Stocks extend gains on US rate-cut bets

Stock markets rose Wednesday, with Wall Street building on the previous day’s record highs after steady US inflation data fuelled hopes that the US Federal Reserve will cut interest rates.The broad-based S&P 500 index and the tech-heavy Nasdaq extended gains after reaching new summits on Tuesday.Tokyo’s Nikkei index followed suit on Wednesday, hitting a record as it closed 1.3 percent higher.European stock markets also finished in the green.Investors have worried about the impact that US President Donald Trump’s tariffs will have on US inflation and growth in the world’s biggest economy.But official figures showed Tuesday that the US consumer price index (CPI) remained steady at 2.7 percent in July, unchanged from June. Investors shrugged off data showing that core CPI — a measure of inflation that strips out volatile food and energy prices — accelerated in July to the fastest pace in six months to 3.1 percent.”Even as core CPI was accelerating, markets were reassured because the tariff impact on inflation didn’t look so obvious this time,” Deutsche Bank analysts said in a note.Markets could have reacted negatively as core inflation is usually the data point favoured by the Fed to make decisions on interest rates, said Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at Swissquote Bank.”Investors instead increased September cut expectations, thinking that imported goods inflation remained lower than feared as companies continued to absorb tariff costs,” she said.Trump has repeatedly demanded that the independent Fed cut rates and lambasted its chief, Jerome Powell, over the issue. The central bank, which will make its next interest-rate decision in September, has kept borrowing costs unchanged for now.The dollar slumped against other major currencies as the prospect of lower interest rates reduced its appeal to foreign investors.Investor focus was also on a summit in Alaska on Friday between Trump and Russian leader Vladimir Putin on the three-year-old Ukraine war.And oil prices fell more than one percent as the International Energy Agency raised its forecast for supply growth in 2025 and 2026 — leaving the world with a surplus — after OPEC+ decided to raise production.- Key figures at around 1540 GMT -New York – Dow: UP 0.8 percent at 44,790.31 pointsNew York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,456.15New York – Nasdaq: UP 0.1 percent at 21,700.95London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,165.23 (close)Paris – CAC 40: UP 0.7 percent at 7,804.97 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.7 percent at 24,185.59 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 43,274.67 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 2.6 percent at 25,613.67 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,683.46 (close)Euro/dollar: UP at $1.1713 from $1.1677 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.3571 from $1.3501Dollar/yen: DOWN at 147.24 yen from 147.77 yenEuro/pound: DOWN at 86.31 pence from 86.45 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.4 percent at $62.28 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.2 percent at $65.32 per barrel

PMU: l’Etat fait le pari du changement de statut et de gouvernance

L’Etat vient au secours de la filière hippique confrontée à une baisse des paris et préconise une réforme, un “Pacte PMU 2030”, qui entend changer le statut et la gouvernance de l’opérateur.Le PMU, né en 1930, est un Groupement d’intérêt économique (GIE) détenu par France Galop et la SETF (Société d’encouragement à l’élevage du trotteur français) qui se partagent à parts égales le bénéfice net (8% des mises) pour financer la filière hippique et ses 40.000 emplois.Les joueurs empochent 75% des mises sous forme de gains tandis que l’Etat en reçoit 9%.Selon le bilan 2024 de l’Autorité nationale des jeux (ANJ), le PMU a enregistré 6,6 milliards d’euros de mises l’an dernier, pour 1,7 milliard de produit brut des jeux (différence entre les mises des joueurs et leurs gains), en baisse de 2% sur un an.Et l’année 2025 ne s’annonce pas sous de meilleurs auspices puisque selon France Galop en juin, les mises étaient en baisse de 4% depuis le début de l’année. Mercredi, le gouvernement, s’appuyant sur  un rapport de l’Inspection Générale des Finances (IGF) qui confirme “la tendance à la baisse des enjeux du pari hippique”, a annoncé un “Pacte PMU 2030” dont l’une des plus importantes mesures sera, de “rénover la gouvernance” et changer le statut du PMU pour le faire évoluer en GIE commercial. Ce statut de GIE commercial, selon certains médias, permettrait notamment de ne plus reverser la totalité de son bénéfice net aux sociétés mères et de constituer des réserves. Le PMU aurait “davantage d’autonomie stratégique” et “cela renforce l’entreprise et sa profitabilité”, souligne Bercy auprès de l’AFP, En juin, le départ d’Emmanuelle Malecaze-Doublet, qui dirigeait le PMU depuis juillet 2022 a été dévoilé sans qu’aucun successeur ne soit annoncé. “L’enjeu c’est de retrouver une dynamique de croissance” avait alors souligné une source au sein d’une société de courses.- Bisbilles -L’Etat demande également mercredi aux sociétés mères, France Galop et la SETF, de “poursuivre les efforts d’économies et de réduction pérenne des charges en favorisant davantage la mutualisation de leurs services, et dégager, en parallèle, de nouvelles recettes hors-paris”.France Galop a annoncé fin mai un plan d’économies et de “retour à l’équilibre”: la société diminuera progressivement ses charges d’organisation des courses de 20 millions d’euros à horizon 2029, et surtout elle va réduire de 20,3 millions les “encouragements” (allocations versées à la filière) à partir de 2026, après une réduction de 10,5 millions cette année.L’assemblée générale du PMU fin juin avait été source de bisbille entre les deux sociétés, la SETF refusant d’approuver les comptes 2024. Les professionnels de la filière avaient alors publié une lettre ouverte poussant les sociétés mères à rassurer immédiatement les professionnels de leur bonne collaboration.Le gouvernement a désigné mercredi Eric Woerth, député de l’Oise, pour diriger la mise en oeuvre du “Pacte PMU 2030”. Il aura pour mission “de formaliser un accord stratégique avec les sociétés mères en s’appuyant sur les recommandations de l’IGF, de définir le contenu du Pacte PMU 2030, de proposer une réforme de la gouvernance du PMU et de fixer la clé de répartition entre les sociétés mères, et de formaliser le mandat de la prochaine équipe de direction du PMU”.La filière avait échappé cette année, après une large mobilisation, à une hausse des taxes sur les paris hippiques en point de vente. La loi de finance 2025 a en outre introduit la possibilité de parier en direct sur des courses hippiques.

