Squeezie annonce une 3e édition de course GP Explorer en octobre

Le Youtubeur et streamer Squeezie a annoncé une troisième édition du GP Explorer de course de Formule 4, qui se déroulera au Mans sur trois jours en octobre, et à laquelle participeront personnalités d’internet ainsi que les rappeurs SCH et PLK.Cette troisième édition se déroulera du 3 au 5 octobre sur le circuit Bugatti du Mans, a-t-il annoncé sur Twitch, précisant qu’il s’agirait de la dernière.Une jauge de 40.000 spectateurs est prévue pour le vendredi et 80.000 pour chacune des journées du samedi et du dimanche, “la capacité maximale du circuit”, soit au total “200.000 tickets”, s’est enthousiasmé Squeezie, deuxième Youtubeur le plus suivi en France (19,5 millions d’abonnés). “C’est trois fois plus que lors du GP2”, a-t-il souligné.Le vendredi sera marqué par la présentation des 24 pilotes, le samedi et dimanche par les courses (dont un sprint le samedi). Deux concerts sont prévus les vendredi soir et samedi soir, mais le nom des artistes n’a pas été révélé.Toutefois, seul le dimanche sera retransmis en ligne, a-t-il prévenu, suscitant le mécontentement de plusieurs fans suivant l’annonce en direct sur Twitch.Parmi les pilotes, Squeezie concourrera avec le streamer Amine. Le youtubeur Mister V fera équipe avec le rappeur PLK, le streameur Billy avec SCH. Une autre écurie rassemblera les streameuses Kaatsup et Ana. Sont également conviés les Youtubeurs espagnol Ander et Karchez, et le streamer américain Ludwig. Les billets, au prix de 69 à 85 euros le samedi et le dimanche (selon que l’on est assis en tribune ou pas) seront mis en vente le 4 juin.En octobre 2023, la 2e édition de cette course avait été un record d’audience sur Twitch en France. Les 60.000 places avaient été vendues en 30 minutes.Pour autant, le résultat de la course avait été éclipsé par la vague de messages haineux à l’encontre de Manon Lanza, surfeuse et Youtubeuse qui pilotait une Formule 4, après un carambolage entre sa voiture et celle d’un autre Youtubeur, qui avait entrainé une vague de cyberharcèlement.Squeezie avait mis trois jours avant de réagir dans une vidéo, s’emportant contre les auteurs des messages haineux.La première édition de la course, en octobre 2022? avait réuni près de 40.000 spectateurs.

Squeezie annonce une 3e édition de course GP Explorer en octobre

Le Youtubeur et streamer Squeezie a annoncé une troisième édition du GP Explorer de course de Formule 4, qui se déroulera au Mans sur trois jours en octobre, et à laquelle participeront personnalités d’internet ainsi que les rappeurs SCH et PLK.Cette troisième édition se déroulera du 3 au 5 octobre sur le circuit Bugatti du Mans, a-t-il annoncé sur Twitch, précisant qu’il s’agirait de la dernière.Une jauge de 40.000 spectateurs est prévue pour le vendredi et 80.000 pour chacune des journées du samedi et du dimanche, “la capacité maximale du circuit”, soit au total “200.000 tickets”, s’est enthousiasmé Squeezie, deuxième Youtubeur le plus suivi en France (19,5 millions d’abonnés). “C’est trois fois plus que lors du GP2”, a-t-il souligné.Le vendredi sera marqué par la présentation des 24 pilotes, le samedi et dimanche par les courses (dont un sprint le samedi). Deux concerts sont prévus les vendredi soir et samedi soir, mais le nom des artistes n’a pas été révélé.Toutefois, seul le dimanche sera retransmis en ligne, a-t-il prévenu, suscitant le mécontentement de plusieurs fans suivant l’annonce en direct sur Twitch.Parmi les pilotes, Squeezie concourrera avec le streamer Amine. Le youtubeur Mister V fera équipe avec le rappeur PLK, le streameur Billy avec SCH. Une autre écurie rassemblera les streameuses Kaatsup et Ana. Sont également conviés les Youtubeurs espagnol Ander et Karchez, et le streamer américain Ludwig. Les billets, au prix de 69 à 85 euros le samedi et le dimanche (selon que l’on est assis en tribune ou pas) seront mis en vente le 4 juin.En octobre 2023, la 2e édition de cette course avait été un record d’audience sur Twitch en France. Les 60.000 places avaient été vendues en 30 minutes.Pour autant, le résultat de la course avait été éclipsé par la vague de messages haineux à l’encontre de Manon Lanza, surfeuse et Youtubeuse qui pilotait une Formule 4, après un carambolage entre sa voiture et celle d’un autre Youtubeur, qui avait entrainé une vague de cyberharcèlement.Squeezie avait mis trois jours avant de réagir dans une vidéo, s’emportant contre les auteurs des messages haineux.La première édition de la course, en octobre 2022? avait réuni près de 40.000 spectateurs.

