Stocks mixed despite hopes for US-China tariff talks

Stock markets traded mixed on Friday despite comments by US President Donald Trump suggesting he could lower tariffs on China that raised hopes weekend talks between the superpowers could lead to a de-escalation in their trade war.Wall Street’s main indices opened higher after Trump signalled that China tariffs could be lowered from 145 percent to 80 percent.But they failed to hold onto the gains in morning trading and slipped into the red following comments by US Federal Reserve policymakers that the US economy faced higher inflation and slower growth.Trump’s comments came a day after the United States and Britain announced the first agreement since the US President launched his tariffs blitz last month.”Coming hot on the heels of yesterday’s UK-US trade deal, there is an air of optimism that we could see additional deals come to fruition around the globe,” said Joshua Mahony, chief market analyst at Scope Markets.Frankfurt’s DAX rose 0.6 percent, hitting a fresh high of 23,543.27 points, recouping losses spurred by Trump’s April tariffs announcements.Paris and London also climbed following a mixed showing in Asia.Tokyo and Hong Kong closed higher but Shanghai dropped as data showed China’s exports to the United States plunged by around one fifth on-year in April as Trump’s tariffs kicked in.Oil prices jumped on hopes that easing tensions between the United States and China would alleviate fears of a slump in crude demand.The dollar dropped after rallying on news of the US-UK trade deal.The return of some confidence to the market boosted bitcoin, which topped $100,000 for the first time since February.In the first trade deal since Trump’s blitz of sweeping global tariffs, Washington agreed to lower levies on British cars and lift them entirely on steel and aluminium. In return, Britain will open up markets to US beef and other farm products, but a 10-percent baseline levy on British goods remained intact.”With the UK having basked in trade deal glory yesterday, the spotlight has now turned to China,” said Russ Mould, investment director at AJ Bell.US Treasury Secretary Scott Bessent and US Trade Representative Jamieson Greer are set to meet Chinese Vice Premier He Lifeng in Switzerland this weekend — their first formal talks since Trump raised tariffs on Chinese imports to 145 percent.Trump told reporters he thought the talks would be “substantive” and when asked if reducing the levies was a possibility, he said “it could be”.Trump later posted that “80% Tariff on China seems right!” That could see Beijing dial back some of its own 125 percent tariffs on US goods.”China is America’s biggest rival in the trade war and any sign of a compromise in their tit-for-tat tariff spat could be taken positively by markets,” Mould added. US Commerce Secretary Howard Lutnick warned that agreements with Japan and South Korea could take longer to reach, and that there was “a lot of work” in striking a deal with India.In company news, shares in Commerzbank rose 3.8 percent after the German lender reported its best quarterly profit since 2011. British airways owner IAG climbed 2.4 percent in London after it unveiled a big order for Boeing and Airbus jets and expressed optimism for air travel demand. – Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 41,267.90 pointsNew York – S&P 500: DOWN less than 0.1 percent at 5,659.04New York – Nasdaq Composite: DOWN less than 0.1 percent at 17,913.85Frankfurt – DAX: UP 0.6 percent at 23,499.32 (close)London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,554.80 (close) Paris – CAC 40: UP 0.6 percent at 7,743.75 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.6 percent at 37,503.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.4 percent at 22,867.74 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.3 percent at 3,342.00 (close)Euro/dollar: UP at $1.1263 from $1.1230 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.3297 from $1.3249Dollar/yen: DOWN at 145.13 yen from 145.82 yenEuro/pound: DOWN at 84.70 from 84.73 penceBrent North Sea Crude: UP 1.1 percent at $63.51 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $60.59 per barrel burs-rl/jj

