Ligue 1: batailles pour l’Europe et la survie, Lille-Marseille en vedette
Lille et Marseille s’affrontent dimanche soir (20h45) dans un match crucial pour la Ligue des champions, en clôture de la 32e journée d’une Ligue 1 toujours aussi indécise sur les places européennes, qu’espère accrocher Lyon opposé à Lens dimanche (17h15).. Lille-Marseille, bonheur au vainqueurLes deux clubs pourraient faire un grand pas vers le top 3 directement qualificatif pour la Ligue des champions en cas de victoire dimanche. Surtout Marseille (2e, 58 points), qui a repris du poil de la bête dimanche dernier en étrillant Brest (4-1). L’OM vise la deuxième place – derrière le PSG déjà champion – qui lui semblait promise à la mi-saison, avant une période de doute qui a poussé les dirigeants à décider d’une mise au vert près de Rome.Lille (3e, 56 points), qui avait perdu gros contre un concurrent direct, Lyon (2-1), il y a trois journées, va aussi un peu mieux après deux victoires contre Toulouse et Auxerre. Mais ces équipes de milieu de tableau ne jouent plus grand chose en cette fin de saison. Pour les Lillois, le match contre l’OM devrait donc être autrement plus tendu…. Stress maximal en haut et en basIl n’y aura pas de place pour tout le monde en Ligue des champions, ni même en Ligue Europa, entre les Monégasques (4e, 55 points), les Lyonnais, les Niçois et les Strasbourgeois (respectivement 5e, 6e et 7e avec 54 points).Tous peuvent espérer finir sur le podium. Mais même les mieux placés peuvent angoisser: Monaco et Lyon s’affronteront lors de la prochaine journée.En attendant, Monaco se déplace à Saint-Etienne samedi (21h05). Le match s’annonce potentiellement compliqué à Geoffroy-Guichard, contre une équipe qui se bat pour s’extirper de la 17e place (27 points), synonyme de relégation. Le principal rival des Verts, Le Havre, en position de barragiste (28 points), se déplace à Auxerre dimanche (17h15).. Le PSG va gérerDéjà large champion (78 points), le Paris SG a la tête à sa demi-finale de Ligue des champions, où il affronte Arsenal. Vainqueur à Londres mardi (1-0), le club de la capitale aborde le déplacement à Strasbourg (samedi 17h00) avec une priorité donnée à la récupération, avant le retour au Parc des Princes mercredi.Mais impossible non plus de se relâcher complètement, contre l’une des meilleures équipes de la phase retour, qui vise l’Europe, dans une Meinau déchaînée. D’autant que Paris reste sur une défaite contre Nice (3-1) en championnat. Une deuxième défaite d’affilée ferait mauvais genre et ne serait sans doute pas la préparation idéale en vue de la joute européenne.La 32e journée:Vendredi 2 mai: (20h45) Nice – ReimsSamedi 3 mai: (17h00) Strasbourg – Paris SG(19h00) Toulouse – Rennes(21h05) Saint-Etienne – MonacoDimanche 4 mai: (15h00) Nantes – Angers(17h15) Brest – MontpellierLyon – LensAuxerre – Le Havre(20h45) Lille – MarseilleClassement: Pts J G N P bp bc dif1. Paris SG 78 31 24 6 1 84 31 532. Marseille 58 31 18 4 9 66 43 233. Lille 56 31 16 8 7 49 32 174. Monaco 55 31 16 7 8 58 36 225. Lyon 54 31 16 6 9 62 42 206. Nice 54 31 15 9 7 59 39 207. Strasbourg 54 31 15 9 7 51 38 138. Lens 45 31 13 6 12 35 37 -29. Brest 44 31 13 5 13 49 53 -410. Auxerre 41 31 11 8 12 45 45 011. Rennes 38 31 12 2 17 46 44 212. Toulouse 35 31 9 8 14 38 39 -113. Reims 33 31 8 9 14 32 42 -1014. Nantes 32 31 7 11 13 35 50 -1515. Angers 30 31 8 6 17 29 50 -2116. Le Havre 28 31 8 4 19 34 65 -3117. Saint-Etienne 27 31 7 6 18 34 71 -3718. Montpellier 16 31 4 4 23 22 71 -49NDLR: Les trois premiers sont directement qualifiés pour la phase de ligue de la Ligue des champions. Le quatrième est qualifié pour le 3e tour préliminaire de la Ligue des champions. Le 5e est qualifié pour la Ligue Europa. Le 6e est qualifié pour les barrages de la Ligue Conference. Les deux derniers sont relégués en Ligue 2 et le 16e dispute un barrage.NB: Saint-Etienne a eu match gagné contre Montpellier après l’interruption du match à la Mosson le 16 mars
Guerre commerciale: la Chine dit “évaluer” une proposition américaine
