Ukraine: Zelensky réclame une trêve et invite Poutine à le rencontrer jeudi à Istanbul

Volodymyr Zelensky a invité dimanche Vladimir Poutine à le rencontrer “personnellement” jeudi à Istanbul, où le président russe a appelé à ouvrir des négociations directes entre Kiev et Moscou.Peu avant, le président américain Donald Trump avait exhorté Moscou et Kiev à se rencontrer sans délai.”Nous attendons un cessez-le-feu total et durable, à partir de demain, pour fournir une base nécessaire à la diplomatie. Il ne sert à rien de prolonger les massacres. J’attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J’espère que cette fois, les Russes ne chercheront pas d’excuses”, a écrit le président ukrainien sur X.Le Kremlin n’a pas répondu à la proposition de M. Zelensky. Il n’était pas complètement clair dans l’immédiat si le président ukrainien mettait comme condition à sa venue à Istanbul l’acceptation au préalable d’une trêve par la Russie.   Le président français Emmanuel Macron a lui aussitôt insisté sur “la nécessité d’un cessez-le-feu” préalable pour que la rencontre russo-ukrainienne envisagée à Istanbul puisse se tenir “ce jeudi”.M. Poutine avait proposé dans la nuit de samedi à dimanche des négociations “directes” et “sans condition préalable” entre Moscou et Kiev, à Istanbul à partir de jeudi. Il n’a “pas exclu” que l’idée d’un cessez-le-feu soit discutée lors de ces pourparlers, mais ils doivent selon lui d’abord porter sur “les causes profondes du conflit”.Depuis Washington, M. Trump a lui écrit, sur son réseau Truth social, que “le président russe (Vladimir) Poutine ne veut pas d’un accord de cessez-le-feu avec l’Ukraine, mais plutôt une rencontre jeudi en Turquie pour négocier une possible fin au bain de sang”. “L’Ukraine devrait accepter immédiatement”, a-t-il ajouté. “Cela leur permettra au moins de déterminer si un accord est possible, et s’il ne l’est pas, les dirigeants européens et les Etats-Unis sauront à quoi s’en tenir et pourront agir en conséquence”, a estimé Donald Trump, dans une possible allusion aux menaces de sanctions agitées par les alliés européens de l’Ukraine.L’Ukraine et ses alliés européens, de concert avec les Etats-Unis, avaient adressé samedi un ultimatum à Moscou pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi la Russie s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives”.M. Poutine a reproché aux Européens de traiter la Russie “de manière grossière”.Kiev a dénoncé dimanche des attaques de drones contre l’Ukraine dans la nuit, peu après l’expiration à minuit d’une trêve de trois jours décrétée par Moscou pour les commémorations des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie. Selon l’armée de l’air ukrainienne, la Russie a tiré 108 drones, dont 60 ont été abattus.M. Zelensky a déclaré qu’il voyait un “signe positif”, termes rarement utilisés à l’égard de Moscou, dans le fait que la Russie commençait à envisager de mettre fin à la guerre.- “tournant historique” -Le président turc Recep Tayyip Erdogan a confirmé dimanche à M. Poutine, ainsi qu’à M. Macron, la disposition de son pays à accueillir des négociations de paix entre Moscou et Kiev.Espérant que de tels pourparlers “conduiront à une solution permanente”, M. Erdogan a évoqué un potentiel “tournant historique” et une “opportunité” qui “doit être saisie”.L’Ukraine avait déjà proposé à plusieurs reprises ces dernières semaines des trêves de 30 jours, rejetées la Russie. Moscou estime que cette pause dans les combats permettrait à l’armée de Kiev de se regrouper et de se réarmer grâce aux livraisons d’armes occidentales.La Russie, qui occupe environ 20% de l’Ukraine, justifie son invasion notamment par la volonté de ce pays d’intégrer l’Otan, une alliance militaire que la Russie considère comme une menace existentielle.Moscou et Kiev avaient déjà mené des négociations directes à Istanbul en 2022, dans les premiers mois du conflit, mais celles-ci n’avaient pas abouti. Selon M. Poutine, l’échec de ces pourparlers était dû à l’ingérence de l’ex-Premier ministre britannique Boris Johnson.- “Gagner du temps” -L’idée d’un cessez-le-feu en Ukraine est portée depuis des mois par M. Trump, qui ambitionne de mettre fin rapidement à la guerre alors que Washington a été depuis 2022 le principal soutien militaire et financier de Kiev.Le Kremlin s’était contenté jusqu’à présent de décréter unilatéralement deux courtes trêves, en avril et en mai, qui ont mené à une baisse des frappes sans être totalement respectées par les deux camps.”Potentiellement un grand jour pour la Russie et l’Ukraine !”, a écrit M. Trump dimanche matin sur son compte Truth Social, sans expliciter s’il faisait référence à la proposition de Vladimir Poutine.M. Macron a lui qualifié la proposition russe de “premier mouvement (…) pas suffisant”, relevant chez Vladimir Poutine “la volonté de gagner du temps”. Le président français revient d’un déplacement en Ukraine, où il était accompagné samedi des dirigeants allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk.Lors de cette visite, selon M. Macron, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires” ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, il a été convenu que “des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.

