Global markets rode AI, interest rate roller coaster in 2024

Despite political upheavals, stock markets and bitcoin smashed records in 2024, fuelled by investor enthusiasm for Artificial Intelligence (AI), falling interest rates, and hopes of tax cuts.Here are four of the most remarkable aspects of 2024 for financial markets:- Stock records fall like dominoes -Wall Street’s three main stock indices blew past record highs to set new peaks in 2024, with the Dow Jones Industrial Average climbing above 45,000 points, the S&P 500 above 6,000 and the Nasdaq Composite above 20,000.”It was an exceptional year, driven by the performance of tech shares thanks to artificial intelligence,” said Christopher Dembik, senior investment advisor at Pictet Asset Management.The Dow ended the year up by around 13 percent, while the S&P 500 and the Nasdaq, which have more tech stocks, notched annual gains of over 23 percent and around 29 percent respectively.Shares in Nvidia, which makes processors particularly adept at running AI models, including applications such as ChatGPT, rose more than 170 percent in 2024.”It’s now been about two years that ChatGPT was launched and it’s been two years that the AI buzz pushed some US Big Tech companies to the sky,” said Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at Swissquote Bank.”Nvidia, which has become the icon of the AI rally, gained almost 1,000 percent since then, the Magnificent Seven nearly 100 percent since last November,” she added.The Magnificent Seven are seven companies widely recognized for their technological and consumer impact: Alphabet (Google), Amazon, Apple, Meta (Facebook), Microsoft, Nvidia and Tesla. In Europe, records also fell, but the gains were less marked.Frankfurt’s DAX, driven by business software developer SAP (+70 percent) broke the 20,000-point level and finished the year with a gain of 18.9 percent.Tokyo’s Nikkei 225 index gained almost 20 percent in 2024, finally surpassing the high seen before Japan’s asset bubble burst in the 1990s.- A very political year -Donald Trump’s victory in the US presidential election gave Wall Street even more of a boost on hopes he will follow through on pledges of deregulation and tax cuts.”The market considered that will mean more growth and for longer,” said Pierre Bismuth, director at Myria Asset Management. Political developments did not always aid investors, however. Look at France: President Emmanuel Macron’s calling of early parliamentary elections backfired with no clear winner, and the Paris CAC 40, which had been up more than six percent ahead of the election, ended 2024 down more than two percent.Weakness in China further dragged down luxury stocks.In 2025, investors are keeping a wary eye to see if Donald Trump implements threatened tariff hikes, as well as the outcome of early elections in Germany in February.- Bitcoin, gold and commodities -Bitcoin rode expectations of deregulation under Trump to break the $100,000 level and rose more than 120 percent. Ethereum rose more than 40 percent, even if it did not set a new all-time record.Gold also set a new record as it benefitted from its safe-haven appeal during times of geopolitical tensions.Commodities such as coffee and cocoa set new records as poor weather caused supply concerns.- Monetary policy roller coaster -The central banks of the United States and some European countries finally began to cut interest rates they had hiked to tame an inflation spike triggered by the post-pandemic recovery and the Russian invasion of Ukraine.Switzerland got the ball rolling in March, followed by the European Central Bank in June and the Bank of England and the US Federal Reserve in September.Investors as well as central banks were anxious about the pace of interest rate cuts: not too fast to reignite inflation but not so slow that activity falls.Trading sometimes turned volatile as investors interpreted economic data through the prism of its impact on the Fed’s likelihood to cut rates.In August, investors took fright from disappointing US jobs figures, causing a nearly three-percent slump on Wall Street as they feared the economy might be on the brink of a recession.However, the US economy proved resilient and investors and the Fed have been paring back expectations of further rate cuts, especially as Trump’s tariffs could spark fresh inflationary pressures.Given stagnant growth in the eurozone, the ECB is expected to continue cutting rates.

