US Supreme Court allows cuts in NIH diversity research grants
A divided US Supreme Court gave the Trump administration the green light on Thursday to cut hundreds of millions of dollars in research grants linked to diversity initiatives.A federal judge in Massachusetts had blocked the planned cuts to the National Institutes of Health (NIH) grants in June, saying they amounted to racial discrimination and LGBTQ prejudice.The Trump administration has targeted nearly $800 million in NIH research funding for elimination as part of its campaign against diversity, equity and inclusion policies.In a 5-4 vote, the conservative-majority Supreme Court allowed the cuts to go ahead while legal challenges continue in lower courts.Chief Justice John Roberts, a conservative, sided with the three liberal justices on the top court in the minority.The targeted diversity grants represent only a fraction of the more than $10 billion in NIH research and contracts that have been put on the chopping block since President Donald Trump took office in January.Other affected projects include studies on the health effects of global warming, Alzheimer’s disease and cancer.Trump has launched a sweeping overhaul of the US scientific establishment in his second term — slashing funding, attacking universities, and overseeing mass layoffs of scientists across federal agencies.
Lil Nas X arrested after nearly naked nighttime stroll in LA
A nearly naked Lil Nas X was picked up by police Thursday after being found wandering through Los Angeles in just his underwear and a pair of white cowboy boots.Video posted on TMZ appeared to show the “Old Town Road” artist almost in the buff as he strutted down the major thoroughfare in the city.The rapper repeatedly addressed the passerby taking the video, urging them: “Don’t be late to the party tonight.”It was not clear which party he was referring to or where he was headed, as he walked along the center median of the near-empty street.At one point he asked the person filming — who was apparently sitting in a car — to hand over the phone so he can throw it away.”I wanna throw it far away so you never see it again. I don’t like phones.””Didn’t I tell you to put the phone down? Uh-oh, somebody’s gonna have to pay for that,” he said as he theatrically wagged his finger.A spokesman for Los Angeles Police Department told AFP that officers had been called to the Studio City area just before dawn.”There was a nude man walking in the street,” the spokesman said.”Upon arrival the suspect charged at officers. He was taken into custody and taken to a local hospital for a possible overdose and placed under arrest for battery on a police officer.”The spokesman said he was unable to provide the identity of the man.Photos published by TMZ appear to show the flamboyant star putting a traffic cone on his head.There was no immediate comment from Lil Nas X or his representatives.
A Strasbourg, Tondelier appelle à “la responsabilité” de la gauche en vue de la présidentielle
“Arrêter les gnagnagna”: Les Écologistes ont rassemblé toute la gauche, y compris mélenchoniste jeudi, au premier jour de leurs universités d’été à Strasbourg, en les appelant “à la responsabilité” dans l’optique d’une candidature commune pour la présidentielle.Dans son discours, la patronne des Ecologistes Marine Tondelier a de nouveau plaidé pour une primaire allant de Raphaël Glucksmann à Jean-Luc Mélenchon, alors que les deux hommes refusent toute idée d’union de la gauche pour 2027, chacun préférant faire cavalier seul pour réussir à s’imposer dans les sondages.”Arrêtons avec les attaques personnelles et les guerres picrocholines, et la commedia dell’arte, et les +gnagnagna, si tu me mets un dissident là, je t’en mets un là (…) On n’a pas le temps”, a-t-elle martelé, mettant la pression sur ses partenaires.Dans un meeting, intitulé “pour gagner demain”, se sont retrouvés sur scène le patron