Ukraine: Zelensky réclame une trêve et invite Poutine à le rencontrer jeudi à Istanbul

Volodymyr Zelensky a invité dimanche Vladimir Poutine à le rencontrer “personnellement” jeudi à Istanbul, où le président russe a appelé à ouvrir des négociations directes entre Kiev et Moscou.Peu avant, le président américain Donald Trump avait exhorté Moscou et Kiev à se rencontrer sans délai.”Nous attendons un cessez-le-feu total et durable, à partir de demain, pour fournir une base nécessaire à la diplomatie. Il ne sert à rien de prolonger les massacres. J’attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J’espère que cette fois, les Russes ne chercheront pas d’excuses”, a écrit le président ukrainien sur X.Le Kremlin n’a pas répondu à la proposition de M. Zelensky. Il n’était pas complètement clair dans l’immédiat si le président ukrainien mettait comme condition à sa venue à Istanbul l’acceptation au préalable d’une trêve par la Russie.   Le président français Emmanuel Macron a lui aussitôt insisté sur “la nécessité d’un cessez-le-feu” préalable pour que la rencontre russo-ukrainienne envisagée à Istanbul puisse se tenir “ce jeudi”.M. Poutine avait proposé dans la nuit de samedi à dimanche des négociations “directes” et “sans condition préalable” entre Moscou et Kiev, à Istanbul à partir de jeudi. Il n’a “pas exclu” que l’idée d’un cessez-le-feu soit discutée lors de ces pourparlers, mais ils doivent selon lui d’abord porter sur “les causes profondes du conflit”.Depuis Washington, M. Trump a lui écrit, sur son réseau Truth social, que “le président russe (Vladimir) Poutine ne veut pas d’un accord de cessez-le-feu avec l’Ukraine, mais plutôt une rencontre jeudi en Turquie pour négocier une possible fin au bain de sang”. “L’Ukraine devrait accepter immédiatement”, a-t-il ajouté. “Cela leur permettra au moins de déterminer si un accord est possible, et s’il ne l’est pas, les dirigeants européens et les Etats-Unis sauront à quoi s’en tenir et pourront agir en conséquence”, a estimé Donald Trump, dans une possible allusion aux menaces de sanctions agitées par les alliés européens de l’Ukraine.L’Ukraine et ses alliés européens, de concert avec les Etats-Unis, avaient adressé samedi un ultimatum à Moscou pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi la Russie s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives”.M. Poutine a reproché aux Européens de traiter la Russie “de manière grossière”.Kiev a dénoncé dimanche des attaques de drones contre l’Ukraine dans la nuit, peu après l’expiration à minuit d’une trêve de trois jours décrétée par Moscou pour les commémorations des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie. Selon l’armée de l’air ukrainienne, la Russie a tiré 108 drones, dont 60 ont été abattus.M. Zelensky a déclaré qu’il voyait un “signe positif”, termes rarement utilisés à l’égard de Moscou, dans le fait que la Russie commençait à envisager de mettre fin à la guerre.- “tournant historique” -Le président turc Recep Tayyip Erdogan a confirmé dimanche à M. Poutine, ainsi qu’à M. Macron, la disposition de son pays à accueillir des négociations de paix entre Moscou et Kiev.Espérant que de tels pourparlers “conduiront à une solution permanente”, M. Erdogan a évoqué un potentiel “tournant historique” et une “opportunité” qui “doit être saisie”.L’Ukraine avait déjà proposé à plusieurs reprises ces dernières semaines des trêves de 30 jours, rejetées la Russie. Moscou estime que cette pause dans les combats permettrait à l’armée de Kiev de se regrouper et de se réarmer grâce aux livraisons d’armes occidentales.La Russie, qui occupe environ 20% de l’Ukraine, justifie son invasion notamment par la volonté de ce pays d’intégrer l’Otan, une alliance militaire que la Russie considère comme une menace existentielle.Moscou et Kiev avaient déjà mené des négociations directes à Istanbul en 2022, dans les premiers mois du conflit, mais celles-ci n’avaient pas abouti. Selon M. Poutine, l’échec de ces pourparlers était dû à l’ingérence de l’ex-Premier ministre britannique Boris Johnson.- “Gagner du temps” -L’idée d’un cessez-le-feu en Ukraine est portée depuis des mois par M. Trump, qui ambitionne de mettre fin rapidement à la guerre alors que Washington a été depuis 2022 le principal soutien militaire et financier de Kiev.Le Kremlin s’était contenté jusqu’à présent de décréter unilatéralement deux courtes trêves, en avril et en mai, qui ont mené à une baisse des frappes sans être totalement respectées par les deux camps.”Potentiellement un grand jour pour la Russie et l’Ukraine !”, a écrit M. Trump dimanche matin sur son compte Truth Social, sans expliciter s’il faisait référence à la proposition de Vladimir Poutine.M. Macron a lui qualifié la proposition russe de “premier mouvement (…) pas suffisant”, relevant chez Vladimir Poutine “la volonté de gagner du temps”. Le président français revient d’un déplacement en Ukraine, où il était accompagné samedi des dirigeants allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk.Lors de cette visite, selon M. Macron, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires” ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, il a été convenu que “des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.

