Ugandan army chief says torturing opposition aide ‘in his basement’Fri, 02 May 2025 12:13:07 GMT

Uganda’s main opposition leader, Bobi Wine, said on Friday the army had raided his party’s headquarters, hours after the head of the army claimed to have abducted Wine’s bodyguard and was torturing him “in his basement”.There has been a mounting crackdown on the opposition ahead of the general election in January and the moves come …

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‘Deadly blockade’ leaves Gaza aid work on verge of collapse: UN, Red Cross

Two months into Israel’s full blockade on aid into Gaza, humanitarians described Friday horrific scenes of starving, bloodied children and people fighting over water, with aid operations on the “verge of total collapse”.The United Nations and the Red Cross sounded the alarm at the dire situation in the war-ravaged Palestinian territory, demanding international action.”The humanitarian response in Gaza is on the verge of total collapse,” the International Committee of the Red Cross warned in a statement.”Without immediate action, Gaza will descend further into chaos that humanitarian efforts will not be able to mitigate.”Israel strictly controls all inflows of international aid vital for the 2.4 million Palestinians in the Gaza Strip.It halted aid deliveries to Gaza on March 2, days before the collapse of a ceasefire that had significantly reduced hostilities after 15 months of war.Since the start of the blockade, the United Nations has repeatedly warned of the humanitarian catastrophe on the ground, with famine again looming.The UN’s World Food Programme (WFP) said a week ago that it had sent out its “last remaining food stocks” to kitchens.- ‘The blockade is deadly’ -“Food stocks have now mainly run out,” Olga Cherevko, a spokeswoman for the UN humanitarian agency OCHA, told reporters in Geneva Friday via video link from Gaza City.”Community kitchens have begun to shut down (and) more people are going hungry,” she said, pointing to reports of children and other very vulnerable people who have died from malnutrition and … from the lack of food”.”The blockade is deadly.”Water access was also “becoming impossible”, she warned.”In fact, as I speak to you, just downstairs from this building people are fighting for water. There’s a water truck that has just arrived, and people are killing each other over water,” she said.The situation is so bad, she said that a friend had described to her a few days ago seeing “people burning … because of the explosions and there was no water to save them”.At the same time, Cherevko lamented that “hospitals report running out of blood units as mass casualties continue to arrive”.”Gaza lies in ruins, Rubble fills the streets… Many nights, blood-curdling screams of the injured pierce the skies following the deafening sound of another explosion.” – ‘Abomination’ -She also decried the mass displacement, with nearly the entire Gaza population being fprced to shift multiple times prior to the brief ceasefire.Since the resumption of hostilities, she said “over 420,000 people have been once again forced to flee, many with only the clothes on their backs, shot at along the way, arriving in overcrowded shelters, as tents and other facilities where people search safety, are being bombed”.Pascal Hundt, the ICRC’s deputy head of operations, also cautioned that “civilians in Gaza are facing an overwhelming daily struggle to survive the dangers of hostilities, cope with relentless displacement, and endure the consequences of being deprived of urgent humanitarian assistance”.The World Health Organization’s emergencies director Mike Ryan said the situation was an “abomination”.”We are breaking the bodies and the minds of the children of Gaza. We are starving the children of Gaza,” he told reporters on Thursday.Cherevko slammed decision makers who “have watched in silence the endless scenes of bloodied children, of severed limbs, of grieving parents move swiftly across their screens, month, after month, after month”. “How much more blood must be spilled before enough become enough?”

