Manchester City: Rodri ne sera pas à 100% avant septembre (Guardiola)

Rodri, milieu de terrain de Manchester City et Ballon d’Or 2024, ne sera pas complètement remis avant la trêve internationale de début septembre, a indiqué samedi son entraîneur Pep Guardiola. “Rodri va mieux mais il a eu une grosse blessure lors du dernier match contre Al-Hilal”, le 1er juillet en Coupe du monde des clubs, a déclaré Guardiola dans des propos diffusés samedi. “Il s’entraîne en ce moment et depuis deux ou trois jours, il va mieux. Espérons qu’après la trêve internationale (1er au 9 septembre NDLR), il sera vraiment, vraiment en forme”.”On espère qu’il pourra jouer quelques minutes dans les matches (avant cela), mais l’important est qu’il n’ait pas de douleur, car nous ne voulons pas qu’il revienne, se blesse à nouveau et revienne encore blessé”, a ajouté l’entraîneur des Citizens.L’Espagnol a manqué la majeure partie de la saison dernière en raison d’une rupture des ligaments croisés. Sans lui, City n’a pas réussi à conserver son titre de champion d’Angleterre, terminant 3ème derrière Liverpool et Arsenal.Le joueur de 29 ans est revenu sur les terrains en fin de saison mais a de nouveau été blessé, à l’aine, lors de la défaite de City contre le club saoudien d’Al-Hilal (4-3) à la Coupe du monde des cubs aux États-Unis. City affrontera Wolverhampton lors de son premier match de Premier League de la saison le week-end prochain, avant de jouer contre Tottenham et Brighton avant la tr^zve internationale de septembre. 

As temperatures touch 50C, Dubai runners turn to indoor marathon

Early on Saturday, as temperatures soared outside, a sprawling shopping centre in Dubai echoed to the squeak of sneakers as hundreds of people joined “Mallathon” — an indoor, air-conditioned race.The government-backed initiative aims to encourage exercise during August, often the United Arab Emirates’ hottest month, and make use of Dubai’s giant malls which are otherwise empty at that time.Running outside during summer in the Gulf, one of the world’s hottest regions where temperatures sometimes top 50C, is unpleasant and even unsafe for many.”If you run outside, it’s not healthy at all because temperatures are around 40C to 50C,” said one runner who gave his name as Rai, his platinum-blond hair pulled back with a headband.Participants wearing “Dubai Mallathon” T-shirts and sports gear ran and walked past closed stores along vacant, marbled halls that were set to be teeming with shoppers hours later.Throughout August, nine of the city’s shopping centres — including the cavernous Dubai Mall, one of the world’s biggest — are open daily for runners and walkers from 7am-10am.On weekends, runners can enter organised 10km, 5km or 2.5km races at designated malls, complete with podium presentations and prizes.During Saturday’s race at the City Centre Mirdif mall, two robots buzzed around the participants, who paused to take selfies with them.Others waited in line to use electric bikes that powered blenders to make healthy smoothies.- Mall rats -Mallathon is backed by Dubai Crown Prince Sheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid Al Maktoum, 42, whose public profile projects him as an exemplar of active living.It is one of a number of attempts to steer Dubai’s car-loving, mall-rat population towards exercise, including the 30×30 challenge, where residents are encouraged to exercise 30 minutes a day for a month.Obesity rates in the energy-rich Gulf country regularly top global charts.A study published by The Lancet in March predicted a staggering 94 percent of UAE males would be overweight or obese by 2050 — the highest in the world.Partly to blame is the furnace-like heat that ravages the region for several months a year, and is steadily growing more intense.The UAE had its hottest April on record this year, and then breached its May high two days in a row. On August 1, temperatures reached 51.8C, just shy of the national record of 52C.Menna, a 36-year-old Egyptian who has lived in Dubai for 15 years, said there was “no way” she would exercise outside in the summer.But in the mall, “we have air-conditioning, first aid, water… there’s everything that you need.” “It motivates you more when other people are doing it too,” she added.Fouzeya Faridoon, head of social activities at Dubai Sports Council, said more than 500 people had signed up for Saturday’s event, which was free.”The idea is to encourage people to exercise, especially walking and running, even in the summer,” she told AFP.Children, men, women and at least one person with a disability were among the participants who collected a medal and a bag of freebies at the finish line.Zamani, a Sri Lankan tourist, was one of the runners, along with her young children.”I like the energy, everybody is all geared up,” the 46-year-old said. “It’s very modern and chic.”

