Wall Street stocks rebound despite government shutdown threat

Wall Street stocks rebounded Thursday from sharp losses over the prospect of fewer US rate cuts next year despite the looming threat of a government shutdown.The plunge in New York after the Federal Reserve signalled Wednesday fewer cuts to US interest rates next year dragged down equities in Asia and Europe.The dollar initially rallied on the Fed’s move, with the yen also under pressure Thursday after the Bank of Japan kept borrowing costs unchanged, but it later gave up those gains against the euro and pound.The Bank of England held its key interest rate steady due to UK inflation rising again, and it did not commit to when or by how much it will cut rates in 2025.While that decision was widely expected, more BoE policymakers voted for a cut, which sent the pound falling against the dollar and the euro.The split suggests “members may be more nervous about the state of the economy than originally thought”, said Daniela Sabin Hathorn, senior market analyst at Capital.com.Wall Street’s main indices rose at the start of trading on Thursday, and managed to hold onto their gains in morning trading. “It is a textbook reaction to a large selloff, but like yesterday, how the market opens isn’t as important as how it finishes,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.All three main indices in New York were sent spinning lower on Wednesday — led by a rout of high-flying tech titans.”In brief, the stark reality hit that the policy rate won’t be coming down as much as previously hoped (key word) and that interest rates are apt to remain higher for longer as policy makers contemplate a future that could involve sticky inflation due to ongoing growth, the wealth effect, possible trade wars, and the deportation of illegal immigrants,” said O’Hare.The rate decisions by Britain’s and Japan’s central bank were the last of the year.”With the major risk events of the week behind us, the question remains: will the traditional Santa rally take hold, or will 2024 mark a departure from the norm?” asked City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.Markets often drift higher at the end of the year when small investors influenced by the holidays dominate trading in what is often called a Santa rally.A possible US government shutdown could spoil a Santa rally, but investors appeared unfazed on Thursday.US President-elect Donald Trump and tech billionaire Elon Musk urged Republican lawmakers on Wednesday to scupper a cross-party deal to avert a halt in non-essential government operations in the early hours of Saturday.- Key figures around 1630 GMT -New York – Dow: UP 0.6 percent at 42,588.39 pointsNew York – S&P 500: UP 0.7 percent at 5,912.00New York – Nasdaq Composite: UP 0.9 percent at 19,556.94 London – FTSE 100: DOWN 1.1 percent at 8,105.32 (close) Paris – CAC 40: DOWN 1.2 percent at 7,294.37 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 1.4 percent at 19,969.86 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.7 percent at 38,813.58 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.6 percent at 19,752.51 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.4 percent at 3,370.03 (close)Euro/dollar: UP at $1.0384 from $1.0365 Pound/dollar: DOWN at $1.2560 from $1.2581Dollar/yen: UP at 157.67 yen from 154.73 yen Euro/pound: UP at 82.68 pence from 82.38 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.9 percent at $72.75 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.9 percent at $69.39 per barrelburs-rl/ju/sbk

Bayrou propose aux partis d’entrer au gouvernement et remet les retraites sur la table, la gauche remontée

