1,000 gather in new Madagascar anti-government protestThu, 09 Oct 2025 10:49:59 GMT

At least 1,000 protesters marched in Madagascar’s capital Thursday where police fired tear gas to try to disperse the new anti-government demonstration in a youth-led movement that started two weeks ago.The fresh protest came after the Gen Z movement rejected President Andry Rajoelina’s attempts to defuse the tensions rocking the Indian Ocean island by appointing …

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Les vins effervescents à la fête, à des degrés divers

Les crémants ont le sourire, le champagne s’accroche: dans un monde du vin en difficulté, les effervescents tirent leur épingle du jeu, même si certains s’en sortent mieux que d’autres.Tirés par la demande internationale et le succès du prosecco italien, ces vins ont vu leur consommation et leur production quasiment doubler depuis 2002, selon l’Organisation internationale du vin (OIV), contrastant avec le reste d’un secteur frappé par la déconsommation.L’Italie, première productrice avec un tiers des vins effervescents mondiaux, a vu en 2024 ses exportations dopées par ses bulles: +12% en volume sur un an sur cette catégorie.En France, 2e productrice avec 16% du total, devant l’Allemagne (14%), ces bons chiffres n’ont pas échappé aux fabricants de crémants, qui réunissent huit appellations, en Touraine, Alsace, Savoie, Bourgogne…Près de Bordeaux, Dominique Furlan en “fait le plus possible, la moitié” de sa production désormais. Il y a cinq ans, il produisait trois quarts de vin rouge.”Aujourd’hui le crémant c’est vital”, décrit ce vigneron et président de coopérative. “C’est encourageant car ce produit plaît. Le consommateur y trouve son plaisir, et le producteur un salaire”, souligne-t-il.Pour les crémants, 2024 a été une année record avec plus de 114 millions de bouteilles vendues, soit +6% par rapport à 2023 et +35% par rapport à 2020, selon leur fédération nationale (FNPEC).Fin septembre la filière a présenté ses ambitions: monter en gamme (cuvées spéciales, cépages autochtones…), prendre le créneau bulles entre 9 et 15 euros abandonné par le champagne, notamment en grande distribution. Et s’étendre à l’export (40% aujourd’hui), au Royaume-Uni, où il est présent depuis peu, ou aux Etats-Unis, où la filière juge son niveau de prix à même d’encaisser le surcoût des droits de douane de Donald Trump.- “Le roi de la fête” à l’épreuve -Les vins effervescents ont “un style, le goût, les bulles, (qui) semblent emporter une adhésion assez large particulièrement chez les jeunes adultes”, explique à l’AFP Richard Halstead, expert auprès du spécialiste des données sur l’alcool IWSR. Surtout “les occasions de célébrer ont pris de l’importance. (…) Et ce n’est pas un produit de tous les jours”, ce qui fait qu’il est aussi moins affecté par la tendance générale à la modération.En revanche, “récemment, le champagne a connu une contraction, largement, selon nous, en raison des difficultés économiques des consommateurs”, relève l’analyste: les volumes ont diminué, même si la valeur des échanges a continué à croître.”Il y a eu l’inflation, l’augmentation des coûts de production, et puis certaines grosses maisons de champagne ont relevé leurs prix, parfois de beaucoup (…) Si vous montez vos prix, la demande peut répondre en déclinant, parce que tout le monde ne peut pas se permettre d’acheter ce produit aussi souvent qu’avant”, précise-t-il.Début octobre, le Syndicat général des vignerons de la Champagne (SGV) a exprimé son “inquiétude face au repli” de grands marchés, avec la montée des politiques protectionnistes mais aussi “la concurrence accrue” d’autres effervescents.En 2025, la région espère stabiliser ses expéditions par rapport à 2024 (271,4 millions de bouteilles, en recul après trois ans autour de la barre des 300 millions).Devra-t-elle baisser ses prix? “La Champagne a fait de gros efforts qualitatifs, environnementaux, avec un cahier des charges extrêmement exigeant nécessitant par exemple beaucoup de personnel, on a pris l’inflation de plein fouet, et on a impacté l’évolution de nos charges sur le prix de vente”, a répondu à la presse le président du SGV, Maxime Toubart. “L’idée n’est pas de baisser les prix, mais d’expliquer que le champagne reste le meilleur rapport qualité-prix, qu’en termes d’équivalence, on ne trouve pas, c’est le roi la fête”, a-t-il ajouté.”Aujourd’hui, le spritz ou le prosecco (qui compose le spritz, NDLR) est-il un concurrent? Oui et non”, a-t-il dit. “Oui parce qu’il y a un vrai attrait pour ces boissons. Mais ça ouvre aussi le palais et beaucoup de gens qui commencent par le spritz iront vers des crémants puis le champagne.”

