Australia’s ANZ bank hit with record fine over ‘widespread misconduct’

Australia’s ANZ, one of the country’s “big four” banks, has agreed to pay a record fine of Aus$240 million ($159.5 million) over “widespread misconduct”, the financial regulator said Monday.The fine is the largest ever announced by the regulator against a single entity, the Australian Securities and Investments Commission (ASIC) said.ANZ was fined for “acting unconscionably” while managing a $14-billion bond deal with the Australian government.It was also penalised for “failing to respond to hundreds of customer hardship notices”, making false or misleading statements about its savings interest rates and failing to refund fees charged to dead customers.”Time and time again ANZ betrayed the trust of Australians,” Joe Longo, chair of the ASIC, said.”Banks must have the trust of customers and government. This outcome shows an unacceptable disregard for that trust that is critical to the banking system.”ASIC Deputy Chair Sarah Court said: “As one of Australia’s biggest banks, customers trusted ANZ to do the right thing but, even on the basics like paying the correct interest rate, it fell short.” Embattled ANZ, one of four banks that dominate Australia’s financial services industry, announced last week it would cut over 3,500 staff by September next year, part of a restructuring plan it said would cost over Aus$500 million.ANZ Chairman Paul O’Sullivan confirmed that the bank had agreed to the fines, saying “the reality is we made mistakes that have had a significant impact on customers”.”On behalf of ANZ, I apologise and assure our customers we have taken the necessary action, including holding relevant executives accountable,” he said in a statement.CEO Nuno Matos added: “The failings outlined are simply not good enough and they reinforce the case for change”.

Espagne: le Barça corrige Valence 6-0 pour sa première à domicile au stade Johan Cruyff

Toujours dans l’attente d’un retour au Camp Nou, encore en travaux, le FC Barcelone, champion d’Espagne en titre, a corrigé Valence dimanche (6-0) pour sa première rencontre de Liga à domicile de la saison, disputée au stade Johan Cruyff, devant seulement 6.000 spectateurs.Malgré un onze remanié à quatre jours de son entrée en lice en Ligue des champions à Newcastle, le Barça (2e, 10 points) s’est offert un festival offensif pour récupérer la deuxième place du championnat derrière le Real Madrid (1er, 12 points), grâce à des doublés du jeune milieu espagnol Fermin Lopez (29e, 56e), de l’attaquant brésilien Raphinha (55e, 67e), et du Polonais Robert Lewandowski (76e, 87e).En tête à la pause après l’ouverture du score du champion d’Europe et champion olympique avec la Roja, courtisé par Chelsea jusqu’aux dernière heures du mercato, les hommes d’Hansi Flick ont déroulé en seconde période, malgré les absences de Lamine Yamal, Frenkie de Jong et Alejandro Baldé.Le géant catalan, lancé dans une course contre-la-montre pour revenir le plus tôt possible au Camp Nou, son mythique stade toujours en travaux de rénovation, espère pouvoir y rejouer lors de la prochaine journée, dimanche prochain face à Getafe, avec une jauge réduite à 27.000 spectateurs.Mais les dirigeants barcelonais, sous pression après avoir repoussé ce retour à plusieurs reprises, n’ont toujours pas obtenu les autorisations nécessaires de la part de la mairie pour accueillir à nouveau des événements sportifs en sécurité, malgré la poursuite des travaux.- Gérone toujours lanterne rouge -Dans les autres rencontres de la journée, le Celta Vigo (14e, 4 points) a arraché le nul (1-1) sur le fil face à Gérone (20e, 1 point), toujours lanterne rouge sans la moindre victoire et le Betis Séville (10e, 6 points) a évité une deuxième défaite de rang en décrochant le point du nul (2-2) à Levante (18e, 1 point).Osasuna (9e, 6 points) s’est lui imposé facilement (2-0) contre le Rayo Vallecano (13e, 4 points).Cette quatrième journée se termine lundi avec la rencontre entre l’Espanyol Barcelone (6e, 7 points) et Majorque (19e, 1 point), tandis que les grands d’Espagne auront déjà le regard tourné vers leurs premières soirées européennes. 

