Guinea’s junta suspends three main political partiesSat, 23 Aug 2025 09:09:53 GMT
Guinea’s junta has suspended three main political parties — including that of former president Alpha Conde — for three months, ahead of an electoral campaign for a rewrite of the constitution, according to an order seen by AFP on Saturday.The move came as the main parties and civil society groups in the west African nation …
Guinea’s junta suspends three main political partiesSat, 23 Aug 2025 09:09:53 GMT Read More »
La demande de libération conditionnelle des frères Menendez rejetée en commission judiciaire
Malgré leurs efforts de réhabilitation, les frères Menendez doivent rester en prison, a estimé vendredi une commission judiciaire américaine, en refusant entièrement la demande de libération conditionnelle des deux détenus, célèbres aux Etats-Unis pour avoir tué leurs richissimes parents en 1989.Comme pour Erik la veille, la commission du Département des services correctionnels et de réinsertion de Californie a refusé la demande de libération conditionnelle de Lyle. Ils pourront demander un réexamen de leur cas dans trois ans, selon un communiqué.A la tête de la commission judiciaire, Julie Garland, a déclaré que le comité avait estimé que Lyle Menendez présentait toujours un risque pour la société.Elle l’a invité à ne pas perdre espoir, lui expliquant que le refus de libération conditionnelle pour trois ans n’était “pas une fin en soi”. “Je suis profondément désolé pour ce que j’étais, pour le mal que tout le monde a subi”, a regretté Lyle Menendez, 57 ans, lors d’une audience où il a tenté de montrer son évolution. “Je ne pourrai jamais réparer le mal et la douleur que j’ai causés à tous les membres de ma famille.”Initialement condamnés à la perpétuité pour avoir tué leurs parents avec des fusils à pompe dans leur luxueuse villa familiale de Beverly Hills, les frères Menendez comptent parmi les détenus les plus médiatisés d’Amérique.Leur procès au début des années 90 a été l’un des premiers retransmis à la télévision et leur histoire est revenue dans la lumière grâce à une série ainsi qu’un documentaire de Netflix l’an dernier.Les violences sexuelles dont ils accusent leur père ont été vues sous un nouveau jour ces dernières années, après l’éclosion du mouvement #MeToo. Plus de 35 ans après les meurtres, un mouvement réclamant leur libération a pris forme en ligne, soutenu par leur famille et certaines célébrités comme Kim Kardashian.En mai, un juge a réduit leur peine, ce qui les rendait éligibles à une sortie de prison.- “Différents visages” -Mais la commission a douché ces espoirs et jugé que les deux frères posaient toujours un risque pour la société.Derrière les barreaux, les frères Menendez ont mis en place des ateliers de gestion de la colère ou d’aide aux détenus en soins palliatifs.Mais vendredi, les membres de la commission se sont inquiétés de la duplicité de Lyle Menendez, qui a régulièrement violé les règles en utilisant des téléphones portables de contrebande. Un grief déjà fait la veille à son frère Erik, 54 ans.Le panel a également mentionné une évaluation psychologique d’un médecin de la prison, décrivant Lyle comme trompeur, manipulateur et refusant d’accepter les conséquences de ses actes. “Vous semblez adopter différents visages à différents moments”, a reproché Patrick Reardon, l’un des membres de la commission.L’ambivalence des deux frères était déjà au centre de leurs deux procès dans les années 90. A l’époque, le parquet avait accusé les deux jeunes hommes, âgés de 18 et 21 ans au moment des meurtres, d’avoir assassiné leurs parents pour hériter de leur fortune de 14 millions de dollars.Armés de fusils à pompe, ils ont tiré cinq fois sur leur père José Menendez, notamment dans les rotules. Leur mère, Kitty Menendez, est morte en rampant pour tenter de leur échapper.Les frères ont d’abord attribué les meurtres à un coup de la mafia, avant de changer leur version plusieurs fois. Les enquêteurs ont finalement mis la main sur l’enregistrement d’une séance de psychothérapie, au cours de laquelle Erik a avoué le meurtre.Devant le tribunal, leurs avocats avaient invoqué une tentative désespérée d’autodéfense, en affirmant que les deux frères avaient été agressés sexuellement pendant des années par leur père et que leur mère était au courant.- Autres recours –Comme pour Erik la veille, le procureur de Los Angeles, Nathan Hochman, a salué vendredi soir le maintien en prison de Lyle, une décision qui “honore la mémoire de Jose et Kitty Menendez”.”Depuis des décennies, Lyle Menendez a refusé d’assumer pleinement la responsabilité de ses actes. Avec son frère, il s’est accroché à une histoire fabriquée de légitime défense”, a-t-il estimé dans un communiqué.Un avis favorable de la commission était considéré comme la meilleure chance des frères Menendez de sortir de prison. Mais ce rejet n’épuise pas pour autant tous leurs recours.Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, peut encore commuer leur peine.Leur défense tente également d’obtenir un nouveau procès, en invoquant la découverte de nouveaux éléments ces dernières années : une ancienne lettre où Erik évoque les agressions sexuelles de son père à un cousin avant le meurtre, et le témoignage d’un ex-chanteur de boys band latino, qui explique avoir été drogué et violé par Jose Menendez dans les années 1980.
