Global stocks mostly fall on lackluster results from Netflix, others
Gold prices sank further Wednesday while major stock markets mostly fell following some disappointing corporate earnings amid lingering worries over trade tensions.Major US indices fell, with the Dow retreating from a record the prior day, as lackluster results from Netflix added to angst that upcoming reports from other tech giants may also fall short.”Any time you’ve got stocks that are priced with high expectations, if you’re not meeting those expectations, then the market is going to struggle with that,” said Dave Grecsek, a partner at wealth management firm Aspirant. More broadly, the market is wondering if “we are overextended here in this artificial intelligence trade,” he added.Most European equity indices also fell following declines in leading Asian markets earlier.Further earning reports from US tech giants and other blue chips in the coming days, including from Tesla, were also keeping investors wary as they gauged the business outlook and the impacts of US President Donald Trump’s tariffs.Late Wednesday, Tesla reported a 37 percent drop in profits to $1.4 billion in results that missed analyst forecasts. The company cited a drag from tariffs and other expenses.London’s benchmark FTSE 100 index was a rare climber as the pound dropped on lower-than-expected UK inflation data that signaled another potential interest-rate cut from the Bank of England this year.Gold was once again a major focus after plunging six percent on Tuesday, a sell-off from record highs that rattled investor confidence in what is traditionally a safe-haven asset.Traders are “desperately trying to gauge whether… (Tuesday’s) historical collapse was indicative of a new period of weakness or simply a case of blowing off steam after a dramatic surge into record highs”, said Joshua Mahony, chief market analyst at Scope Markets.Gold fell a further 1.4 percent to around $4,060 an ounce Wednesday after chalking up a record peak above $4,381 on Monday.The retreat hit the share prices of gold miners, while individual companies were impacted by earnings updates.In Paris, L’Oreal shed 6.7 percent after the cosmetics giant posted third-quarter earnings that undershot analysts’ expectations, with US tariffs weighing on American sales in particular.On the upside, Barclays and UniCredit posted positive results, easing fears of a new banking crisis emerging in the United States. Analysts have also cited lingering tensions over US-China trade relations following recent back and forth between Beijing and Washington.Among individual companies, Netflix slumped more than 10 percent after the streaming giant reported earnings that missed estimates. Netflix executives told financial analysts on an earnings call that absent the hefty cost in Brazil due to a tax dispute, it would have exceeded its operating margin forecast in the quarter.- Key figures at around 2055 GMT -New York – Dow: DOWN 0.7 percent at 45,590.41 (close) New York – S&P 500: DOWN 0.5 percent at 6,699.40 (close)_New York – Nasdaq: DOWN 0.9 percent at 22,740.40 (close)London – FTSE 100: UP 0.9 percent at 9,515.00 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 8,206.87 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.7 percent at 24,151.13 (close)Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 49,307.79 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.9 percent at 25,781.77 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,913.76 (close)Euro/dollar: UP at $1.1606 from $1.1600 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3356 from $1.3371Dollar/yen: UP at 151.99 from 151.93 yenEuro/pound: UP at 86.90 pence from 86.76 penceBrent North Sea Crude: UP 2.1 percent at $62.59 per barrelWest Texas Intermediate: UP 2.2 percent at $58.50 per barrel
