Starc stars as Delhi beat Rajasthan in Super Over

Delhi Capitals edged out Rajasthan Royals in the IPL’s first Super Over of the season after pace bowler Mitchell Starc defended nine off the last over on Wednesday.Left-arm quick Starc restricted Rajasthan to 188-4 after Delhi made 188-5, and then returned to bowl another disciplined over at the Feroz Shah Kotla ground.Rajasthan managed just 11 runs from their Super Over after Shimron Hetmyer and Riyan Parag hit a boundary each before both were run out, ending the innings with a ball to spare.Needing 12 to win, KL Rahul started with a two and then hit a four before Tristan Stubbs finished off with a six on the fourth ball from Sandeep Sharma.Delhi, led by Axar Patel, got back to winning ways and returned to take top spot in the 10-team table with five victories and just one defeat in six matches.Rajasthan, who have been chasing the IPL title since their inaugural triumph in 2008 under late Australia great Shane Warne, slumped to their fifth loss in seven matches.Opener Yashasvi Jaiswal and Nitish Rana hit 51 each to set up Rajasthan’s chase of 189, but wickets at regular intervals kept Delhi in the hunt.Australia’s Starc dismissed Rana in the 18th over before Dhruv Jurel hit back in his 26 and Hetmyer made 15 not out.With Rajasthan needing nine to win off the final over, Starc limited them to ones and twos before Jurel was run out attempting a second run off the last ball, leaving the teams tied and facing a one-over shootout.”I was thinking if Mitch can execute, we will be in this,” Axar said on his choice for the last over.- Starc’s yorkers -“He bowled almost 12 yorkers. That’s why he is such an Australian legend. I guess he missed only one ball as far as execution was concerned. The field was changed but he kept at it.”Starc was named player of the match and the 35-year-old won rich praise from Rajasthan skipper Sanju Samson.”I felt it was definitely a chaseable score,” said Samson. “I think as we all saw some fantastic bowling by Starcy. He is one of the best guys around in the world. I would like to give it to Starcy. He won them the game in the 20th over.”Earlier, Rajasthan raced to 50 in five overs with Jaiswal on fire and Samson going well before retiring hurt with rib pain after making 31 off 19 balls.Samson, after the match, said he “feels alright now”.Jaiswal brought up his third fifty of the season before being dismissed by left-arm wrist spinner Kuldeep Yadav but Rana kept up the batting surge.Rana survived a reprieve on 20 when Stubbs dropped the batter on the ropes and ball went for six. He made the most of his second chance but the batting effort was not enough. Delhi rode on Abishek Porel’s 49 and scores of 34 apiece from Axar and Stubbs.In-form Rahul made 38 and put on 63 runs with Porel.Axar then added 41 runs off 19 balls with South African Stubbs as the two hit the ball to all parts of the ground much to the delight of the home crowd as Delhi managed 77 runs from the last five overs.

