Les Français favorables à l’organisation d’un referendum, proposée par Bayrou (sondage)
Les Français sont très majoritairement favorables (83%) à l’organisation d’un referendum et placent l’économie, les retraites et l’immigration en tête des sujets sur lesquels ils aimeraient être questionnés, selon un sondage Elabe pour BFMTV, publié dimanche. Plus d’un Français sur deux se dit favorable à l’organisation d’un referendum, et 28% très favorables, dans cette étude publiée après la proposition du Premier ministre François Bayrou d’interroger les Français sur la trajectoire à venir des finances publiques. “Cette idée a pénétré l’opinion”, s’est d’ailleurs félicité M. Bayrou samedi en marge d’un déplacement à Brest.”Beaucoup de citoyens français disent: oui au fond, que nous soyons pour une fois associés à ces décisions, c’est une chose qui nous intéresse et qui est très importante. Alors le monde politique est un peu moins enthousiaste, on comprend assez bien pourquoi:  parce que l’intervention directe des citoyens change le rapport de force et le débat”, a encore observé le Premier ministre.Le président Emmanuel Macron avait également dans ses voeux pour 2025 proposé d’organiser plusieurs scrutins de ce type. Il pourrait se montrer plus précis sur la question lors d’une émission spéciale mardi soir sur TF1.Cinquante-neuf pour cent des personnes  interrogées citent la dépense, la dette, les impôts, parmi les sujets sur lesquels ils souhaitent se prononcer. Suivent ex-aequo les retraites et l’immigration (52%). Ils sont 43% à demander à être interrogés sur la fin de vie, 22% sur la réduction du nombre d’échelons territoriaux et 19% sur la proportionnelle.Dans le bas du tableau, on trouve les rythmes scolaires et l’usage des écrans .et réseaux sociaux pour les enfants (16%).Sondage réalisé par internet les 6 et 7 mai sur un échantillon de 1.000 personnes représentatives de la population de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,1 points.Â
Les Français favorables à l’organisation d’un referendum, proposée par Bayrou (sondage)
Les Français sont très majoritairement favorables (83%) à l’organisation d’un referendum et placent l’économie, les retraites et l’immigration en tête des sujets sur lesquels ils aimeraient être questionnés, selon un sondage Elabe pour BFMTV, publié dimanche. Plus d’un Français sur deux se dit favorable à l’organisation d’un referendum, et 28% très favorables, dans cette étude publiée après la proposition du Premier ministre François Bayrou d’interroger les Français sur la trajectoire à venir des finances publiques. “Cette idée a pénétré l’opinion”, s’est d’ailleurs félicité M. Bayrou samedi en marge d’un déplacement à Brest.”Beaucoup de citoyens français disent: oui au fond, que nous soyons pour une fois associés à ces décisions, c’est une chose qui nous intéresse et qui est très importante. Alors le monde politique est un peu moins enthousiaste, on comprend assez bien pourquoi:  parce que l’intervention directe des citoyens change le rapport de force et le débat”, a encore observé le Premier ministre.Le président Emmanuel Macron avait également dans ses voeux pour 2025 proposé d’organiser plusieurs scrutins de ce type. Il pourrait se montrer plus précis sur la question lors d’une émission spéciale mardi soir sur TF1.Cinquante-neuf pour cent des personnes  interrogées citent la dépense, la dette, les impôts, parmi les sujets sur lesquels ils souhaitent se prononcer. Suivent ex-aequo les retraites et l’immigration (52%). Ils sont 43% à demander à être interrogés sur la fin de vie, 22% sur la réduction du nombre d’échelons territoriaux et 19% sur la proportionnelle.Dans le bas du tableau, on trouve les rythmes scolaires et l’usage des écrans .et réseaux sociaux pour les enfants (16%).Sondage réalisé par internet les 6 et 7 mai sur un échantillon de 1.000 personnes représentatives de la population de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,1 points.Â
As Trump family’s Gulf empire grows, rulers seek influence, arms, tech