des socialistes Olivier Faure, et des représentants de toutes les formation du Nouveau Front populaire, y compris de Place publique et de La France insoumise. Mais Thierry Brochot, délégué général de Place publique, le parti de Raphaël Glucksmann, a rapidement douché les espoirs, en estimant que l’union “n’est pas en soi une force propulsive” et ne le devient que si “elle a un sens et un projet commun”. La députée insoumise Alma Dufour a aussi acté des “divergences stratégiques” entre LFI et ses partenaires du NFP.”L’union n’est pas la seule condition pour la victoire mais sans l’union se repètera ce qui s’est déjà passé. Comme si nous n’avions pas compris que quatre, cinq, six candidats de gauche au premier tour, c’est aucun au second tour”, a répondu Olivier Faure. Et si la gauche n’était pas au second tour, elle “n’aurait plus sa place dans le débat politique”, a-t-il prévenu.”Huit Français de gauche sur 10 veulent l’union”, a martelé l’ex-Insoumise Clémentine Autain, pro-unioniste, appelant ses partenaires “à passer à l’action”.”Il y a une bascule du fascisme qui est en cours. Elle est à l’œuvre au niveau mondial, comme si les États étaient des dominos qui tombaient(…) On a un rôle à jouer historique parce que la France fait partie des prochains dominos”, a aussi averti Marine Tondelier.Et elle a prévenu que “les écologistes n’ont pas vocation à être uniquement les gentils organisateurs de l’union”, et seront représentés “dans la primaire qui s’annonce”, précisant qu’elle rendrait publique “à l’automne” sa décision sur sa potentielle candidature.Pour l’heure, au moins un point d’accord: quasiment tous promettent de voter la censure du gouvernement Bayrou lors de l’examen du budget 2026. Et de soutenir les mouvements citoyens, dont le mouvement de blocage du 10 septembre.-“débouché politique”-Une mobilisation citoyenne aux contours encore flous mais “que nous devons accompagner”, a assuré Olivier Faure. “Nous serons là le 10 septembre et les jours suivants”, a-t-il promis. Pas pour “canaliser, dompter, instrumentaliser, ou soumettre” ce mouvement mais pour “lui offrir un débouché politique qui ne soit pas celui de l’extrême droite”.Ce rassemblement à Strasbourg fait suite à l’initiative lancée début juillet par Lucie Castets, l’éphémère prétendante à Matignon du Nouveau Front populaire, pour une candidature commune pour la présidentielle.”La barre est haute pour une victoire de la gauche et des Ecologistes mais elle peut être atteinte”, a assuré cette dernière à Strasbourg, persuadée que “l’union est la clé”. Alors que Raphaël Glucksmann a affirmé qu’il y aurait “deux offres politiques en 2027” à gauche “qui ne sont pas solubles l’une dans l’autre”, Lucie Castets a répondu: “je crois que les gauches doivent être solubles. Elles sont solubles dans la lutte contre les inégalités, pour le droit international, pour la justice sociale et la justice fiscale”.Un rassemblement unitaire similaire est prévu la semaine prochaine, pour les journées d’été du PS à Blois, mais sans les Insoumis, avec qui les relations sont glaciales, notamment depuis que les socialistes ont refusé de censurer le gouvernement sur le budget 2025.L’ode à l’union risque cependant de se voir malmener dès vendredi, aux universités d’été de LFI à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme) avec le discours de Jean-Luc Mélenchon, déjà lancé pour sa quatrième campagne présidentielle.
A Strasbourg, Tondelier appelle à “la responsabilité” de la gauche en vue de la présidentielle
