Mediators await Israeli response to new truce offer

Mediators were awaiting an Israeli response Tuesday to a fresh Gaza ceasefire plan, a day after Hamas accepted the proposal and signalled its readiness for a new round of talks aimed at ending nearly two years of war.Mediator Qatar expressed guarded optimism for the new proposal, noting it was “almost identical” to an earlier version agreed to by Israel.The two foes have held on-and-off indirect negotiations throughout the war, resulting in two short truces and the releases of Israeli hostages in exchange for Palestinian prisoners, but they have ultimately failed to broker a lasting ceasefire. Qatar and Egypt, backed by the United States, have mediated the frequent rounds of shuttle diplomacy.Egypt said Monday that it and Qatar had sent the new proposal to Israel, adding “the ball is now in its court”. Qatari foreign ministry spokesman Majed al-Ansari said on Tuesday that Hamas had given a “very positive response, and it truly was almost identical to what the Israeli side had previously agreed to”.”We cannot make any claims that a breakthrough has been made. But we do believe it is a positive point,” he added.According to a report in Egyptian state-linked outlet Al-Qahera News, the latest deal proposes an initial 60-day truce, a partial hostage release, the freeing of some Palestinian prisoners and provisions allowing for the entry of aid.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu has yet to publicly comment on the plan, but said last week that his country would accept “an agreement in which all the hostages are released at once and according to our conditions for ending the war”.Senior Hamas official Mahmoud Mardawi said on social media that his group had “opened the door wide to the possibility of reaching an agreement, but the question remains whether Netanyahu will once again close it, as he has done in the past”. Hamas’s acceptance of the proposal comes as Netanyahu faces increasing pressure at home and abroad to end the war.On Sunday, tens of thousands took to the streets in the Israeli city of Tel Aviv to call for the end of the war and a deal to free the remaining hostages still being held captive.Of the 251 hostages taken during Hamas’s October 2023 attack that triggered the war, 49 are still in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.The new proposal also comes after Israel’s security cabinet approved plans to conquer Gaza City and nearby refugee camps, fanning fears the new offensive will worsen the already catastrophic humanitarian crisis in the devastated territory.Israel’s far-right National Security Minister Itamar Ben Gvir — who has staunchly opposed ending the war — slammed the plan, warning of a “tragedy” if Netanyahu “gives in to Hamas”.- ‘Unbearable’ -Gaza’s civil defence agency reported that 31 people were killed Tuesday by Israeli strikes and fire across the territory.Agency spokesman Mahmud Bassal told AFP the situation was “very dangerous and unbearable” in the Zeitoun and Sabra neighbourhoods of Gaza City, where he said “artillery shelling continues intermittently”.The Israeli military declined to comment on specific troop movements, saying only that it was “operating to dismantle Hamas military capabilities” and took “feasible precautions to mitigate civilian harm”.Media restrictions in Gaza and difficulties accessing swathes of the Palestinian territory mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency or the Israeli military.Sabra resident Hussein al-Dairi, 44, said “tanks are firing shells and mortars, and drones are firing bullets and missiles” in the neighbourhood.”We heard on the news that Hamas had agreed to a truce, but the occupation is escalating the war against us, the civilians,” he added. Hamas’s October 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.Israel’s offensive has killed at least 62,064 Palestinians, most of them civilians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza which the United Nations considers reliable.

Enquête ouverte à Nice après la mort en direct d’un “streamer” humilié depuis des mois