Le pape Léon XIV récite sa première prière dominicale à Saint-Pierre

Léon XIV se plie pour la première fois dimanche au rite de la prière dominicale depuis la basilique Saint-Pierre, un événement qui devrait de nouveau attirer des milliers de touristes et fidèles.A midi (10H00 GMT), le nouveau pape installé au balcon de la basilique récitera le “Regina Caeli” (“Reine des cieux”), une prière à Marie prononcée pendant le temps pascal. Deux heures avant cette prière, un flux constant de pèlerins et de fidèles convergeait déjà vers la place Saint-Pierre, arborant des drapeaux du monde entier et des symboles catholiques, a constaté un journaliste de l’AFP.”Nous espérons une bonne année, car l’Église catholique est mise à l’épreuve en ce moment, surtout aux États-Unis”, affirme à l’AFP Resfina Macoy Torrevillas, une Californienne de 68 ans, venue de San Diego avec une quarantaine de pèlerins. Un pape américain pourrait-il aider à cela ? “Peut-être. Les voies du Seigneur sont impénétrables”, ajoute-t-elle.Robert Francis Prevost, 69 ans, s’était déjà adressé aux fidèles avec une courte prière jeudi, juste après le “Habemus Papam” qui l’avait présenté au monde.”Que la paix soit avec vous tous!” avait-il alors lancé à la foule de quelque 100.000 personnes rassemblées sur la place.La prière de dimanche est d’autant plus attendue que ce rendez-vous hebdomadaire est souvent une occasion pour le pape de s’exprimer sur les grands sujets dominant l’actualité internationale.L’élection de ce pape américain – le premier de l’Histoire – classé parmi les modérés a été interprétée par certains comme une prise de distance avec le christianisme identitaire porté par plusieurs membres du gouvernement de Donald Trump.”C’est une personne qui inspire immédiatement beaucoup de confiance, un homme doux qui sait écouter (…) une personne claire et libre”, a affirmé au Corriere della Sera le cardinal italien Pierbattista Pizzaballa, patriarche de Jérusalem, dans une interview publiée dimanche.Samedi, le 267e pape a reçu les cardinaux, hauts dignitaires de l’Eglise chargés de l’assister dans son gouvernement, pour un discours abordant ses grandes priorités.Il a notamment rendu hommage au “précieux héritage” de François, décédé le 21 avril à l’âge de 88 ans.Le pape élu au deuxième jour du conclave des cardinaux a alors expliqué son choix du nom “Léon” par une référence à Léon XIII, père au XIXe siècle de la “doctrine sociale” de l’Eglise, qui insiste sur la solidarité et la dignité.Cette doctrine peut aider face aux défis de l’intelligence artificielle, a-t-il assuré.- “Miracle” -Le pape Léon XIV s’est aussi recueilli samedi sur la tombe de son prédécesseur.Une photo publiée par Vatican News, le site officiel d’informations du Vatican, le montre agenouillé devant la sobre tombe en marbre de François à Sainte-Marie-Majeure, une basilique papale de Rome qu’affectionnait le pape argentin.Samedi également, le nouveau chef spirituel des 1,4 milliard de catholiques s’est rendu en visite privée dans un sanctuaire augustinien proche de Rome.Cet homme posé, qui a passé plus de la moitié de sa vie missionnaire au Pérou dont il a pris la nationalité, avait revendiqué dans son allocution inaugurale son appartenance à l’Ordre de Saint-Augustin, dont il a été le prieur général de 2001 à 2013.Fondé au XIIIe siècle, cet ordre dont les membres vivent selon des préceptes de vie commune, de partage et de recherche de la vérité, compte près de 3.000 membres dans une cinquantaine de pays.La prière de dimanche ouvrira une séquence de consultations intenses pour le chef de l’Eglise catholique, qui recevra lundi des représentants de la presse internationale en audience, puis vendredi le corps diplomatique.La messe solennelle de son intronisation se tiendra le dimanche 18 mai sur la place Saint-Pierre, en présence de plusieurs dirigeants étrangers ou leurs représentants.Durant cette célébration il recevra les symboles du pouvoir papal: notamment le pallium (sorte d’étole réservée aux grandes célébrations) et son anneau appelé “anneau du pêcheur”.Vendredi Léon XIV avait célébré une première messe dans la chapelle Sixtine, réservée aux cardinaux. 

