Wall Street reprend son souffle après de nouveaux records

La Bourse de New York marque une pause vendredi après avoir touché des sommets la veille, poussée par les perspectives de baisses de taux de la banque centrale américaine (Fed).Vers 13H45 GMT, le Dow Jones reculait de 0,13%, tandis que l’indice Nasdaq (+0,07%) et l’indice élargi S&P 500 (-0,04%) étaient proches de l’équilibre.La veille, les trois indices vedettes de la place new-yorkaise ont touché des records en clôture. “Le marché fait une petite pause” vendredi et “nous observons quelques prises de bénéfices”, commente auprès de l’AFP Steve Sosnick, d’Interactive Brokers.”La raison pour laquelle nous avons enregistré une progression hier s’explique par (…) les espoirs de baisse des taux” en raison du ralentissement du marché de l’emploi aux Etats-Unis, poursuit l’analyste.La veille, les demandes hebdomadaires d’allocations chômage ont accéléré à 263.000, un chiffre plus vu depuis 2021 alors que les analystes s’attendaient à une stabilisation.Ces chiffres viennent s’ajouter à des créations d’emplois atones.La grande majorité des acteurs du marché estiment ainsi que la Réserve fédérale baissera ses taux d’un quart de point lors de sa prochaine réunion prévue les 16 et 17 septembre.La Fed dispose toutefois d’un double mandat: elle doit certes veiller à ce que le marché de l’emploi reste dynamique, mais aussi maintenir l’inflation proche de 2% sur le long terme.Aussi, Steve Sosnick n’est pas convaincu que l’institution s’engagera dans un nouveau cycle de baisse des taux sur le long terme, car “l’inflation a très légèrement augmenté”.L’indice des prix à la consommation d’août, publié jeudi, est ressorti en hausse de +0,4% sur un mois, après +0,2% en juillet, selon le ministère américain du Travail, soit légèrement au-dessus des attentes du marché.La journée sera pauvre en nouvelles économiques, mis à part la publication d’un indice sur la confiance des consommateurs américains à 14H00 GMT.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à échéance 10 ans se tendait à 4,06% vers 13H45 GMT contre 4,02% la veille en clôture.A la cote, l’éditeur de logiciels Adobe reculait (-1,42% à 345,58 dollars) malgré des résultats meilleurs qu’attendu pour le troisième trimestre, profitant notamment de ses investissements dans l’intelligence artificielle (IA).Le groupe de médias Warner Bros Discovery poursuivait son ascension (+9,71% à 17,74 dollars) après des informations de presse publiées la veille assurant que son concurrent Paramount Skydance pourrait le racheter, et former ainsi un mastodonte du divertissement.Selon le Wall Street Journal, Paramount Skydance (Nickelodeon, MTV, Paramount) serait prêt à s’emparer de la majorité des actions du conglomérat rassemblant entre autres le studio de cinéma Warner Bros et les chaînes de télévision HBO et CNN. Le spécialiste des serveurs et des infrastructures d’informatique à distance Super Micro Computer était recherché (+2,30% à 44,96 dollars) après avoir annoncé qu’il commençait à livrer des systèmes équipés de puces Nvidia, considérées comme hautement performantes.Les investisseurs surveilleront vendredi l’introduction en Bourse de la plateforme Gemini, spécialisée dans les cryptomonnaies et fondée en 2014 par les frères jumeaux Cameron et Tyler Winklevoss, rendus célèbres par le film “The Social Network” sur la naissance de Facebook. Gemini espère de lever plus de 300 millions de dollars.La chaîne de cafés Black Rock Coffee Bar et le spécialiste des technologies pour les réseaux de transports en commun Via Transportation devraient aussi faire leur début à Wall Street. 