Le parquet de Nice a indiqué mardi avoir ouvert une enquête suite au décès “lors d’un live streaming” sur une plateforme vidéo d’un homme de 46 ans, protagoniste de vidéos controversées sur lesquelles la ministre du numérique a saisi l’Arcom.Raphaël Graven, 46 ans, connu en ligne sous les pseudos “Jean Pormanove” ou “JP”, est décédé lundi à Contes, petit village au nord de Nice, a précisé le parquet, confirmant une information de Nice-Matin. Il était connu pour participer à des vidéos le montrant subissant violences et autres humiliations, notamment de deux partenaires connus sous les pseudos de “Narutovie” et “Safine”.Le parquet a indiqué avoir ouvert une enquête en “recherche des causes de la mort” et ordonné une autopsie.Les investigations ont été confiées à la police judiciaire de Nice, déjà saisie depuis décembre 2024 d’une enquête notamment pour “violences volontaires en réunion sur personnes vulnérables (…) et diffusion d’enregistrement d’images relatives à la commission d’infractions d’atteintes volontaires à l’intégrité de la personne”, suite à un article de Médiapart révélant l’existence de ces vidéos, suivies par des milliers de personnes, notamment sur la plateforme australienne de diffusion en direct Kick.Une vidéo diffusée en live lundi sur Kick, et largement partagée depuis, montrerait, selon des internautes, les moments juste avant son décès ou la découverte de celui-ci, le montrant inanimé sous une couette dans un lit, dans lequel sont également deux autres hommes, dont un jette une petite bouteille d’eau en plastique dans sa direction.Clara Chappaz, ministre déléguée chargée du Numérique, a dénoncé sur le réseau X “une horreur absolue” et indiqué avoir “saisi l’Arcom et effectué un signalement sur Pharos”, le service de lutte contre la violence en ligne. “J’ai également contacté les responsables de la plateforme pour obtenir des explications. La responsabilité des plateformes en ligne sur la diffusion de contenus illicites n’est pas une option : c’est la loi”, a-t-elle souligné.Interrogée par mail par l’AFP sur cette affaire, Kick a répondu “ne pouvoir donner aucune information en raison de notre politique de confidentialité”. Dans ses conditions d’utilisation, le site souligne que “bien que la violence puisse être contextuelle et avoir des conséquences variables, nous interdisons tout contenu représentant ou incitant à une violence odieuse”.Kick est une plateforme australienne, grande concurrente du leader mondial du live streaming Twitch et aux règles de modération plus relâchées.

Enquête ouverte à Nice après la mort en direct d’un “streamer” humilié depuis des mois

Le parquet de Nice a indiqué mardi avoir ouvert une enquête suite au décès “lors d’un live streaming” sur une plateforme vidéo d’un homme de 46 ans, protagoniste de vidéos controversées sur lesquelles la ministre du numérique a saisi l’Arcom.Raphaël Graven, 46 ans, connu en ligne sous les pseudos “Jean Pormanove” ou “JP”, est décédé lundi à Contes, petit village au nord de Nice, a précisé le parquet, confirmant une information de Nice-Matin. Il était connu pour participer à des vidéos le montrant subissant violences et autres humiliations, notamment de deux partenaires connus sous les pseudos de “Narutovie” et “Safine”.Le parquet a indiqué avoir ouvert une enquête en “recherche des causes de la mort” et ordonné une autopsie.Les investigations ont été confiées à la police judiciaire de Nice, déjà saisie depuis décembre 2024 d’une enquête notamment pour “violences volontaires en réunion sur personnes vulnérables (…) et diffusion d’enregistrement d’images relatives à la commission d’infractions d’atteintes volontaires à l’intégrité de la personne”, suite à un article de Médiapart révélant l’existence de ces vidéos, suivies par des milliers de personnes, notamment sur la plateforme australienne de diffusion en direct Kick.Une vidéo diffusée en live lundi sur Kick, et largement partagée depuis, montrerait, selon des internautes, les moments juste avant son décès ou la découverte de celui-ci, le montrant inanimé sous une couette dans un lit, dans lequel sont également deux autres hommes, dont un jette une petite bouteille d’eau en plastique dans sa direction.Clara Chappaz, ministre déléguée chargée du Numérique, a dénoncé sur le réseau X “une horreur absolue” et indiqué avoir “saisi l’Arcom et effectué un signalement sur Pharos”, le service de lutte contre la violence en ligne. “J’ai également contacté les responsables de la plateforme pour obtenir des explications. La responsabilité des plateformes en ligne sur la diffusion de contenus illicites n’est pas une option : c’est la loi”, a-t-elle souligné.Interrogée par mail par l’AFP sur cette affaire, Kick a répondu “ne pouvoir donner aucune information en raison de notre politique de confidentialité”. Dans ses conditions d’utilisation, le site souligne que “bien que la violence puisse être contextuelle et avoir des conséquences variables, nous interdisons tout contenu représentant ou incitant à une violence odieuse”.Kick est une plateforme australienne, grande concurrente du leader mondial du live streaming Twitch et aux règles de modération plus relâchées.