Guerre commerciale: Pékin et Washington poursuivent leur bras de fer

Pékin et Washington continuent de se renvoyer la balle sur les droits de douane, alimentant l’incertitude quant à l’issue de la guerre commerciale qui devrait provoquer un recul des échanges mondiaux cette année, a prévenu l’OMC mercredi.”Si les États-Unis veulent véritablement résoudre le problème par le dialogue et la négociation, ils doivent (…) cesser de menacer et de faire du chantage, et discuter avec la Chine sur la base de l’égalité, du respect et du bénéfice mutuel”, a dit mercredi Lin Jian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.La veille, la porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt avait affirmé que la balle était “dans le camp de la Chine”.Donald Trump “a de nouveau clairement affirmé qu’il était ouvert à un accord avec la Chine. Mais c’est la Chine qui a besoin d’un accord avec les États-Unis” et non l’inverse, avait-elle affirmé devant la presse.La suspension temporaire des droits de douane punitifs américains les plus importants atténue la contraction des échanges, mais le recul du commerce mondial de marchandises pourrait atteindre jusqu’à 1,5% en volume en 2025, en fonction de la politique protectionniste de Donald Trump, selon les prévisions annuelles de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).Mercredi le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, a estimé que les droits de douane “vont très certainement entraîner au moins une hausse temporaire de l’inflation”, avec la possibilité que “les effets inflationnistes soient également persistants”.Alors qu’elle était déjà orientée à la baisse, Wall Street a vu ses pertes s’accélérer après le discours de M. Powell, l’indice Nasdaq reculant de 3,91%, le Dow Jones de 1,84% et le S&P 500 de 2,69% à 18H55 GMT.Symbole de l’impact sur le grand public, la plateforme de vente en ligne Shein a annoncé à ses clients qu’elle augmenterait ses prix à compter du 25 avril “du fait des récents changements dans les règles de commerce mondial et sur les droits de douane”.La Chine, qui a publié mercredi une croissance économique de 5,4% au premier trimestre 2025, plus forte qu’anticipé, a par ailleurs suspendu toute réception d’avions fabriqués par l’américain Boeing.- La Chine continue ses représailles -Un geste dénoncé par le président américain, qui a affirmé sur son réseau Truth Social que la Chine s’était rétractée pour des avions pourtant “couverts par des engagements fermes”.Selon l’agence de presse Bloomberg, Pékin a également demandé aux compagnies aériennes du pays “de stopper tout achat d’équipements et de pièces détachées pour avions auprès d’entreprises américaines”.La Chine semble aussi résolue à s’en prendre à l’agriculture américaine: la fédération des exportateurs de viande américaine a confirmé à l’AFP le non-renouvellement des licences de la majorité des exportateurs de bÅ“uf depuis mi-mars.Le président chinois Xi Jinping poursuit mercredi en Malaisie sa tournée en Asie du sud-est pour essayer d’organiser une riposte coordonnée aux droits de douane américains.Chine et États-Unis sont entrés dans une surenchère: Washington a imposé au total 145% de taxe sur les produits chinois entrant sur son territoire, qui s’ajoutent à ceux existants avant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, pour un total pouvant ainsi atteindre jusqu’à 245%. Pékin a répliqué avec une surtaxe qui atteint désormais 125% pour les produits américains.Le président américain a cependant atténué ses annonces en exemptant les ordinateurs, smartphones et autres produits électroniques, ainsi que les semi-conducteurs, dont la majorité provient de Chine.Pour tous les autres pays, les droits de douane réciproques supérieurs à un plancher de 10% ont été mis en pause pour 90 jours, la Maison-Blanche ouvrant la porte à la négociation.En attendant, la Maison Blanche compte poursuivre dans la mise en place de droits de douane sectoriels, après les 25% déjà imposés sur l’acier et l’aluminium ainsi que sur l’automobile.Depuis le début de la semaine, le ministère du Commerce a ainsi lancé des enquêtes concernant les importations de produits pharmaceutiques, semiconducteurs et métaux rares, ainsi que les produits qui en sont issus, tels que l’électronique grand public, afin de déterminer si le fait de se reposer sur le marché mondial pour ces produits représente un risque ou non pour la sécurité nationale.Il s’agit d’une première étape nécessaire afin de permettre au président américain d’agir par décret sur ces secteurs.