Le débat se tend autour du profil du meurtrier présumé de Charlie Kirk

Le jeune homme arrêté pour l’assassinat de l’influenceur conservateur Charlie Kirk avait une idéologie de gauche et vivait avec une personne transgenre, a affirmé dimanche le gouverneur de l’Utah, des détails susceptibles d’exacerber le vif débat politique dans une Amérique ultra-polarisée.Le colocataire “entretenait une relation amoureuse” avec le meurtrier présumé. Il s’agit d'”un homme en transition de genre pour devenir une femme”, a déclaré Spencer Cox.Tyler Robinson, 22 ans, a été interpellé jeudi soir dans l’Utah, suspecté d’avoir abattu la veille, avec son fusil à lunette, Charlie Kirk, en pleine réunion publique sur un campus dans le même Etat. Le tireur présumé a “une idéologie de gauche”, a ajouté M. Cox, qui est républicain.Aucun lien n’a pour l’instant été déterminé entre le colocataire transgenre et le meurtre de Charlie Kirk.Mais le podcasteur tué à l’âge de 31 ans, porte-voix de la jeunesse trumpiste, a souvent critiqué les droits LGBT+ et notamment ceux des personnes transgenres. Et de nombreuses figures de l’extrême droite ont vite établi un rapprochement.Parmi elles, Laura Loomer, qui a l’oreille du président Donald Trump, a estimé qu’il fallait “classer le mouvement trans comme mouvement terroriste”.De son côté, Donald Trump fustige sans relâche depuis son retour au pouvoir le “délire transgenre”, qui selon lui ravage les Etats-Unis et auquel il a promis de mettre un terme.Quand il a été frappé au cou par une balle fatale, Charlie Kirk venait d’ailleurs juste de dire qu’il y avait “trop” de tueries par arme à feu impliquant des personnes transgenres. Mais rien n’indique que le tireur ait pu entendre ces propos depuis le toit d’un bâtiment, à plus d’une centaine de mètres de distance, où il s’était positionné. – “Gauche radicale” -Fin août déjà, l’extrême droite s’était emparée d’une fusillade à Minneapolis, dans le Minnesota (nord), perpétrée par une personne transgenre, pour affirmer, sans aucune statistique à l’appui, que ces personnes représentaient une menace.”La gauche radicale” a contribué au meurtre de Charlie Kirk, a tonné Donald Trump dans une vidéo publiée au soir de l’assassinat.Ex-proche allié du président américain, le milliardaire Elon Musk a lancé samedi sur son réseau social X: “La gauche est le parti du meurtre.” La police a retrouvé sur la scène du crime des douilles avec des messages comme “Eh fasciste! Attrape-ça!” ou bien faisant référence au chant antifasciste italien “Bella Ciao”.Le suspect, Tyler Robinson, sera formellement inculpé mardi. Jusqu’à maintenant, il ne “coopère pas” avec les enquêteurs, a fait savoir le gouverneur de l’Utah.Les personnalités politiques démocrates, de Barack Obama à Joe Biden en passant par le gouverneur de la Californie Gavin Newsom ou encore Kamala Harris, ont condamné de manière unanime l’assassinat.”La réponse du gouvernement ne peut pas être de réprimer des individus ou des groupes car ils sont en désaccord politique”, a dénoncé l’ancien ministre des Transports de Joe Biden, Pete Buttigieg. Il a mis en garde contre “l’exploitation” de la mort de Charlie Kirk, chantre d’une Amérique chrétienne et traditionaliste.Une grande cérémonie d’hommage national au défunt est prévue le 21 septembre près de Phoenix, en Arizona, dans un stade d’une capacité dépassant 63.000 places. Donald Trump a promis d’être présent aux obsèques de Charlie Kirk, sans préciser s’il s’agissait de cet événement.

