A69: avis favorable à la reprise des travaux du rapporteur public de la cour administrative d’appel de Toulouse

Le rapporteur public recommande à la cour d’appel administrative de Toulouse d’ordonner la reprise du chantier de l’A69, au grand dam des opposants à ce projet d’autoroute Castres-Toulouse qui avaient obtenu fin février la suspension des travaux.Ce magistrat dont les avis sont généralement suivis, estime notamment que maintenir le chantier à l’arrêt, comme l’a ordonné le 27 février le tribunal administratif de Toulouse, “risque d’entraîner des conséquences difficilement réparables”, a fait savoir à l’AFP une avocate des opposants, Julie Rover.Mercredi, la cour administrative examine un recours déposé par l’État visant à relancer les travaux, dans une nouvelle manche du bras de fer entre pro et anti-A69, moins d’une semaine après un vote du Sénat favorable à ce projet contesté. La cour doit rendre sa décision d’ici la fin du mois.Le rapporteur public considère qu’il y a une “raison impérative d’intérêt public majeur” (RIIPM) justifiant une reprise rapide des travaux, sans attendre une décision sur le fond du dossier, qui n’interviendra pas avant la fin de l’année, a précisé à l’AFP Jean Olivier, des Amis de la Terre, une des associations ayant demandé et obtenu l’arrêt des travaux.”On attend des trois juges qu’ils fassent preuve de discernement et ne suivent pas cet avis du rapporteur public, qui pour nous n’est pas entendable au regard du droit de l’environnement”, a-t-il encore dit.C’est la première fois qu’un chantier autoroutier de cette envergure est stoppé par la justice.Depuis ce revers majeur, les partisans de l’A69, dont le gouvernement, le constructeur Atosca ou les principaux élus du département du Tarn, tentent d’obtenir la reprise des travaux devant la justice administrative ou en faisant voter au Parlement une “loi de validation” très critiquée par les militants écologistes.- “incongru” -Le 24 mars, le ministère des Transports a ainsi annoncé avoir fait appel de ce jugement et “dans le même temps, demandé le sursis à exécution de cette décision afin de permettre la reprise rapide des travaux sur le chantier”.Selon le code de justice administrative, le sursis à exécution (c’est-à-dire la suspension des effets du jugement) peut être obtenu si les éléments présentés pour invalider le jugement sont suffisamment “sérieux” ou si ce jugement “risque d’entraîner des conséquences difficilement réparables”.Le tribunal administratif de Toulouse a motivé l’annulation de l’autorisation de construire cette portion d’autoroute de 53 km entre Toulouse et Castres par l’absence de “Raison impérative d’intérêt public majeur” (RIIPM), une notion introduite en 1992 par une directive européenne. Seule la reconnaissance d’une RIIPM peut permettre d’obtenir une dérogation pour porter atteinte aux “157 spécimens d’espèces animales protégées” affectées par l’A69.Les partisans de l’autoroute rappellent que sa construction a été déclarée d’utilité publique en 2018. Le député macroniste du Tarn Jean Terlier a ainsi jugé “incongru” qu’un tribunal administratif prenne une décision allant “à l’encontre d’une déclaration d’utilité publique (DUP) validée par le Conseil d’État”.Ils soulignent aussi que les travaux sont très avancés. Le ministre des Transports, Philippe Tabarot, a ainsi parlé d’une situation “ubuesque”, avec “un chantier avancé aux deux tiers qui est arrêté du jour au lendemain”.Ces raisons ont amené des élus tarnais à présenter au vote des parlementaires un texte atypique pour obtenir la reprise du chantier sans attendre l’examen du dossier sur le fond par la justice administrative.Cette proposition de loi, dont la conformité à la Constitution est questionnée par les opposants, a été adoptée en première lecture au Sénat à une large majorité le 15 mai. Transmise à l’Assemblée nationale, elle y sera examinée le 2 juin.Pour les opposants, cette démarche équivaut à “mettre à la poubelle une décision juridique et donc à mettre de côté de contre-pouvoir qu’est le tribunal administratif”.En revanche, pour le député centriste du Tarn Philippe Bonnecarrère, “il s’agit de deux actions indépendantes et complémentaires, respectueuses l’une de l’autre”, a-t-il assuré à l’AFP.