Zelensky offers to meet Putin in Turkey ‘personally’

Ukrainian President Volodymyr Zelensky said Sunday he would be willing to meet Russian counterpart Vladimir Putin in Turkey “personally”, after Donald Trump said direct talks were needed to determine whether peace was possible.The Kremlin did not immediately respond to Zelensky’s offer, and the Ukrainian leader did not say whether he would still attend if Russia refused a 30-day ceasefire proposed by Kyiv and its allies on Saturday.Moscow and Kyiv have not held face-to-face negotiations since March 2022, shortly after the Kremlin launched its full-scale invasion of Ukraine in February of that year.”We await a full and lasting ceasefire, starting from tomorrow, to provide the necessary basis for diplomacy,” Zelensky said in a post on X.”There is no point in prolonging the killings. And I will be waiting for Putin in Turkiye on Thursday. Personally. I hope that this time the Russians will not look for excuses,” he added.In the early hours of Sunday, Putin proposed to resume the talks between the two sides held in Istanbul in March 2022. But he did not respond to the 30-day ceasefire proposal put forward by Kyiv’s allies.US President Trump wrote on his Truth Social platform earlier: “President Putin of Russia doesn’t want to have a Cease Fire Agreement with Ukraine, but rather wants to meet on Thursday, in Turkey, to negotiate a possible end to the BLOODBATH.””Ukraine should agree to this, IMMEDIATELY. At least they will be able to determine whether or not a deal is possible, and if it is not, European leaders, and the U.S., will know where everything stands, and can proceed accordingly!”- Allies urge truce -Kyiv and its Western allies have said an unconditional ceasefire to pause the fighting is the only way to advance a diplomatic solution in three-year war — Europe’s worst since the Second World War.Russia’s assault has resulted in the deaths of tens of thousands of people, the destruction of Ukrainian cities and a collapse in relations between Moscow and the West.On a visit to Kyiv on Saturday the leaders of France, the UK, Germany and Poland pressured Russia — with Trump’s support — to commit to an unconditional ceasefire in Ukraine starting from Monday. Zelensky’s chief of staff Andriy Yermak suggested Zelensky would only come to the table if Moscow agreed to the ceasefire from Monday.French President Emmanuel Macron appeared to echo this, insisting on the “necessity” of a ceasefire before talks, the Elysee said in a statement Sunday evening.In their last meeting in Istanbul in March 2022, Russia and Ukraine produced a now-aborted peace proposal that would have forced Kyiv to adopt neutral status and renounce any NATO ambitions.Since then, communication channels have only been open for exchanges of prisoners of war and bodies.- Putin denounces ‘ultimatums’ -Putin’s proposal early Sunday, ignoring the 30-day ceasefire proposal, focussed on a return to those Istanbul talks.”We propose to the Kyiv authorities to resume the talks that they broke off in 2022, and, I emphasise, without any preconditions,” he said.”We propose to start (negotiations) without delay on Thursday May 15 in Istanbul,” Putin said.”We do not exclude that during these talks we will be able to agree on some new ceasefire,” the Russian leader added. But he also accused Ukraine’s Western backers of wanting to “continue war with Russia”.And without mentioning the specific proposal for a 30-day ceasefire, he slammed European “ultimatums” and “anti-Russian rhetoric”.Turkish President Recep Tayyip Erdogan told Putin in a phone call Sunday that Ankara was ready to host talks “aimed at achieving a lasting solution”.German Chancellor Friedrich Merz said Russia’s offer to negotiate directly was a “good sign” but “far from sufficient”, pressuring Moscow to agree to a truce.

