Kohli, Rohit star as Bengaluru and Mumbai win in IPL

Virat Kohli smashed an unbeaten 73 and Rohit Sharma struck form with 76 not out in match-winning knocks for Royal Challengers Bengaluru and Mumbai Indians in an IPL super Sunday.The in-form Kohli hit his fourth half-century of this edition of the popular T20 tournament to anchor Bengaluru’s chase of 158 in a seven-wicket win over Punjab Kings at Mullanpur, near Chandigarh.Another Indian veteran Rohit struck form with his first fifty this season in the second match of the day to lead Mumbai’s nine-wicket hammering of Chennai Super Kings in a battle of heavyweights.Rohit, 37, put on 114 runs with Suryakumar Yadav, who hit 68 off 30 balls, as they steered the five-time champions’ chase of 177, getting there with 26 balls to spare.Rohit, 37, came in as impact substitute in the chase and put on 63 with Ryan Rickleton, who fell for 24 off Ravindra Jadeja, to lay the foundations of Mumbai’s third straight win.”After being here for such a long period of time, it’s easy to start doubting yourself and start doing different things,” Rohit said after being named player of the match.”For me, it was important to do simple things and have a clear mindset. It was important for me to hold my shape and extend my arms, and when the ball was in my area, I had to do what I have been doing.”Rohit struggled for form until this knock with just 82 runs in his previous six innings but found his groove with trademark flicks and pulls.He reached his fifty in 33 balls but Suryakumar was in a hurry and his knock included some audacious shots behind the wicket raised his half-ton in 26 deliveries.Rohit and Suryakumar smashed 11 sixes between them.- Kohli-Padikkal combo -Bowlers set up victory after Jasprit Bumrah’s 2-25 and spinner Mitchell Santner’s 1-14 kept Chennai down to 176-5.Shivam Dube, who made 50, and Jadeja, who hit an unbeaten 53, put on 79 runs for the fourth wicket and 17-year-old Ayush Mhatre smashed 32 off 15 balls after being the youngest player to debut for Chennai.Five-time winners Chennai, led by M.S. Dhoni after regular skipper Ruturaj Gaikwad pulled out injured mid-season, crashed to their sixth defeat in eight matches to stay bottom of the 10-team table.In the first match of the day, Bengaluru were propelled by a 103-run second-wicket stand between Kohli and Devdutt Padikkal, who hit 61, to reach their target with seven balls to spare.Bengaluru avenged their loss to Punjab at home on Friday and the two teams, both seeking their first IPL title, are level on points.”Very important game for us,” said player of the match Kohli. “When you go from eight (points) to 10, it makes a massive difference.”Kohli on his anchor role said: “One partnership is good enough in T20 cricket during run chase. I can accelerate, but I want to understand the strengths of other players.”Holding one end up at the moment, that’s working for us.”The in-form Kohli, 36, struck his fourth half-ton of the season and surpassed Australia’s David Warner for the most 50-plus scores in the popular T20 tournament.Kohli has now made it past the 50-mark 67 times, including eight centuries.Left-handed Padikkal struck his first fifty of the season, after Bengaluru lost opener Phil Salt in the first over to Arshdeep Singh.Padikkal fell to Harpreet Brar, leaving Kohli to play the anchor in a 54-ball knock laced with seven fours and a six.Bengaluru spinners Krunal Pandya and Suyash Sharma took two wickets each to set up victory as they helped restrict Punjab to 157-6.

