$346 mn US-Nigeria arms deal sets rights groups on edgeFri, 22 Aug 2025 02:24:18 GMT

Rights groups are questioning a multimillion-dollar arms sale by the United States to Nigeria as security forces in the west African nation continue to be accused of killing civilians with impunity.Last week the State Department approved the possible sale of $346 million in weapons, including bombs, rockets and munitions, to Nigeria, which is battling jihadist militants …

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Gauche: après l’appel à l’union de Tondelier, la réponse de Mélenchon

La rentrée politique se poursuit vendredi avec une prise de parole attendue de Jean-Luc Mélenchon aux universités d’été de La France insoumise, au lendemain d’un meeting unitaire des Ecologistes qui a rassemblé des représentants de toutes les nuances de gauche. A Chateauneuf-sur-Isère, près de Valence dans la Drôme, la motion de censure contre François Bayrou souhaitée par LFI et le mouvement de blocage du 10 septembre sont dans tous les esprits. Mais les municipales de 2026 et la présidentielle de 2027 – pour laquelle le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon semble être déjà prêt – ne sont pas loin également. “Si Monsieur Bayrou est censuré, je pense que la question qui sera immédiatement posée, c’est la question du départ du président de la République lui-même”, a estimé jeudi le coordinateur du mouvement Manuel Bompard sur BFMTV.Pour sa première prise de parole des “Amfis”, surnom des universités d’été du Parti, jeudi, le triple candidat à la présidentielle a donné une conférence théorique sur l’organisation politique des villes. Mais sans entrer dans le concret de la stratégie insoumise pour les municipales, qui se tiendront dans plus de six mois. Quelques heures après, à Strasbourg aux universités d’été des Ecologistes, la patronne du parti Marine Tondelier a, une nouvelle fois, lancé un appel à l’union à gauche pour 2027, son cheval de bataille.”Arrêtons avec les attaques personnelles et les guerres picrocholines, et la commedia dell’arte, et les +gnagnagna, si tu me mets un dissident là, je t’en mets un là (…) On n’a pas le temps”, a-t-elle martelé.A gauche, le Parti socialiste d’Olivier Faure, les Ecologistes et les anciens Insoumis (Clémentine Autain, François Ruffin) sont des fervents défenseurs de l’union face à la menace de l’extrême droite, comme l’a su bon an mal an le faire le Nouveau Front populaire en 2024. Mais les deux présidentiables que sont Raphaël Glucksmann et Jean-Luc Mélenchon s’y refusent, mettant en avance les diverges programmatiques à gauche. Le second s’est déjà dit favorable à l’union, mais derrière LFI et autour de son programme de rupture. Présente à Strasbourg jeudi, la députée insoumise Alfa Dufour a fait état de “divergences stratégiques” entre LFI et les autres partis du NFP. “Tu as justement dit +combien de jours, combien d’heures, combien de minutes, combien de temps avant la menace?+ Moi, j’ai l’impression qu’on a déjà changé d’heure, qu’on est déjà dans une ère autoritaire”, a-t-elle lancé à Marine Tondelier. – A chaque parti sa rentrée -Les universités d’été de LFI seront également rythmées par un débat samedi sur la commission d’enquête “Betharram” sur les violences en milieu scolaire, auquel le député insoumis Paul Vannier a invité la députée macroniste Violette Spillebout.Les deux étaient co-rapporteurs de cette commission d’enquête.Le grand raout de rentrée du mouvement de gauche radicale se clôturera dimanche matin par un meeting de la cheffe des députés LFI Mathilde Panot et du coordinateur du mouvement Manuel Bompard.La France insoumise a refusé l’accès à ses universités d’été au journaliste du Monde, Olivier Pérou, co-auteur du livre enquête sur LFI “La Meute”. De son côté, le PCF organise ce week-end ses universités d’été avec un discours de Fabien Roussel attendu samedi.La semaine prochaine ce seront les socialistes qui feront leur rentrée à Blois et les “unitaires” (ex-LFI), autour des députés François Ruffin et Clémentine Autain, à Châteaudun (Eure-et-Loir).