François Bayrou a proposé jeudi aux partis, hors RN et LFI, d’entrer dans son gouvernement, en leur demandant de se positionner d’ici à vendredi, et a par ailleurs proposé de “reprendre sans suspendre” la réforme des retraites de 2023, lors d’une réunion à Matignon ayant suscité l’ire de la gauche.Le Premier ministre sera l’invité de France 2 jeudi à 20h40.Lors d’une réunion d’environ deux heures et demie avec les chefs de parti et de groupe parlementaire -hors RN, UDR et LFI- et les présidents de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet et du Sénat Gérard Larcher, le Premier ministre a indiqué que son gouvernement serait annoncé “avant Noël”, selon plusieurs participants.M. Bayrou, selon Matignon, a formulé à ses convives une “offre publique de participation” au gouvernement. “Il a cité trois possibilités: rentrer au gouvernement, ne pas être au gouvernement mais le soutenir, ou être dans une opposition radicale”, a expliqué à la sortie le communiste Stéphane Peu, qui s’inscrit dans une “quatrième option”: “une opposition résolue”.”Nous n’avons pas trouvé de raisons de ne pas le censurer”. “Il faut vraiment que le Premier ministre, que celles et ceux qui l’entourent, se réveillent”, a déclaré le premier secrétaire du PS Olivier Faure.”J’attends encore que François Bayrou endosse le costume de Premier ministre. Mais je me demande s’il va y arriver”, a abondé le chef de file des sénateurs écologistes, Guillaume Gontard.L’ex-président du groupe Liot Bertrand Pancher a au contraire trouvé la réunion “intéressante”, “ouvrant un dialogue avec notamment de vraies mises en perspectives concernant la funeste réforme des retraites”.-“Solutions nouvelles”-Selon Matignon, sur ce dossier sensible, l’objectif du Premier ministre est d’aboutir “d’ici septembre” à des “solutions nouvelles”, faute de quoi “on revient à la réforme de 2023” qui décalait l’âge de départ à 64 ans. A la sortie, M. Peu a évoqué “l’ouverture d’une conférence sociale”.Interrogé par des participants, le chef du gouvernement ne s’est par ailleurs pas engagé à ne pas utiliser l’article 49.3 de la Constitution pour l’adoption de textes.De son côté, le patron des députés LR Laurent Wauquiez a demandé aux autres représentants “un engagement de stabilité de six mois” pour le futur gouvernement Bayrou.”Qu’on participe ou pas, qu’on soit majorité ou opposition, il faut s’engager à ne pas le renverser”, a proposé M. Wauquiez, selon son entourage, alors que LR exige de connaître la feuille de route avant de se déterminer sur sa participation au gouvernement.Nommé vendredi, François Bayrou a depuis multiplié les entretiens officiels ou plus informels. Mais sa première semaine à Matignon a surtout été marquée par le tombereau de critiques sur sa présence lundi soir au Conseil municipal de Pau, ville dont il entend rester maire, alors qu’un cyclone venait de ravager Mayotte.Il a dû s’en expliquer mardi pour sa première séance à l’Assemblée nationale, sans parvenir à faire taire les critiques. Le tout en multipliant les allers-retours à l’Élysée pour la formation du gouvernement.-“Une chimère” pour LFI-Emmanuel Macron étant jeudi à Mayotte, avant de se rendre ensuite auprès des troupes françaises à Djibouti, plusieurs acteurs évoquent une annonce de gouvernement dimanche. Les deux maisons de l’exécutif ne donnent aucune date.Sans majorité à l’Assemblée, le centriste, qui prône depuis des décennies un gouvernement rassemblant les diverses sensibilités, fait face aux exigences appuyées des Républicains (LR) à droite et à des velléités de censures croissantes à gauche.Le format de réunion rappelait celui d’il y a neuf jours autour d’Emmanuel Macron à l’Élysée, où avaient été évoqués des scénarios de non-censure des oppositions, en échange d’une absence de recours au 49.3 par le gouvernement ou à la dissolution par le président.La réunion à Matignon est “une chimère”, avait lancé jeudi matin Mathilde Panot. La cheffe des députés de La France insoumise dit “croire” que les quatre composantes du Nouveau Front populaire (PS, PCF, Écologistes et LFI) voteront la motion de censure que son groupe déposera le 14 janvier, après la déclaration de politique générale de François Bayrou. François Bayrou a dit lors de la réunion qu’il n’entendait pas “écarter” le RN ni LFI “de la vie nationale”. “Je trouverai les moyens de les faire participer au travail que nous avons à faire”, a dit le Premier ministre selon des propos rapportés par son équipe.Le Premier ministre ne recueille que 36% de satisfaction selon un sondage Ifop pour Sud Radio jeudi, contre 52% et 53% pour ses prédécesseurs Michel Barnier et Gabriel Attal, à leurs débuts à Matignon.