Londres renonce à obtenir l’accès aux données chiffrées des utilisateurs d’Apple

Le Royaume-Uni a renoncé à sa demande très contestée d’accéder pour des raisons de sécurité aux données chiffrées des utilisateurs d’Apple, a affirmé mardi la directrice du renseignement national américain Tulsi Gabbard sur X.”Le Royaume-Uni a accepté de renoncer à son mandat obligeant Apple à fournir une +porte dérobée+, qui aurait permis d’accéder aux données chiffrées protégées des citoyens américains et porté atteinte à nos libertés civiles”, a-t-elle publié sur le réseau social.Contacté par l’AFP, le ministère de l’Intérieur britannique s’est refusé à commenter ou infirmer l’existence d’une telle demande.Apple n’avait pas répondu à l’AFP mardi à la mi-journée.Citant des sources proches du dossier, le Washington Post avait révélé en début d’année que Londres avait demandé à Apple de créer une “porte dérobée” (un moyen secret pour accéder à des données, ndlr) permettant de “récupérer tous les contenus que les utilisateurs d’Apple du monde entier ont téléchargés sur le cloud”.Une requête effectuée, selon le journal, en vertu d’une loi de 2016 offrant des pouvoirs de surveillance très étendus à la police et aux services de renseignement de Sa Majesté.Selon une source américaine citée par le Financial Times, le vice-président américain JD Vance, récemment en vacances au Royaume-Uni, “a négocié un accord mutuellement bénéfique selon lequel le gouvernement britannique retirera” sa demande.Apple avait annoncé en février abandonner le service de chiffrage ultra-sécurisé de son “cloud” (informatique dématérialisée) pour les utilisateurs au Royaume-Uni -sans jamais évoquer le gouvernement britannique, dont la demande reste entourée du plus grand secret.”Nous n’avons jamais mis en place de +porte dérobée+ ou de +clé principale+ (qui permet de chiffrer et déchiffrer des données, ndlr) pour aucun de nos produits ou services et nous ne le ferons jamais”, avait souligné le géant californien.Apple a aussi déposé une plainte devant l’Investigatory Powers Tribunal (IPT), chargé du contrôle des pouvoirs d’enquête et du renseignement, selon un document publié sur le site du tribunal.L’affrontement avec le gouvernement britannique s’inscrit dans un débat technologique et politique de fond depuis des années entre les partisans d’une protection absolue de la vie privée et ceux qui y voient un obstacle aux enquêtes criminelles ou terroristes.Parmi les géants américains de la “tech”, Apple est celui qui communique le plus sur la sécurisation des données de ses utilisateurs.

Stock markets cautious with eyes on Ukraine talks

Global stock markets traded cautiously and oil prices fell on Tuesday as investors eyed signs of progress in talks to end Russia’s war in Ukraine.Hopes for a breakthrough rose after US President Donald Trump said he spoke by phone with Russian counterpart Vladimir Putin after hosting Ukrainian President Volodymyr Zelensky and European leaders at the White House.Zelensky said he was ready for what would be his first face-to-face talks with Putin since Russia’s invasion nearly three and a half years ago.London, Paris and Frankfurt stocks all advanced, following a lacklustre session for Asian stock markets.European defence stocks, however, fell on optimism for a breakthrough in peace talks.Investors were also eagerly awaiting a speech later this week by US Federal Reserve chief Jerome Powell at the annual retreat of global central bankers in Jackson Hole, Wyoming.Traders hope Powell will provide more clues about a possible Fed interest-rate cut when it meets next month, after data last week provided a mixed picture about inflation.”Markets seem to be exercising some caution ahead of the Jackson Hole meeting later this week and as talks over a peace agreement between Russia and Ukraine remain inconclusive,” said AJ Bell head of financial analysis Danni Hewson.Oil prices, which have been volatile for several days — Russia is a major crude producer — fell around one percent after gains on Monday.”Oil prices have dropped a little as a deal edges closer, given that it’s likely to lead to an easing of sanctions on Russia energy imports, increasing supplies on global markets,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.Japan’s Nikkei briefly hit a fresh intraday record before retreating to close down 0.4 percent.Shanghai ended flat, while Hong Kong, Sydney and Seoul retreated and Singapore, Bangkok and Mumbai edged up.SoftBank shares fell four percent after the Japan-based tech investment giant said it would invest $2 billion in Intel, as the US government reportedly considers taking a 10-percent stake in the troubled US chip giant.- Key figures at around 1040 GMT -London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,178.27 pointsParis – CAC 40: UP 0.7 percent at 7,940.33Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 24,368.64Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.4 percent at 43,546.29 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.2 percent at 25,122.90 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,727.29 (close)New York – Dow: UP 0.1 percent at 44,946.12 (close)Euro/dollar: UP at $1.1688 from $1.1666 on MondayPound/dollar: UP at $1.3525 from $1.3503Dollar/yen: DOWN at 147.68 yen from 147.89 yen  Euro/pound: UP at 86.41 pence from 86.40 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.3 percent at $62.62 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.1 percent at $65.84 per barrel