Guerre commerciale: Pékin et Washington poursuivent leur bras de fer

Pékin et Washington continuent de se renvoyer la balle sur les droits de douane, alimentant l’incertitude quant à l’issue de la guerre commerciale qui devrait provoquer un recul des échanges mondiaux cette année, a prévenu l’OMC mercredi.”Si les États-Unis veulent véritablement résoudre le problème par le dialogue et la négociation, ils doivent (…) cesser de menacer et de faire du chantage, et discuter avec la Chine sur la base de l’égalité, du respect et du bénéfice mutuel”, a dit mercredi Lin Jian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.La veille, la porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt avait affirmé que la balle était “dans le camp de la Chine”.Donald Trump “a de nouveau clairement affirmé qu’il était ouvert à un accord avec la Chine. Mais c’est la Chine qui a besoin d’un accord avec les États-Unis” et non l’inverse, avait-elle affirmé devant la presse.La suspension temporaire des droits de douane punitifs américains les plus importants atténue la contraction des échanges, mais le recul du commerce mondial de marchandises pourrait atteindre jusqu’à 1,5% en volume en 2025, en fonction de la politique protectionniste de Donald Trump, selon les prévisions annuelles de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).Mercredi le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, a estimé que les droits de douane “vont très certainement entraîner au moins une hausse temporaire de l’inflation”, avec la possibilité que “les effets inflationnistes soient également persistants”.Alors qu’elle était déjà orientée à la baisse, Wall Street a vu ses pertes s’accélérer après le discours de M. Powell, l’indice Nasdaq reculant de 3,91%, le Dow Jones de 1,84% et le S&P 500 de 2,69% à 18H55 GMT.Symbole de l’impact sur le grand public, la plateforme de vente en ligne Shein a annoncé à ses clients qu’elle augmenterait ses prix à compter du 25 avril “du fait des récents changements dans les règles de commerce mondial et sur les droits de douane”.La Chine, qui a publié mercredi une croissance économique de 5,4% au premier trimestre 2025, plus forte qu’anticipé, a par ailleurs suspendu toute réception d’avions fabriqués par l’américain Boeing.- La Chine continue ses représailles -Un geste dénoncé par le président américain, qui a affirmé sur son réseau Truth Social que la Chine s’était rétractée pour des avions pourtant “couverts par des engagements fermes”.Selon l’agence de presse Bloomberg, Pékin a également demandé aux compagnies aériennes du pays “de stopper tout achat d’équipements et de pièces détachées pour avions auprès d’entreprises américaines”.La Chine semble aussi résolue à s’en prendre à l’agriculture américaine: la fédération des exportateurs de viande américaine a confirmé à l’AFP le non-renouvellement des licences de la majorité des exportateurs de bÅ“uf depuis mi-mars.Le président chinois Xi Jinping poursuit mercredi en Malaisie sa tournée en Asie du sud-est pour essayer d’organiser une riposte coordonnée aux droits de douane américains.Chine et États-Unis sont entrés dans une surenchère: Washington a imposé au total 145% de taxe sur les produits chinois entrant sur son territoire, qui s’ajoutent à ceux existants avant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, pour un total pouvant ainsi atteindre jusqu’à 245%. Pékin a répliqué avec une surtaxe qui atteint désormais 125% pour les produits américains.Le président américain a cependant atténué ses annonces en exemptant les ordinateurs, smartphones et autres produits électroniques, ainsi que les semi-conducteurs, dont la majorité provient de Chine.Pour tous les autres pays, les droits de douane réciproques supérieurs à un plancher de 10% ont été mis en pause pour 90 jours, la Maison-Blanche ouvrant la porte à la négociation.En attendant, la Maison Blanche compte poursuivre dans la mise en place de droits de douane sectoriels, après les 25% déjà imposés sur l’acier et l’aluminium ainsi que sur l’automobile.Depuis le début de la semaine, le ministère du Commerce a ainsi lancé des enquêtes concernant les importations de produits pharmaceutiques, semiconducteurs et métaux rares, ainsi que les produits qui en sont issus, tels que l’électronique grand public, afin de déterminer si le fait de se reposer sur le marché mondial pour ces produits représente un risque ou non pour la sécurité nationale.Il s’agit d’une première étape nécessaire afin de permettre au président américain d’agir par décret sur ces secteurs.

‘Tip of the iceberg’: Red Cross says 8,000 missing in war-torn Sudan in 2024Wed, 16 Apr 2025 18:48:17 GMT

At least 8,000 people were reported missing in war-ravaged Sudan in 2024, the International Committee of the Red Cross (ICRC) said on Wednesday, warning that the figure is just “the tip of the iceberg”.”These are just the cases we have collected directly,” Daniel O’Malley, head of the ICRC delegation in Sudan, told AFP in an …

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L’emprisonnement au Salvador d’expulsés des Etats-Unis crée un “trou noir” juridique, dénoncent les ONG