“Arrêter les gnagnagna”: Les Écologistes ont rassemblé toute la gauche, y compris mélenchoniste jeudi, au premier jour de leurs universités d’été à Strasbourg, en les appelant “à la responsabilité” dans l’optique d’une candidature commune pour la présidentielle.Dans son discours, la patronne des Ecologistes Marine Tondelier a de nouveau plaidé pour une primaire allant de Raphaël Glucksmann à Jean-Luc Mélenchon, alors que les deux hommes refusent toute idée d’union de la gauche pour 2027, chacun préférant faire cavalier seul pour réussir à s’imposer dans les sondages.”Arrêtons avec les attaques personnelles et les guerres picrocholines, et la commedia dell’arte, et les +gnagnagna, si tu me mets un dissident là, je t’en mets un là (…) On n’a pas le temps”, a-t-elle martelé, mettant la pression sur ses partenaires.Dans un meeting, intitulé “pour gagner demain”, se sont retrouvés sur scène le patron des socialistes Olivier Faure, et des représentants de toutes les formation du Nouveau Front populaire, y compris de Place publique et de La France insoumise. Mais Thierry Brochot, délégué général de Place publique, le parti de Raphaël Glucksmann, a rapidement douché les espoirs, en estimant que l’union “n’est pas en soi une force propulsive” et ne le devient que si “elle a un sens et un projet commun”. La députée insoumise Alma Dufour a aussi acté des “divergences stratégiques” entre LFI et ses partenaires du NFP.”L’union n’est pas la seule condition pour la victoire mais sans l’union se repètera ce qui s’est déjà passé. Comme si nous n’avions pas compris que quatre, cinq, six candidats de gauche au premier tour, c’est aucun au second tour”, a répondu Olivier Faure. Et si la gauche n’était pas au second tour, elle “n’aurait plus sa place dans le débat politique”, a-t-il prévenu.”Huit Français de gauche sur 10 veulent l’union”, a martelé l’ex-Insoumise Clémentine Autain, pro-unioniste, appelant ses partenaires “à passer à l’action”.”Il y a une bascule du fascisme qui est en cours. Elle est à l’œuvre au niveau mondial, comme si les États étaient des dominos qui tombaient(…) On a un rôle à jouer historique parce que la France fait partie des prochains dominos”, a aussi averti Marine Tondelier.Et elle a prévenu que “les écologistes n’ont pas vocation à être uniquement les gentils organisateurs de l’union”, et seront représentés “dans la primaire qui s’annonce”, précisant qu’elle rendrait publique “à l’automne” sa décision sur sa potentielle candidature.Pour l’heure, au moins un point d’accord: quasiment tous promettent de voter la censure du gouvernement Bayrou lors de l’examen du budget 2026. Et de soutenir les mouvements citoyens, dont le mouvement de blocage du 10 septembre.-“débouché politique”-Une mobilisation citoyenne aux contours encore flous mais “que nous devons accompagner”, a assuré Olivier Faure. “Nous serons là le 10 septembre et les jours suivants”, a-t-il promis. Pas pour “canaliser, dompter, instrumentaliser, ou soumettre” ce mouvement mais pour “lui offrir un débouché politique qui ne soit pas celui de l’extrême droite”.Ce rassemblement à Strasbourg fait suite à l’initiative lancée début juillet par Lucie Castets, l’éphémère prétendante à Matignon du Nouveau Front populaire, pour une candidature commune pour la présidentielle.”La barre est haute pour une victoire de la gauche et des Ecologistes mais elle peut être atteinte”, a assuré cette dernière à Strasbourg, persuadée que “l’union est la clé”. Alors que Raphaël Glucksmann a affirmé qu’il y aurait “deux offres politiques en 2027” à gauche “qui ne sont pas solubles l’une dans l’autre”, Lucie Castets a répondu: “je crois que les gauches doivent être solubles. Elles sont solubles dans la lutte contre les inégalités, pour le droit international, pour la justice sociale et la justice fiscale”.Un rassemblement unitaire similaire est prévu la semaine prochaine, pour les journées d’été du PS à Blois, mais sans les Insoumis, avec qui les relations sont glaciales, notamment depuis que les socialistes ont refusé de censurer le gouvernement sur le budget 2025.L’ode à l’union risque cependant de se voir malmener dès vendredi, aux universités d’été de LFI à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme) avec le discours de Jean-Luc Mélenchon, déjà lancé pour sa quatrième campagne présidentielle.