Gauche: après l’appel à l’union de Tondelier, la réponse de Mélenchon

La rentrée politique se poursuit vendredi avec une prise de parole attendue de Jean-Luc Mélenchon aux universités d’été de La France insoumise, au lendemain d’un meeting unitaire des Ecologistes qui a rassemblé des représentants de toutes les nuances de gauche. A Chateauneuf-sur-Isère, près de Valence dans la Drôme, la motion de censure contre François Bayrou souhaitée par LFI et le mouvement de blocage du 10 septembre sont dans tous les esprits. Mais les municipales de 2026 et la présidentielle de 2027 – pour laquelle le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon semble être déjà prêt – ne sont pas loin également. “Si Monsieur Bayrou est censuré, je pense que la question qui sera immédiatement posée, c’est la question du départ du président de la République lui-même”, a estimé jeudi le coordinateur du mouvement Manuel Bompard sur BFMTV.Pour sa première prise de parole des “Amfis”, surnom des universités d’été du Parti, jeudi, le triple candidat à la présidentielle a donné une conférence théorique sur l’organisation politique des villes. Mais sans entrer dans le concret de la stratégie insoumise pour les municipales, qui se tiendront dans plus de six mois. Quelques heures après, à Strasbourg aux universités d’été des Ecologistes, la patronne du parti Marine Tondelier a, une nouvelle fois, lancé un appel à l’union à gauche pour 2027, son cheval de bataille.”Arrêtons avec les attaques personnelles et les guerres picrocholines, et la commedia dell’arte, et les +gnagnagna, si tu me mets un dissident là, je t’en mets un là (…) On n’a pas le temps”, a-t-elle martelé.A gauche, le Parti socialiste d’Olivier Faure, les Ecologistes et les anciens Insoumis (Clémentine Autain, François Ruffin) sont des fervents défenseurs de l’union face à la menace de l’extrême droite, comme l’a su bon an mal an le faire le Nouveau Front populaire en 2024. Mais les deux présidentiables que sont Raphaël Glucksmann et Jean-Luc Mélenchon s’y refusent, mettant en avance les diverges programmatiques à gauche. Le second s’est déjà dit favorable à l’union, mais derrière LFI et autour de son programme de rupture. Présente à Strasbourg jeudi, la députée insoumise Alfa Dufour a fait état de “divergences stratégiques” entre LFI et les autres partis du NFP. “Tu as justement dit +combien de jours, combien d’heures, combien de minutes, combien de temps avant la menace?+ Moi, j’ai l’impression qu’on a déjà changé d’heure, qu’on est déjà dans une ère autoritaire”, a-t-elle lancé à Marine Tondelier. – A chaque parti sa rentrée -Les universités d’été de LFI seront également rythmées par un débat samedi sur la commission d’enquête “Betharram” sur les violences en milieu scolaire, auquel le député insoumis Paul Vannier a invité la députée macroniste Violette Spillebout.Les deux étaient co-rapporteurs de cette commission d’enquête.Le grand raout de rentrée du mouvement de gauche radicale se clôturera dimanche matin par un meeting de la cheffe des députés LFI Mathilde Panot et du coordinateur du mouvement Manuel Bompard.La France insoumise a refusé l’accès à ses universités d’été au journaliste du Monde, Olivier Pérou, co-auteur du livre enquête sur LFI “La Meute”. De son côté, le PCF organise ce week-end ses universités d’été avec un discours de Fabien Roussel attendu samedi.La semaine prochaine ce seront les socialistes qui feront leur rentrée à Blois et les “unitaires” (ex-LFI), autour des députés François Ruffin et Clémentine Autain, à Châteaudun (Eure-et-Loir).

Entre assurance aux marchés et pressions de Trump, le président de la Fed sur un fil à Jackson Hole