L’incendie de l’Aude “pas maîtrisé” avant dimanche soir

L’incendie dans le massif des Corbières, qui a parcouru 16.000 hectares et mobilise toujours 1.400 pompiers samedi, ne sera pas sous contrôle avant dimanche en fin de journée, selon les pompiers qui s’attendent à une fin de weekend difficile.  “Le feu est fixé mais non maîtrisé, nous avons encore des points chauds (…) jusqu’à dimanche soir le feu ne sera pas maîtrisé”, a estimé le colonel Christophe Magny lors d’un point-presse conjoint avec le préfet de l’Aude, à Lézignan-Corbières.Un vent sec et chaud à 50 km/h, des températures autour de 40 degrés: les conditions météorologiques prévues pour dimanche préoccupent les autorités.Dimanche, a-t-il ajouté, “ce sera une journée de transition en termes de vent”, avec “des conditions qui se rapprochent de celles du jour du départ de l’incendie”.Samedi, alors que l’Aude est en vigilance orange canicule, les pompiers restent sur le qui-vive, surveillent les 90 kilomètres de bordures pour “éviter que le feu reprenne à l’avant”, dans la partie la plus proche du littoral méditerranéen et de l’autoroute A9 qu’il avait failli atteindre mercredi.- de nouveaux accès -Grâce à des bulldozers, 10 km de pistes ont été créés pour ouvrir de nouveaux accès et faciliter l’intervention des pompiers dans des zones escarpées, où la végétation est dense.”Le combat continue, les pompiers travaillent toujours sur des reprises de feu (…) les sinistrés ont pu regagner leur domicile. Les solutions d’hébergement sont en place en lien avec les municipalités”, a dit pour sa part le préfet de l’Aude Christian Pouget.Vendredi en fin de journée, une reprise du feu près de la commune de Jonquières a nécessité l’appui de quatre Canadair.L’incendie ne sera pas “déclaré éteint avant plusieurs jours”, a prévenu le préfet de l’Aude, ajoutant qu'”il y a encore beaucoup de travail”.Après avoir dû quitter leur logement dans la précipitation mardi, les dernières personnes évacuées ont été autorisées vendredi soir à regagner les 15 villages impactés par l’incendie, le plus important depuis un demi-siècle sur l’arc méditerranéen.Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une centaine de foyers restent sans électricité, notamment dans le village de Fontjoncouse.Le bilan humain n’a pas évolué. Une femme est morte dans sa maison de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, le plus touché par le feu, une autre habitante est grièvement brûlée. Quatre personnes ont été légèrement blessées.Dans les rangs des pompiers, dix-neuf ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien. “Les pompiers vont faire le maximum, avant le retour de la tramontane”, annoncé pour dimanche, a déclaré à l’AFP la présidente du conseil départemental de l’Aude, Hélène Sandragné, ajoutant: “C’est un soulagement que le feu soit fixé mais une vigilance absolue reste de mise”.Parti mardi vers 16H00 de la commune de Ribaute, à une quarantaine de kilomètres de Narbonne et de Carcassonne, l’incendie a parcouru 16.000 hectares de végétation, dont 13.000 ont brûlé, selon la sécurité civile, qui avait jusqu’ici estimé la superficie à 17.000 hectares parcourus.Au coeur des forêts traversées par le feu, la biodiversité a été considérablement affectée.  “Les insectes, amphibiens, reptiles, les micro-mammifères ont disparu, toute la biodiversité dans le sol a cramé, seuls ceux qui courent vite et sentent la fumée, les chevreuils et les sangliers, ont pu se sauver. La cicatrice va être durable”, a expliqué à l’AFP, Stéphane Villarubias, directeur de l’ONF dans l’Aude, les Pyrénées-Orientales et l’Ariège. “Toutes les zones que les pompiers ont pu préserver vont constituer des réservoirs de biodiversité”, a-t-il ajouté. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Le parquet de Carcassonne a indiqué à l’AFP ne pas connaître encore son origine.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

