Bodies found near Mali military camp after mass civilian arrests: witnessesThu, 24 Apr 2025 05:05:35 GMT

Bodies were discovered near a Malian military camp days after the army and Russian mercenaries arrested dozens of civilians, witnesses told AFP Wednesday.Mali, ruled by a junta following coups in 2020 and 2021, has been grappling with widespread insecurity for more than a decade, largely fuelled by Islamist fighters linked to Al-Qaeda and the Islamic …

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Washington ferme son agence de financement d’infrastructures en Afrique

Le gouvernement de Donald Trump a ordonné mercredi la fermeture d’une agence américaine qui investissait des milliards de dollars dans des projets d’infrastructures, surtout en Afrique, un recul de Washington face à la Chine sur un terrain stratégique.Cette institution, le Millennium Challenge Corporation (MCC), va même se retirer immédiatement de différents projets qu’elle menait, de la construction de routes à la modernisation du réseau électrique, en laissant probablement sur place des chantiers inachevés.C’est, en substance, ce qu’a assuré un responsable du MCC lors d’une réunion avec les salariés mercredi, déclarant que l’agence “s’achemine vers une fermeture” en mettant fin à l’ensemble de ses programmes, selon des propos rapportés à l’AFP par une employée.Cette réunion est intervenue après la diffusion d’un mémo, vu par l’AFP, indiquant que la Commission pour l’efficacité gouvernementale (Doge) pilotée par Elon Musk va imposer “une réduction importante” du nombre de salariés et de programmes du MCC.- Concurrence chinoise -Le MCC a été créé par le président républicain George W. Bush en 2004 afin d’aider les pays qui respectent les standards de Washington sur la démocratie, la gouvernance ou l’économie libérale.L’institution, qui est intervenue en Afrique mais pas seulement, bénéficiait depuis d’un large soutien des élus des deux partis. Depuis sa création, le MCC a investi un total de 17 milliards de dollars, avec de nombreux projets en cours, par exemple un demi-milliard en Zambie afin de développer routes, systèmes d’irrigation et réseau électrique.L’investissement dans les infrastructures pour les pays en développement est vu comme un vaste champ d’influence pour les puissances mondiales, et la Chine s’implique fortement à ce propos, particulièrement en Afrique.Pékin est le premier partenaire commercial du continent africain, avec 167,8 milliards de dollars d’échanges bilatéraux au premier semestre 2024, selon les médias officiels chinois, et le président Xi Jinping a affirmé vouloir continuer à investir.Sous la présidence de Joe Biden, les Etats-Unis avaient affirmé ne pas pouvoir suivre sur de telles dépenses publiques, mais défendu un modèle qui respecte la gouvernance des Etats africains.- Quatre exceptions -Donald Trump, partisan d’un retour à l’isolationnisme, pratique une diplomatie transactionnelle et s’est montré peu intéressé par l’Afrique subsaharienne et les aides publiques à l’étranger qui ne bénéficient pas directement aux Etats-Unis.Son gouvernement a ainsi déjà largement démantelé l’USAID, agence américaine d’aide au développement et qui était, jusqu’en 2024, l’un des tout premiers bailleurs de l’aide humanitaire dans le monde.”Nous ne faisons pas d’aide humanitaire”, a insisté auprès de l’AFP l’employée du MCC, qui n’a pas voulu donner son nom pour se protéger. “Nous construisons en réalité un terrain favorable à l’investissement privé dans des économies étrangères.””C’est étrange, si nous sommes inquiets de l’influence de la Chine dans le monde, de vouloir fermer le MCC, qui construit de grandes infrastructures qui s’opposent à l’influence de la Chine”, a-t-elle encore dit.Selon elle, son institution va informer vendredi les pays concernés que les accords d’investissements s’achèveront dans les 40 jours.Ce n’est qu’après une négociation avec les équipes d’Elon Musk au Doge que le Millennium Challenge Corporation a été autorisé à bénéficier d’extensions pour quatre pays.Au Népal, en Mongolie et au Sénégal, le MCC disposera de trois mois pour sécuriser les chantiers en cours, sans forcément pouvoir les achever. En Côte d’Ivoire, où un chantier routier arrive bientôt à son terme, le MCC dispose d’un délai un peu plus long.Scellé en 2022 malgré des manifestations, le projet népalais d’un demi-milliard de dollars doit notamment améliorer le réseau routier de ce voisin de la Chine.Cette fermeture abrupte a été dénoncée par ONE, une ONG de lutte contre la pauvreté fondée par le chanteur de U2 Bono.”MCC défend une approche innovante et entrepreneuriale à l’aide au développement qui tient les gouvernements responsables et combat de manière efficace les influences étrangères néfastes comme la Chine”, a écrit sa directrice pour l’Amérique du Nord, Elizabeth Hoffman.