Cédric Jubillar “n’avait pas le comportement de quelqu’un qui avait perdu sa femme”, affirme son ex-compagne

“Il n’avait pas le comportement de quelqu’un qui avait perdu sa femme”: entendue par la cour d’assises du Tarn, Séverine, une des ex-compagnes de Cédric Jubillar a évoqué jeudi ses “doutes” causés par l’attitude désinvolte et les mensonges de l’accusé, rencontré après la disparition de sa femme Delphine.”J’ai eu des fois des doutes parce qu’il ne cherchait pas trop sa femme non plus mais je me suis toujours dit que c’était pas lui qui avait fait du mal à Delphine”, a affirmé Séverine au 12e jour d’audience, avant que la petite amie suivante de l’accusé, dernière témoin de ce procès, ne soit entendue jeudi après-midi.Séverine, 48 ans, a rencontré le peintre-plaquiste de 38 ans en avril 2021, lors d’une battue destinée à retrouver d’éventuels indices concernant l’infirmière disparue quatre mois plus tôt dans le village de Cagnac-les-Mines, près d’Albi.Quelques jours après, “une relation s’est installée, j’étais curieuse, donc je me suis dit pourquoi pas me mettre en relation avec lui pour essayer d’en savoir un peu plus”, a-t-elle dit.- Aveux “en rigolant” -Questionnée sur les révélations que Cédric Jubillar lui aurait faites durant leur relation qui s’est étalée sur quelques semaines avant son incarcération en juin 2021, Séverine a confirmé qu’il lui avait affirmé avoir enterré le corps de son épouse “près d’une ferme qui a brûlé”: “Il le disait en rigolant”.Au long d’une longue audition souvent confuse, elle a également été interrogée sur ses échanges avec Marco, un ex-codétenu de Cédric Jubillar venu à sa rencontre à l’automne 2021, qui a témoigné mercredi, affirmant avoir également recueilli ses confidences à propos du meurtre de sa femme.Selon Marco, Cédric Jubillar lui aurait demandé de s’assurer que l’emplacement du corps de Delphine était sûr, mais également d’incriminer l’amant de son épouse pour faire réorienter l’enquête vers lui, alors que Séverine était chargée de lui fournir les noms et photos de cet amant résidant à Montauban et de sa compagne.Interrogé jeudi, Cédric Jubillar a qualifié de “blagues” ces propos et a continué, comme depuis le début de l’enquête, à nier être responsable de la disparition mystérieuse de l’infirmière. Son corps n’a jamais été retrouvé.- “Assurance-vie” et “Escobar” -Coiffée de longues dreadlocks décolorées et portant des lunettes, la Tarnaise a confirmé avoir rencontré Marco et lui avoir fourni des informations, ce qui lui avait valu d’être placée en garde à vue pour recel de cadavre avant d’être relâchée, mais a cherché à relativiser l’importance de son témoignage: “Il me disait qu’il avait braqué le cousin de Pablo Escobar…”. Avant d’accuser l’ex-prisonnier résidant désormais au Portugal: “Pour moi, c’est un indic”. Poussée à raconter son quotidien avec Cédric Jubillar à l’époque où il était en liberté, Séverine a dépeint un homme capable de “mentir en vous regardant droit dans les yeux”, parfois capable de violence avec son fils Louis, espérant récupérer “7.000 euros d’assurance-vie” après la mort de Delphine.”Il n’avait pas le comportement de quelqu’un qui avait perdu sa femme”, a-t-elle souligné, lançant: “Parfois j’ai le doute, mais je suis pas folle pour me mettre avec quelqu’un que je sais coupable”.Au moment d’évoquer une brouille survenue la veille de l’arrestation de Cédric Jubillar, elle a expliqué qu’il “était énervé, il ne voulait pas voir le dossier, parce qu’il avait peur de voir tout ce qu’on disait de lui”.”Au jour d’aujourd’hui, ce que vous savez c’est que vous ne savez rien ?”, a demandé Emmanuelle Franck, avocate de l’accusé. “Oui, je ne sais rien”, a-t-elle répondu.Jeudi après-midi, Jennifer, sa dernière petite amie, à qui Cédric aurait confié “à plusieurs reprises” cette année avoir “étranglé” sa femme, à l’intérieur de la maison du couple à Cagnac-les-Mines, sera entendue par la cour.Interrogée en juillet dernier par les enquêteurs, la jeune femme a affirmé aux gendarmes que Cédric avait même mimé sur elle le geste de l’étranglement, en lui disant: “Si tu me trompes, tu vas finir à côté d’elle”.Après les derniers témoignages entendus jeudi, l’accusé sera interrogé en longueur vendredi.

