Vance talks migration with pope’s right-hand man at Vatican

US Vice President JD Vance met the Vatican’s second-highest official on Saturday, discussing the thorny issue of refugees just two months after Pope Francis incurred the wrath of the White House after lambasting the new US administration over its migration policies.Catholic convert Vance and his delegation held “cordial talks” with the Vatican’s secretary of state, Cardinal Pietro Parolin, and Paul Richard Gallagher, the Holy See’s secretary for relations with states, according to a Vatican statement.The late morning meeting came just a day after Vance met Italian Prime Minister Giorgia Meloni and discussed US President Donald Trump’s trade tariffs.Vance, 40, had been hoping to meet the 88-year-old head of the world’s 1.4 billion Catholics, who is recuperating after battling life-threatening pneumonia and spending nearly 40 days in hospital.The Vatican made no mention of any such meeting with the pontiff and Vance’s entourage has not commented on the rest of his programme in Rome.But Francis made a brief appearance at Saint Peter’s Basilica in the late afternoon, greeting visitors from his wheelchair.”During the cordial talks” that praised bilateral relations, “the common commitment to protect the right to freedom of religion and conscience was reiterated,” the Vatican said in a statement.That was a topic Vance brought up during a speech to the Munich Security Conference in February, when he slammed the “retreat” of free speech in Europe.A statement from the White House said that Vance and Parolin “discussed their shared religious faith, Catholicism in the United States, the plight of persecuted Christian communities around the world, and President Trump’s commitment to restoring world peace”.- ‘Valuable service to most vulnerable’ -However, there were also discussions on subjects where the two sides do not see eye to eye.”There was an exchange of opinions on the international situation, especially regarding countries affected by war, political tensions and difficult humanitarian situations, with particular attention to migrants, refugees, and prisoners,” the Vatican added.In February, Francis angered the White House after writing a letter to US bishops in which he condemned Trump’s plan to deport migrants en masse, which he described as a “major crisis”.The United States responded by telling Francis to “stick to” religion.Last year, Francis also made a rare foray into the US election season to call harsh anti-migrant attitudes “madness” and criticise right-wing US Catholic figures for overly conservative stances.But following Saturday’s meeting, the Vatican did acknowledge the US Catholic Church’s “valuable service to the most vulnerable people”.Vance has a close relationship with the most conservative fringe of American churches, which have criticised the pope over his stances on migration, LGBTQ rights and certain questions of social justice.The US vice president, his wife and three children attended a Good Friday liturgy at Saint Peter’s Basilica following his meeting with Meloni.There has been no official confirmation of whether Vance, who converted to Catholicism in his mid-30s, will attend Easter mass on Sunday, where the pope is expected to make an appearance to the thousands of worshippers descending on the Vatican for the occasion.In May 2017, when Trump was in his first term, he was received at the Vatican for a half-hour meeting.