Angleterre: Arsenal à fond, le sacre de Liverpool retardé

Arsenal a joué le coup à fond contre Ipswich (4-0) pour retarder dimanche le sacre de Liverpool, le leader qui a fait craquer sur le tard le relégué Leicester (1-0) grâce à son “super-sub” Trent Alexander-Arnold.Dans les autres matches, Chelsea s’est arraché pour battre Fulham (2-1) et rester dans le Top-5, tandis que Manchester United est retombé dans ses travers domestiques contre Wolverhampton (0-1), trois jours après sa victoire magnifique contre l’OL en Ligue Europa (5-4).. Liverpool doit encore patienterLes “Reds” (79 pts) pouvaient sceller le 20e titre de leur histoire en Premier League dès dimanche en cas de défaite d’Arsenal (2e, 66 pts).Ce scénario s’est vite effacé cependant puisque les “Gunners” ont mené 2-0 après moins de trente minutes, puis évolué en supériorité numérique peu de temps après, quand Leif Davis a écopé d’un carton rouge pour un vilain geste sur Bukayo Saka (32e).L’ailier a été touché au talon droit mais il a poursuivi le match sans gêne apparente jusqu’à l’heure de jeu, avant d’être remplacé. Il est ensuite apparu avec une poche de glace sur le banc de touche.”Bukayo avait un peu mal, mais ce n’est pas grave, donc c’est bon”, a déclaré après-match Mikel Arteta, interrogé sur la demi-finale aller de Ligue des champions disputée contre le Paris Saint-Germain le 29 avril.L’entraîneur a vu son avant-centre de fortune Leandro Trossard inscrire un doublé (14e, 69e), et son milieu de terrain a fonctionné à plein régime avec Declan Rice devant la défense et Mikel Merino un cran au-dessus, une configuration qui pourrait être utilisée contre Paris.. Alexander-Arnold en symboleAvec 21 points et cinq journées restantes, Ipwich ne peut lui plus espérer se maintenir, même si sa relégation n’est pas officielle. Le premier non relégable, West Ham (17e, 36 pts), compte 15 points de plus et une différence de buts bien plus favorable.Le retour en deuxième division est totalement acté en revanche pour Leicester (19e, 18 pts), battu à l’usure par le futur champion.Les nombreuses tentatives de Liverpool ont échoué sur les montants ou dans les gants de Mads Hermansen, jusqu’à l’entrée décisive de Trent Alexander-Arnold après un mois d’absence sur blessure.Le “Scouser” formé à Liverpool a marqué après cinq minutes (76e, 1-0) et célébré son but de manière rageuse, torse nu devant un parcage visiteur en folie.Son club de toujours, qu’il pourrait quitter cet été à la fin de son contrat, peut être sacré dès mercredi en cas de défaite d’Arsenal à domicile contre Crystal Palace. Des supporters ont déjà anticipé la fête en déployant, dans les tribunes de Leicester, une bannière où était écrit “Ce n’est pas 19 pour toujours” (“It’s Not Nineteen Forever”), en référence au nombre de titres collectés par Liverpool en championnat.. Manchester plus bas que terreLes “Reds” vont bientôt égaler le record de leurs rivaux historiques du nord de l’Angleterre, Manchester United (14e, 38 pts), battu 1-0 dimanche à Old Trafford contre Wolverhampton (15e, 38 pts).”Nous avons encaissé un but sur leur seul tir. Ils ont marqué et nous avons perdu le match”, a regretté l’entraîneur Ruben Amorim.Cela fait désormais trois défaites et un match nul en quatre matches de championnat pour l’entraîneur des “Red Devils”, qui n’a plus que la Ligue Europa (demi-finales contre l’Athletic Bilbao) pour espérer disputer une compétition européenne l’année prochaine.Chelsea (5e, 57 pts) a lui ramené de Fulham une victoire renversante qui le maintient dans les cinq premières places qualificatives pour la prochaine Ligue des champions, en attendant le déplacement de Nottingham Forest (6e, 57 pts) lundi à Tottenham.A Craven Cottage, les “Blues” ont été rapidement menés (20e, 1-0), mais ils ont été sauvés en fin de match par des buts de Tyrique George (83e) et Pedro Neto (90e+3).”Je pense qu’il s’agit d’un moment important de notre saison. Nous avons fait preuve de caractère. Franchement, je n’ai pas les mots”, a réagi le dernier buteur.