Frappe israélienne près du palais présidentiel de Damas après des violences contre les druzes

Israël a annoncé vendredi avoir bombardé les abords du palais présidentiel à Damas, en renouvelant son avertissement aux autorités syriennes contre toute atteinte à la minorité druze de Syrie, après plusieurs jours de violences meurtrières.Le plus influent chef religieux druze en Syrie, cheikh Hikmat al-Hajrin, avait dénoncé jeudi soir une “campagne génocidaire” visant des “civils” de sa communauté, après des violences confessionnelles entre groupes armés liés au pouvoir et combattants druzes qui ont fait plus de 100 morts, selon une ONG. Des représentants des autorités religieuses et groupes armés druzes réunis à Soueïda, une région à majorité druze du sud de la Syrie, ont de leur côté réaffirmé qu’ils rejetaient “toute division” du pays.Vendredi à l’aube, des avions israéliens ont mené une frappe entendue à travers la capitale syrienne, selon un correspondant de l’AFP. Celle-ci visait “un secteur voisin du palais d’Ahmad al-Chareh”, le président syrien, a annoncé l’armée.”C’est un message clair envoyé au régime syrien. Nous ne permettrons pas que des forces (syriennes) soient dépêchées au sud de Damas ou menacent de quelque manière que ce soit la communauté druze”, ont affirmé le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense, Israël Katz.”Nous avons été réveillés à 04H00 par une explosion”, a témoigné Ahmed, un comptable de 55 ans qui n’a pas donné son nom de famille. “Malheureusement, nous sommes habitués aux explosions et aux frappes aériennes sur Damas. Maudits soient-ils”. Israël, un pays voisin de la Syrie avec laquelle il est en état de guerre, avait menacé d’agir “avec force” si Damas ne protégeait pas sa petite communauté druze et avait déjà mené mercredi une frappe aux environs de la capitale en forme “d’avertissement”.Depuis l’arrivée au pouvoir, le 8 décembre, d’une coalition menée par des islamistes sunnites, Israël a pris fait et cause pour les druzes de Syrie, installés principalement dans le sud du pays.Cette communauté ésotérique, également implantée en Israël et issue d’une branche de l’islam chiite, est considérée avec méfiance par les nouvelles autorités syriennes.Depuis la chute du président Bachar al-Assad, Israël a mené des centaines d’attaques contre des sites militaires en Syrie et a envoyé des troupes dans une zone démilitarisée du plateau du Golan. Selon l’analyste indépendant Michael Horowitz, Israël, “en se plaçant en protecteur de la communauté druze, espère à la fois se trouver des alliés locaux, particulièrement dans le sud syrien, mais aussi peser dans la balance à un moment où le futur de la Syrie reste incertain”.- “Terrifiés” -Lundi soir, des combats ont éclaté à Jaramana, une banlieue de Damas à majorité druze, à Sahnaya, à 15 kilomètres au sud-ouest de la capitale, où vivent des druzes et des chrétiens, et à Soueïda, faisant 102 morts dans les deux camps, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).Ces combats ont été déclenchés par une attaque de groupes armés affiliés au pouvoir à Jaramana, après la diffusion d’un message audio attribué à un druze et jugé blasphématoire à l’égard du prophète Mahomet. L’AFP n’a pas pu vérifier l’authenticité du message.Les autorités syriennes, qui ont depuis réaffirmé leur “engagement ferme à protéger toutes les composantes du peuple syrien, y compris la communauté druze”, ont mis en cause des éléments échappant à son contrôle.Ces combats ont réveillé le spectre des massacres qui avaient fait début mars plus de 1.700 morts, en grande majorité des membres de la minorité alaouite, à laquelle appartient Bachar al-Assad, dans l’ouest de la Syrie, et illustrent l’instabilité qui persiste dans le pays.Des accords entre représentants druzes et du pouvoir avaient permis de rétablir le calme mardi soir à Jaramana puis le lendemain à Sahnaya, où des forces de sécurité ont été déployées.”La situation est calme, mais nous sommes terrifiés”, a témoigné Arij, une habitante de Sahnaya âgée de 35 ans. “Beaucoup de chrétiens et de druzes ont fui pour Damas. Mais nous restons. Nous n’avons pas d’endroit où aller.”Mohamad Halawa, un responsable de la sécurité dans la région de Damas, a déclaré à l’AFP qu’un “cordon de sécurité” avait été mis en place autour de Jaramana.Selon l’OSDH, le gouvernement a également déployé des renforts dans la province de Soueïda.”Nous ne faisons plus confiance à une entité qui prétend être un gouvernement. (…) Un gouvernement ne tue pas son peuple en recourant à ses propres milices extrémistes, puis, après les massacres, en prétendant que ce sont des éléments incontrôlés”, a affirmé jeudi le chef druze.