Vance reçu au Vatican, aucune rencontre avec le pape évoquée

Le vice-président américain JD Vance a été reçu samedi au Vatican lors d’un entretien qui a abordé l’épineuse question des réfugiés, deux mois après de vives critiques du chef de l’Eglise catholique contre la politique migratoire de l’administration Trump.Les deux parties avaient maintenu le flou sur une possible rencontre samedi entre M. Vance et le pape de 88 ans. Celle-ci n’a pas été évoquée.JD Vance, converti au catholicisme à 35 ans, pourrait rencontrer François dimanche en marge de la messe de Pâques bien que sa présence n’ait pas été officiellement confirmée.Affaibli après une grave pneumonie et malgré sa convalescence, le pape avait reçu le roi Charles III début avril et a fait plusieurs apparitions surprises ces derniers jours. Samedi, vers 16H00 GMT, il a ainsi été aperçu sur son fauteuil roulant, saluant des fidèles dans la basilique Saint-Pierre où se tiendra dans la soirée la veillée pascale, selon une vidéo publiée par un journaliste.Fervent catholique, JD Vance s’est entretenu pendant plus d’une heure au palais apostolique avec le cardinal italien Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat et N.2 du Saint-Siège, ainsi que Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États.L’entretien “cordial” a abordé “la situation internationale, en particulier dans les pays marqués par la guerre, les tensions politiques et des situations humanitaires difficiles, avec une attention particulière portée aux migrants, aux réfugiés, aux prisonniers”, a indiqué le Vatican dans un communiqué.En février, le pape François s’était attiré les foudres de la Maison Blanche en condamnant, dans une lettre aux évêques américains, les expulsions massives de migrants voulues par Donald Trump, qualifiées de “crise majeure”.”Ce qui est construit sur le fondement de la force, et non sur la vérité de la dignité égale de tout être humain, commence mal et finira mal”, avait-il prévenu, alors que M. Vance entend faire de son pays une forteresse aux valeurs conservatrices en limitant drastiquement l’immigration.Samedi, “les deux parties (…) ont renouvelé leur engagement commun à protéger le droit à la liberté religieuse et de conscience”, selon le Vatican.Un thème abordé à Munich en février par M. Vance, qui avait dénoncé le “recul” de la “liberté d’expression” sur le Vieux Continent, notamment concernant l’opposition à l’avortement, suscitant la colère de plusieurs dirigeants européens.M. Vance est proche de la frange conservatrice de l’Eglise américaine, très critique envers le pape argentin pour ses positions sur les migrants, les fidèles LGBT+ ou certaines questions de justice sociale.”Les deux parties ont exprimé le souhait d’une collaboration sereine entre l’État et l’Église catholique aux États-Unis, dont le service précieux envers les personnes les plus vulnérables a été reconnu”, a indiqué le Vatican.Les deux parties “ont discuté de leur foi religieuse commune, du catholicisme aux États-Unis, du sort des communautés chrétiennes persécutées dans le monde et de l’engagement du président Trump à restaurer la paix dans le monde”, a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.Arrivé vendredi à Rome pour le weekend pascal, M. Vance a rencontré la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Il s’est ensuite rendu à la basilique Saint-Pierre, accompagné de son épouse Usha et de leurs trois enfants, pour assister à l’office de la Passion du Vendredi saint, qui commémore la mort du Christ sur la Croix.

Vance reçu au Vatican, aucune rencontre avec le pape évoquée

Le vice-président américain JD Vance a été reçu samedi au Vatican lors d’un entretien qui a abordé l’épineuse question des réfugiés, deux mois après de vives critiques du chef de l’Eglise catholique contre la politique migratoire de l’administration Trump.Les deux parties avaient maintenu le flou sur une possible rencontre samedi entre M. Vance et le pape de 88 ans. Celle-ci n’a pas été évoquée.JD Vance, converti au catholicisme à 35 ans, pourrait rencontrer François dimanche en marge de la messe de Pâques bien que sa présence n’ait pas été officiellement confirmée.Affaibli après une grave pneumonie et malgré sa convalescence, le pape avait reçu le roi Charles III début avril et a fait plusieurs apparitions surprises ces derniers jours. Samedi, vers 16H00 GMT, il a ainsi été aperçu sur son fauteuil roulant, saluant des fidèles dans la basilique Saint-Pierre où se tiendra dans la soirée la veillée pascale, selon une vidéo publiée par un journaliste.Fervent catholique, JD Vance s’est entretenu pendant plus d’une heure au palais apostolique avec le cardinal italien Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat et N.2 du Saint-Siège, ainsi que Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États.L’entretien “cordial” a abordé “la situation internationale, en particulier dans les pays marqués par la guerre, les tensions politiques et des situations humanitaires difficiles, avec une attention particulière portée aux migrants, aux réfugiés, aux prisonniers”, a indiqué le Vatican dans un communiqué.En février, le pape François s’était attiré les foudres de la Maison Blanche en condamnant, dans une lettre aux évêques américains, les expulsions massives de migrants voulues par Donald Trump, qualifiées de “crise majeure”.”Ce qui est construit sur le fondement de la force, et non sur la vérité de la dignité égale de tout être humain, commence mal et finira mal”, avait-il prévenu, alors que M. Vance entend faire de son pays une forteresse aux valeurs conservatrices en limitant drastiquement l’immigration.Samedi, “les deux parties (…) ont renouvelé leur engagement commun à protéger le droit à la liberté religieuse et de conscience”, selon le Vatican.Un thème abordé à Munich en février par M. Vance, qui avait dénoncé le “recul” de la “liberté d’expression” sur le Vieux Continent, notamment concernant l’opposition à l’avortement, suscitant la colère de plusieurs dirigeants européens.M. Vance est proche de la frange conservatrice de l’Eglise américaine, très critique envers le pape argentin pour ses positions sur les migrants, les fidèles LGBT+ ou certaines questions de justice sociale.”Les deux parties ont exprimé le souhait d’une collaboration sereine entre l’État et l’Église catholique aux États-Unis, dont le service précieux envers les personnes les plus vulnérables a été reconnu”, a indiqué le Vatican.Les deux parties “ont discuté de leur foi religieuse commune, du catholicisme aux États-Unis, du sort des communautés chrétiennes persécutées dans le monde et de l’engagement du président Trump à restaurer la paix dans le monde”, a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.Arrivé vendredi à Rome pour le weekend pascal, M. Vance a rencontré la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Il s’est ensuite rendu à la basilique Saint-Pierre, accompagné de son épouse Usha et de leurs trois enfants, pour assister à l’office de la Passion du Vendredi saint, qui commémore la mort du Christ sur la Croix.

