Rajasthan unleash Suryavanshi, 14, as youngest IPL player but lose thriller

Vaibhav Suryavanshi made an explosive 34 off 20 balls as he became the youngest player in IPL history aged just 14 on Saturday but finished on the losing side as Lucknow Super Giants beat Rajasthan Royals by two runs.In the first match of the day, England’s Jos Buttler smashed an unbeaten 97 to power Gujarat Titans to the top of the IPL table with a seven-wicket win over Delhi Capitals in Ahmedabad’s intense heat.But it was the evening game that drew eyeballs after Rajasthan turned to Suryavanshi as their impact substitute and he opened the batting alongside India star Yashasvi Jaiswal following Lucknow’s 180-5.Suryavanshi stole the limelight after belting his first ball for six in a much-awaited debut after he was bought for $130,500 in the November auction when he was still just 13.Jaiswal and Suryavanshi, who hit three sixes and two fours in an electrifying knock, put on 85 for the first wicket before the youngster was stumped by Rishabh Pant off the bowling of South Africa international Aiden Markram. Stand-in captain Riyan Parag came in and made 39 but Rajasthan lost their way as he departed shortly after Jaiswal fell for 74.Avesh Khan dismissed both in the 18th over to turn the match on its head and Rajasthan finished on 178-5 after the Lucknow fast bowler defended nine off the last over to pull off a stunning victory for his team in Jaipur.”These kind of matches build character,” Lucknow skipper Pant said after his team moved up to fourth in the 10-team table. “It was an amazing win. As a team, this is going to take us to a different level.”- ‘Boss Baby’ -Shimron Hetmyer scored 12 before he fell to Avesh on the third ball of the 20th over and despite David Miller dropping a catch in the deep, Avesh held his nerve with his yorkers and disciplined bowling to return figures of 3-37.Avesh’s heroics took some of the attention away from Suryavanshi, who was handed his chance after Rajasthan skipper Sanju Samson was ruled out due to injury.He was added as an impact player for the match and then replaced medium-pace bowler Sandeep Sharma in the chase.The baby-faced Suryavanshi, called “Boss Baby” — a popular animated film — by the TV commentators, impressed in batting with Jaiswal, who recorded his third straight half-century, but their efforts ultimately came in a losing cause.Earlier, Markram’s 66 and a 50 by impact player Ayush Badoni helped Lucknow set a target of 181 after they elected to bat first.- Heat and pressure -In the afternoon match, Gujarat rode on Buttler’s 54-ball knock laced with 11 fours and four sixes to achieve their target of 204 with four balls to spare at the world’s biggest cricket stadium.Wicketkeeper-batsman Buttler and impact substitute Sherfane Rutherford, a left-hand West Indies batter who hit 43, put on a key stand of 119 to steer Gujarat to their fifth win in seven matches and top of the standingsRutherford fell in the 19th over. Delhi’s left-arm quick Mitchell Starc needed to defend 10 off the final six balls but the left-handed Rahul Tewatia finished off with a six and four.Buttler, who hit his third half-century of the season, was left three short of a hundred that would have put him level with Virat Kohli’s record eight IPL tons.Gujarat, who won the IPL in their debut season in 2022, elected to field first on a hot afternoon as the temperature soared above 40 degrees Celsius (104 degrees Fahrenheit).”I think it (heat) takes you by the surprise how draining it is,” said player of the match Buttler.”I certainly felt that while batting, cramping up and stuff. But that’s part of the game to be fit and be able to perform under pressure in the heat.”Delhi reached 203-8 but the total could have been more had it not been for four wickets by Gujarat pace bowler Prasidh Krishna, who now leads this season’s bowling chart with 14 scalps.