La Chine a annoncé vendredi qu’elle évaluait une proposition de négociations émanant des Etats-Unis au sujet des droits de douane exorbitants appliqués par les deux pays sur leurs marchandises respectives.”Les Etats-Unis ont récemment pris l’initiative à de nombreuses reprises pour transmettre des informations à la Chine (…), affirmant qu’ils (espéraient) discuter”, a indiqué le ministère du Commerce à Pékin. “La Chine est en train d’évaluer cela”, ajoute le communiqué.Washington impose une surtaxe de 145% sur de nombreux produits chinois depuis le mois d’avril. Pékin a réagi en dégainant des droits de douane de 125% sur les marchandises importées des Etats-Unis.Le président américain Donald Trump, revenu aux affaires en janvier et attaché à sa politique protectionniste, a plusieurs fois laissé entendre que la Chine avait contacté les Etats-Unis pour mener des discussions sur les droits de douane. Des affirmations fermement démenties par Pékin.Donald Trump a affirmé mercredi qu’il y a “de très fortes chances” que Pékin et Washington parviennent à un accord.La Chine se dit pour sa part ouverte au dialogue mais sur la base du “respect mutuel”.”Si les Etats-Unis veulent discuter, ils doivent montrer leur sincérité à le faire, être prêts à corriger leurs mauvaises pratiques et annuler les droits de douane unilatéraux, et agir”, a encore déclaré vendredi le ministère chinois du Commerce.- “Coercition” et “chantage” -Et d’ajouter: “si la partie américaine ne corrige pas ses droits de douane unilatéraux et mauvais, cela signifie que la partie américaine est complètement hypocrite et nuira davantage à la confiance mutuelle entre les deux parties”.”Dire une chose et en faire une autre, ou même tenter la coercition et le chantage sous couvert de négociations ne fonctionnera pas”, a-t-il averti.Pour Wu Xinbo, directeur du centre d’études américaines de l’Université Fudan de Shanghai, Pékin va continuer à jouer la carte de la fermeté.”Bien sûr, les Etats-Unis espèrent entamer des négociations dès que possible, mais notre attitude est la suivante: vous devez d’abord prendre des mesures pour montrer votre sincérité”, a déclaré M. Wu à l’AFP.Une fois que les Etats-Unis auront annulé les droits de douane imposés à la Chine, “nous pourrons discuter de nos préoccupations légitimes”, telles que les inquiétudes de Washington sur le déséquilibre du commerce bilatéral et les griefs de Pékin sur les efforts des Etats-Unis pour entraver son développement technologique, a-t-il ajouté.L’administration Trump a fixé un délai de 90 jours, qui expire en juillet, à un grand nombre de pays pour qu’ils scellent un accord avec Washington et évitent des droits de douane plus élevés.Pékin, en revanche, a promis de mener une guerre commerciale “jusqu’au bout” si nécessaire. Une vidéo publiée cette semaine sur les réseaux sociaux par son ministère des affaires étrangères promet de “ne jamais s’agenouiller”. “La position de la Chine a toujours été parfaitement cohérente”, a estimé le ministère du Commerce vendredi. “Si nous nous battons, nous le ferons jusqu’au bout. Si nous discutons, la porte est ouverte. La guerre douanière et la guerre commerciale ont été lancées unilatéralement par les États-Unis.”La Chine a reconnu que son économie, dépendante des exportations, est confrontée à des difficultés en raison d’un “changement brutal” du contexte mondial.Quant aux Etats-Unis, ils ont subi au premier trimestre un recul inattendu de leur produit intérieur brut, en raison d’un bond des importations avant l’entrée en vigueur des droits de douane.Malgré la nécessité économique croissante pour les deux pays de parvenir à un accord, “aucune des deux parties ne veut avoir l’air faible”, explique Ja-Ian Chong, de l’Université nationale de Singapour. Mais pour l’analyste Stephen Innes, de SPI Asset, les propos de Pékin vendredi représentaient le “premier rameau d’olivier” dans la guerre commerciale.”Sur le papier, les deux capitales agitent des drapeaux de détente”, écrit-il dans une note. “Mais en creusant un peu, on s’aperçoit que le chemin est encore parsemé de mines”.Â