Le pape Léon XIV récite sa première prière dominicale à Saint-Pierre

Léon XIV se plie pour la première fois dimanche au rite de la prière dominicale depuis la basilique Saint-Pierre, un événement qui devrait de nouveau attirer des milliers de touristes et fidèles.A midi (10H00 GMT), le nouveau pape installé au balcon de la basilique récitera le “Regina Caeli” (“Reine des cieux”), une prière à Marie prononcée pendant le temps pascal. Deux heures avant cette prière, un flux constant de pèlerins et de fidèles convergeait déjà vers la place Saint-Pierre, arborant des drapeaux du monde entier et des symboles catholiques, a constaté un journaliste de l’AFP.”Nous espérons une bonne année, car l’Église catholique est mise à l’épreuve en ce moment, surtout aux États-Unis”, affirme à l’AFP Resfina Macoy Torrevillas, une Californienne de 68 ans, venue de San Diego avec une quarantaine de pèlerins. Un pape américain pourrait-il aider à cela ? “Peut-être. Les voies du Seigneur sont impénétrables”, ajoute-t-elle.Robert Francis Prevost, 69 ans, s’était déjà adressé aux fidèles avec une courte prière jeudi, juste après le “Habemus Papam” qui l’avait présenté au monde.”Que la paix soit avec vous tous!” avait-il alors lancé à la foule de quelque 100.000 personnes rassemblées sur la place.La prière de dimanche est d’autant plus attendue que ce rendez-vous hebdomadaire est souvent une occasion pour le pape de s’exprimer sur les grands sujets dominant l’actualité internationale.L’élection de ce pape américain – le premier de l’Histoire – classé parmi les modérés a été interprétée par certains comme une prise de distance avec le christianisme identitaire porté par plusieurs membres du gouvernement de Donald Trump.”C’est une personne qui inspire immédiatement beaucoup de confiance, un homme doux qui sait écouter (…) une personne claire et libre”, a affirmé au Corriere della Sera le cardinal italien Pierbattista Pizzaballa, patriarche de Jérusalem, dans une interview publiée dimanche.Samedi, le 267e pape a reçu les cardinaux, hauts dignitaires de l’Eglise chargés de l’assister dans son gouvernement, pour un discours abordant ses grandes priorités.Il a notamment rendu hommage au “précieux héritage” de François, décédé le 21 avril à l’âge de 88 ans.Le pape élu au deuxième jour du conclave des cardinaux a alors expliqué son choix du nom “Léon” par une référence à Léon XIII, père au XIXe siècle de la “doctrine sociale” de l’Eglise, qui insiste sur la solidarité et la dignité.Cette doctrine peut aider face aux défis de l’intelligence artificielle, a-t-il assuré.- “Miracle” -Le pape Léon XIV s’est aussi recueilli samedi sur la tombe de son prédécesseur.Une photo publiée par Vatican News, le site officiel d’informations du Vatican, le montre agenouillé devant la sobre tombe en marbre de François à Sainte-Marie-Majeure, une basilique papale de Rome qu’affectionnait le pape argentin.Samedi également, le nouveau chef spirituel des 1,4 milliard de catholiques s’est rendu en visite privée dans un sanctuaire augustinien proche de Rome.Cet homme posé, qui a passé plus de la moitié de sa vie missionnaire au Pérou dont il a pris la nationalité, avait revendiqué dans son allocution inaugurale son appartenance à l’Ordre de Saint-Augustin, dont il a été le prieur général de 2001 à 2013.Fondé au XIIIe siècle, cet ordre dont les membres vivent selon des préceptes de vie commune, de partage et de recherche de la vérité, compte près de 3.000 membres dans une cinquantaine de pays.La prière de dimanche ouvrira une séquence de consultations intenses pour le chef de l’Eglise catholique, qui recevra lundi des représentants de la presse internationale en audience, puis vendredi le corps diplomatique.La messe solennelle de son intronisation se tiendra le dimanche 18 mai sur la place Saint-Pierre, en présence de plusieurs dirigeants étrangers ou leurs représentants.Durant cette célébration il recevra les symboles du pouvoir papal: notamment le pallium (sorte d’étole réservée aux grandes célébrations) et son anneau appelé “anneau du pêcheur”.Vendredi Léon XIV avait célébré une première messe dans la chapelle Sixtine, réservée aux cardinaux. 

