Asian markets swing as China-US trade euphoria fades

Asian stocks fluctuated Wednesday, with investors struggling to track a strong day on Wall Street as euphoria over the China-US trade detente petered out.But while the days of breathtaking volatility seen through April appear to be over for now, analysts warned that more work was needed for Washington to reach tariff deals with countries and instill a sense of stability.Data showing US inflation unexpectedly slowed last month provided some cheer, though observers pointed out that the real impact of Donald Trump’s “Liberation Day” tolls will not likely be felt until May’s readings.The US president on Tuesday played up a deal with Beijing.”We have the confines of a very, very strong deal with China. But the most exciting part of the deal… that’s the opening up of China to US business,” he told Fox News.His remarks were made aboard Air Force One as he headed off on his Gulf tour, with Saudi Arabia on Tuesday pledging $600 billion worth of US investments in a range of sectors from defence to artificial intelligence.The agreements — including a huge chip deal for Nvidia and Advanced Micro Devices — would boost US jobs, and the stock market is “gonna go a lot higher”, Trump said, citing an “explosion of investment and jobs”.The tech-rich Nasdaq rallied with the S&P 500, which broke back into positive territory for the year, helped slightly by the inflation data.But Asia struggled to extend the rally.Hong Kong, Seoul, Jakarta and Taipei rose more than one percent but Wellington and Manila were flat, while Tokyo, Shanghai, Sydney and Singapore fell.Oil, which had enjoyed a four-day rally on demand optimism and Trump’s warnings to Iran over a nuclear deal, also edged down.Analysts said that while the China deal was welcome, investors were now bracing for the next developments in the US president’s trade standoff with the world as countries look to strike deals with the White House to avert stiff tariffs.”Remember it’s an armistice not a peace treaty — and the tariffs are still at these levels worse than we had before,” Neil Wilson at Saxo Markets said.”Let’s be honest, the market knows this script by heart: Trump escalates. Markets tumble. Back-channels open. China blinks. A deal gets made. Risk rallies,” added Stephen Innes at SPI Asset Management.”The fog has lifted — for now. Whether this cycle brings more sustainable upside or just sets up the next tantrum remains to be seen,” he said.Still, the dialling down of tensions with China saw JPMorgan Chase predict the US economy would grow this year, reversing its earlier forecast for a contraction caused by the tariffs.Investors are also awaiting the release of earnings from Chinese tech titans Alibaba and Tencent, which could provide an idea about how the market heavyweights are coping with the trade upheaval and uncertainty in the world’s number two economy.- Key figures at around 0230 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.8 percent at 37,874.59 (break)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.2 percent at 23,390.30Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,372.40Euro/dollar: DOWN at $1.1186 from $1.1189 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.3308 from $1.3304Dollar/yen: DOWN at 147.21 yen from 147.47 yenEuro/pound: UP at 84.08 pence from 84.07 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.4 percent at $63.44 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $66.39 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.6 percent at 42,140.43 (close)London – FTSE 100: FLAT at 8,602.92 (close)

Ubisoft s’apprête à conclure une année mouvementée, sauvée par “Assassin’s Creed”