La Cour suprême américaine suspend les expulsions de migrants vénézuéliens

Par une nouvelle intervention retentissante, la Cour suprême américaine a suspendu samedi l’expulsion manu militari d’un groupe d’immigrés vénézuéliens par l’administration Trump, qui invoque pour ce faire une loi jusqu’alors utilisée uniquement en temps de guerre.”Le gouvernement est tenu de n’expulser aucun membre de cette catégorie de détenus aux Etats-Unis jusqu’à nouvel ordre de ce tribunal”, a statué la plus haute instance juridique américaine dans une décision publiée en pleine nuit et à laquelle se sont opposés deux de ses juges les plus conservateurs.Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a érigé la lutte contre l’immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une “invasion” du pays par des “criminels venus de l’étranger”, et mettant en scène les expulsions d’immigrés.Le républicain a ainsi ravivé une loi d’exception sur “les ennemis étrangers” datant de 1798 – et n’ayant été jusqu’alors utilisée qu’en temps de guerre – pour pouvoir arrêter des immigrés qu’il accuse d’appartenir à des gangs et les expulser manu militari vers le Salvador, où ils finissent incarcérés dans une prison de haute sécurité.Un recours qui a ouvert un bras de fer entre le gouvernement et le pouvoir judiciaire. Une confrontation qui s’est récemment cristallisée autour de l’affaire distincte Kilmar Abrego Garcia, un immigré salvadorien expulsé à tort par les Etats-Unis et désormais emprisonné.- “Danger imminent” -Bien qu’il ait reconnu une “erreur administrative” et ait été sommé par la justice de “faciliter” son retour, l’exécutif américain se montre inflexible et assure que ce père de famille marié à une Américaine “ne reviendra pas” dans le pays, l’accusant d’être un membre de gang, sans toutefois apporter de preuve.Dans un recours adressé samedi après-midi à la Cour suprême, le gouvernement a enjoint les juges à revenir sur leur décision ou à l’autoriser dans le cas contraire à poursuivre ses expulsions sur d’autres bases juridiques.Depuis la mi-mars, Washington a expulsé plus de 250 immigrés, en majorité vénézuéliens vers le Salvador, notamment en vertu de cette loi d’exception et d’un accord inédit signé avec ce pays d’Amérique centrale.Une situation qui suscite la vive inquiétude de l’opposition et des ONG de défense des libertés, d’autant plus que Donald Trump est allé jusqu’à affirmer qu’il “adorerait” y envoyer similairement des citoyens américains ayant commis des crimes.La suspension ordonnée par la Cour suprême fait suite à un recours déposé la veille par des avocats pour empêcher le départ selon eux imminent d’autres Vénézuéliens détenus dans un centre de rétention au Texas, dont certains avaient “été embarqués dans des bus vraisemblablement à destination de l’aéroport”.Ils “étaient en danger imminent de passer leur vie dans une prison étrangère terrible sans jamais avoir eu la chance d’aller au tribunal”, a assuré samedi l’un d’entre eux, Lee Gelernt dans un communiqué, se disant “soulagé” par cette décision. Leur sort reste toutefois en suspens, leur dossier ayant été pour l’heure renvoyé à une cour fédérale d’appel.- “Fusiller” -Les avocats de plusieurs Vénézuéliens déjà expulsés contestent vivement l’appartenance de leurs clients à un quelconque gang criminel et assurent qu’ils n’ont commis aucun crime et ont été principalement ciblés en raison de leurs tatouages.Sans parvenir à infléchir le gouvernement. Les Vénézuéliens aujourd’hui détenus au Texas sont des “terroristes étrangers”, a assuré samedi l’un des plus proches conseillers de la Maison Blanche, Stephen Miller sur X.L’influenceuse d’extrême droite Laura Loomer, proche du clan Trump, est allée jusqu’à assurer sur la même plateforme que le président était “magnanime” en renvoyant par avion les hommes et femmes entrés illégalement sur le sol américain, plutôt que de les “fusiller” à la frontière.Mi-mars un juge fédéral de Washington avait suspendu toute reconduite à la frontière fondée exclusivement sur la loi de 1798. Mais selon lui, au moment même de cette décision, les immigrés concernés “se trouvaient à bord d’avions” en partance, et “au lieu de se conformer à la décision du tribunal, le gouvernement a poursuivi l’opération d’expulsions à la hâte”.Son interdiction a ensuite été levée début avril par la Cour suprême, qui a en revanche considéré que les personnes expulsées devaient pouvoir contester en justice leur expulsion.

