Chefs d’Etat et têtes couronnées attendus aux funérailles du pape samedi

Les funérailles du pape François se dérouleront samedi matin sur la place Saint-Pierre au Vatican, où sont attendus des centaines de milliers de fidèles ainsi que des dirigeants étrangers et têtes couronnées, du président américain Donald Trump au Premier ministre britannique Keir Starmer en passant par le roi et la reine d’Espagne.Le président français Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky entendent également faire le déplacement. En revanche, le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), ne prévoit pas de s’y rendre.A l’issue de la messe qui débutera à 10H00 locales (08H00 GMT), le cercueil sera transféré à la basilique Sainte-Marie-Majeure dans le centre de Rome, dédiée à la Vierge, où le pape sera enterré conformément à sa volonté.Le Saint-Siège a diffusé mardi les premières images du pape François reposant dans son cercueil ouvert, encadré de deux gardes suisses dans la chapelle de la résidence Sainte-Marthe au Vatican, où il vivait. Sa dépouille sera transférée à la basilique Saint-Pierre mercredi matin afin d’être exposée aux fidèles, sans catafalque, une demande du souverain pontife argentin aspirant à plus de simplicité et de sobriété dans les rites funéraires papaux. Le public pourra donc rendre un dernier hommage au pape mercredi (de 11H00 à 24H00), jeudi (de 07H00 à 24H00) et vendredi (de 07H00 à 19H00), a indiqué le Vatican.Sur des photos et une vidéo réalisées lundi soir après la mise en bière, le pape, qui a succombé lundi matin à un accident vasculaire cérébral (AVC) à 88 ans, porte une mitre blanche et une chasuble rouge, tandis que ses mains enserrent un chapelet.Soeur Nathalie Becquart, sous-secrétaire du Synode des évêques, qui s’est recueillie lundi soir devant le cercueil, a confié à des journalistes avoir vécu un moment “très émouvant, très touchant”.Selon Vatican News, le média officiel du Vatican, le pape a été pris d’un malaise lundi vers 05H30 du matin (03H30 GMT). Plus d’une heure plus tard, après avoir fait un salut de la main à son infirmier, il est tombé dans le coma avant de mourir à 07H35.”Il n’a pas souffert, tout est arrivé très vite”, ont raconté les personnes présentes à Vatican News, qui précise que le pape a, parmi ses derniers mots, remercié son infirmier personnel pour l’avoir encouragé à faire un ultime tour en papamobile le dimanche de Pâques et à saluer les fidèles place Saint-Pierre.- “Révolutionnaire” -Mardi matin, une soixantaine de cardinaux se sont réunis à huis clos, notamment pour décider des modalités des funérailles. Les 135 cardinaux électeurs, ceux âgés de moins de 80 ans, auront aussi la lourde tâche d’élire son successeur lors du conclave, qui devrait se réunir début mai. Les cardinaux se retrouveront à nouveau mercredi après-midi. Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d’Etat et de têtes couronnées sont attendus aux funérailles du chef de l’Eglise catholique, qui se dérouleront sous haute sécurité.Donald Trump a annoncé qu’il viendrait avec sa femme Melania, malgré les critiques dures et répétées du pape contre sa politique antimigrants. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le président du Conseil européen Antonio Costa, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Olaf Scholz ont également annoncé leur présence.Le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne seront aussi présents. “Nous garderons en mémoire (…) son engagement envers les plus pauvres (…) sa bonhommie et son sens de l’humour”, a déclaré le roi.La Pologne, pays à tradition catholique, observera un jour de deuil national le jour des funérailles, tandis qu’en Italie il durera cinq jours, de mardi à samedi.- “Jusqu’au bout” -Le décès du chef des 1,4 milliard de catholiques au terme de 12 ans de pontificat fait mardi la une de toute la presse internationale: plusieurs journaux italiens mentionnent le “pape des laissés-pour-compte”. “Perdimus Papam”, titre le journal français Libération, tandis que le quotidien britannique The Guardian évoque la mort d’un pape “révolutionnaire”.Des centaines de journalistes des quatre coins du monde affluent à Rome tandis que la police italienne a bouclé les accès à la place Saint-Pierre pour encadrer l’entrée des touristes et fidèles. Les drapeaux jaune et blanc du Saint-Siège ont été mis en berne et une nouvelle prière publique est organisée mardi soir place Saint-Pierre.De l’Iran à l’Allemagne en passant par les Etats-Unis, l’UE, l’ONU, le Liban, Israël ou l’Autorité palestinienne, les dirigeants du monde entier ont rendu un hommage unanime à François. Pékin a présenté mardi ses “condoléances” et dit vouloir continuer à développer ses relations avec le Vatican.Déjà affaibli par une sévère pneumonie, le premier pape sud-américain et jésuite de l’Histoire, sorti de l’hôpital le 23 mars, avait multiplié les apparitions publiques ces derniers jours en dépit de l’avis des médecins lui ayant prescrit un strict repos de deux mois.”J’ai vu le jour de Pâques que le pape était fatigué. Il est allé jusqu’au bout, jusqu’au dernier souffle”, a déclaré à l’AFP le cardinal François Bustillo, évêque d’Ajaccio. “Il est parti au milieu de son peuple.”