Un assassin qui a fait du bien: l’éditeur de jeux vidéo Ubisoft devrait dévoiler mercredi des résultats annuels “à l’équilibre”, sauvés in extremis par le dernier volet de sa série phare “Assassin’s Creed”, après de nombreuses déconvenues ces derniers mois.Le géant français du secteur, qui a affiché des bilans en dents de scie ces dernières années, a ainsi connu un lancement en demi-teinte pour “Star Wars Outlaws” l’été dernier, l’arrêt prématuré de son jeu de tir en ligne “XDefiant” et une dégringolade boursière. Il a toutefois su redresser la barre à la fin de son exercice décalé 2024-2025 grâce au succès d'”Assassin’s Creed Shadows”.Sorti le 20 mars, cet opus situé dans le Japon féodal a comptabilisé plus de trois millions de joueurs en une semaine, d’après l’éditeur, devenant même le deuxième jeu le plus vendu de l’année aux États-Unis, selon le cabinet Circana.De quoi rattraper une année annoncée “à l’équilibre” par le PDG Yves Guillemot, lors d’une audition au Sénat le 5 mai dans le cadre d’une commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises, dont Ubisoft a bénéficié à hauteur de 38 millions d’euros en 2023-2024.- Nouvelle filiale -Surtout, le groupe a lancé fin mars la création d’une nouvelle filiale – qui n’a pas encore de nom – regroupant ses trois sagas phares: “Assassin’s Creed”, “Far Cry” et “Rainbow Six”.Selon Yves Guillemot, cette filiale réunira environ 3.000 des quelque 17.000 salariés du groupe dans le monde. Elle ne détiendra pas directement ces marques mais paiera des royalties à sa maison mère Ubisoft pour leur exploitation.Valorisée à plus de 4 milliards d’euros (plus de deux fois la valorisation boursière actuelle d’Ubisoft), cette nouvelle entité sera détenue à environ 25% par le géant chinois de la tech Tencent, qui apportera 1,16 milliard d’euros d’argent frais.Pour Martin Szumski, analyste financier chez Morningstar, “c’était la solution la moins engageante possible, sans pour autant retourner les mains vides devant les actionnaires”, alors qu’un fonds d’investissement minoritaire tente de fédérer une partie d’entre eux pour demander un virage stratégique.Ce qui n’a pas empêché l’action d’Ubisoft de s’effondrer dans la foulée, alors que le marché boursier était plongé dans la tourmente par l’annonce des droits de douane américains.Depuis début janvier, le titre a perdu plus de 12%, tombant en avril à son plus bas niveau depuis plus de 10 ans.- L’ombre de Tencent -“Le marché a été déçu”, affirme Martin Szumski, car “la plupart des investisseurs s’attendaient à une modification plus significative du fonctionnement de l’entreprise”.Cette transaction permettra aussi à Tencent, entré au capital d’Ubisoft en 2018, d’affirmer encore un peu plus sa position au sein de l’entreprise française, même si le PDG du groupe a assuré devant les sénateurs qu’il comptait bien “garder la main” sur cette filiale.Mais, “si Ubisoft n’utilise pas l’argent investi par Tencent de manière significative”, le groupe chinois pourrait “chercher à racheter l’entreprise directement”, avertit l’analyste de Morningstar, malgré l’opposition affichée des frères Guillemot, qui en tiennent les rênes.Ubisoft, dont la dette atteignait 1,4 milliard d’euros fin septembre 2024, a entamé il y a deux ans un plan de réduction des coûts qui a déjà entraîné des fermetures de studios à l’étranger et le départ de plusieurs milliers de salariés.L’entreprise ne remplace désormais qu’un départ sur trois, a précisé Yves Guillemot devant les sénateurs.Ubisoft a également connu plusieurs mouvements de grève en 2024, portant sur les rémunérations et le travail à distance, qui ont mobilisé jusqu’à un quart de ses 4.000 salariés en France, selon les syndicats.

Ubisoft s’apprête à conclure une année mouvementée, sauvée par “Assassin’s Creed”