Ligue des champions: à 10, l’OM craque à Lisbonne
Pourtant bien lancé par un joli but d’Igor Paixao, l’OM, affaibli par l’expulsion d’Emerson Palmieri avant la pause, s’est incliné 2-1 mercredi sur la pelouse du Sporting Lisbonne, ce qui fragilise à nouveau sa position en Ligue des Champions.Marseille restait sur une belle série de cinq victoires d’affilée toutes compétitions confondues, et l’idée était d’entretenir la dynamique et d’essayer de montrer à l’extérieur les mêmes qualités que celles exposées régulièrement depuis près de deux mois au Stade Vélodrome.Mais mercredi, l’OM a été moins bon que ces dernières semaines et n’a pas su résister à 10 contre 11 pendant toute la deuxième période, victime aussi d’un sort contraire avec l’arbitrage, la vidéo venant trois fois annuler des décisions initialement favorables.La première, et la plus pesante, est venue à la 45e minute, alors que l’OM menait 1-0, quand ce que l’on a cru être le penalty du 2-0 s’est transformé en désastre: aidé par la VAR, l’arbitre a en effet finalement jugé qu’Emerson, déjà averti, avait simulé et l’OM s’est retrouvé à dix.Avant ce coup de théâtre, la première période de l’OM avait balancé entre maîtrise et étourderies. Quand le Sporting a été dangereux, c’est en effet presque à chaque fois parce que Marseille lui a donné les munitions.- Paixao brille encore -Dès la 3e minute, Leonardo Balerdi a ainsi été averti pour une faute très en retard sur Luis Suarez, très éphémère ex-Marseillais. Une passe ratée du défenseur argentin a offert une autre chance à Suarez (38e), quelques instants après un dangereux raté de Geronimo Rulli.Pour le reste, les hommes de Roberto De Zerbi, certes moins brillants que lors de certains matches récents, avaient globalement contrôlé les débats.Deux premières tentatives d’Igor Paixao (8e et 11e) avaient donné le ton mais le petit ailier Brésilien était en fait simplement en train de régler la mire: trois minutes plus tard, c’était la bonne.Au bout d’une belle action construite par Timothy Weah et Mason Greenwood, Pierre-Emerick Aubameyang a lancé Paixao d’une belle transversale et le tonitruant pied droit du Brésilien a fait le reste pour une superbe frappe enroulée en lucarne (1-0, 14e).Mais le match a donc vraiment basculé avec le carton rouge d’Emerson. En infériorité numérique, les Marseillais ont alors vraiment subi et ont trouvé très peu d’espaces ou d’occasions de respirer, pas aidés non plus par les entrées sans saveur de Matt O’Riley ou Amir Murillo.A la 58e minute, Rulli a d’abord repoussé sur son poteau un tir en angle fermé de Geovany Quenda, avant une nouvelle opportunité pour Joao Simoes (62e). Le Sporting poussait alors fort, au point d’enfin réveiller le placide stade José Alvalade.- Pavard malheureux -Et c’est alors qu’est arrivée une deuxième mauvaise nouvelle venue du VAR: alors que le but de Geny Catamo avait initialement été annulé pour hors-jeu, la vidéo a montré que le Mozambicain était en fait couvert par un demi-pied de Benjamin Pavard (1-1, 70e).Et alors qu’elle essayait de sauver un point, l’équipe de De Zerbi a au contraire été malheureuse une fois de plus à la 86e minute, quand la frappe d’Alisson Santos a été déviée par Benjamin Pavard, ne laissant aucune chance à Rulli.En toute fin de match, la VAR est encore intervenue pour transformer – assez logiquement – le carton rouge de Maximiliano Araujo en simple avertissement, confirmant que ça n’était décidément pas la soirée de l’OM.La victoire obtenue face à l’Ajax Amsterdam n’a pas été bonifiée à Lisbonne. Les Marseillais n’ont que trois points après trois matches et les deux réceptions à venir de l’Atalanta Bergame et Newcastle vaudront cher.Mais d’ici-là, il faut encore aller samedi à Lens et ça ne sera pas une mince affaire.