Cédric Jubillar “n’avait pas le comportement de quelqu’un qui avait perdu sa femme”, affirme son ex-compagne

“Il n’avait pas le comportement de quelqu’un qui avait perdu sa femme”: entendue par la cour d’assises du Tarn, Séverine, une des ex-compagnes de Cédric Jubillar a évoqué jeudi ses “doutes” causés par l’attitude désinvolte et les mensonges de l’accusé, rencontré après la disparition de sa femme Delphine.”J’ai eu des fois des doutes parce qu’il ne cherchait pas trop sa femme non plus mais je me suis toujours dit que c’était pas lui qui avait fait du mal à Delphine”, a affirmé Séverine au 12e jour d’audience, avant que la petite amie suivante de l’accusé, dernière témoin de ce procès, ne soit entendue jeudi après-midi.Séverine, 48 ans, a rencontré le peintre-plaquiste de 38 ans en avril 2021, lors d’une battue destinée à retrouver d’éventuels indices concernant l’infirmière disparue quatre mois plus tôt dans le village de Cagnac-les-Mines, près d’Albi.Quelques jours après, “une relation s’est installée, j’étais curieuse, donc je me suis dit pourquoi pas me mettre en relation avec lui pour essayer d’en savoir un peu plus”, a-t-elle dit.- Aveux “en rigolant” -Questionnée sur les révélations que Cédric Jubillar lui aurait faites durant leur relation qui s’est étalée sur quelques semaines avant son incarcération en juin 2021, Séverine a confirmé qu’il lui avait affirmé avoir enterré le corps de son épouse “près d’une ferme qui a brûlé”: “Il le disait en rigolant”.Au long d’une longue audition souvent confuse, elle a également été interrogée sur ses échanges avec Marco, un ex-codétenu de Cédric Jubillar venu à sa rencontre à l’automne 2021, qui a témoigné mercredi, affirmant avoir également recueilli ses confidences à propos du meurtre de sa femme.Selon Marco, Cédric Jubillar lui aurait demandé de s’assurer que l’emplacement du corps de Delphine était sûr, mais également d’incriminer l’amant de son épouse pour faire réorienter l’enquête vers lui, alors que Séverine était chargée de lui fournir les noms et photos de cet amant résidant à Montauban et de sa compagne.Interrogé jeudi, Cédric Jubillar a qualifié de “blagues” ces propos et a continué, comme depuis le début de l’enquête, à nier être responsable de la disparition mystérieuse de l’infirmière. Son corps n’a jamais été retrouvé.- “Assurance-vie” et “Escobar” -Coiffée de longues dreadlocks décolorées et portant des lunettes, la Tarnaise a confirmé avoir rencontré Marco et lui avoir fourni des informations, ce qui lui avait valu d’être placée en garde à vue pour recel de cadavre avant d’être relâchée, mais a cherché à relativiser l’importance de son témoignage: “Il me disait qu’il avait braqué le cousin de Pablo Escobar…”. Avant d’accuser l’ex-prisonnier résidant désormais au Portugal: “Pour moi, c’est un indic”. Poussée à raconter son quotidien avec Cédric Jubillar à l’époque où il était en liberté, Séverine a dépeint un homme capable de “mentir en vous regardant droit dans les yeux”, parfois capable de violence avec son fils Louis, espérant récupérer “7.000 euros d’assurance-vie” après la mort de Delphine.”Il n’avait pas le comportement de quelqu’un qui avait perdu sa femme”, a-t-elle souligné, lançant: “Parfois j’ai le doute, mais