Guerre commerciale: la Chine dit “évaluer” une proposition américaine
La Chine a annoncé vendredi qu’elle évaluait une proposition de négociations émanant des Etats-Unis au sujet des droits de douane exorbitants appliqués par les deux pays sur leurs marchandises respectives.”Les Etats-Unis ont récemment pris l’initiative à de nombreuses reprises pour transmettre des informations à la Chine (…), affirmant qu’ils (espéraient) discuter”, a indiqué le ministère du Commerce à Pékin. “La Chine est en train d’évaluer cela”, ajoute le communiqué.Washington impose une surtaxe de 145% sur de nombreux produits chinois depuis le mois d’avril. Pékin a réagi en dégainant des droits de douane de 125% sur les marchandises importées des Etats-Unis.Le président américain Donald Trump, revenu aux affaires en janvier et attaché à sa politique protectionniste, a plusieurs fois laissé entendre que la Chine avait contacté les Etats-Unis pour mener des discussions sur les droits de douane. Des affirmations fermement démenties par Pékin.Donald Trump a affirmé mercredi qu’il y a “de très fortes chances” que Pékin et Washington parviennent à un accord.La Chine se dit pour sa part ouverte au dialogue mais sur la base du “respect mutuel”.”Si les Etats-Unis veulent discuter, ils doivent montrer leur sincérité à le faire, être prêts à corriger leurs mauvaises pratiques et annuler les droits de douane unilatéraux, et agir”, a encore déclaré vendredi le ministère chinois du Commerce.- “Coercition” et “chantage” -Et d’ajouter: “si la partie américaine ne corrige pas ses droits de douane unilatéraux et mauvais, cela signifie que la partie américaine est complètement hypocrite et nuira davantage à la confiance mutuelle entre les deux parties”.”Dire une chose et en faire une autre, ou même tenter la coercition et le chantage sous couvert de négociations ne fonctionnera pas”, a-t-il averti.Pour Wu Xinbo, directeur du centre d’études américaines de l’Université Fudan de Shanghai, Pékin va continuer à jouer la carte de la fermeté.”Bien sûr, les Etats-Unis espèrent entamer des négociations dès que possible, mais notre attitude est la suivante: vous devez d’abord prendre des mesures pour montrer votre sincérité”, a déclaré M. Wu à l’AFP.Une fois que les Etats-Unis auront annulé les droits de douane imposés à la Chine, “nous pourrons discuter de nos préoccupations légitimes”, telles que les inquiétudes de Washington sur le déséquilibre du commerce bilatéral et les griefs de Pékin sur les efforts des Etats-Unis pour entraver son développement technologique, a-t-il ajouté.L’administration Trump a fixé un délai de 90 jours, qui expire en juillet, à un grand nombre de pays pour qu’ils scellent un accord avec Washington et évitent des droits de douane plus élevés.Pékin, en revanche, a promis de mener une guerre commerciale “jusqu’au bout” si nécessaire. Une vidéo publiée cette semaine sur les réseaux sociaux par son ministère des affaires étrangères promet de “ne jamais s’agenouiller”. “La position de la Chine a toujours été parfaitement cohérente”, a estimé le ministère du Commerce vendredi. “Si nous nous battons, nous le ferons jusqu’au bout. Si nous discutons, la porte est ouverte. La guerre douanière et la guerre commerciale ont été lancées unilatéralement par les États-Unis.”La Chine a reconnu que son économie, dépendante des exportations, est confrontée à des difficultés en raison d’un “changement brutal” du contexte mondial.Quant aux Etats-Unis, ils ont subi au premier trimestre un recul inattendu de leur produit intérieur brut, en raison d’un bond des importations avant l’entrée en vigueur des droits de douane.Malgré la nécessité économique croissante pour les deux pays de parvenir à un accord, “aucune des deux parties ne veut avoir l’air faible”, explique Ja-Ian Chong, de l’Université nationale de Singapour. Mais pour l’analyste Stephen Innes, de SPI Asset, les propos de Pékin vendredi représentaient le “premier rameau d’olivier” dans la guerre commerciale.”Sur le papier, les deux capitales agitent des drapeaux de détente”, écrit-il dans une note. “Mais en creusant un peu, on s’aperçoit que le chemin est encore parsemé de mines”.Â