Washington ferme son agence de financement d’infrastructures en Afrique

Le gouvernement de Donald Trump a ordonné mercredi la fermeture d’une agence américaine qui investissait des milliards de dollars dans des projets d’infrastructures, surtout en Afrique, un recul de Washington face à la Chine sur un terrain stratégique.Cette institution, le Millennium Challenge Corporation (MCC), va même se retirer immédiatement de différents projets qu’elle menait, de la construction de routes à la modernisation du réseau électrique, en laissant probablement sur place des chantiers inachevés.C’est, en substance, ce qu’a assuré un responsable du MCC lors d’une réunion avec les salariés mercredi, déclarant que l’agence “s’achemine vers une fermeture” en mettant fin à l’ensemble de ses programmes, selon des propos rapportés à l’AFP par une employée.Cette réunion est intervenue après la diffusion d’un mémo, vu par l’AFP, indiquant que la Commission pour l’efficacité gouvernementale (Doge) pilotée par Elon Musk va imposer “une réduction importante” du nombre de salariés et de programmes du MCC.- Concurrence chinoise -Le MCC a été créé par le président républicain George W. Bush en 2004 afin d’aider les pays qui respectent les standards de Washington sur la démocratie, la gouvernance ou l’économie libérale.L’institution, qui est intervenue en Afrique mais pas seulement, bénéficiait depuis d’un large soutien des élus des deux partis. Depuis sa création, le MCC a investi un total de 17 milliards de dollars, avec de nombreux projets en cours, par exemple un demi-milliard en Zambie afin de développer routes, systèmes d’irrigation et réseau électrique.L’investissement dans les infrastructures pour les pays en développement est vu comme un vaste champ d’influence pour les puissances mondiales, et la Chine s’implique fortement à ce propos, particulièrement en Afrique.Pékin est le premier partenaire commercial du continent africain, avec 167,8 milliards de dollars d’échanges bilatéraux au premier semestre 2024, selon les médias officiels chinois, et le président Xi Jinping a affirmé vouloir continuer à investir.Sous la présidence de Joe Biden, les Etats-Unis avaient affirmé ne pas pouvoir suivre sur de telles dépenses publiques, mais défendu un modèle qui respecte la gouvernance des Etats africains.- Quatre exceptions -Donald Trump, partisan d’un retour à l’isolationnisme, pratique une diplomatie transactionnelle et s’est montré peu intéressé par l’Afrique subsaharienne et les aides publiques à l’étranger qui ne bénéficient pas directement aux Etats-Unis.Son gouvernement a ainsi déjà largement démantelé l’USAID, agence américaine d’aide au développement et qui était, jusqu’en 2024, l’un des tout premiers bailleurs de l’aide humanitaire dans le monde.”Nous ne faisons pas d’aide humanitaire”, a insisté auprès de l’AFP l’employée du MCC, qui n’a pas voulu donner son nom pour se protéger. “Nous construisons en réalité un terrain favorable à l’investissement privé dans des économies étrangères.””C’est étrange, si nous sommes inquiets de l’influence de la Chine dans le monde, de vouloir fermer le MCC, qui construit de grandes infrastructures qui s’opposent à l’influence de la Chine”, a-t-elle encore dit.Selon elle, son institution va informer vendredi les pays concernés que les accords d’investissements s’achèveront dans les 40 jours.Ce n’est qu’après une négociation avec les équipes d’Elon Musk au Doge que le Millennium Challenge Corporation a été autorisé à bénéficier d’extensions pour quatre pays.Au Népal, en Mongolie et au Sénégal, le MCC disposera de trois mois pour sécuriser les chantiers en cours, sans forcément pouvoir les achever. En Côte d’Ivoire, où un chantier routier arrive bientôt à son terme, le MCC dispose d’un délai un peu plus long.Scellé en 2022 malgré des manifestations, le projet népalais d’un demi-milliard de dollars doit notamment améliorer le réseau routier de ce voisin de la Chine.Cette fermeture abrupte a été dénoncée par ONE, une ONG de lutte contre la pauvreté fondée par le chanteur de U2 Bono.”MCC défend une approche innovante et entrepreneuriale à l’aide au développement qui tient les gouvernements responsables et combat de manière efficace les influences étrangères néfastes comme la Chine”, a écrit sa directrice pour l’Amérique du Nord, Elizabeth Hoffman.