La Cour suprême américaine suspend les expulsions de migrants vénézuéliens

Par une nouvelle intervention retentissante, la Cour suprême américaine a suspendu samedi l’expulsion manu militari d’un groupe d’immigrés vénézuéliens par l’administration Trump, qui invoque pour ce faire une loi jusqu’alors utilisée uniquement en temps de guerre.”Le gouvernement est tenu de n’expulser aucun membre de cette catégorie de détenus aux Etats-Unis jusqu’à nouvel ordre de ce tribunal”, a statué la plus haute instance juridique américaine dans une décision publiée en pleine nuit et à laquelle se sont opposés deux de ses juges les plus conservateurs.Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a érigé la lutte contre l’immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une “invasion” du pays par des “criminels venus de l’étranger”, et mettant en scène les expulsions d’immigrés.Le républicain a ainsi ravivé une loi d’exception sur “les ennemis étrangers” datant de 1798 – et n’ayant été jusqu’alors utilisée qu’en temps de guerre – pour pouvoir arrêter des immigrés qu’il accuse d’appartenir à des gangs et les expulser manu militari vers le Salvador, où ils finissent incarcérés dans une prison de haute sécurité.Un recours qui a ouvert un bras de fer entre le gouvernement et le pouvoir judiciaire. Une confrontation qui s’est récemment cristallisée autour de l’affaire distincte Kilmar Abrego Garcia, un immigré salvadorien expulsé à tort par les Etats-Unis et désormais emprisonné.- “Danger imminent” -Bien qu’il ait reconnu une “erreur administrative” et ait été sommé par la justice de “faciliter” son retour, l’exécutif américain se montre inflexible et assure que ce père de famille marié à une Américaine “ne reviendra pas” dans le pays, l’accusant d’être un membre de gang, sans toutefois apporter de preuve.Dans un recours adressé samedi après-midi à la Cour suprême, le gouvernement a enjoint les juges à revenir sur leur décision ou à l’autoriser dans le cas contraire à poursuivre ses expulsions sur d’autres bases juridiques.Depuis la mi-mars, Washington a expulsé plus de 250 immigrés, en majorité vénézuéliens vers le Salvador, notamment en vertu de cette loi d’exception et d’un accord inédit signé avec ce pays d’Amérique centrale.Une situation qui suscite la vive inquiétude de l’opposition et des ONG de défense des libertés, d’autant plus que Donald Trump est allé jusqu’à affirmer qu’il “adorerait” y envoyer similairement des citoyens américains ayant commis des crimes.La suspension ordonnée par la Cour suprême fait suite à un recours déposé la veille par des avocats pour empêcher le départ selon eux imminent d’autres Vénézuéliens détenus dans un centre de rétention au Texas, dont certains avaient “été embarqués dans des bus vraisemblablement à destination de l’aéroport”.Ils “étaient en danger imminent de passer leur vie dans une prison étrangère terrible sans jamais avoir eu la chance d’aller au tribunal”, a assuré samedi l’un d’entre eux, Lee Gelernt dans un communiqué, se disant “soulagé” par cette décision. Leur sort reste toutefois en suspens, leur dossier ayant été pour l’heure renvoyé à une cour fédérale d’appel.- “Fusiller” -Les avocats de plusieurs Vénézuéliens déjà expulsés contestent vivement l’appartenance de leurs clients à un quelconque gang criminel et assurent qu’ils n’ont commis aucun crime et ont été principalement ciblés en raison de leurs tatouages.Sans parvenir à infléchir le gouvernement. Les Vénézuéliens aujourd’hui détenus au Texas sont des “terroristes étrangers”, a assuré samedi l’un des plus proches conseillers de la Maison Blanche, Stephen Miller sur X.L’influenceuse d’extrême droite Laura Loomer, proche du clan Trump, est allée jusqu’à assurer sur la même plateforme que le président était “magnanime” en renvoyant par avion les hommes et femmes entrés illégalement sur le sol américain, plutôt que de les “fusiller” à la frontière.Mi-mars un juge fédéral de Washington avait suspendu toute reconduite à la frontière fondée exclusivement sur la loi de 1798. Mais selon lui, au moment même de cette décision, les immigrés concernés “se trouvaient à bord d’avions” en partance, et “au lieu de se conformer à la décision du tribunal, le gouvernement a poursuivi l’opération d’expulsions à la hâte”.Son interdiction a ensuite été levée début avril par la Cour suprême, qui a en revanche considéré que les personnes expulsées devaient pouvoir contester en justice leur expulsion.

