Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride

Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.

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Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride

Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.

Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride

Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.

Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride

Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.

Duplomb (LR) n’exclut pas un nouveau texte pour réintroduire l’acétamipride

Le sénateur LR Laurent Duplomb, dont la loi a été en partie censurée la veille par le Conseil constitutionnel, n’a pas exclu vendredi un nouveau texte pour réintroduire le pesticide acétamipride contesté, mais en tenant compte cette fois des critères imposés par les Sages.Le Conseil constitutionnel dit que la réintroduction, sous conditions, de l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, “n’était pas encore assez encadré sur la durée, (que) ce n’était pas encore assez encadré sur la liste des filières”, dans le texte que j’ai présenté, a reconnu sur RMC l’auteur de cette loi qui a fait l’objet d’une pétition demandant son abrogation, signée par plus de 2,1 millions d’opposants.”En fait, il nous donne les éléments qui pourraient permettre, avec un nouveau texte, de trouver des solutions pour pouvoir peut être réintroduire” l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la réintroduction a été jugée par les Sages contraire à la Charte de l’environnement.La décision du Conseil constitutionnel a été saluée, à gauche, comme une victoire pour l’écologie. “Il reste encore du temps pour examiner ce qui va se passer, comment nous allons pouvoir le faire”, a ajouté Laurent Duplomb, estimant que “le Conseil constitutionnel ne ferme pas la porte”.La réintroduction à titre dérogatoire de l’acétamipride a cristallisé la contestation contre la loi Duplomb. Son retour était réclamé par certains producteurs de betteraves et de noisettes pour lutter contre les ravageurs.Les Sages ont estimé que “faute d’encadrement suffisant”, cette mesure était contraire au “cadre défini par sa jurisprudence, découlant de la Charte de l’environnement”, selon un communiqué.Dans leur décision, ils rappellent que les néonicotinoïdes “ont des incidences sur la biodiversité, en particulier pour les insectes pollinisateurs et les oiseaux” et “induisent des risques pour la santé humaine”.La FNSEA, premier syndicat agricole, a dénoncé une décision “inacceptable”.Quant au groupe écologiste à l’Assemblée, il a fait part de son intention de déposer une proposition de loi pour tenter d’obtenir “une abrogation totale” de la loi.

Vents violents en Grèce: mort de deux touristes vietnamiens, trafic maritime perturbé

Deux touristes vietnamiens sont morts sur l’île de Milos en mer Egée, en Grèce, où des vents violents vendredi ont perturbé les liaisons maritimes avec les îles en pleine saison touristique, a-t-on appris auprès de la police portuaire.”Un homme et une femme ont été retrouvés inconscients dans la mer” près de la plage de Sarakininiko à Milos, île des Cyclades, et “ont été transportés au centre de santé local”, a indiqué à l’AFP une responsable de la police portuaire grecque. “C’était des touristes vietnamiens faisant partie d’un groupe de croisière. La femme est tombée à l’eau et l’homme a apparemment essayé de la sauver, tous les deux sont morts”, a-t-elle ajouté sans donner plus de détails sur la cause de cet accident. Des médias locaux ont rapporté que les victimes s’étaient noyées.Les accidents maritimes et les noyades sont fréquents pendant l’été en Grèce où de nombreux touristes visitent les îles et les plages de Grèce continentale.Les vents violents qui soufflent depuis vendredi matin surtout en mer Egée (est) ont contraint certains ferries à rester à quai au Pirée, grand port près d’Athènes, selon la police portuaire.”Des ferries n’ont pas pu partir ce matin en raison de vents violents, surtout ceux desservant les îles des Cyclades ou du Dodecannèse”, selon la même source.Ainsi, certaines liaisons avec les Cyclades, dont les îles très touristiques de Mykonos et de Paros, ainsi que la Crète ont été annulées, empêchant les déplacements de nombreux touristes, au pic de la saison. En fin de matinée au moins trois ferries sont finalement partis pour les Cyclades – plus particulièrement pour Paros et Santorin – ainsi que pour la Crète tandis que les itinéraires vers les îles du Dodecannèse (sud-est) prévus en fin d’après-midi, seront effectués, a assuré la police portuaire.Les liaisons maritimes avec les îles proches d’Athènes, dans le golfe Saronique – Egine, Hydra, Poros ou Spetses – ainsi que celles avec les îles en mer Ionienne (ouest) n’ont en revanche pas été annulées, selon la même source.Le vent fort du nord, appelé “meltem”, est habituel en mer Egée surtout en août, entraînant souvent des annulations de liaisons maritimes. – “Très fort risque d’incendie” -Par ailleurs, après une réunion d’urgence, le ministère de la Protection civile a placé certaines régions du pays, surtout l’Attique – agglomération d’Athènes -, l’est du Péloponnèse et la Crète, “en vigilance rouge” en raison d'”un très fort risque d’incendies”.Selon le service météorologique national (EMY), les rafales vendredi devraient atteindre 88 km/h. L’observatoire national d’Athènes a averti dans un communiqué qu’il existait un “risque très élevé d’incendies de forêt en raison du vent”, en particulier dans l’est et le sud du pays. Le maire d’Athènes a également fermé les parcs de la capitale dont le jardin national dans le centre après qu’un arbre est tombé dans l’une des artères commerçantes les plus fréquentées de la ville, manquant de peu des passants.Située en Méditerranée orientale, très exposée au changement climatique, la Grèce est chaque année touchée par de graves incendies. De nombreux incendies ont eu lieu depuis juin dans le pays, dont un sur l’île de Chios (nord-est de l’Egée) qui avait dévasté plus de 4.000 hectares, et un autre dans l’ouest de Péloponnèse en juillet, plus de 1.000 hectares.Il y a une semaine, à la suite d’une canicule prolongée avec des températures ayant dépassé les 45°C, de nombreux incendies s’étaient déclarés à travers le pays, dont l’un près d’Athènes, qui avait entraîné des évacuations d’habitants et endommagé des habitations. 