A69: avis favorable à la reprise des travaux du rapporteur public de la cour administrative d’appel de Toulouse

Le rapporteur public recommande à la cour d’appel administrative de Toulouse d’ordonner la reprise du chantier de l’A69, au grand dam des opposants à ce projet d’autoroute Castres-Toulouse qui avaient obtenu fin février la suspension des travaux.Ce magistrat dont les avis sont généralement suivis, estime notamment que maintenir le chantier à l’arrêt, comme l’a ordonné le 27 février le tribunal administratif de Toulouse, “risque d’entraîner des conséquences difficilement réparables”, a fait savoir à l’AFP une avocate des opposants, Julie Rover.Mercredi, la cour administrative examine un recours déposé par l’État visant à relancer les travaux, dans une nouvelle manche du bras de fer entre pro et anti-A69, moins d’une semaine après un vote du Sénat favorable à ce projet contesté. La cour doit rendre sa décision d’ici la fin du mois.Le rapporteur public considère qu’il y a une “raison impérative d’intérêt public majeur” (RIIPM) justifiant une reprise rapide des travaux, sans attendre une décision sur le fond du dossier, qui n’interviendra pas avant la fin de l’année, a précisé à l’AFP Jean Olivier, des Amis de la Terre, une des associations ayant demandé et obtenu l’arrêt des travaux.”On attend des trois juges qu’ils fassent preuve de discernement et ne suivent pas cet avis du rapporteur public, qui pour nous n’est pas entendable au regard du droit de l’environnement”, a-t-il encore dit.C’est la première fois qu’un chantier autoroutier de cette envergure est stoppé par la justice.Depuis ce revers majeur, les partisans de l’A69, dont le gouvernement, le constructeur Atosca ou les principaux élus du département du Tarn, tentent d’obtenir la reprise des travaux devant la justice administrative ou en faisant voter au Parlement une “loi de validation” très critiquée par les militants écologistes.- “incongru” -Le 24 mars, le ministère des Transports a ainsi annoncé avoir fait appel de ce jugement et “dans le même temps, demandé le sursis à exécution de cette décision afin de permettre la reprise rapide des travaux sur le chantier”.Selon le code de justice administrative, le sursis à exécution (c’est-à-dire la suspension des effets du jugement) peut être obtenu si les éléments présentés pour invalider le jugement sont suffisamment “sérieux” ou si ce jugement “risque d’entraîner des conséquences difficilement réparables”.Le tribunal administratif de Toulouse a motivé l’annulation de l’autorisation de construire cette portion d’autoroute de 53 km entre Toulouse et Castres par l’absence de “Raison impérative d’intérêt public majeur” (RIIPM), une notion introduite en 1992 par une directive européenne. Seule la reconnaissance d’une RIIPM peut permettre d’obtenir une dérogation pour porter atteinte aux “157 spécimens d’espèces animales protégées” affectées par l’A69.Les partisans de l’autoroute rappellent que sa construction a été déclarée d’utilité publique en 2018. Le député macroniste du Tarn Jean Terlier a ainsi jugé “incongru” qu’un tribunal administratif prenne une décision allant “à l’encontre d’une déclaration d’utilité publique (DUP) validée par le Conseil d’État”.Ils soulignent aussi que les travaux sont très avancés. Le ministre des Transports, Philippe Tabarot, a ainsi parlé d’une situation “ubuesque”, avec “un chantier avancé aux deux tiers qui est arrêté du jour au lendemain”.Ces raisons ont amené des élus tarnais à présenter au vote des parlementaires un texte atypique pour obtenir la reprise du chantier sans attendre l’examen du dossier sur le fond par la justice administrative.Cette proposition de loi, dont la conformité à la Constitution est questionnée par les opposants, a été adoptée en première lecture au Sénat à une large majorité le 15 mai. Transmise à l’Assemblée nationale, elle y sera examinée le 2 juin.Pour les opposants, cette démarche équivaut à “mettre à la poubelle une décision juridique et donc à mettre de côté de contre-pouvoir qu’est le tribunal administratif”.En revanche, pour le député centriste du Tarn Philippe Bonnecarrère, “il s’agit de deux actions indépendantes et complémentaires, respectueuses l’une de l’autre”, a-t-il assuré à l’AFP.