La France remporte une bataille dans un litige immobilier avec la Guinée équatoriale

La Cour internationale de justice (CIJ) a rejeté vendredi une requête de la Guinée équatoriale dans un différend de longue date avec la France au sujet d’un hôtel particulier parisien, confisqué par les autorités françaises dans l’affaire dite des “biens mal acquis”.La Guinée équatoriale avait demandé à la CIJ d’émettre des ordonnances d’urgence afin d’empêcher la France de vendre la luxueuse propriété parisienne saisie en 2012, qui comprend un cinéma, un hammam et des sanitaires en marbre et en or.”Après avoir examiné attentivement les arguments des parties, la cour conclut que la Guinée équatoriale n’a pas démontré… qu’elle possède un droit plausible à la restitution du bâtiment”, a déclaré le juge président Yuji Iwasawa.”Par ces motifs, la cour, par 13 voix contre 2, rejette la demande en indication de mesures conservatoires”, a-t-il ajouté.Les deux pays se disputent depuis plus d’une décennie la propriété située avenue Foch, près de l’Arc de Triomphe.L’immeuble, d’une valeur estimée à plus de 100 millions d’euros, avait été saisi dans le cadre d’une enquête pour corruption visant le vice-président équatoguinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue, communément appelé Teodorin.En 2021, la justice française a définitivement condamné Teodorin – fils aîné de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la Guinée équatoriale depuis 1979 – à trois ans de prison avec sursis, 30 millions d’euros d’amende et à la confiscation de tous ses biens saisis pour “blanchiment d’abus de biens sociaux, de détournement de fonds publics et d’abus de confiance” entre 1997 et 2011.Malabo voulait que la CIJ ordonne à la France de ne pas vendre l’hôtel particulier et à autoriser “un accès immédiat, complet et sans entrave” à l’immeuble.La Guinée équatoriale affirme que la police française a pénétré dans la propriété en juin, changé les serrures de plusieurs portes et détruit les caméras de sécurité.- “Mépris” -L’approche de la France pourrait être qualifiée de “paternaliste, voire néocoloniale”, avait déclaré Carmelo Nvono-Nca, ambassadeur de la République de Guinée équatoriale en France, lors d’une audience devant la CIJ à La Haye en juillet.”Nous ne pouvons pas accepter un tel mépris de notre souveraineté de la part de la France”, avait-il ajouté.En réponse à ces accusations, la France avait dénoncé “une énième manœuvre abusive de la Guinée équatoriale” auprès des juges.”La France regrette que, à l’heure où le rôle de la cour est si chargé par de nombreuses affaires d’ampleur, la Guinée équatoriale mobilise une nouvelle fois votre office”, avait déclaré Diégo Colas, directeur des affaires juridiques au ministère des Affaires étrangères.Une demande d’ordonnances d’urgence – des mesures conservatoires, dans le jargon de la juridiction – prime sur toutes les autres affaires judiciaires en cours à la CIJ, qui statue sur les différends entre Etats membres de l’ONU.La CIJ traite actuellement plusieurs dossiers importants, notamment une affaire très médiatisée intentée par l’Afrique du Sud contre Israël, accusé de “génocide” dans la bande de Gaza.La juridiction a également rendu en juillet un avis très attendu sur les obligations des pays en matière de changement climatique.

La France remporte une bataille dans un litige immobilier avec la Guinée équatoriale