L’ex-président sud-coréen Moon Jae-in inculpé pour corruption

L’ancien président de la Corée du Sud Moon Jae-in a été inculpé pour corruption, soupçonné d’avoir facilité l’emploi de son gendre dans une compagnie aérienne, ont annoncé jeudi les procureurs.Un énième rebondissement sur la scène politique sud-coréenne, déjà ébranlée par plusieurs mois de chaos à la suite de la tentative ratée de l’ex-président Yoon Seok Yeol d’instaurer la loi martiale en décembre, qui s’est soldée par sa destitution.L’ancien président de centre-gauche (2017-2022) a été “inculpé de corruption pour avoir reçu 217 millions de wons (132.200 euros) après avoir facilité l’emploi de son gendre dans une compagnie aérienne”, a déclaré le bureau des procureurs du district de Jeonju dans un communiqué.Selon le parquet, le gendre de M. Moon aurait été nommé directeur général de la compagnie aérienne Thai Easter Jet, “malgré l’absence de toute expérience ou qualification pertinente dans l’industrie du transport aérien”.L’entreprise, contrôlée dans les faits par un ancien député du parti de Moon Jae-in, a nommé son gendre en vue de s’attirer les faveurs du président.Tout salaire et autres avantages financiers versés par la compagnie aérienne au gendre de M. Moon entre 2018 et 2020 “ont été confirmés comme n’étant pas des paiements de salaires légitimes, mais des pots-de-vin destinés au président”, ont encore fait état les procureurs.- “Motifs politiques” -Moon Jae-in est connu pour avoir promu le rapprochement intercoréen, et notamment pour avoir organisé des discussions entre le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un et le président américain Donald Trump lors de son premier mandat.Sa formation, le Parti démocrate qui contrôle le Parlement, a qualifié jeudi l’inculpation de l’ancien président d'”abus de pouvoir judiciaire incontrôlé”.L’accusation de corruption n’est “rien d’autre qu’une manÅ“uvre politique visant à humilier un ancien président”, a déclaré Park Kyung-mee, porte-parole du Parti démocrate, dans un communiqué. “Le salaire versé au gendre était donc un pot-de-vin au président? Est-ce la chose la plus logique qu’ils ont pu trouver après avoir fait traîner l’affaire pendant quatre longues années?”, a-t-elle ajouté.Avec l’inculpation de Moon Jae-in, deux anciens présidents sud-coréens sont simultanément dans le collimateur de la justice.M. Yoon, est actuellement jugé pour insurrection. Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, il avait tenté d’imposer par surprise la loi martiale, envoyant l’armée bloquer le Parlement dominé par l’opposition. Mais un nombre suffisant de députés était parvenu à se réunir afin de faire échouer ce coup de force.S’il est jugé coupable, M. Yoon pourrait être condamné à la prison à vie, voire à la peine de mort. La peine capitale reste toutefois très peu probable, car la Corée du Sud applique un moratoire officieux sur les exécutions depuis 1997. En Corée du Sud, les présidents connaissent souvent des sorts funestes. Les deux autres ex-présidents encore vivants – Lee Myung-bak et Park Gueun-hye – ont été condamnés pour corruption et ont fait de la prison.Roh Moo-hyun (2003-2008) s’est lui jeté du haut d’une falaise en mai 2009. Il était visé par une enquête sur des versements d’argent suspects par un riche fabricant de chaussures à son épouse et à un autre membre de sa famille.