Macron juge que Bayrou a “les capacités” pour tenir jusque 2027

Emmanuel Macron juge que François Bayrou “a les capacités” pour tenir le gouvernement jusque la fin de son mandat et répète qu’il ne veut pas de nouvelle dissolution, estimant que c’est “aux responsables politiques de savoir travailler ensemble”.François Bayrou “est mon ami… mon compagnon de route. Il a les capacités pour tenir ce gouvernement qui n’est pas habituel”, plaide mardi dans Paris Match le président qui “espère” que le Premier ministre puisse rester jusque 2027.Il défend le plan d’économies budgétaires “lucide et courageux” du Premier ministre, “que nous avons longuement préparé ensemble”.Ce plan prévoit notamment le gel de la plupart des dépenses de l’État en 2026 au niveau de 2025, une “année blanche” gelant le barème des impôts, des prestations sociales et des retraites ou encore la suppression de deux jours fériés.Face au risque d’une censure du gouvernement par le Rassemblement national et la gauche sur le budget à l’automne, le chef de l’Etat avertit que “les responsables politiques doivent vraiment faire attention à ce qu’ils feront”. “Dans le contexte international, le pays a vraiment besoin de stabilité. Donc pas de coups politiques. Et du courage pour prendre les décisions fortes”, juge-t-il.Il répète qu’il ne veut pas de nouvelle dissolution. “On a un Parlement qui reflète les fractures du pays. C’est aux responsables politiques de savoir travailler ensemble. Regardez ce qui se passe en Allemagne. C’est ainsi que s’organise la coalition du chancelier Merz”, argumente-t-il.

Macron juge que Bayrou a “les capacités” pour tenir jusque 2027

Emmanuel Macron juge que François Bayrou “a les capacités” pour tenir le gouvernement jusque la fin de son mandat et répète qu’il ne veut pas de nouvelle dissolution, estimant que c’est “aux responsables politiques de savoir travailler ensemble”.François Bayrou “est mon ami… mon compagnon de route. Il a les capacités pour tenir ce gouvernement qui n’est pas habituel”, plaide mardi dans Paris Match le président qui “espère” que le Premier ministre puisse rester jusque 2027.Il défend le plan d’économies budgétaires “lucide et courageux” du Premier ministre, “que nous avons longuement préparé ensemble”.Ce plan prévoit notamment le gel de la plupart des dépenses de l’État en 2026 au niveau de 2025, une “année blanche” gelant le barème des impôts, des prestations sociales et des retraites ou encore la suppression de deux jours fériés.Face au risque d’une censure du gouvernement par le Rassemblement national et la gauche sur le budget à l’automne, le chef de l’Etat avertit que “les responsables politiques doivent vraiment faire attention à ce qu’ils feront”. “Dans le contexte international, le pays a vraiment besoin de stabilité. Donc pas de coups politiques. Et du courage pour prendre les décisions fortes”, juge-t-il.Il répète qu’il ne veut pas de nouvelle dissolution. “On a un Parlement qui reflète les fractures du pays. C’est aux responsables politiques de savoir travailler ensemble. Regardez ce qui se passe en Allemagne. C’est ainsi que s’organise la coalition du chancelier Merz”, argumente-t-il.