Zelensky annonce un sommet de dirigeants européens en Ukraine pour samedi

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi un sommet de dirigeants européens soutenant Kiev face à l’invasion russe prévu, selon lui, samedi en Ukraine. “En Ukraine, nous nous préparons également à rencontrer les dirigeants de la coalition des volontaires”, a-t-il indiqué lors d’un discours par visioconférence à l’occasion de la réunion des dix pays de la Joint expeditionary force (JEF) à Oslo. “Demain nous allons avoir des réunions”, a ajouté M. Zelensky dans ce discours, publié par son service de presse, sans préciser quels dirigeants européens seraient présents.”Nous avons besoin de cette coalition, qui doit être suffisamment forte pour garantir la sécurité conformément à notre vision commune”, a ajouté le chef de l’Etat ukrainien.Le président français Emmanuel Macron a indiqué de son côté que cette réunion de la coalition des pays partenaires de l’Ukraine “serait pour partie virtuelle et pour partie physique”.Interrogé à Nancy (Est de la France), où il signait un traité d’amitié et de coopération renforcée avec le Premier ministre polonais Donald Tusk, il n’a toutefois pas précisé si lui-même se rendrait en Ukraine.”Pour des tas de raisons, on en parle rarement avant”, a-t-il souligné, tout en réitérant qu’en “temps utile” il irait à Kiev.La présidence finlandaise a aussi évoqué “une réunion virtuelle” de cette coalition de soutiens de Kiev et à laquelle participera notamment le président finlandais Alexander Stubb.Pour sa part, le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre a annoncé sa participation à une “rencontre entre le président Zelensky et les dirigeants français et britanniques”, sans préciser si elle sera en ligne ou en présentiel.La “coalition des volontaires” regroupe une trentaine de pays alliés de l’Ukraine sous la houlette de Paris et Londres.Cette alliance travaille notamment à la création d’une “force de réassurance” destinée à garantir un éventuel cessez-le-feu avec la Russie et empêcher toute nouvelle attaque de la Russie, qui envahit son voisin ukrainien depuis février 2022.L’Europe tente de renforcer son soutien à l’Ukraine depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier, qui a opéré un rapprochement avec Moscou ces dernières semaines, mais plusieurs pays de la “coalition des volontaires” exigent un filet de sécurité américain pour y participer.bur-ant-fv-vl/jmt/mm 

Zelensky annonce un sommet de dirigeants européens en Ukraine pour samedi

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi un sommet de dirigeants européens soutenant Kiev face à l’invasion russe prévu, selon lui, samedi en Ukraine. “En Ukraine, nous nous préparons également à rencontrer les dirigeants de la coalition des volontaires”, a-t-il indiqué lors d’un discours par visioconférence à l’occasion de la réunion des dix pays de la Joint expeditionary force (JEF) à Oslo. “Demain nous allons avoir des réunions”, a ajouté M. Zelensky dans ce discours, publié par son service de presse, sans préciser quels dirigeants européens seraient présents.”Nous avons besoin de cette coalition, qui doit être suffisamment forte pour garantir la sécurité conformément à notre vision commune”, a ajouté le chef de l’Etat ukrainien.Le président français Emmanuel Macron a indiqué de son côté que cette réunion de la coalition des pays partenaires de l’Ukraine “serait pour partie virtuelle et pour partie physique”.Interrogé à Nancy (Est de la France), où il signait un traité d’amitié et de coopération renforcée avec le Premier ministre polonais Donald Tusk, il n’a toutefois pas précisé si lui-même se rendrait en Ukraine.”Pour des tas de raisons, on en parle rarement avant”, a-t-il souligné, tout en réitérant qu’en “temps utile” il irait à Kiev.La présidence finlandaise a aussi évoqué “une réunion virtuelle” de cette coalition de soutiens de Kiev et à laquelle participera notamment le président finlandais Alexander Stubb.Pour sa part, le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre a annoncé sa participation à une “rencontre entre le président Zelensky et les dirigeants français et britanniques”, sans préciser si elle sera en ligne ou en présentiel.La “coalition des volontaires” regroupe une trentaine de pays alliés de l’Ukraine sous la houlette de Paris et Londres.Cette alliance travaille notamment à la création d’une “force de réassurance” destinée à garantir un éventuel cessez-le-feu avec la Russie et empêcher toute nouvelle attaque de la Russie, qui envahit son voisin ukrainien depuis février 2022.L’Europe tente de renforcer son soutien à l’Ukraine depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier, qui a opéré un rapprochement avec Moscou ces dernières semaines, mais plusieurs pays de la “coalition des volontaires” exigent un filet de sécurité américain pour y participer.bur-ant-fv-vl/jmt/mm 