A69: avis favorable à la reprise des travaux du rapporteur public de la cour administrative d’appel de Toulouse

Le rapporteur public recommande à la cour d’appel administrative de Toulouse d’ordonner la reprise du chantier de l’A69, au grand dam des opposants à ce projet d’autoroute Castres-Toulouse qui avaient obtenu fin février la suspension des travaux.Ce magistrat dont les avis sont généralement suivis, estime notamment que maintenir le chantier à l’arrêt, comme l’a ordonné le 27 février le tribunal administratif de Toulouse, “risque d’entraîner des conséquences difficilement réparables”, a fait savoir à l’AFP une avocate des opposants, Julie Rover.Mercredi, la cour administrative examine un recours déposé par l’État visant à relancer les travaux, dans une nouvelle manche du bras de fer entre pro et anti-A69, moins d’une semaine après un vote du Sénat favorable à ce projet contesté. La cour doit rendre sa décision d’ici la fin du mois.Le rapporteur public considère qu’il y a une “raison impérative d’intérêt public majeur” (RIIPM) justifiant une reprise rapide des travaux, sans attendre une décision sur le fond du dossier, qui n’interviendra pas avant la fin de l’année, a précisé à l’AFP Jean Olivier, des Amis de la Terre, une des associations ayant demandé et obtenu l’arrêt des travaux.”On attend des trois juges qu’ils fassent preuve de discernement et ne suivent pas cet avis du rapporteur public, qui pour nous n’est pas entendable au regard du droit de l’environnement”, a-t-il encore dit.C’est la première fois qu’un chantier autoroutier de cette envergure est stoppé par la justice.Depuis ce revers majeur, les partisans de l’A69, dont le gouvernement, le constructeur Atosca ou les principaux élus du département du Tarn, tentent d’obtenir la reprise des travaux devant la justice administrative ou en faisant voter au Parlement une “loi de validation” très critiquée par les militants écologistes.- “incongru” -Le 24 mars, le ministère des Transports a ainsi annoncé avoir fait appel de ce jugement et “dans le même temps, demandé le sursis à exécution de cette décision afin de permettre la reprise rapide des travaux sur le chantier”.Selon le code de justice administrative, le sursis à exécution (c’est-à-dire la suspension des effets du jugement) peut être obtenu si les éléments présentés pour invalider le jugement sont suffisamment “sérieux” ou si ce jugement “risque d’entraîner des conséquences difficilement réparables”.Le tribunal administratif de Toulouse a motivé l’annulation de l’autorisation de construire cette portion d’autoroute de 53 km entre Toulouse et Castres par l’absence de “Raison impérative d’intérêt public majeur” (RIIPM), une notion introduite en 1992 par une directive européenne. Seule la reconnaissance d’une RIIPM peut permettre d’obtenir une dérogation pour porter atteinte aux “157 spécimens d’espèces animales protégées” affectées par l’A69.Les partisans de l’autoroute rappellent que sa construction a été déclarée d’utilité publique en 2018. Le député macroniste du Tarn Jean Terlier a ainsi jugé “incongru” qu’un tribunal administratif prenne une décision allant “à l’encontre d’une déclaration d’utilité publique (DUP) validée par le Conseil d’État”.Ils soulignent aussi que les travaux sont très avancés. Le ministre des Transports, Philippe Tabarot, a ainsi parlé d’une situation “ubuesque”, avec “un chantier avancé aux deux tiers qui est arrêté du jour au lendemain”.Ces raisons ont amené des élus tarnais à présenter au vote des parlementaires un texte atypique pour obtenir la reprise du chantier sans attendre l’examen du dossier sur le fond par la justice administrative.Cette proposition de loi, dont la conformité à la Constitution est questionnée par les opposants, a été adoptée en première lecture au Sénat à une large majorité le 15 mai. Transmise à l’Assemblée nationale, elle y sera examinée le 2 juin.Pour les opposants, cette démarche équivaut à “mettre à la poubelle une décision juridique et donc à mettre de côté de contre-pouvoir qu’est le tribunal administratif”.En revanche, pour le député centriste du Tarn Philippe Bonnecarrère, “il s’agit de deux actions indépendantes et complémentaires, respectueuses l’une de l’autre”, a-t-il assuré à l’AFP.

