DR Congo government and M23 make joint truce pledgeThu, 24 Apr 2025 07:26:44 GMT

The Democratic Republic of Congo’s government and the M23 group on Wednesday issued a landmark joint statement saying they had agreed to halt fighting in the east of the country while they work towards a permanent truce.The surprise announcement follows talks mediated by Qatar. The two sides said they had “agreed to work towards the …

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Grève à la SNCF: le ministre des Transports espère que les syndicats reviendront “à la raison”

“Certains syndicats ne semblent pas vouloir avancer vers un apaisement”, a déploré jeudi le ministre des Transports Philippe Tabarot, qui a dit toutefois espérer que ceux-ci “reviennent à la raison”, permettant d’éviter une grève à la SNCF le week-end du 8 mai. “Pour négocier, il faut être deux et certains syndicats ne semblent pas vouloir avancer vers un apaisement”, a déclaré le ministre sur RTL.”Je pense que la direction de la SNCF veut continuer le dialogue social. Il y a un certain nombre de revendications sur lesquelles ils souhaitent avancer”, a-t-il assuré. “J’ai espoir encore sur les capacités de Jean-Pierre Farandou (patron de la SNCF, NDLR) et Christophe Fanichet (PDG de SNCF Voyageurs, la filiale qui gère les trains, NDLR) à pouvoir trouver un accord et que certains syndicats reviennent à la raison”, a souligné Philippe Tabarot.Les contrôleurs sont appelés à se mettre en grève les 9, 10 et 11 mai, par Sud-Rail, troisième syndicat à la SNCF mais deuxième chez les contrôleurs, ainsi que par un influent collectif de contrôleurs baptisé CNA (collectif national ASCT).La CGT-Cheminots, premier syndicat, a elle appelé à se mobiliser dès le 5 mai. Sud-Rail a également appelé les conducteurs à la grève le 7 mai, veille de jour férié.Mercredi, la direction de la SNCF avait rappelé que “100% des engagements pris après le mouvement des contrôleurs fin 2022”, notamment sur la rémunération, avait été “tenus”.”Sur les salaires, nous avons fait le job lors des négociations annuelles, il ne peut y avoir de négociations semestrielles ou trimestrielles”, avait estimé la direction de la SNCF, rappelant que l’augmentation moyenne des salaires des agents s’est portée à 2,2% pour 2025.La direction a toutefois promis plus de visibilité sur les plannings de travail des contrôleurs, autre point de négociation avec les organisations syndicales qui reprochent des modifications de planning trop fréquentes.Philippe Tabarot a indiqué ne pas “(souhaiter) intervenir directement parce que je pense que ça affaiblirait l’Etat”.”Je fais confiance à la SNCF pour voir ce qui est juste et ce qui n’est pas juste en termes de revendications”, a-t-il ajouté.Il a mis en avant les “usagers qui s’inquiètent par rapport à ce mois de mai qui s’annonce difficile” et doivent “avoir des informations pour pouvoir s’organiser”.Et de mettre en garde: “une journée de grève, c’est 10 millions (d’euros) qui ne sont pas investis dans le réseau. Donc ceux qui se prétendent, et je veux bien croire, des amoureux du ferroviaire et qui souhaitent que l’Etat à travers la SNCF puisse investir dans le ferroviaire doivent (…) ne pas utiliser en permanence l’arme de la grève”.

Grève à la SNCF: le ministre des Transports espère que les syndicats reviendront “à la raison”