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Une nouvelle vague de chaleur débute en France, jusqu’à 41°c attendus ce weekend

Une nouvelle vague de chaleur estivale étouffante a débuté vendredi midi avec 11 départements du sud de la France placés en vigilance orange “canicule”, avant de s’étendre à 17 départements samedi, et des températures qui pourront atteindre 41°C dimanche.Le pic de chaleur est attendu en début de semaine prochaine sur une large partie du pays, après un weekend marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C dans le sud, pouvant atteindre les 41°C selon Météo-France.”Les très fortes températures devraient s’intensifier en début de semaine prochaine”, avec les journées les plus chaudes prévues lundi et mardi, avant de se maintenir au moins jusqu’en seconde partie de semaine, précise vendredi le service météorologique.Depuis midi vendredi, Météo-France a placé en vigilance orange canicule le Rhône, la Loire, l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, ainsi que l’Aveyron et le Lot. Samedi midi, la vigilance s’étendra à la Dordogne, l’Aude, le Puy-de-Dôme, l’Ain, la Savoie et la Haute-Savoie.Après une première vague de chaleur étouffante du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, selon Météo-France.- “Se protéger” -A Lyon, métropole française la plus souvent placée en vigilance canicule, les habitants se préparent à cette nouvelle flambée de températures qui devraient frôler les 40°C ce weekend. Installée sous une ombrière de la place Bellecour, Séléna – elle n’a pas voulu donner son nom -, 22 ans, fait sa pause: “J’essaie de me protéger du soleil”. Face aux chaleurs, cette employée du réseau de transports TCL va souvent “squatter” le lac d’Annecy, à 150 km, en Haute-Savoie, département également placé en vigilance orange à partir de samedi.Travailler sous la chaleur, Afi Bombakar, serveur, y est “habitué”. “On n’a pas le choix, on est là pour travailler”, explique le trentenaire en essuyant les tables d’une terrasse.Même constat pour Sophie, 29 ans, recruteuse de donateurs pour Médecins du Monde, un travail dans la rue “fait pour les vaillants” surtout lors des “températures extrêmes”. Habitant Lyon, elle a dû installer une climatisation à domicile, une “obligation” pour garder en vie son “chat malade”, malgré ses réserves écologiques. D’autres optent pour les mini-ventilateurs, produits stars de l’été en rupture de stock dans certaines boutiques depuis la première vague de chaleur.- Sécheresse et incendies -Météo-France a également alerté sur un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie d’une ampleur exceptionnelle dans l’Aude a été fixé jeudi soir après avoir parcouru 17.000 hectares de végétation et coûté la vie à une personne.Cette nouvelle vague de chaleur, conjuguée à de très faibles précipitations, va aggraver la sécheresse des sols, déjà très marquée dans le sud-ouest, où les viticulteurs s’inquiètent. “S’il fait chaud comme ça pendant trois semaines, tout va griller”, redoutait jeudi Emmanuelle Piovesan, dirigeante du domaine Clos Cavenac dans le Lot-et-Garonne.Pour anticiper des “pannes potentielles de climatisation”, la SNCF a supprimé trois allers-retours sur des vieux trains jusqu’à lundi sur la ligne Bordeaux-Marseille.”On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a souligné à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France.Juillet 2025 a été le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré sur la planète avec une température moyenne supérieure de 1,25°c à celle de ce même mois en ère pré-industrielle (1850-1900), a annoncé jeudi l’observatoire européen Copernicus.