L1: du PSG à Montpellier, Camara à la découverte d’un autre monde

Ancienne figure du Paris SG, Zoumana Camara a entamé il y a un mois sa carrière d’entraîneur à Montpellier, qui vit son dernier match à la Mosson en Ligue 1 ce samedi à l’occasion d’un duel des extrêmes sans enjeu entre la lanterne rouge et le champion de France.”Je prépare  ce match comme je prépare les autres. Je suis très +focus+ sur mon travail et sur mon équipe”, a prévenu Zoumana Camara à la veille des retrouvailles.Parisien aux racines maliennes, Camara (46 ans) a grandi à Colombes, dans la banlieue nord de la capitale, avant de s’exiler aux quatre coins de la France. A 28 ans, ce solide défenseur a rejoint le PSG pour y finir sa carrière et y amorcer celle de coach.Entraîneur adjoint durant six saisons, il s’est fait la main dans l’ombre de grands coachs comme Laurent Blanc (2015-16), Unai Emery (2016-18) ou Thomas Tuchel (2018- décembre 20). Puis lors des trois ultimes saisons, il a pris la tête de l’équipe U19, l’antichambre du secteur professionnel, par laquelle sont passés des joueurs comme Warren Zaïre-Emery ou Senny Mayulu.Après 16 saisons au PSG, Camara a désiré, dès l’été 2024, voler de ses propres ailes pour être en première ligne d’un autre club de L1. Le 8 avril, il a accepté l’offre de Montpellier pour succéder à Jean-Louis Gasset, connu sous les couleurs parisiennes, et se mesurer aux affres d’un club plongé en pleine crise et quasiment promis à la relégation dès son intronisation.- cadres écartés -Depuis un mois, dans un contexte compliqué, le technicien a imposé son style. “Désireux de gagner du temps” et de se projeter sur la saison prochaine, Camara a donc privilégié les jeunes joueurs aux dépens de cadres mis sur la sellette par ses prédécesseurs et sur la pente déclinante.Dès sa prise de fonction, il n’a ainsi pas hésité à écarter Téji Savanier, joueur emblématique de la +Paillade+, l’attaquant en fin de contrat Wahbi Khazri, également relégué sur le banc de touche, ou encore l’avant-centre Andy Delort, revenu dans l’Hérault lors du mercato hivernal.Avec son discours huilé et son sourire communicatif, +Papus+ a mis en place ses idées autour d’une organisation de jeu invariable (3-4-3) et dans le souci d’avoir la possession de balle. “Il est venu avec de nouvelles idées et une autre façon de jouer”, résume Becir Omeragic, l’un des rares cadres à préserver sa place de titulaire. “Avec lui, on est tous concernés pour défendre”, a également assuré le latéral Théo Sainte-Luce.Pour ses premiers matches, en prévision de la saison prochaine, Camara a eu le luxe d’expérimenter ses changements et de pouvoir “privilégier le contenu et l’état d’esprit” au résultat. Autrement dit, pour lui et Montpellier, l’épreuve du feu est promise la saison prochaine avec la remontée en Ligue 1 comme objectif fixé par le président Laurent Nicollin.Grâce au nul arraché (0-0) devant Reims, sa jeune équipe a réussi le premier clean-sheet de la saison et a mis fin à une série de 11 défaites consécutives.Parallèlement, Camara prend ses repères à Montpellier et cherche à imposer son regard, éloigné de cercles claniques qui ont pesé sur la saison du club. Loin des fastes et moyens d’un PSG qui marche sur l’Europe, il va devoir se fondre dans un cadre plus étriqué et limité. Ce ne sera pas le moindre de ses défis.