PMU: l’Etat fait le pari du changement de statut et de gouvernance

L’Etat vient au secours de la filière hippique confrontée à une baisse des paris et préconise une réforme, un “Pacte PMU 2030”, qui entend changer le statut et la gouvernance de l’opérateur.Le PMU, né en 1930, est un Groupement d’intérêt économique (GIE) détenu par France Galop et la SETF (Société d’encouragement à l’élevage du trotteur français) qui se partagent à parts égales le bénéfice net (8% des mises) pour financer la filière hippique et ses 40.000 emplois.Les joueurs empochent 75% des mises sous forme de gains tandis que l’Etat en reçoit 9%.Selon le bilan 2024 de l’Autorité nationale des jeux (ANJ), le PMU a enregistré 6,6 milliards d’euros de mises l’an dernier, pour 1,7 milliard de produit brut des jeux (différence entre les mises des joueurs et leurs gains), en baisse de 2% sur un an.Et l’année 2025 ne s’annonce pas sous de meilleurs auspices puisque selon France Galop en juin, les mises étaient en baisse de 4% depuis le début de l’année. Mercredi, le gouvernement, s’appuyant sur  un rapport de l’Inspection Générale des Finances (IGF) qui confirme “la tendance à la baisse des enjeux du pari hippique”, a annoncé un “Pacte PMU 2030” dont l’une des plus importantes mesures sera, de “rénover la gouvernance” et changer le statut du PMU pour le faire évoluer en GIE commercial. Ce statut de GIE commercial, selon certains médias, permettrait notamment de ne plus reverser la totalité de son bénéfice net aux sociétés mères et de constituer des réserves. Le PMU aurait “davantage d’autonomie stratégique” et “cela renforce l’entreprise et sa profitabilité”, souligne Bercy auprès de l’AFP, En juin, le départ d’Emmanuelle Malecaze-Doublet, qui dirigeait le PMU depuis juillet 2022 a été dévoilé sans qu’aucun successeur ne soit annoncé. “L’enjeu c’est de retrouver une dynamique de croissance” avait alors souligné une source au sein d’une société de courses.- Bisbilles -L’Etat demande également mercredi aux sociétés mères, France Galop et la SETF, de “poursuivre les efforts d’économies et de réduction pérenne des charges en favorisant davantage la mutualisation de leurs services, et dégager, en parallèle, de nouvelles recettes hors-paris”.France Galop a annoncé fin mai un plan d’économies et de “retour à l’équilibre”: la société diminuera progressivement ses charges d’organisation des courses de 20 millions d’euros à horizon 2029, et surtout elle va réduire de 20,3 millions les “encouragements” (allocations versées à la filière) à partir de 2026, après une réduction de 10,5 millions cette année.L’assemblée générale du PMU fin juin avait été source de bisbille entre les deux sociétés, la SETF refusant d’approuver les comptes 2024. Les professionnels de la filière avaient alors publié une lettre ouverte poussant les sociétés mères à rassurer immédiatement les professionnels de leur bonne collaboration.Le gouvernement a désigné mercredi Eric Woerth, député de l’Oise, pour diriger la mise en oeuvre du “Pacte PMU 2030”. Il aura pour mission “de formaliser un accord stratégique avec les sociétés mères en s’appuyant sur les recommandations de l’IGF, de définir le contenu du Pacte PMU 2030, de proposer une réforme de la gouvernance du PMU et de fixer la clé de répartition entre les sociétés mères, et de formaliser le mandat de la prochaine équipe de direction du PMU”.La filière avait échappé cette année, après une large mobilisation, à une hausse des taxes sur les paris hippiques en point de vente. La loi de finance 2025 a en outre introduit la possibilité de parier en direct sur des courses hippiques.