Stocks, dollar drop after US loses last triple-A credit rating

US stocks fell with the dollar Monday as markets reacted to the United States losing its last gold-standard sovereign bond rating over a debt pile that could balloon further.The downgrade by Moody’s dealt a blow to markets, which had enjoyed a healthy run-up last week after Washington and China reached a deal to temporarily slash tit-for-tat tariffs.US stocks were down in midday trading, led by the tech-heavy Nasdaq, which fell around half a percent.That mirrored losses in Asia, where Tokyo and Hong Kong closed down.In Europe, London and Frankfurt erased early losses to close higher after UK and EU leaders reached a series of defence and trade ties at a landmark summit, the first since Britain’s acrimonious exit from the European Union.British Prime Minister Keir Starmer said leaders had agreed a “win-win” deal that his office said would add nearly £9 billion ($12 billion) to the British economy by 2040.The euro powered ahead despite the EU cutting its 2025 growth forecast for the eurozone, blaming US tariffs.The dollar slid nearly one percent against the euro and also fell heavily against the pound and yen.Analysts said the downgrade by Moody’s late Friday — which follows similar moves by S&P in 2011 and Fitch in 2023 — could indicate investors will demand higher yields on US Treasuries, pushing up the cost of government debt. Yields rose on Monday.”It seems like the ‘Sell America’ narrative is making a comeback,” said Fawad Razaqzada, market analyst at City Index and FOREX.com.The downgrade is “sending tremors through some global markets,” he said.”Investors are increasingly jittery about the cost implications of higher borrowing, especially given the backdrop of (US President) Donald Trump’s ongoing trade disputes and proposals for unfunded tax cuts.”Gold, seen as a haven investment, jumped more than one percent.- ‘EAT THE TARIFFS’ -After a markets rout sparked by Trump’s Liberation Day tariffs bazooka, investors had in recent weeks raced back to buy up beaten-down stocks as the White House tempered its hardball tariff approach.But the selling returned after Moody’s cut its US debt rating to Aa1 from Aaa, noting “the increase over more than a decade in government debt and interest payment ratios to levels that are significantly higher than similarly rated sovereigns”.Treasury Secretary Scott Bessent dismissed the announcement, saying it was “a lagging indicator” and blaming Trump’s predecessor, Joe Biden.The news added to a frustrating time for Trump as his “big, beautiful bill” to extend tax cuts from his first term and impose new restrictions on welfare programmes faces scrutiny in the Republican-controlled Congress.Independent congressional analysts say the package would add more than $4.8 trillion to the federal deficit over the coming decade.In company news, Walmart returned to the list of firms feeling a rollercoaster effect under Trump, after the US president slammed the retail giant for warning of price increases due to his tariffs.Trump called on the company to “EAT THE TARIFFS” on social media, adding, “I’ll be watching.”Walmart shares fell Monday.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 42,559.81 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.4 percent at 5,936.86New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.6 percent at 19,104.28London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,699.31 (close)Paris – CAC 40: FLAT at 7,883.63 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.7 percent at 23,934.98 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.7 percent at 37,498.63 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 23,332.72 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,367.58 (close)Euro/dollar: UP at $1.1259 from $1.1154 on FridayPound/dollar: UP at $1.3366 from $1.3278Dollar/yen: DOWN at 144.85 yen from 145.92 yenEuro/pound: UP at 84.19 pence from 83.97 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.2 percent at $62.06 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $65.46 per barrelburs-jhb/js

Airbags Takata: BMW, Mercedes, Toyota et Volkswagen ciblés par une plainte d’UFC-Que choisir

Des constructeurs automobiles ont défendu lundi leur gestion des rappels de véhicules équipés d’airbags Takata défectueux en France, après l’annonce par l’UFC-Que choisir d’une nouvelle plainte visant BMW, Mercedes, Toyota et Volkswagen. L’association de défense des consommateurs, qui avait déjà porté plainte contre Stellantis en janvier, a précisé à l’AFP que sa plainte pour “pratiques commerciales trompeuses, tromperie aggravée et mise en danger délibérée de la vie d’autrui” avait été enregistrée ce lundi par le tribunal de Versailles (Yvelines).  L’UFC-Que choisir estime dans un communiqué que les rappels de véhicules organisés par ces quatre groupes pour remplacer les airbags défectueux ont été “imprécis, tardifs et insuffisants, sous la seule pression médiatique du scandale”.”C’est absolument faux de dire qu’on n’a rien fait et qu’on a attendu la pression médiatique”, a déclaré à l’AFP Ludovic Leguem, directeur de la communication de BMW France. “On a réalisé 29 actions de rappel chez BMW Group en France depuis 2013”, ce qui correspond à 935.000 voitures rappelées, a-t-il précisé. Le scandale des airbags Takata secoue le secteur de l’automobile depuis 2014, forçant de nombreux constructeurs à immobiliser des centaines de milliers de véhicules à travers le monde, afin de remplacer ces équipements de sécurité. A cause d’un gaz qui se dégrade avec le temps, l’humidité et la chaleur, ces airbags risquent d’exploser, avec un risque de blessures graves voire mortelles pour les conducteurs et les passagers avant. Volkswagen Group France a de son côté précisé dans une déclaration transmise à l’AFP que “s’agissant des airbags Takata, Volkswagen examine et met en tant que de besoin à jour ses campagnes de rappel en fonction de son programme d’analyse et en collaboration avec les autorités réglementaires compétentes”.Egalement sollicitées pour un commentaire, les branches françaises de Mercedes et Toyota n’ont pas répondu dans l’immédiat.Le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, a pour sa part “salué” l’action d’UFC-Que Choisir. “La justice doit aller jusqu’au bout, nous le devons aux victimes et à leurs familles qui attendent la vérité. Je ne les lâcherai pas”, a-t-il réagi sur le réseau social X.Un nouveau décès lié au déclenchement d’un airbag défectueux a été enregistré fin mars en Guadeloupe. Jusqu’à l’annonce de ce nouveau décès la semaine dernière, le ministère des Transports avait recensé 29 accidents ayant provoqué onze décès outre-mer et un en métropole.