L’incendie de l’Aude “pas maîtrisé” avant dimanche soir

L’incendie dans le massif des Corbières, qui a parcouru 16.000 hectares et mobilise toujours 1.400 pompiers samedi, ne sera pas sous contrôle avant dimanche en fin de journée, selon les pompiers qui s’attendent à une fin de weekend difficile.  “Le feu est fixé mais non maîtrisé, nous avons encore des points chauds (…) jusqu’à dimanche soir le feu ne sera pas maîtrisé”, a estimé le colonel Christophe Magny lors d’un point-presse conjoint avec le préfet de l’Aude, à Lézignan-Corbières.Un vent sec et chaud à 50 km/h, des températures autour de 40 degrés: les conditions météorologiques prévues pour dimanche préoccupent les autorités.Dimanche, a-t-il ajouté, “ce sera une journée de transition en termes de vent”, avec “des conditions qui se rapprochent de celles du jour du départ de l’incendie”.Samedi, alors que l’Aude est en vigilance orange canicule, les pompiers restent sur le qui-vive, surveillent les 90 kilomètres de bordures pour “éviter que le feu reprenne à l’avant”, dans la partie la plus proche du littoral méditerranéen et de l’autoroute A9 qu’il avait failli atteindre mercredi.- de nouveaux accès -Grâce à des bulldozers, 10 km de pistes ont été créés pour ouvrir de nouveaux accès et faciliter l’intervention des pompiers dans des zones escarpées, où la végétation est dense.”Le combat continue, les pompiers travaillent toujours sur des reprises de feu (…) les sinistrés ont pu regagner leur domicile. Les solutions d’hébergement sont en place en lien avec les municipalités”, a dit pour sa part le préfet de l’Aude Christian Pouget.Vendredi en fin de journée, une reprise du feu près de la commune de Jonquières a nécessité l’appui de quatre Canadair.L’incendie ne sera pas “déclaré éteint avant plusieurs jours”, a prévenu le préfet de l’Aude, ajoutant qu'”il y a encore beaucoup de travail”.Après avoir dû quitter leur logement dans la précipitation mardi, les dernières personnes évacuées ont été autorisées vendredi soir à regagner les 15 villages impactés par l’incendie, le plus important depuis un demi-siècle sur l’arc méditerranéen.Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une centaine de foyers restent sans électricité, notamment dans le village de Fontjoncouse.Le bilan humain n’a pas évolué. Une femme est morte dans sa maison de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, le plus touché par le feu, une autre habitante est grièvement brûlée. Quatre personnes ont été légèrement blessées.Dans les rangs des pompiers, dix-neuf ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien. “Les pompiers vont faire le maximum, avant le retour de la tramontane”, annoncé pour dimanche, a déclaré à l’AFP la présidente du conseil départemental de l’Aude, Hélène Sandragné, ajoutant: “C’est un soulagement que le feu soit fixé mais une vigilance absolue reste de mise”.Parti mardi vers 16H00 de la commune de Ribaute, à une quarantaine de kilomètres de Narbonne et de Carcassonne, l’incendie a parcouru 16.000 hectares de végétation, dont 13.000 ont brûlé, selon la sécurité civile, qui avait jusqu’ici estimé la superficie à 17.000 hectares parcourus.Au coeur des forêts traversées par le feu, la biodiversité a été considérablement affectée.  “Les insectes, amphibiens, reptiles, les micro-mammifères ont disparu, toute la biodiversité dans le sol a cramé, seuls ceux qui courent vite et sentent la fumée, les chevreuils et les sangliers, ont pu se sauver. La cicatrice va être durable”, a expliqué à l’AFP, Stéphane Villarubias, directeur de l’ONF dans l’Aude, les Pyrénées-Orientales et l’Ariège. “Toutes les zones que les pompiers ont pu préserver vont constituer des réservoirs de biodiversité”, a-t-il ajouté. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Le parquet de Carcassonne a indiqué à l’AFP ne pas connaître encore son origine.