“Certains syndicats ne semblent pas vouloir avancer vers un apaisement”, a déploré jeudi le ministre des Transports Philippe Tabarot, qui a dit toutefois espérer que ceux-ci “reviennent à la raison”, permettant d’éviter une grève à la SNCF le week-end du 8 mai. “Pour négocier, il faut être deux et certains syndicats ne semblent pas vouloir avancer vers un apaisement”, a déclaré le ministre sur RTL.”Je pense que la direction de la SNCF veut continuer le dialogue social. Il y a un certain nombre de revendications sur lesquelles ils souhaitent avancer”, a-t-il assuré. “J’ai espoir encore sur les capacités de Jean-Pierre Farandou (patron de la SNCF, NDLR) et Christophe Fanichet (PDG de SNCF Voyageurs, la filiale qui gère les trains, NDLR) à pouvoir trouver un accord et que certains syndicats reviennent à la raison”, a souligné Philippe Tabarot.Les contrôleurs sont appelés à se mettre en grève les 9, 10 et 11 mai, par Sud-Rail, troisième syndicat à la SNCF mais deuxième chez les contrôleurs, ainsi que par un influent collectif de contrôleurs baptisé CNA (collectif national ASCT).La CGT-Cheminots, premier syndicat, a elle appelé à se mobiliser dès le 5 mai. Sud-Rail a également appelé les conducteurs à la grève le 7 mai, veille de jour férié.Mercredi, la direction de la SNCF avait rappelé que “100% des engagements pris après le mouvement des contrôleurs fin 2022”, notamment sur la rémunération, avait été “tenus”.”Sur les salaires, nous avons fait le job lors des négociations annuelles, il ne peut y avoir de négociations semestrielles ou trimestrielles”, avait estimé la direction de la SNCF, rappelant que l’augmentation moyenne des salaires des agents s’est portée à 2,2% pour 2025.La direction a toutefois promis plus de visibilité sur les plannings de travail des contrôleurs, autre point de négociation avec les organisations syndicales qui reprochent des modifications de planning trop fréquentes.Philippe Tabarot a indiqué ne pas “(souhaiter) intervenir directement parce que je pense que ça affaiblirait l’Etat”.”Je fais confiance à la SNCF pour voir ce qui est juste et ce qui n’est pas juste en termes de revendications”, a-t-il ajouté.Il a mis en avant les “usagers qui s’inquiètent par rapport à ce mois de mai qui s’annonce difficile” et doivent “avoir des informations pour pouvoir s’organiser”.Et de mettre en garde: “une journée de grève, c’est 10 millions (d’euros) qui ne sont pas investis dans le réseau. Donc ceux qui se prétendent, et je veux bien croire, des amoureux du ferroviaire et qui souhaitent que l’Etat à travers la SNCF puisse investir dans le ferroviaire doivent (…) ne pas utiliser en permanence l’arme de la grève”.

At Texas Trump-themed burger joint, diners eating it up

It is lunchtime at a Texas eatery called Trump Burger and diners are enjoying fast food and the frenetic first 100 days of their president’s second term.Donald Trump imagery is everywhere in this joint with a dozen tables — in cardboard cutouts of the man eking out his trademark forced smile, on banners from the 2024 campaign, and on hats and T-shirts displayed for sale.It is a franchise of a company with four such Trump-themed outlets in Texas and no equal anywhere else in America.This particular one opened in 2020 and is in Bellville, about a 90-minute drive northwest of Houston in a county where 80 percent of voters cast their ballots for Trump over Kamala Harris back in November.The chain is not linked to the Trump Organization.On weekends the Bellville eatery is particularly busy as bikers on roaring Harley-Davidsons roll up, as do families in pickup trucks with big tires.The menu features the Trump Burger or the supersized Trump Tower with two hamburger patties, the latter costing $16.99.Those and other sandwiches all come with the word Trump emblazoned on the bun.Also on offer, in writing at least, is something called the Biden Burger, described as being made from old tomatoes, stale buns and costing a whopping $50.99 — though presently unavailable due to “cheating and inflation.” -‘On the right path’-On a recent day, many customers told AFP they were delighted so far with Trump 2.0.Jason Sullivan, 47, who works in oil and gas, said Trump’s “drill, baby, drill” attitude toward fossil fuels and dismissal of climate change concerns as he rolls back Biden-era environmental restrictions have been a godsend.”We’ve seen a boom and actually sometimes new projects and developments that happened not just in Texas, but across the country so far,” said Sullivan.”A lot of projects that were put on the back burners from the previous administration are now coming to fruition,” he added.Kim Vanek, a 59-year-old retiree, said the first 100 days of Trump’s second stint in the White House have gone swimmingly.Working at a dizzying pace, the Trump administration has moved to slash the government by firing tens of thousands of civil servants, launched a global trade war with tariffs against most countries, and begun a mass deportation of undocumented people.It has also all but ended US overseas humanitarian aid, locked horns with the media and universities, and launched a campaign of revenge against people Trump sees as enemies.”He’s been planning now for four years to get back in here and people think it’s going to happen overnight, things are going to change overnight,” said Vanek.”It’s not, but he’s on the right path. You’re going to see a lot of good things come out of the next three years.”- ‘Could have been done better’ – But not everyone at Trump Burger is impressed with Trump’s performance so far.August Money, a 34-year-old Republican who works in health care technology, said the on-again, off-again tariff rollout — aimed at forcing companies to relocate their factories to the United States — was chaotic.”I understand the larger goal of really wanting to bring back domestic manufacturing,” said Money.”Hopefully most of it is really just his, you know, famed negotiating techniques. But yeah, it could have been done better. The calculations they used didn’t really make a lot of sense,” said Money.He also criticized the administration for deporting alleged gang members to a grim El Salvador prison without even a court hearing.Money said, “That’s dangerous and a slippery slope right there.” 