L’ex-président sud-coréen Moon Jae-in inculpé pour corruption

L’ancien président de la Corée du Sud Moon Jae-in a été inculpé pour corruption, soupçonné d’avoir facilité l’emploi de son gendre dans une compagnie aérienne, ont annoncé jeudi les procureurs.Un énième rebondissement sur la scène politique sud-coréenne, déjà ébranlée par plusieurs mois de chaos à la suite de la tentative ratée de l’ex-président Yoon Seok Yeol d’instaurer la loi martiale en décembre, qui s’est soldée par sa destitution.L’ancien président de centre-gauche (2017-2022) a été “inculpé de corruption pour avoir reçu 217 millions de wons (132.200 euros) après avoir facilité l’emploi de son gendre dans une compagnie aérienne”, a déclaré le bureau des procureurs du district de Jeonju dans un communiqué.Selon le parquet, le gendre de M. Moon aurait été nommé directeur général de la compagnie aérienne Thai Easter Jet, “malgré l’absence de toute expérience ou qualification pertinente dans l’industrie du transport aérien”.L’entreprise, contrôlée dans les faits par un ancien député du parti de Moon Jae-in, a nommé son gendre en vue de s’attirer les faveurs du président.Tout salaire et autres avantages financiers versés par la compagnie aérienne au gendre de M. Moon entre 2018 et 2020 “ont été confirmés comme n’étant pas des paiements de salaires légitimes, mais des pots-de-vin destinés au président”, ont encore fait état les procureurs.- “Motifs politiques” -Moon Jae-in est connu pour avoir promu le rapprochement intercoréen, et notamment pour avoir organisé des discussions entre le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un et le président américain Donald Trump lors de son premier mandat.Sa formation, le Parti démocrate qui contrôle le Parlement, a qualifié jeudi l’inculpation de l’ancien président d'”abus de pouvoir judiciaire incontrôlé”.L’accusation de corruption n’est “rien d’autre qu’une manÅ“uvre politique visant à humilier un ancien président”, a déclaré Park Kyung-mee, porte-parole du Parti démocrate, dans un communiqué. “Le salaire versé au gendre était donc un pot-de-vin au président? Est-ce la chose la plus logique qu’ils ont pu trouver après avoir fait traîner l’affaire pendant quatre longues années?”, a-t-elle ajouté.Avec l’inculpation de Moon Jae-in, deux anciens présidents sud-coréens sont simultanément dans le collimateur de la justice.M. Yoon, est actuellement jugé pour insurrection. Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, il avait tenté d’imposer par surprise la loi martiale, envoyant l’armée bloquer le Parlement dominé par l’opposition. Mais un nombre suffisant de députés était parvenu à se réunir afin de faire échouer ce coup de force.S’il est jugé coupable, M. Yoon pourrait être condamné à la prison à vie, voire à la peine de mort. La peine capitale reste toutefois très peu probable, car la Corée du Sud applique un moratoire officieux sur les exécutions depuis 1997. En Corée du Sud, les présidents connaissent souvent des sorts funestes. Les deux autres ex-présidents encore vivants – Lee Myung-bak et Park Gueun-hye – ont été condamnés pour corruption et ont fait de la prison.Roh Moo-hyun (2003-2008) s’est lui jeté du haut d’une falaise en mai 2009. Il était visé par une enquête sur des versements d’argent suspects par un riche fabricant de chaussures à son épouse et à un autre membre de sa famille.

Asian markets mixed as Trump soothes Fed fears

Asian markets were mixed on Thursday after President Donald Trump said he had “no intention” of firing the US central bank head and made conciliatory comments on his trade war with China.Trump’s attacks on the Federal Reserve for not cutting interest rates had raised fears that he would fire its “Mr. Too Late” chief Jerome Powell, in a major blow to its independence.Trump’s rowback on Wednesday boosted Wall Street, as did his comments that US tariffs on China were “very high” and would “come down substantially”.The broad-based S&P 500 finished 1.7 percent higher on Wednesday. European stocks also rallied, with Frankfurt gaining more than three percent.Trump could also exempt car parts from some tariffs on China alongside those on steel and aluminum in a “destacking”, the Financial Times reported.Tokyo rose more than one percent, while Sydney added 0.6 percent and Shanghai 0.3 percent.But Seoul fell after official data showed South Korea’s economy unexpectedly contracted 0.1 percent in the first three months of 2025.Hong Kong and Taipei were also slightly down.”Both US equities and government bonds have staged a relief rally over the past 24 hours, as concerns about Fed independence and the trade war have eased,” said Hubert de Barochez at Capital Economics.”But the fact that the rally was sparked largely by conciliatory remarks from US President Trump — whose rhetoric is notoriously volatile — raises questions about its durability,” de Barochez said.On trade, Washington has imposed additional tariffs of 145 percent on a range of products from China, while Beijing has retaliated with levies of 125 percent on US goods.Treasury Secretary Scott Bessent told reporters on Wednesday that Washington is “not yet” speaking with Beijing on tariffs, calling the high levies not “sustainable”. Bessent also said that in its talks with Japan on tariffs, Washington had “absolutely no currency targets”, after repeated comments from Trump that he wants a stronger yen.Japan’s envoy Ryosei Akazawa met Trump and other senior US officials last week, and local media reported Thursday that he will return for another round on May 1.Nintendo shares gained as much as 5.5 percent after its president said there were “extremely high” pre-orders in Japan for its Switch 2 game console ahead of its global launch on June 5.  – Key figures at 0300 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 1.9 percent at 34,868.63 (break)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.23 percent 22,022.77Shanghai – Composite: UP 0.26 percent at 3,304.97 Euro/dollar: UP at $1.1351 from  $1.1317 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3281 from $1.3257Dollar/yen: DOWN at 142.78 from 143.49 yen  Euro/pound: UP at 85.47 from 85.34 pence West Texas Intermediate: DOWN 0.05 percent at $62.24 per barrelBrent North Sea Crude: UNCHANGED at $66.12 per barrelNew York – Dow: UP 1.1 percent at 39,606.57 (close)London – FTSE 100: UP 0.9 percent at 8,403.18 (close)burs-stu/tc/tym