Supercoupe d’Europe: une reprise très particulière pour Paris, en plein psychodrame Donnarumma

Une semaine à peine après avoir repris l’entraînement, le PSG dispute mercredi à Udine la Supercoupe d’Europe face à Tottenham dans des conditions très particulières, un contexte rendu encore plus inflammable par la mise à l’écart de Gianluigi Donnarumma, clairement poussé vers la sortie. En l’absence d’une préparation digne de ce nom et dans un état de fraîcheur très douteux, Paris aborde ce premier rendez-vous de la saison sans repères et sans aucune certitude sur le plan physique.Après avoir bouclé l’exercice le plus glorieux de son histoire en finale du Mondial des clubs par une lourde défaite contre Chelsea (3-0), le 13 juillet dans le New Jersey, l’équipe de Luis Enrique a profité de trois semaines de repos avant de retrouver les terrains du Campus PSG à Poissy le 6 août. Malgré son statut de champion d’Europe, c’est donc dans l’inconnu le plus total que Paris va défier les Spurs.”Je ne sais pas quel niveau on va pouvoir proposer”, a d’ailleurs admis l’entraîneur parisien mardi.  Une situation guère confortable, même si cette rencontre, qui oppose traditionnellement chaque année le vainqueur de la Ligue des champions à celui de la Ligue Europa, ne constitue pas en soi un objectif prioritaire pour les Parisiens. L’enjeu sera plus symbolique que sportif lors d’une partie qui sera disputée dans le petit stade de l’Udinese, d’une capacité de 25.000 spectateurs. Le PSG, qui débutera la Ligue 1 dimanche à Nantes, n’entrera véritablement dans le vif du sujet de cette nouvelle saison que mi-septembre quand il s’agira de se lancer dans la défense de la C1 remportée à l’issue d’une finale de rêve face à l’Inter Milan (5-0), le 31 mai à Munich.- Chevalier une première sous pression -Tottenham, qui sort d’un exercice catastrophique (17e de Premier League) sauvé in extremis par sa victoire en C3, n’aurait, dans une configuration habituelle, quasiment aucune chance de bousculer la formidable machine parisienne. Mais les Londoniens, qui ont dit adieu à leur star sud-coréenne Heung-min Son, parti au Los Angeles FC, ont déjà joué six amicaux depuis leur reprise de l’entraînement le 5 juillet sous les ordres de leur nouvel entraîneur Thomas Frank et devraient être beaucoup plus prêts que les Parisiens.”On a eu une pré-saison plus normale, ce dont chaque technicien aimerait disposer avant le premier grand match de la saison. Mais il y a des avantages et des inconvénients comparé au PSG. Ils ont eu une longue saison et ont joué des rencontres très dures il y a quatre-cinq semaines mais ils ont depuis récupéré de la fraîcheur pour nous affronter. Ce sera une partie disputée, mais nous serons compétitifs”, a estimé le coach de Tottenham. Pour se compliquer encore un peu plus la tâche, le PSG s’est offert un psychodrame dont il a le secret en plaçant Donnarumma sur la touche. Héros de la magnifique campagne en Ligue des champions, le gardien italien a été dispensé du déplacement à Udine, une véritable humiliation pour le joueur qui ne fait plus partie des plans de Luis Enrique à un an de la fin de son contrat.”Ce sont toujours des décisions difficiles à prendre. Je ne peux que parler en bien de Donnarumma. +Gigio+ est l’un des meilleurs joueurs à son poste sans aucun doute. Il est encore une meilleure personne, mais on cherchait un profil de gardien différent. Mon objectif est d’améliorer l’équipe. C’est ma décision et le club me soutient”, a expliqué Luis Enrique.Ce déclassement soudain intervient trois jours seulement après l’arrivée du portier N.2 de l’équipe de France, Lucas Chevalier, qui sera donc aligné d’entrée contre les Spurs. L’ex-Lillois de 23 ans devra avoir les nerfs assez solides pour supporter la pression et n’a pas intérêt à commettre d’impairs, sous peine d’alimenter le débat sur le choix de la direction sportive du PSG.Pour Paris, il s’agira aussi d’effacer un très mauvais souvenir, qui a longtemps été l’objet de moqueries de la part de ses détracteurs. Vainqueur de la Coupe des coupes en 1996, le club de la capitale avait été étrillé ensuite en Supercoupe d’Europe par la Juventus Turin de Zinédine Zidane et Didier Deschamps (6-1, 3-1). Une lourde déconvenue à laquelle le PSG aimerait ne plus penser en devenant le premier représentant français à inscrire son nom au palmarès de l’épreuve. 