La demande de libération conditionnelle des frères Menendez rejetée en commission judiciaire
Malgré leurs efforts de réhabilitation, les frères Menendez doivent rester en prison, a estimé vendredi une commission judiciaire américaine, en refusant entièrement la demande de libération conditionnelle des deux détenus, célèbres aux Etats-Unis pour avoir tué leurs richissimes parents en 1989.Comme pour Erik la veille, la commission du Département des services correctionnels et de réinsertion de Californie a refusé la demande de libération conditionnelle de Lyle. Ils pourront demander un réexamen de leur cas dans trois ans, selon un communiqué.A la tête de la commission judiciaire, Julie Garland, a déclaré que le comité avait estimé que Lyle Menendez présentait toujours un risque pour la société.Elle l’a invité à ne pas perdre espoir, lui expliquant que le refus de libération conditionnelle pour trois ans n’était “pas une fin en soi”. “Je suis profondément désolé pour ce que j’étais, pour le mal que tout le monde a subi”, a regretté Lyle Menendez, 57 ans, lors d’une audience où il a tenté de montrer son évolution. “Je ne pourrai jamais réparer le mal et la douleur que j’ai causés à tous les membres de ma famille.”Initialement condamnés à la perpétuité pour avoir tué leurs parents avec des fusils à pompe dans leur luxueuse villa familiale de Beverly Hills, les frères Menendez comptent parmi les détenus les plus médiatisés d’Amérique.Leur procès au début des années 90 a été l’un des premiers retransmis à la télévision et leur histoire est revenue dans la lumière grâce à une série ainsi qu’un documentaire de Netflix l’an dernier.Les violences sexuelles dont ils accusent leur père ont été vues sous un nouveau jour ces dernières années, après l’éclosion du mouvement #MeToo. Plus de 35 ans après les meurtres, un mouvement réclamant leur libération a pris forme en ligne, soutenu par leur famille et certaines célébrités comme Kim Kardashian.En mai, un juge a réduit leur peine, ce qui les rendait éligibles à une sortie de prison.- “Différents visages” -Mais la commission a douché ces espoirs et jugé que les deux frères posaient toujours un risque pour la société.Derrière les barreaux, les frères Menendez ont mis en place des ateliers de gestion de la colère ou d’aide aux détenus en soins palliatifs.Mais vendredi, les membres de la commission se sont inquiétés de la duplicité de Lyle Menendez, qui a régulièrement violé les règles en utilisant des téléphones portables de contrebande. Un grief déjà fait la veille à son frère Erik, 54 ans.Le panel a également mentionné une évaluation psychologique d’un médecin de la prison, décrivant Lyle comme trompeur, manipulateur et refusant d’accepter les conséquences de ses actes. “Vous semblez adopter différents visages à différents moments”, a reproché Patrick Reardon, l’un des membres de la commission.L’ambivalence des deux frères était déjà au centre de leurs deux procès dans les années 90. A l’époque, le parquet avait accusé les deux jeunes hommes, âgés de 18 et 21 ans au moment des meurtres, d’avoir assassiné leurs parents pour hériter de leur fortune de 14 millions de dollars.Armés de fusils à pompe, ils ont tiré cinq fois sur leur père José Menendez, notamment dans les rotules. Leur mère, Kitty Menendez, est morte en rampant pour tenter de leur échapper.Les frères ont d’abord attribué les meurtres à un coup de la mafia, avant de changer leur version plusieurs fois. Les enquêteurs ont finalement mis la main sur l’enregistrement d’une séance de psychothérapie, au cours de laquelle Erik a avoué le meurtre.Devant le tribunal, leurs avocats avaient invoqué une tentative désespérée d’autodéfense, en affirmant que les deux frères avaient été agressés sexuellement pendant des années par leur père et que leur mère était au courant.