US-China talks resume as Trump hails ‘total reset’ in trade relations

Talks between top US and Chinese officials resumed for a second day Sunday, after US President Donald Trump voiced optimism over the negotiations aimed at de-escalating trade tensions sparked by his aggressive tariff rollout.In a Truth Social post following a first day of talks in Geneva on Saturday, Trump praised the “very good” discussions and deemed them “a total reset negotiated in a friendly, but constructive, manner”.Earlier, Chinese state news agency Xinhua also described the talks in Switzerland as “an important step in promoting the resolution of the issue”.The second day of closed-door meetings between US Treasury Secretary Scott Bessent, Trade Representative Jamieson Greer and Chinese Vice Premier He Lifeng resumed shortly after 10 am (0800 GMT) Sunday.As on Saturday, the talks were taking place at the residence of the Swiss ambassador to the United Nations in Geneva, a discrete villa with sky-blue shutters near a large park on the left bank of Lake Geneva.”These talks reflect that the current state of the trade relations with these extremely high tariffs is ultimately in the interests of neither the United States nor China,” Citigroup global chief economist Nathan Sheets told AFP, calling the tariffs a “lose-lose proposition.”- ‘Good news’ -The discussions are the first time senior officials from the world’s two largest economies have met face-to-face to tackle the thorny topic of trade since Trump slapped steep new levies on China last month, sparking a robust retaliation from Beijing. The tariffs imposed by Trump on the Asian manufacturing giant since the start of the year currently total 145 percent, with cumulative US duties on some Chinese goods reaching a staggering 245 percent.In retaliation, China put 125 percent tariffs on US goods.Ahead of the meeting, Trump signaled he might lower the tariffs, suggesting on social media that an “80% Tariff on China seems right!”However, his press secretary Karoline Leavitt later clarified that the United States would not lower tariffs unilaterally, and that China would also need to make concessions.Going into the meeting, both sides played down expectations of a major change in trade relations, with Bessent underlining a focus on “de-escalation” and not a “big trade deal,” and Beijing insisting the United States must ease tariffs first.The fact the talks are even happening “is good news for business, and for the financial markets,” said Gary Hufbauer, a senior non-resident fellow at the Peterson Institute for International Economics (PIIE).But Hufbauer cautioned he was “very skeptical that there will be any return to something like normal US-China trade relations,” with even a tariff rate of 70 to 80 percent still potentially halving bilateral trade.- China ‘better equipped’ – China’s vice premier went into the discussions buoyed by Friday’s news that China’s exports rose last month despite the trade war.The unexpected development was attributed by experts to a re-routing of trade to Southeast Asia to mitigate US tariffs.Among some of the more moderate Trump officials like Bessent and Commerce Secretary Howard Lutnick, “there’s a realisation that China is better equipped to deal with this trade war than the US,” said Hufbauer.The Geneva meeting comes after Trump unveiled a trade agreement with Britain, the first deal with any country since he unleashed his blitz of global tariffs.The five-page, non-binding deal confirmed to nervous investors that the United States is willing to negotiate sector-specific relief from recent duties, but maintained a 10 percent baseline levy on most British goods.Following the US-UK trade announcement, analysts have voiced pessimism about the likelihood negotiations will lead to any significant changes in the US-China trade relationship.”It’s nice that they’re talking. But my expectations for the actual outcomes of this first round of talks is pretty limited,” Sheets from Citigroup said.”I think it’s quite possible they’ll walk away from Geneva saying how constructive and productive the talks were, but not actually reducing tariffs at all,” Hufbauer said.In his Truth Social post, Trump said the talks had made “GREAT PROGRESS!!””We want to see, for the good of both China and the U.S., an opening up of China to American business,” he added.