France: le budget temporairement reconduit en 2025, mais limité aux “dépenses essentielles”

Dépourvu d’un budget en bonne et due forme pour 2025, le gouvernement a reconduit in extremis les plafonds de crédits des ministères initialement accordés pour 2024, mais compte les limiter aux “dépenses essentielles” jusqu’à l’adoption d’un budget pour l’Etat.A partir du 1er janvier, les ministères pourront continuer d’engager des dépenses dans la limite de ce que prévoyait la loi de finances initiale de 2024, selon un décret publié mardi au Journal officiel.Ils devront toutefois ne consommer que “le minimum de crédits que le gouvernement juge indispensable pour poursuivre l’exécution des services publics”, a indiqué le ministère des Comptes publics à l’AFP, notamment ce qui concerne les “dépenses essentielles”.Cela inclut, entre autres, le paiement des salaires des fonctionnaires ou le versement des prestations sociales. Mais, par exemple, “aucune création nette d’emplois n’interviendra pendant” cette période, précise une circulaire envoyée aux ministres.Les dépenses de fonctionnement sont limitées à celles “strictement nécessaires”, et les ministères ne devront pas conclure de nouveaux contrats, prendre de nouvelles participations financières ou réaliser de nouveaux investissements, sauf s’ils sont “absolument indispensables”.Consulté par l’AFP, ce document précise que 75% des crédits accordés mardi par le décret seront gelés début 2025.Ce gel de crédits se fera jusqu’à l’adoption par le Parlement d’un budget pour 2025. D’autres crédits pourraient toutefois être débloqués si le budget tardait à être adopté.Le Premier ministre François Bayrou espère une adoption “à la mi-février”, sans toutefois être “sûr d’y arriver”. Il compte pour ce faire repartir de “la copie qui a été votée” au Parlement avant la censure.Pour le député LFI et président de la commission des Finances à l’Assemblée nationale Eric Coquerel, il y a urgence, car les reports des crédits accordés en 2024 mais non dépensés doivent être validés d’ici le 15 mars. “Si aucun budget n’est voté d’ici là, 16 milliards d’euros qui ont été gelés au printemps dont 4 ont été annulés, seront considérés comme perdus”, a-t-il dit à un journaliste de l’AFP.Prêt aux “compromis” avec l’opposition, le nouveau ministre de l’Économie Éric Lombard doit inviter tous les partis représentés au Parlement à venir en discuter à Bercy.- Une loi spéciale dans l’urgence -Le précédent gouvernement avait présenté en octobre son projet de budget pour 2025, déficitaire comme c’est le cas en France depuis 1975 malgré les économies envisagées. Parmi les pistes proposées, comme la désindexation partielle des retraites l’an prochain, certaines ont déplu aux députés du Rassemblement national et de la gauche, qui ont voté le 4 décembre la censure du gouvernement, empêchant l’adoption du projet de budget.Dans l’attente de l’adoption d’un nouveau budget, le Parlement a voté mi-décembre une loi spéciale qui permet à l’exécutif de continuer de prélever l’impôt, d’emprunter pour financer les dépenses de l’Etat et de la Sécurité sociale et aux ministères de consommer les crédits sur la base du budget 2024. La loi spéciale ne permet toutefois pas de pratiquer la traditionnelle indexation sur l’inflation du barème de l’impôt sur le revenu au 1er janvier, ce qui ne devrait pas avoir d’impact dans l’immédiat, mais pourrait augmenter les impôts de certains ménages après le dépôt de leur déclaration de revenus au printemps, si aucun budget n’était adopté d’ici là.- Déficit excessif -Autre conséquence: les retraites de base vont être davantage augmentées que ce que prévoyait le gouvernement de M. Barnier dans son projet, à 2,2%.Pareillement, le bouclier tarifaire sur l’électricité prendra fin au 1er février mais sans la hausse de taxe envisagée. Une aubaine pour les ménages qui bénéficieront ainsi d’une baisse de 14% de leur facture.La reconduction du budget intervient alors que la dette publique de la France a atteint fin septembre 3.303 milliards d’euros, soit 113,7% du PIB, l’une des plus élevées de la zone euro, tandis que le déficit public est attendu à 6,1% du PIB cette année, ce qui vaut au pays une procédure pour déficit excessif par la Commission européenne.M. Lombard souhaite que dans le budget qui sera voté en 2025 le déficit public soit fixé “un peu au-dessus de 5 %” du PIB, “de façon à protéger la croissance”. La réduction du déficit implique selon lui d’éventuelles hausses d’impôt “très limitées” mais surtout “des économies supplémentaires”.Le journal l’Opinion indiquait mardi soir que le ministre de l’Economie allait réviser à la baisse la prévision de croissance pour 2025 à 0,8% contre les 1,1% retenus par le gouvernement Barnier dans son projet de budget.Contacté par l’AFP, le ministère de l’Economie n’a pas souhaité commenter cette information.