- Autres recours –Comme pour Erik la veille, le procureur de Los Angeles, Nathan Hochman, a salué vendredi soir le maintien en prison de Lyle, une décision qui “honore la mémoire de Jose et Kitty Menendez”.”Depuis des décennies, Lyle Menendez a refusé d’assumer pleinement la responsabilité de ses actes. Avec son frère, il s’est accroché à une histoire fabriquée de légitime défense”, a-t-il estimé dans un communiqué.Un avis favorable de la commission était considéré comme la meilleure chance des frères Menendez de sortir de prison. Mais ce rejet n’épuise pas pour autant tous leurs recours.Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, peut encore commuer leur peine.Leur défense tente également d’obtenir un nouveau procès, en invoquant la découverte de nouveaux éléments ces dernières années : une ancienne lettre où Erik évoque les agressions sexuelles de son père à un cousin avant le meurtre, et le témoignage d’un ex-chanteur de boys band latino, qui explique avoir été drogué et violé par Jose Menendez dans les années 1980.
Lyle Menendez denied parole decades after murder of parents
A US judicial commission denied parole Friday to Joseph Lyle Menendez, a day after his brother Erik was also ordered to stay in prison for the murder of their parents in a Beverly Hills mansion more than three decades ago.A California panel ordered the 57-year-old, who goes by his middle name, to remain behind bars along with his younger sibling, defying a campaign for their freedom waged by family, friends and celebrities including Kim Kardashian. “Joseph (Lyle) Menendez was denied parole for three years at his initial suitability hearing today,” read a brief statement from the California Department of Corrections and Rehabilitation (CDCR).The outcome of Lyle Menendez’s hearing is the latest blow to a movement that has swelled in recent years, amplified by Netflix’s smash hit dramatic series “Monsters: The Lyle and Erik Menendez Story.”The show and myriad documentaries have fixated on the gory details of the 1989 shotgun murders, and the televised jury trial that captivated audiences with accounts of their abusive upbringings and posh lifestyles.Parole commissioner Julie Garland said the panel found that there were still signs that Lyle Menendez posed a risk to the public.She urged him not to give up hope, telling him that the denial of parole for three years was “not the end.””My mom and dad did not have to die that day,” an emotional Lyle Menendez told the parole board, adding that the decision to use violence was solely his and not his “baby brother’s” responsibility.”I am so sorry to everyone, and I will be forever sorry,” Lyle Menendez added in his final remarks to the panel.- An 11-hour hearing -Friday’s hearing came just over 36 years after the deaths of parents Jose and Kitty Menendez, in what prosecutors said was a cynical attempt by their sons to obtain a large family fortune.After setting up alibis and trying to cover their tracks, Erik and Lyle shot Jose Menendez five times with shotguns, including in the kneecaps.Kitty Menendez died from a shotgun blast as she tried desperately to crawl away from her killers.The brothers initially blamed the deaths on a mafia hit, but changed their story several times in the ensuing months.Erik, then 18, confessed to the murders in a session with his therapist. The pair ultimately claimed they had acted in self-defense after years of emotional and sexual abuse at the hands of a tyrannical father.During their decades in prison, changing social mores and greater awareness of sexual abuse helped elevate the men to something approaching cultural icons.Friday’s hearing, which was closed to the public, lasted 11 hours. It was held separately to Thursday’s hearing for his brother Erik, 54.Both brothers appeared by video link from the San Diego prison where they are being held.The panel members, whose identities were not released by CDCR, quizzed them on their behavior and attitude toward the murders.The parole hearings became possible when a judge earlier this year resentenced the men, reducing their original full-life punishment to one of 50 years with the possibility of release.