Donner des perspectives aux marchés tout en se montrant insensible à la pression grandissante venant de Donald Trump, telle est la ligne de crête sur laquelle doit marcher vendredi le président de la Fed, Jerome Powell, lors d’un discours très attendu.Si le président de la Réserve fédérale (Fed), qui doit s’exprimer aux rencontres de Jackson Hole, dans le Wyoming, ne s’engage jamais fermement sur une tendance, une de ses missions consiste à gérer les attentes des marchés, en indiquant dans quelle direction les prochaines décisions de la banque centrale pourraient aller.Et en l’espèce, la possibilité d’une baisse des taux lors de la réunion prévue mi-septembre, après avoir maintenu les taux inchangés depuis celle de décembre, est largement attendue par les analystes, si l’on en croit l’outil de veille de CME, FedWatch.Pourtant, jusqu’ici, ni la conférence de presse de M. Powell à l’issue de la réunion de fin juillet ni les “minutes” de la Fed publiées mercredi n’ont offert la moindre indication en ce sens.”Je trouve très surprenant que les marchés aient une telle confiance” dans une baisse des taux à venir, a remarqué Tim Urbanowicz, analyste pour Innovator Capital Management, interrogé par l’AFP.”Je pense que cela tient avant tout au fait que (Donald) Trump a répété vouloir que la Fed baisse ses taux. Il met une telle pression sur Powell!”Avant même son retour à la Maison Blanche, le président américain a en effet considéré que les taux de la Fed, actuellement dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%, étaient trop élevés.Une conviction qui s’est renforcée ces derniers mois, durant lesquels Donald Trump a demandé que la Fed baisse ses taux de trois points de pourcentage, estimant que M. Powell, qu’il surnomme “Trop lent”, ne faisait pas ce qu’il fallait.A ses yeux, une baisse des taux permettrait de venir en soutien de sa politique économique, droits de douane et baisse d’impôts pour les plus riches notamment, en augmentant l’accès à l’emprunt.”Quelqu’un pourrait dire à +Trop lent+ Powell qu’il abîme le secteur de la construction? Les gens n’ont plus accès aux prêts immobiliers, tout pointe vers la nécessité d’une importante baisse des taux. +Trop lent+ catastrophe”, a de nouveau écrit mardi soir Donald Trump, sur son compte Truth Social.- Dernier discours pour Powell -Sans succès cependant jusqu’ici: malgré les attaques de plus en plus virulentes, Jerome Powell s’est montré imperturbable, répétant à chaque fois que les décisions de l’institution devaient être avant tout basées sur les données économiques.Mais des divisions sont apparues fin juillet entre les membres du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), alors que deux voix se sont prononcées en faveur d’une baisse des taux.Pour Michelle Bowman et Christopher Waller, tous deux nommés, comme Jerome Powell, par Donald Trump durant son premier mandat, l’impact des droits de douane sur les prix est transitoire alors que l’économie ralentit et le risque de dégradation du marché de l’emploi s’est renforcé.Or la Fed a une double mission, d’égale importance: maintenir l’inflation sur le long terme au plus proche de son objectif de 2% et une économie en plein emploi.Dans ce contexte, le discours d’ouverture des réunions de Jackson Hole par M. Powell, le dernier avant qu’il ne quitte la présidence de la Fed en mai prochain, sera particulièrement suivi.Les analystes vont en particulier chercher toute indication montrant que la balance des risques, entre inflation et chômage, évolue pour l’institution, ce qui serait un signe d’une redirection possible de la politique monétaire.Les derniers mois à la tête de l’institution promettent de s’avérer compliqués pour M. Powell, alors que Donald Trump renforce son contrôle sur l’institution.Il a déjà nommé au Comité de politique monétaire de la Fed l’un de ses plus proches conseillers économiques, Stephen Miran, qui doit encore être confirmé par le Sénat, après la démission d’une autre responsable de la Fed, Adriana Kugler.Et il s’en est pris mercredi à une autre responsable, Lisa Cook, la première femme afro-américaine à être nommée au prestigieux poste de gouverneure (en 2022 par Joe Biden), appelant à sa démission après qu’un proche du président a accusé cette dernière de falsification de documents en vue d’un prêt immobilier.En ligne de mire, le choix du successeur de Jerome Powell, pour lequel d’autres proches de Donald Trump, notamment son principal conseiller économique Kevin Hassett, sont régulièrement cités.