US-China talks resume as Trump hails ‘total reset’ in trade relations

Talks between top US and Chinese officials resumed for a second day Sunday, after US President Donald Trump voiced optimism over the negotiations aimed at de-escalating trade tensions sparked by his aggressive tariff rollout.In a Truth Social post following a first day of talks in Geneva on Saturday, Trump praised the “very good” discussions and deemed them “a total reset negotiated in a friendly, but constructive, manner”.Earlier, Chinese state news agency Xinhua also described the talks in Switzerland as “an important step in promoting the resolution of the issue”.The second day of closed-door meetings between US Treasury Secretary Scott Bessent, Trade Representative Jamieson Greer and Chinese Vice Premier He Lifeng resumed shortly after 10 am (0800 GMT) Sunday.As on Saturday, the talks were taking place at the residence of the Swiss ambassador to the United Nations in Geneva, a discrete villa with sky-blue shutters near a large park on the left bank of Lake Geneva.”These talks reflect that the current state of the trade relations with these extremely high tariffs is ultimately in the interests of neither the United States nor China,” Citigroup global chief economist Nathan Sheets told AFP, calling the tariffs a “lose-lose proposition.”- ‘Good news’ -The discussions are the first time senior officials from the world’s two largest economies have met face-to-face to tackle the thorny topic of trade since Trump slapped steep new levies on China last month, sparking a robust retaliation from Beijing. The tariffs imposed by Trump on the Asian manufacturing giant since the start of the year currently total 145 percent, with cumulative US duties on some Chinese goods reaching a staggering 245 percent.In retaliation, China put 125 percent tariffs on US goods.Ahead of the meeting, Trump signaled he might lower the tariffs, suggesting on social media that an “80% Tariff on China seems right!”However, his press secretary Karoline Leavitt later clarified that the United States would not lower tariffs unilaterally, and that China would also need to make concessions.Going into the meeting, both sides played down expectations of a major change in trade relations, with Bessent underlining a focus on “de-escalation” and not a “big trade deal,” and Beijing insisting the United States must ease tariffs first.The fact the talks are even happening “is good news for business, and for the financial markets,” said Gary Hufbauer, a senior non-resident fellow at the Peterson Institute for International Economics (PIIE).But Hufbauer cautioned he was “very skeptical that there will be any return to something like normal US-China trade relations,” with even a tariff rate of 70 to 80 percent still potentially halving bilateral trade.- China ‘better equipped’ – China’s vice premier went into the discussions buoyed by Friday’s news that China’s exports rose last month despite the trade war.The unexpected development was attributed by experts to a re-routing of trade to Southeast Asia to mitigate US tariffs.Among some of the more moderate Trump officials like Bessent and Commerce Secretary Howard Lutnick, “there’s a realisation that China is better equipped to deal with this trade war than the US,” said Hufbauer.The Geneva meeting comes after Trump unveiled a trade agreement with Britain, the first deal with any country since he unleashed his blitz of global tariffs.The five-page, non-binding deal confirmed to nervous investors that the United States is willing to negotiate sector-specific relief from recent duties, but maintained a 10 percent baseline levy on most British goods.Following the US-UK trade announcement, analysts have voiced pessimism about the likelihood negotiations will lead to any significant changes in the US-China trade relationship.”It’s nice that they’re talking. But my expectations for the actual outcomes of this first round of talks is pretty limited,” Sheets from Citigroup said.”I think it’s quite possible they’ll walk away from Geneva saying how constructive and productive the talks were, but not actually reducing tariffs at all,” Hufbauer said.In his Truth Social post, Trump said the talks had made “GREAT PROGRESS!!””We want to see, for the good of both China and the U.S., an opening up of China to American business,” he added.