L’incendie de l’Aude “pas maîtrisé” avant dimanche soir

L’incendie dans le massif des Corbières, qui a parcouru 16.000 hectares et mobilise toujours 1.400 pompiers samedi, ne sera pas sous contrôle avant dimanche en fin de journée, selon les pompiers qui s’attendent à une fin de weekend difficile.  “Le feu est fixé mais non maîtrisé, nous avons encore des points chauds (…) jusqu’à dimanche soir le feu ne sera pas maîtrisé”, a estimé le colonel Christophe Magny lors d’un point-presse conjoint avec le préfet de l’Aude, à Lézignan-Corbières.Un vent sec et chaud à 50 km/h, des températures autour de 40 degrés: les conditions météorologiques prévues pour dimanche préoccupent les autorités.Dimanche, a-t-il ajouté, “ce sera une journée de transition en termes de vent”, avec “des conditions qui se rapprochent de celles du jour du départ de l’incendie”.Samedi, alors que l’Aude est en vigilance orange canicule, les pompiers restent sur le qui-vive, surveillent les 90 kilomètres de bordures pour “éviter que le feu reprenne à l’avant”, dans la partie la plus proche du littoral méditerranéen et de l’autoroute A9 qu’il avait failli atteindre mercredi.- de nouveaux accès -Grâce à des bulldozers, 10 km de pistes ont été créés pour ouvrir de nouveaux accès et faciliter l’intervention des pompiers dans des zones escarpées, où la végétation est dense.”Le combat continue, les pompiers travaillent toujours sur des reprises de feu (…) les sinistrés ont pu regagner leur domicile. Les solutions d’hébergement sont en place en lien avec les municipalités”, a dit pour sa part le préfet de l’Aude Christian Pouget.Vendredi en fin de journée, une reprise du feu près de la commune de Jonquières a nécessité l’appui de quatre Canadair.L’incendie ne sera pas “déclaré éteint avant plusieurs jours”, a prévenu le préfet de l’Aude, ajoutant qu'”il y a encore beaucoup de travail”.Après avoir dû quitter leur logement dans la précipitation mardi, les dernières personnes évacuées ont été autorisées vendredi soir à regagner les 15 villages impactés par l’incendie, le plus important depuis un demi-siècle sur l’arc méditerranéen.Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une centaine de foyers restent sans électricité, notamment dans le village de Fontjoncouse.Le bilan humain n’a pas évolué. Une femme est morte dans sa maison de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, le plus touché par le feu, une autre habitante est grièvement brûlée. Quatre personnes ont été légèrement blessées.Dans les rangs des pompiers, dix-neuf ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien. “Les pompiers vont faire le maximum, avant le retour de la tramontane”, annoncé pour dimanche, a déclaré à l’AFP la présidente du conseil départemental de l’Aude, Hélène Sandragné, ajoutant: “C’est un soulagement que le feu soit fixé mais une vigilance absolue reste de mise”.Parti mardi vers 16H00 de la commune de Ribaute, à une quarantaine de kilomètres de Narbonne et de Carcassonne, l’incendie a parcouru 16.000 hectares de végétation, dont 13.000 ont brûlé, selon la sécurité civile, qui avait jusqu’ici estimé la superficie à 17.000 hectares parcourus.Au coeur des forêts traversées par le feu, la biodiversité a été considérablement affectée.  “Les insectes, amphibiens, reptiles, les micro-mammifères ont disparu, toute la biodiversité dans le sol a cramé, seuls ceux qui courent vite et sentent la fumée, les chevreuils et les sangliers, ont pu se sauver. La cicatrice va être durable”, a expliqué à l’AFP, Stéphane Villarubias, directeur de l’ONF dans l’Aude, les Pyrénées-Orientales et l’Ariège. “Toutes les zones que les pompiers ont pu préserver vont constituer des réservoirs de biodiversité”, a-t-il ajouté. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Le parquet de Carcassonne a indiqué à l’AFP ne pas connaître encore son origine.