Entre assurance aux marchés et pressions de Trump, le président de la Fed sur un fil à Jackson Hole

Donner des perspectives aux marchés tout en se montrant insensible à la pression grandissante venant de Donald Trump, telle est la ligne de crête sur laquelle doit marcher vendredi le président de la Fed, Jerome Powell, lors d’un discours très attendu.Si le président de la Réserve fédérale (Fed), qui doit s’exprimer aux rencontres de Jackson Hole, dans le Wyoming, ne s’engage jamais fermement sur une tendance, une de ses missions consiste à gérer les attentes des marchés, en indiquant dans quelle direction les prochaines décisions de la banque centrale pourraient aller.Et en l’espèce, la possibilité d’une baisse des taux lors de la réunion prévue mi-septembre, après avoir maintenu les taux inchangés depuis celle de décembre, est largement attendue par les analystes, si l’on en croit l’outil de veille de CME, FedWatch.Pourtant, jusqu’ici, ni la conférence de presse de M. Powell à l’issue de la réunion de fin juillet ni les “minutes” de la Fed publiées mercredi n’ont offert la moindre indication en ce sens.”Je trouve très surprenant que les marchés aient une telle confiance” dans une baisse des taux à venir, a remarqué Tim Urbanowicz, analyste pour Innovator Capital Management, interrogé par l’AFP.”Je pense que cela tient avant tout au fait que (Donald) Trump a répété vouloir que la Fed baisse ses taux. Il met une telle pression sur Powell!”Avant même son retour à la Maison Blanche, le président américain a en effet considéré que les taux de la Fed, actuellement dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%, étaient trop élevés.Une conviction qui s’est renforcée ces derniers mois, durant lesquels Donald Trump a demandé que la Fed baisse ses taux de trois points de pourcentage, estimant que M. Powell, qu’il surnomme “Trop lent”, ne faisait pas ce qu’il fallait.A ses yeux, une baisse des taux permettrait de venir en soutien de sa politique économique, droits de douane et baisse d’impôts pour les plus riches notamment, en augmentant l’accès à l’emprunt.”Quelqu’un pourrait dire à +Trop lent+ Powell qu’il abîme le secteur de la construction? Les gens n’ont plus accès aux prêts immobiliers, tout pointe vers la nécessité d’une importante baisse des taux. +Trop lent+ catastrophe”, a de nouveau écrit mardi soir Donald Trump, sur son compte Truth Social.- Dernier discours pour Powell -Sans succès cependant jusqu’ici: malgré les attaques de plus en plus virulentes, Jerome Powell s’est montré imperturbable, répétant à chaque fois que les décisions de l’institution devaient être avant tout basées sur les données économiques.Mais des divisions sont apparues fin juillet entre les membres du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), alors que deux voix se sont prononcées en faveur d’une baisse des taux.Pour Michelle Bowman et Christopher Waller, tous deux nommés, comme Jerome Powell, par Donald Trump durant son premier mandat, l’impact des droits de douane sur les prix est transitoire alors que l’économie ralentit et le risque de dégradation du marché de l’emploi s’est renforcé.Or la Fed a une double mission, d’égale importance: maintenir l’inflation sur le long terme au plus proche de son objectif de 2% et une économie en plein emploi.Dans ce contexte, le discours d’ouverture des réunions de Jackson Hole par M. Powell, le dernier avant qu’il ne quitte la présidence de la Fed en mai prochain, sera particulièrement suivi.Les analystes vont en particulier chercher toute indication montrant que la balance des risques, entre inflation et chômage, évolue pour l’institution, ce qui serait un signe d’une redirection possible de la politique monétaire.Les derniers mois à la tête de l’institution promettent de s’avérer compliqués pour M. Powell, alors que Donald Trump renforce son contrôle sur l’institution.Il a déjà nommé au Comité de politique monétaire de la Fed l’un de ses plus proches conseillers économiques, Stephen Miran, qui doit encore être confirmé par le Sénat, après la démission d’une autre responsable de la Fed, Adriana Kugler.Et il s’en est pris mercredi à une autre responsable, Lisa Cook, la première femme afro-américaine à être nommée au prestigieux poste de gouverneure (en 2022 par Joe Biden), appelant à sa démission après qu’un proche du président a accusé cette dernière de falsification de documents en vue d’un prêt immobilier.En ligne de mire, le choix du successeur de Jerome Powell, pour lequel d’autres proches de Donald Trump, notamment son principal conseiller économique Kevin Hassett, sont régulièrement cités.