Un assassin qui a fait du bien: l’éditeur de jeux vidéo Ubisoft devrait dévoiler mercredi des résultats annuels “à l’équilibre”, sauvés in extremis par le dernier volet de sa série phare “Assassin’s Creed”, après de nombreuses déconvenues ces derniers mois.Le géant français du secteur, qui a affiché des bilans en dents de scie ces dernières années, a ainsi connu un lancement en demi-teinte pour “Star Wars Outlaws” l’été dernier, l’arrêt prématuré de son jeu de tir en ligne “XDefiant” et une dégringolade boursière. Il a toutefois su redresser la barre à la fin de son exercice décalé 2024-2025 grâce au succès d'”Assassin’s Creed Shadows”.Sorti le 20 mars, cet opus situé dans le Japon féodal a comptabilisé plus de trois millions de joueurs en une semaine, d’après l’éditeur, devenant même le deuxième jeu le plus vendu de l’année aux États-Unis, selon le cabinet Circana.De quoi rattraper une année annoncée “à l’équilibre” par le PDG Yves Guillemot, lors d’une audition au Sénat le 5 mai dans le cadre d’une commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises, dont Ubisoft a bénéficié à hauteur de 38 millions d’euros en 2023-2024.- Nouvelle filiale -Surtout, le groupe a lancé fin mars la création d’une nouvelle filiale – qui n’a pas encore de nom – regroupant ses trois sagas phares: “Assassin’s Creed”, “Far Cry” et “Rainbow Six”.Selon Yves Guillemot, cette filiale réunira environ 3.000 des quelque 17.000 salariés du groupe dans le monde. Elle ne détiendra pas directement ces marques mais paiera des royalties à sa maison mère Ubisoft pour leur exploitation.Valorisée à plus de 4 milliards d’euros (plus de deux fois la valorisation boursière actuelle d’Ubisoft), cette nouvelle entité sera détenue à environ 25% par le géant chinois de la tech Tencent, qui apportera 1,16 milliard d’euros d’argent frais.Pour Martin Szumski, analyste financier chez Morningstar, “c’était la solution la moins engageante possible, sans pour autant retourner les mains vides devant les actionnaires”, alors qu’un fonds d’investissement minoritaire tente de fédérer une partie d’entre eux pour demander un virage stratégique.Ce qui n’a pas empêché l’action d’Ubisoft de s’effondrer dans la foulée, alors que le marché boursier était plongé dans la tourmente par l’annonce des droits de douane américains.Depuis début janvier, le titre a perdu plus de 12%, tombant en avril à son plus bas niveau depuis plus de 10 ans.- L’ombre de Tencent -“Le marché a été déçu”, affirme Martin Szumski, car “la plupart des investisseurs s’attendaient à une modification plus significative du fonctionnement de l’entreprise”.Cette transaction permettra aussi à Tencent, entré au capital d’Ubisoft en 2018, d’affirmer encore un peu plus sa position au sein de l’entreprise française, même si le PDG du groupe a assuré devant les sénateurs qu’il comptait bien “garder la main” sur cette filiale.Mais, “si Ubisoft n’utilise pas l’argent investi par Tencent de manière significative”, le groupe chinois pourrait “chercher à racheter l’entreprise directement”, avertit l’analyste de Morningstar, malgré l’opposition affichée des frères Guillemot, qui en tiennent les rênes.Ubisoft, dont la dette atteignait 1,4 milliard d’euros fin septembre 2024, a entamé il y a deux ans un plan de réduction des coûts qui a déjà entraîné des fermetures de studios à l’étranger et le départ de plusieurs milliers de salariés.L’entreprise ne remplace désormais qu’un départ sur trois, a précisé Yves Guillemot devant les sénateurs.Ubisoft a également connu plusieurs mouvements de grève en 2024, portant sur les rémunérations et le travail à distance, qui ont mobilisé jusqu’à un quart de ses 4.000 salariés en France, selon les syndicats.

Ubisoft s’apprête à conclure une année mouvementée, sauvée par “Assassin’s Creed”

