A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

En Amérique du Nord, les feux balayent les avancées contre la pollution, selon une étude

“Pire que la fumée du tabac”: la pollution atmosphérique s’aggrave, en particulier aux Etats-Unis et au Canada à cause d’incendies d’ampleur inédite qui ont balayé des décennies d’avancées en la matière, ont averti jeudi des experts dans une étude américaine.Le rapport annuel de l’université de Chicago sur l’indice de qualité de l’air, l’Air Quality Life Index (Aqli), utilise des données satellitaires pour évaluer les niveaux de particules fines dans le monde entier et les traduit en années d’espérance de vie perdues.”On ne le répètera jamais assez: les particules fines restent la plus grande menace externe pour la santé humaine sur la planète”, a commenté auprès de l’AFP Michael Greenstone, professeur d’économie à l’université de Chicago et cofondateur de l’Aqli.”C’est pire que la fumée de tabac. C’est pire que la malnutrition des mères et des enfants. C’est pire que les accidents de la route. C’est pire que le VIH, pire que tout en termes de pertes” en espérance de vie, a-t-il insisté.Selon l’étude, la saison catastrophique des incendies de forêt au Canada en 2023 a entraîné une augmentation de plus de 50% des niveaux de particules par rapport à l’année précédente, tandis que les Etats-Unis ont connu une hausse de 20% sur la même période.Bien que les données ne couvrent actuellement que la période allant de 1998 à 2023, la tendance devrait se poursuivre, car les deux pays sont confrontés à des saisons de feux de forêt de plus en plus intenses, une tendance accélérée par le réchauffement climatique.- Espérance de vie raccourcie de deux ans -L’année 2025 se classe ainsi déjà comme la deuxième pire saison de feux de forêt au Canada.”Le plus surprenant, c’est que dans certaines régions du monde, sans aucun doute au Canada et aux Etats-Unis, mais il semblerait aussi dans une partie de l’Europe, la pollution atmosphérique est comme ce zombie que nous pensions avoir éliminé, mais qui est aujourd’hui de retour”, a poursuivi M. Greenstone.Aux Etats-Unis, alors que la Californie restait traditionnellement la région la plus polluée, le phénomène s’est propagé jusqu’au Wisconsin, l’Illinois, l’Indiana et l’Ohio, sous l’effet des vents du Canada.Dans le pays voisin justement, plus de la moitié des Canadiens ont respiré en 2023 un air dont la pollution dépassait la norme nationale de 8,8 microgrammes par mètre cube, ce qui représente une hausse considérable par rapport aux moins de 5% enregistrés au cours des cinq années précédentes.Les régions les plus touchées ont été les Territoires du Nord-Ouest, la Colombie-Britannique et l’Alberta, où les niveaux de pollution par les particules ont rivalisé avec ceux de la Bolivie et du Honduras, raccourcissant l’espérance de vie de deux ans.- Lueur d’espoir en Afrique et Europe -L’Amérique latine a d’ailleurs connu son niveau le plus élevé depuis 1998, la Bolivie étant le pays le plus touché.A l’échelle mondiale, les niveaux de particules fines (définies comme étant de 2,5 micromètres ou moins) sont passés de 23,7 microgrammes par mètre cube en 2022 à 24,1 en 2023. Ce chiffre est près de cinq fois supérieur à la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui est de cinq.En Asie du Sud, la zone la plus polluée au monde, la pollution a augmenté de 2,8%. Même la Chine a connu un léger rebond de 2,8% après une décennie de baisse constante dans le cadre de sa campagne de lutte contre la pollution.Petite lueur d’espoir dans ce sombre tableau: au sein de l’Union européenne, les concentrations de particules ont globalement diminué de 6%, tandis que, en Afrique centrale et de l’Ouest, elles ont baissé de 8%.

En Amérique du Nord, les feux balayent les avancées contre la pollution, selon une étude