Les vins de Bourgogne dans la course à la décarbonation

Moins de verre et de métal, plus d’engrais naturels et de haies: les vins de Bourgogne se sont lancés dans un plan tous azimuts pour atteindre la neutralité carbone dès 2035, quinze ans avant l’objectif de la France.C’est “très ambitieux”, confesse à l’AFP Laurent Delaunay, président du Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB). “Mais le dérèglement climatique est quelque chose de très grave. On est bien placés pour le voir”, dit-il en référence aux dégâts causés à la vigne par les aléas climatiques.D’ici à 2035, les vins de Bourgogne ambitionnent donc de réduire de 60% leur émission de gaz à effet de serre. Les 40% restants, un “minimum incompressible” selon M. Delaunay, doivent être “compensés” par des mesures de stockage de carbone, comme la plantation de haies et d’arbres.Le plan n’en est encore qu’à ses débuts: sur les quelque 3.500 domaines de Bourgogne, seuls 150 comptes ont été ouverts sur la plateforme WinePilot, qui permet aux vignerons d’évaluer leur empreinte carbone et de la réduire. “Mais il n’y en avait que 60 il y a six mois”, se félicite Mathieu Oudot, chef du projet neutralité au BIVB, qui veut y voir une “dynamique en train de prendre”.Pour atteindre son objectif, la profession s’attaque d’abord au plus gros contributeur : la bouteille, qui pèse 25% du carbone. “Nos bouteilles passent cette année à 420 grammes, contre 520 auparavant. Cela représente 500 tonnes de verre en moins, soit 100 tonnes de CO2″, l’équivalent de plus de 50 allers-retours Paris-New York en avion, se félicite Frédéric Drouhin, de la Maison Drouhin, à Beaune (Côte d’Or).Mais toucher à la dive bouteille, même si elle est devenue diabolique par son empreinte carbone, nécessite de s’attaquer à un tabou dans une Bourgogne où on estime souvent qu’un bon vin nécessite un flacon de poids.”On a sondé nos clients”, rétorque Frédéric Drouhin. “Et ils ne sont pas choqués, même pour les grands vins.”- Tondeuses naturelles -Alléger la bouteille ne suffira pas. “Il va falloir qu’il y ait des pratiques qui changent”, avertit Boris Champy, à la tête d’un des premiers domaines de France à être passé, dès 1984, en biodynamie, forme plus exigeante de l’agriculture biologique qui lutte contre les maladies à l’aide de tisanes ou de bouses de vaches, et émet moins de gaz à effets de serre.Le résultat est visible: alors que la parcelle de son voisin est revêtue d’un triste sol nu, des milliers de pâquerettes pointent leurs couleurs au milieu du domaine de Boris, à Nantoux (Côte d’Or). Entre les rangs, des moutons pâturent, véritables tondeuses naturelles qui “évitent un passage en tracteur” tout en laissant au sol un engrais naturel. Boris Champy n’a pas la prétention de demander à tous de suivre son exemple mais certaines de ses pratiques peuvent être reprises, croit-il, par exemple l’abolition des capsules en métal qui recouvrent les bouchons.Autre usage à éradiquer, selon lui: le brûlage des sarments (tiges coupées lors de la taille) qui charge l’air de C02 alors que, broyés, ils peuvent apporter aux sols de précieuses matières organiques.Outre la vigne, la neutralité se fera également dans les chais, estime la coopérative de La Chablisienne, premier producteur de Chablis (Yonne). Quand il a fallu penser à un nouvel entrepôt, elle a opté pour la réhabilitation d’une ancienne carrière plutôt qu’une nouvelle construction.”Elle aurait coûté 8 millions d’euros, contre 2,5 millions pour cette carrière. Et ici, la température reste toute l’année à 12-14 degrés, donc pas besoin de climatiser, ce qui économise beaucoup d’énergie. C’est une belle opération pour nous et pour la planète”, se réjouit Damien Leclerc, directeur général de La Chablisienne.Pour lui, l’objectif de neutralité en 2035 “semble réaliste”. “De toute façon, même si on s’arrête aux trois quarts du chemin, on aura quand même déjà parcouru trois quarts du chemin”.