Angleterre: suspense maximal dans la lutte pour l’Europe

Le suspense entourant la qualification pour la Ligue des champions s’est encore épaissi samedi avec le succès arraché par Manchester City à Everton (2-0) et celui, éclatant, d’Aston Villa contre Newcastle (4-1).A cinq journées de la fin, la tension est maximale en Premier League et l’écart, minimal, entre les candidats pour la grande coupe d’Europe.Seulement deux points séparent par exemple Newcastle (3e, 59 pts) et Aston Villa (6e, 57 pts), en attendant le déplacement de Chelsea (7e, 54 pts) à Fulham, dimanche, et celui de Nottingham Forest (5e, 57 pts) lundi chez Tottenham.Au milieu de tout ce beau monde, Manchester City (4e, 58e) apparaît également bien placé pour finir parmi les cinq premières places qualificatives pour la prochaine Ligue des champions.Samedi, les quadruples champions d’Angleterre en titre ont longtemps buté sur les “Toffees” d’Everton, mais ils se sont sortis du guêpier grâce à Nico O’Reilly (85e) et Mateo Kovacic (90e+2).A dix minutes près et avec un match nul, la perspective d’avenir aurait été bien plus sombre pour l’équipe de Pep Guardiola.Mais l’entraîneur catalan a lancé Jérémy Doku pour forcer le verrou (78e) et son plan a fonctionné. L’ailier belge a mis au supplice la défense d’Everton et ses partenaires en ont profité.Le déclic est venu du jeune O’Reilly, milieu de 20 ans reconverti en latéral gauche, qui a coupé un centre de Matheus Nunes et inscrit son deuxième but en deux journées. Puis Kovacic a fait le break en exploitant une passe en retrait d’Ilkay Gündogan.- Le Watkins show -La C1, “maintenant c’est entre nos mains”, a réagi Guardiola après-match, se projetant sur la “finale”, comme il l’a appelée, contre Aston Villa mardi durant la prochaine journée.Le club de Birmingham a lui frappé fort samedi à domicile contre Newcastle (4-1), avec Ollie Watkins en guide suprême et des entrants fantastiques.L’avant-centre, barré depuis un mois par la concurrence de Marcus Rashford, a marqué après 33 secondes (1re, 1-0), trouvé les montants d’une frappe (5e) et de la tête (27e) et délivré une passe décisive pour Ian Maatsen (64e, 2-1).Le succès a été sécurisé par Jacob Ramsey et Amadou Onana, entrés à la 72e minute et décisifs quasiment immédiatement: le premier avec un centre catapulté dans ses propres filets par Dan Burn (73e, 3-1), le second avec un tir dans la lucarne de Nick Pope (75e, 4-1).Dans la course aux places européennes, la mauvaise opération du jour revient à Bournemouth (8e, 49 pts), incapable de s’imposer chez une équipe de Crystal Palace (0-0) pourtant réduite à dix avant la mi-temps.Brighton (10e, 48 pts) a de son côté vécu un cauchemar à Brentford, avec une défaite 4-2, une expulsion de l’attaquant Joao Pedro après un geste d’humeur, et une inquiétante sortie sur civière du défenseur Jan Paul van Hecke, victime d’un choc à la tête dans le temps additionnel.C’est aussi dans le temps supplémentaire que Southampton, déjà relégué, a privé West Ham d’une victoire avec un but de Lesley Ugochukwu (90e+2, 1-1), milieu français prêté par Chelsea.Les Hammers, seizièmes, n’ont plus gagné depuis le 27 février.