Frappe israélienne près du palais présidentiel de Damas après des violences contre les druzes

Israël a annoncé vendredi avoir bombardé les abords du palais présidentiel à Damas, en renouvelant son avertissement aux autorités syriennes contre toute atteinte à la minorité druze de Syrie, après plusieurs jours de violences meurtrières.Le plus influent chef religieux druze en Syrie, cheikh Hikmat al-Hajrin, avait dénoncé jeudi soir une “campagne génocidaire” visant des “civils” de sa communauté, après des violences confessionnelles entre groupes armés liés au pouvoir et combattants druzes qui ont fait plus de 100 morts, selon une ONG. Des représentants des autorités religieuses et groupes armés druzes réunis à Soueïda, une région à majorité druze du sud de la Syrie, ont de leur côté réaffirmé qu’ils rejetaient “toute division” du pays.Vendredi à l’aube, des avions israéliens ont mené une frappe entendue à travers la capitale syrienne, selon un correspondant de l’AFP. Celle-ci visait “un secteur voisin du palais d’Ahmad al-Chareh”, le président syrien, a annoncé l’armée.”C’est un message clair envoyé au régime syrien. Nous ne permettrons pas que des forces (syriennes) soient dépêchées au sud de Damas ou menacent de quelque manière que ce soit la communauté druze”, ont affirmé le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense, Israël Katz.”Nous avons été réveillés à 04H00 par une explosion”, a témoigné Ahmed, un comptable de 55 ans qui n’a pas donné son nom de famille. “Malheureusement, nous sommes habitués aux explosions et aux frappes aériennes sur Damas. Maudits soient-ils”. Israël, un pays voisin de la Syrie avec laquelle il est en état de guerre, avait menacé d’agir “avec force” si Damas ne protégeait pas sa petite communauté druze et avait déjà mené mercredi une frappe aux environs de la capitale en forme “d’avertissement”.Depuis l’arrivée au pouvoir, le 8 décembre, d’une coalition menée par des islamistes sunnites, Israël a pris fait et cause pour les druzes de Syrie, installés principalement dans le sud du pays.Cette communauté ésotérique, également implantée en Israël et issue d’une branche de l’islam chiite, est considérée avec méfiance par les nouvelles autorités syriennes.Depuis la chute du président Bachar al-Assad, Israël a mené des centaines d’attaques contre des sites militaires en Syrie et a envoyé des troupes dans une zone démilitarisée du plateau du Golan. Selon l’analyste indépendant Michael Horowitz, Israël, “en se plaçant en protecteur de la communauté druze, espère à la fois se trouver des alliés locaux, particulièrement dans le sud syrien, mais aussi peser dans la balance à un moment où le futur de la Syrie reste incertain”.- “Terrifiés” -Lundi soir, des combats ont éclaté à Jaramana, une banlieue de Damas à majorité druze, à Sahnaya, à 15 kilomètres au sud-ouest de la capitale, où vivent des druzes et des chrétiens, et à Soueïda, faisant 102 morts dans les deux camps, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).Ces combats ont été déclenchés par une attaque de groupes armés affiliés au pouvoir à Jaramana, après la diffusion d’un message audio attribué à un druze et jugé blasphématoire à l’égard du prophète Mahomet. L’AFP n’a pas pu vérifier l’authenticité du message.Les autorités syriennes, qui ont depuis réaffirmé leur “engagement ferme à protéger toutes les composantes du peuple syrien, y compris la communauté druze”, ont mis en cause des éléments échappant à son contrôle.Ces combats ont réveillé le spectre des massacres qui avaient fait début mars plus de 1.700 morts, en grande majorité des membres de la minorité alaouite, à laquelle appartient Bachar al-Assad, dans l’ouest de la Syrie, et illustrent l’instabilité qui persiste dans le pays.Des accords entre représentants druzes et du pouvoir avaient permis de rétablir le calme mardi soir à Jaramana puis le lendemain à Sahnaya, où des forces de sécurité ont été déployées.”La situation est calme, mais nous sommes terrifiés”, a témoigné Arij, une habitante de Sahnaya âgée de 35 ans. “Beaucoup de chrétiens et de druzes ont fui pour Damas. Mais nous restons. Nous n’avons pas d’endroit où aller.”Mohamad Halawa, un responsable de la sécurité dans la région de Damas, a déclaré à l’AFP qu’un “cordon de sécurité” avait été mis en place autour de Jaramana.Selon l’OSDH, le gouvernement a également déployé des renforts dans la province de Soueïda.”Nous ne faisons plus confiance à une entité qui prétend être un gouvernement. (…) Un gouvernement ne tue pas son peuple en recourant à ses propres milices extrémistes, puis, après les massacres, en prétendant que ce sont des éléments incontrôlés”, a affirmé jeudi le chef druze.