Les soldats ukrainiens sur le front célèbrent Pâques malgré les explosions qui ponctuent la trêve

L’aumônier Volodymyr était en pleine prière de Pâques dimanche près du front, dans la région orientale ukrainienne de Donetsk, lorsqu’une nouvelle explosion a retenti, malgré le cessez-le-feu de 30 heures décrété la veille par Vladimir Poutine pour cette fête. “Le Christ est mort et a ressuscité (…), c’est leur trêve”, a déclaré le religieux aux journalistes de l’AFP après la déflagration, avant de lancer : “Il a donné sa vie pour chacun de nous”.Volodymyr s’est rendu dans les maisons utilisées par l’armée ukrainienne, transmettant ses vÅ“ux de Pâques aux militaires qui n’ont pas pu célébrer chez eux la fête religieuse la plus importante pour les chrétiens  – qu’ils soient orthodoxes, majoritaires en Ukraine, ou catholiques.Une douzaine de soldats de la 100e brigade mécanisée se sont ainsi rassemblés en cercle autour de l’aumônier devant leur logement, essayant à l’aide de leurs briquets de rallumer des bougies éteintes par le vent. A l’idée de devoir fêter Pâques loin de sa famille, Oleksandre n’a pu retenir ses larmes. – “Des explosions” -Il ne croit pas aux promesses de cessation provisoire des hostilités faites par les Russes. “Nous n’avons pas encore inventé de mot pour décrire de telles personnes”, s’est-il exclamé à leur sujet. Le commandant d’une unité de drones a toutefois admis auprès de l’AFP que l’activité des unités russes avait diminué dans la région méridionale de Zaporijjia et dans celle septentrionale de Kharkiv.Tandis qu’un sous-lieutenant engagé dans la région de Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, non loin de la frontière avec la Russie, a expliqué que l’artillerie russe n’était pas entrée en action dimanche. D’un point d’observation à Kostiantynivka, à une douzaine de kilomètres du front, des journalistes de l’AFP ont pour leur part observé que la fumée s’élevant à l’horizon dans le ciel bleu vif était moins dense qu’habituellement, malgré des explosions qui retentissaient à quelques minutes d’intervalle.”C’est un peu plus calme chez nous”, a reconnu Anatoly, un chef de section âgé de 49 ans. “Mais vous pouvez vous-mêmes entendre de temps en temps des explosions”.Vasyl, qui célébrait Pâques dans une autre maison près du front, s’est montré plus catégorique : “Vous pouvez entendre les canons maintenant. Il n’y a pas de trêve. Il n’y a aucune raison de faire confiance à l’ennemi”.- Eau bénite -L’aumônier Volodymyr a, quant à lui, aspergé Vasyl et ses camarades d’eau bénite à l’occasion de Pâques. Vasyl a du mal à accepter l’idée de passer encore une fois cette journée sans ses proches, mais il ne nourrit aucun ressentiment envers les familles qui sont réunies pour cette fête.”Je suis content pour elles”, a-t-il confié à l’AFP, “je suis content qu’elles ne ressentent pas ce qui se passe ici”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté affirmé que les forces russes poursuivaient leurs bombardements et leurs assauts le long de la ligne de front, cependant que le ministère russe de la Défense a assuré que des attaques ukrainiennes avaient été repoussées. Mais si, dimanche, les combats ont continué, ont raconté des responsables et des soldats ukrainiens, certains ont dit à l’AFP que leur intensité avait diminué dans certaines zones. Vladimir Poutine a annoncé samedi avoir ordonné à son armée d’interrompre toutes ses opérations jusqu’à dimanche 21h00 GMT, laissant espérer la plus importante pause dans les affrontements depuis le déclenchement par le Kremlin de l’invasion de l’Ukraine en février 2022.