Une nouvelle vague de chaleur débute en France, jusqu’à 41°c attendus ce weekend

Une nouvelle vague de chaleur estivale étouffante a débuté vendredi midi avec 11 départements du sud de la France placés en vigilance orange “canicule”, avant de s’étendre à 17 départements samedi, et des températures qui pourront atteindre 41°C dimanche.Le pic de chaleur est attendu en début de semaine prochaine sur une large partie du pays, après un weekend marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C dans le sud, pouvant atteindre les 41°C selon Météo-France.”Les très fortes températures devraient s’intensifier en début de semaine prochaine”, avec les journées les plus chaudes prévues lundi et mardi, avant de se maintenir au moins jusqu’en seconde partie de semaine, précise vendredi le service météorologique.Depuis midi vendredi, Météo-France a placé en vigilance orange canicule le Rhône, la Loire, l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, ainsi que l’Aveyron et le Lot. Samedi midi, la vigilance s’étendra à la Dordogne, l’Aude, le Puy-de-Dôme, l’Ain, la Savoie et la Haute-Savoie.Après une première vague de chaleur étouffante du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, selon Météo-France.- “Se protéger” -A Lyon, métropole française la plus souvent placée en vigilance canicule, les habitants se préparent à cette nouvelle flambée de températures qui devraient frôler les 40°C ce weekend. Installée sous une ombrière de la place Bellecour, Séléna – elle n’a pas voulu donner son nom -, 22 ans, fait sa pause: “J’essaie de me protéger du soleil”. Face aux chaleurs, cette employée du réseau de transports TCL va souvent “squatter” le lac d’Annecy, à 150 km, en Haute-Savoie, département également placé en vigilance orange à partir de samedi.Travailler sous la chaleur, Afi Bombakar, serveur, y est “habitué”. “On n’a pas le choix, on est là pour travailler”, explique le trentenaire en essuyant les tables d’une terrasse.Même constat pour Sophie, 29 ans, recruteuse de donateurs pour Médecins du Monde, un travail dans la rue “fait pour les vaillants” surtout lors des “températures extrêmes”. Habitant Lyon, elle a dû installer une climatisation à domicile, une “obligation” pour garder en vie son “chat malade”, malgré ses réserves écologiques. D’autres optent pour les mini-ventilateurs, produits stars de l’été en rupture de stock dans certaines boutiques depuis la première vague de chaleur.- Sécheresse et incendies -Météo-France a également alerté sur un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie d’une ampleur exceptionnelle dans l’Aude a été fixé jeudi soir après avoir parcouru 17.000 hectares de végétation et coûté la vie à une personne.Cette nouvelle vague de chaleur, conjuguée à de très faibles précipitations, va aggraver la sécheresse des sols, déjà très marquée dans le sud-ouest, où les viticulteurs s’inquiètent. “S’il fait chaud comme ça pendant trois semaines, tout va griller”, redoutait jeudi Emmanuelle Piovesan, dirigeante du domaine Clos Cavenac dans le Lot-et-Garonne.Pour anticiper des “pannes potentielles de climatisation”, la SNCF a supprimé trois allers-retours sur des vieux trains jusqu’à lundi sur la ligne Bordeaux-Marseille.”On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a souligné à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France.Juillet 2025 a été le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré sur la planète avec une température moyenne supérieure de 1,25°c à celle de ce même mois en ère pré-industrielle (1850-1900), a annoncé jeudi l’observatoire européen Copernicus.

