétaire des Etats-Unis et sur les évolutions des relations commerciales avec ses principaux partenaires.Vers 10H15, l’indice vedette CAC 40 faisait du surplace (+0,06%), grappillant 4,63 points à 7.888,26 points. Lundi, le CAC 40 a terminé stable (-0,04%) à l’issue d’une séance perturbée par la dégradation vendredi de la note de la dette des Etats-Unis par l’agence Moody’s.”Malgré un rebond de Wall Street lundi”, l’indice élargi américain S&P 500 ayant terminé en hausse de 0,09% après avoir ouvert en forte baisse de plus de 1%, “la prudence reste de mise, après la dégradation de la note de crédit américaine”, a souligné Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown.”Le début de semaine s’annonce calme, en l’absence de publications macroéconomiques majeures” prévues, ont noté les analystes de Natixis.”Les espoirs renouvelés d’un cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie, combinés à une nouvelle vague de relance pour l’économie chinoise”, maintiennent les indices boursiers européens dans le calme, a ajouté Susannah Street.Le président américain Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l’Ukraine allaient “démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu” après son appel avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel n’a cependant pas consenti à un arrêt des combats sans conditions comme réclamé par Washington et Kiev.”Je pense que des progrès ont été accomplis”, a déclaré le président américain depuis la Maison-Blanche, disant espérer avoir “accompli quelque chose” lors de cet appel qui s’est, selon lui, “très bien passé”.En Chine, la banque centrale a abaissé mardi deux taux d’intérêt clés à des niveaux historiquement bas, dernier effort des autorités chinoises pour stimuler la croissance du pays sur fond de tensions commerciales avec les Etats-Unis et de crise du secteur immobilier.Kering: nouvelle direction artistique pour BalenciagaLe groupe de luxe Kering (-0,73% à 174,38 euros vers 10H20) a annoncé lundi soir la nomination du nouveau directeur artistique de Balenciaga, l’Italien Pierpaolo Piccioli, chargé d’ouvrir un “nouveau chapitre” après la décennie chahutée avec Demna à la barre.GL Events en repliLe consortium Vinci-Bouygues, qui a perdu la concession du Stade de France au profit de GL Events pour les trente prochaines années au terme de deux ans de procédure, a déposé un nouveau recours administratif, a appris lundi l’AFP de source proche du dossier, confirmant une information des Echos. A la cote parisienne, le groupe d’événementiel GL Events, reculait de 1,46% à 23,70 euros. Depuis le 1er janvier, la valeur de son action a toutefois progressé de près de 30%.