Trump slams ‘weak’ judges as deportation row intensifies

The clash over President Donald Trump’s bid to exercise unprecedented powers in deporting migrants deepened Sunday as he again bashed the judiciary, while a top Democrat warned the country was “closer and closer” to a constitutional crisis.The latest events followed a dramatic intervention by the Supreme Court in the pre-dawn hours of Saturday to temporarily block Trump’s use of an obscure law to deport Venezuelan migrants without due process.Trump lashed out Sunday on his Truth Social platform, not specifically naming the high court but slamming the “WEAK and INEFFECTIVE Judges and Law Enforcement Officials who are allowing this sinister attack on our Nation to continue, an attack so violent that it will never be forgotten!”Samuel Alito, one of two conservative high-court justices to vote against the halt, called the emergency ruling by the court’s majority “legally questionable.””Literally in the middle of the night, the Court issued unprecedented and legally questionable relief… without hearing from the opposing party,” Alito wrote in his dissent.The court’s order at least temporarily halted what rights groups warned were imminent deportations of Venezuelan migrants being held in Texas, who have been accused of being gang members.More broadly, the decision temporarily prevents the government from continuing to expel migrants under the 1798 Alien Enemies Act — last used to round up Japanese-American citizens during World War II.The Trump administration has been butting heads with federal judges, rights groups and Democrats who say he has trampled or ignored constitutionally enshrined rights in rushing to deport migrants, sometimes without the right to a hearing. “We’re getting closer and closer to a constitutional crisis,” Democratic Senator Amy Klobuchar told CNN.”Donald Trump is trying to pull us down into the sewer of a crisis.”The Republican president has insisted that he is protecting American citizens against a wave of undocumented migration — including, he says, murderers, terrorists and rapists — while carrying out the will of the voters who returned him to the White House.- ‘Put up, or shut up’ -Last month, the Trump administration sent hundreds of migrants, most of them Venezuelan, to the maximum-security CECOT prison in El Salvador, alleging they were members of violent gangs.In the most publicized case, Maryland resident Kilmar Abrego Garcia was deported to the infamous El Salvador mega-prison without charge.The administration admitted that Abrego Garcia had been included among the deportees due to an “administrative error,” and a court ruled that the government must “facilitate” his return.Trump has since doubled down, however, insisting that Abrego Garcia is in fact a gang member, including posting an apparently doctored photo on social media Friday of a gang symbol tattooed on his knuckles.CECOT inmates are packed in windowless cells, sleep on metal beds with no mattresses, and are forbidden visitors.Maryland Senator Chris Van Hollen managed on Thursday to secure a meeting with Abrego Garcia and said the man was bewildered by his detention and felt threatened in prison.On Sunday, Van Hollen challenged the Trump administration to provide evidence that it is respecting US laws in its deportation sweep.”I’m okay with whatever the rule of law dictates,” he told CNN, “but right now we have a lawless president… a lawless president who is ignoring the order of the Supreme Court of the United States to facilitate (Abrego Garcia’s) return.””They need to put up or shut up in the courts of the United States.”