Angleterre: Arsenal courageux à Anfield, Chelsea chanceux malgré la défaite

Mené 2-0 puis réduit à dix, Arsenal a ramené un point courageux d’Anfield face à Liverpool (2-2) dimanche en clôture de la 36e journée de Premier League qui a vu Chelsea perdre un match à Newcastle (2-0) mais pas sa place dans le Top 5.Très loin de ces sommets, Manchester United et Tottenham ont perdu 2-0 à domicile, respectivement contre West Ham et Crystal Palace. A dix jours de leur duel en finale de la Ligue Europa, ils restent scotchés aux 16e et 17e places du championnat d’Angleterre, juste au-dessus de la zone de relégation.Arsenal (2e, 68 pts) est lui reparti de Liverpool avec un point durement acquis, mais une avance qui s’effrite sur Newcastle (3e, 66 pts), son prochain adversaire dimanche prochain à Londres.Les Gunners, deuxièmes depuis la fin de l’année 2024, ont concédé un quatrième match nul en six journées, quatre jours après leur élimination en Ligue des champions face au Paris Saint-Germain.Ils se sont fait surprendre deux fois en l’espace de deux minutes par Cody Gakpo (20e) puis Luis Diaz (21e), mais ont réussi à se rattraper sur une tête de Gabriel Martinelli (47e) et une autre de Mikel Merino (70e).Arsenal a réussi à tenir ensuite, malgré l’expulsion du milieu espagnol (79e), mais cela n’a pas apaisé Mikel Arteta, furieux du début de match manqué par son équipe.”Nous avons réagi, c’est bien. Mais le niveau de ces vingt premières minutes était inacceptable”, a pesté l’entraîneur sur Sky Sports. “Il faut agir, pas réagir.”- Newcastle, troisième fringant -Un nouveau sommet à grands frissons attend les Londoniens le week-end prochain face à Newcastle, une équipe en pleine forme.Car les Magpies ont obtenu dimanche contre Chelsea une septième victoire en neuf journées, marquant très tôt (Sandro Tonali, 2e) et très tard (Bruno Guimaraes, 90e).Chelsea de son côté a été plombé par l’expulsion de Nicolas Jackson, coupable d’un coup de coude dans le visage de Sven Botman (36e).C’est même la double peine pour les Blues qui devront disputer les deux dernières “finales” de leur championnat, contre Manchester United et Nottingham Forest, sans leur avant-centre sénégalais, désormais suspendu.”Nous étions dans une bonne passe, mais mon message a toujours été le même auprès des joueurs. Le match est passé, il faut penser au suivant”, s’est projeté l’entraîneur Enzo Maresca sur TNT Sports.Son équipe a perdu une bataille à St James’ Park, mais pas la guerre: elle conserve la cinquième et dernière place qualificative pour la Ligue des champions grâce au match nul de Nottingham contre Leicester (2-2).- Amorim inquiet -A domicile, Forest a été mené rapidement, a retourné la situation et a finalement concédé l’égalisation devant Facundo Buonanotte (81e, 2-2). Les Reds auraient même pu repartir de leur stade avec une défaite sans un arrêt de Matz Sels (90e+7).Le match nul a visiblement fortement déplu au propriétaire Evangelos Marinakis, venu sur la pelouse après le coup de sifflet final pour partager sa frustration auprès de l’entraîneur.”Le football ce sont les émotions, c’est difficile de les contrôler, en particulier quand il y a autant d’attentes”, a tempéré Nuno Espirito Santo, évoquant à l’antenne de Sky Sports une discussion animée avec son patron sur un changement (tardif) de joueurs.A Manchester United, les choses ne s’arrangent pas pour Ruben Amorim. Le jeune technicien portugais a subi une nouvelle défaite en championnat à Old Trafford, avec un but encaissé dans chaque période.”Nous n’avons pas peur de perdre un match en tant que Manchester United. Nous n’avons plus cette peur et c’est la chose la plus dangereuse qu’un grand club puisse avoir”, s’est alarmé Amorim au micro de la BBC.”La finale (de Ligue Europa le 21 mai à Bilbao, NDLR) n’est pas la chose la plus importante dans notre club. Nous devons changer beaucoup de choses”, a ajouté celui qui a succédé à Erik ten Hag en novembre.Son prochain adversaire européen, Tottenham, a aussi perdu 2 à 0 chez lui, contre Crystal Palace, après un doublé d’Erebechi Eze juste avant et juste après la mi-temps (45e, 48e).