La détention au Salvador, dans une méga-prison pour membres de gangs, de migrants expulsés des États-Unis crée “un trou noir” juridique, alertent des défenseurs des droits humains préoccupés par l’alliance sécuritaire entre les deux pays.Les présidents du Salvador, Nayib Bukele, et des États-Unis, Donald Trump, ont consolidé lundi à la Maison Blanche une alliance qui permet à Washington de continuer à envoyer au Salvador des migrants accusés d’être criminels.Au moins 288 migrants, pour la plupart vénézuéliens, ont été expulsés par les États-Unis vers le Salvador depuis mars et emprisonnés au Centre de confinement contre le terrorisme (Cecot), au régime de détention ultra-sévère. Quelque 15.000 Salvadoriens accusés d’appartenir aux gangs du MS-13 et Barrio 18 y sont emprisonnés dans des cellules collectives, sans possibilité de visites.”Ce que l’on cherche à créer ici est une version extrême de Guantanamo”, la prison militaire américaine à Cuba, “un trou noir où il n’y a aucune protection de la loi pour les personnes qui s’y trouvent, et c’est très grave”, juge auprès de l’AFP le sous-directeur pour les Amériques de l’ONG Human Rights Watch (HRW), Juan Pappier, évoquant “disparition forcée”, “détention arbitraire et potentiellement indéfinie”.Selon l’ONG Cristosal de défense des droits humains en Amérique centrale, près de la moitié des migrants envoyés au Cecot bénéficiaient du statut de demandeur d’asile aux Etats-Unis ou étaient en cours de demande, “ce qui devrait les protéger des procédures d’expulsion”. Ils ont été expulsés “indépendamment de leur statut d’immigration, sur la base de l’accusation générique d’appartenance au gang du Tren de Aragua, qui, selon les données disponibles, semble infondée dans la grande majorité des cas”, souligne son directeur Noah Bullock.- “Erreur administrative” -Un cas notoire est celui du salvadorien Kilmar Abrego Garcia, marié à une Américaine. Il a été arrêté aux États-Unis le 12 mars et expulsé trois jours après au Salvador avec 230 autres personnes, accusé d’appartenir au gang MS-13 déclaré “organisation terroriste” en février par Washington.M. Abrego vivait aux États-Unis sous un statut légal protégé depuis 2019 car il est en danger au Salvador. Washington a reconnu devant un tribunal que son expulsion était une “erreur administrative” et une ordonnance d’un juge fédéral américain, soutenue par la Cour suprême, exige son retour aux États-Unis.Mais les deux gouvernements s’y refusent.Le sénateur démocrate du Maryland Chris Van Hollen est arrivé au Salvador mercredi pour plaider sa libération, estimant que que M. Abrego avait été “enlevé illégalement par l’administration Trump et doit rentrer chez lui”.- “Marge d’erreur” -L’AFP a interviewé au Venezuela plusieurs familles de détenus assurant qu’ils n’ont commis aucun crime justifiant la prison.Alexis de Hernandez, mère d’Andry Hernandez Romero, 31 ans, a déclaré que son fils est “injustement emprisonné” et arrêté “simplement parce qu’il a quelques tatouages”.Noah Bullock dénonce qu'”au Salvador le gouvernement appelle +marge d’erreur+ la détention de personnes innocentes”.Dans les rues de San Salvador, certains critiquent les expulsions “simplement parce qu’ils sont tatoués”, comme Ricardo Rosales, un transporteur de 32 ans. Mais beaucoup défendent la fermeté de Bukele, triomphalement réélu en 2024 pour sa guerre contre les gangs qui, disent-ils, a drastiquement changé leur vie quotidienne.Au moment où les États-Unis “s’éloignent” de nombreux pays, “ils se rapprochent du Salvador” qui va en tirer “grand bénéfice”, veut croire Manuel Urrutia, ingénieur retraité de 73 ans.Principal allié de Trump en Amérique latine, Nayib Bukele a été accueilli avec les honneurs à la Maison Blanche.”Nous avons très envie de vous aider”, a déclaré Bukele, à quoi Trump a répondu : “Vous nous aidez. Nous vous en sommes reconnaissants”.Donald Trump a même déclaré mardi qu’il envisageait d’envoyer au Cecot des citoyens américains auteurs de crimes violents. “Nous sommes en train d’étudier la question et nous voulons le faire. J’adorerais le faire”, a-t-il dit dans une interview accordée à Fox Noticias, un programme en langue espagnole de Fox News.Nayib Bukele qui a inondé son compte X de photos avec Donald Trump, dont une où les deux hommes enlacés est accompagnée de la mention “amis”, a obtenu l’intégration au programme Global Entry, qui permettra aux Salvadoriens ayant un visa “d’entrer rapidement” aux États-Unis.

Nate Bargatze to host Emmys: organizers

Comedian Nate Bargatze, one of the United States’ most successful stand-ups, will host this year’s Emmy Awards, organizers said Wednesday.The funnyman is being handed the reins of television’s most prestigious prize show for its 77th edition, which takes place in Los Angeles in September and will be broadcast on US network CBS.”It’s a huge honor to be asked to host such an iconic awards show and I’m beyond excited to work with CBS to create a night that can be enjoyed by families around the world,” Bargatze said in a statement.Last year’s show was hosted by the well-received father-and-son pairing of Eugene and Dan Levy, for an evening that saw a boost in viewing figures compared with previous editions.The Television Academy, which hands out the prizes, will be hoping that Bargatze’s growing popularity and everyman persona will add to the show’s appeal.”Nate is one of the hottest comics in the business with a remarkable and hilarious brand of comedy that deeply resonates with multi-generational audiences around the globe,” Television Academy Chair Cris Abrego said.”We are thrilled to be able to leverage his one-of-a-kind perspective to entertain TV fans watching this year’s Emmy telecast.”Bargatze is on something of a career roll, playing to sell-out audiences in the United States and seeing success around the world through his Netflix specials.His six stand-up specials have included “The Greatest Average American,” which earned him a Grammy nomination for best comedy album.