Les Français favorables à l’organisation d’un referendum, proposée par Bayrou, selon un sondage

Les Français sont très majoritairement favorables (83%) à l’organisation d’un referendum et placent l’économie, les retraites et l’immigration en tête des sujets sur lesquels ils aimeraient être questionnés, selon un sondage Elabe pour BFMTV, publié dimanche. A la question “ces derniers mois, plusieurs personnalités politiques ont évoqué le souhait d’organiser un référendum, sur différents sujets. Sur le principe, y êtes-vous favorable ou opposé ?”, plus d’un Français sur deux se dit favorable et 28% très favorables. Cette étude est publiée après la proposition du Premier ministre François Bayrou d’interroger les Français sur la trajectoire à venir des finances publiques. “Cette idée a pénétré l’opinion”, s’est d’ailleurs félicité M. Bayrou samedi en marge d’un déplacement à Brest.”Beaucoup de citoyens français disent: oui au fond, que nous soyons pour une fois associés à ces décisions, c’est une chose qui nous intéresse et qui est très importante. Alors le monde politique est un peu moins enthousiaste, on comprend assez bien pourquoi:  parce que l’intervention directe des citoyens change le rapport de force et le débat”, a encore observé le Premier ministre.Le président Emmanuel Macron avait également dans ses voeux pour 2025 proposé d’organiser plusieurs scrutins de ce type. Il pourrait se montrer plus précis sur la question lors d’une émission spéciale mardi soir sur TF1.A la question “si un référendum devait être organisé dans les mois à venir, sur quels sujets souhaiteriez-vous qu’il porte”, 59% des personnes interrogées citent la dépense, la dette, les impôts. Suivent ex-aequo les retraites et l’immigration (52%). Ils sont 43% à demander à être interrogés sur la fin de vie, 22% sur la réduction du nombre d’échelons territoriaux et 19% sur la proportionnelle.Dans le bas du tableau, on trouve les rythmes scolaires et l’usage des écrans .et réseaux sociaux pour les enfants (16%).Sondage réalisé par internet les 6 et 7 mai sur un échantillon de 1.000 personnes représentatives de la population de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,1 points. 

Les Français favorables à l’organisation d’un referendum, proposée par Bayrou, selon un sondage

Les Français sont très majoritairement favorables (83%) à l’organisation d’un referendum et placent l’économie, les retraites et l’immigration en tête des sujets sur lesquels ils aimeraient être questionnés, selon un sondage Elabe pour BFMTV, publié dimanche. A la question “ces derniers mois, plusieurs personnalités politiques ont évoqué le souhait d’organiser un référendum, sur différents sujets. Sur le principe, y êtes-vous favorable ou opposé ?”, plus d’un Français sur deux se dit favorable et 28% très favorables. Cette étude est publiée après la proposition du Premier ministre François Bayrou d’interroger les Français sur la trajectoire à venir des finances publiques. “Cette idée a pénétré l’opinion”, s’est d’ailleurs félicité M. Bayrou samedi en marge d’un déplacement à Brest.”Beaucoup de citoyens français disent: oui au fond, que nous soyons pour une fois associés à ces décisions, c’est une chose qui nous intéresse et qui est très importante. Alors le monde politique est un peu moins enthousiaste, on comprend assez bien pourquoi:  parce que l’intervention directe des citoyens change le rapport de force et le débat”, a encore observé le Premier ministre.Le président Emmanuel Macron avait également dans ses voeux pour 2025 proposé d’organiser plusieurs scrutins de ce type. Il pourrait se montrer plus précis sur la question lors d’une émission spéciale mardi soir sur TF1.A la question “si un référendum devait être organisé dans les mois à venir, sur quels sujets souhaiteriez-vous qu’il porte”, 59% des personnes interrogées citent la dépense, la dette, les impôts. Suivent ex-aequo les retraites et l’immigration (52%). Ils sont 43% à demander à être interrogés sur la fin de vie, 22% sur la réduction du nombre d’échelons territoriaux et 19% sur la proportionnelle.Dans le bas du tableau, on trouve les rythmes scolaires et l’usage des écrans .et réseaux sociaux pour les enfants (16%).Sondage réalisé par internet les 6 et 7 mai sur un échantillon de 1.000 personnes représentatives de la population de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,1 points. 