Trump targets Beyonce in rant about endorsing Kamala Harris

US President Donald Trump said Monday in a rant-filled diatribe about celebrities who backed Kamala Harris that pop diva Beyonce got $11 million for endorsing his campaign rival.Trump provided no evidence to back up his free-wheeling allegations over Beyonce or other entertainers he attacked as he announced “a major investigation” into what he said were payments by the failed Democratic candidate to stars like Bruce Springsteen, Oprah Winfrey and Bono for them to support her against Trump.Trump, six months after he beat Harris to launch a second term in the White House, said these payments he alleges took place amounted to illegal campaign contributions.He alleged that for a Harris rally in late October in which the “Freedom” singer made an appearance, “Beyonce was paid $11,000,000 to walk onto a stage, quickly ENDORSE KAMALA, and walk off to loud booing for never having performed, NOT EVEN ONE SONG!” Trump said this was “according to news reports.”Harris had told the rally crowd at the time that “I’m not here as a celebrity. I’m not here as a politician. I’m here as a mother.”Trump posted on his Truth Social platform that he would “call for a major investigation into this matter.””Candidates aren’t allowed to pay for ENDORSEMENTS, which is what Kamala did, under the guise of paying for entertainment,” he said.Harris had sought to harness star power from celebrities such as Beyonce, Winfrey and Springsteen in the election race.Winfrey has defended a $1 million payment to her production company from the Harris campaign to cover costs associated with the talk show legend’s production company hosting the presidential candidate at a rally in September.Harris’s team, meanwhile, has denied rumors that she paid Beyonce to appear at a rally.The campaign listed one endorsement-related expenditure for $75 in its financial reports to an environmental advocacy group.Trump, who won the 2024 election comfortably, received scant support from the entertainment industry at large but tapped into a targeted subset of well-known, hypermasculine influencers including podcast host Joe Rogan.The president on Monday accused Harris of paying rock star Springsteen to perform at a rally in Georgia weeks before the election.”How much did Kamala Harris pay Bruce Springsteen for his poor performance during her campaign for president?” he wrote.”Why did he accept that money if he is such a fan of hers?”Trump last week took to Truth Social to feud with Springsteen after the star told a British concert audience that his homeland is now ruled by a “corrupt, incompetent and treasonous administration.”In return, the 78-year-old Republican said the star, nicknamed “the Boss,” is “Highly Overrated.”Springsteen is an outspoken liberal critic of Trump and turned out for Harris after she replaced Democratic president Joe Biden in his abandoned reelection bid.