Ligue des champions: Monaco bute sur Tottenham et un grand Vicario
Malgré un match solide et une domination globale, Monaco n’est pas parvenu à battre le club anglais de Tottenham (0-0) mercredi soir, au Stade Louis-II, lors de la 3e journée de la Ligue des champions.Déjà en retard dans la course à la qualification avec seulement deux points en trois journée après un autre nul contre Manchester City (2-2 lors de la 2e journée), les Monégasques sont actuellement hors des 24 équipes virtuellement qualifiées.Les hommes de Sébastien Pocognoli, qui dirigeait son 2e match de Monaco (pour autant de nuls) depuis son arrivée en Principauté il y a dix jours, devront faire beaucoup mieux à Bodo, le 4 novembre prochain sur le terrain synthétique le plus arctique de la compétition, situé au nord du cercle polaire. Thilo Kehrer et ses partenaires peuvent pourtant s’en vouloir, tant ils ont eu des opportunités de remporter ce match. Mais le gardien des Spurs, l’international italien Guglielmo Vicario, a été parfait de bout en bout.Les Azuréens ont très bien débuté la rencontre: un pressing haut, quelques opportunités sur coups francs et un jeu direct intéressant. Dans un 3-4-2-1 qui est la marque de fabrique de Pocognoli, avec Ansu Fati et Maghnès Akliouche en soutien de Folarin Balogun, ils ont rapidement mis sous pression l’arrière-garde adverse.Après une frappe de Fati contrée (5e), le défenseur et capitaine londonien Micky Van de Ven a été devancé par Balogun qui a obligé Vicario à une première sortie dans les pieds de l’avant-centre (11e).- Bonne entrée de Golovin -Ce duel a perduré toute la première période. A la 28e, à la sortie d’un une-deux avec Akliouche, l’Américain a encore buté sur l’Italien dans un joli face-à-face. Puis, le portier transalpin a sorti l’arrêt du match, en se couchant sur sa gauche sur une reprise à bout portant de l’ex-Gunner (36e), qui a été remplacé en fin de match par Mika Biereth (83e), sans avoir réussi à tromper Vicario. Si la première période a été plutôt équilibrée dans le jeu, les Anglais n’ont jamais réellement été dangereux (une seule frappe cadrée sur l’ensemble du match). Leurs 1000 supporteurs ont entonné plusieurs fois leur hymne sur l’air de +When The Saints Go Marching In+. Mais cela n’a pas eu d’impact sur le Français Wilson Odobert, seul à tenter quelque chose, et les siens.Dès la reprise du jeu après la pause, Monaco a poussé encore plus. Akliouche s’est démené: il a passé, défendu, tenté (50e). Mais rien n’y a fait, malgré les entrées d’Aleksandr Golovin (57e) et de Takumi Minamino (70e), qui ont donné un nouvel allant offensif. Une belle frappe du Russe a obligé Vicario à se déployer pour détourner en corner (67e). Il a encore été vigilant sur une tête de Jordan Teze, aussi à l’aise dans l’entre-jeu qu’en tant que piston droit en fin de rencontre (75e). Minanimo n’est lui jamais parvenu à régler la mire, faisant crier de rage Louis-II à trois reprises devant ses ratés (79e, 82e et 83e).Visiblement toujours en rodage avec son nouvel entraîneur, Monaco n’est donc pas parvenu à l’emporter contre un cador de la Premier League. Mais le niveau de jeu montré, les intentions déployés et le système qui semble plus solide que sous les ordre d’Adi Hütter pourraient rapidement offrir des lendemains plus souriants aux joueurs de la Principauté.
Ligue des champions: Bellingham offre la victoire au Real Madrid face à la Juve
Le Real Madrid, longtemps en échec face à une défense italienne solidaire, a fini par faire craquer la Juventus (1-0) mercredi grâce un but opportuniste de l’Anglais Jude Bellingham, enchaînant une troisième victoire en trois journées de Ligue des champions.C’est un refrain que l’on n’avait plus entendu depuis des lustres, au stade Santiago Bernabéu. Depuis plus de six mois, pour être exact.Mais les supporters merengue n’ont évidemment pas oublié le tube des Beatles “Hey Jude”, et l’ont entonné à l’unisson, pour célébrer le but de l’un de leurs chouchous, bien placé dans la surface pour reprendre une frappe du Brésilien Vinicius Junior, auteur avant cela d’un festival qui a fini sur le poteau gauche turinois (57e, 1-0).Une réalisation doublement salvatrice: pour le Real, d’abord, qui suit le rythme des autres cadors, le PSG, Arsenal ou le Bayern Munich, avec un troisième succès en trois journées, et pour le Golden Boy de Birmingham, aussi, après des mois de doutes, et un statut remis en cause depuis l’arrivée de Kylian Mbappé à l’été 2024.L’entraîneur madrilène Xabi Alonso, qui avait réaffirmé à plusieurs reprises sa confiance envers le milieu anglais, avait eu raison de se méfier, en annonçant en conférence de presse qu’une équipe italienne en difficulté peut être “doublement dangereuse”.La Vieille Dame, sans victoire depuis plus d’un mois, était venue dans la capitale espagnole avec ses armes du moment: un système en 3-4-3 sur le papier, qui s’est rapidement transformé en 5-3-2 resserré autour de sa surface de réparation, pour réduire au maximum les espaces donnés à Mbappé et Vinicius Junior.