Les discussions commerciales Chine-Etats-Unis reprennent à Genève, Trump est optimiste

Les tractations entre la Chine et les États-Unis à Genève, pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays, ont repris dimanche, Donald Trump ayant fait part de son optimisme sur les progrès accomplis la veille.Le président américain semble vouloir repartir à zéro, après avoir imposé des droits de douanes toujours plus élevés aux centaines de milliards de dollars de produits chinois importés aux Etats-Unis. Pékin a répondu du tac au tac.”Très bonne réunion aujourd’hui (samedi) avec la Chine, en Suisse. Beaucoup de choses ont été discutées, beaucoup ont été approuvées. Une remise à zéro a été négociée de manière amicale mais constructive. Nous souhaitons, pour le bien de la Chine et des États-Unis, que la Chine s’ouvre aux entreprises américaines”, a écrit le président américain samedi soir sur le réseau Truth Social, ajoutant en capitales et à grand renfort de points d’exclamation : “DE GRANDS PROGRES ONT ETE ACCOMPLIS!!!”.Plus tôt samedi, l’agence de presse Chine nouvelle avait qualifié les discussions sur les bords du Lac Léman d'”étape importante dans la promotion de la résolution du contentieux”.  Les deux délégations de très haut niveau sont menées, côté américain, par le secrétaire au Trésor Scott Bessent et le représentant au Commerce Jamieson Greer tandis que la Chine a dépêché le vice-Premier ministre chinois He Lifeng.Les tractations se tiennent à huis-clos dans la résidence du représentant suisse auprès des Nations unies, une villa cossue nichée sur la rive gauche du Léman. Les pourparlers, qui avaient duré une dizaine d’heures samedi, ont repris peu après 10H00 (08H00 GMT), selon les sources de l’agence suisse Keystone-ATS.    “Ces négociations reflètent le fait que l’état actuel des relations commerciales, avec ces droits de douane prohibitifs, n’est au final dans l’intérêt ni des Etats-Unis, ni de la Chine”, souligne auprès de l’AFP Nathan Sheets, économiste en chef chez Citigroup.Genève accueille la première rencontre en face à face de hauts responsables des deux plus grandes économies mondiales depuis que le président américain a imposé le mois dernier une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants.Pékin, qui a promis de combattre “jusqu’au bout” ces surtaxes, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts.- “Perdant-perdant” -“C’est une proposition perdant-perdant d’avoir des droits de douane aussi élevés”, reprend Nathan Sheets.Vendredi, Donald Trump avait fait un geste en suggérant d’abaisser à 80% les droits de douane qu’il a lui-même imposés à Pékin. Mais sa porte-parole Karoline Leavitt s’est empressée de préciser que Washington n’abaisserait pas ses taxes unilatéralement et que la Chine devait également faire des concessions.Le simple fait que ces discussions ont lieu “est une bonne nouvelle pour le commerce et les marchés financiers”, estime Gary Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics (PIIE). Cependant, cet expert se montre “très sceptique sur un retour à une situation normale dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis”.”Des droits de douane de 145% sont absolument prohibitifs”, poursuit-il, ajoutant que même abaissés à 70 ou 80% comme il en est question, le niveau des transactions entre les deux pays serait divisé par deux.Le vice-Premier ministre chinois est arrivé à Genève avec semble-t-il un atout: Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes. Mais les exportations vers les États-Unis ont chuté de près de 18%.burs-vog/nl/bpi