Ahead of US President Donald Trump’s Gulf visit next week, his son Eric was promoting his crypto firm in Dubai, while Don Jr prepared to talk about “Monetising MAGA” in Doha.Last month, the Trump Organization struck its first luxury real estate deal in Qatar, and released details of a billion-dollar skyscraper in Dubai whose apartments can be bought in cryptocurrency.In a monarchical region awash with petrodollars, the list of Trump-related ventures is long and growing. However, the presidential entourage is not the only party cashing in, analysts say.”Gulf governments likely see the presence of the Trump brand in their countries as a way to generate goodwill with the new administration,” said Robert Mogielnicki of the Arab Gulf States Institute in Washington.If the president chose, he could hopscotch the region from one Trump venture to another when he visits Saudi Arabia, Qatar and the United Arab Emirates next week on the first foreign tour of his second term.Asked whether Trump would make visits or meetings linked to his own business interests or that of his family, White House Press Secretary Karoline Leavitt said it was “ridiculous” to “even suggest that President Trump is doing anything for his own benefit” and that he had “lost money for being president”.But from Dubai’s Trump International golf course, to a high-rise apartment block in Jeddah and a $4-billion golf and real estate project on Omani state-owned land, business links are not hard to find in the desert autocracies.At the Dubai crypto conference in April, Eric Trump and Zach Witkoff — the son of Trump’s Middle East envoy, Steve — announced that Emirati fund MGX would use USD1, a cryptocurrency developed by their firm, to invest $2 billion in Binance, a crypto exchange.- Political influence -The original title of Donald Trump Junior’s talk at this month’s Qatar Economic Forum, “Monetising MAGA: investing in Trump’s America” was later changed to the more neutral “Investing in America”, cached versions show.Among such investments is the $2 billion that Saudi Arabia’s sovereign wealth fund reportedly ploughed into the private equity fund of Jared Kushner, Trump’s son-in-law and former advisor.The Qatar Investment Authority and Abu Dhabi-based asset manager Lunate have also invested $1.5 billion into the fund, according to Bloomberg.The Trump Organization has been run by the president’s two eldest sons, Don Jr and Eric, since his 2016 election win. While he no longer holds an executive title, Trump has retained his stake in the family business via a trust.For the Gulf states, which are trying to diversify their fossil fuel-reliant economies by attracting tourism and investment, Trump-branded, luxury-focused developments are a good fit.However, that is not the only benefit, as they spy an easy route to access and influence at the heart of the world’s most powerful country, experts say.According to Hasan Alhasan, a senior fellow for Middle East Policy at the IISS think tank, signing deals with Trump beats the well-worn approach of buying US weaponry.”For decades, the Gulf states’ colossal weapons purchases have lined the pockets of US defence companies whose PACs (political action committees) are among the largest donors to US election campaigns,” he said.”Catering to the Trump family’s commercial interests is perhaps seen as a shorter and more effective route toward the same objective: political influence,” he said.- ‘More than commercial plays’ -“In return, the Gulf states want US arms, assurances and advanced technology,” notably artificial intelligence, Alhasan said.One major interest for the UAE, which aims to be a leader in artificial intelligence, is securing access to advanced US technologies including AI chips under restricted export.The USD1 transaction by state-owned AI fund MGX, chaired by the president’s brother Sheikh Tahnoon bin Zayed, came after he visited Washington in March and reportedly lobbied for access to the chips.Gulf dealings with the Trump Organization pale in comparison with government pledges, including the Saudi promise of $600 billion for US trade and investments.The White House has said the UAE has committed to a 10-year, $1.4-trillion dollar investment framework, a figure not confirmed or denied by Abu Dhabi.Riyadh was Trump’s first official visit in his inaugural term. Ahead of this trip, the United States approved a $3.5-billion sale of missiles to Saudi Arabia.”From the Gulf side, these investments are far more than just commercial plays -– they are strategic transactional levers,” said Middle East analyst Andreas Krieg.