Espagne: le Clasico de la dernière chance pour Mbappé et le Real Madrid

Le quatrième “Clasico” de la saison entre le FC Barcelone, leader de Liga, et le Real Madrid, son dauphin, dimanche (16H15), est la dernière chance pour l’équipe de Kylian Mbappé de sauver une saison terne, bien loin des attentes.Eviter à tout prix un nouvel affront, synonyme d’une saison quasi-blanche, et tout relancer. L’objectif sera double, dimanche, pour le géant espagnol, distancé à quatre longueurs de son éternel rival, le FC Barcelone, et battu lors des trois premiers “Clasico” de la saison (4-0, 5-2, 3-2 a.p).Le club madrilène, champion d’Espagne en titre, doit impérativement ramener un résultat de son déplacement en terre ennemie, sur la pelouse du stade olympique de Montjuic, pour espérer sauver une saison qui pourrait tourner au fiasco, sans trophée majeur hormis la Supercoupe d’Europe et la Coupe intercontinentale.Loin, très loin, des rêves de potentiel sextuplé et d’une 16e Ligue des champions, objectifs affichés lors de l’arrivée, l’été dernier, de la star du football français Kylian Mbappé, pointé du doigt – assez injustement – comme le symbole de l’échec collectif merengue.- “Mbappé, nous avons besoin de toi!”L’attaquant français, auteur d’un doublé le week-end dernier face au Celta Vigo (3-2), affiche bien des statistiques exceptionnelles avec 36 buts toutes compétitions confondues dont 24 en Liga. Mais la gloire qu’il était venu chercher à Madrid, après sept saisons au PSG, qualifié, sans lui, pour la deuxième finale de C1 de son histoire, semble pour l’instant le fuir.Il a l’occasion de changer tout cela, dimanche face à une défense barcelonaise friable, qui a fini par exploser en prolongation face à l’Inter mardi en demi-finale retour de C1 (4-3 a.p., 7-6 en cumulé). Et de rentrer dans l’histoire de la Maison Blanche, en égalant le Chilien Ivan Zamorano, détenteur du record de buts inscrits pour une première saison au Real.”Nous allons nous battre jusqu’à la fin. Hala Madrid!”, a prévenu le Français le week-end dernier sur son compte Instagram aux 123 millions d’abonnés.”Mbappé, nous avons besoin de toi à Montjuic”, lui a répondu le quotidien sportif AS dans un éditorial.”À Montjuïc, je te demande de faire la différence, comme tu l’as fait tant de fois contre le Barça au Camp Nou (Mbappé compte 8 buts en 7 matches contre le club catalan, NDLR). Ne nous déçois pas. Nous avons besoin de toi, crack”, écrit le célèbre éditorialiste pro-madrilène Tomas Roncero.Remuant mais pris hors-jeu huit fois lors de son premier Clasico au Santiago Bernabéu (4-0), puis buteur frustré lors des deux suivants, en Supercoupe d’Espagne (5-2) et en finale de Coupe du Roi (3-2, a.p), le capitaine de l’équipe de France sera, encore une fois, attendu en sauveur d’une équipe toujours très déséquilibrée, et décimée par les blessures (Carvajal, Rüdiger, Eder Militao, Camavinga, Alaba, Mendy…).Il avait prouvé, lors de son entrée en jeu à Séville, qu’il était capable de tout renverser, presque à lui tout seul. Mais il faudra sûrement plus que des exploits personnels, pour espérer un sort différent des trois premiers chocs face au Barça du phénomène Lamine Yamal, qui jouera lui pour éviter une semaine noire et se rapprocher d’un 28e titre de champion d’Espagne, et d’un triplé national (Liga, Coupe du Roi, Supercoupe.Ni les dribbles, ni les buts du Bondynois ne changeront en revanche – sauf surprise – le destin de l’entraîneur madrilène Carlo Ancelotti, annoncé comme possible prochain sélectionneur du Brésil, et dont le départ et le remplacement par son ancien joueur Xabi Alonso, qui a annoncé quitter le Bayer Leverkusen en fin de saison, semblent déjà actés. La fin d’une ère. 