Les discussions commerciales Chine-Etats-Unis reprennent à Genève, Trump est optimiste

Les tractations entre la Chine et les États-Unis à Genève, pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays, ont repris dimanche, Donald Trump ayant fait part de son optimisme sur les progrès accomplis la veille.Le président américain semble vouloir repartir à zéro, après avoir imposé des droits de douanes toujours plus élevés aux centaines de milliards de dollars de produits chinois importés aux Etats-Unis. Pékin a répondu du tac au tac.”Très bonne réunion aujourd’hui (samedi) avec la Chine, en Suisse. Beaucoup de choses ont été discutées, beaucoup ont été approuvées. Une remise à zéro a été négociée de manière amicale mais constructive. Nous souhaitons, pour le bien de la Chine et des États-Unis, que la Chine s’ouvre aux entreprises américaines”, a écrit le président américain samedi soir sur le réseau Truth Social, ajoutant en capitales et à grand renfort de points d’exclamation : “DE GRANDS PROGRES ONT ETE ACCOMPLIS!!!”.Plus tôt samedi, l’agence de presse Chine nouvelle avait qualifié les discussions sur les bords du Lac Léman d'”étape importante dans la promotion de la résolution du contentieux”.  Les deux délégations de très haut niveau sont menées, côté américain, par le secrétaire au Trésor Scott Bessent et le représentant au Commerce Jamieson Greer tandis que la Chine a dépêché le vice-Premier ministre chinois He Lifeng.Les tractations se tiennent à huis-clos dans la résidence du représentant suisse auprès des Nations unies, une villa cossue nichée sur la rive gauche du Léman. Les pourparlers, qui avaient duré une dizaine d’heures samedi, ont repris peu après 10H00 (08H00 GMT), selon les sources de l’agence suisse Keystone-ATS.    “Ces négociations reflètent le fait que l’état actuel des relations commerciales, avec ces droits de douane prohibitifs, n’est au final dans l’intérêt ni des Etats-Unis, ni de la Chine”, souligne auprès de l’AFP Nathan Sheets, économiste en chef chez Citigroup.Genève accueille la première rencontre en face à face de hauts responsables des deux plus grandes économies mondiales depuis que le président américain a imposé le mois dernier une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants.Pékin, qui a promis de combattre “jusqu’au bout” ces surtaxes, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts.- “Perdant-perdant” -“C’est une proposition perdant-perdant d’avoir des droits de douane aussi élevés”, reprend Nathan Sheets.Vendredi, Donald Trump avait fait un geste en suggérant d’abaisser à 80% les droits de douane qu’il a lui-même imposés à Pékin. Mais sa porte-parole Karoline Leavitt s’est empressée de préciser que Washington n’abaisserait pas ses taxes unilatéralement et que la Chine devait également faire des concessions.Le simple fait que ces discussions ont lieu “est une bonne nouvelle pour le commerce et les marchés financiers”, estime Gary Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics (PIIE). Cependant, cet expert se montre “très sceptique sur un retour à une situation normale dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis”.”Des droits de douane de 145% sont absolument prohibitifs”, poursuit-il, ajoutant que même abaissés à 70 ou 80% comme il en est question, le niveau des transactions entre les deux pays serait divisé par deux.Le vice-Premier ministre chinois est arrivé à Genève avec semble-t-il un atout: Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes. Mais les exportations vers les États-Unis ont chuté de près de 18%.burs-vog/nl/bpi