Chefs d’Etat et têtes couronnées attendus aux funérailles du pape samedi

Les funérailles du pape François se dérouleront samedi matin sur la place Saint-Pierre au Vatican, où sont attendus des centaines de milliers de fidèles ainsi que des dirigeants étrangers et têtes couronnées, du président américain Donald Trump au Premier ministre britannique Keir Starmer en passant par le roi et la reine d’Espagne.Le président français Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky entendent également faire le déplacement. En revanche, le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), ne prévoit pas de s’y rendre.A l’issue de la messe qui débutera à 10H00 locales (08H00 GMT), le cercueil sera transféré à la basilique Sainte-Marie-Majeure dans le centre de Rome, dédiée à la Vierge, où le pape sera enterré conformément à sa volonté.Le Saint-Siège a diffusé mardi les premières images du pape François reposant dans son cercueil ouvert, encadré de deux gardes suisses dans la chapelle de la résidence Sainte-Marthe au Vatican, où il vivait. Sa dépouille sera transférée à la basilique Saint-Pierre mercredi matin afin d’être exposée aux fidèles, sans catafalque, une demande du souverain pontife argentin aspirant à plus de simplicité et de sobriété dans les rites funéraires papaux. Le public pourra donc rendre un dernier hommage au pape mercredi (de 11H00 à 24H00), jeudi (de 07H00 à 24H00) et vendredi (de 07H00 à 19H00), a indiqué le Vatican.Sur des photos et une vidéo réalisées lundi soir après la mise en bière, le pape, qui a succombé lundi matin à un accident vasculaire cérébral (AVC) à 88 ans, porte une mitre blanche et une chasuble rouge, tandis que ses mains enserrent un chapelet.Soeur Nathalie Becquart, sous-secrétaire du Synode des évêques, qui s’est recueillie lundi soir devant le cercueil, a confié à des journalistes avoir vécu un moment “très émouvant, très touchant”.Selon Vatican News, le média officiel du Vatican, le pape a été pris d’un malaise lundi vers 05H30 du matin (03H30 GMT). Plus d’une heure plus tard, après avoir fait un salut de la main à son infirmier, il est tombé dans le coma avant de mourir à 07H35.”Il n’a pas souffert, tout est arrivé très vite”, ont raconté les personnes présentes à Vatican News, qui précise que le pape a, parmi ses derniers mots, remercié son infirmier personnel pour l’avoir encouragé à faire un ultime tour en papamobile le dimanche de Pâques et à saluer les fidèles place Saint-Pierre.- “Révolutionnaire” -Mardi matin, une soixantaine de cardinaux se sont réunis à huis clos, notamment pour décider des modalités des funérailles. Les 135 cardinaux électeurs, ceux âgés de moins de 80 ans, auront aussi la lourde tâche d’élire son successeur lors du conclave, qui devrait se réunir début mai. Les cardinaux se retrouveront à nouveau mercredi après-midi. Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d’Etat et de têtes couronnées sont attendus aux funérailles du chef de l’Eglise catholique, qui se dérouleront sous haute sécurité.Donald Trump a annoncé qu’il viendrait avec sa femme Melania, malgré les critiques dures et répétées du pape contre sa politique antimigrants. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le président du Conseil européen Antonio Costa, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Olaf Scholz ont également annoncé leur présence.Le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne seront aussi présents. “Nous garderons en mémoire (…) son engagement envers les plus pauvres (…) sa bonhommie et son sens de l’humour”, a déclaré le roi.La Pologne, pays à tradition catholique, observera un jour de deuil national le jour des funérailles, tandis qu’en Italie il durera cinq jours, de mardi à samedi.- “Jusqu’au bout” -Le décès du chef des 1,4 milliard de catholiques au terme de 12 ans de pontificat fait mardi la une de toute la presse internationale: plusieurs journaux italiens mentionnent le “pape des laissés-pour-compte”. “Perdimus Papam”, titre le journal français Libération, tandis que le quotidien britannique The Guardian évoque la mort d’un pape “révolutionnaire”.Des centaines de journalistes des quatre coins du monde affluent à Rome tandis que la police italienne a bouclé les accès à la place Saint-Pierre pour encadrer l’entrée des touristes et fidèles. Les drapeaux jaune et blanc du Saint-Siège ont été mis en berne et une nouvelle prière publique est organisée mardi soir place Saint-Pierre.De l’Iran à l’Allemagne en passant par les Etats-Unis, l’UE, l’ONU, le Liban, Israël ou l’Autorité palestinienne, les dirigeants du monde entier ont rendu un hommage unanime à François. Pékin a présenté mardi ses “condoléances” et dit vouloir continuer à développer ses relations avec le Vatican.Déjà affaibli par une sévère pneumonie, le premier pape sud-américain et jésuite de l’Histoire, sorti de l’hôpital le 23 mars, avait multiplié les apparitions publiques ces derniers jours en dépit de l’avis des médecins lui ayant prescrit un strict repos de deux mois.”J’ai vu le jour de Pâques que le pape était fatigué. Il est allé jusqu’au bout, jusqu’au dernier souffle”, a déclaré à l’AFP le cardinal François Bustillo, évêque d’Ajaccio. “Il est parti au milieu de son peuple.”