Bayrou propose aux partis d’entrer au gouvernement et remet les retraites sur la table

Acculé de toutes parts et toujours sans équipe gouvernementale après des débuts critiqués, François Bayrou a proposé jeudi aux partis, hors RN et LFI, d’intégrer son gouvernement, se disant prêt à “reprendre” la réforme des retraites sans la suspendre, lors d’une grande réunion des forces politiques.Selon Matignon et plusieurs participants à ces pourparlers, le nouveau Premier ministre a tenté de convaincre la trentaine de responsables attablés autour de lui avec deux propositions phares.La première: une “offre publique de participation” au gouvernement, adressée à l’ensemble des partis présents autour de la table. La seconde: “reprendre sans suspendre” la réforme des retraites adoptée en 2023 – que la gauche et le RN veulent abroger -, a indiqué Matignon. Avec un objectif, aboutir “d’ici septembre” à des “solutions nouvelles”, ont expliqué à l’AFP plusieurs participants. “Et si on n’aboutit pas, on revient à la réforme de 2023” qui décalait notamment l’âge de départ à 64 ans, a précisé Matignon.Les échanges ont commencé peu après 14h00, dans la salle du conseil de Matignon et autour d’une table nappée de rouge. Etaient présents les présidents de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet et du Sénat Gérard Larcher, et “les présidents de partis et de groupes qui ont eu la responsabilité des affaires du pays à une période ou à une autre de la Ve République”.Une formulation qui exclut le Rassemblement national et son allié, l’UDR d’Éric Ciotti, ainsi que La France insoumise, fondée en 2016.Rien n’assure toutefois que les propositions du Premier ministre feront bouger les lignes, tant l’accueil de cette réunion au sommet a été frais chez certains invités, même si tous ont honoré leur participation.La réaction n’a d’ailleurs pas tardé du côté de La France insoumise. “Normalement, les adultes ne croient plus au Père Noël”, a raillé son coordinateur Manuel Bompard sur X.Assise à Matignon à la gauche de M. Bayrou – hasard du plan de table -, la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier n’avait pas mâché ses mots, elle non plus, en arrivant: “François Bayrou a sa censure entre les mains, c’est à lui de nous convaincre”, a-t-elle lancé.”Il faut qu’il bouge sur les retraites”, “sur les services publics”, “sur les impôts, sur la solidarité”, avait prévenu plus tôt le président des députés PS Boris Vallaud sur Sud radio.- Un gouvernement dimanche ? -Nommé vendredi, François Bayrou a depuis multiplié les entretiens officiels ou plus informels. Mais sa première semaine à Matignon a surtout été marquée par le tombereau de critiques sur sa présence lundi soir au Conseil municipal de Pau, ville dont il entend rester maire, alors qu’un cyclone venait de ravager Mayotte.Il a dû s’en expliquer mardi pour sa première séance à l’Assemblée nationale, sans parvenir à faire taire les critiques. Le tout en multipliant les allers-retours à l’Élysée pour la formation du gouvernement.Emmanuel Macron étant jeudi à Mayotte, avant de se rendre ensuite auprès des troupes françaises à Djibouti, plusieurs acteurs évoquent une annonce de gouvernement dimanche. Les deux maisons de l’exécutif ne donnent aucune date.Sans majorité à l’Assemblée, le centriste, qui prône depuis des décennies un gouvernement rassemblant les diverses sensibilités, fait face aux exigences appuyées des Républicains (LR) à droite et à des velléités de censures croissantes à gauche.Le format de réunion rappelle celui d’il y a neuf jours autour d’Emmanuel Macron à l’Élysée, où avaient été évoqués des scénarios de non-censure des oppositions, en échange d’une absence de recours au 49.3 par le gouvernement ou à la dissolution par le président.- “Une chimère” -Mais les LR font monter la pression. Mercredi, François Bayrou a reçu le ministre de l’Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau, qui venait de déclarer que les conditions n’étaient “pas réunies” de son maintien place Beauvau. “Je n’ai pas de ligne rouge”, a cependant nuancé jeudi sur TF1 Gérard Larcher qui juge qu’il faut “apporter des remèdes sur le retour à l’équilibre budgétaire et la question de la sécurité”. “Il y a urgence d’avoir un gouvernement”, a-t-il insisté. Même critique à front renversé venant de la gauche: “S’il vient pour nous proposer le même budget qu’avait proposé Monsieur Barnier (…), nous censurons”, a insisté le communiste Fabien Roussel.La réunion à Matignon est “une chimère”, a lancé Mathilde Panot. La cheffe des députés de La France insoumise dit “croire” que les quatre composantes du Nouveau Front populaire (PS, PCF, Écologistes et LFI) voteront la motion de censure que son groupe déposera le 14 janvier, après la déclaration de politique générale de François Bayrou. Le Premier ministre ne recueille que 36% de satisfaction selon un sondage Ifop pour Sud Radio jeudi, contre 52% et 53% pour ses prédécesseurs Michel Barnier et Gabriel Attal, à leurs débuts à Matignon.