La Cour internationale de justice (CIJ) a rejeté vendredi une requête de la Guinée équatoriale dans un différend de longue date avec la France au sujet d’un hôtel particulier parisien, confisqué par les autorités françaises dans l’affaire dite des “biens mal acquis”.La Guinée équatoriale avait demandé à la CIJ d’émettre des ordonnances d’urgence afin d’empêcher la France de vendre la luxueuse propriété parisienne saisie en 2012, qui comprend un cinéma, un hammam et des sanitaires en marbre et en or.”Après avoir examiné attentivement les arguments des parties, la cour conclut que la Guinée équatoriale n’a pas démontré… qu’elle possède un droit plausible à la restitution du bâtiment”, a déclaré le juge président Yuji Iwasawa.”Par ces motifs, la cour, par 13 voix contre 2, rejette la demande en indication de mesures conservatoires”, a-t-il ajouté.Les deux pays se disputent depuis plus d’une décennie la propriété située avenue Foch, près de l’Arc de Triomphe.L’immeuble, d’une valeur estimée à plus de 100 millions d’euros, avait été saisi dans le cadre d’une enquête pour corruption visant le vice-président équatoguinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue, communément appelé Teodorin.En 2021, la justice française a définitivement condamné Teodorin – fils aîné de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la Guinée équatoriale depuis 1979 – à trois ans de prison avec sursis, 30 millions d’euros d’amende et à la confiscation de tous ses biens saisis pour “blanchiment d’abus de biens sociaux, de détournement de fonds publics et d’abus de confiance” entre 1997 et 2011.Malabo voulait que la CIJ ordonne à la France de ne pas vendre l’hôtel particulier et à autoriser “un accès immédiat, complet et sans entrave” à l’immeuble.La Guinée équatoriale affirme que la police française a pénétré dans la propriété en juin, changé les serrures de plusieurs portes et détruit les caméras de sécurité.- “Mépris” -L’approche de la France pourrait être qualifiée de “paternaliste, voire néocoloniale”, avait déclaré Carmelo Nvono-Nca, ambassadeur de la République de Guinée équatoriale en France, lors d’une audience devant la CIJ à La Haye en juillet.”Nous ne pouvons pas accepter un tel mépris de notre souveraineté de la part de la France”, avait-il ajouté.En réponse à ces accusations, la France avait dénoncé “une énième manœuvre abusive de la Guinée équatoriale” auprès des juges.”La France regrette que, à l’heure où le rôle de la cour est si chargé par de nombreuses affaires d’ampleur, la Guinée équatoriale mobilise une nouvelle fois votre office”, avait déclaré Diégo Colas, directeur des affaires juridiques au ministère des Affaires étrangères.Une demande d’ordonnances d’urgence – des mesures conservatoires, dans le jargon de la juridiction – prime sur toutes les autres affaires judiciaires en cours à la CIJ, qui statue sur les différends entre Etats membres de l’ONU.La CIJ traite actuellement plusieurs dossiers importants, notamment une affaire très médiatisée intentée par l’Afrique du Sud contre Israël, accusé de “génocide” dans la bande de Gaza.La juridiction a également rendu en juillet un avis très attendu sur les obligations des pays en matière de changement climatique.

La France remporte une bataille dans un litige immobilier avec la Guinée équatoriale

La Cour internationale de justice (CIJ) a rejeté vendredi une requête de la Guinée équatoriale dans un différend de longue date avec la France au sujet d’un hôtel particulier parisien, confisqué par les autorités françaises dans l’affaire dite des “biens mal acquis”.La Guinée équatoriale avait demandé à la CIJ d’émettre des ordonnances d’urgence afin d’empêcher la France de vendre la luxueuse propriété parisienne saisie en 2012, qui comprend un cinéma, un hammam et des sanitaires en marbre et en or.”Après avoir examiné attentivement les arguments des parties, la cour conclut que la Guinée équatoriale n’a pas démontré… qu’elle possède un droit plausible à la restitution du bâtiment”, a déclaré le juge président Yuji Iwasawa.”Par ces motifs, la cour, par 13 voix contre 2, rejette la demande en indication de mesures conservatoires”, a-t-il ajouté.Les deux pays se disputent depuis plus d’une décennie la propriété située avenue Foch, près de l’Arc de Triomphe.L’immeuble, d’une valeur estimée à plus de 100 millions d’euros, avait été saisi dans le cadre d’une enquête pour corruption visant le vice-président équatoguinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue, communément appelé Teodorin.En 2021, la justice française a définitivement condamné Teodorin – fils aîné de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la Guinée équatoriale depuis 1979 – à trois ans de prison avec sursis, 30 millions d’euros d’amende et à la confiscation de tous ses biens saisis pour “blanchiment d’abus de biens sociaux, de détournement de fonds publics et d’abus de confiance” entre 1997 et 2011.Malabo voulait que la CIJ ordonne à la France de ne pas vendre l’hôtel particulier et à autoriser “un accès immédiat, complet et sans entrave” à l’immeuble.La Guinée équatoriale affirme que la police française a pénétré dans la propriété en juin, changé les serrures de plusieurs portes et détruit les caméras de sécurité.- “Mépris” -L’approche de la France pourrait être qualifiée de “paternaliste, voire néocoloniale”, avait déclaré Carmelo Nvono-Nca, ambassadeur de la République de Guinée équatoriale en France, lors d’une audience devant la CIJ à La Haye en juillet.”Nous ne pouvons pas accepter un tel mépris de notre souveraineté de la part de la France”, avait-il ajouté.En réponse à ces accusations, la France avait dénoncé “une énième manœuvre abusive de la Guinée équatoriale” auprès des juges.”La France regrette que, à l’heure où le rôle de la cour est si chargé par de nombreuses affaires d’ampleur, la Guinée équatoriale mobilise une nouvelle fois votre office”, avait déclaré Diégo Colas, directeur des affaires juridiques au ministère des Affaires étrangères.Une demande d’ordonnances d’urgence – des mesures conservatoires, dans le jargon de la juridiction – prime sur toutes les autres affaires judiciaires en cours à la CIJ, qui statue sur les différends entre Etats membres de l’ONU.La CIJ traite actuellement plusieurs dossiers importants, notamment une affaire très médiatisée intentée par l’Afrique du Sud contre Israël, accusé de “génocide” dans la bande de Gaza.La juridiction a également rendu en juillet un avis très attendu sur les obligations des pays en matière de changement climatique.