Supercoupe d’Europe: une reprise très particulière pour Paris, en plein psychodrame Donnarumma

Une semaine à peine après avoir repris l’entraînement, le PSG dispute mercredi à Udine la Supercoupe d’Europe face à Tottenham dans des conditions très particulières, un contexte rendu encore plus inflammable par la mise à l’écart de Gianluigi Donnarumma, clairement poussé vers la sortie. En l’absence d’une préparation digne de ce nom et dans un état de fraîcheur très douteux, Paris aborde ce premier rendez-vous de la saison sans repères et sans aucune certitude sur le plan physique.Après avoir bouclé l’exercice le plus glorieux de son histoire en finale du Mondial des clubs par une lourde défaite contre Chelsea (3-0), le 13 juillet dans le New Jersey, l’équipe de Luis Enrique a profité de trois semaines de repos avant de retrouver les terrains du Campus PSG à Poissy le 6 août. Malgré son statut de champion d’Europe, c’est donc dans l’inconnu le plus total que Paris va défier les Spurs.”Je ne sais pas quel niveau on va pouvoir proposer”, a d’ailleurs admis l’entraîneur parisien mardi.  Une situation guère confortable, même si cette rencontre, qui oppose traditionnellement chaque année le vainqueur de la Ligue des champions à celui de la Ligue Europa, ne constitue pas en soi un objectif prioritaire pour les Parisiens. L’enjeu sera plus symbolique que sportif lors d’une partie qui sera disputée dans le petit stade de l’Udinese, d’une capacité de 25.000 spectateurs. Le PSG, qui débutera la Ligue 1 dimanche à Nantes, n’entrera véritablement dans le vif du sujet de cette nouvelle saison que mi-septembre quand il s’agira de se lancer dans la défense de la C1 remportée à l’issue d’une finale de rêve face à l’Inter Milan (5-0), le 31 mai à Munich.- Chevalier une première sous pression -Tottenham, qui sort d’un exercice catastrophique (17e de Premier League) sauvé in extremis par sa victoire en C3, n’aurait, dans une configuration habituelle, quasiment aucune chance de bousculer la formidable machine parisienne. Mais les Londoniens, qui ont dit adieu à leur star sud-coréenne Heung-min Son, parti au Los Angeles FC, ont déjà joué six amicaux depuis leur reprise de l’entraînement le 5 juillet sous les ordres de leur nouvel entraîneur Thomas Frank et devraient être beaucoup plus prêts que les Parisiens.”On a eu une pré-saison plus normale, ce dont chaque technicien aimerait disposer avant le premier grand match de la saison. Mais il y a des avantages et des inconvénients comparé au PSG. Ils ont eu une longue saison et ont joué des rencontres très dures il y a quatre-cinq semaines mais ils ont depuis récupéré de la fraîcheur pour nous affronter. Ce sera une partie disputée, mais nous serons compétitifs”, a estimé le coach de Tottenham. Pour se compliquer encore un peu plus la tâche, le PSG s’est offert un psychodrame dont il a le secret en plaçant Donnarumma sur la touche. Héros de la magnifique campagne en Ligue des champions, le gardien italien a été dispensé du déplacement à Udine, une véritable humiliation pour le joueur qui ne fait plus partie des plans de Luis Enrique à un an de la fin de son contrat.”Ce sont toujours des décisions difficiles à prendre. Je ne peux que parler en bien de Donnarumma. +Gigio+ est l’un des meilleurs joueurs à son poste sans aucun doute. Il est encore une meilleure personne, mais on cherchait un profil de gardien différent. Mon objectif est d’améliorer l’équipe. C’est ma décision et le club me soutient”, a expliqué Luis Enrique.Ce déclassement soudain intervient trois jours seulement après l’arrivée du portier N.2 de l’équipe de France, Lucas Chevalier, qui sera donc aligné d’entrée contre les Spurs. L’ex-Lillois de 23 ans devra avoir les nerfs assez solides pour supporter la pression et n’a pas intérêt à commettre d’impairs, sous peine d’alimenter le débat sur le choix de la direction sportive du PSG.Pour Paris, il s’agira aussi d’effacer un très mauvais souvenir, qui a longtemps été l’objet de moqueries de la part de ses détracteurs. Vainqueur de la Coupe des coupes en 1996, le club de la capitale avait été étrillé ensuite en Supercoupe d’Europe par la Juventus Turin de Zinédine Zidane et Didier Deschamps (6-1, 3-1). Une lourde déconvenue à laquelle le PSG aimerait ne plus penser en devenant le premier représentant français à inscrire son nom au palmarès de l’épreuve.