Trump optimiste avant la reprise des pourparlers avec la Chine
Les pourparlers entre la Chine et les États-Unis à Genève pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays doivent reprendre dimanche, Donald Trump ayant fait part de son optimisme sur les progrès accomplis la veille.”Très bonne réunion aujourd’hui avec la Chine, en Suisse. Beaucoup de choses ont été discutées, beaucoup ont été approuvées. Une remise à zéro a été négociée de manière amicale mais constructive. Nous souhaitons, pour le bien de la Chine et des États-Unis, que la Chine s’ouvre aux entreprises américaines. De grands progrès ont été accomplis!”, a écrit le président américain samedi soir sur le réseau Truth Social.Signe de l’importance des enjeux, les deux capitales ont envoyé des représentants de haut rang à Genève ce week-end pour ces tractations: le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent, le représentant au Commerce Jamieson Greer et le vice-Premier ministre chinois He Lifeng.”Ces négociations reflètent le fait que l’état actuel des relations commerciales, avec ces droits de douane prohibitifs, n’est au final dans l’intérêt ni des Etats-Unis, ni de la Chine”, souligne auprès de l’AFP Nathan Sheets, économiste en chef chez Citigroup.Ces discussions constituent la première rencontre en face à face de hauts responsables des deux plus grandes économies mondiales depuis que Donald Trump a imposé le mois dernier une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants.Pékin, qui a promis de combattre “jusqu’au bout” ces surtaxes, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts.- “Perdant-perdant” -“C’est une proposition perdant-perdant d’avoir des droits de douane aussi élevés, reprend Nathan Sheets.Vendredi, Donald Trump avait fait un geste en suggérant d’abaisser à 80% les droits de douane qu’il a lui-même imposés à Pékin. Mais sa porte-parole Karoline Leavitt s’est empressée de préciser que Washington n’abaisserait pas ses taxes unilatéralement et que la Chine devait également faire des concessions.Les discussions avaient commencé en samedi marin à Genève dans la villa cossue du représentant permanent de la Suisse auprès des Nations unies à Genève, sur les rives du Lac Léman.”Le contact établi en Suisse est une étape importante dans la promotion de la résolution du contentieux”, avait indiqué l’agence de presse officielle Chine nouvelle.Le simple fait que ces discussions ont lieu “est une bonne nouvelle pour le commerce et les marchés financiers”, estime Gary Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics (PIIE). Cependant, cet expert se montre “très sceptique sur un retour à une situation normale dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis”.”Des droits de douane de 145% sont absolument prohibitifs”, poursuit-il, ajoutant que même abaissés à 70 ou 80% comme il en est question, le niveau des transactions entre les deux pays serait divisé par deux.Le vice-Premier ministre chinois est arrivé à Genève avec semble-t-il un atout: Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes. Mais les exportations vers les États-Unis ont chuté de près de 18%.burs/bdx/nr
Trump optimiste avant la reprise des pourparlers avec la Chine
Les pourparlers entre la Chine et les États-Unis à Genève pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays doivent reprendre dimanche, Donald Trump ayant fait part de son optimisme sur les progrès accomplis la veille.”Très bonne réunion aujourd’hui avec la Chine, en Suisse. Beaucoup de choses ont été discutées, beaucoup ont été approuvées. Une remise à zéro a été négociée de manière amicale mais constructive. Nous souhaitons, pour le bien de la Chine et des États-Unis, que la Chine s’ouvre aux entreprises américaines. De grands progrès ont été accomplis!”, a écrit le président américain samedi soir sur le réseau Truth Social.Signe de l’importance des enjeux, les deux capitales ont envoyé des représentants de haut rang à Genève ce week-end pour ces tractations: le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent, le représentant au Commerce Jamieson Greer et le vice-Premier ministre chinois He Lifeng.”Ces négociations reflètent le fait que l’état actuel des relations commerciales, avec ces droits de douane prohibitifs, n’est au final dans l’intérêt ni des Etats-Unis, ni de la Chine”, souligne auprès de l’AFP Nathan Sheets, économiste en chef chez Citigroup.Ces discussions constituent la première rencontre en face à face de hauts responsables des deux plus grandes économies mondiales depuis que Donald Trump a imposé le mois dernier une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants.Pékin, qui a promis de combattre “jusqu’au bout” ces surtaxes, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts.- “Perdant-perdant” -“C’est une proposition perdant-perdant d’avoir des droits de douane aussi élevés, reprend Nathan Sheets.Vendredi, Donald Trump avait fait un geste en suggérant d’abaisser à 80% les droits de douane qu’il a lui-même imposés à Pékin. Mais sa porte-parole Karoline Leavitt s’est empressée de préciser que Washington n’abaisserait pas ses taxes unilatéralement et que la Chine devait également faire des concessions.Les discussions avaient commencé en samedi marin à Genève dans la villa cossue du représentant permanent de la Suisse auprès des Nations unies à Genève, sur les rives du Lac Léman.”Le contact établi en Suisse est une étape importante dans la promotion de la résolution du contentieux”, avait indiqué l’agence de presse officielle Chine nouvelle.Le simple fait que ces discussions ont lieu “est une bonne nouvelle pour le commerce et les marchés financiers”, estime Gary Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics (PIIE). Cependant, cet expert se montre “très sceptique sur un retour à une situation normale dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis”.”Des droits de douane de 145% sont absolument prohibitifs”, poursuit-il, ajoutant que même abaissés à 70 ou 80% comme il en est question, le niveau des transactions entre les deux pays serait divisé par deux.Le vice-Premier ministre chinois est arrivé à Genève avec semble-t-il un atout: Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes. Mais les exportations vers les États-Unis ont chuté de près de 18%.burs/bdx/nr
Trump optimiste avant la reprise des pourparlers avec la Chine
Les pourparlers entre la Chine et les États-Unis à Genève pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays doivent reprendre dimanche, Donald Trump ayant fait part de son optimisme sur les progrès accomplis la veille.”Très bonne réunion aujourd’hui avec la Chine, en Suisse. Beaucoup de choses ont été discutées, beaucoup ont été approuvées. Une remise à zéro a été négociée de manière amicale mais constructive. Nous souhaitons, pour le bien de la Chine et des États-Unis, que la Chine s’ouvre aux entreprises américaines. De grands progrès ont été accomplis!”, a écrit le président américain samedi soir sur le réseau Truth Social.Signe de l’importance des enjeux, les deux capitales ont envoyé des représentants de haut rang à Genève ce week-end pour ces tractations: le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent, le représentant au Commerce Jamieson Greer et le vice-Premier ministre chinois He Lifeng.”Ces négociations reflètent le fait que l’état actuel des relations commerciales, avec ces droits de douane prohibitifs, n’est au final dans l’intérêt ni des Etats-Unis, ni de la Chine”, souligne auprès de l’AFP Nathan Sheets, économiste en chef chez Citigroup.Ces discussions constituent la première rencontre en face à face de hauts responsables des deux plus grandes économies mondiales depuis que Donald Trump a imposé le mois dernier une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants.Pékin, qui a promis de combattre “jusqu’au bout” ces surtaxes, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts.- “Perdant-perdant” -“C’est une proposition perdant-perdant d’avoir des droits de douane aussi élevés, reprend Nathan Sheets.Vendredi, Donald Trump avait fait un geste en suggérant d’abaisser à 80% les droits de douane qu’il a lui-même imposés à Pékin. Mais sa porte-parole Karoline Leavitt s’est empressée de préciser que Washington n’abaisserait pas ses taxes unilatéralement et que la Chine devait également faire des concessions.Les discussions avaient commencé en samedi marin à Genève dans la villa cossue du représentant permanent de la Suisse auprès des Nations unies à Genève, sur les rives du Lac Léman.”Le contact établi en Suisse est une étape importante dans la promotion de la résolution du contentieux”, avait indiqué l’agence de presse officielle Chine nouvelle.Le simple fait que ces discussions ont lieu “est une bonne nouvelle pour le commerce et les marchés financiers”, estime Gary Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics (PIIE). Cependant, cet expert se montre “très sceptique sur un retour à une situation normale dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis”.”Des droits de douane de 145% sont absolument prohibitifs”, poursuit-il, ajoutant que même abaissés à 70 ou 80% comme il en est question, le niveau des transactions entre les deux pays serait divisé par deux.Le vice-Premier ministre chinois est arrivé à Genève avec semble-t-il un atout: Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes. Mais les exportations vers les États-Unis ont chuté de près de 18%.burs/bdx/nr