Un assassin qui a fait du bien: l’éditeur de jeux vidéo Ubisoft devrait dévoiler mercredi des résultats annuels “à l’équilibre”, sauvés in extremis par le dernier volet de sa série phare “Assassin’s Creed”, après de nombreuses déconvenues ces derniers mois.Le géant français du secteur, qui a affiché des bilans en dents de scie ces dernières années, a ainsi connu un lancement en demi-teinte pour “Star Wars Outlaws” l’été dernier, l’arrêt prématuré de son jeu de tir en ligne “XDefiant” et une dégringolade boursière. Il a toutefois su redresser la barre à la fin de son exercice décalé 2024-2025 grâce au succès d'”Assassin’s Creed Shadows”.Sorti le 20 mars, cet opus situé dans le Japon féodal a comptabilisé plus de trois millions de joueurs en une semaine, d’après l’éditeur, devenant même le deuxième jeu le plus vendu de l’année aux États-Unis, selon le cabinet Circana.De quoi rattraper une année annoncée “à l’équilibre” par le PDG Yves Guillemot, lors d’une audition au Sénat le 5 mai dans le cadre d’une commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises, dont Ubisoft a bénéficié à hauteur de 38 millions d’euros en 2023-2024.- Nouvelle filiale -Surtout, le groupe a lancé fin mars la création d’une nouvelle filiale – qui n’a pas encore de nom – regroupant ses trois sagas phares: “Assassin’s Creed”, “Far Cry” et “Rainbow Six”.Selon Yves Guillemot, cette filiale réunira environ 3.000 des quelque 17.000 salariés du groupe dans le monde. Elle ne détiendra pas directement ces marques mais paiera des royalties à sa maison mère Ubisoft pour leur exploitation.Valorisée à plus de 4 milliards d’euros (plus de deux fois la valorisation boursière actuelle d’Ubisoft), cette nouvelle entité sera détenue à environ 25% par le géant chinois de la tech Tencent, qui apportera 1,16 milliard d’euros d’argent frais.Pour Martin Szumski, analyste financier chez Morningstar, “c’était la solution la moins engageante possible, sans pour autant retourner les mains vides devant les actionnaires”, alors qu’un fonds d’investissement minoritaire tente de fédérer une partie d’entre eux pour demander un virage stratégique.Ce qui n’a pas empêché l’action d’Ubisoft de s’effondrer dans la foulée, alors que le marché boursier était plongé dans la tourmente par l’annonce des droits de douane américains.Depuis début janvier, le titre a perdu plus de 12%, tombant en avril à son plus bas niveau depuis plus de 10 ans.- L’ombre de Tencent -“Le marché a été déçu”, affirme Martin Szumski, car “la plupart des investisseurs s’attendaient à une modification plus significative du fonctionnement de l’entreprise”.Cette transaction permettra aussi à Tencent, entré au capital d’Ubisoft en 2018, d’affirmer encore un peu plus sa position au sein de l’entreprise française, même si le PDG du groupe a assuré devant les sénateurs qu’il comptait bien “garder la main” sur cette filiale.Mais, “si Ubisoft n’utilise pas l’argent investi par Tencent de manière significative”, le groupe chinois pourrait “chercher à racheter l’entreprise directement”, avertit l’analyste de Morningstar, malgré l’opposition affichée des frères Guillemot, qui en tiennent les rênes.Ubisoft, dont la dette atteignait 1,4 milliard d’euros fin septembre 2024, a entamé il y a deux ans un plan de réduction des coûts qui a déjà entraîné des fermetures de studios à l’étranger et le départ de plusieurs milliers de salariés.L’entreprise ne remplace désormais qu’un départ sur trois, a précisé Yves Guillemot devant les sénateurs.Ubisoft a également connu plusieurs mouvements de grève en 2024, portant sur les rémunérations et le travail à distance, qui ont mobilisé jusqu’à un quart de ses 4.000 salariés en France, selon les syndicats.