“Pire que la fumée du tabac”: la pollution atmosphérique s’aggrave, en particulier aux Etats-Unis et au Canada à cause d’incendies d’ampleur inédite qui ont balayé des décennies d’avancées en la matière, ont averti jeudi des experts dans une étude américaine.Le rapport annuel de l’université de Chicago sur l’indice de qualité de l’air, l’Air Quality Life Index (Aqli), utilise des données satellitaires pour évaluer les niveaux de particules fines dans le monde entier et les traduit en années d’espérance de vie perdues.”On ne le répètera jamais assez: les particules fines restent la plus grande menace externe pour la santé humaine sur la planète”, a commenté auprès de l’AFP Michael Greenstone, professeur d’économie à l’université de Chicago et cofondateur de l’Aqli.”C’est pire que la fumée de tabac. C’est pire que la malnutrition des mères et des enfants. C’est pire que les accidents de la route. C’est pire que le VIH, pire que tout en termes de pertes” en espérance de vie, a-t-il insisté.Selon l’étude, la saison catastrophique des incendies de forêt au Canada en 2023 a entraîné une augmentation de plus de 50% des niveaux de particules par rapport à l’année précédente, tandis que les Etats-Unis ont connu une hausse de 20% sur la même période.Bien que les données ne couvrent actuellement que la période allant de 1998 à 2023, la tendance devrait se poursuivre, car les deux pays sont confrontés à des saisons de feux de forêt de plus en plus intenses, une tendance accélérée par le réchauffement climatique.- Espérance de vie raccourcie de deux ans -L’année 2025 se classe ainsi déjà comme la deuxième pire saison de feux de forêt au Canada.”Le plus surprenant, c’est que dans certaines régions du monde, sans aucun doute au Canada et aux Etats-Unis, mais il semblerait aussi dans une partie de l’Europe, la pollution atmosphérique est comme ce zombie que nous pensions avoir éliminé, mais qui est aujourd’hui de retour”, a poursuivi M. Greenstone.Aux Etats-Unis, alors que la Californie restait traditionnellement la région la plus polluée, le phénomène s’est propagé jusqu’au Wisconsin, l’Illinois, l’Indiana et l’Ohio, sous l’effet des vents du Canada.Dans le pays voisin justement, plus de la moitié des Canadiens ont respiré en 2023 un air dont la pollution dépassait la norme nationale de 8,8 microgrammes par mètre cube, ce qui représente une hausse considérable par rapport aux moins de 5% enregistrés au cours des cinq années précédentes.Les régions les plus touchées ont été les Territoires du Nord-Ouest, la Colombie-Britannique et l’Alberta, où les niveaux de pollution par les particules ont rivalisé avec ceux de la Bolivie et du Honduras, raccourcissant l’espérance de vie de deux ans.- Lueur d’espoir en Afrique et Europe -L’Amérique latine a d’ailleurs connu son niveau le plus élevé depuis 1998, la Bolivie étant le pays le plus touché.A l’échelle mondiale, les niveaux de particules fines (définies comme étant de 2,5 micromètres ou moins) sont passés de 23,7 microgrammes par mètre cube en 2022 à 24,1 en 2023. Ce chiffre est près de cinq fois supérieur à la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui est de cinq.En Asie du Sud, la zone la plus polluée au monde, la pollution a augmenté de 2,8%. Même la Chine a connu un léger rebond de 2,8% après une décennie de baisse constante dans le cadre de sa campagne de lutte contre la pollution.Petite lueur d’espoir dans ce sombre tableau: au sein de l’Union européenne, les concentrations de particules ont globalement diminué de 6%, tandis que, en Afrique centrale et de l’Ouest, elles ont baissé de 8%.

La Bourse de Paris en hausse, les tensions politiques en toile de fond

La Bourse de Paris est en hausse jeudi, tentant de rattraper ses pertes liées à l’incertitude politique en France, qui met sous pression les taux d’intérêt auquel le pays emprunte sur les marchés financiers.L’indice vedette CAC 40 gagnait 0,76% vers 09H30, soit 59,14 points à 7.803,07 points vers 09H40. Mercredi, le CAC 40 avait pris 34,12 points (+0,44%) et s’était établi à 7.743,93 points à la clôture, après avoir cédé plus de 3% sur les deux premières séances de la semaine.Le CAC 40 reste à la traîne par rapport aux autres places financières, avec une progression d’environ 5% depuis le début de l’année, contre plus de 20% pour l’indice vedette allemand, le DAX, par exemple.Wall Street, après avoir été freinée par les incertitudes liées à la politique commerciale erratique de Donald Trump, reprend de la hauteur et les principaux indices boursieurs ont tous franchis des records récemment, à l’instar de l’indice élargi S&P 500 en clôture mercredi.Dans cet environnement, “les obligations françaises restent sous pression”, notent les économistes de Deutsche Bank.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt français à échéance dix ans évoluait à 3,48%, contre 2,69% pour son équivalent allemand, considéré comme la référence en zone euro, la première puissance économique du Vieux continent étant la mieux perçue par les agences de notation.”L’écart à dix ans avec l’Allemagne a atteint un plus haut de sept mois”, soulignent les économistes de Deutsche Bank.”Cet écart croissant constituera un point clé à suivre jusqu’au vote de confiance du 8 septembre concernant le gouvernement de François Bayrou. L’incapacité de Bayrou à faire passer les coupes budgétaires nécessaires inquiète le marché et menace de provoquer une nouvelle crise politique en France”, détaille Kathleen Brooks, directrice de la recherche économique de XTB.Les investisseurs attachent également une attention particulière à la comparaison entre le taux français et celui de l’Italie, longtemps vue comme la lanterne rouge de la zone euro, qui s’établissait à 3,54%. Par ailleurs, les investisseurs digèrent les résultats records du géant technologique américain Nvidia au deuxième trimestre. Enfin, à l’agenda jeudi, le marché attend la publication du PIB des Etats-Unis au deuxième trimestre à 14H30, avant de se tourner vendredi vers l’inflation américaine en juillet.Pernod Ricard moteur de la séanceLe géant des spiritueux Pernod Ricard bondissait de 5,46% à 104,45 euros vers 09H30 après avoir publié des résultats annuels, pour son exercice décalé 2024/2025, légèrement supérieurs aux attentes du marché.Rémy Cointreau gagnait pour sa part 2,31% à 55,35 euros.