La vague de chaleur accable le sud de la France

Plans d’eau et grottes pris d’assaut: le sud de la France est en proie à une nouvelle vague de chaleur, la deuxième de cet été, et qui devrait s’étendre encore dimanche et au-delà.De la Dordogne à la Haute-Savoie en passant par le Cantal et la Drôme, une vaste partie sud du pays va connaître un week-end marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C, et qui pourront atteindre les 41°C du pied des Cévennes à la basse vallée du Rhône, selon Météo-France.Samedi matin, les températures minimales ont souvent dépassé les 20 °C dans le sud, avec par exemple 24,4 °C à Nice, ou 23 °C au Tech (Pyrénées-Orientales), a indiqué l’institution.Dimanche, “la chaleur va encore monter d’un cran dans le sud” et l’alerte sera étendue à la quasi-totalité de la moitié sud du pays, avec 40 départements hors Corse en vigilance orange canicule, à ce stade jusqu’à minuit, selon Météo-France.Quant à la journée de lundi, elle se caractérisera par une “remontée d’une masse d’air extrêmement chaud sur une large partie du pays”, y compris au nord de la Loire, et sera sans doute “la plus chaude à l’échelle nationale”, a indiqué le prévisionniste.Face à ces circonstances, “protégez-vous”, insiste Météo-France, appelant chacun à rester au frais, privilégier “les activités douces et sans effort” ou encore “prendre des nouvelles de vos proches et des plus fragiles”.- Journée “pénible” -Pour se rafraîchir, les estivants sont quant à eux très nombreux au bord de l’eau ou en montagne, tandis que d’autres cherchent des alternatives, y compris sous terre. En Dordogne, où l’on attend des pics à 38°C samedi après-midi, la grotte de Villars, ornée de peintures préhistoriques vieilles de 20.000 ans, devrait ainsi faire le plein de visiteurs tout le week-end. “C’est simple : on a systématiquement des pics de visites quand il pleut, pour se mettre à l’abri, et quand il fait trop chaud, pour se rafraîchir. Habituellement c’est plus calme les samedis en août, mais là on part sur une grosse journée”, raconte l’un de ses gérants, Benoit Birckel, à l’accueil du site situé à 40 km au nord de Périgueux et dont les galeries affichent une température stable autour de 13°C, quelle que soit la saison.Mais pour Ophélie et Aurore, deux jeunes femmes dans la vingtaine qui travaillent dans un magasin d’alimentation du centre de Grenoble, la journée s’annonce “pénible” car “il fait souvent plus chaud dans le magasin que dehors”. “Et encore, ça va par rapport aux années d’avant, parce qu’on a de petites clims dans le fond du magasin”, disent-elles à l’AFP. Pas de répit lorsqu’elles rentreront chez elles, leurs appartements étant “mal isolés”. “On vit dans le noir, on a chaud, avec le ventilateur allumé”, souligne Ophélie. – La 51e depuis 1947 -Après une première vague de chaleur du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947. “On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a déclaré à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France. L’épisode s’accompagne d’un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie qui a parcouru 16.000 hectares dans le massif des Corbières et mobilise toujours 1.400 pompiers samedi ne pourra pas être sous contrôle avant dimanche en fin de journée, selon les pompiers.Il coïncide en outre avec un week-end “difficile” de chassé-croisé entre automobilistes. La journée de samedi, classée orange au niveau national dans les deux sens et annoncée comme la plus chargée, a tenu ses promesses avec un pic de presque 1.240 km de bouchons atteint peu avant midi, au-delà des niveaux déjà considérés comme “exceptionnels” par Bison Futé. Les axes les plus touchés sont l’A9 et l’A7, selon la même source. La SNCF a de son côté indiqué avoir supprimé plusieurs allers-retours sur les lignes Bordeaux-Marseille et Paris-Clermont afin d'”anticiper des “pannes potentielles de climatisation liées aux très hautes températures” dans ses trains les plus anciens. “L’ensemble des clients concernés bénéficient de l’échange ou du remboursement sans frais de leurs billets”, précise la SNCF.