Une nouvelle vague de chaleur débute en France, jusqu’à 41°c attendus ce weekend

Une nouvelle vague de chaleur estivale étouffante a débuté vendredi midi avec 11 départements du sud de la France placés en vigilance orange “canicule”, avant de s’étendre à 17 départements samedi, et des températures qui pourront atteindre 41°C dimanche.Le pic de chaleur est attendu en début de semaine prochaine sur une large partie du pays, après un weekend marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C dans le sud, pouvant atteindre les 41°C selon Météo-France.”Les très fortes températures devraient s’intensifier en début de semaine prochaine”, avec les journées les plus chaudes prévues lundi et mardi, avant de se maintenir au moins jusqu’en seconde partie de semaine, précise vendredi le service météorologique.Depuis midi vendredi, Météo-France a placé en vigilance orange canicule le Rhône, la Loire, l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, ainsi que l’Aveyron et le Lot. Samedi midi, la vigilance s’étendra à la Dordogne, l’Aude, le Puy-de-Dôme, l’Ain, la Savoie et la Haute-Savoie.Après une première vague de chaleur étouffante du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, selon Météo-France.- “Se protéger” -A Lyon, métropole française la plus souvent placée en vigilance canicule, les habitants se préparent à cette nouvelle flambée de températures qui devraient frôler les 40°C ce weekend. Installée sous une ombrière de la place Bellecour, Séléna – elle n’a pas voulu donner son nom -, 22 ans, fait sa pause: “J’essaie de me protéger du soleil”. Face aux chaleurs, cette employée du réseau de transports TCL va souvent “squatter” le lac d’Annecy, à 150 km, en Haute-Savoie, département également placé en vigilance orange à partir de samedi.Travailler sous la chaleur, Afi Bombakar, serveur, y est “habitué”. “On n’a pas le choix, on est là pour travailler”, explique le trentenaire en essuyant les tables d’une terrasse.Même constat pour Sophie, 29 ans, recruteuse de donateurs pour Médecins du Monde, un travail dans la rue “fait pour les vaillants” surtout lors des “températures extrêmes”. Habitant Lyon, elle a dû installer une climatisation à domicile, une “obligation” pour garder en vie son “chat malade”, malgré ses réserves écologiques. D’autres optent pour les mini-ventilateurs, produits stars de l’été en rupture de stock dans certaines boutiques depuis la première vague de chaleur.- Sécheresse et incendies -Météo-France a également alerté sur un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie d’une ampleur exceptionnelle dans l’Aude a été fixé jeudi soir après avoir parcouru 17.000 hectares de végétation et coûté la vie à une personne.Cette nouvelle vague de chaleur, conjuguée à de très faibles précipitations, va aggraver la sécheresse des sols, déjà très marquée dans le sud-ouest, où les viticulteurs s’inquiètent. “S’il fait chaud comme ça pendant trois semaines, tout va griller”, redoutait jeudi Emmanuelle Piovesan, dirigeante du domaine Clos Cavenac dans le Lot-et-Garonne.Pour anticiper des “pannes potentielles de climatisation”, la SNCF a supprimé trois allers-retours sur des vieux trains jusqu’à lundi sur la ligne Bordeaux-Marseille.”On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a souligné à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France.Juillet 2025 a été le troisième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré sur la planète avec une température moyenne supérieure de 1,25°c à celle de ce même mois en ère pré-industrielle (1850-1900), a annoncé jeudi l’observatoire européen Copernicus.

Agression du maire en Isère: le suspect interpellé, annonce Retailleau

L’homme suspecté d’avoir violemment agressé mercredi le maire de Villeneuve-de-Marc, en Isère, a été interpellé vendredi matin, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dans un message sur X.Le suspect, en fuite depuis l’agression, était sous le coup d’un mandat de recherche lancé par le parquet de Vienne dans le cadre d’une enquête pour “tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique”.L’homme a été interpellé sans heurt à 11H30 à Charantonnay (Isère), à 14 km des lieux de l’agression, a précisé à l’AFP une source proche du dossier. Il a été placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Saint-Jean-de-Bournay, selon une autre source proche du dossier.L’agression s’était déroulée devant le domicile du maire Gilles Dussault, 63 ans. Le suspect, un administré du village d’un peu moins de 1.200 habitants, “résidant dans la commune de longue date”, a agressé le maire “avec une arme blanche”, avait indiqué le parquet. L’élu présentait “trois plaies dont deux au thorax et une plaie défensive”, avait précisé le ministère public.Le pronostic vital du maire a été un temps engagé.L’agresseur avait quitté les lieux avant de revenir avec son véhicule. Il avait “alors tenté de percuter le maire et son fils venu lui porter secours, et fini sa course contre un mur”, puis “pris la fuite à pied” après avoir porté des coups de poing au fils du maire qui tentait de l’intercepter, avait relaté le parquet.Selon le parquet, au regard des premiers éléments de l’enquête, “un litige opposait depuis plusieurs mois l’agresseur à la municipalité pour des questions d’urbanisme et de travaux réalisés par celui-ci sans autorisation”.”Les violences contre nos élus sont intolérables et ne resteront jamais impunies”, a affirmé sur X M. Retailleau.