US Supreme Court intervenes to pause Trump deportations

The US Supreme Court, in a dramatic nighttime intervention Saturday, paused President Donald Trump’s unprecedented use of an obscure law to deport Venezuelan migrants without due process.The emergency ruling, delivered in two terse paragraphs, noted that two of the most conservative of the nine justices had dissented.The order temporarily prevents the government from continuing to expel migrants under the 1798 Alien Enemies Act — last used to round up Japanese-American citizens during World War II.Trump invoked the law last month to deport Venezuelans to a notorious prison in El Salvador.The unusual decision was triggered by imminent plans late Friday to expel dozens more Venezuelans under the Act, meaning they would have been deported with next to no ability to hear evidence against them or challenge their cases.The court said “the government is directed not to remove any member of the putative class of detainees from the United States until further order.”Trump justifies summary expulsions — and the detention of people in El Salvador — by insisting that he is cracking down on violent Venezuelan criminal gangs now classified by the US government as terrorists.But the policy is fueling opposition concerns that the Republican is ignoring the US constitution in a broader bid to amass power. The row over the Alien Enemies Act comes amid muscular assaults by the administration on big law firms, Harvard and other universities, and major independent media outlets.The American Civil Liberties Union, which took the lead in seeking to halt Friday’s planned deportations, welcomed the Supreme Court ruling.”These men were in imminent danger of spending their lives in a horrific foreign prison without ever having had a chance to go to court. We are relieved that the Supreme Court has not permitted the administration to whisk them away the way others were just last month,” lead attorney Lee Gelernt said.- Tattoos and due process -Trump’s election last November was won in large part on his aggressive promises to combat what he has repeatedly claimed is an “invasion” of violent migrants.While there is no evidence to support the narrative of the United States being “invaded,” Trump’s rhetoric about rapists and murderers descending on suburban homes resonated with swaths of voters who have long been concerned about high levels of illegal immigration.Trump has sent troops to the Mexican border, imposed tariffs on Mexico and Canada for allegedly not doing enough to stop illegal crossings, and designated narco-gangs like Tren de Aragua and MS-13 terrorist groups.However, Democrats and civil rights groups have expressed alarm at an erosion of constitutional rights.Under Trump’s use of the Alien Enemies Act — previously seen only during the War of 1812, World War I and World War II — migrants have been accused of gang membership and sent to El Salvador without ability to go before a judge or being charged with a crime.Attorneys for several of the Venezuelans already deported had said their clients were targeted largely on the basis of their tattoos.In the most publicized case, Maryland resident Kilmar Abrego Garcia was deported last month to the infamous El Salvador mega-prison without charge. The Trump administration said he had been included in a bigger batch of deportees due to an “administrative error” and a court ruled that it must facilitate his return.However, Trump has since doubled down, insisting that Abrego Garcia is in fact a gang member, including posting an apparently doctored photo on social media Friday that showed MS-13 on his knuckles.Most of the deported migrants are currently held in El Salvador’s maximum security Terrorism Confinement Center (CECOT), a mega-prison southeast of the capital San Salvador with capacity for 40,000 prisoners. Inmates are packed in windowless cells, sleep on metal beds with no mattresses, and are forbidden visitors.