IMF slashes China growth forecasts as trade war deepens

The IMF said Tuesday it now believed China’s economy will only grow by four percent this year, well below Beijing’s official target as it fights a mounting trade war with the United States that threatens to hammer the global economy.China and the United States — the world’s two largest economies — are engaged in a mounting tit-for-tat trade row that has sparked global recession fears and rattled markets.China faces tariffs of up to 145 percent on many products, with others receiving even higher levies. Beijing has responded with duties of 125 percent on US goods.Also contributing to downward pressure on growth in the Chinese economy are a persistent crisis in the property sector, local government debt and sluggish consumer spending.The International Monetary Fund said Tuesday in its latest World Economic Outlook report that recent trends had led it to revise down a projection for global growth this year to 2.8 percent.That reading represents a slowdown from the estimated 3.3 percent growth recorded last year, and is also half a percentage point lower than a previous IMF forecast in January.The woes have been severely compounded by a second term for US President Donald Trump, whose push to bring manufacturing back to the United States stands to hammer China’s manufacturing heartlands — for decades a key driver of growth. In view of an increasingly uncertain landscape in which “downside risks dominate”, the IMF said, the Chinese economy is expected to grow four percent this year, slower than the 4.6 percent expansion predicted in January.Growth next year is also now forecast to be four percent, down from the previous projection of 4.5 percent.- Choppier waters -The cuts reflect doubts about the ability of the world’s second-largest economy to hold up against mounting domestic pressures and hurdles for exports from the manufacturing powerhouse.”For China, the prolonged weakness in the real estate sector and its ramifications, including those for local government finances, have been key,” said the IMF.The report noted that consumer confidence in the country has not recovered since plunging in early 2022 — and said that China is among the countries most affected by Trump’s recent trade blitz.Beijing has said it is targeting annual growth this year of around five percent — the same as last year and a figure considered ambitious by many economists.Data this month showed China’s economy grew faster than expected in the first quarter, as exporters rushed to complete shipments before Trump’s expected tariffs kicked in.And observers warn that the full effect of the US levies is yet to be felt, with next month’s release of several key macro indicators expected to shed light on how the economy is reacting.China last year announced a string of aggressive measures to reignite its economy, including interest rate cuts, cancelling restrictions on homebuying, hiking the debt ceiling for local governments and bolstering support for financial markets.But after a blistering market rally last year fuelled by hopes for a long-awaited “bazooka stimulus”, optimism waned as authorities refrained from providing a specific figure for the bailout.Analysts now think that the impact of tariffs may lead Beijing to reconsider its caution and push ahead with fresh stimulus.