Les gens du voyage convergent en Moselle pour recevoir une “bénédiction”
“C’est une ville qui s’installe” : plus de 20.000 personnes de la communauté des gens du voyage sont attendues au rassemblement évangélique de l’association Vie et Lumière à Grostenquin (Moselle) qui commence dimanche et occasionne divers désagréments pour les riverains.Sur une base aérienne militaire désaffectée, des milliers de caravanes ont commencé à s’installer dès vendredi autour d’un immense chapiteau, “l’un des plus grands d’Europe” selon les organisateurs, où seront organisées les cérémonies religieuses pendant une semaine.”Le message de l’évangile sera prêché comme au temps primitif des premiers apôtres”, explique à l’AFP Joseph Charpentier, pasteur au look de businessman dans son ensemble chemise-cravate-pantalon de costume et ses lunettes aviateur.”Le deuxième but du rassemblement, c’est de permettre à des familles de se retrouver après avoir été séparées pour des missions d’été”, au cours desquelles des membres de la communauté partent prêcher aux quatre coins de France, ajoute-t-il.De chaque côté de la longue piste de décollage animée par le ballet incessant des véhicules et de jeunes à scooter, des familles entières garent leurs caravanes sur des terrains herbeux, se branchent aux groupes électrogènes ou aux canalisations et sortent les barbecues pour entamer cette semaine de retrouvailles et de recueillement qui se terminera le dimanche 31 août par les baptêmes.- “Communion des frères” -“On vient ici pour être béni, chercher la communion des frères. Nous sommes ici parce qu’un Dieu existe. C’est comme le vent, on ne le voit pas mais on le sent”, explique Samuel Thom, 69 ans, arrivé de région parisienne avec sa femme, ses oncles et ses cousins.”Il y a beaucoup de bénédictions. Moi j’ai ma mère qui était atteinte du cancer, on a prié pour elle et elle a guéri”, témoigne ce retraité nomade qui a vécu toute sa vie de divers travaux, principalement de peinture ou d’élagage, au cours des différentes étapes de ses pérégrinations.Des stands de prière sont disséminés ça et là sur le site, proposant aussi bien des onctions d’huile que des “conseils et soutien spirituels”.”Jésus a dit: +Vous imposerez les mains aux malades, et les malades seront guéris+”, récite le pasteur Grégory Ojeda, venu d’Argenteuil. “On essaie de vivre la Bible comme elle se vivait au départ, sans trop de mélanges.”Selon les organisateurs, l’association Vie et Lumière réunit 150.000 personnes au sein d’une communauté des gens du voyage qui compte encore 400.000 membres en France. “Aujourd’hui, beaucoup sont semi-sédentaires. En période d’hiver, pour beaucoup de raisons dont la scolarité des enfants, les activités commerciales et régulariser des aspects administratifs, nous devons rester sur des aires d’accueil ou des terrains en location”, note Joseph Charpentier.”Mais les gitans ont une liberté dans le coeur et dans la façon de vivre qu’il faut garder”, complète Grégory Ojeda. “Un pays qui laisse les gitans voyager est un pays libre.”Gardien de la liberté des gens du voyage, l’Etat encadre cependant ce rassemblement d’un dispositif de gendarmerie conséquent, pour éviter les débordements et limiter les nuisances causées aux riverains.- 427 gendarmes -En plus de quatre associations de la protection civile, 427 gendarmes et 14 sapeurs-pompiers ont été mobilisés vendredi pour canaliser le flux de caravanes qui a pu, par le passé, paralyser le réseau routier local et empêcher des habitants de se rendre au travail.”Les bouchons et la circulation ont été bien gérés”, a estimé le préfet, Pascal Bolot. A 16h00 vendredi, “les 25 kilomètres de ralentissements” comptabilisés le matin avaient été “totalement” résorbés.Reste l’épineuse question des déjections, une grande partie de la communauté préférant aller faire ses besoins dans la nature environnante que dans les 110 toilettes de chantier dispersées sur la base.”Au bout de 10 jours, vous faites une photo aérienne, c’est blanc (de papier toilette, ndlr), vous croyez qu’il a neigé, vous ne pouvez plus marcher”, s’agace Jean Delles, maire de Bistroff, qui a gardé un mauvais souvenir des précédents rassemblements.”S’il y a défaillance, il y a une société qui interviendra pour nettoyer au fur et à mesure et pas attendre le dernier jour de découvrir un spectacle parfois désolant et devoir nettoyer tout ça dans l’urgence”, promet le préfet.