Trump parle à Poutine pour pousser à un cessez-le-feu en Ukraine

Donald Trump s’est entretenu lundi avec Vladimir Poutine au téléphone avec l’objectif, a dit le président américain, de “mettre fin au bain de sang” en Ukraine, après des pourparlers infructueux entre Kiev et Moscou la semaine dernière.La Maison Blanche a confirmé que l’appel avait bien commencé dans la matinée à Washington. Lors d’un point presse plus tôt, la porte-parole Karoline Leavitt avait déclaré que l’objectif de Donald Trump serait de “voir ce conflit prendre fin”, ajoutant que le président américain était devenu “las et frustré” de l’attitude de Moscou et Kiev.Les pourparlers de paix vendredi entre Ukrainiens et Russes, les premiers depuis 2022, n’ont pas abouti au cessez-le-feu réclamé par l’Ukraine et ses alliés, les attaques meurtrières se poursuivant sur le terrain.Après cette rencontre à Istanbul, qui a mis en exergue le gouffre entre les positions de Moscou et Kiev, Donald Trump avait déclaré sur sa plateforme Truth Social qu’il parlerait par téléphone à Vladimir Poutine “pour mettre fin au bain de sang”, disant espérer “une journée productive” et “qu’un cessez-le-feu aura(it) lieu”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a, lui aussi, dit lundi vouloir un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours, “suffisamment long” dans le temps pour permettre des discussions, et avec “la possibilité d’une prolongation”.Le président russe a repoussé jusque-là toutes les demandes de Kiev de trêve préalable à des discussions, estimant qu’une telle pause dans les combats permettrait aux forces ukrainiennes de se réarmer grâce à l’aide militaire occidentale.- “Sérieux” -L’appel Trump-Poutine est “évidemment important”, a reconnu lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, assurant que Moscou “apprécie beaucoup” la “médiation” américaine dans cet épineux dossier.Selon lui, Moscou souhaite, “bien sûr”, “atteindre (ses) objectifs” en Ukraine “par des moyens politiques et diplomatiques”, après plus de trois ans de son invasion qui a entraîné la mort d’au moins des dizaines de milliers de personnes, civiles et militaires confondues.Avant l’entretien, le porte-parole du Kremlin avait également dit s’attendre à un travail “laborieux” et “peut-être long” en vue d’un règlement du conflit, évoquant “de nombreuses nuances qui doivent être discutées”.Dimanche à Rome, le vice-président américain JD Vance et Volodymyr Zelensky s’étaient entretenus, évoquant ensemble notamment, d’après un haut responsable ukrainien à l’AFP, “les préparatifs de la conversation” entre MM. Trump et Poutine et “un cessez-le-feu”.Cette rencontre était la première entre les deux hommes depuis leur altercation dans le Bureau ovale fin février, aux côtés de Donald Trump, un événement qui avait montré le changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis de l’Ukraine.Dans son avion de retour vers les Etats-Unis, le vice-président américain a également évoqué les négociations.”Nous avons conscience qu’il y a une sorte d’impasse ici, et je pense que le président (Trump) va dire au président Poutine: +Ecoutez, est-ce que vous êtes sérieux?”, a-t-il déclaré à la presse.”Si la Russie n’est pas disposée à cela, alors nous devrons finir par dire à terme: +Ce n’est pas notre guerre”, a averti JD Vance.- “Demandes absurdes” -De leur côté, les Européens, soutiens de Kiev, tentent de faire bloc et de faire pression sur Moscou, menaçant de sanctions “massives” si le Kremlin ne finissait pas par accepter une trêve.Dimanche, les dirigeants français, britannique, allemand et italien se sont entretenus par téléphone avec Donald Trump, rappelant “la nécessité” d’une trêve “inconditionnelle” et que “le président Poutine (prenne) au sérieux les pourparlers de paix”, selon un porte-parole du Premier ministre britannique, Keir Starmer.Donald Trump a prévu d’informer Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan après son entretien avec Vladimir Poutine.A ce stade, ses efforts n’ont pas permis d’avancée majeure dans le règlement du conflit, déclenché par l’invasion russe en février 2022. Intransigeant, Vladimir Poutine a martelé dimanche vouloir “éliminer les causes” du conflit et “garantir la sécurité de l’État russe”, une référence à l’exigence de Moscou que l’Ukraine soit démilitarisée et ne rejoigne pas l’Otan, que le président russe considère comme une menace existentielle pour son pays.La Russie “tente de faire les mêmes demandes absurdes” qu’en 2022, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, sur les réseaux sociaux.A l’avantage sur le front face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses, les forces russes ont revendiqué lundi la prise de deux localités, une dans la région de Soumy (nord-est) et l’autre dans celle de Donetsk (est), épicentre des combats.