Trump eyes gutting US diplomacy in Africa, cutting soft power: draft planSun, 20 Apr 2025 17:16:14 GMT

The United States would drastically reduce its diplomatic footprint in Africa and scrap State Department offices dealing with climate change, democracy and human rights, according to a draft White House order.The executive order, framed as a strategy to cut costs while “reflecting the priorities” of the White House, also lays out measures to slash US soft …

Trump eyes gutting US diplomacy in Africa, cutting soft power: draft planSun, 20 Apr 2025 17:16:14 GMT Read More »

Trump eyes gutting US diplomacy in Africa, cutting soft power: draft plan

The United States would drastically reduce its diplomatic footprint in Africa and scrap State Department offices dealing with climate change, democracy and human rights, according to a draft White House order.The executive order, framed as a strategy to cut costs while “reflecting the priorities” of the White House, also lays out measures to slash US soft power around the world.Secretary of State Marco Rubio said The New York Times, which first reported the existence of the draft order, had fallen “victim to another hoax.””This is fake news,” Rubio posted Sunday on X.However, a copy of the draft viewed by AFP calls for “full structural reorganization” of the State Department by October 1 of this year.The aim, the draft order says, is “to streamline mission delivery, project American strength abroad, cut waste, fraud, abuse, and align the Department with an America First Strategic Doctrine.”The biggest change would be organizing US diplomatic efforts into four regions: Eurasia, the Middle East, Latin America and Asia-Pacific — with no equivalent focus on Africa.The current Africa Bureau would be eliminated. In its place would be a “Special Envoy Office for African Affairs” who reports to the White House’s internal National Security Council, rather than the State Department.”All non-essential embassies and consulates in Sub-Saharan Africa shall be closed,” the draft order says, with all remaining missions consolidated under a special envoy “using targeted, mission-driven deployments.”Emphasis in Africa would be placed on counterterrorism and “strategic extraction and trade of critical natural resources.”The US footprint in Canada — a historic US ally that President Donald Trump has repeatedly suggested should be annexed and made a 51st state — would likewise get a downgrade.The diplomatic presence would see a “significantly reduced team” and the embassy in Ottawa would “significantly downscale.”Tom Yazdgerdi, president of the American Foreign Service Association, which represents US diplomats, said officers support making the government more efficient, but this “looks like a hatchet job.””It looks like we’re pulling back from the world,” he said.- Soft power scrapped -The plan would impose far-reaching cuts to American soft power around the world and weaken participation in multilateral bodies.While the draft executive order obtained by AFP has not been discussed publicly by officials, it comes amid a flurry of moves to cut decades-old US initiatives and to question long-held alliances, including with NATO.An earlier proposed plan leaked to US media would see the State Department’s entire budget slashed by half.While that proposal also has yet to be confirmed, the State Department did announce last week that it has scrapped an agency built to track and combat aggressive disinformation campaigns run by foreign governments.The administration has also already axed the US government’s foreign aid arm, USAID.The new draft order says current offices dealing with climate change, oceans, global criminal justice, and human rights would be “eliminated.” Also on the scrap list is the State Department’s separate office for Afghan women and girls.A decades-old program to project US cultural and English-language contacts around the globe would be partially dismantled.The Fulbright program funds research and teaching scholarships for Americans abroad, as well as attracting foreign students to US institutions. Under the executive order, many of those opportunities would vanish.This would follow Trump’s already ongoing dismantlement of Voice of America, the network built to broadcast into repressive countries.Yazdgerdi criticized what he described as a “self-inflicted wound” for the United States.Soft power is “what showcases America. This is the inspiring element. Yes there’s a fearful element in that we have an awesome military and you need that of course, but this is what inspires people,” he said.”You’re basically ceding the field to countries that have no issue filling the void — Russia and China immediately spring to mind.”