Ligue 1: le Belge Sébastien Pocognoli nouvel entraîneur de Monaco

Le Belge Sébastien Pocognoli est le nouvel entraîneur de l’AS Monaco, avec lequel il s’est engagé jusqu’en juin 2027, a annoncé samedi soir le club de la Principauté.L’ex-entraîneur de l’Union Saint-Gilloise, qui est âgé de 38 ans, succède à l’Autrichien Adi Hütter, officiellement limogé vendredi soir en raison d’un début de saison aux résultats insuffisants.Pocognoli, arrivé sur le banc du club belge durant l’été 2024, a remporté le titre de champion de Belgique dès sa première saison. Il était sous contrat avec l’Union Saint-Gilloise jusqu’à juin 2026, et son arrivée a fait l’objet d’une transaction financière entre le club belge et Monaco.”Sébastien Pocognoli arrive à Monaco dans la foulée d’une expérience pleine de succès en Pro League avec la Royale Union Saint-Gilloise, où il s’est distingué en alliant résultats sportifs et style de jeu ambitieux et attractif”, souligne l’AS Monaco dans un communiqué.Accompagné de deux adjoints, Kevin Mirallas, ex-attaquant inernational belge passé par Lille et Saint-Etienne, et le Polonais Artur Kopyt, qui travaillait avec lui à l’USG, il prend la suite d’Adi Hütter, 55 ans, démis de ses fonctions jeudi, tout comme ses adjoints proches, Christian Peintinger et Klaus Schmidt. Le jeune technicien belge aura pour mission de redynamiser le jeu de l’équipe de la Principauté, actuelle 5e de L1 après sept journées (13 points, quatre victoires et deux défaites), qui ne convenait plus à la direction du club. Celle-ci a estimé qu’en un peu plus de deux saisons sous les ordres de Hütter, le niveau général n’avait pas suffisamment évolué positivement.- Equipes de jeunes -Ex-international belge, Pocognoli a évolué en Belgique (Genk, deux fois le Standard de Liège et l’Union Saint-Gilloise, où il a terminé sa carrière), aux Pays-Bas (Alkmaar), en Allemagne (Hanovre) et en Angleterre (West Brom et Brighton).Il ne revendique qu’une saison d’expérience au plus haut niveau mais a auparavant dirigé l’équipe nationale belge des U18 ainsi que les équipes de jeunes à Genk et à l’Union Saint-Gilloise.Considéré comme très exigeant et connu pour faire progresser ses joueurs, il apprécie avoir une “relation de confiance” avec eux. Mais, pour cela, ces derniers doivent “respecter le +game plan+”, comme aime à dire ce francophone. Il insiste pour que son équipe joue avec “intensité, pressing et cohésion”.Comme il l’expliquait après la victoire historique à Eindhoven contre le PSV (3-1) lors de la première journée de Ligue des champions, le 16 septembre, “quels que soient les joueurs qui entrent dans l’équipe, il n’y a pas de vagues” dans les performances. Il reste toutefois sur deux défaites, contre Newcastle (4-0) à domicile lors de la 2e journée de la phase de ligue de la prestigieuse compétition européenne et en championnat à Bruges (1-0), où Monaco avait sombré le mois dernier en C1 (4-1).Pocognoli dirigera sa première séance mardi matin, avec l’objectif immédiat de préparer le déplacement à Angers le 18 octobre pour la 8e journée de Ligue 1. Monaco recevra ensuite Tottenham le 22 octobre pour la 3e journée de la Ligue des champions.

A Paris, un restaurant palestinien-israélien pour partager le “goût de la paix”