Jordan hospital treats war casualties from across Middle East
Shahd Tahrawi was wounded in an Israeli strike on Gaza, Hossam Abd al-Rahman suffered burns in an explosion in Iraq and bombardment in Yemen has left Mohammed Zakaria in need of multiple surgeries.They all met at the charitable Al-Mowasah hospital in the Jordanian capital Amman, which treats some of the many civilians wounded in conflicts across the Middle East.”I feel sad when I look around me in this place” seeing “people like me, innocent, simple civilians” whose lives have been blighted by the horrors of war, said Abd al-Rahman, a 21-year-old Iraqi patient.”They are victims of war, burned by its fires… but had no part in igniting them,” he told AFP.He is waiting for his ninth operation at the Amman hospital, to treat third-degree burns to his face, neck, abdomen, back and hand he suffered in an accident with unexploded ordnance in his native city of Samarra, north of Baghdad.”I was a child when I was burned 10 years ago,” he said.”My life was completely destroyed, and my future was lost. I left school even though my dream was to become a pilot one day.”Abd al-Rahman, who had 17 surgeries in Iraq before arriving at the hospital in Jordan, said that through “all these painful operations”, he hopes to “regain some of my appearance and life as a normal human being”.At Al-Mowasah, also known as the Specialised Hospital for Reconstructive Surgery and run by medical charity Doctors Without Borders (MSF), Abd al-Rahman said he has found comfort in meeting patients from around the region.”We spend long periods of time here, sometimes many months, and these friendships reduce our loneliness and homesickness.”- ‘They feel safe’ -MSF field communications manager Merel van de Geyn said the hospital has patients “from conflict zones across the Middle East, from Syria, Yemen, Iraq and Gaza”.”We provide them with complete treatment free of charge” and cover the cost of flights, food and other expenses, she said.In addition to the medical procedures, the hospital places great importance on psychological support.”Here, they feel safe,” said van de Geyn.”They’re surrounded by people who have gone through similar experiences… Mutual support truly helps them.”From her room on the hospital’s fifth floor, Shahd Tahrawi, a 17-year-old Palestinian, recalled the night of December 9, 2023, when a massive explosion destroyed her family’s home in Rafah, in the southern Gaza Strip.The Israeli bombardment killed her father and 11-year-old sister, and left Shahd and her mother wounded.Shahd has had five operations on her left leg, three of them in Jordan.She said that on the night of the strike, she was woken up by the sound of the explosion and the rubble falling on her.”I started screaming, ‘Help me, help me!’… and then I lost conciousness.”Now, she said her dream was to become a doctor and help “save people’s lives, just like the doctors save mine”.- ‘Nothing but destruction’ -The hospital was established in 2006 to treat victims of the sectarian violence that erupted in Iraq in the aftermath of the US-led invasion, but has since expanded its mission.In just under two decades, 8,367 patients from Iraq, Yemen, the Palestinian territories, Sudan, Libya and Syria have undergone a total of 18,323 surgeries for injuries caused by bullets, explosions, bombardment, air strikes and building collapses in conflict.The hospital has 148 beds, three operating theatres, and physiotherapy and psychological support departments.In one room, four Yemeni patients were convalescing.One of them, 16-year-old Mohammed Zakaria, had dreamt of becoming a professional footballer, before his life changed dramatically when an air strike blew up a fuel tanker in Yarim, south of the Yemeni capital Sanaa, in 2016.The blast killed six of his relatives and friends, his father, Zakaria Hail, said.”The war has brought us nothing but destruction,” said the father, sitting next to his son who is unable to speak after recent surgery to his mouth.