Trump set to meet Syrian leader ahead of Qatar visit

Donald Trump was set to meet the leader of Syria and the heads of the Gulf states Wednesday in Riyadh before travelling to Qatar where controversy is swirling over the gifting of a luxury aircraft.The US president was set to “say hello” to Syria’s new leader Ahmed al-Sharaa during his last day in Riyadh, after vowing to remove sanctions against the war-ravaged country.”I will be ordering the cessation of sanctions against Syria in order to give them a chance at greatness,” Trump said during a speech at an investment forum in the Saudi capital. “What I do for the crown prince,” he added, before being joined on stage by Saudi Arabia’s de facto leader Mohammed bin Salman, who along with Turkey has backed the Sunni Islamists who toppled Bashar al-Assad in December.The move comes despite misgivings about the direction of Syria from US ally Israel, which has unleashed military strikes on its neighbour both before and after the fall of Assad, an Iranian ally.Trump will also meet with leaders and representatives from the six Gulf Cooperation Council states: Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Bahrain, Qatar, Kuwait and Oman.The diplomatic sitdowns followed a day dedicated to sealing billions of dollars in commercial agreements, with the United States and Saudi Arabia signing a raft of deals involving energy, AI, weapons and tech. The White House said that Riyadh would purchase nearly $142 billion in arms in what it described as the largest-ever weapons deal.Washington said that Saudi company DataVolt was set to pour $20 billion in artificial intelligence-related projects in the United States. Tech companies including Google will also invest in both countries — likely welcome news for Saudi Arabia which has long faced restrictions securing advanced American technology.- Qatar controversy -Trump was set to head to Doha around midday. The tiny Gulf country that is home to a sprawling US air base has also served as a mediator between Israel and Hamas on ending the devastating war in Gaza. But the stop has largely been muddled by controversy following news that Trump planned on accepting a $400 million luxury plane as a gift from Qatar.The Boeing airplane would serve as a new, more modern presidential jet and then be put to Trump’s personal use once he leaves the White House.The move raises huge constitutional and ethical questions — as well as security concerns about using an aircraft donated by a foreign power as the ultra-sensitive Air Force One.Chuck Schumer, the top Democrat in the Senate, on Tuesday vowed to hold up all Justice Department political appointees in protest over the move. The visit to Qatar comes just days after Washington negotiated directly with Hamas to secure the release of a hostage with US citizenship, Edan Alexander. Qatar, alongside Egypt and the United States, hammered out a ceasefire between Israel and Hamas in Gaza that came into effect on January 19 — a day before Trump’s inauguration — but failed to end the war.The initial phase of the truce ended in early March, with the two sides unable to chart a path forward. Israel resumed air and ground attacks across the Gaza Strip, blocked aid and pledged to conquer the territory.On Tuesday, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said the military would enter Gaza “with full force” in the coming days, saying: “There will be no situation where we stop the war.”Trump was set to finish his tour of the Gulf with a final stop in Abu Dhabi later in the week. 

Trump set to meet Syrian leader ahead of Qatar visit

Donald Trump was set to meet the leader of Syria and the heads of the Gulf states Wednesday in Riyadh before travelling to Qatar where controversy is swirling over the gifting of a luxury aircraft.The US president was set to “say hello” to Syria’s new leader Ahmed al-Sharaa during his last day in Riyadh, after vowing to remove sanctions against the war-ravaged country.”I will be ordering the cessation of sanctions against Syria in order to give them a chance at greatness,” Trump said during a speech at an investment forum in the Saudi capital. “What I do for the crown prince,” he added, before being joined on stage by Saudi Arabia’s de facto leader Mohammed bin Salman, who along with Turkey has backed the Sunni Islamists who toppled Bashar al-Assad in December.The move comes despite misgivings about the direction of Syria from US ally Israel, which has unleashed military strikes on its neighbour both before and after the fall of Assad, an Iranian ally.Trump will also meet with leaders and representatives from the six Gulf Cooperation Council states: Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Bahrain, Qatar, Kuwait and Oman.The diplomatic sitdowns followed a day dedicated to sealing billions of dollars in commercial agreements, with the United States and Saudi Arabia signing a raft of deals involving energy, AI, weapons and tech. The White House said that Riyadh would purchase nearly $142 billion in arms in what it described as the largest-ever weapons deal.Washington said that Saudi company DataVolt was set to pour $20 billion in artificial intelligence-related projects in the United States. Tech companies including Google will also invest in both countries — likely welcome news for Saudi Arabia which has long faced restrictions securing advanced American technology.- Qatar controversy -Trump was set to head to Doha around midday. The tiny Gulf country that is home to a sprawling US air base has also served as a mediator between Israel and Hamas on ending the devastating war in Gaza. But the stop has largely been muddled by controversy following news that Trump planned on accepting a $400 million luxury plane as a gift from Qatar.The Boeing airplane would serve as a new, more modern presidential jet and then be put to Trump’s personal use once he leaves the White House.The move raises huge constitutional and ethical questions — as well as security concerns about using an aircraft donated by a foreign power as the ultra-sensitive Air Force One.Chuck Schumer, the top Democrat in the Senate, on Tuesday vowed to hold up all Justice Department political appointees in protest over the move. The visit to Qatar comes just days after Washington negotiated directly with Hamas to secure the release of a hostage with US citizenship, Edan Alexander. Qatar, alongside Egypt and the United States, hammered out a ceasefire between Israel and Hamas in Gaza that came into effect on January 19 — a day before Trump’s inauguration — but failed to end the war.The initial phase of the truce ended in early March, with the two sides unable to chart a path forward. Israel resumed air and ground attacks across the Gaza Strip, blocked aid and pledged to conquer the territory.On Tuesday, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said the military would enter Gaza “with full force” in the coming days, saying: “There will be no situation where we stop the war.”Trump was set to finish his tour of the Gulf with a final stop in Abu Dhabi later in the week. 