Houmous, falafel ou salade gazaouie: les premiers clients de “Sababa, le goût de la paix” sont nombreux à se presser dans ce restaurant fondé par un Palestinien de Gaza et un Franco-Israélien qui ouvrait ce samedi à Paris, au moment même où “l’espoir” renaît au Proche-Orient.Assis sur des tapis ou à table, en famille ou entre amis, toutes générations confondues, ils dégustent des saveurs du Moyen-Orient, concoctées depuis six heures du matin par Radjaa Aboudagga et ses équipes.”Tout est fait main”, “de A à Z”, explique ce Franco-Palestinien originaire de la bande de Gaza, dans une cuisine bondée de personnes venues l’aider. Lui est en train de préparer les “managuish”, sorte de sandwich agrémenté de fromage, viande hachée ou zaatar (thym oriental). Ce restaurant, qui sera ouvert quatre soirs par semaine jusqu’en juin, il l’a imaginé avec le Franco-Israélien Edgar Laloum, en partenariat avec l’association “Nous réconcilier”.”Je suis heureux de cette journée parce qu’elle tombe à un moment où enfin il y a de l’espoir là-bas aussi”, salue M. Laloum, Radjaa Aboudagga à ses côtés, en référence à la trêve à Gaza, au retour attendu des otages israéliens et à la libération de prisonniers palestiniens.Edgar Laloum, qui a vécu trente ans à Jérusalem, évoque leur menu composé de “plats que les Israéliens et les Palestiniens mangent de la même manière”.”Les deux peuples, palestinien et israélien, ont les mêmes coutumes, les mêmes rêves, les mêmes larmes et les mêmes tristesses”, renchérit M. Aboudagga.”On a la même terre, on doit vivre tous ensemble sur cette terre”, poursuit-il, saluant par ailleurs la décision de la France et d’autres pays de reconnaître l’Etat de Palestine.- “Trois drapeaux” -Au plafond du Consulat Voltaire, ancien générateur électrique du 11e arrondissement de Paris qui accueille ce restaurant, s’entremêlent les drapeaux palestinien, français et israélien. “Les trois drapeaux réunis ensemble, avec le drapeau français au milieu, c’est symbolique. C’est très beau et j’expliquais à mon fils que finalement, on pouvait tous vivre ensemble”, raconte à l’AFP Raphaël, un client en pleine dégustation, qui ne souhaite pas donner son patronyme. Henri Poulain, 57 ans, y voit le signe “d’une réconciliation”, “d’un lien entre la République française d’un côté” et “ces deux États dont l’un reste à naître”.Et même si la guerre devait reprendre dans la bande de Gaza, lui en est persuadé, “ça ne fragiliserait pas un lieu comme celui-ci”.Joëlle Bordet, psychosociologue, réfute le mot de “réconciliation”, “trop fort”, selon elle.”Déjà être ensemble dans un même espace, quand on est de fait ennemis, c’est déjà extraordinaire. Je n’y arrive pas aujourd’hui dans mon réseau avec les Russes et les Ukrainiens”, déclare cette cliente de 72 ans.A ses côtés, Nour-Eddine Skiker, président de l’association “Jalons pour la paix”, dont certains bénévoles sont venus, en partenariat avec le conseil local des jeunes d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), pour prêter main forte. “Dans cet espace-là qui est tout petit, il y a de la place pour tout le monde”, salue le militant associatif.L’un des jeunes bénévoles, Mboreha Ahamed, 23 ans, renchérit: “Être là sous ces trois drapeaux-là, c’est super symbolique, (…) autour d’un repas où on pense à d’autres choses”.Vers 14H00, la file est encore longue pour commander ses mezzés. Cette première journée devait se poursuivre avec la lecture de poèmes en hébreu, en arabe et en français, des cercles de parole et des concerts. Le tout se déroulant, selon le vœu de ses créateurs, dans la “joie de vivre”, la signification de “Sababa”, en Israël comme dans les Territoires palestiniens.   

A Paris, un restaurant palestinien-israélien pour partager le “goût de la paix”