SNCF: un trafic presque normal attendu dimanche
La SNCF prévoit de faibles perturbations dimanche, avec plus de neuf TGV sur dix en France, pour le dernier jour de la grève des contrôleurs durant ce weekend-end de pont du 8-mai.Le trafic est “peu perturbé” ce weekend-end, selon un porte-parole de la direction de la communication du groupe SNCF.”Les Transilien (trains de banlieue parisiens), les (trains régionaux) TER et Intercités ont circulé normalement et le trafic était normal à 96% sur les TGV samedi. Nous prévoyons la même chose dimanche”, a-t-on déclaré de même source.La mobilisation des grévistes, “très forte” samedi, devrait “un peu baisser dimanche”, selon le syndicat Sud-Rail.”Samedi, on était au-delà des 60% de grévistes chez les contrôleurs de TGV, avec des pointes dans le Sud-Est à plus de 66%. Et on est environ à 50% sur les TER”, a déclaré à l’AFP Fabien Villedieu, de Sud-Rail.En dépit de cette mobilisation – la SNCF tablant elle-aussi un taux de grévistes dépassant les 60% le samedi – le groupe public avait assuré que tous les voyageurs pourraient “voyager le jour prévu vers leur destination”.Le syndicat SUD-Rail et un collectif de contrôleurs baptisé Collectif national ASCT (CNA) a appelé à la grève les 9, 10 et 11 mai pour réclamer une augmentation de leur prime de travail et une meilleure anticipation des plannings, trop souvent modifiés à la dernière minute d’après eux.- Nouvelle mobilisation en juin -La plupart des trains peuvent rouler grâce au déploiement de volontaires, cadres dans l’entreprise, qui ont reçu des formations spéciales d’une journée pour remplacer les contrôleurs grévistes dans les trains.Pour Sud-Rail, cela ne suffit pas à expliquer les faibles perturbations du trafic: “La SNCF a cherché à invisibiliser la grève, en imposant un plan de transport dégradé, avec des unités simples de TGV de 500 personnes au lieu des doubles trains habituels pendant les périodes d’affluence, qui nécessitent plus de contrôleurs”, selon Fabien Villedieu.Début mai, le PDG de SNCF Voyageurs Christophe Fanichet avait indiqué à l’AFP avoir “déjà des milliers de réservations en moins pour ce pont du 8-mai” en anticipation de la grève.Affirmant avoir “donné toute sa chance au dialogue social” avec “plus de 35 réunions”, il s’est engagé à “donner de la lisibilité sur les repos hebdomadaires des chefs de bord TGV, à six mois et non plus à trois mois”, mais a exclu une augmentation de la rémunération.Sud-Rail devrait faire le point “en début de semaine prochaine” sur la suite éventuelle à donner au mouvement.Au début de cette semaine, une grève des conducteurs à l’appel de la CGT-Cheminots, première organisation syndicale à la SNCF, avait provoqué des perturbations sur les lignes régionales dans plusieurs régions comme les Hauts-de-France ou l’Ile-de-France.D’après SNCF Voyageurs, “environ neuf TER sur dix auront circulé en France (pendant cette grève), et environ huit Transilien sur dix, avec des disparités selon les régions ou les lignes”. La CGT-Cheminots a déjà prévu une poursuite de la mobilisation: elle a lancé un appel à la grève le 4 juin pour les conducteurs, en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont ils bénéficient, le 5 juin pour toutes les catégories de cheminots, avec des revendications portant sur les salaires ou l’amélioration des conditions de travail, et le 11 juin pour les contrôleurs.