Trump to accept lavish jet from Qataris as Air Force One: reports

Donald Trump intends to accept a luxury Boeing jet from the Qatari royal family for use as Air Force One then continue flying in it after his tenure, despite strict rules on US presidential gifts, media reported Sunday.Calling the plane a “flying palace,” ABC News, which first reported the story, said the Boeing 747-8 jumbo jet would possibly be the most expensive gift ever received by the US government.The US Constitution prohibits government officials from accepting gifts “from any King, Prince or foreign State,” in a section known as the emoluments clause.But Trump plans to skirt the law by handing it over to his presidential library as he leaves office.The plan is to be announced as Trump travels to three countries in the Middle East this week, including Qatar, both ABC and the New York Times said.Acceptance of the gift raises strong ethical questions, as it appears to flout laws set up to stanch government corruption.However the White House and Department of justice consider that the gift is within the limits of the law because it is not given in exchange for any particular favor or action, which they say means it is therefore not a bribe, according to sources who spoke to ABC.And it is not unconstitutional, they say, because it will first be passed to the US Air Force before being turned over to the presidential library, thereby never being gifted to any one individual.The White House did not immediately respond to an AFP request for comment.The Democratic National Committee said the move was proof of Trump using the White House for personal financial gain.”While working families brace for higher costs and empty shelves, Trump is still focusing on enriching himself and his billionaire backers,” the DNC said in an email to supporters.Trump reportedly toured the Qatari-owned jet in February when it was parked at the Palm Beach International Airport, the publications said.The US president has long been unhappy with the planes that constitute Air Force One — two highly customized Boeing 747-200B series aircraft.He earlier this year said his administration was “looking at alternatives” to Boeing following delays in the delivery of two new models.The US aerospace giant agreed in 2018 to supply two 747-8 aircraft by the end of 2024 for $3.9 billion — both ready to transport whoever occupied the White House at that time.But a subcontractor went bankrupt and the coronavirus pandemic disrupted production, forcing Boeing to push back the delivery date to 2027 and 2028.Although the plane the Qataris are offering to Trump is reportedly over 10 years old, a new Boeing 747-8 costs in the range of $400 million, experts said.The aircraft must additionally be outfitted with extensive bells and whistles to become Air Force One.