US stocks slip as European markets ring out year with gains

Wall Street stocks slid Tuesday to close the year on a gloomy note but Europe’s main stock markets advanced, as all eyes turn to 2025 and the impact that the policies of US President-elect Donald Trump will have on the global economy.After dropping more than one percent on Monday as investors booked profits and broke hopes of a so-called “Santa Claus rally,” the Dow lost 0.1 percent to end 2024.”Sliding Treasury yields are helping in the repair work along with some rebound action in the mega-cap stocks and perhaps some New Year’s Eve spirit that is keeping the trading mood light,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.Overall, Wall Street stocks still capped the year with double-digit gains, as falling global inflation triggered interest rate cuts from major central banks.That pushed global stock markets to record-high levels this year, as did a tech boom on rapid growth for the artificial intelligence (AI) sector.The Dow was up around 13 percent for the year, while the Nasdaq surged nearly 30 percent.The S&P 500, meanwhile, gained more than 23 percent in 2024.In Europe, London’s benchmark FTSE 100 index closed up 0.6 percent and the Paris CAC 40 rallied 0.9 percent in a shortened trading day.Over 2024, London gained nearly six percent.Paris fell 2.2 percent over the year, with the index hit late in the year by political turmoil in France, while China’s economic slowdown impacted the luxury sector.Frankfurt, whose last trading day was Monday, surged nearly 19 percent over the year despite Europe’s biggest economy Germany enduring a tough time.Traders closed out the year “amid uncertainty over monetary policy and the economic outlook under a Trump presidency,” Matt Britzman, senior equity analyst at Hargreaves Lansdown, noted Tuesday.Asian stock markets ended the year mainly in the red following a poor lead from Wall Street.Concerns about the slow pace of US interest rate cuts by the Federal Reserve and uncertainty about Trump’s tariff plans have soured the mood during recent sessions.”In Asia, notably China, tariffs may appear to be a manageable obstacle if they were the only concern,” said Stephen Innes at SPI Asset Management.”However, China’s economic difficulties go well beyond simple trade conflicts. The nation is also contending with serious domestic consumption challenges and self-induced setbacks in its technology sector,” Innes added.China’s Purchasing Managers’ Index (PMI) for manufacturing was 50.1 in December, signaling a third consecutive month of expansion, official data showed Tuesday.President Xi Jinping said China would put in place “more proactive” macroeconomic policies next year, according to state media, with economists warning that more direct fiscal stimulus aimed at shoring up domestic consumption was needed.The yuan on Tuesday reached its lowest level versus the dollar since October 2023.Tokyo’s Nikkei 225 index, which closed out the year Monday, gained almost 20 percent in 2024, finally surpassing the high seen before Japan’s asset bubble burst in the 1990s.- Key figures around 2115 GMT -New York – Dow: DOWN 0.1 percent at 42,544.22 points (close)New York – S&P 500: DOWN 0.4 percent at 5,881.63 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.9 percent at 19,310.79 (close)London – FTSE 100: UP 0.6 percent at 8,173.02 (close)Paris – CAC 40: UP 0.9 percent at 7,380.74 (close)Frankfurt – DAX: closedTokyo – Nikkei 225: closedHong Kong – Hang Seng Index: UP 0.1 percent at 20,059.95 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.6 percent at 3,351.76 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0360 from $1.0401 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.2520 from $1.2548Dollar/yen: UP at 157.32 yen from 156.41 yenEuro/pound: DOWN 82.74 pence from 82.93 penceWest Texas Intermediate: UP 1.0 percent at $71.72 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.9 percent at $74.64 per barrelburs-rl/jhb/bys/aha