je suis pas folle pour me mettre avec quelqu’un que je sais coupable”.Au moment d’évoquer une brouille survenue la veille de l’arrestation de Cédric Jubillar, elle a expliqué qu’il “était énervé, il ne voulait pas voir le dossier, parce qu’il avait peur de voir tout ce qu’on disait de lui”.”Au jour d’aujourd’hui, ce que vous savez c’est que vous ne savez rien ?”, a demandé Emmanuelle Franck, avocate de l’accusé. “Oui, je ne sais rien”, a-t-elle répondu.Jeudi après-midi, Jennifer, sa dernière petite amie, à qui Cédric aurait confié “à plusieurs reprises” cette année avoir “étranglé” sa femme, à l’intérieur de la maison du couple à Cagnac-les-Mines, sera entendue par la cour.Interrogée en juillet dernier par les enquêteurs, la jeune femme a affirmé aux gendarmes que Cédric avait même mimé sur elle le geste de l’étranglement, en lui disant: “Si tu me trompes, tu vas finir à côté d’elle”.Après les derniers témoignages entendus jeudi, l’accusé sera interrogé en longueur vendredi.

India’s Gill out to avoid ‘mental fatigue’ from constant cricket

Shubman Gill said Thursday that his biggest opponent could be “mental fatigue” after the India Test captain recently took over charge of the 50-over side.Speaking ahead of Friday’s second Test against the West Indies in New Delhi, Gill conceded that it was a challenge to play all three international formats, but that was what drove him.”Physically most of the time I feel fine, but sometimes there is mental fatigue because when you are constantly playing,” Gill told reporters.”There is obviously a certain expectation that I have from myself.”India lead the two-match series 1-0 after they hammered the visitors by an innings and 140 runs inside three days in the first Test. Immediately after play ended on day three, Gill was named to succeed Rohit Sharma as ODI captain, adding to the 26-year-old’s workload.”I think that is the challenge about being able to play all the formats for India,” said Gill.”And I want to play and succeed in all the formats for the country, and win ICC titles.”Gill, who made his Test debut in December 2020, took over as Test skipper in May from Rohit.He was India’s leading scorer in the drawn five-Test series in England with 754 runs. He was also vice-captain of the Asia Cup-winning T20 team last month.Turning to the West Indies, Gill said there would be no complacency as India aim to wrap up the series against a team who are a pale shadow of the side that once ruled world cricket.”I don’t think your intensity drops down depending on the opposition,” Gill said.”It doesn’t matter who we are playing. We want to be able to play at our own intensity and we want to win.”West Indies were swept 3-0 at home by Australia in June and July. But embattled captain Roston Chase said he had been told to “keep believing” by West Indian greats, including Viv Richards, Brian Lara and Richie Richardson who were at an awards ceremony in New Delhi.”I had the privilege of meeting all three of them and they said the same thing, they told me ‘to keep believing’,” said Chase.”We are down right now but it has to change at some point. “It starts with belief and need to keep motivating the players to play positive cricket and change around our downfall.”