Choqués, les socialistes pointent un antisémitisme derrière les agressions du 1er mai

Attaqués parce que “socialistes” mais aussi parce que “juifs”: choqués par la prise à partie de certains de leurs militants, dont le député Jérôme Guedj, lors de la manifestation parisienne du 1er mai, plusieurs dirigeants du PS pointaient vendredi l’antisémitisme comme une des causes des incidents.Le numéro deux du PS Nicolas Mayer-Rossignol a dénoncé “des lâches encagoulés, vêtus de noir et qui ont carrément agressé physiquement les militants et les élus socialistes, un parce qu’ils sont socialistes, et deux, parce que certains d’entre eux sont juifs”. Les incidents se sont produits sur le stand installé par le parti. Des manifestants habillés de noir, certains portant des drapeaux antifas, ont vivement bousculé des élus et militants. Le ministère de l’Intérieur a fait état de quatre blessés légers parmi les socialistes.Depuis une dizaine d’années, et notamment lors des manifestations contre la loi travail de 2016, les socialistes sont habitués à entendre “tout le monde déteste le PS” scandé par l’extrême gauche dans les manifestations.Mais là, “il y a eu des tirs de mortier. On a des copains qui se sont retrouvés aux urgences. Ça aurait pu être extrêmement grave”, a jugé M. Mayer-Rossignol. Le PS a porté plainte, et selon le parquet de Paris, une personne a été placée en garde à vue après les faits commis (tirs de mortier, dégradations et violences).Et plusieurs socialistes ont aussi entendu des insultes à relents antisémites. “Des militants qui se prétendent de la gauche, de l’extrême gauche (….) se sont mis d’abord à nous insulter de +sales sionistes+, de +génocidaires+, de +traîtres+”, a raconté l’eurodéputée Emma Rafowicz.Le député Jérôme Guedj, juif comme Mme Rafowicz, a dû être écarté du cortège après avoir déjà dû quitter un rassemblement dimanche contre l’islamophobie organisé à la suite du meurtre d’un fidèle dans une mosquée du Gard. “Tout cela est cohérent avec la détestation qu’ils ont à l’endroit des socialistes et à mon endroit singulier”, a déclaré M. Guedj pour qui “cela pue l’antisémitisme”.- les excuses de Tondelier -Alors que les polémiques sur l’antisémitisme à gauche sont généralement provoquées par LFI (positionnement après le 7 octobre, affiche Hanouna, etc) cette fois-ci c’est la patronne des écologies Marine Tondelier qui a semé le trouble jeudi soir en laissant entendre que Jérome Guedj avait un comportement un peu provocateur en venant aux manifestations.Elle a fait son mea culpa vendredi matin, expliquant avoir été mal informée des incidents. “Jérôme Guedj comme l’ensemble des socialistes et des manifestants, doit pouvoir le faire (manifester) dans la sérénité (…) Quant à savoir s’il existe un antisémitisme d’extrême gauche, la réponse est oui”, a-t-elle affirmé, en présentant ses excuses.Plusieurs personnalités de gauche ont apporté leur soutien à M. Guedj. “Il faut être clair, je soutiens Jérôme Guedj”, a déclaré Clémentine Autain sur RTL. “Il y a des actes d’antisémitisme en France, je les condamne tous sans réserve y compris les violences dont peut faire l’objet Jérôme Guedj”, a renchéri Lucie Castets sur France info. Mais les Insoumis, accusés par M. Mayer-Rossignol d’entretenir un “climat” par “leur stratégie de fracturation et de brutalisation du débat”, se sont contentés du service minimum sur Jérôme Guedj qui leur est radicalement opposé. “Merci aux médias d’arrêter de nous imputer n’importe quelle action contre un tel ou une telle dans les manifestations parisiennes”, avait simplement réagi le coordinateur de LFI Manuel Bompard aux incidents en soulignant que “nous ne sommes pas d’accord avec le fait que l’on règle des désaccords politiques comme cela” (par la violence).Même au sein du PS, le climat est tendu. Jérôme Guedj, qui est dans le camp des opposants à Olivier Faure et derrière Nicolas Mayer-Rossignol pour le prochain Congrès, s’en est ainsi pris sur X au Premier secrétaire qui n’a pas eu “un appel ni hier ni depuis dimanche pour le porte-parole du PS que je suis”.