Asian markets mixed after Nvidia earnings

Asian markets were mixed Thursday after AI powerhouse Nvidia’s quarterly earnings beat expectations, but its shares slipped over worries about the company’s stalled business in China.Investors had been awaiting the key earnings update from the California-based firm, whose robust growth has largely driven strong gains for tech stocks in recent months.The AI giant posted a profit of $26.4 billion on record revenue of $46.7 billion in the recently ended quarter, but shares fell in after-market trading as important data centre revenue declined. The earnings report comes amid market worries about an AI spending bubble that could burst and hurt the chip giant’s fortunes.”The information feeds into niggling fears of slowing investment in the AI space and lower growth going forward,” Kyle Rodda, senior market analyst at Capital.com in Melbourne told Bloomberg News.During Thursday trading in Asia, Tokyo, Shanghai and Seoul finished up, while Taipei fell.Hong Kong was down 0.7 percent in afternoon trade.In Japan, media reported Thursday that Tokyo’s chief negotiator for the trade agreement with the United States, Ryosei Akazawa, had postponed his planned trip to Washington. Akazawa said Wednesday he hoped to use this trip to pressure the US administration to implement reduced tariffs agreed upon in July.London, Paris and Frankfurt ticked up during early trading in Europe.On Wednesday the Paris stock market bucked the downward trend by rebounding from the previous day’s tumble. That fall had been caused by fears that France’s minority government could be toppled after Prime Minister Francois Bayrou proposed a confidence vote over his proposed budget cuts.France’s borrowing costs have soared since the vote was called Monday, as the government wrestles with how to find around 44 billion euros ($51 billion) in savings.- Key figures at around 0715 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.7 percent at 42,828.79 (close) Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.7 percent at 25,034.13 Shanghai – Composite: UP 1.1 percent at 3,843.60 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,260.21Euro/dollar:  UP at $1.1666 from $1.1633 on WednesdayPound/dollar: UP at 1.3508 from $1.3496 Dollar/yen:  DOWN at 146.83 from 147.51 yen Euro/pound: UP at 86.36 from 86.20 pence West Texas Intermediate: DOWN 0.9 percent at $63.58 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.9 percent at $67.47 per barrelNew York – Dow: UP 0.3 percent at 45,565.23 points (close)