Trump parle à Poutine pour pousser à un cessez-le-feu en Ukraine

Donald Trump s’est entretenu lundi avec Vladimir Poutine au téléphone avec l’objectif, a dit le président américain, de “mettre fin au bain de sang” en Ukraine, après des pourparlers infructueux entre Kiev et Moscou la semaine dernière.La Maison Blanche a confirmé que l’appel avait bien commencé dans la matinée à Washington. Lors d’un point presse plus tôt, la porte-parole Karoline Leavitt avait déclaré que l’objectif de Donald Trump serait de “voir ce conflit prendre fin”, ajoutant que le président américain était devenu “las et frustré” de l’attitude de Moscou et Kiev.Les pourparlers de paix vendredi entre Ukrainiens et Russes, les premiers depuis 2022, n’ont pas abouti au cessez-le-feu réclamé par l’Ukraine et ses alliés, les attaques meurtrières se poursuivant sur le terrain.Après cette rencontre à Istanbul, qui a mis en exergue le gouffre entre les positions de Moscou et Kiev, Donald Trump avait déclaré sur sa plateforme Truth Social qu’il parlerait par téléphone à Vladimir Poutine “pour mettre fin au bain de sang”, disant espérer “une journée productive” et “qu’un cessez-le-feu aura(it) lieu”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a, lui aussi, dit lundi vouloir un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours, “suffisamment long” dans le temps pour permettre des discussions, et avec “la possibilité d’une prolongation”.Le président russe a repoussé jusque-là toutes les demandes de Kiev de trêve préalable à des discussions, estimant qu’une telle pause dans les combats permettrait aux forces ukrainiennes de se réarmer grâce à l’aide militaire occidentale.- “Sérieux” -L’appel Trump-Poutine est “évidemment important”, a reconnu lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, assurant que Moscou “apprécie beaucoup” la “médiation” américaine dans cet épineux dossier.Selon lui, Moscou souhaite, “bien sûr”, “atteindre (ses) objectifs” en Ukraine “par des moyens politiques et diplomatiques”, après plus de trois ans de son invasion qui a entraîné la mort d’au moins des dizaines de milliers de personnes, civiles et militaires confondues.Avant l’entretien, le porte-parole du Kremlin avait également dit s’attendre à un travail “laborieux” et “peut-être long” en vue d’un règlement du conflit, évoquant “de nombreuses nuances qui doivent être discutées”.Dimanche à Rome, le vice-président américain JD Vance et Volodymyr Zelensky s’étaient entretenus, évoquant ensemble notamment, d’après un haut responsable ukrainien à l’AFP, “les préparatifs de la conversation” entre MM. Trump et Poutine et “un cessez-le-feu”.Cette rencontre était la première entre les deux hommes depuis leur altercation dans le Bureau ovale fin février, aux côtés de Donald Trump, un événement qui avait montré le changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis de l’Ukraine.Dans son avion de retour vers les Etats-Unis, le vice-président américain a également évoqué les négociations.”Nous avons conscience qu’il y a une sorte d’impasse ici, et je pense que le président (Trump) va dire au président Poutine: +Ecoutez, est-ce que vous êtes sérieux?”, a-t-il déclaré à la presse.”Si la Russie n’est pas disposée à cela, alors nous devrons finir par dire à terme: +Ce n’est pas notre guerre”, a averti JD Vance.- “Demandes absurdes” -De leur côté, les Européens, soutiens de Kiev, tentent de faire bloc et de faire pression sur Moscou, menaçant de sanctions “massives” si le Kremlin ne finissait pas par accepter une trêve.Dimanche, les dirigeants français, britannique, allemand et italien se sont entretenus par téléphone avec Donald Trump, rappelant “la nécessité” d’une trêve “inconditionnelle” et que “le président Poutine (prenne) au sérieux les pourparlers de paix”, selon un porte-parole du Premier ministre britannique, Keir Starmer.Donald Trump a prévu d’informer Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan après son entretien avec Vladimir Poutine.A ce stade, ses efforts n’ont pas permis d’avancée majeure dans le règlement du conflit, déclenché par l’invasion russe en février 2022. Intransigeant, Vladimir Poutine a martelé dimanche vouloir “éliminer les causes” du conflit et “garantir la sécurité de l’État russe”, une référence à l’exigence de Moscou que l’Ukraine soit démilitarisée et ne rejoigne pas l’Otan, que le président russe considère comme une menace existentielle pour son pays.La Russie “tente de faire les mêmes demandes absurdes” qu’en 2022, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, sur les réseaux sociaux.A l’avantage sur le front face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses, les forces russes ont revendiqué lundi la prise de deux localités, une dans la région de Soumy (nord-est) et l’autre dans celle de Donetsk (est), épicentre des combats.