La vague de chaleur accable le sud de la France

Plans d’eau et grottes pris d’assaut: le sud de la France est en proie à une nouvelle vague de chaleur, la deuxième de cet été, et qui devrait s’étendre encore dimanche et au-delà.De la Dordogne à la Haute-Savoie en passant par le Cantal et la Drôme, une vaste partie sud du pays va connaître un week-end marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C, et qui pourront atteindre les 41°C du pied des Cévennes à la basse vallée du Rhône, selon Météo-France.Samedi matin, les températures minimales ont souvent dépassé les 20 °C dans le sud, avec par exemple 24,4 °C à Nice, ou 23 °C au Tech (Pyrénées-Orientales), a indiqué l’institution.Dimanche, “la chaleur va encore monter d’un cran dans le sud” et l’alerte sera étendue à la quasi-totalité de la moitié sud du pays, avec 40 départements hors Corse en vigilance orange canicule, à ce stade jusqu’à minuit, selon Météo-France.Quant à la journée de lundi, elle se caractérisera par une “remontée d’une masse d’air extrêmement chaud sur une large partie du pays”, y compris au nord de la Loire, et sera sans doute “la plus chaude à l’échelle nationale”, a indiqué le prévisionniste.Face à ces circonstances, “protégez-vous”, insiste Météo-France, appelant chacun à rester au frais, privilégier “les activités douces et sans effort” ou encore “prendre des nouvelles de vos proches et des plus fragiles”.- Journée “pénible” -Pour se rafraîchir, les estivants sont quant à eux très nombreux au bord de l’eau ou en montagne, tandis que d’autres cherchent des alternatives, y compris sous terre. En Dordogne, où l’on attend des pics à 38°C samedi après-midi, la grotte de Villars, ornée de peintures préhistoriques vieilles de 20.000 ans, devrait ainsi faire le plein de visiteurs tout le week-end. “C’est simple : on a systématiquement des pics de visites quand il pleut, pour se mettre à l’abri, et quand il fait trop chaud, pour se rafraîchir. Habituellement c’est plus calme les samedis en août, mais là on part sur une grosse journée”, raconte l’un de ses gérants, Benoit Birckel, à l’accueil du site situé à 40 km au nord de Périgueux et dont les galeries affichent une température stable autour de 13°C, quelle que soit la saison.Mais pour Ophélie et Aurore, deux jeunes femmes dans la vingtaine qui travaillent dans un magasin d’alimentation du centre de Grenoble, la journée s’annonce “pénible” car “il fait souvent plus chaud dans le magasin que dehors”. “Et encore, ça va par rapport aux années d’avant, parce qu’on a de petites clims dans le fond du magasin”, disent-elles à l’AFP. Pas de répit lorsqu’elles rentreront chez elles, leurs appartements étant “mal isolés”. “On vit dans le noir, on a chaud, avec le ventilateur allumé”, souligne Ophélie. – La 51e depuis 1947 -Après une première vague de chaleur du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947. “On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a déclaré à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France. L’épisode s’accompagne d’un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie qui a parcouru 16.000 hectares dans le massif des Corbières et mobilise toujours 1.400 pompiers samedi ne pourra pas être sous contrôle avant dimanche en fin de journée, selon les pompiers.Il coïncide en outre avec un week-end “difficile” de chassé-croisé entre automobilistes. La journée de samedi, classée orange au niveau national dans les deux sens et annoncée comme la plus chargée, a tenu ses promesses avec un pic de presque 1.240 km de bouchons atteint peu avant midi, au-delà des niveaux déjà considérés comme “exceptionnels” par Bison Futé. Les axes les plus touchés sont l’A9 et l’A7, selon la même source. La SNCF a de son côté indiqué avoir supprimé plusieurs allers-retours sur les lignes Bordeaux-Marseille et Paris-Clermont afin d'”anticiper des “pannes potentielles de climatisation liées aux très hautes températures” dans ses trains les plus anciens. “L’ensemble des clients concernés bénéficient de l’échange ou du remboursement sans frais de leurs billets”, précise la SNCF.