Guerre commerciale: la Chine dit “évaluer” une proposition américaine
La Chine a annoncé vendredi qu’elle évaluait une proposition de négociations émanant des Etats-Unis au sujet des droits de douane exorbitants appliqués par les deux pays sur leurs marchandises respectives.”Les Etats-Unis ont récemment pris l’initiative à de nombreuses reprises pour transmettre des informations à la Chine (…), affirmant qu’ils (espéraient) discuter”, a indiqué le ministère du Commerce à Pékin. “La Chine est en train d’évaluer cela”, ajoute le communiqué.Washington impose une surtaxe de 145% sur de nombreux produits chinois depuis le mois d’avril. Pékin a réagi en dégainant des droits de douane de 125% sur les marchandises importées des Etats-Unis.Le président américain Donald Trump, revenu aux affaires en janvier et attaché à sa politique protectionniste, a plusieurs fois laissé entendre que la Chine avait contacté les Etats-Unis pour mener des discussions sur les droits de douane. Des affirmations fermement démenties par Pékin.Donald Trump a affirmé mercredi qu’il y a “de très fortes chances” que Pékin et Washington parviennent à un accord.La Chine se dit pour sa part ouverte au dialogue mais sur la base du “respect mutuel”.”Si les Etats-Unis veulent discuter, ils doivent montrer leur sincérité à le faire, être prêts à corriger leurs mauvaises pratiques et annuler les droits de douane unilatéraux, et agir”, a encore déclaré vendredi le ministère chinois du Commerce.- “Coercition” et “chantage” -Et d’ajouter: “si la partie américaine ne corrige pas ses droits de douane unilatéraux et mauvais, cela signifie que la partie américaine est complètement hypocrite et nuira davantage à la confiance mutuelle entre les deux parties”.”Dire une chose et en faire une autre, ou même tenter la coercition et le chantage sous couvert de négociations ne fonctionnera pas”, a-t-il averti.Pour Wu Xinbo, directeur du centre d’études américaines de l’Université Fudan de Shanghai, Pékin va continuer à jouer la carte de la fermeté.”Bien sûr, les Etats-Unis espèrent entamer des négociations dès que possible, mais notre attitude est la suivante: vous devez d’abord prendre des mesures pour montrer votre sincérité”, a déclaré M. Wu à l’AFP.Une fois que les Etats-Unis auront annulé les droits de douane imposés à la Chine, “nous pourrons discuter de nos préoccupations légitimes”, telles que les inquiétudes de Washington sur le déséquilibre du commerce bilatéral et les griefs de Pékin sur les efforts des Etats-Unis pour entraver son développement technologique, a-t-il ajouté.L’administration Trump a fixé un délai de 90 jours, qui expire en juillet, à un grand nombre de pays pour qu’ils scellent un accord avec Washington et évitent des droits de douane plus élevés.Pékin, en revanche, a promis de mener une guerre commerciale “jusqu’au bout” si nécessaire. Une vidéo publiée cette semaine sur les réseaux sociaux par son ministère des affaires étrangères promet de “ne jamais s’agenouiller”. “La position de la Chine a toujours été parfaitement cohérente”, a estimé le ministère du Commerce vendredi. “Si nous nous battons, nous le ferons jusqu’au bout. Si nous discutons, la porte est ouverte. La guerre douanière et la guerre commerciale ont été lancées unilatéralement par les États-Unis.”La Chine a reconnu que son économie, dépendante des exportations, est confrontée à des difficultés en raison d’un “changement brutal” du contexte mondial.Quant aux Etats-Unis, ils ont subi au premier trimestre un recul inattendu de leur produit intérieur brut, en raison d’un bond des importations avant l’entrée en vigueur des droits de douane.Malgré la nécessité économique croissante pour les deux pays de parvenir à un accord, “aucune des deux parties ne veut avoir l’air faible”, explique Ja-Ian Chong, de l’Université nationale de Singapour. Mais pour l’analyste Stephen Innes, de SPI Asset, les propos de Pékin vendredi représentaient le “premier rameau d’olivier” dans la guerre commerciale.”Sur le papier, les deux capitales agitent des drapeaux de détente”, écrit-il dans une note. “Mais en creusant un peu, on s’aperçoit que le chemin est encore parsemé de mines”.Â