Ligue des champions: Paris et l’Europe retiennent leur souffle

Les 36 équipes qualifiées pour la phase de ligue de la Ligue des champions, le PSG, tenant du titre en premier lieu, retiennent leur souffle avant de connaître leurs futurs adversaires lors du tirage au sort prévu jeudi à Monaco.Introduite la saison passée, la nouvelle formule de la plus prestigieuse des compétitions inter-clubs a connu d’emblée un grand succès, avec le premier sacre de l’histoire du Paris SG en guise d’apothéose pour le football français, au terme d’une finale de rêve à Munich face à l’Inter Milan (5-0).Plus d’affiches, plus de suspense, notamment durant une dernière journée haletante: le format inédit, avec une poule unique, a pleinement tenu ses promesses l’an passé, confortant l’UEFA dans sa volonté d’opérer un changement radical afin d’augmenter ses recettes et ainsi couper court à toute volonté de scission de certaines grandes écuries.Comme en 2024-2025, les équipes, réparties en quatre chapeaux pour le tirage (selon le coefficient UEFA calculé sur la base des résultats en Coupe d’Europe sur les cinq dernières saisons), joueront donc huit rencontres contre des adversaires différents (deux par chapeau), quatre à domicile et quatre à l’extérieur.A l’issue de cette phase initiale (du 16 septembre au 28 janvier 2026), les huit premiers seront qualifiés directement pour les 8e de finale, les formations classées de la 9e à la 24e place se disputant les huit derniers tickets en barrages aller-retour.C’est encore une fois un tirage automatisé qui déterminera les différents face-à-face, l’ordinateur devant respecter deux critères: un club ne pourra pas jouer contre un pensionnaire de son propre championnat ni affronter plus de deux représentants d’un même pays.- Paris veut “marquer l’histoire” -Seule nouveauté: contrairement à l’exercice précédent, il y aura un véritable intérêt à terminer parmi les huit premiers de la phase de ligue puisque les heureux élus auront l’avantage de recevoir lors du match retour en 8e de finale.Les quatre premiers évolueront même à domicile lors du match retour jusqu’en quart de finale alors que les deux premiers du classement bénéficieront de ce privilège pour toutes les rencontres à élimination directe.Fort de son statut de champion d’Europe, le PSG figure naturellement dans le chapeau 1 en compagnie des principaux cadors du continent (Real Madrid, Manchester City, Bayern Munich, Liverpool, Inter Milan, Chelsea, Borussia Dortmund, FC Barcelone) et va croiser les doigts pour ne pas avoir un parcours aussi corsé que la saison dernière puisqu’il n’avait terminé que 15e avant de monter en puissance à partir des barrages.Quel que soit le sort, Luis Enrique le martèle depuis des semaines: l’objectif des Parisiens est bel et bien de “continuer à marquer l’histoire” et de forger “une dynastie” en allant chercher une deuxième Ligue des champions d’affilée, le 30 mai 2026 à Budapest.”On est très ambitieux. On sait que ce sera difficile, mais c’est normal d’avoir cette mentalité”, a expliqué l’entraîneur espagnol.Paris, qui se faisait tout petit à l’été 2024 après le départ de sa superstar Kylian Mbappé au Real Madrid, ne pourra toutefois pas se cacher cette fois. Les équipes anglaises, balayées sur la route de son titre européen, le Real et le Bayern, humiliés au Mondial des clubs, ou le Barça de Lamine Yamal, sorti en demi-finales par l’Inter, attendent le PSG de pied ferme. L’OM, dans le chapeau 3 et qui va retrouver l’atmosphère des chaudes soirées de C1 après trois ans d’absence, devra sans doute cravacher pour aller au-delà de la phase de ligue. Monaco, reversé dans le 4e pot, peut également s’attendre à souffrir. 

Autoroutes: moins de tués en 2024, malgré des comportements à risque persistants

Les accidents mortels sur autoroute ont atteint un niveau historiquement bas en 2024, mais les comportements à risque des conducteurs persistent, selon des données du secteur publiées jeudi. 114 accidents mortels ont été recensés sur autoroute concédée (à péage) en 2024 contre 164 en 2023, a indiqué l’Association des sociétés françaises d’autoroutes (Asfa) dans son bilan sécurité 2024.Il s’agit du “plus faible taux jamais enregistré sur les autoroutes concédées”, selon l’Asfa. Le nombre de morts a fortement baissé en conséquence, avec 129 personnes tuées en 2024 contre 182 en 2023. L’Asfa déplore en revanche la “persistance de comportements à risque” chez les conducteurs. La principale cause d’accidents mortels reste la consommation d’alcool, de drogues et de médicaments au volant (35%), qui concerne particulièrement les conducteurs de moins de 35 ans. La vitesse excessive (20%) et la présence de piétons (20%), notamment ceux sortant de véhicules à l’arrêt, figurent parmi les autres facteurs les plus fréquents d’accidents mortels.Après plusieurs années de baisse, le facteur lié à la somnolence et la fatigue a connu une “hausse inquiétante”, en passant de 13% en 2023 à 19% en 2024. L'”inattention”, souvent liée à l’utilisation d’appareils électroniques (smartphone, tablette, GPS…), est quant à elle à l’origine de 14% des accidents mortels de 2024 et particulièrement importante sur les trajets domicile/travail, avec un pic entre 14H et 18H.Rapportés au trafic, les accidents mortels liés à la somnolence surviennent essentiellement la nuit, “avec un pic entre 2h et 4h du matin”, et une fréquence accrue le week-end.L’année 2024 a aussi été marquée par la mort de deux professionnels de l’autoroute en intervention : un agent autoroutier fauché sur l’A8 le 3 mars, et, en août une salariée de la Sanef (Société des autoroutes du Nord et de l’Est de la France) tuée par un automobiliste roulant à grande vitesse au niveau d’un péage.Face au bilan 2024 “préoccupant” des accidents impliquant les professionnels autoroutiers – chiffré à 143 accidents et 15 victimes -, l’Asfa appelle à la vigilance des conducteurs pour garantir leur sécurité. 3.432 personnes sont décédées en 2024 sur les routes de France métropolitaine et d’outre-mer (+1% par rapport à 2023), selon le bilan global de la Sécurité routière. Ce bilan s’élève à 239 morts sur l’ensemble des autoroutes – concédées et non concédées – mais reste en diminution de 11% par rapport à 2023, avec 30 tués de moins.