India targets Pakistan with diplomatic moves after Kashmir attack

India took a raft of punitive diplomatic measures against Pakistan on Wednesday, accusing Islamabad of supporting “cross-border terrorism” after a deadly attack on civilians in Kashmir.Pakistan has denied responsibility.But the attack plunged relations between the nuclear-armed neighbours to their lowest level in years, and some fear New Delhi’s diplomatic moves may just be an opening salvo — with the potential risk still of military action.India’s measures, including the suspension of a key water-sharing treaty and closure of the main land border crossingwith Pakistan, came a day after gunmen killed tourists in the Indian-administered part of disputed Kashmir.Islamabad will make “a tit-for-tat response”, Pakistan’s Deputy Prime Minister Ishaq Dar said.The gunmen killed 26 men — all Indian except one Nepali — in the deadliest attack on civilians in the Himalayan region for a quarter century.Funerals of several of those killed have been held across the country by grieving relatives, while candle-lit vigils have also been held by the wider public.The killings have shocked New Delhi, as they marked a dramatic shift towards targeting civilians and the area’s vital tourism industry, rather than smaller-scale attacks against Indian security forces, which are more common.Indian Prime Minister Narendra Modi has pledged that those responsible for the “heinous act” will be brought to justice.”Their evil agenda will never succeed,” Modi said shortly after the attack.- ‘Serious risk’ -Tuesday’s assault occurred as tourists enjoyed tranquil mountain views at the popular site at Pahalgam, when gunmen burst out of forests and raked crowds with automatic weapons.No group has claimed responsibility for the attack in the Muslim-majority region where rebels have waged an insurgency since 1989 — seeking independence or a merger with Pakistan. Indian Foreign Secretary Vikram Misri on Wednesday read out a series of actions against Pakistan.They included the suspension of the Indus Waters Treaty of 1960 to share critical water from Himalayan tributaries “until Pakistan credibly and irrevocably abjures (rejects) its support for cross-border terrorism”, Misri told reporters in New Delhi.They also included the shutting of the main land border crossing and diplomatic staff reductions, including withdrawing several Indian personnel from Islamabad and ordering Pakistanis home.Analyst Michael Kugelman said the attack posed a “very serious risk of a new crisis between India and Pakistan, and probably the most serious risk of a crisis since the brief military conflict that happened in 2019”.- ‘Heinous’ -India and Pakistan have long accused each other of backing forces to destabilise one another, and New Delhi says Islamabad backs the gunmen behind the insurgency. Islamabad denies the allegation, saying it only supports Kashmir’s struggle for self-determination.Pakistan’s foreign ministry on Wednesday offered its “condolences to the near ones of the deceased”.After India’s diplomatic measures, Pakistan said it would convene its National Security Committee, composed of senior civil and military officials and summoned only in exceptional circumstances.”A comprehensive response will be given,” Pakistan’s Defence Minister Khawaja Asif said.Asif said that India wants to “use this incident, which we deplore, as an excuse” to exit the water accord.India is expected to hold an all-party political meeting on Thursday to brief top leaders.India has an estimated 500,000 soldiers permanently deployed in the territory but fighting has eased since Modi’s government revoked Kashmir’s limited autonomy in 2019, a move accompanied by a crackdown on dissent.The deadliest previous attack on civilians was in 2000 when 36 Indians were killed.The worst attack in recent years was in Pulwama in 2019 when insurgents rammed a car packed with explosives into a police convoy, killing 40 and wounding 35.