Houmous, falafel ou salade gazaouie: les premiers clients de “Sababa, le goût de la paix” sont nombreux à se presser dans ce restaurant fondé par un Palestinien de Gaza et un Franco-Israélien qui ouvrait ce samedi à Paris, au moment même où “l’espoir” renaît au Proche-Orient.Assis sur des tapis ou à table, en famille ou entre amis, toutes générations confondues, ils dégustent des saveurs du Moyen-Orient, concoctées depuis six heures du matin par Radjaa Aboudagga et ses équipes.”Tout est fait main”, “de A à Z”, explique ce Franco-Palestinien originaire de la bande de Gaza, dans une cuisine bondée de personnes venues l’aider. Lui est en train de préparer les “managuish”, sorte de sandwich agrémenté de fromage, viande hachée ou zaatar (thym oriental). Ce restaurant, qui sera ouvert quatre soirs par semaine jusqu’en juin, il l’a imaginé avec le Franco-Israélien Edgar Laloum, en partenariat avec l’association “Nous réconcilier”.”Je suis heureux de cette journée parce qu’elle tombe à un moment où enfin il y a de l’espoir là-bas aussi”, salue M. Laloum, Radjaa Aboudagga à ses côtés, en référence à la trêve à Gaza, au retour attendu des otages israéliens et à la libération de prisonniers palestiniens.Edgar Laloum, qui a vécu trente ans à Jérusalem, évoque leur menu composé de “plats que les Israéliens et les Palestiniens mangent de la même manière”.”Les deux peuples, palestinien et israélien, ont les mêmes coutumes, les mêmes rêves, les mêmes larmes et les mêmes tristesses”, renchérit M. Aboudagga.”On a la même terre, on doit vivre tous ensemble sur cette terre”, poursuit-il, saluant par ailleurs la décision de la France et d’autres pays de reconnaître l’Etat de Palestine.- “Trois drapeaux” -Au plafond du Consulat Voltaire, ancien générateur électrique du 11e arrondissement de Paris qui accueille ce restaurant, s’entremêlent les drapeaux palestinien, français et israélien. “Les trois drapeaux réunis ensemble, avec le drapeau français au milieu, c’est symbolique. C’est très beau et j’expliquais à mon fils que finalement, on pouvait tous vivre ensemble”, raconte à l’AFP Raphaël, un client en pleine dégustation, qui ne souhaite pas donner son patronyme. Henri Poulain, 57 ans, y voit le signe “d’une réconciliation”, “d’un lien entre la République française d’un côté” et “ces deux États dont l’un reste à naître”.Et même si la guerre devait reprendre dans la bande de Gaza, lui en est persuadé, “ça ne fragiliserait pas un lieu comme celui-ci”.Joëlle Bordet, psychosociologue, réfute le mot de “réconciliation”, “trop fort”, selon elle.”Déjà être ensemble dans un même espace, quand on est de fait ennemis, c’est déjà extraordinaire. Je n’y arrive pas aujourd’hui dans mon réseau avec les Russes et les Ukrainiens”, déclare cette cliente de 72 ans.A ses côtés, Nour-Eddine Skiker, président de l’association “Jalons pour la paix”, dont certains bénévoles sont venus, en partenariat avec le conseil local des jeunes d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), pour prêter main forte. “Dans cet espace-là qui est tout petit, il y a de la place pour tout le monde”, salue le militant associatif.L’un des jeunes bénévoles, Mboreha Ahamed, 23 ans, renchérit: “Être là sous ces trois drapeaux-là, c’est super symbolique, (…) autour d’un repas où on pense à d’autres choses”.Vers 14H00, la file est encore longue pour commander ses mezzés. Cette première journée devait se poursuivre avec la lecture de poèmes en hébreu, en arabe et en français, des cercles de parole et des concerts. Le tout se déroulant, selon le vœu de ses créateurs, dans la “joie de vivre”, la signification de “Sababa”, en Israël comme dans les Territoires palestiniens.   

Eighteen presumed dead after blast at US explosives factory

Eighteen people are presumed dead after a huge blast at an explosives factory in Tennessee, officials said Saturday.”We can assume that they are deceased at this time,” Humphreys County Sheriff Chris Davis told a news conference, referring to 18 people missing since the explosion Friday in the town of Bucksnort.The factory owned by Accurate Energetic Systems made explosives for both military and demolition purposes.The blast destroyed an entire building at the plant’s large campus, shook homes miles away and sent debris flying, news reports said.Davis said DNA testing will be used to identify remains.”But we’re going to have to slow walk that because of the scene, the way that the scene is,” Davis said.In a statement, the company called the blast “a tragic accident.” But Davis said: “Can I say we’re going to rule out foul play? We can’t answer that. That might be days or weeks or months before we can do that.”    He said staff from several federal agencies including the FBI have been sent to the blast site to help with the investigation.

Ouattara launches campaign as tensions soar ahead of I.Coast electionSat, 11 Oct 2025 18:02:28 GMT

More than 200 people were detained in Abidjan on Saturday after security forces fired tear gas to disperse an opposition protest, as Ivorian leader Alassane Ouattara launched his campaign for a fourth term.Outtara is widely expected to win after his two main rivals, former president Laurent Gbagbo and the head of the main opposition party, …

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Pro-Palestinian rallies held across Europe as Gaza truce holds