- Continental impact -China is far from the only major Asian economy to face the pressure of new tariffs from Trump’s Washington.The fresh levies — though most are suspended for a 90-day period to allow for negotiations — vary from 24 percent for Japan to a whopping 46 percent for Vietnam.In light of the major trade turbulence, the IMF reduced its 2025 growth forecast for emerging and developing Asian economies including China by 0.6 percentage points.The fund now anticipates a 4.5 percent expansion in those countries this year before bouncing back slightly to 4.6 percent next year.India — which has been spared from the most aggressive of Trump’s tariffs — has a “relatively more stable” growth outlook this year, said the IMF.The world’s most populous country is forecast to chart an economic expansion of 6.2 percent in 2025, according to the report — “supported by private consumption, particularly in rural areas”.That growth rate, however, represents a 0.3 percentage point reduction from the IMF’s previous forecast.Japan, a manufacturing powerhouse that relies heavily on car exports, has been hit particularly hard by the tariff war.The IMF said Tuesday it expects economic growth of 0.6 percent in Japan this year, dropping from the 1.1 percent expansion it predicted in January.”The effect of tariffs announced on April 2 and associated uncertainty offset the expected strengthening of private consumption with above inflation wage growth boosting household disposable income,” the IMF said.

US VP Vance says ‘progress’ in India trade talks

US Vice President JD Vance said Tuesday that “good progress” had been made towards a trade deal with India after meeting with “tough negotiator” Prime Minister Narendra Modi in New Delhi.Washington and New Delhi are negotiating the first tranche of a trade deal, which India hopes will allow it to secure relief within the 90-day pause on steep tariffs announced by US President Donald Trump this month. “Prime Minister Modi is a tough negotiator, he drives a hard bargain,” Vance said in a speech in the city of Jaipur, where he is visiting as part of a four-day tour of India. “It’s one of the reasons why we respect him.”Vance, who met with Modi on Monday evening, sketched out a win-win partnership saying the two nations had “much to offer one another”, urging New Delhi to buy more US military equipment and boost energy ties.”We don’t blame Prime Minister Modi for fighting for India’s industry, but we do blame American leaders of the past for failing to do the same for our workers”, Vance added.”We believe that we can fix that to the mutual benefit of both the United States and India.”Trump wants “America to grow” and “he wants India to grow”, Vance said. “Both of our governments are hard at work on a trade agreement built on shared priorities by creating new jobs, building durable supply chains and achieving prosperity for our workers,” he said. “In our meeting yesterday Prime Minister Modi and I made very good progress on all those points.”- Vance defends Trump’s tariffs -However, Vance also pointed out that India could go a “long way” in enhancing energy ties between the two countries. “One suggestion I have, is maybe consider dropping some of the non-tariff barriers for American access to the Indian market,” Vance added, without giving further details.”Critics have attacked my president, President Trump, for starting a trade war in an effort to bring back the jobs of the past, but nothing could be further from the truth,” Vance added.”He seeks to rebalance global trade so that America, with friends like India, can build a future worth having for all of our people together.”Vance, who is accompanied by his family including his wife Usha, the daughter of Indian immigrants, is due to visit the Taj Mahal at Agra on Wednesday.Vance said that if India, the world’s most populous nation, and the United States work together successfully, “we’re going to see a 21st century that is prosperous and peaceful”.But he also warned that, if “we fail to work together successfully, the 21st century could be a very dark time for all of humanity”.