Locals shout out their grievances as Macron visits MayotteThu, 19 Dec 2024 14:54:21 GMT

Distraught and angry inhabitants of Mayotte shouted out their grievances to French President Emmanuel Macron Thursday, five days after the Indian Ocean archipelago was devastated by a cyclone.High on their list was the lack of water and food, and the fear of looting.Macron, visiting the French overseas territory to assess the destruction wrought by Cyclone …

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Grande réunion en cours à Matignon autour de Bayrou, mis sous pression

Une réunion au sommet a débuté jeudi autour de François Bayrou, qui consulte à Matignon les forces politiques sans LFI ni le RN avant de finaliser son gouvernement, périlleuse mission pour un Premier ministre acculé de toutes parts.Les pourparlers ont commencé peu après 14h00. Autour de la table nappée de rouge dans la salle du conseil, une trentaine de responsables: les présidents de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet et du Sénat Gérard Larcher, et surtout “les présidents de partis et de groupes qui ont eu la responsabilité des affaires du pays à une période ou à une autre de la Ve République”.Une formulation qui exclut le Rassemblement national et son allié, l’UDR d’Éric Ciotti, ainsi que La France insoumise, fondée en 2016.L’accueil a été frais chez certains invités mais tous ont honoré leur participation, y compris les plus réticents.Les Écologistes ont en effet fait savoir jeudi matin qu’ils se rendraient à Matignon, en appelant toutefois à ne pas poursuivre une politique “désavouée par les électeurs”. Même tonalité chez les communistes, qui entendent également “exhorter le Premier ministre à accélérer l’aide aux habitants de Mayotte”.Assise à Matignon à la gauche de M. Bayrou – hasard du plan de table -, la cheffe des Verts Marine Tondelier n’a pas mâché ses mots en arrivant: “François Bayrou a sa censure entre les mains, c’est à lui de nous convaincre”, a-t-elle lancé.”Il faut qu’il bouge sur les retraites”, “sur les services publics”, “sur les impôts, sur la solidarité”, avait prévenu plus tôt le président des députés PS Boris Vallaud sur Sud radio.”J’espère qu’on va pouvoir avoir un dialogue fructueux et avancer” pour assurer de “la stabilité” au pays, a insisté, plus mesurée, la présidente Renaissance de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet, installée pour sa part en face du locataire de Matignon au milieu de la grande tablée.- Un gouvernement dimanche ? -Nommé vendredi, François Bayrou a depuis multiplié les entretiens officiels ou plus informels. Mais sa première semaine à Matignon a surtout été marquée par le tombereau de critiques sur sa présence lundi soir au Conseil municipal de Pau, ville dont il entend rester maire, alors qu’un cyclone venait de ravager Mayotte.Il a dû s’en expliquer mardi pour sa première séance à l’Assemblée nationale, sans parvenir à faire taire les critiques. Le tout en multipliant les allers-retours à l’Élysée pour la formation du gouvernement.Emmanuel Macron étant jeudi à Mayotte, avant de se rendre ensuite auprès des troupes françaises à Djibouti, plusieurs acteurs évoquent une annonce de gouvernement dimanche. Les deux maisons de l’exécutif ne donnent aucune date.Dans une lettre d’invitation aux partis, M. Bayrou invoque, parallèlement à la crise politique et budgétaire, la situation de l’archipel de l’océan Indien, qui a subi “probablement la catastrophe naturelle la plus grave de l’histoire de France depuis plusieurs siècles”.Il évoque aussi la Nouvelle-Calédonie, estimant que “ces deux situations additionnées” placent les responsables politiques “devant des responsabilités inédites”.Suffisant pour emporter une forme d’union ? Sans majorité à l’Assemblée, le centriste, qui prône depuis des décennies un gouvernement rassemblant les diverses sensibilités, fait face aux exigences appuyées des Républicains (LR) à droite et à des velléités de censures croissantes à gauche.Le format de réunion rappelle celui d’il y a neuf jours autour d’Emmanuel Macron à l’Élysée, où avaient été évoqués des scénarios de non-censure des oppositions, en échange d’une absence de recours au 49.3 par le gouvernement ou à la dissolution par le président.- “Une chimère” -Mais les LR font monter la pression. Mercredi, François Bayrou a reçu le ministre de l’Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau, qui venait de déclarer que les conditions n’étaient “pas réunies” de son maintien place Beauvau. “Je n’ai pas de ligne rouge”, a cependant nuancé jeudi sur TF1 Gérard Larcher qui juge qu’il faut “apporter des remèdes sur le retour à l’équilibre budgétaire et la question de la sécurité”. “Il y a urgence d’avoir un gouvernement”, a-t-il insisté. Même critique à front renversé venant de la gauche: “S’il vient pour nous proposer le même budget qu’avait proposé Monsieur Barnier (…), nous censurons”, a insisté le communiste Fabien Roussel.La réunion à Matignon est “une chimère”, a lancé Mathilde Panot. La cheffe des députés de La France insoumise dit “croire” que les quatre composantes du Nouveau Front populaire (PS, PCF, Écologistes et LFI) voteront la motion de censure que son groupe déposera le 14 janvier, après la déclaration de politique générale de François Bayrou. Le Premier ministre ne recueille que 36% de satisfaction selon un sondage Ifop pour Sud Radio jeudi, contre 52% et 53% pour ses prédécesseurs Michel Barnier et Gabriel Attal, à leurs débuts à Matignon.