Entre assurance aux marchés et pressions de Trump, le président de la Fed sur un fil à Jackson Hole

Donner des perspectives aux marchés tout en se montrant insensible à la pression grandissante venant de Donald Trump, telle est la ligne de crête sur laquelle doit marcher vendredi le président de la Fed, Jerome Powell, lors d’un discours très attendu.Si le président de la Réserve fédérale (Fed), qui doit s’exprimer aux rencontres de Jackson Hole, dans le Wyoming, ne s’engage jamais fermement sur une tendance, une de ses missions consiste à gérer les attentes des marchés, en indiquant dans quelle direction les prochaines décisions de la banque centrale pourraient aller.Et en l’espèce, la possibilité d’une baisse des taux lors de la réunion prévue mi-septembre, après avoir maintenu les taux inchangés depuis celle de décembre, est largement attendue par les analystes, si l’on en croit l’outil de veille de CME, FedWatch.Pourtant, jusqu’ici, ni la conférence de presse de M. Powell à l’issue de la réunion de fin juillet ni les “minutes” de la Fed publiées mercredi n’ont offert la moindre indication en ce sens.”Je trouve très surprenant que les marchés aient une telle confiance” dans une baisse des taux à venir, a remarqué Tim Urbanowicz, analyste pour Innovator Capital Management, interrogé par l’AFP.”Je pense que cela tient avant tout au fait que (Donald) Trump a répété vouloir que la Fed baisse ses taux. Il met une telle pression sur Powell!”Avant même son retour à la Maison Blanche, le président américain a en effet considéré que les taux de la Fed, actuellement dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%, étaient trop élevés.Une conviction qui s’est renforcée ces derniers mois, durant lesquels Donald Trump a demandé que la Fed baisse ses taux de trois points de pourcentage, estimant que M. Powell, qu’il surnomme “Trop lent”, ne faisait pas ce qu’il fallait.A ses yeux, une baisse des taux permettrait de venir en soutien de sa politique économique, droits de douane et baisse d’impôts pour les plus riches notamment, en augmentant l’accès à l’emprunt.”Quelqu’un pourrait dire à +Trop lent+ Powell qu’il abîme le secteur de la construction? Les gens n’ont plus accès aux prêts immobiliers, tout pointe vers la nécessité d’une importante baisse des taux. +Trop lent+ catastrophe”, a de nouveau écrit mardi soir Donald Trump, sur son compte Truth Social.- Dernier discours pour Powell -Sans succès cependant jusqu’ici: malgré les attaques de plus en plus virulentes, Jerome Powell s’est montré imperturbable, répétant à chaque fois que les décisions de l’institution devaient être avant tout basées sur les données économiques.Mais des divisions sont apparues fin juillet entre les membres du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), alors que deux voix se sont prononcées en faveur d’une baisse des taux.Pour Michelle Bowman et Christopher Waller, tous deux nommés, comme Jerome Powell, par Donald Trump durant son premier mandat, l’impact des droits de douane sur les prix est transitoire alors que l’économie ralentit et le risque de dégradation du marché de l’emploi s’est renforcé.Or la Fed a une double mission, d’égale importance: maintenir l’inflation sur le long terme au plus proche de son objectif de 2% et une économie en plein emploi.Dans ce contexte, le discours d’ouverture des réunions de Jackson Hole par M. Powell, le dernier avant qu’il ne quitte la présidence de la Fed en mai prochain, sera particulièrement suivi.Les analystes vont en particulier chercher toute indication montrant que la balance des risques, entre inflation et chômage, évolue pour l’institution, ce qui serait un signe d’une redirection possible de la politique monétaire.Les derniers mois à la tête de l’institution promettent de s’avérer compliqués pour M. Powell, alors que Donald Trump renforce son contrôle sur l’institution.Il a déjà nommé au Comité de politique monétaire de la Fed l’un de ses plus proches conseillers économiques, Stephen Miran, qui doit encore être confirmé par le Sénat, après la démission d’une autre responsable de la Fed, Adriana Kugler.Et il s’en est pris mercredi à une autre responsable, Lisa Cook, la première femme afro-américaine à être nommée au prestigieux poste de gouverneure (en 2022 par Joe Biden), appelant à sa démission après qu’un proche du président a accusé cette dernière de falsification de documents en vue d’un prêt immobilier.En ligne de mire, le choix du successeur de Jerome Powell, pour lequel d’autres proches de Donald Trump, notamment son principal conseiller économique Kevin Hassett, sont régulièrement cités.