ICJ backs France in Equatorial Guinea mansion rowFri, 12 Sep 2025 13:54:44 GMT

The top UN court on Friday backed France in a long-running dispute with Equatorial Guinea over a multi-million-euro Paris mansion seized during a corruption probe into the country’s vice-president.Equatorial Guinea had asked the International Court of Justice to issue emergency orders to prevent France selling the luxury building, also seized in 2012, which boasts a …

ICJ backs France in Equatorial Guinea mansion rowFri, 12 Sep 2025 13:54:44 GMT Read More »

Charlie Kirk’s killing: what we know

Authorities have taken into custody a person they believe is linked to the killing of Charlie Kirk, a right-wing activist and close ally of Donald Trump, the president himself announced Friday.Here is what we know so far:- The shooting -Kirk, head of the country’s largest conservative youth movement, which he co-founded in 2012 at the age of 18, was speaking around noon Wednesday on the campus of Utah Valley University.Former Utah congressman Jason Chaffetz, who was at the event, told Fox News that Kirk was responding to a question when a shot rang out.The 31-year-old collapsed with a neck wound, according to a video clip shot from a nearby location. He was pronounced dead soon after in an announcement by Trump.Authorities said the killer used a high-powered, bolt-action rifle, firing from the roof of a building up to 200 yards (185 meters) away from his target. They said the killer was lying prone, a position that can increase accuracy.- Person detained – Trump announced Friday on Fox News that authorities have apparently taken into custody the main suspect — but he was not definitive.”We have the person that we think is the person we’re looking for.”Trump did not identify the person. Law enforcement and local authorities were set to give a press conference shortly in Orem, Utah.Until Trump’s announcement, delivered on Fox’s popular breakfast news show, police had appeared to be struggling to make a breakthrough.Late Thursday, officials in Orem held a press conference releasing more details about the suspect’s clothing and initial movements after the shooting, pleading with the public to help identify him.That may have helped. Trump said that the suspect was turned in by “somebody very close to him.”Utah Governor Spencer Cox said prosecutors “will pursue the death penalty.”- The motive -No official suggestion has been made about the motive.In a briefing late on Thursday, Cox warned that social media was filling with “a tremendous amount of disinformation.” He said “our adversaries want violence” and cited China and Russia in particular as using bots to spread discord online.Kirk was a star on the Republican right and a particularly close ally of Trump, helping him to make surging gains in the youth vote when he won election last November.However, Kirk espoused multiple far-right views, making him hugely controversial for Democrats. He also fell out at times with fellow members of the Republican right — some of them, such as white nationalist leader Nick Fuentes, saying he was not hard-right enough.The United States has seen repeated political violence over the last decade, including two assassination attempts on Trump — and in addition to a long history of political violence stretching back decades.- The political reaction -Politicians on all sides quickly condemned the killing, many of them calling on Americans to heal growing divisions.Trump’s first reaction on Wednesday was to blame “the radical left.” He toned his rhetoric down on Thursday and said that Kirk had been “an advocate of nonviolence.””That’s the way I’d like to see people respond,” he said.Kirk is being treated as a national hero by the Trump administration.Trump announced on Thursday he would posthumously decorate Kirk with America’s highest civilian honor, the Medal of Freedom.The Republican president also told reporters that he would attend Kirk’s funeral.Kirk’s coffin was transported to his home city of Phoenix on Vice President JD Vance’s official plane.