- La Juve a raté le coche -Cette approche minimaliste a permis aux hommes d’Igor Tudor, ex-entraîneur de l’OM déjà sur la sellette, de résister aux assauts de l’armada de stars madrilène, et de rentrer au vestiaires à 0-0, malgré une nette domination merengue, avec plus de 70% de possession.Les Bianconeri se sont même montrés les plus dangereux en début de partie, poussant le gardien belge Thibaut Courtois, qui fêtait sa 300e sous le maillot de la Maison Blanche, à deux parades sur des frappes du milieu amériain Weston McKennie (10e) et du défenseur italien Federico Gatti (14e).Ils n’ont, par la suite, fait que subir jusqu’à la pause, sans pour autant prendre l’eau, grâce à une enorme solidarité défensive digne des années Allegri, avec les Buffon, Chiellini ou Bonucci.Le milieu français Aurélien Tchouaméni fut le premier à alerter le gardien italien Michele Di Gregorio, à deux reprises de la tête (16e, 20e) sur corner, puis une troisième fois d’une demi-volée contrée par son compatriote Pierre Kalulu (26e).Le portier turinois, vigilant sur sa ligne, a ensuite eu la main ferme pour mettre en échec Mbappé, trouvé par Brahim Diaz en trébuchant (40e), et vu le festival du N.10 merengue côté droit terminer par une frappe un peu trop enlevée d’Eder Militao (43e).Le géant italien a eu deux opportunités de réaliser un joli braquage en début de deuxième période mais l’attaquant serbe Dusan Vlahovic, puis le prodige turc Kenan Yildiz, ont tous les deux buté sur un Courtois encore impérial (50e, 56e).La défense bianconera elle, a, assez cruellement, plié quelques secondes plus tard, à la suite du numéro de soliste de Vinicius, conclu par Bellingham (57e, 1-0), avant se s’en remettre à nouveau à Di Gregorio pour empêcher Valverde (67e), Mbappé, puis Brahim Diaz (70e) de creuser l’écart. L’essentiel est néanmoins assuré, pour le Roi d’Europe, encore poussif, mais encore vainqueur, pour la onzième fois en douze rencontres cette saison, à quatre jours du Clasico face au Barça.
US announces heavy Russia sanctions, says Putin wasn’t ‘honest’
President Donald Trump has slapped major sanctions on Russia’s two largest oil companies after concluding that Vladimir Putin was not being “honest and forthright” in Ukraine talks, the US treasury chief said Wednesday.The sanctions came a day after a planned Trump-Putin summit in Budapest was shelved, with Washington expressing its disappointment at the lack of progress in ceasefire negotiations with Moscow.”Given President Putin’s refusal to end this senseless war, Treasury is sanctioning Russia’s two largest oil companies that fund the Kremlin’s war machine,” US Treasury Secretary Scott Bessent said in a statement announcing the sanctions against Rosneft and Lukoil.He warned that Treasury was prepared “to take further action if necessary” to support President Donald Trump’s efforts to end the war. Speaking to Fox Business ahead of the official announcement, Bessent said the move was “one of the largest sanctions that we have done against the Russian Federation.” Trump has held off on new sanctions for months, saying he hoped to persuade Russian President Putin to make peace despite growing frustration with the Kremlin leader.But the 79-year-old Republican’s patience apparently ran out in the space of the six days since he spoke to Putin by telephone last Thursday.”President Putin has not come to the table in an honest and forthright manner, as we’d hoped,” Bessent told Fox Business.Bessent said that when the two leaders met in Alaska in August, “President Trump walked away when he realized that things were not moving forward.” “There have been behind-the-scenes talks, but I believe that the president is disappointed at where we are in these talks,” he added.The European Union said Wednesday it was also imposing new sanctions on Russia.They include a ban on importing