Italie: Naples dans une nouvelle dimension avec De Bruyne
L’effet de surprise est dissipé et Naples est attendu au tournant lors de la saison 2025-26 de Serie A qui débute samedi, mais l’inattendu champion d’Italie 2025 est ambitieux comme en témoigne son mercato avec l’arrivée de Kevin De Bruyne.Après dix saisons à Manchester City où il a tout gagné, dont six titres de champion d’Angleterre et une Ligue des champions, De Bruyne est entré dans un nouveau monde.Il a découvert la passion débordante des Napolitains pour leur équipe de football, l’intransigeance, bien documentée, de son entraîneur Antonio Conte et un centre d’entraînement à dix mille lieues de celui, ultra-moderne et luxueux, de Manchester City.Mais si les vestiaires du centre d’entraînement de Castel Volturno sont rudimentaires et ses terrains, critiqués par Conte lui-même, ont failli conduire au départ du technicien italien en fin de saison, De Bruyne, 34 ans, n’a aucun doute.”Naples est le cadre idéal pour moi, c’est un club qui a de l’ambition et qui me permet de jouer au plus haut-niveau”, a-t-il martelé fin juillet.”Notre objectif, c’est d’être compétitif aussi bien en Ligue des champions qu’en championnat. Après avoir passé tant de temps en Premiere League, tout est nouveau pour moi, mais je suis confiant”, a assuré l’international belge (111 sélections, 31 buts).- Amis depuis leurs 13 ans -A Naples, De Bruyne retrouve son compatriote Romelu Lukaku, grand artisan du sacre 2025 avec l’Ecossais Scott McTominay, et joueur-fétiche d’Antonio Conte: “On se connaît depuis qu’on a 13 ans, cela va faciliter mon intégration et ma compréhension du football italien”.Mais il devra encore patienter avant de jouer avec l’attaquant de 32 ans, blessé à la cuisse gauche en match de préparation et qui pourrait être absent plusieurs mois selon la presse italienne.Pour Conte, vexé par ceux qui ont fait la fine bouche après l’annonce de l’arrivée du Belge, De Bruyne “a encore tellement à donner au football”: “C’est un joueur de grande qualité qui voit des choses que tant d’autres joueurs ne voient pas”.L’ancien sélectionneur de l’Italie, passé notamment par Chelsea et Tottenham, veut mettre fin à la “malédiction du champion”: depuis la fin de l’hégémonie de la Juventus, neuf titres consécutifs entre 2012 et 2020, aucun champion n’a réussi à conserver son titre.Mais contrairement à la saison 2024-25 où le Napoli, après un exercice 2023-24 calamiteux conclu en 10e position après avoir licencié deux entraîneurs, ne faisait pas partie des favoris avant de devancer l’Inter Milan d’un point, il est cette fois l’équipe à battre.”Nous sommes un favori parmi les favoris”, a balayé Conte.- Flirt avec la Juve -L’entraîneur qui a flirté en juin avec la Juventus Turin, son ancien club comme joueur puis entraîneur, a pu muscler son équipe qui jouera cette fois sur quatre tableaux, le championnat, la Ligue des champions, la Coupe d’Italie et la Supercoupe d’Italie.Outre De Bruyne, il a notamment récupéré deux Néerlandais, le défenseur de Bologne Sam Beukema (31 M EUR) et l’ailier du PSV Eindhoven Noa Lang (25 M EUR), le gardien serbe du Torino Vanja Milinkovic-Savic (21 M EUR) ou encore le jeune international italien de l’Udinese Lorenzo Lucca (35 M EUR).Ils ont découvert lors d’un stage dans le Haut-Adige la méthode Conte avec sa préparation physique éprouvante et sa rigueur tactique.Principal candidat pour contrarier Naples et Conte, l’Inter Milan, mais le vice-champion d’Italie et d’Europe est entré dans un nouveau cycle après le départ de Simone Inzaghi pour l’Arabie saoudite.Son successeur, Cristian Chivu, un ancien de la maison, n’a dirigé que 13 matches de Serie A, mais peut compter sur un groupe expérimenté, qui a toutefois fait son âge en fin de saison.Après une saison 2024-25 très décevante, la Juventus Turin (4e) et l’AC Milan (8e) doivent réagir, tandis que l’AS Rome, désormais entraîné par l’ex gourou de l’Atalanta Bergame Gian Piero Gasperini, et l’ambitieux Côme de Cesc Fabregas rêvent eux-aussi du podium.