Americans wary of Trump’s economic about-faces

President Donald Trump’s various U-turns are leaving Americans disillusioned — especially after he was elected on vows of guaranteeing economic prosperity.He has floated wanting to fire the Fed chair before backing off for now, and he slapped tariffs on China only to then promise compromise and mollification.”There is no chance the US flip-flops on trade the past month were remotely planned,” Joseph Grieco, professor of political science at Duke University, told AFP.”It’s been one improvisation after another.”In a Pew Research Center survey conducted in early April, when President Trump was already downgrading his trade war with many countries to focus his ire on China, just 40 percent of respondents approved of his job performance — a seven-point slide from February.With the exception of Bill Clinton and now Trump, US presidents dating back to Ronald Reagan have had an approval rating topping 50 percent after their first 100 days in office, Pew noted.However, the pollsters pointed out that the ratings for Trump, ever the divider who plays to his strengths, are essentially on par with those in 2017, at the same time in his first term.- Majority dissatisfied -Specifically, nearly six in 10 Pew respondents were critical of the Republican billionaire’s trade policies.Another opinion poll, by Reuters/Ipsos, notes that just 37 percent of Americans now say they are satisfied with the president’s economic approach.This is substantially below the upbeat numbers early in the first term for Trump, whose strong point, politically speaking, has always been the economy.Results of a YouGov poll from early April reinforced the bad news for the real estate tycoon. A majority of Americans, 51 percent, were now dissatisfied with Trump’s economic policies.That was a four-point slide from late March, before his earth-shaking tariff announcements — which were themselves followed a week later by a sweeping U-turn by Trump. Absent a clear White House strategy, the world’s markets are on edge, alternately soaring or plunging on the slightest remarks by Trump or his top officials on trade or monetary policy.Such whipsaws have brought anxiety to millions of American investors, especially those whose retirement savings are in stock-related plans.Concern only grew with the president’s amped-up criticism of US Federal Reserve chair Jerome Powell, calling him a “loser” for refusing to cut interest rates.The attack on the central bank’s independence sent markets tumbling — before Trump backed off, assuring on Tuesday he had no intention of firing Powell.- Adulation, too -It is virtually impossible to know how the trade confrontation with China will play out, even as Trump says the 145 percent tariffs he has slapped on the world’s second-largest economy will be reduced sharply.According to a recent Gallup poll, 53 percent of Americans believe their personal financial situation will worsen. Since 2001, the renowned polling organization has noted how most people it surveyed have expressed optimism about their wallets.Increasing worry would translate to a reluctance to consume, which could slow economic growth.While the major opinion polls reflect a growing mistrust of White House economic policy, most also agree that such pessimism has yet to reach Trump’s core base of supporters, whose adulation of the president largely has remained strong through thick and thin.In today’s hyper-divided political America, 70 percent of Republican voters and Republican-leaning independents still support Trump’s tariff hikes, while 90 percent of Democrats oppose them, according to Pew.