US, European, Chinese firms seek to draw Vietnam arms deals from Russia

Major US weapons manufacturers including Boeing and Lockheed Martin, along with Europe’s Airbus and Chinese firms, put their wares on show at an arms fair in Hanoi Thursday as Vietnam looks to diversify its defence supplies away from Russia.A US Air Force A-10 Thunderbolt attack aircraft and a C-130 Super Hercules transport were on the tarmac at Hanoi’s Gia Lam military airfield for the event.Thousands of people attended including hundreds of uniformed Vietnamese soldiers, some of whom posed for selfies with US troops ahead of next year’s 50th anniversary of the end of the Vietnam War.The defence expo featured Chinese firms for the first time, including major state-owned defence conglomerate Norinco, or China North Industries Corporation.Successive Vietnamese governments have been heavily reliant on arms supplied by Russia for decades.The country accounted for more than 80 percent of Vietnam’s arms imports between 1995 and 2023, according to data from the Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI). But imports from Russia have dropped off in recent years amid international sanctions over its invasion of Ukraine.”The war in Ukraine has exposed the vulnerabilities of relying too heavily on Russian arms,” said Nguyen Khac Giang, a visiting fellow at the ISEAS–Yusof Ishak Institute in Singapore.”Diversification isn’t just a necessity, it’s an opportunity for Vietnam to upgrade to more advanced systems while reducing dependence on any single partner,” Giang said.”The expo is Vietnam’s way of signalling it’s open to new partnerships.”Boeing and Lockheed Martin were among 14 American companies at the fair, while two exhibitors were Chinese and others were from Germany, Iran, Israel and Ukraine, as well as Russia.As well as aircraft, they put on display tanks, missiles, drones, firearms and radar systems, including by several Vietnamese firms.Speaking on the sidelines of the fair, US Ambassador to Vietnam Marc Knapper said US and Vietnamese companies could potentially work together in areas such as joint production and technology transfers.”Our goal is to ensure that Vietnam has what it needs to defend its interests, at sea, in the air, on the ground and in cyberspace,” he said.Both Washington and Hanoi share concerns about Beijing’s moves to assert its presence in the contested South China Sea, where Vietnam and other Southeast Asian nations have competing claims with China.At the opening ceremony, Vietnamese Prime Minister Pham Minh Chinh described the expo as “delivering a message of peace, cooperation, and shared development”.