Trump to accept lavish jet from Qataris as Air Force One: reports

Donald Trump intends to accept a luxury Boeing jet from the Qatari royal family for use as Air Force One then continue flying in it after his tenure, despite strict rules on US presidential gifts, media reported Sunday.Calling the plane a “flying palace,” ABC News, which first reported the story, said the Boeing 747-8 jumbo jet would possibly be the most expensive gift ever received by the US government.The US Constitution prohibits government officials from accepting gifts “from any King, Prince or foreign State,” in a section known as the emoluments clause.But Trump plans to skirt the law by handing it over to his presidential library as he leaves office.The plan is to be announced as Trump travels to three countries in the Middle East this week, including Qatar, both ABC and the New York Times said.Acceptance of the gift raises strong ethical questions, as it appears to flout laws set up to stanch government corruption.However the White House and Department of justice consider that the gift is within the limits of the law because it is not given in exchange for any particular favor or action, which they say means it is therefore not a bribe, according to sources who spoke to ABC.And it is not unconstitutional, they say, because it will first be passed to the US Air Force before being turned over to the presidential library, thereby never being gifted to any one individual.The White House did not immediately respond to an AFP request for comment.The Democratic National Committee said the move was proof of Trump using the White House for personal financial gain.”While working families brace for higher costs and empty shelves, Trump is still focusing on enriching himself and his billionaire backers,” the DNC said in an email to supporters.Trump reportedly toured the Qatari-owned jet in February when it was parked at the Palm Beach International Airport, the publications said.The US president has long been unhappy with the planes that constitute Air Force One — two highly customized Boeing 747-200B series aircraft.He earlier this year said his administration was “looking at alternatives” to Boeing following delays in the delivery of two new models.The US aerospace giant agreed in 2018 to supply two 747-8 aircraft by the end of 2024 for $3.9 billion — both ready to transport whoever occupied the White House at that time.But a subcontractor went bankrupt and the coronavirus pandemic disrupted production, forcing Boeing to push back the delivery date to 2027 and 2028.Although the plane the Qataris are offering to Trump is reportedly over 10 years old, a new Boeing 747-8 costs in the range of $400 million, experts said.The aircraft must additionally be outfitted with extensive bells and whistles to become Air Force One.

Italie: l’Inter laisse passer l’orage pour revenir à la hauteur de Naples

L’Inter Milan est revenu provisoirement à la hauteur de Naples en tête du Championnat d’Italie dimanche avec sa victoire 2 à 0 sous une pluie diluvienne sur le terrain du Torino lors de la 36e journée.Le futur adversaire du Paris SG en finale de la Ligue des champions, qui a rempli sa mission avec une équipe-bis, totalise désormais 77 points et maintient la pression sur le leader napolitaine, qui reçoit dans la soirée (20h45) le Genoa (13e).Cinq jours après sa retentissante et renversante qualification pour la finale de la Ligue des champions face au Barça, l’Inter a cette fois résisté aux éléments. Les Nerazzurri, avec neuf changements par rapport à l’équipe victorieuse à Giuseppe-Meazza mardi (4-3 a.p.), se sont imposés grâce à un but de Nicola Zalewski (14e) et un penalty de Kristjan Asllani (49e).Mais c’est un violent orage qui a bien failli les contrarier et compliquer un calendrier déjà bien chargé avant la finale contre le Paris SG le 31 mai à Munich. Sous l’effet des trombes d’eau qui se sont abattues sur le Stade olympique de Turin, la rencontre a été interrompue pendant cinq minutes en fin de première période. La pelouse étant complétement imprégnée d’eau, la pause a ensuite duré plus de trente minutes, avant que l’arbitre ne teste la surface et finisse par donner le coup d’envoi de la seconde période.