Islamist leader among 2 dead in air strikes on Lebanon

A leader from Hamas-aligned Jamaa Islamiya was killed Tuesday in an Israeli strike, the Lebanese Islamist group and Israel’s military said, as the health ministry reported another dead in a separate raid.Israel has continued to carry out regular strikes on Lebanon despite a November truce with militant group Hezbollah that sought to halt more than a year of hostilities between the foes including two months of all-out war.Lebanon’s civil defence said “an Israeli drone targeted a car” near the coastal town of Damour, about 20 kilometres (12 miles) south of Beirut, and rescuers recovered a man’s body.Jamaa Islamiya in a statement announced the death of Hussein Atwi, calling him “an academic leader and university professor” and saying an Israeli drone strike “targeted his car as he was travelling to his workplace in Beirut”.The Israeli army said the air force had “eliminated” Atwi, calling him “a significant terrorist in the Jamaa Islamiya terrorist organisation”.A Lebanese security official, who spoke to AFP on condition of anonymity, said Atwi was a leader of Jamaa Islamiya’s armed wing, the Al-Fajr Forces.The official said Israel had previously targeted Atwi during its recent war with Hezbollah.An AFP photographer saw the charred wreckage of a car at the scene. The Lebanese army had cordoned off the area and forensic teams were conducting an inspection.Jamaa Islamiya, closely linked to both Palestinian militant group Hamas and Lebanon’s Hezbollah, claimed responsibility for multiple attacks against Israel before the November 27 ceasefire.The Israeli military said Atwi had been “involved in planning and advancing terrorist activity from Lebanon into Israeli territory” and had operated “in coordination with Hamas in Lebanon”.It said he had “carried out rocket attacks, coordinated terrorist infrastructure… and advanced attempts to infiltrate into Israeli territory”.Also Tuesday, Lebanon’s health ministry said an “Israeli enemy” strike in south Lebanon’s Tyre district killed one person.Under the truce, Hezbollah was to pull its fighters north of Lebanon’s Litani River and dismantle any remaining military infrastructure in the south.Israel was to withdraw all its forces from south Lebanon, but troops remain in five positions that it deems “strategic”.Israel on Sunday said it had killed two senior Hezbollah members in strikes on Lebanon.Lebanese authorities have said Israeli fire has killed some 190 people since the ceasefire.After unclaimed rocket fire against Israel in late March, Lebanon’s army said last week it had arrested several Lebanese and Palestinian suspects, while a security official said they included three Hamas members.

Mauritius deep in corruption scandal as Macron visitsTue, 22 Apr 2025 12:20:32 GMT

With a former minister and central bank director embroiled in financial scandal, the island idyll of Mauritius is in political turmoil as French President Emmanuel Macron visits this week.At the centre of the mess is ex-finance minister Renganaden Padayachy, who was until recently seen as a key figure in making Mauritius one of Africa’s few …

Mauritius deep in corruption scandal as Macron visitsTue, 22 Apr 2025 12:20:32 GMT Read More »