Poutine propose des négociations directes avec l’Ukraine mais ignore l’appel au cessez-le-feu

Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations “directes” et “sans condition préalable” entre la Russie et l’Ukraine dès jeudi à Istanbul, repoussant à de telles discussions toute possibilité d’instaurer le cessez-le-feu exigé par les alliés de Kiev.Dans une rare démonstration d’unité occidentale, l’Ukraine et ses alliés européens, de concert avec les Etats-Unis, ont adressé samedi un ultimatum à Moscou pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi la Russie s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives”.Sans évoquer directement cette proposition, le président russe a reproché aux Européens de traiter la Russie “de manière grossière et à l’aide d’ultimatums” et a estimé que toute possible trêve devrait s’inscrire dans des discussions “directes” avec Kiev. “La Russie est prête à des négociations sans aucune condition préalable (….). Nous proposons de commencer dès jeudi prochain, le 15 mai, à Istanbul”, a déclaré M. Poutine dans une déclaration à la presse, en présence de journalistes de l’AFP, tard dans la nuit au Kremlin. Il a précisé qu’il s’entretiendrait dans les heures qui viennent avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.Ce dernier, en contact régulier avec son homologue russe, a plusieurs fois proposé d’accueillir des pourparlers de paix. La Turquie, membre de l’Otan, avait joué un rôle de médiation en 2022 pour la conclusion d’un accord permettant l’exportation de céréales ukrainiennes par la mer Noire, dont la Russie avait par la suite claqué la porte.Vladimir Poutine n’a “pas exclu” que l’idée d’un cessez-le-feu soit discutée lors de pourparlers avec Kiev mais il a souligné que ces discussions devraient porter sur “les causes profondes du conflit” – qu’il a qualifié de “guerre” bien que ce terme soit rejeté par les autorités russes – “dans une perspective historique”.Moscou avait justifié le lancement de son offensive à grande échelle en février 2022 par la volonté de “dénazifier” l’Ukraine, dont son armée occupe actuellement environ 20% du territoire, de s’opposer à son rapprochement avec les Occidentaux ainsi qu’au renforcement de l’Otan près de ses frontières.- “Gagner du temps” -Alors que les cartes ont été rebattues par le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a entamé un rapprochement avec Vladimir Poutine, Moscou a rejeté jusqu’à présent les appels au cessez-le-feu.Le Kremlin s’est contenté de décréter unilatéralement une trêve de trois jours pour les commémorations des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, qui s’est achevée dans la nuit de samedi à dimanche après avoir été marquée par des accusations de violations des deux côtés.”Potentiellement un grand jour pour la Russie et l’Ukraine !” a écrit Donald Trump dimanche matin sur son compte Truth Social, sans expliciter s’il faisait référence à la proposition de Vladimir Poutine.”Pensez aux centaines de milliers de vies qui seront sauvées avec la fin, espérons-le, de ce +bain de sang+ sans fin. (…)  Je continuerai à travailler avec les deux parties pour m’assurer que cela se produise”, a-t-il ajouté, alors qu’il pousse depuis son investiture en février Volodymyr Zelensky à accepter de négocier avec Moscou.Ce dernier avait assuré jeudi, après un appel avec Donald Trump, que son pays était “prêt” à mener “tous formats de négociations” avec Moscou, mais que la Russie devrait instaurer d’abord un cessez-le-feu.Emmanuel Macron a qualifié la proposition russe de “premier mouvement (…) pas suffisant”, relevant chez Vladimir Poutine “la volonté de gagner du temps”.”D’ailleurs je pense que c’est inacceptable pour les Ukrainiens parce qu’ils ne peuvent pas accepter des discussions parallèles alors qu’ils continuent à être bombardés”, a insisté le président français, qui s’exprimait à sa descente de train dans la ville polonaise de Przemysl au retour d’un déplacement en Ukraine, où il était accompagné samedi des dirigeants allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk.- Aide militaire -Lors de cette visite, selon le président français, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires”, qui ont échangé par visioconférence à Kiev avec les dirigeants autour de  M. Zelensky, ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, il a été convenu que “des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.Volodymyr Zelensky et les quatre Européens ont téléphoné à Donald Trump pour l’informer des résultats de leurs entretiens. Friedrich Merz a évoqué la poursuite d’une “aide massive” à Kiev faute de réaction du Kremlin et estimé que la guerre russe en Ukraine “vise à détruire l’ordre politique européen tout entier”.Sur le terrain, dans la nuit de samedi à dimanche, après l’expiration de la trêve décrétée par Moscou, des alertes aériennes ont retenti dans de nombreuses régions ukrainiennes, dont à Kiev.L’ambassade américaine en Ukraine a mis en garde vendredi contre le risque d’une importante “attaque aérienne” russe ces prochains jours.burs/gmo/bpi