Vaccins contre le Covid: la justice européenne tranche sur les SMS de von der Leyen

La justice de l’UE doit dire mercredi si la Commission européenne avait le droit de refuser l’accès au contenu des SMS échangés en pleine pandémie du Covid entre sa présidente Ursula von der Leyen et Albert Bourla, PDG de Pfizer.Dans cette affaire le manque de transparence de l’exécutif européen a été épinglé, notamment par la médiatrice de l’UE.Ces textos, dont le contenu est toujours resté secret, ont été échangés au moment où le laboratoire Pfizer/BioNTech était le plus gros fournisseur de vaccins anti-Covid à l’Union européenne. Les contrats négociés par la Commission au nom des Vingt-Sept se chiffraient en milliards d’euros.Cela a valu à Mme von der Leyen d’être la cible de plusieurs plaintes, dont l’une au pénal en Belgique pour “destruction de documents publics” et “corruption”, à laquelle étaient associées la Pologne et la Hongrie. Cette plainte a été déclarée irrecevable en janvier par la cour d’appel de Liège.Le volet qui doit être tranché mercredi matin par le Tribunal de l’UE à Luxembourg concerne la plainte d’une journaliste du New York Times, Matina Stevis, qui avait révélé en avril 2021 l’existence de ces échanges numériques.La journaliste a souhaité l’année suivante se voir communiquer tous les SMS échangés entre Mme von der Leyen et M. Bourla entre le 1er janvier 2021 et le 11 mai 2022, au titre de la possibilité légale d’accéder à des documents publics de l’UE, en vertu d’un règlement européen de 2001.Le refus opposé par la Commission l’a poussée à saisir la justice européenne, avec le soutien de son journal. “La Commission a rejeté la demande au motif qu’elle ne détenait pas les documents visés par celle-ci. Mme Stevis et The New York Times ont demandé au Tribunal de l’Union européenne d’annuler la décision de la Commission”, rappelle le tribunal.Pour justifier son refus, l’exécutif européen a affirmé être incapable de produire ces textos.Ils n’ont pas été enregistrés et archivés en tant que documents publics, “faute de contenu substantiel”, a expliqué un de ses responsables lundi devant la presse. “Les SMS ne sont pas systématiquement considérés comme des documents publics”.- “Problématique” -Le 15 novembre 2024, l’audience de plaidoiries avait donné lieu à des échanges animés entre les deux parties à LuxembourgBondine Kloostra, avocate du New York Times, avait accusé la Commission d’avoir “violé les principes de bonne administration et de communication” en négligeant l’importance de ces SMS.En face, Paolo Stancanelli, juriste chargé de défendre la Commission, avait plaidé que les textos échangés n’entraient en aucun cas dans le cadre d’une négociation sur les conditions d’achat des vaccins. En outre, les services de la Commission, sollicités pour retrouver ces échanges en 2022, s’étaient adressés au cabinet de Mme von der Leyen, qui s’était dit “incapable” de les retrouver.”La Commission européenne n’a jamais nié qu’il y avait eu des interactions entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla. Il manque le lien entre ces textos et la discussion sur les accords portant sur les vaccins”, a insisté M. Stancanelli.L’affaire a suscité une controverse au sein même des institutions bruxelloises.La médiatrice de l’UE, à l’époque l’Irlandaise Emily O’Reilly, avait demandé début 2022 au cabinet de Mme von der Leyen de s’efforcer de mettre la main sur les SMS.”Il est clair (qu’ils) entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents” et “le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution”, avait-elle estimé, parlant d’un dossier “problématique”.En janvier 2022, par la voix d’un porte-parole, la Commission avait indiqué envisager une mise à jour de sa politique d’accès aux documents, sans plus de précisions.Durant la période Covid, l’UE a acheté ou réservé plus de la majorité des doses de vaccin au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, même si cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins homologués par le régulateur européen. 