Nouveaux pourparlers Iran/Etats-Unis sur le nucléaire le 26 avril, selon Téhéran

L’Iran et les Etats-Unis doivent se retrouver le 26 avril à Oman pour une troisième session de pourparlers sur le nucléaire iranien, après des discussions indirectes samedi à Rome qui ont permis de faire “avancer” les négociations, selon Téhéran.Ces discussions ont eu lieu une semaine après de premiers échanges à Oman entre les deux pays, ennemis depuis la Révolution islamique de 1979.”Les négociations avancent”, a déclaré le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, après cette deuxième série de pourparlers via une médiation du sultanat d’Oman. “C’était une bonne réunion”, a-t-il ajouté.”Nous nous retrouverons samedi prochain à Oman”, a annoncé M. Araghchi à la télévision d’Etat iranienne, en précisant que “des discussions techniques au niveau des experts débuteront mercredi”. Selon la diplomatie omanaise, Téhéran et Washington cherchent un accord “équitable, durable et contraignant”, qui assurera “un Iran sans arme nucléaire et sans sanctions”.”Les discussions prennent de l’élan, et même l’improbable devient désormais possible”, a souligné sur X le ministre des Affaires étrangères omanais, Badr Albusaidi.Pilotées par M. Araghchi et par l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, les discussions de samedi ont duré quatre heures. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, a déclaré que les deux délégations s’étaient installées “dans deux salles différentes” de la résidence de l’ambassadeur d’Oman à Rome et que le chef de la diplomatie du sultanat du Golfe avait assuré la médiation. La télévision iranienne comme l’agence de presse Tasnim ont fait état d’une “atmosphère constructive”.- “Pression maximale” -Il s’agit de la deuxième réunion à ce niveau depuis le retrait unilatéral des Etats-Unis, en 2018, sous la première présidence de Donald Trump, de l’accord international qui prévoyait un encadrement des activités nucléaires de l’Iran en échange d’une levée des sanctions internationales. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a relancé sa politique dite de “pression maximale” contre l’Iran, avec lequel les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques depuis 1980.Il a appelé en mars Téhéran à négocier un nouvel accord mais a menacé de bombarder l’Iran en cas d’échec de la diplomatie.M. Trump a toutefois affirmé jeudi qu’il n’était “pas pressé” d’utiliser l’option militaire. “Je pense que l’Iran veut discuter”, a-t-il souligné.Avant les discussions de samedi, M. Araghchi avait fait part de ses “sérieux doutes” quant aux intentions des Etats-Unis.  “Nous sommes conscients que le chemin” vers un accord “n’est pas sans embûches”, a écrit samedi sur X Esmaïl Baghaï.Les pays occidentaux et Israël, ennemi juré de Téhéran et considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l’énergie. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a réaffirmé samedi qu’il était “déterminé à empêcher l’Iran d’obtenir des armes nucléaires. Je ne renoncerai pas à cet objectif, je ne le lâcherai pas, et je ne reculerai pas, même d’un millimètre”, a-t-il dit lors d’une intervention télévisée pré-enregistrée.Dans un entretien au journal français Le Monde publié mercredi, le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a affirmé que l’Iran n’était “pas loin” de disposer de la bombe atomique. Après le retrait américain de l’accord de 2015 et le rétablissement de sanctions américaines, Téhéran a pris progressivement ses distances avec le texte.  Le pays enrichit désormais de l’uranium jusqu’à 60%, bien au-dessus du plafond de 3,67% fixé par l’accord, restant toutefois en-deçà du seuil des 90% nécessaires à la fabrication de l’arme atomique, selon l’AIEA.Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a appelé vendredi les Européens à prendre rapidement une “décision importante” concernant le “rétablissement des sanctions” internationales à l’encontre de l’Iran.- “Lignes rouges” -L’Iran insiste pour que les pourparlers se limitent au nucléaire et à la levée des sanctions et considère comme une “ligne rouge” toute discussion qui porterait sur un démantèlement total de son programme nucléaire.Aucun sujet autre que le nucléaire n’a été abordé samedi par les Etats-Unis, a affirmé M. Araghchi. “Les Américains n’ont jusqu’à présent soulevé aucune discussion en dehors de la question du nucléaire” iranien, a-t-il déclaré à Tasnim.Certains médias spéculaient sur le fait que le programme balistique de l’Iran ou son soutien à des groupes armés hostiles à Israël, dont le Hezbollah au Liban et les Houthis au Yémen, figureraient au menu des discussions.M. Araghchi a encore mis en garde vendredi les Etats-Unis contre “des demandes déraisonnables”, après que M. Witkoff a réclamé en début de semaine un démantèlement total du programme nucléaire iranien. Les Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, ont eux exclu toute discussion sur les capacités militaires et de défense, dont le programme balistique qui inquiète à l’international. L’influence régionale de l’Iran figure aussi parmi “les lignes rouges” du pays, selon l’agence de presse officielle Irna. 