Poutine propose des négociations directes avec l’Ukraine mais ignore l’appel au cessez-le-feu

Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations “directes” et “sans condition préalable” entre la Russie et l’Ukraine dès jeudi à Istanbul, repoussant à de telles discussions toute possibilité d’instaurer le cessez-le-feu exigé par les alliés de Kiev.Dans une rare démonstration d’unité occidentale, l’Ukraine et ses alliés européens, de concert avec les Etats-Unis, ont adressé samedi un ultimatum à Moscou pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi la Russie s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives”.Sans évoquer directement cette proposition, le président russe a reproché aux Européens de traiter la Russie “de manière grossière et à l’aide d’ultimatums” et a estimé que toute possible trêve devrait s’inscrire dans des discussions “directes” avec Kiev. “La Russie est prête à des négociations sans aucune condition préalable (….). Nous proposons de commencer dès jeudi prochain, le 15 mai, à Istanbul”, a déclaré M. Poutine dans une déclaration à la presse, en présence de journalistes de l’AFP, tard dans la nuit au Kremlin. Il a précisé qu’il s’entretiendrait dans les heures qui viennent avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.Ce dernier, en contact régulier avec son homologue russe, a plusieurs fois proposé d’accueillir des pourparlers de paix. La Turquie, membre de l’Otan, avait joué un rôle de médiation en 2022 pour la conclusion d’un accord permettant l’exportation de céréales ukrainiennes par la mer Noire, dont la Russie avait par la suite claqué la porte.Vladimir Poutine n’a “pas exclu” que l’idée d’un cessez-le-feu soit discutée lors de pourparlers avec Kiev mais il a souligné que ces discussions devraient porter sur “les causes profondes du conflit” – qu’il a qualifié de “guerre” bien que ce terme soit rejeté par les autorités russes – “dans une perspective historique”.Moscou avait justifié le lancement de son offensive à grande échelle en février 2022 par la volonté de “dénazifier” l’Ukraine, dont son armée occupe actuellement environ 20% du territoire, de s’opposer à son rapprochement avec les Occidentaux ainsi qu’au renforcement de l’Otan près de ses frontières.- “Gagner du temps” -Alors que les cartes ont été rebattues par le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a entamé un rapprochement avec Vladimir Poutine, Moscou a rejeté jusqu’à présent les appels au cessez-le-feu.Le Kremlin s’est contenté de décréter unilatéralement une trêve de trois jours pour les commémorations des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, qui s’est achevée dans la nuit de samedi à dimanche après avoir été marquée par des accusations de violations des deux côtés.”Potentiellement un grand jour pour la Russie et l’Ukraine !” a écrit Donald Trump dimanche matin sur son compte Truth Social, sans expliciter s’il faisait référence à la proposition de Vladimir Poutine.”Pensez aux centaines de milliers de vies qui seront sauvées avec la fin, espérons-le, de ce +bain de sang+ sans fin. (…)  Je continuerai à travailler avec les deux parties pour m’assurer que cela se produise”, a-t-il ajouté, alors qu’il pousse depuis son investiture en février Volodymyr Zelensky à accepter de négocier avec Moscou.Ce dernier avait assuré jeudi, après un appel avec Donald Trump, que son pays était “prêt” à mener “tous formats de négociations” avec Moscou, mais que la Russie devrait instaurer d’abord un cessez-le-feu.Emmanuel Macron a qualifié la proposition russe de “premier mouvement (…) pas suffisant”, relevant chez Vladimir Poutine “la volonté de gagner du temps”.”D’ailleurs je pense que c’est inacceptable pour les Ukrainiens parce qu’ils ne peuvent pas accepter des discussions parallèles alors qu’ils continuent à être bombardés”, a insisté le président français, qui s’exprimait à sa descente de train dans la ville polonaise de Przemysl au retour d’un déplacement en Ukraine, où il était accompagné samedi des dirigeants allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk.- Aide militaire -Lors de cette visite, selon le président français, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires”, qui ont échangé par visioconférence à Kiev avec les dirigeants autour de  M. Zelensky, ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, il a été convenu que “des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.Volodymyr Zelensky et les quatre Européens ont téléphoné à Donald Trump pour l’informer des résultats de leurs entretiens. Friedrich Merz a évoqué la poursuite d’une “aide massive” à Kiev faute de réaction du Kremlin et estimé que la guerre russe en Ukraine “vise à détruire l’ordre politique européen tout entier”.Sur le terrain, dans la nuit de samedi à dimanche, après l’expiration de la trêve décrétée par Moscou, des alertes aériennes ont retenti dans de nombreuses régions ukrainiennes, dont à Kiev.L’ambassade américaine en Ukraine a mis en garde vendredi contre le risque d’une importante “attaque aérienne” russe ces prochains jours.burs/gmo/bpi