Stocks, dollar diverge with focus on rates

Global stocks on Friday mostly held onto gains made earlier this week on expectations of a cut to US interest rates. Wall Street opened mixed after reaching fresh record highs the previous day as US inflation and jobless claims data cemented expectations that the Federal Reserve will trim borrowing costs at its meeting next week.”Stock markets (are) at record highs on hopes for falling interest rates,” noted Derren Nathan, head of equity research at stockbroker Hargreaves Lansdown.Markets expect the Fed to cut interest rates by a quarter point next week, and make another two cuts of the same size at its two remaining meetings this year.Briefing.com analyst Patrick O’Hare said a lack of buying conviction on Wall Street wasn’t notable, but rather the lack of selling conviction despite reaching new all-time highs which could spark concerns about valuations.”The market is effectively riding the trend until the price action tells it to jump off that ride,” said O’Hare. “That message hasn’t been delivered yet.”European stock markets were steady in afternoon trading, while Asia’s main indices made gains.There were fresh records this week also for the Tokyo and Seoul stock markets, while London on Friday neared a new all-time high.London’s benchmark FTSE 100 rose thanks to a drop in the British pound following data showing the UK economy stalled in July.”While the data underscores the fragile state of the UK economy, sterling weakness and continued strength in energy and financial names are helping the index outperform broader European peers,” said Joshua Mahony, chief market analyst at traders Scope Markets.Hong Kong led the way among Asia’s top stock markets on Friday, closing up more than one percent thanks to a surge of more than five percent in the share price of Alibaba.The e-commerce titan’s New York stock had spiked eight percent Thursday, helped by its latest moves in the artificial intelligence sector.This week saw also more record highs for the price of gold, viewed as a safe haven investment, following escalating tensions over the Israel-Gaza and Russia-Ukraine conflicts.Russia’s central bank on Friday trimmed its key interest rate to 17 percent as the country risks an economic slowdown. The Bank of England is next week widely expected to keep its key rate on hold as elevated UK inflation offsets stagnant growth.The European Central Bank on Thursday held interest rates steady with eurozone inflation under control and trade tensions having eased, even as France’s political crisis presents policymakers with a fresh challenge.- Key figures at around 1330 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 46,015.94 pointsNew York – S&P 500: DOWN less than 0.1 percent at 6,583.93New York – Nasdaq Composite: UP 0.1 percent at 22,072.28London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 9,328.56 Paris – CAC 40: UP 0.1 percent at 7,831.03Frankfurt – DAX: DOWN less than 0.1 percent at 23,693.87Tokyo – Nikkei 225: UP 0.9 percent at 44,768.12 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.2 percent at 26,388.16 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,870.60 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1710 from $1.1732 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3540 from $1.3580 Dollar/yen: UP at 147.82 from 147.18 yen Euro/pound: UP at 86.48 pence from 86.43 penceBrent North Sea Crude: UP 1.5 percent at $67.37 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.4 percent at $63.22 per barrelburs-rl/lth

Le Kremlin dit que les négociations de paix avec l’Ukraine sont en “pause”