Foot: la blessure de Dembélé aux ischio-jambiers “évolue favorablement”, selon le PSG

Ousmane Dembélé, sorti sur blessure mardi lors de la victoire du Paris SG 1-0 contre Arsenal en Ligue des champions, est victime d’un “étirement musculaire des ischio-jambiers” mais “sa situation évolue favorablement”, a indiqué le club vendredi, à la veille du déplacement en Ligue 1 à Strasbourg (17h00).Pour ce match, l’attaquant très performant ces derniers mois ne sera pas convoqué. “Demain il ne va pas jouer, ça c’est certain”, a déclaré l’entraîneur Luis Enrique en conférence de presse au Campus PSG de Poissy (Yvelines).Quelques instants auparavant, le club avait écrit dans un communiqué: “Ousmane Dembélé a subi un étirement musculaire des ischio-jambiers de la cuisse droite. Sa situation évolue favorablement. Un nouveau point sera effectué prochainement.”Le PSG reçoit Arsenal mercredi pour la demi-finale retour de Ligue des champions.Par ailleurs, le défenseur Presnel Kimpembe, qui a très peu joué depuis son retour de blessure, a été “victime d’un oedème osseux au 2e métatarsien du pied droit” et “restera au repos ces prochaines semaines”, a rapporté le PSG.

Pakistani Kashmir orders stockpiling of food as India tensions flare

Pakistan-administered Kashmir called on residents near the de facto border with India to stockpile food on Friday as tensions flare between the arch-rivals following a deadly attack last month.India blames Pakistan for backing a shooting on civilians at the tourist site of Pahalgam in Indian-administered Kashmir on April 22 that killed 26 men.Islamabad has denied the charge and the uneasy neighbours have issued a raft of tit-for-tat punitive diplomatic measures.The two nuclear-armed countries have exchanged gunfire for eight consecutive nights along the militarised Line of Control, the de facto border that separates the contested Kashmir region.”Instructions have been issued to stock food supplies for two months in the 13 constituencies along the Line of Control (LoC),” the prime minister of Pakistan-administered Kashmir, Chaudhry Anwar ul Haq, told the local assembly on Friday.The regional government has also created an emergency fund of one billion rupees ($3.5 million) to ensure the supply of “food, medicines and all other basic necessities” to the 13 constituencies, he said.Government and privately owned machinery was also being deployed to maintain roads in the areas along the LoC, he said.In Muzaffarabad, the region’s capital, dozens of protesters rallied under the banner of a Kashmiri political coalition, chanting “Death to India” and calling for “Jihad”, according to an AFP journalist.”This protest march is a show of solidarity with the Pakistan military,” Farooq Rahmani, one of the organisers of the protest told AFP. “If there is any misadventure (by India), we are ready to respond firmly,” he added.The attack in Indian Kashmir and subsequent tensions, including expulsions and closed border crossings, have raised fears of a conflagration between India and Pakistan.Indian Prime Minister Narendra Modi on Tuesday gave the military “complete operational freedom” to respond to the attack.Pakistan said earlier this week it had “credible evidence” that India is planning an imminent military strike, vowing that any attack would be met with a response.Fearing a military escalation, authorities in Pakistani Kashmir shut more than 1,000 religious schools for 10 days on Thursday.India and Pakistan, which both claim Kashmir in full, have fought over the Himalayan territory since the end of British rule in 1947.