Got the scoop: Bear takes over California ice cream shop

A curious bear on the hunt for something sweet found itself behind the counter of a California ice cream shop over the weekend.The big animal appeared to be making itself right at home when sheriff’s deputies turned up to investigate in the resort city of South Lake Tahoe early Sunday.Officers shooed the ursine server out of the shop, but not before snapping a few pictures of their encounter.”With some encouragement, the bear ultimately left, but only after showing interest in the strawberry ice cream,” said a post on the Facebook page of El Dorado County Sheriff’s Office.”Thankfully, Fuzzy the bear caused barely any property damage and there was barely any cleanup.”Bears are common in California and frequently go looking for food in human settlements, including entering homes or vehicles.Attacks on people are rare, but the animals can sometimes cause damage, especially when they cannot find a way out.

La Colombie endeuillée par deux attaques qui ont fait au moins 14 morts

Un camion piégé, des drones explosifs, des coups de feu: deux attaques menées par des groupes armés ont fait au moins 14 morts et des dizaines de blessés jeudi dans une intensification spectaculaire des violences en Colombie.Cette flambée intervient à an de la présidentielle, et a été marquée notamment par la mort le 11 août du favori de la droite, Miguel Uribe, des suites d’un attentat.Jeudi après-midi, un camion piégé a explosé près d’une base aérienne à Cali (sud-ouest), troisième ville du pays, faisant au moins six morts et 60 blessés, selon les autorités. Le maire Alejandro Eder a dénoncé une “attaque narcoterroriste” et demandé une “militarisation” de la ville.Des images sur les réseaux sociaux ont montré plusieurs personnes au sol, prises en charge par les secours après l’explosion, ainsi qu’un camion en flammes, plusieurs véhicules endommagés et de nombreuses vitres soufflées.Le ministre de la Défense Pedro Sanchez a désigné le groupe armé EMC, un groupe dissident des Farc, comme responsable de l’attentat, dénonçant un “attentat terroriste (…) injustifiable contre la population civile de Cali”.”Cette attaque lâche contre les civils est une réaction désespérée face à la perte de contrôle du narcotrafic” dans la région, a-t-il estimé. Hector Fabio Bolanos, 65 ans, un témoin, a indiqué à l’AFP avoir entendu “un énorme bruit d’explosion près de la base aérienne”, et vu de nombreuses personnes blessées au sol.”Il y a eu des morts parmi les personnes passant sur l’avenue”, selon un autre témoin, Alexis Atizabal, 40 ans, qui a vu les vitres de son atelier de fabrication d’enseignes voler en éclats au moment de l’explosion.Plusieurs bâtiments et une école à proximité ont été évacués.Le maire a annoncé l’interdiction de circulation des camions dans la ville et offert 10.000 dollars de récompense pour toute information.  “Le terrorisme ne nous vaincra pas”, a de son côté affirmé la gouverneure régionale, Dilian Francisca Toro.- Attaque contre un hélicoptère -Dans la matinée, dans le département d’Antioquia (nord-ouest) qui comprend la ville de Medellin, huit policiers ont été tués et huit autres blessées dans des affrontements armés et une attaque de drone explosif qui a provoqué la chute d’un hélicoptère. Un responsable de la police a expliqué à l’AFP que les assaillants avaient “harcelé” des policiers supervisant un groupe chargé d’éradiquer les plantations de coca.Des images partagées sur les réseaux sociaux ont montré l’hélicoptère survolant la région, suivies d’une détonation et de sa chute.Il n’a pas été précisé dans quelles circonstances exactes sont morts les huit policiers.L’attaque avait initialement était attribuée par les autorités au cartel du Clan del Golfo, mais le ministre de la Défense, Pedro Sanchez a ensuite indiqué sur X que “des informations récentes” de la police pointent la responsabilité d’un groupe de guérilleros, Calarca.Cette guérilla, qui porte le nom de guerre de son chef, est issu d’une scission de l’EMC.Au pouvoir depuis 2022 et lui-même ancien guérillero, le président de gauche Gustavo Petro a tenté de relancer pourparlers de paix avec la plupart des groupes armés qui opèrent en Colombie, six ans après l’accord historique conclu avec les Farc. Mais la plupart ont échoué ou sont au point mort.En 2023, l’EMC avait soutenu de tels pourparlers, mais son dirigeant, Ivan Mordisco, avait quitté la table des négociations un an plus tard.En juin, une série d’attaques avait tué cinq civils et deux policiers dans le sud-ouest du pays. Elle avait été revendiqué par l’EMC.