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La vague de chaleur accable le sud de la France

Plans d’eau et grottes pris d’assaut: le sud de la France est en proie à une nouvelle vague de chaleur, la deuxième de cet été, et qui devrait s’étendre encore dimanche et au-delà.De la Dordogne à la Haute-Savoie en passant par le Cantal et la Drôme, une vaste partie sud du pays va connaître un week-end marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C, et qui pourront atteindre les 41°C du pied des Cévennes à la basse vallée du Rhône, selon Météo-France.Samedi matin, les températures minimales ont souvent dépassé les 20 °C dans le sud, avec par exemple 24,4 °C à Nice, ou 23 °C au Tech (Pyrénées-Orientales), a indiqué l’institution.Dimanche, “la chaleur va encore monter d’un cran dans le sud” et l’alerte sera étendue à la quasi-totalité de la moitié sud du pays, avec 40 départements hors Corse en vigilance orange canicule, à ce stade jusqu’à minuit, selon Météo-France.Quant à la journée de lundi, elle se caractérisera par une “remontée d’une masse d’air extrêmement chaud sur une large partie du pays”, y compris au nord de la Loire, et sera sans doute “la plus chaude à l’échelle nationale”, a indiqué le prévisionniste.Face à ces circonstances, “protégez-vous”, insiste Météo-France, appelant chacun à rester au frais, privilégier “les activités douces et sans effort” ou encore “prendre des nouvelles de vos proches et des plus fragiles”.- Journée “pénible” -Pour se rafraîchir, les estivants sont quant à eux très nombreux au bord de l’eau ou en montagne, tandis que d’autres cherchent des alternatives, y compris sous terre. En Dordogne, où l’on attend des pics à 38°C samedi après-midi, la grotte de Villars, ornée de peintures préhistoriques vieilles de 20.000 ans, devrait ainsi faire le plein de visiteurs tout le week-end. “C’est simple : on a systématiquement des pics de visites quand il pleut, pour se mettre à l’abri, et quand il fait trop chaud, pour se rafraîchir. Habituellement c’est plus calme les samedis en août, mais là on part sur une grosse journée”, raconte l’un de ses gérants, Benoit Birckel, à l’accueil du site situé à 40 km au nord de Périgueux et dont les galeries affichent une température stable autour de 13°C, quelle que soit la saison.Mais pour Ophélie et Aurore, deux jeunes femmes dans la vingtaine qui travaillent dans un magasin d’alimentation du centre de Grenoble, la journée s’annonce “pénible” car “il fait souvent plus chaud dans le magasin que dehors”. “Et encore, ça va par rapport aux années d’avant, parce qu’on a de petites clims dans le fond du magasin”, disent-elles à l’AFP. Pas de répit lorsqu’elles rentreront chez elles, leurs appartements étant “mal isolés”. “On vit dans le noir, on a chaud, avec le ventilateur allumé”, souligne Ophélie. – La 51e depuis 1947 -Après une première vague de chaleur du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947. “On note une accélération de la survenue des vagues de chaleur au fil du temps. Cette tendance est bien liée au changement climatique, qui a un impact fort sur les températures en France hexagonale”, a déclaré à l’AFP Lauriane Batté, climatologue à Météo-France. L’épisode s’accompagne d’un danger “élevé” de feux de forêt sur le pourtour méditerranéen, alors que l’incendie qui a parcouru 16.000 hectares dans le massif des Corbières et mobilise toujours 1.400 pompiers samedi ne pourra pas être sous contrôle avant dimanche en fin de journée, selon les pompiers.Il coïncide en outre avec un week-end “difficile” de chassé-croisé entre automobilistes. La journée de samedi, classée orange au niveau national dans les deux sens et annoncée comme la plus chargée, a tenu ses promesses avec un pic de presque 1.240 km de bouchons atteint peu avant midi, au-delà des niveaux déjà considérés comme “exceptionnels” par Bison Futé. Les axes les plus touchés sont l’A9 et l’A7, selon la même source. La SNCF a de son côté indiqué avoir supprimé plusieurs allers-retours sur les lignes Bordeaux-Marseille et Paris-Clermont afin d'”anticiper des “pannes potentielles de climatisation liées aux très hautes températures” dans ses trains les plus anciens. “L’ensemble des clients concernés bénéficient de l’échange ou du remboursement sans frais de leurs billets”, précise la SNCF.