Le débat se tend autour du profil du meurtrier présumé de Charlie Kirk

Le jeune homme arrêté pour l’assassinat de l’influenceur conservateur Charlie Kirk avait une idéologie de gauche et vivait avec une personne transgenre, a affirmé dimanche le gouverneur de l’Utah, des détails susceptibles d’exacerber le vif débat politique dans une Amérique ultra-polarisée.Le colocataire “entretenait une relation amoureuse” avec le meurtrier présumé. Il s’agit d'”un homme en transition de genre pour devenir une femme”, a déclaré Spencer Cox.Tyler Robinson, 22 ans, a été interpellé jeudi soir dans l’Utah, suspecté d’avoir abattu la veille, avec son fusil à lunette, Charlie Kirk, en pleine réunion publique sur un campus dans le même Etat. Le tireur présumé a “une idéologie de gauche”, a ajouté M. Cox, qui est républicain.Aucun lien n’a pour l’instant été déterminé entre le colocataire transgenre et le meurtre de Charlie Kirk.Mais le podcasteur tué à l’âge de 31 ans, porte-voix de la jeunesse trumpiste, a souvent critiqué les droits LGBT+ et notamment ceux des personnes transgenres. Et de nombreuses figures de l’extrême droite ont vite établi un rapprochement.Parmi elles, Laura Loomer, qui a l’oreille du président Donald Trump, a estimé qu’il fallait “classer le mouvement trans comme mouvement terroriste”.De son côté, Donald Trump fustige sans relâche depuis son retour au pouvoir le “délire transgenre”, qui selon lui ravage les Etats-Unis et auquel il a promis de mettre un terme.Quand il a été frappé au cou par une balle fatale, Charlie Kirk venait d’ailleurs juste de dire qu’il y avait “trop” de tueries par arme à feu impliquant des personnes transgenres. Mais rien n’indique que le tireur ait pu entendre ces propos depuis le toit d’un bâtiment, à plus d’une centaine de mètres de distance, où il s’était positionné. – “Gauche radicale” -Fin août déjà, l’extrême droite s’était emparée d’une fusillade à Minneapolis, dans le Minnesota (nord), perpétrée par une personne transgenre, pour affirmer, sans aucune statistique à l’appui, que ces personnes représentaient une menace.”La gauche radicale” a contribué au meurtre de Charlie Kirk, a tonné Donald Trump dans une vidéo publiée au soir de l’assassinat.Ex-proche allié du président américain, le milliardaire Elon Musk a lancé samedi sur son réseau social X: “La gauche est le parti du meurtre.” La police a retrouvé sur la scène du crime des douilles avec des messages comme “Eh fasciste! Attrape-ça!” ou bien faisant référence au chant antifasciste italien “Bella Ciao”.Le suspect, Tyler Robinson, sera formellement inculpé mardi. Jusqu’à maintenant, il ne “coopère pas” avec les enquêteurs, a fait savoir le gouverneur de l’Utah.Les personnalités politiques démocrates, de Barack Obama à Joe Biden en passant par le gouverneur de la Californie Gavin Newsom ou encore Kamala Harris, ont condamné de manière unanime l’assassinat.”La réponse du gouvernement ne peut pas être de réprimer des individus ou des groupes car ils sont en désaccord politique”, a dénoncé l’ancien ministre des Transports de Joe Biden, Pete Buttigieg. Il a mis en garde contre “l’exploitation” de la mort de Charlie Kirk, chantre d’une Amérique chrétienne et traditionaliste.Une grande cérémonie d’hommage national au défunt est prévue le 21 septembre près de Phoenix, en Arizona, dans un stade d’une capacité dépassant 63.000 places. Donald Trump a promis d’être présent aux obsèques de Charlie Kirk, sans préciser s’il s’agissait de cet événement.

Spain’s political class spars over chaotic Vuelta finale

Spain’s political class clashed over chaotic pro-Palestinian protests in Madrid that brought the Vuelta to a premature end Sunday, with the opposition accusing the leftist government of permitting an “international embarrassment”.And comments from Socialist Prime Minister Pedro Sanchez Sunday brought an angry response from Israel.Demonstrators denouncing the participation of the Israel-Premier Tech team in one of cycling’s major races overwhelmed police and invaded the course in the Spanish capital, forcing organisers to cut short the final stage.A spokesman for the central government representation in the Madrid region told AFP that 100,000 people had taken part in the pro-Palestinian protests, adding that two people had been arrested.The unrest was the culmination of pro-Palestinian activism against Israel’s war with Hamas in Gaza, with protests disrupting the three-week race on several occasions. Even before the final day, the race organisers had had to shorten some stages and demonstrators had caused crashes after bursting onto the course.Several members of the leftist government have publicly supported the movement in a country where support for the Palestinian cause is strong.Sanchez made his first public comments on the row on Sunday, saying before the final stage that “Spain today shines as an example and as a source of pride”.The country was “an example to an international community where it sees Spain taking a step forward in the defence of human rights”, he told a Socialist party gathering in the southern city of Malaga.Israel was swift to denounce his comments.Israeli Foreign Minister Gideon Saar called Sanchez and his government “a disgrace” to their country, accusing the Spanish premier of “encouraging the protesters to take to the streets” of Madrid through “his incitements”. – ‘International embarrassment’ -The right-wing opposition Popular Party (PP), which runs the Madrid region and the Spanish capital’s council, also reacted furiously.Party leader Alberto Nunez Feijoo’s response on social media was scathing after the prestigious cycling event ended with police charging at protesters and firing tear gas.”The government has allowed and induced the non-completion of the Vuelta and, in this way, an international embarrassment televised worldwide,” he said.The PP head of the Madrid region, Isabel Diaz Ayuso, wrote on X that Sanchez “becomes directly responsible for any altercation that happens… what damage to our sport and our country!”And the city’s mayor Jose Luis Martinez-Almeida said: “What has happened today in Madrid is the fruit of hate and violence that have been irresponsibly encouraged in recent days by leaders from the left.” At the other end of the political spectrum, far-left Deputy Prime Minister Yolanda Diaz hailed Spanish society for “giving a lesson to the world”.”Israel cannot compete in any event while it continues to commit a genocide,” she wrote on Instagram, days after the Israeli government barred her from entry for her criticism of the war in Gaza.Israel-Premier Tech, owned by Israeli-Canadian property developer Sylvan Adams, is a private outfit and not a state team, but was hailed by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu for continuing to compete despite the vehement protests.