Le Kremlin a estimé vendredi que les négociations entre la Russie et l’Ukraine pour mettre fin au conflit étaient en “pause”, Donald Trump prévenant lui que sa patience avec Vladimir Poutine s’épuisait “rapidement”.La Russie et le Bélarus, son allié fidèle, ont par ailleurs entamé vendredi des exercices militaires conjoints qui suscitent l’inquiétude de leurs voisins membres de l’Otan, quelques jours après l’intrusion sans précédent de drones russes sur le territoire polonais.Ces manoeuvres se déroulent alors que l’armée russe progresse sur le front ukrainien et intensifie ses attaques aériennes sur les villes d’Ukraine, en dépit de tentatives diplomatiques pour mettre fin à trois ans et demi d’une offensive à grande échelle.Des sessions de pourparlers à Istanbul plus tôt cette année n’ont pas permis de réelle avancée, hormis un accord sur des échanges de prisonniers de guerre.Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a affirmé vendredi qu'”on peut plutôt parler d’une pause” dans les négociations, même si une reprise est possible.”On ne peut pas voir la vie en rose et s’attendre à ce que le processus de négociation donne des résultats immédiats”, a-t-il ajouté lors d’un briefing auquel participait notamment l’AFP.Le président américain Donald Trump, qui veut obtenir une fin rapide du conflit, a prévenu vendredi que sa patience envers le président russe Vladimir Poutine s’épuisait “rapidement”, évoquant la possibilité de sanctions sans s’y engager fermement.Il n’a pas non plus épargné le président ukrainien Volodymyr Zelensky, l’appelant à faire davantage en glissant qu'”il faut être deux pour danser le tango”.Volodymyr Zelensky demande à rencontrer son homologue russe Vladimir Poutine pour débloquer la situation, ce que le Kremlin a pour l’heure rejeté.Les demandes des deux parties restent de toute façon opposées. La Russie demande la reddition de l’Ukraine et la cession de territoires.Kiev refuse et réclame le déploiement de troupes occidentales pour se protéger d’une future attaque, idée que la Russie juge inacceptable.- Pas de “menace” -L’intrusion d’une vingtaine de drones dans la nuit de mardi à mercredi dans l’espace aérien polonais a suscité une vive émotion en Pologne et été qualifiée de provocation par les pays occidentaux.Varsovie a dû mobiliser ses avions et ceux de ses alliés de l’Otan pour abattre certains des drones.Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a assuré vendredi que cette intrusion ne résultait pas d’une “erreur”, répondant à Donald Trump qui avait évoqué cette possibilité.La Russie a démenti avoir visé la Pologne et accusé Varsovie de n’avoir pas présenté d’éléments prouvant que les drones étaient bien russes.Dans ce contexte de tensions, Moscou et Minsk ont lancé vendredi leurs grandes manoeuvres militaires baptisées Zapad-2025 (“Ouest-2025”, en référence au fait qu’elles se déroulent dans l’ouest de l’alliance russo-bélarusse).Elles se tiennent jusqu’à mardi au Bélarus et en Russie ainsi qu’en mer de Barents et mer Baltique. Une partie a lieu dans la région bélarusse de Grodno, proche de la Pologne et de la Lituanie, selon Minsk.Une vidéo diffusée par le ministère de la Défense montre des équipements militaires lourds – véhicules blindés, hélicoptères, navires – participant aux exercices.Moscou et Minsk ont nié tout but offensif, mais la Pologne, la Lituanie et la Lettonie, pays membres de l’Otan et voisins du Bélarus, ont restreint le trafic aérien.La Pologne a aussi fermé sa frontière avec le Bélarus et affirmé que quelque 40.000 soldats devraient être présents près de cette zone pendant les manoeuvres.L’Otan a en revanche dit ne voir aucune “menace militaire immédiate” posée par ces exercices.- Ampleur réduite -Les exercices Zapad sont habituellement organisés tous les quatre ans, et cette édition est la première depuis le début du conflit en Ukraine, en février 2022. Celle de 2021 avait mobilisé environ 200.000 soldats russes, quelques mois avant le lancement de leur assaut.Cette fois, l’ampleur des exercices devrait être bien plus réduite, des centaines de milliers de soldats russes étant déployés en Ukraine.Le Bélarus avait affirmé en janvier que 13.000 soldats participeraient aux exercices, mais a indiqué en mai que ce nombre serait réduit de moitié.Sur le champ de bataille, la Russie a revendiqué la prise d’un nouveau petit village de la région de Dnipropetrovsk, dans le centre de l’Ukraine.Moscou a aussi accusé vendredi l’Ukraine d’avoir lancé un drone d’attaque sur la centrale nucléaire de Smolensk, sans causer de dégâts majeurs ou de changement dans les niveaux de radiation.