Les discussions commerciales Chine-Etats-Unis reprennent à Genève, Trump est optimiste

Les tractations entre la Chine et les États-Unis à Genève, pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays, ont repris dimanche, Donald Trump ayant fait part de son optimisme sur les progrès accomplis la veille.Le président américain semble vouloir repartir à zéro, après avoir imposé des droits de douanes toujours plus élevés aux centaines de milliards de dollars de produits chinois importés aux Etats-Unis. Pékin a répondu du tac au tac.”Très bonne réunion aujourd’hui (samedi) avec la Chine, en Suisse. Beaucoup de choses ont été discutées, beaucoup ont été approuvées. Une remise à zéro a été négociée de manière amicale mais constructive. Nous souhaitons, pour le bien de la Chine et des États-Unis, que la Chine s’ouvre aux entreprises américaines”, a écrit le président américain samedi soir sur le réseau Truth Social, ajoutant en capitales et à grand renfort de points d’exclamation : “DE GRANDS PROGRES ONT ETE ACCOMPLIS!!!”.Plus tôt samedi, l’agence de presse Chine nouvelle avait qualifié les discussions sur les bords du Lac Léman d'”étape importante dans la promotion de la résolution du contentieux”.  Les deux délégations de très haut niveau sont menées, côté américain, par le secrétaire au Trésor Scott Bessent et le représentant au Commerce Jamieson Greer tandis que la Chine a dépêché le vice-Premier ministre chinois He Lifeng.Les tractations se tiennent à huis-clos dans la résidence du représentant suisse auprès des Nations unies, une villa cossue nichée sur la rive gauche du Léman. Les pourparlers, qui avaient duré une dizaine d’heures samedi, ont repris peu après 10H00 (08H00 GMT), selon les sources de l’agence suisse Keystone-ATS.    “Ces négociations reflètent le fait que l’état actuel des relations commerciales, avec ces droits de douane prohibitifs, n’est au final dans l’intérêt ni des Etats-Unis, ni de la Chine”, souligne auprès de l’AFP Nathan Sheets, économiste en chef chez Citigroup.Genève accueille la première rencontre en face à face de hauts responsables des deux plus grandes économies mondiales depuis que le président américain a imposé le mois dernier une surtaxe de 145% sur les marchandises venant de Chine, en plus des droits de douane préexistants.Pékin, qui a promis de combattre “jusqu’au bout” ces surtaxes, a riposté avec 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt et les marchés ont connu de violents soubresauts.- “Perdant-perdant” -“C’est une proposition perdant-perdant d’avoir des droits de douane aussi élevés”, reprend Nathan Sheets.Vendredi, Donald Trump avait fait un geste en suggérant d’abaisser à 80% les droits de douane qu’il a lui-même imposés à Pékin. Mais sa porte-parole Karoline Leavitt s’est empressée de préciser que Washington n’abaisserait pas ses taxes unilatéralement et que la Chine devait également faire des concessions.Le simple fait que ces discussions ont lieu “est une bonne nouvelle pour le commerce et les marchés financiers”, estime Gary Hufbauer, du Peterson Institute for International Economics (PIIE). Cependant, cet expert se montre “très sceptique sur un retour à une situation normale dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis”.”Des droits de douane de 145% sont absolument prohibitifs”, poursuit-il, ajoutant que même abaissés à 70 ou 80% comme il en est question, le niveau des transactions entre les deux pays serait divisé par deux.Le vice-Premier ministre chinois est arrivé à Genève avec semble-t-il un atout: Pékin a annoncé vendredi un bond de 8,1% de ses exportations en avril, un chiffre quatre fois supérieur aux prévisions des analystes. Mais les exportations vers les États-Unis ont chuté de près de 18%.burs-vog/nl/bpi