Nouveaux pourparlers Iran/Etats-Unis sur le nucléaire le 26 avril, selon Téhéran

L’Iran et les Etats-Unis doivent se retrouver le 26 avril à Oman pour une troisième session de pourparlers sur le nucléaire iranien, après des discussions indirectes samedi à Rome qui ont permis de faire “avancer” les négociations, selon Téhéran.Ces discussions ont eu lieu une semaine après de premiers échanges à Oman entre les deux pays, ennemis depuis la Révolution islamique de 1979.”Les négociations avancent”, a déclaré le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, après cette deuxième série de pourparlers via une médiation du sultanat d’Oman. “C’était une bonne réunion”, a-t-il ajouté.”Nous nous retrouverons samedi prochain à Oman”, a annoncé M. Araghchi à la télévision d’Etat iranienne, en précisant que “des discussions techniques au niveau des experts débuteront mercredi”. Selon la diplomatie omanaise, Téhéran et Washington cherchent un accord “équitable, durable et contraignant”, qui assurera “un Iran sans arme nucléaire et sans sanctions”.”Les discussions prennent de l’élan, et même l’improbable devient désormais possible”, a souligné sur X le ministre des Affaires étrangères omanais, Badr Albusaidi.Pilotées par M. Araghchi et par l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, les discussions de samedi ont duré quatre heures. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, a déclaré que les deux délégations s’étaient installées “dans deux salles différentes” de la résidence de l’ambassadeur d’Oman à Rome et que le chef de la diplomatie du sultanat du Golfe avait assuré la médiation. La télévision iranienne comme l’agence de presse Tasnim ont fait état d’une “atmosphère constructive”.- “Pression maximale” -Il s’agit de la deuxième réunion à ce niveau depuis le retrait unilatéral des Etats-Unis, en 2018, sous la première présidence de Donald Trump, de l’accord international qui prévoyait un encadrement des activités nucléaires de l’Iran en échange d’une levée des sanctions internationales. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a relancé sa politique dite de “pression maximale” contre l’Iran, avec lequel les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques depuis 1980.Il a appelé en mars Téhéran à négocier un nouvel accord mais a menacé de bombarder l’Iran en cas d’échec de la diplomatie.M. Trump a toutefois affirmé jeudi qu’il n’était “pas pressé” d’utiliser l’option militaire. “Je pense que l’Iran veut discuter”, a-t-il souligné.Avant les discussions de samedi, M. Araghchi avait fait part de ses “sérieux doutes” quant aux intentions des Etats-Unis.  “Nous sommes conscients que le chemin” vers un accord “n’est pas sans embûches”, a écrit samedi sur X Esmaïl Baghaï.Les pays occidentaux et Israël, ennemi juré de Téhéran et considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, soupçonnent l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l’énergie. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a réaffirmé samedi qu’il était “déterminé à empêcher l’Iran d’obtenir des armes nucléaires. Je ne renoncerai pas à cet objectif, je ne le lâcherai pas, et je ne reculerai pas, même d’un millimètre”, a-t-il dit lors d’une intervention télévisée pré-enregistrée.Dans un entretien au journal français Le Monde publié mercredi, le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a affirmé que l’Iran n’était “pas loin” de disposer de la bombe atomique. Après le retrait américain de l’accord de 2015 et le rétablissement de sanctions américaines, Téhéran a pris progressivement ses distances avec le texte.  Le pays enrichit désormais de l’uranium jusqu’à 60%, bien au-dessus du plafond de 3,67% fixé par l’accord, restant toutefois en-deçà du seuil des 90% nécessaires à la fabrication de l’arme atomique, selon l’AIEA.Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a appelé vendredi les Européens à prendre rapidement une “décision importante” concernant le “rétablissement des sanctions” internationales à l’encontre de l’Iran.- “Lignes rouges” -L’Iran insiste pour que les pourparlers se limitent au nucléaire et à la levée des sanctions et considère comme une “ligne rouge” toute discussion qui porterait sur un démantèlement total de son programme nucléaire.Aucun sujet autre que le nucléaire n’a été abordé samedi par les Etats-Unis, a affirmé M. Araghchi. “Les Américains n’ont jusqu’à présent soulevé aucune discussion en dehors de la question du nucléaire” iranien, a-t-il déclaré à Tasnim.Certains médias spéculaient sur le fait que le programme balistique de l’Iran ou son soutien à des groupes armés hostiles à Israël, dont le Hezbollah au Liban et les Houthis au Yémen, figureraient au menu des discussions.M. Araghchi a encore mis en garde vendredi les Etats-Unis contre “des demandes déraisonnables”, après que M. Witkoff a réclamé en début de semaine un démantèlement total du programme nucléaire iranien. Les Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, ont eux exclu toute discussion sur les capacités militaires et de défense, dont le programme balistique qui inquiète à l’international. L’influence régionale de l’Iran figure aussi parmi “les lignes rouges” du pays, selon l’agence de presse officielle Irna.Â