Trump suggère d’abaisser à 80% la surtaxe américaine sur les produits chinois

Le président américain Donald Trump a semblé faire un pas vers Pékin vendredi en suggérant de baisser à 80% les droits de douane punitifs qu’il a lui même imposés sur les produits chinois, à la veille de négociations très attendues en Suisse.”80% de droits de douane sur la Chine semble le bon niveau! Cela dépend de Scott B.”, a écrit sur son réseau Truth Social le président américain, faisant référence à celui qui mènera les négociations pour Washington, le ministre américain des Finances Scott Bessent. Après des semaines d’escalade entre les deux pays, le secrétaire au Trésor (son titre officiel) et le représentant au Commerce Jamieson Greer doivent rencontrer le vice-Premier ministre chinois He Lifeng ce week-end à Genève.Le lieu précis reste inconnu.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, il a imposé en plusieurs vagues une surtaxe d’un montant total de 145% sur les marchandises en provenance de Chine, qui s’additionne aux droits de douane préexistants. Pékin a riposté en imposant 125% de droits de douane sur les produits américains.Résultat: les échanges bilatéraux sont pratiquement à l’arrêt.Les discussions prévues à Genève sont “un pas positif et constructif vers la désescalade”, a estimé vendredi la directrice générale de l’OMC Ngozi Okonjo-Iweala.- Toujours “trop haut” -Les analystes restent toutefois circonspects.”Ceux d’entre nous qui se souviennent de la première guerre commerciale Chine-Etats-Unis en 2018-19 [sous le premier mandat Trump] se rappellent de ses péripéties, il y avait des rencontres, des retours en arrière. Il a fallu beaucoup de temps pour parvenir à une première phase d’accord”, retrace auprès de l’AFP Josh Lipsky, directeur du département de géoéconomie du groupe de réflexion américain Atlantic Council.”Je pense que cela sert avant tout à montrer que les deux parties se parlent et c’est important en tant que tel”, a déclaré à des journalistes depuis Shanghai Xu Bin, professeur d’économie à l’école de commerce international Chine Europe (CEIBS).Selon lui, “Trump et la Chine savent très bien que si ces droits de douane hyper élevés (…) restent en place cela va détruire les deux économies. La question n’est pas de savoir qui souffre le plus”.”Aucune partie ne peut se permettre que cela se prolonge. Les deux ont toutefois montré que sans concession de l’autre côté, ils n’étaient pas prêts à faire le premier pas”, a ajouté l’économiste.Xu Bin ne s’attend pas à ce que les droits de douane reviennent à un “niveau raisonnable”: “Je pense que même si cela descend, ce sera probablement de moitié, et là encore ce sera trop haut pour avoir des échanges commerciaux normaux.”- Rafale de négociations -La Suisse a profité de son rôle d’hôte pour s’entretenir vendredi avec les responsables américains, alors que Washington a menacé d’imposer une surtaxe de 31% sur ses produits.A l’issue, la présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter a rapporté que les deux parties étaient “d’accord” pour accélérer les discussions.Depuis son investiture en janvier, le président républicain, protectionniste convaincu, a lancé une guerre commerciale tous azimuts: nouveaux droits de douane sectoriels (+25% sur l’acier, l’aluminium, l’automobile), droits de douane universels (+10% sur la plupart des produits entrant aux Etats-Unis, quelle que soit leur provenance), d’autres en gestation. Des taxes encore plus lourdes étaient prévues pour les partenaires avec lesquels les Etats-Unis ont un déficit commercial. Donald Trump les a toutefois suspendues jusque début juillet, sauf pour la Chine avec lequel il a entamé un bras de fer, en semblant s’attendre à ce que Pékin plie avant lui.Jeudi, Donald Trump a vanté son premier “deal” – avec Londres – présenté comme “historique” des deux côtés.Le document rendu public fait cinq pages. Il y est spécifié qu’il n’est “pas légalement contraignant”.Il doit permettre au Royaume-Uni d’échapper au gros des surtaxes américaines sur ses voitures et d’ouvrir davantage le marché britannique aux produits agricoles américains.De nouvelles négociations doivent désormais s’ouvrir entre les deux pays pour formaliser leurs engagements respectifs, mais les droits de douane américains sur les produits britanniques restent pour le moment en place, a précisé un porte-parole du gouvernement britannique.