Voeux pour 2025: Macron fait son mea culpa sur la dissolution et appelle au “ressaisissement”

Emmanuel Macron a fait clairement mardi, lors de ses voeux pour 2025, son mea culpa sur la dissolution de l’Assemblée nationale, qui a semé “divisions” et “instabilité”, avant d’appeler au “ressaisissement collectif” face à la grave crise politique qu’elle a provoquée.Privé d’une grande part de son influence depuis que son camp a perdu les législatives anticipées de l’été, le chef de l’Etat a aussi annoncé, dans la traditionnelle allocution de la Saint-Sylvestre, qu’il demanderait lors de l’année qui s’ouvre aux Français de “trancher” certains “sujets déterminants” pour préparer l’avenir.Une manière de laisser entrevoir des référendums, maintes fois évoqués mais jamais organisés depuis son arrivée à l’Elysée en 2017, ou de nouvelles conventions citoyennes après celles sur la fin de vie ou l’écologie.Enregistrés dans le jardin d’hiver du palais présidentiel, ces huitièmes voeux d’Emmanuel Macron sont aussi les plus courts, en onze minutes. Et pour cause: le président n’a plus les moyens de tout décider comme il avait l’habitude de le faire, et se replie sur son rôle de “garant”, selon son entourage.Il a longuement mis l’accent, au début de son allocution, sur les réussites de 2024. Avec une innovation sur la forme: une vidéo de deux minutes montrant les Jeux olympiques ou la réouverture de Notre-Dame.”Ensemble, cette année nous avons prouvé qu’impossible n’était pas français”, a-t-il lancé. “Sachons garder le meilleur de ce que nous avons été”, “unis, déterminés, solidaires”.- “Instabilité” -Mais Emmanuel Macron n’a pas éludé la plus grave crise politique de la Ve République, avec un mea culpa plus clair que celui esquissé début décembre.”Je dois bien reconnaître ce soir que la dissolution a apporté pour le moment davantage de divisions à l’Assemblée que de solutions pour les Français”, a-t-il affirmé. “La lucidité et l’humilité commandent de reconnaître qu’à cette heure, cette décision a produit plus d’instabilité que de sérénité. Et j’en prends toute ma part.”Bien que fracturée, l’Assemblée actuelle représente selon lui “le pays dans sa diversité et donc aussi dans ses divisions”, et est “pleinement légitime”.”Il ne suffit pas de reconnaître sa responsabilité, il faut en tirer toutes les conclusions politiques : partir”, a riposté dans la foulée le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard, tandis que la cheffe de file des députés LFI Mathilde Panot a raillé ce “président arrogant et autoritaire” qu’elle veut “réussir à faire partir”.Malgré tout, le président appelle les forces politiques à faire de 2025 l’année “du ressaisissement collectif” afin de permettre “la stabilité” et “les bons compromis”. “Car nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre. L’année 2025 doit être une année d’action”, exhorte le chef de l’Etat à l’adresse du gouvernement tout juste formé de son allié François Bayrou, le quatrième Premier ministre de l’année, auquel il adresse aussi ses “voeux”.Même s’il ne peut plus donner le “la” des politiques publiques, Emmanuel Macron montre qu’il n’entend pas laisser le gouvernement écorner son bilan. Il a ainsi promis de “veiller” à ce que la France “continue d’être attractive”, “travaille et innove plus”, continue de créer des emplois et “assure sa croissance en tenant ses finances”. Et ce, alors que le pays entame 2025 sans budget voté malgré des déficits alarmants.  Alors que l’international et l’Europe restent les prérogatives présidentielles, Emmanuel Macron a aussi exhorté les Européens à “en finir avec la naïveté” en matière de commerce ou d’agriculture. – “Réveil européen” -“Dire non aux lois du commerce dictées par d’autres et que nous sommes les seuls à encore respecter. Dire non à tout ce qui nous fait dépendre des autres sans contrepartie et sans préparer notre avenir”, a-t-il plaidé. “À l’inverse, il nous faut le réveil européen, un réveil scientifique, intellectuel, technologique, industriel, un réveil agricole, énergétique et écologique”, a-t-il ajouté.Avec ces voeux, Emmanuel Macron espère se poser en surplomb, et éloigner la petite musique de certains de ses opposants qui jugent inéluctable sa démission avant la fin de son mandat, en 2027.La présidente des députés du Rassemblement national, Marine Le Pen, avait dit mi-décembre se préparer à une présidentielle anticipée. Dans ses propres voeux, elle affirme mardi que 2025 sera “une année décisive”, espérant un “dénouement heureux” à l’instabilité gouvernementale, qui passerait par une “décision démocratique”.De son côté, le nouveau Premier ministre a souhaité, à l’issue d’une visite à Mayotte dévastée par le cyclone Chido, une année de “réconciliation”, d'”action” et de “stabilité” face aux “fractures” récentes.Une gageure: faute de majorité à l’Assemblée, son équipe s’appuie sur le même attelage fragile entre la macronie et le parti Les Républicains qui avait soutenu le précédent Premier ministre de droite Michel Barnier, finalement censuré trois mois après sa nomination. Le gouvernement Bayrou s’expose donc au même risque d’être renversé par les députés de gauche et d’extrême droite.