SNCF: un trafic presque normal attendu dimanche
La SNCF prévoit de faibles perturbations dimanche, avec plus de neuf TGV sur dix en France, pour le dernier jour de la grève des contrôleurs durant ce weekend-end de pont du 8-mai.Le trafic est “peu perturbé” ce weekend-end, selon un porte-parole de la direction de la communication du groupe SNCF.”Les Transilien (trains de banlieue parisiens), les (trains régionaux) TER et Intercités ont circulé normalement et le trafic était normal à 96% sur les TGV samedi. Nous prévoyons la même chose dimanche”, a-t-on déclaré de même source.La mobilisation des grévistes, “très forte” samedi, devrait “un peu baisser dimanche”, selon le syndicat Sud-Rail.”Samedi, on était au-delà des 60% de grévistes chez les contrôleurs de TGV, avec des pointes dans le Sud-Est à plus de 66%. Et on est environ à 50% sur les TER”, a déclaré à l’AFP Fabien Villedieu, de Sud-Rail.En dépit de cette mobilisation – la SNCF tablant elle-aussi un taux de grévistes dépassant les 60% le samedi – le groupe public avait assuré que tous les voyageurs pourraient “voyager le jour prévu vers leur destination”.Le syndicat SUD-Rail et un collectif de contrôleurs baptisé Collectif national ASCT (CNA) a appelé à la grève les 9, 10 et 11 mai pour réclamer une augmentation de leur prime de travail et une meilleure anticipation des plannings, trop souvent modifiés à la dernière minute d’après eux.- Nouvelle mobilisation en juin -La plupart des trains peuvent rouler grâce au déploiement de volontaires, cadres dans l’entreprise, qui ont reçu des formations spéciales d’une journée pour remplacer les contrôleurs grévistes dans les trains.Pour Sud-Rail, cela ne suffit pas à expliquer les faibles perturbations du trafic: “La SNCF a cherché à invisibiliser la grève, en imposant un plan de transport dégradé, avec des unités simples de TGV de 500 personnes au lieu des doubles trains habituels pendant les périodes d’affluence, qui nécessitent plus de contrôleurs”, selon Fabien Villedieu.Début mai, le PDG de SNCF Voyageurs Christophe Fanichet avait indiqué à l’AFP avoir “déjà des milliers de réservations en moins pour ce pont du 8-mai” en anticipation de la grève.Affirmant avoir “donné toute sa chance au dialogue social” avec “plus de 35 réunions”, il s’est engagé à “donner de la lisibilité sur les repos hebdomadaires des chefs de bord TGV, à six mois et non plus à trois mois”, mais a exclu une augmentation de la rémunération.Sud-Rail devrait faire le point “en début de semaine prochaine” sur la suite éventuelle à donner au mouvement.Au début de cette semaine, une grève des conducteurs à l’appel de la CGT-Cheminots, première organisation syndicale à la SNCF, avait provoqué des perturbations sur les lignes régionales dans plusieurs régions comme les Hauts-de-France ou l’Ile-de-France.D’après SNCF Voyageurs, “environ neuf TER sur dix auront circulé en France (pendant cette grève), et environ huit Transilien sur dix, avec des disparités selon les régions ou les lignes”. La CGT-Cheminots a déjà prévu une poursuite de la mobilisation: elle a lancé un appel à la grève le 4 juin pour les conducteurs, en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont ils bénéficient, le 5 juin pour toutes les catégories de cheminots, avec des revendications portant sur les salaires ou l’amélioration des conditions de travail, et le 11 juin pour les contrôleurs.