Le Kremlin dit que les négociations de paix avec l’Ukraine sont en “pause”

Le Kremlin a estimé vendredi que les négociations entre la Russie et l’Ukraine pour mettre fin au conflit étaient en “pause”, Donald Trump prévenant lui que sa patience avec Vladimir Poutine s’épuisait “rapidement”.La Russie et le Bélarus, son allié fidèle, ont par ailleurs entamé vendredi des exercices militaires conjoints qui suscitent l’inquiétude de leurs voisins membres de l’Otan, quelques jours après l’intrusion sans précédent de drones russes sur le territoire polonais.Ces manoeuvres se déroulent alors que l’armée russe progresse sur le front ukrainien et intensifie ses attaques aériennes sur les villes d’Ukraine, en dépit de tentatives diplomatiques pour mettre fin à trois ans et demi d’une offensive à grande échelle.Des sessions de pourparlers à Istanbul plus tôt cette année n’ont pas permis de réelle avancée, hormis un accord sur des échanges de prisonniers de guerre.Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a affirmé vendredi qu'”on peut plutôt parler d’une pause” dans les négociations, même si une reprise est possible.”On ne peut pas voir la vie en rose et s’attendre à ce que le processus de négociation donne des résultats immédiats”, a-t-il ajouté lors d’un briefing auquel participait notamment l’AFP.Le président américain Donald Trump, qui veut obtenir une fin rapide du conflit, a prévenu vendredi que sa patience envers le président russe Vladimir Poutine s’épuisait “rapidement”, évoquant la possibilité de sanctions sans s’y engager fermement.Il n’a pas non plus épargné le président ukrainien Volodymyr Zelensky, l’appelant à faire davantage en glissant qu'”il faut être deux pour danser le tango”.Volodymyr Zelensky demande à rencontrer son homologue russe Vladimir Poutine pour débloquer la situation, ce que le Kremlin a pour l’heure rejeté.Les demandes des deux parties restent de toute façon opposées. La Russie demande la reddition de l’Ukraine et la cession de territoires.Kiev refuse et réclame le déploiement de troupes occidentales pour se protéger d’une future attaque, idée que la Russie juge inacceptable.- Pas de “menace” -L’intrusion d’une vingtaine de drones dans la nuit de mardi à mercredi dans l’espace aérien polonais a suscité une vive émotion en Pologne et été qualifiée de provocation par les pays occidentaux.Varsovie a dû mobiliser ses avions et ceux de ses alliés de l’Otan pour abattre certains des drones.Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a assuré vendredi que cette intrusion ne résultait pas d’une “erreur”, répondant à Donald Trump qui avait évoqué cette possibilité.La Russie a démenti avoir visé la Pologne et accusé Varsovie de n’avoir pas présenté d’éléments prouvant que les drones étaient bien russes.Dans ce contexte de tensions, Moscou et Minsk ont lancé vendredi leurs grandes manoeuvres militaires baptisées Zapad-2025 (“Ouest-2025”, en référence au fait qu’elles se déroulent dans l’ouest de l’alliance russo-bélarusse).Elles se tiennent jusqu’à mardi au Bélarus et en Russie ainsi qu’en mer de Barents et mer Baltique. Une partie a lieu dans la région bélarusse de Grodno, proche de la Pologne et de la Lituanie, selon Minsk.Une vidéo diffusée par le ministère de la Défense montre des équipements militaires lourds – véhicules blindés, hélicoptères, navires – participant aux exercices.Moscou et Minsk ont nié tout but offensif, mais la Pologne, la Lituanie et la Lettonie, pays membres de l’Otan et voisins du Bélarus, ont restreint le trafic aérien.La Pologne a aussi fermé sa frontière avec le Bélarus et affirmé que quelque 40.000 soldats devraient être présents près de cette zone pendant les manoeuvres.L’Otan a en revanche dit ne voir aucune “menace militaire immédiate” posée par ces exercices.- Ampleur réduite -Les exercices Zapad sont habituellement organisés tous les quatre ans, et cette édition est la première depuis le début du conflit en Ukraine, en février 2022. Celle de 2021 avait mobilisé environ 200.000 soldats russes, quelques mois avant le lancement de leur assaut.Cette fois, l’ampleur des exercices devrait être bien plus réduite, des centaines de milliers de soldats russes étant déployés en Ukraine.Le Bélarus avait affirmé en janvier que 13.000 soldats participeraient aux exercices, mais a indiqué en mai que ce nombre serait réduit de moitié.Sur le champ de bataille, la Russie a revendiqué la prise d’un nouveau petit village de la région de Dnipropetrovsk, dans le centre de l’Ukraine.Moscou a aussi accusé vendredi l’Ukraine d’avoir lancé un drone d’attaque sur la centrale nucléaire de Smolensk, sans causer de dégâts majeurs ou de changement dans les niveaux de radiation.