Less tax, more luxury: millionaires flock to Dubai

Rich people are flocking to Dubai in record numbers, drawn to the desert city by its zero income tax policy and easy luxury lifestyle that has become harder to maintain elsewhere.The United Arab Emirates and particularly Dubai have long welcomed wealthy people from nearby countries, and people helping millionaires to move there told AFP it is seeing more Westerners joining the fray.Advisory firm Henley & Partners estimates that the UAE will attract an unprecedented 9,800 millionaires this year — more than anywhere else in the world.The tightly-policed UAE has moulded itself into a magnet for the wealthy, offering economic and political stability with extremely low crime rates, an easygoing business environment and even easier access to luxury. The Gulf state’s golden visa scheme, meant to attract wealthy or skilled foreigners, allows individuals to obtain a 10-year residence permit. Mike Coady, who heads Skybound Wealth Management, an advisory firm for high-net-worth individuals, said some of his clients “feel like success has become a liability in their home countries”.”They’re being taxed more, scrutinised more, and offered less,” he said, but in Dubai, “wealth isn’t hidden, it’s normalised”.”In London, my clients whisper about their net worth. In Dubai, they can live freely.”A top destination for flashy influencers, Dubai has become synonymous with over-the-top displays of wealth.It is home to an enormous mall with an indoor ski area, the world’s tallest building, and the Palm — an artificial island dotted with five-star hotels.The rapid development into a world-leading playground for the rich has been met with criticism over gross inequalities as armies of low-paid migrant workers form the backbone of the economy.- ‘Very little red tape’ -Coady said his relocating clients were mostly professionals in their 30s and 40s, including tech founders, second-generation business owners, consultants and fund managers.One of them is the 42-year-old founder of a cloud software company who, fearing capital gains tax on its sale, had moved to the UAE from Britain — now a leading exporter of millionaires.Some are pushed out by a stricter taxation policy for people with “non-dom” status — those who live in Britain but whose permanent domicile is abroad and had benefitted from no tax on income earned outside the country.Put together with other looming changes to taxation and inheritance rules, and what Coady called “increasing anti-wealth rhetoric”, Britain is expected to lose a record 16,500 millionaires this year, according to Henley & Partners.The most high-profile departee this year, billionaire John Fredriksen, told Norwegian media he was moving to the UAE because “Britain has gone to hell”.Speaking on the “Building Wealth With No Borders” podcast about his move to Dubai, Max Maxwell, CEO of Paddco Real Estate, said: “We’re all chasing a lifestyle, whatever that means to everybody.”The self-described “serial entrepreneur” explained that after leaving the United States for the UAE, he found his family could enjoy “a better lifestyle than where we were” for the same amount of money.Philippe Amarante, of Henley & Partners in Dubai, said the wealthy seek to maintain their fortunes and lifestyle, and the ability to do business with “very little red tape”.And the UAE has positioned itself “with a very clear and simple message: we are open for business”, said Amarante.To Coady’s clients, “the UAE fits like a glove,” he said.- ‘Buy a whole building’ -The inflow of rich foreigners has not been without controversy, however.Emirati authorities have cracked down on money laundering after the UAE was put on a global “grey list” in 2022 over concerns about murky financial transactions and a flood of Russian money, as wealthy Russians flocked to the Gulf after the Ukraine invasion to escape crippling sanctions at home.The UAE has also extradited some wanted individuals, including drug barons, reversing the grey listing.The wealthy from all over the world are now taking their families, businesses and private offices with them to Dubai, “which is something new”, said Faisal Durrani, head of Middle East research at Knight Frank real estate consultancy firm.Dubai is already one of the world’s top 20 cities with the most millionaires, home to 81,200 of them as well as 20 billionaires, according to Henley & Partners.Overtaking New York and London combined, 435 homes worth $10 million or more were sold in Dubai last year — making it the busiest market for high-end properties, relatively affordable in the UAE compared to the West, Durrani said.He said buyers from places such as Monaco and Switzerland would come to the company seeking a Dubai apartment for $100 million, for example.”But in Dubai, for that price, you could buy a whole building.”