Vaccins contre le Covid: la justice européenne tranche sur les SMS de von der Leyen

La justice de l’UE doit dire mercredi si la Commission européenne avait le droit de refuser l’accès au contenu des SMS échangés en pleine pandémie du Covid entre sa présidente Ursula von der Leyen et Albert Bourla, PDG de Pfizer.Dans cette affaire le manque de transparence de l’exécutif européen a été épinglé, notamment par la médiatrice de l’UE.Ces textos, dont le contenu est toujours resté secret, ont été échangés au moment où le laboratoire Pfizer/BioNTech était le plus gros fournisseur de vaccins anti-Covid à l’Union européenne. Les contrats négociés par la Commission au nom des Vingt-Sept se chiffraient en milliards d’euros.Cela a valu à Mme von der Leyen d’être la cible de plusieurs plaintes, dont l’une au pénal en Belgique pour “destruction de documents publics” et “corruption”, à laquelle étaient associées la Pologne et la Hongrie. Cette plainte a été déclarée irrecevable en janvier par la cour d’appel de Liège.Le volet qui doit être tranché mercredi matin par le Tribunal de l’UE à Luxembourg concerne la plainte d’une journaliste du New York Times, Matina Stevis, qui avait révélé en avril 2021 l’existence de ces échanges numériques.La journaliste a souhaité l’année suivante se voir communiquer tous les SMS échangés entre Mme von der Leyen et M. Bourla entre le 1er janvier 2021 et le 11 mai 2022, au titre de la possibilité légale d’accéder à des documents publics de l’UE, en vertu d’un règlement européen de 2001.Le refus opposé par la Commission l’a poussée à saisir la justice européenne, avec le soutien de son journal. “La Commission a rejeté la demande au motif qu’elle ne détenait pas les documents visés par celle-ci. Mme Stevis et The New York Times ont demandé au Tribunal de l’Union européenne d’annuler la décision de la Commission”, rappelle le tribunal.Pour justifier son refus, l’exécutif européen a affirmé être incapable de produire ces textos.Ils n’ont pas été enregistrés et archivés en tant que documents publics, “faute de contenu substantiel”, a expliqué un de ses responsables lundi devant la presse. “Les SMS ne sont pas systématiquement considérés comme des documents publics”.- “Problématique” -Le 15 novembre 2024, l’audience de plaidoiries avait donné lieu à des échanges animés entre les deux parties à LuxembourgBondine Kloostra, avocate du New York Times, avait accusé la Commission d’avoir “violé les principes de bonne administration et de communication” en négligeant l’importance de ces SMS.En face, Paolo Stancanelli, juriste chargé de défendre la Commission, avait plaidé que les textos échangés n’entraient en aucun cas dans le cadre d’une négociation sur les conditions d’achat des vaccins. En outre, les services de la Commission, sollicités pour retrouver ces échanges en 2022, s’étaient adressés au cabinet de Mme von der Leyen, qui s’était dit “incapable” de les retrouver.”La Commission européenne n’a jamais nié qu’il y avait eu des interactions entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla. Il manque le lien entre ces textos et la discussion sur les accords portant sur les vaccins”, a insisté M. Stancanelli.L’affaire a suscité une controverse au sein même des institutions bruxelloises.La médiatrice de l’UE, à l’époque l’Irlandaise Emily O’Reilly, avait demandé début 2022 au cabinet de Mme von der Leyen de s’efforcer de mettre la main sur les SMS.”Il est clair (qu’ils) entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents” et “le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution”, avait-elle estimé, parlant d’un dossier “problématique”.En janvier 2022, par la voix d’un porte-parole, la Commission avait indiqué envisager une mise à jour de sa politique d’accès aux documents, sans plus de précisions.Durant la période Covid, l’UE a acheté ou réservé plus de la majorité des doses de vaccin au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, même si cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins homologués par le régulateur européen. 