Iran says nuclear talks ‘difficult but useful’, US ‘encouraged’

Iran and the United States wrapped up nuclear talks in Oman on Sunday with no apparent breakthrough in a public standoff over enrichment, but with both sides confirming plans for future negotiations.This was the fourth round of talks that began nearly a month ago, marking the highest-level contact between the two foes since Washington withdrew in 2018 from a landmark nuclear deal, during President Donald Trump’s first term.Both sides had reported progress in the previous three rounds, and on Sunday Iran said the meeting was “difficult but useful” while a senior US official said Washington was “encouraged”.The official, speaking on condition of anonymity, said Washington was “encouraged by today’s outcome and look forward to our next meeting, which will happen in the near future”, without specifying when.In a post on X, Iran’s foreign ministry spokesman Esmaeil Baqaei said that the “next round will be coordinated and announced by Oman”, which in turn said “the talks will take place once both parties… consult their leaderships”.According to the US official, the talks Sunday were “both direct and indirect, and lasted over three hours”.”Agreement was reached to move forward” and “continue working through technical elements”, the official added.Baqaei had earlier said negotiators would push for relief from US sanctions.Iran entered the talks saying that its right to maintain uranium enrichment was “non-negotiable”, while Washington’s chief negotiator Steve Witkoff has called it a “red line”.Following the talks, Foreign Minister Abbas Araghchi, who led Tehran’s delegation, reiterated Iran’s stance on enrichment, saying it “must continue and there is no room for compromise on it”.He noted the latest meeting was “more serious” than previous rounds, telling Iranian state TV that Tehran may be open to limit the rate of enrichment “to help build trust”.- ‘Useful ideas’ -The talks come amid a flurry of diplomatic activity in the region, with US President Trump heading to the Gulf next week, and Araghchi just back from Saudi Arabia and Qatar — two stops on Trump’s first major foreign tour.Iran’s top diplomat is set to visit Monday the United Arab Emirates — another planned stop on Trump’s tour — for talks with senior officials, the foreign ministry said.Omani Foreign Minister Badr Albusaidi said the talks on Sunday “included useful and original ideas reflecting a shared wish to reach an honourable agreement”.Western countries, including the United States, have long accused Iran of seeking to acquire nuclear weapons, while Tehran insists that its nuclear programme is for peaceful purposes.Iran currently enriches uranium to 60 percent purity — far above the 3.67-percent limit set in the 2015 deal with Washington and other world powers, but below the 90 percent needed for weapons-grade material.Witkoff, Trump’s Middle East envoy, said in a Friday interview that Iran’s “enrichment facilities have to be dismantled”.”That’s our red line. No enrichment,” he told US right-wing outlet Breitbart News, after initially suggesting flexibility on Tehran maintaining low-level enrichment of uranium for civilian purposes.On Sunday, Iran’s President Masoud Pezeshkian said calls to dismantle Tehran’s nuclear facilities were “unacceptable”.”Iran will not give up its peaceful nuclear rights under any circumstances and will not back down from its rights in the face of pressure,” he said.- ‘World’s most dangerous weapon’ -Iran adhered to the 2015 nuclear agreement with world powers for a year after Washington’s withdrawal, before beginning to roll back its compliance.Since returning to office in January, Trump has revived his “maximum pressure” approach against Tehran, while backing nuclear diplomacy but warning of potential military action if it fails.The talks are taking place amid renewed scrutiny of key aspects of Tehran’s nuclear programme, particularly its stockpile of enriched uranium and the pace of its enrichment activities.European governments are weighing whether to trigger the “snapback” mechanism under the 2015 deal, which would reinstate UN sanctions in response to Iranian non-compliance — an option that expires in October.Araghchi, in an article published on Sunday by French weekly Le Point, warned against a “strategy of confrontation”.Israel, which opposes the negotiations its close ally the United States has conducted with regional foe Iran, said Tehran must not be allowed to obtain nuclear weapons.”Iran is the most dangerous state in the world” and “must not be allowed to obtain the world’s most dangerous weapon,” said Israeli Foreign Minister Gideon Saar.Israel is the Middle East’s only — if undeclared — nuclear-armed state.