En visite au Liban le ministre des Armées français veut consolider le “fragile” cessez-le-feu

Le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu, a souligné mardi en visite au Liban la nécessité de préserver le “fragile” cessez-le-feu en vigueur depuis le 27 novembre entre l’armée israélienne et le Hezbollah.La trêve a mis fin à deux mois de conflit ouvert entre l’armée israélienne et le mouvement libanais pro-iranien, qui avait ouvert un front contre Israël au début de la guerre l’opposant à son allié palestinien du Hamas dans la bande de Gaza, en octobre 2023. Le cessez-le-feu tient globalement, malgré des accusations mutuelles de violations répétées.Un mécanisme réunissant la France, les Etats-Unis, le Liban, Israël et la force de paix de l’ONU au Liban, Finul, a été mis en place pour surveiller son application et ses violations. “Ce mécanisme franco-américain a enregistré pratiquement 300 saisines, ça dit bien qu’il est en train de trouver complètement son rôle”, a indiqué M. Lecornu à l’AFPTV, en déplacement sur une base de la Finul à Deir Kifa, dans le sud libanais.”On est à mi-parcours dans le cadre de ce cessez-le feu, avec des premiers résultats qui ont été enregistrés notamment dans la capacité à déconflicter, à sécuriser”, a-t-il ajouté. L’accord de cessez-le-feu prévoit le retrait dans un délai de 60 jours de l’armée israélienne du sud du Liban, où elle était entrée fin septembre, et le repli du Hezbollah au nord du fleuve Litani, à environ 30 kilomètres de la frontière libano-israélienne.En visite au Liban avec le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot, le ministre des Armées a rencontré lundi Joseph Aoun, le commandant en chef de l’armée libanaise.A l’issue du délai fixé par l’accord, “les forces armées libanaises doivent avoir repris pied à la place de là où était le Hezbollah (…) et à la place de là où sont les forces armées israéliennes”, a rappelé M. Lecornu.La visite française est un “point d’étape” permettant de se “projeter pour les 26 jours qui restent d’un cessez-le-feu dont on sait qu’il est fragile, et qui nécessite immanquablement et inévitablement du volontarisme des deux côtés”, a-t-il dit.”C’est pour cela que nous nous appliquons (…) à faire en sorte que ce cessez-le-feu tienne”, a-t-il insisté.Mardi les ministres français ont aussi rencontré le commandant de l’armée libanaise en charge du secteur sud du Litani, avant de retrouver les Casques bleus français de la Finul à Deir Kifa à l’occasion du Nouvel An.