Rubio to offer Israel support despite Qatar strike

US Secretary of State Marco Rubio will leave Saturday on a trip to Israel to offer support before French-led moves to recognize a Palestinian state, the State Department said.Rubio is going ahead with the visit despite President Donald Trump gently reprimanding Israel for a surprise attack on Hamas on Tuesday in Qatar, a key US partner.Rubio will speak to Israeli leaders about “our commitment to fight anti-Israel actions including unilateral recognition of a Palestinian state that rewards Hamas terrorism,” State Department spokesman Tommy Pigott said in a statement.Rubio will emphasize “the US commitment to Israeli security,” Pigott said.”He will also emphasize our shared goals: ensuring Hamas never rules over Gaza again and bringing all the hostages home,” he said, adding that Rubio will meet families of hostages.He said that Rubio would discuss Israel’s “operational goals and objectives” in its new offensive which includes a goal of seizing the already rubble-strewn territory’s main urban hub of Gaza City. The statement made no mention of the strikes in Qatar, although Rubio on Friday will meet in Washington with the Gulf state’s Prime Minister Sheikh Mohammed bin Abdulrahman Al Thani. Israel on Tuesday carried out strikes on Hamas leadership in Qatar, which has served as a key intermediary with Hamas, whose leaders were gathering to discuss a new ceasefire proposal put forward by the Trump administration.Trump called the attack unfortunate and said that the United States found out too late to stop it.- Quiet on settlements -Trump has repeatedly offered strong backing to Prime Minister Benjamin Netanyahu, doing away with most of the public concerns, however cautiously expressed, of his predecessor Joe Biden. The State Department did not immediately confirm reports that Rubio would take part in the inauguration of a new tunnel in Jerusalem’s Old City for visitors approaching the Temple Mount, the holiest site for Jews, which is also sacred for Muslims as the Al-Aqsa compound.”Rubio’s visit is nothing less than American recognition of Israeli sovereignty over the most sensitive part of Jerusalem’s Holy Basin, contradicting Washington’s long-standing position since 1967,” anti-settlement advocacy group Peace Now said in a statement.Israel seized East Jerusalem in the 1967 war and later annexed it and declared Jerusalem its indivisible capital, a step not recognized by most of the world. But Trump during his first term bucked the international consensus and moved the US embassy to Jerusalem.The Trump administration has declined to criticize ramped-up Israeli settlement activity in the West Bank. Netanyahu vowed Thursday there would be no Palestinian state and “this place belongs to us” at a signing ceremony for a major settlement project. But Netanyahu has walked back from far-right calls for a wide annexation of the West Bank after warnings by the United Arab Emirates, which took the landmark step five years ago of normalizing with Israel.Israel launched an all-out offensive in Gaza in October 2023 following a massive attack launched from territory by Hamas that resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli figures. Israel’s retaliatory offensive has killed more than 64,000 Palestinians, most of them civilians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza that the United Nations considers reliable. The UN has declared famine in parts of Gaza, which Israel contests.