Pro-Palestinian protesters marched in several cities in Europe on Saturday, voicing cautious hope with a dose of scepticism as a ceasefire between Israel and Hamas in Gaza entered its second day.In the latest weekend of such protests, demonstrators shouted “Free Palestine” and brandished Palestinian flags, with tens of thousands marching in London, some 5,500 turning out in Berlin and 500 gathering in Vienna.Clashes erupted in Switzerland’s Bern between police and protesters after some 2,000 held an unauthorised protest in the centre, with some black mask-clad demonstrators throwing fireworks and police responding with tear gas and water cannon.  In London, Ben Jamal, director of the Palestine Solidarity Campaign, which has organised monthly pro-Palestinian rallies in London since the start of the war two years ago, said “We’re… sharing the relief of the Palestinian people.””But we also come here sharing their trepidation that this ceasefire will not hold,” Jamal told AFP.Despite concerns about President Donald Trump’s proposed peace plan for Gaza — calling for a transitional authority headed by the US leader — Jamal said there was an “immense sense of relief”.A sea of red and green, the colours of the Palestinian flag, formed along the embankment of the River Thames in central London, where the largely peaceful march began.Protesters donned black-and-white keffiyeh scarves, carrying signs of “Stop Starving Gaza” and “Stop the genocide”, and chanting “Free Palestine” and “From the river to the sea, Palestine will be free”.A group of counter-protesters waving Israeli flags blared loud music as the main demonstration marched towards Whitehall. London police said a “small number of arrests” were made during scuffles between the two groups.In Berlin, where some 60,000 people marched two weeks ago, the much smaller largely peaceful protest saw some accuse the German government — a staunch Israel ally — of “being on the wrong side of history”.- ‘Eyes on Gaza’ -The war in Gaza was sparked by Palestinian militant group Hamas’s deadly October 7, 2023 attack on Israel, which resulted in the deaths of 1,219 people, most of them civilians, according to an AFP tally based on official Israel figures.Israel’s military response has killed at least 67,682 people, most of them civilians, according to the health ministry in the Hamas-run territory, figures the UN considers reliable.The conflict has sparked a humanitarian crisis and the UN has declared famine conditions in parts of Gaza.”I’m here with my friends to help show that there is, continuously, eyes on Gaza, even considering the current ceasefire,” said Katrina Scales, a 23-year-old sociology and psychology student.She added a ceasefire was “not enough”, and that she planned to keep attending marches.Trade unionist Steve Headley, in his fifties, was also unconvinced. “Hopefully now we’ve got the first steps towards peace, but we’ve been here before,” Headley told AFP. He questioned Trump’s “plans for a ‘riviera’ in Gaza” that the US president had touted earlier this year.For 74-year-old Miranda Finch, part of a group marching under the banner of “descendants of Holocaust survivors against Gaza genocide”, the ceasefire was “very little”.”The Palestinians are not going back to nothing. They’re going back to less than nothing. Rubble on top of bodies, on top of sewage.”Fabio Capogreco, 42, who was attending his fifth demonstration with his two children and wife, said the ceasefire was “too little, too late”, adding that those complicit in the war needed to be held accountable.”Hopefully it’s one of the last times we need to come here to manifest,” said the bar manager. “But I think it’s too early to say everything is ok.”

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Oise: plus d’un millier d’opposants défilent contre le canal Seine-Nord Europe

Plus d’un millier de personnes ont manifesté samedi dans l’Oise à l’appel de collectifs écologistes pour appeler à “stopper le chantier” du canal Seine-Nord Europe, qui doit relier le bassin de la Seine aux grands ports du nord de l’Europe d’ici une dizaine d’années.La manifestation, première mobilisation d’une telle ampleur contre ce canal, s’est tenue à l’initiative de plusieurs collectifs dont Les Soulèvements de la Seine (une ramification des Soulèvements de la Terre), Extinction Rebellion et Mega Canal Non Merci. Elle a rassemblé “plus de 2.000 personnes” selon les manifestants et “un millier” selon la préfecture.Un important dispositif de forces de l’ordre a encadré la marche, qui s’est déroulée dans le calme et en musique, avec fanfare et libellules géantes. Deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue à l’issue du rassemblement, l’une pour port d’arme prohibé et l’autre pour dégradation de la voie publique, a indiqué la préfecture à l’AFP.Une trentaine de militants a sauté à l’eau pour traverser symboliquement le canal latéral à l’Oise et mettre le pied au bord du chantier de la future écluse de Montmacq pour y afficher brièvement une banderole dénonçant le coût du projet.”On cherche à montrer l’absurdité du projet”, qui n’est “pas viable économiquement”, a estimé un militant des Soulèvements de la Terre, Valentin. Il plaide pour “réinvestir dans le Canal du Nord et investir dans le frêt ferroviaire” au lieu de construire un nouveau canal qui pourrait coûter jusque 10 milliards d’euros selon eux.Pour l’élue écologiste Sandrine Rousseau, présente à la manifestation, “ce n’est pas un projet écologique quand on fait tout pour bétonner”. Elle a appelé à des politiques publiques encourageant une consommation raisonnée et locale, et non des projets qui profitent à des importations venues “de l’autre bout du monde”.Agnès Ducharne, hydrologue chercheuse au CNRS, a manifesté car le canal, dont le chantier a débuté en 2022, est selon elle “un projet nuisible”, “du siècle passé”.Pour ses défenseurs, le canal Seine-Nord Europe, qui doit relier la Seine à l’Escaut et aux grands ports du nord du continent grâce à 107 km de voies fluviales à grand gabarit, constitue une “solution écologique” qui réduirait le transport routier.Son coût prévisionnel a été estimé en 2019 à 5 milliards d’euros, financés par l’État, des collectivités locales et des fonds européens, un budget qui devrait être révisé en nette hausse.Les opposants dénoncent aussi un “désastre environnemental”, lié à l’artificialisation de “3.200 hectares de terres agricoles”, “300 espèces protégées” menacées, ou encore une importante retenue d’eau, le tout compensé par des mesures jugées “illusoires”.