Phytosanitaires: l’épandage par drone désormais autorisé dans certains cas

La pulvérisation par drone de produits phytosanitaires sur des bananeraies, sur certaines vignes ou sur des parcelles agricoles particulièrement pentues va désormais être autorisée en France mais sera encadrée. La loi permettant de tels épandages, signée mercredi par Emmanuel Macron lors de son déplacement à La Réunion, a été publiée jeudi au Journal officiel. Cette loi autorise la pulvérisation par drone de certains produits phytosanitaires “sur les parcelles agricoles comportant une pente supérieure ou égale à 20%, sur les bananeraies et sur les vignes mères de porte-greffes”, afin de “lutter contre un danger sanitaire grave qui ne peut être maîtrisé par d’autres moyens”.A l’avenir, des pesticides pourront donc par exemple être appliqués à l’aide de drones sur certains vignobles escarpés d’Alsace ou du Rhône. Ce type d’épandage restera cependant encadré et ne pourra être autorisé que “temporairement”, via un arrêté conjoint des ministres chargés de l’Environnement, de l’Agriculture et de la Santé. Il doit également être limité aux situations dans lesquelles la pulvérisation par drone apporte “des avantages manifestes pour la santé humaine et pour l’environnement” par rapport à une application classique de produits phytosanitaires, par voie terrestre. Les défenseurs de cette pratique jugent qu’elle permet d’éloigner les travailleurs agricoles de la zone d’épandage et de diminuer la quantité de produits utilisés grâce à une plus grande précision, tandis que ses détracteurs considèrent qu’elle maintient la dépendance de l’agriculture aux pesticides. L’épandage par drone de produits phytosanitaires était jusqu’ici interdit hormis dans des cas très encadrés de “danger sanitaire grave”. 

Phytosanitaires: l’épandage par drone désormais autorisé dans certains cas

La pulvérisation par drone de produits phytosanitaires sur des bananeraies, sur certaines vignes ou sur des parcelles agricoles particulièrement pentues va désormais être autorisée en France mais sera encadrée. La loi permettant de tels épandages, signée mercredi par Emmanuel Macron lors de son déplacement à La Réunion, a été publiée jeudi au Journal officiel. Cette loi autorise la pulvérisation par drone de certains produits phytosanitaires “sur les parcelles agricoles comportant une pente supérieure ou égale à 20%, sur les bananeraies et sur les vignes mères de porte-greffes”, afin de “lutter contre un danger sanitaire grave qui ne peut être maîtrisé par d’autres moyens”.A l’avenir, des pesticides pourront donc par exemple être appliqués à l’aide de drones sur certains vignobles escarpés d’Alsace ou du Rhône. Ce type d’épandage restera cependant encadré et ne pourra être autorisé que “temporairement”, via un arrêté conjoint des ministres chargés de l’Environnement, de l’Agriculture et de la Santé. Il doit également être limité aux situations dans lesquelles la pulvérisation par drone apporte “des avantages manifestes pour la santé humaine et pour l’environnement” par rapport à une application classique de produits phytosanitaires, par voie terrestre. Les défenseurs de cette pratique jugent qu’elle permet d’éloigner les travailleurs agricoles de la zone d’épandage et de diminuer la quantité de produits utilisés grâce à une plus grande précision, tandis que ses détracteurs considèrent qu’elle maintient la dépendance de l’agriculture aux pesticides. L’épandage par drone de produits phytosanitaires était jusqu’ici interdit hormis dans des cas très encadrés de “danger sanitaire grave”. 

Huge crowds expected for second day of pope lying in stateThu, 24 Apr 2025 06:32:20 GMT

Huge crowds were expected on Thursday for a glimpse of Pope Francis’s body on the second day of public tributes, afer St Peter’s Basilica stayed open almost all night to accomodate the crowds.Close to 20,000 people filtered past the Catholic leader’s red-lined wooden coffin in the first eight hours of the lying in state on …

Huge crowds expected for second day of pope lying in stateThu, 24 Apr 2025 06:32:20 GMT Read More »