liquefied natural gas from Russia by 2027, the blacklisting of oil tankers used by Moscow and travel curbs on Russian diplomats.Since returning to office in January, Trump has repeatedly dangled the threat of sanctions against Russia without pulling the trigger as he seeks an elusive end to Russia’s three-and-a-half-year war.Trump had held out hope of a ceasefire deal last week after speaking to Putin, saying that the two leaders had agreed to meet in Budapest within two weeks.Repeating a pattern of pivoting between Moscow and Kyiv, the US president at the same time stepped up the pressure on Ukrainian President Volodymyr Zelensky. Trump pushed Zelensky to give up territory, a Kyiv official told AFP, and turned down his plea for long-range Tomahawk missiles to strike deep into Russia.But Trump shifted once again on Tuesday, saying that he did not want to have a “wasted meeting,” ending the immediate prospect of a Putin summit.News of the sanctions drove oil prices higher in after-hours trading, with the benchmark WTI and Brent both gaining more than one percent.
US says two dead in strike on alleged drug-smuggling boat in Pacific
A new US strike on an alleged drug-smuggling boat killed two people, Defense Secretary Pete Hegseth said Wednesday, announcing Washington’s first such attack on a vessel in the Pacific Ocean.The strike — which Hegseth announced in a post on X alongside a video of a boat being engulfed in flames — brings the total number to at least eight, with at least 34 people dead.”There were two narco-terrorists aboard the vessel during the strike, which was conducted in international waters. Both terrorists were killed and no US forces were harmed in this strike,” Hegseth said of Tuesday’s action in the eastern Pacific.”Just as Al-Qaeda waged war on our homeland, these cartels are waging war on our border and our people. There will be no refuge or forgiveness — only justice,” he wrote.President Donald Trump’s administration has said in a notice to Congress that the United States is engaged in “armed conflict” with Latin American drug cartels, describing them as terrorist groups as part of its justification for the strikes.”The president determined these cartels are non-state armed groups, designated them as terrorist organizations, and determined that their actions constitute an armed attack against the United States,” said the notice from the Pentagon, which also described suspected smugglers as “unlawful combatants.”But Washington has not released evidence to support its assertion that the targets of its strikes are drug smugglers, and experts say the summary killings are illegal even if they target confirmed narcotics traffickers.- Regional tensions -There were survivors of a US strike for the first time last week, but Washington chose to repatriate them rather than put them on trial for their alleged crimes.Ecuador released one after finding no evidence that he had committed a crime, while authorities in Colombia said the other — who “arrived with brain trauma, sedated, drugged, breathing with a ventilator” — would face prosecution.The US military campaign — which has seen Washington deploy stealth warplanes and Navy ships as part of what it says are counter-narcotics efforts — has fueled tensions with countries in the region.This is especially the case with Venezuela, where the buildup of US forces has sparked fears that the ultimate goal is the overthrow of President Nicolas Maduro, whom Washington accuses of heading a drug cartel.The United States has not specified the origin of the vessels it has targeted — seven boats and one semi-submersible — but has said that some were destroyed off the coast of Venezuela in international waters.Meanwhile, a public feud between Trump and Colombia’s leftist leader Gustavo Petro intensified in recent weeks over the Republican president’s deadly anti-drug campaign.Trump on Sunday vowed to end all aid to the South American nation — a historically close US partner and the world’s leading cocaine producer — and branded Petro, who has accused the US president of murder, as an “illegal drug dealer.”Colombia on Monday recalled its ambassador to the United States, but Petro met with the top US diplomat in his country the following day to discuss counter-narcotics efforts, with Bogota’s foreign ministry saying the two sides “reaffirmed the commitment of both parties to improve drug fighting strategies.”