Mèmes, majuscules, trolling: le gouverneur de Californie s’attaque à Trump en reprenant ses codes
Gouverneur de l’Etat le plus peuplé des Etats-Unis, Gavin Newsom est habitué à une communication bien encadrée, voire formatée. Mais récemment, le démocrate de Californie a adopté une stratégie particulière sur les réseaux sociaux: imiter Donald Trump pour mieux le dénoncer.”TRUMP VIENT DE FUIR L’ESTRADE AVEC POUTINE – PAS DE QUESTIONS, RIEN! ÉNERGIE COMPLETEMENT FAIBLE. ON AURAIT DIT QUE LE GARS VENAIT JUSTE DE MANGER TROIS SEAUX DE KFC AVEC VLAD. A-T-IL PEUR QUE LA PRESSE L’INTERROGE SUR MOI??? (LE GOUVERNEUR PRÉFÉRÉ DE L’AMÉRIQUE)”.Des majuscules partout, une insulte crasse et une vantardise sans fard. Le message adopte un style similaire à celui du président américain, mais c’est bien le compte officiel de l’équipe de communication du gouverneur Newsom qui l’a posté vendredi, peu après la rencontre entre Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine en Alaska.Dans une longue liste de posts outranciers, le même compte s’est moqué des “mains minuscules” du milliardaire républicain, a posté une fausse Une du magazine Time avec Gavin Newsom portant une couronne, a intimé au ministre du Logement – en espagnol – d’aller “se faire foutre”, ou encore a ridiculisé les contours d’autobronzant sur le visage du président.Si le style comme le contenu peuvent choquer, c’est bien là le dessein du gouverneur de Californie.- “Absurdité” -Le dirigeant de 57 ans, chevelure grisonnante et gominée vers l’arrière, a affirmé lors d’une visioconférence avec la presse mercredi avoir voulu montrer au grand public “l’absurdité de la normalisation de Donald Trump”.”Rien de tout cela n’est normal, et il faut que ce soit pointé du doigt”, a-t-il déclaré.Pour le consultant politique Jeff Le, cette stratégie adoptée par Gavin Newsom est un moyen de “répondre au large mécontentement affiché envers le Parti démocrate” à gauche, mais aussi de répondre “au besoin de démontrer une lutte réelle contre le président Trump”.Cet ex-conseiller de Jerry Brown, le gouverneur démocrate de Californie de 1975 à 1983 puis de 2011 à 2019, cite notamment un sondage récent de la chaîne CNBC montrant un taux d’approbation du Parti démocrate à 24%, au plus bas depuis des décennies.”Avec le parti dans l’incapacité d’exercer tout type de pouvoir à l’échelle nationale, la base réclame de nouvelle voix et une nouvelle génération de dirigeants”, estime Jeff Le auprès de l’AFP.La stratégie semble fonctionner puisque le nombre d’abonnés sur les comptes du gouverneur a explosé depuis une semaine. Elle a également attiré l’attention, moins indulgente, de commentateurs à droite.Notamment de Dana Perino, ancienne porte-parole de la Maison Blanche sous George Bush fils et actuelle présentatrice sur la chaîne Fox News, qui a déclaré à propos du gouverneur: “Si j’étais sa femme, je lui dirais, +tu te tournes en ridicule, arrête-ça+”.Gavin Newsom lui a indirectement répondu en affirmant que quand les personnalités de Fox News condamnent ces tweets moqueurs tout en majuscules, sans s’indigner quand Donald Trump le fait, ils montrent qu’ils sont “complètement passés à côté du sujet”.- 2028 -Sollicitée par l’AFP, la Maison Blanche a partagé un montage parodique — initialement envoyé au média Politico — reprenant une scène de la série “Mad Men”, et censé montrer que Donald Trump n’en a rien à faire de Gavin Newsom.Politico a avancé que c’était là sûrement le premier communiqué officiel de l’histoire de la Maison Blanche sous forme de mème.Mais au-delà du style, Gavin Newsom est engagé depuis près d’un mois dans une bataille bien plus politique avec Donald Trump, qui a fait pression sur les responsables républicains du Texas pour redessiner la carte électorale de manière à accroître sa majorité au Congrès.Le gouverneur californien a annoncé qu’il riposterait en lançant une campagne pour faire de même dans son Etat, en faveur des démocrates.”Nous allons combattre le feu par le feu”, a-t-il récemment déclaré.Ses regards sont en outre déjà tournés vers 2028 et une élection présidentielle où aucun candidat côté démocrate ne s’est réellement démarqué pour le moment.Harry Enten, analyste de données à CNN, a souligné que depuis son changement de communication, les chances de Gavin Newsom d’obtenir l’investiture démocrate avaient bondi chez les bookmakers pour atteindre 24%.Il n’est pas sûr pour autant que le gouverneur décide de maintenir un style trumpien pour y parvenir.