EU woos developing nations at investment forumThu, 09 Oct 2025 10:17:51 GMT

European Union chief Ursula von der Leyen pitched the bloc as a dependable partner in a transactional world Thursday as she hosted about a dozen Global South leaders at an investment conference in Brussels.Rwanda’s Paul Kagame and Angola’s Joao Lourenco were among those attending the opening of a two-day event aimed at bolstering a global …

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Trump calls for jailing of Illinois Democrats as troops arrive

US President Donald Trump called Wednesday for the Democratic governor of Illinois and mayor of Chicago to be jailed for resisting his mass deportation campaign, a day after armed troops from Texas arrived in the state.Chicago, the largest city in Illinois and third-largest in the country, has become the latest flashpoint in a crackdown by US Immigration and Customs Enforcement (ICE) agents that has sparked allegations of rights abuses and myriad lawsuits.Masked ICE agents have surged into several Democratic-led cities to conduct raids, stoking outrage among many residents and protests outside federal facilities.”Chicago Mayor should be in jail for failing to protect Ice Officers! Governor Pritzker also!” Trump posted Wednesday on his social media platform.Trump’s attacks on Chicago Mayor Brandon Johnson and Illinois Governor JB Pritzker, both Democrats, follow similar extraordinary public calls by the president for his political opponents to face legal charges.Trump later hosted an event at the White House regarding left-wing Antifa groups which focused on Portland, another Democratic-run city on the US west coast which has also become a flashpoint.The roundtable featured a number of right-wing independent journalists who said they had been assaulted by left-wing demonstrators from Antifa, which Trump recently classified as a terrorist group despite its ill-defined nature.”We have a very serious left-wing terror threat in our country,” Trump said.His Homeland Security Secretary Kristi Noem, who was in Portland a day earlier, said Antifa protesters were “just as dangerous” as the Palestinian militant group Hamas.”They have an agenda to destroy us just like the other terrorists,” Noem said.- ‘Full-blown authoritarianism’ -Local officials argue that city and state law enforcement are sufficient to handle the protests, but Trump claims the military is needed to keep federal agents safe, heightening concerns by his critics of growing authoritarianism.After National Guard deployments in Los Angeles and Washington, DC, 200 troops arrived in Illinois on Tuesday.”Elements of the Texas National Guard, under Title 10 authority and command and control of U.S. Northern Command, are employed in the greater Chicago area,” US Northern Command posted on X.”These soldiers are employed to protect U.S. Immigration and Customs Enforcement and other U.S. Government personnel who are performing federal functions, including the enforcement of federal law, and to protect federal property.”Chicago Governor Pritzker, seen as a potential Democratic candidate in the 2028 presidential election, has become one of Trump’s most fiery critics.He pledged Wednesday to “not back down,” listing a litany of grievances against Trump’s immigration crackdown.”What else is left on the path to full-blown authoritarianism?” he wrote on X. “We must all stand up and speak out.”Chicago Mayor Johnson has announced “ICE-free zones” where city-owned property will be declared off-limits to federal authorities, following raids, including one in which Black Hawk helicopters descended on a housing complex.Johnson accused Republicans of wanting “a rematch of the Civil War.”Trump’s call for the arrests of the Illinois Democrats came on the same day that former FBI director James Comey was arraigned on charges of lying to Congress.Comey’s indictment came just days after Trump urged his attorney general to quickly take action against him and others.Trump’s immigration crackdown is aimed at fulfilling a key election pledge to rid the country of what he called waves of foreign “criminals.”But he has also faced some legal setbacks, including a judge in Oregon temporarily blocking his bid to deploy troops in Portland.Trump said this week he could invoke the rarely used Insurrection Act to force deployments of troops around the country if courts or local officials are “holding us up.”