Sudan capital tiptoes back to life after recapture by armyFri, 02 May 2025 04:19:46 GMT
In war-ravaged Khartoum donkey carts clatter over worn asphalt, the smell of tomatoes wafts from newly reopened stalls and pedestrians dodge burnt-out cars left by two years of war.Life is slowly, cautiously returning to the Sudanese capital, weeks after the army recaptured the city from the paramilitary Rapid Support Forces (RSF) who had held it …
Sudan capital tiptoes back to life after recapture by armyFri, 02 May 2025 04:19:46 GMT Read More »
Tokyo’s tariff envoy says US talks ‘constructive’
Tokyo’s envoy for US tariff talks in Washington said Thursday that the second round of negotiations between the two countries had been “frank and constructive.”Japan, a key US ally and its biggest investor, is subject to the same 10 percent baseline tariffs imposed on most nations plus steeper levies on cars, steel and aluminum.President Donald Trump also in early April announced “reciprocal” tariffs on Japan of 24 percent, but later put them on pause for 90 days along with those on other countries except China.”We were able to move forward in frank and constructive discussions to reach a mutually beneficial agreement as soon as possible,” Ryosei Akazawa told reporters Thursday.”We were able to advance concrete discussions on, for example, expanding trade between our two countries, non-tariff measures and economic and security co-operation.”Akazawa said he had “strongly proposed” to US Treasury Secretary Scott Bessent and other officials that Trump’s sweeping levies on trade partners be reviewed.The next round of ministerial-level talks will “take place intensively from mid-May onwards,” Akazawa said. Thursday’s talks followed an initial meeting in mid-April.Akazawa said any deal on tariff relief would be in the form of a package, which will be announced when finalized.”We have not yet reached the point where we can find areas of agreement,” Prime Minister Shigeru Ishiba told reporters.”However, I have been informed that the discussion was very positive and constructive.”- ‘Firmly defending’ interests – Trump has repeatedly called for a stronger yen to boost US exports, but foreign currency rates were not discussed Thursday, Akazawa said.The yen has risen significantly since Trump’s tariffs were announced, and was trading at 145 for a dollar, compared with 158 in mid-January.Japanese media had said the second round of talks could focus on automobiles and agricultural products, which Akazawa called “very important economic sectors.””We have no intention of negotiating in a way that would be detrimental to the national interest, so we have been firmly defending what needs to be defended and saying what needs to be said,” he said.Akazawa had told reporters at the airport on Wednesday that “Japanese companies are losing money each and every day” because of US tariffs. He said Thursday that he did not discuss China with the US officials, adding that Japan has a “very strong trade relationship with China too.””We will continue to monitor the developments in US-China relations, including the tariff measures against China, with great interest.”Separately, Finance Minister Katsunobu Kato said on a TV Tokyo program on Friday that Japan’s holdings of US Treasuries could be a bargaining chip in the negotiations.”It is natural to discuss everything that is a negotiation card… Whether we use them or not is another matter,” Kato said, according to TV Tokyo.”We don’t keep (the Treasury holdings) to support the US. We will intervene if our country is in trouble.”