Vaccins contre le Covid: la justice européenne tranche sur les SMS de von der Leyen

La justice de l’UE doit dire mercredi si la Commission européenne avait le droit de refuser l’accès au contenu des SMS échangés en pleine pandémie du Covid entre sa présidente Ursula von der Leyen et Albert Bourla, PDG de Pfizer.Dans cette affaire le manque de transparence de l’exécutif européen a été épinglé, notamment par la médiatrice de l’UE.Ces textos, dont le contenu est toujours resté secret, ont été échangés au moment où le laboratoire Pfizer/BioNTech était le plus gros fournisseur de vaccins anti-Covid à l’Union européenne. Les contrats négociés par la Commission au nom des Vingt-Sept se chiffraient en milliards d’euros.Cela a valu à Mme von der Leyen d’être la cible de plusieurs plaintes, dont l’une au pénal en Belgique pour “destruction de documents publics” et “corruption”, à laquelle étaient associées la Pologne et la Hongrie. Cette plainte a été déclarée irrecevable en janvier par la cour d’appel de Liège.Le volet qui doit être tranché mercredi matin par le Tribunal de l’UE à Luxembourg concerne la plainte d’une journaliste du New York Times, Matina Stevis, qui avait révélé en avril 2021 l’existence de ces échanges numériques.La journaliste a souhaité l’année suivante se voir communiquer tous les SMS échangés entre Mme von der Leyen et M. Bourla entre le 1er janvier 2021 et le 11 mai 2022, au titre de la possibilité légale d’accéder à des documents publics de l’UE, en vertu d’un règlement européen de 2001.Le refus opposé par la Commission l’a poussée à saisir la justice européenne, avec le soutien de son journal. “La Commission a rejeté la demande au motif qu’elle ne détenait pas les documents visés par celle-ci. Mme Stevis et The New York Times ont demandé au Tribunal de l’Union européenne d’annuler la décision de la Commission”, rappelle le tribunal.Pour justifier son refus, l’exécutif européen a affirmé être incapable de produire ces textos.Ils n’ont pas été enregistrés et archivés en tant que documents publics, “faute de contenu substantiel”, a expliqué un de ses responsables lundi devant la presse. “Les SMS ne sont pas systématiquement considérés comme des documents publics”.- “Problématique” -Le 15 novembre 2024, l’audience de plaidoiries avait donné lieu à des échanges animés entre les deux parties à LuxembourgBondine Kloostra, avocate du New York Times, avait accusé la Commission d’avoir “violé les principes de bonne administration et de communication” en négligeant l’importance de ces SMS.En face, Paolo Stancanelli, juriste chargé de défendre la Commission, avait plaidé que les textos échangés n’entraient en aucun cas dans le cadre d’une négociation sur les conditions d’achat des vaccins. En outre, les services de la Commission, sollicités pour retrouver ces échanges en 2022, s’étaient adressés au cabinet de Mme von der Leyen, qui s’était dit “incapable” de les retrouver.”La Commission européenne n’a jamais nié qu’il y avait eu des interactions entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla. Il manque le lien entre ces textos et la discussion sur les accords portant sur les vaccins”, a insisté M. Stancanelli.L’affaire a suscité une controverse au sein même des institutions bruxelloises.La médiatrice de l’UE, à l’époque l’Irlandaise Emily O’Reilly, avait demandé début 2022 au cabinet de Mme von der Leyen de s’efforcer de mettre la main sur les SMS.”Il est clair (qu’ils) entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents” et “le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution”, avait-elle estimé, parlant d’un dossier “problématique”.En janvier 2022, par la voix d’un porte-parole, la Commission avait indiqué envisager une mise à jour de sa politique d’accès aux documents, sans plus de précisions.Durant la période Covid, l’UE a acheté ou réservé plus de la majorité des doses de vaccin au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, même si cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins homologués par le régulateur européen.Â