US, European stock markets look to ring out year with gains

Wall Street stocks moved higher on Tuesday, looking to ring out the year with gains as did Europe’s main stock markets, as all eyes turn to 2025 and the impact that the policies of US President-elect Donald Trump will have on the global economy.After dropping more than one percent on Monday as investors booked profits and broke hopes of a so-called Santa Claus rally, the Dow added 0.3 percent as trading got underway.”Sliding Treasury yields are helping in the repair work along with some rebound action in the mega-cap stocks and perhaps some New Year’s Eve spirit that is keeping the trading mood light,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.At the closing bell Wall Street stocks are set to end 2024 with double-digit gains as falling global inflation triggered interest-rate cuts from major central banks.That pushed global stock markets to record-high levels this year, as did a tech boom on rapid growth for the artificial intelligence sector.In Europe, London’s benchmark FTSE 100 index closed up 0.6 percent and the Paris CAC 40 rallied 0.9 percent in a shortened trading day.Over 2024, London gained nearly six percent.Paris fell 2.2 percent over the year, with the index hit late in the year by political turmoil in France, while China’s economic slowdown impacted the luxury sector.Frankfurt, whose last trading day was Monday, surged nearly 19 percent over the year despite Europe’s biggest economy Germany enduring a tough time.Traders closed out the year “amid uncertainty over monetary policy and the economic outlook under a Trump presidency”, Matt Britzman, senior equity analyst at Hargreaves Lansdown, noted Tuesday.Asian stock markets ended the year mainly in the red following a poor lead from Wall Street.Concerns about the slow pace of US interest rate cuts by the Federal Reserve and uncertainty about Trump’s tariff plans have soured the mood during recent sessions.”In Asia, notably China, tariffs may appear to be a manageable obstacle if they were the only concern,” said Stephen Innes at SPI Asset Management.”However, China’s economic difficulties go well beyond simple trade conflicts. The nation is also contending with serious domestic consumption challenges and self-induced setbacks in its technology sector,” Innes added.China’s Purchasing Managers’ Index (PMI) for manufacturing was 50.1 in December, signalling a third consecutive month of expansion, official data showed on Tuesday.President Xi Jinping said China would put in place “more proactive” macroeconomic policies next year, according to state media, with economists warning that more direct fiscal stimulus aimed at shoring up domestic consumption was needed.The yuan on Tuesday reached the lowest level versus the dollar since October 2023.Tokyo’s Nikkei 225 index, which closed out the year Monday, gained almost 20 percent in 2024, finally surpassing the high seen before Japan’s asset bubble burst in the 1990s.- Key figures around 1430 GMT -New York – Dow: UP 0.3 percent at 42,691.09 pointsNew York – S&P 500: UP 0.3 percent at 5,922.77New York – Nasdaq Composite: UP 0.4 percent at 19,557.01London – FTSE 100: UP 0.6 percent at 8,173.02 (close)Paris – CAC 40: UP 0.9 percent at 7,380.74 (close)Frankfurt – DAX: closedTokyo – Nikkei 225: closedHong Kong – Hang Seng Index: UP 0.1 percent at 20,059.95 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.6 percent at 3,351.76 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0382 from $1.0401 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.2527 from $1.2548Dollar/yen: UP at 156.97 yen from 156.41 yenEuro/pound: DOWN at 82.87 pence from 82.93 penceWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $71.40 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.5 percent at $74.32 per barrelburs-rl/jhb

World greets 2025 after sweltering year of Olympics, turmoil, and TrumpTue, 31 Dec 2024 13:20:44 GMT

Crowds will marvel at fireworks and toast champagne to greet 2025 on Tuesday, waving goodbye to a year that brought Olympic glory, a dramatic Donald Trump return and turmoil in the Middle East and Ukraine.It is all but certain that 2024 will go down as the hottest year on record, with climate-fuelled disasters wreaking havoc …

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Mozambique mourns dozens killed in two months of election unrestTue, 31 Dec 2024 13:01:39 GMT

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