Poitiers: enquête ouverte pour “séquestration et enlèvement” d’un adolescent

Le parquet de Poitiers a annoncé samedi avoir ouvert une enquête pour “séquestration et enlèvement” après la disparition d’un adolescent de 12 ans dont les parents n’ont plus de nouvelles depuis une semaine.”L’enquête avait été initialement ouverte pour disparition inquiétante. Elle se poursuit, depuis hier, sous la qualification d’enlèvement et séquestration”, a indiqué le procureur de Poitiers Cyril Lacombe.Vendredi, la police avait diffusé un appel à témoins sur la disparition, “signalée le 17 avril” sur Poitiers-Buxerolles, de ce jeune de 12 ans, à la corpulence mince, aux cheveux châtains et mesurant 1,35 m.On ignore à ce stade les circonstances de la disparition de cet adolescent qui a fugué dans le passé, selon une source proche de l’enquête.”Là ça fait une semaine (…) et on n’a pas vraiment de pistes pour l’instant”, a-t-elle précisé.Toujours dans la Vienne, le parquet avait ouvert le 11 avril une enquête pour “disparition inquiétante” d’une joggeuse de 28 ans. Trois jours plus tard, une information judiciaire était ouverte pour “enlèvement et séquestration”.

Allemagne: le Bayern corrige Heidenheim et file vers un 34e titre de champion

Trois jours après son élimination en quarts de finale de la Ligue des champions, le Bayern s’est imposé à Heidenheim (4-0), un succès qui rapproche encore un peu plus les Munichois d’un 34e titre de champion d’Allemagne.Sept points en quatre journées: voilà l’objectif des hommes de Vincent Kompany dans les quatre prochaines semaines, contre Mayence (26 avril), à Leipzig (3 mai), contre le Borussia Mönchengladbach (10 mai) et à Hoffenheim (17 mai).Car avec 63 points, le Bayer Leverkusen, dernière équipe encore capable d’empêcher le Bayern de décrocher le titre, ne marquera pas plus que 78 points d’ici à la fin de la saison, alors que les Munichois en comptent déjà 72.Grâce à la différence générale de buts largement en leur faveur (+58 contre +29), les Munichois devraient même pouvoir se contenter de six points en quatre matches pour récupérer le Schale, trophée remis au champion d’Allemagne en fin de saison, décroché par Leverkusen au printemps 2024, mais propriété exclusive du Bayern de 2013 à 2023.Les hommes de Xabi Alonso sont dans l’obligation de s’imposer dimanche (19h30) à St. Pauli en clôture de la 30e journée du championnat d’Allemagne, pour maintenir un semblant de suspense.Cette saison, le Bayern a laissé 18 points en cours de route, dont 16 dans la foulée de matches de Ligue des champions, comme la semaine dernière contre le Borussia Dortmund (2-2).- Kingsley Coman buteur -Samedi, ils se sont mis à l’abri en première période, grâce à l’inévitable Harry Kane. Servi par le Français Michael Olise, l’Anglais, dos au but et libre de tout marquage, a contrôlé, s’est retourné et a frappé du gauche pour ouvrir le score à la 13e minute et inscrire son 24e but en Bundesliga cette saison.Par la suite, Konrad Laimer (19e), Kingsley Coman (36e) et Joshua Kimmich (56e) ont alourdi l’addition et assuré une fin de rencontre tranquille au cours de laquelle Kompany a pu faire un peu tourner.Autre bonne nouvelle pour le Bayern, son jeune gardien de but Jonas Urbig a enfin joué un match de Bundesliga sans encaisser de but, pour sa sixième titularisation, avec une superbe parade peu après l’heure de jeu, dans un duel remporté face à Sirlord Conteh.Dans la lutte extrêmement serrée pour la 4e place, la dernière qualificative pour la prochaine Ligue des champions, Leipzig n’a pu faire mieux que match nul à domicile contre Kiel (1-1).Les hommes de Zsolt Löw conservent toutefois la 4e place, car dans le même temps, Mayence a concédé le match nul dans les dernières minutes sur sa pelouse contre Wolfsburg (2-2). Avec 49 points, Leipzig comptent un point d’avance sur Fribourg (48), vainqueur de Hoffenheim (3-2), deux sur Mayence (47) et quatre sur le Werder Brême, qui a difficilement battu Bochum (1-0).Dortmund (42) reçoit Mönchengladbach (44) dimanche (17h30) et le vainqueur de la rencontre peut espérer se rapprocher de la 4e place de Leipzig.En bas de classement, la lutte pour le maintien va se jouer dans un mouchoir de poche entre Kiel 18e et dernier avec 19 pts, Bochum 17e (20) et Heidenheim, 16e et sur l’inconfortable place de barragiste avec 22 points.