IPL chiefs in talks about restart following ceasefire: reports

India cricket board officials were reported to be meeting Sunday to discuss a quick resumption of the IPL, following India and Pakistan agreeing a ceasefire in their deadly border conflict.Nuclear-armed neighbours India and Pakistan called a halt to hostilities on Saturday and Board of Control for Cricket in India (BCCI) secretary Devajit Saikia told website cricbuzz they were “closely monitoring the evolving situation.”Saikia added they will “take a call on IPL resumption after consulting all stakeholders of IPL and the concerned government authorities.” Rajeev Shukla, vice-president of the BCCI, told Indian media that officials would meet on Sunday to decide the future course of action.The Indian Premier League was on Friday suspended for a week, a day after a match  between Punjab Kings and Delhi Capital was abandoned in Dharamsala, less than 200 kilometres (125 miles) from the northern city of Jammu, where explosions were reported hours earlier.A special train was arranged for players to return to Delhi on Friday as airspace was closed, while overseas stars began to head home on Saturday.Teams on Sunday were reported to be contacting their overseas players and coaching staff about returning, with website ESPNcricinfo saying the IPL could restart around May 15 if given the go-ahead by the government.There are 12 regular season games remaining to be played followed by three playoff matches and the final, originally scheduled for May 25.India and Pakistan have fought two of their three full-scale wars over Kashmir, a disputed territory that both claim in full but administer separate portions of since gaining independence from British rule in 1947.New Delhi launched missile strikes on Wednesday morning in retaliation for a deadly attack on tourists in Indian-run Kashmir two weeks ago that India blames on Pakistan.Islamabad has denied any involvement.At least 60 people have been killed on both sides of the border since Wednesday, in the worst violence in decades between the South Asian neighbours.