Stock markets gain as China mulls US tariff talks

European and Asian markets rose on Friday, tracking Wall Street gains, as China said it was considering a US offer to negotiate steep tariffs.US markets had forged higher Thursday following strong results from tech giants Microsoft and Meta that helped offset lingering economic worries.”Equity markets are largely rising this morning boosted by the positive overnight performance on Wall Street amid China’s openness to trade negotiations,” said Deutsche Bank managing director Jim Reid. “This is outweighing concerns about the effect of tariffs, which were initially triggered by disappointing earnings from Apple and Amazon,” he added.US giants Apple and Amazon both reported disappointing outlooks, as tariffs knock business confidence, after markets closed on Thursday.In Europe, Paris and Frankfurt rose over one percent after the public holiday, as markets brushed off official data showing eurozone inflation remained unchanged at slightly above the European Central Bank’s two-percent target.London also gained, with mining and commodity stocks — sensitive to Chinese demand — performing particularly well amid optimism for potential China-US talks, according to analysts.China’s commerce ministry on Friday said it was evaluating a US offer for negotiations on tariffs, but insisted Washington must be ready to scrap levies that have roiled global markets and supply chains.President Donald Trump’s levies reached 145 percent on many Chinese products in April, while Beijing has responded with fresh 125 percent duties on imports from the United States.Trump has repeatedly claimed that China has reached out for talks on the tariffs, and this week said he believed there was a “very good chance we’re going to make a deal”.Dozens of countries face a 90-day deadline expiring in July to strike an agreement with Washington and avoid higher, country-specific rates.For further signs of the impact of the trade war on the economy, traders are awaiting Friday’s US jobs data for April. The closely-watched indictor will also be pored over for indications of the US central bank’s path for interest rates.In Asia on Friday, Hong Kong was up more than 1.7 percent at the close, while Tokyo rose one percent.Mainland Chinese markets were closed for a holiday.Japan’s envoy for US tariff talks said in Washington on Thursday that a second round of negotiations between the two countries had been “frank and constructive”.The Bank of Japan warned earlier that tariffs were fuelling global economic uncertainty and revised down its growth forecasts while keeping its key interest rate steady.In company news, oil majors ExxonMobil and Shell reported lower profit on weaker crude prices. But Shell managed to be one of the biggest risers in London on Friday as it pushed ahead with shareholder returns.- Key figures at around 1100 GMT -London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 8,559.50 pointsParis – CAC 40: UP 1.6 percent at 7,713.90Frankfurt – DAX: UP 1.7 percent at 22,872.80Tokyo – Nikkei 225: UP 1.0 percent at 36,830.69 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.7 percent at 22,504.68 (close)Shanghai – Composite: closed for holidayNew York – Dow: UP 0.2 percent at 40,752.96 (close)Euro/dollar: UP at $1.1333 from $1.1289 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.3292 from $1.3277Dollar/yen: DOWN at 144.67 yen from 145.44 yenEuro/pound: UP at 85.26 pence from 85.02 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $58.90 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $61.83 per barrelburs-ajb/rl