Huge crowds expected for second day of pope lying in stateThu, 24 Apr 2025 06:32:20 GMT

Huge crowds were expected on Thursday for a glimpse of Pope Francis’s body on the second day of public tributes, afer St Peter’s Basilica stayed open almost all night to accomodate the crowds.Close to 20,000 people filtered past the Catholic leader’s red-lined wooden coffin in the first eight hours of the lying in state on …

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Kashmiri students say they have been threatened in India after attack

Students from Indian-administered Kashmir have reported harassment and intimidation in India after a gruesome attack in the Himalayan region killed more than two dozen Indian men, a student association said on Thursday.Gunmen killed 26 men — all Indian except one Nepali — in the tourist hotpot of Pahalgam on Tuesday, the deadliest attack on civilians in the contested Muslim-majority territory since 2000.Survivors said the gunmen targeted men, sparing those who could give the Islamic declaration of faith, Indian media reported. The killings have shocked the world’s most populous country and enraged Hindu nationalist groups.Kashmiri students in states including Uttarakhand, Uttar Pradesh and Himachal Pradesh were allegedly asked to leave their rented apartments or university hostels on Wednesday, Jammu and Kashmir Students Association convenor Nasir Khuehami said. Students at a university in Himachal Pradesh were harassed and physically attacked after hostel doors were broken, Khuehami said. The students were allegedly called “terrorists”, he said.”This is not just a security issue,” he said. “It is a deliberate and targeted campaign of hate and vilification against students from a particular region and identity.”In Uttarakhand’s capital city Dehradun, around 20 students fled to the airport on Wednesday following warnings from Hindu Raksha Dal, a fringe right-wing group.The students said that the group threatened Kashmiri Muslim students with dire consequences if they did not leave town immediately.Jammu and Kashmir Chief Minister Omar Abdullah said he was in touch with state governments where students reported feeling unsafe, asking them to “take extra care”.Kashmir’s former chief minister Mehbooba Mufti also appealed to India’s Interior Minister Amit Shah to “intervene in the wake of certain elements openly threatening” traders and students. Kashmir has been divided between India and Pakistan since their independence in 1947, with both claiming the high-altitude territory in full but governing separate portions of it.Rebel groups have waged an insurgency in Indian-controlled Kashmir since 1989, demanding independence or a merger with Pakistan.Indian security forces have launched a vast manhunt in Kashmir for the attackers, with large numbers of people detained in the operation.India accused Islamabad on Wednesday of supporting “cross-border terrorism” and downgraded ties with its neighbour with a raft of diplomatic measures. Pakistan has denied any role in the Pahalgam attack.

Ugandans kill migrating storks in desperation for foodThu, 24 Apr 2025 06:21:55 GMT

Desperate Ugandans are using poison to kill thousands of migrating white storks and other protected birds because they have so few sources of food. In Ayoreri, a village on the Kenyan border, Sam Chekwoi, 42, said unpredictable rains and droughts have made it increasingly hard to feed his two wives and 11 children. “I used to farm …

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Nouvelle journée d’hommage au pape François à la basilique Saint-Pierre

Au deuxième jour de l’exposition de la dépouille du pape François, devant laquelle au moins 20.000 fidèles se sont déjà recueillis, la basilique Saint-Pierre de Rome a rouvert jeudi pour une nouvelle journée d’affluence, avant ses obsèques samedi.La monumentale basilique, qui devait fermer à minuit, est finalement restée ouverte presque toute la nuit, jusqu’à 05H30 du matin (03H30 GMT), pour permettre d’accueillir le flot de fidèles, a indiqué le Vatican.Elle a rouvert jeudi matin à 07H00 et une foule dense se pressait déjà aux abords du plus petit Etat du monde, dont les accès sont filtrés par un lourd dispositif de sécurité qui ralentit l’avancée des fidèles.Mercredi soir, premier jour du transfert de la dépouille papale dans la basilique Saint-Pierre, plus de 19.400 personnes, selon le Vatican, avaient déjà défilé devant le maître-autel pour rendre un dernier hommage au souverain pontife, décédé lundi à l’âge de 88 ans.Rupture avec la tradition, le cercueil en bois clair ouvert du défunt pape, vêtu d’une mitre blanche et d’une chasuble rouge, les mains enserrant un chapelet, ne repose pas sur un catafalque mais est posé sur un support à même le sol, à la demande de Jorge Bergoglio, qui aspirait à plus de sobriété dans les rites funéraires papaux.Mercredi, une longue file d’attente de fidèles, parfois en larmes, s’est étirée sur la place Saint-Pierre encadrée par la célèbre colonnade du Bernin.Selon plusieurs témoignages recueillis par l’AFP, il fallait patienter entre trois et plus de quatre heures pour entrer dans la basilique.Leobardo Guevara, un Mexicain de 24 ans venu à Rome pour l’année jubilaire, a patienté quatre heures et demie pour voir la dépouille du pape, devant laquelle il a ressenti “une sensation de paix”.- “Proche des gens” -Le pape François était “une personne très humble”, quelqu’un de “très humain” qui a “beaucoup incité les jeunes à suivre la religion”, a-t-il ajouté, arborant un drapeau mexicain sur son survêtement noir.Un important dispositif de sécurité est déployé place Saint-Pierre, où la gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens fouillent les sacs à dos et font passer les fidèles à travers des portiques de sécurité. Federico Rueda, un Argentin de 46 ans, a voulu dire adieu à un compatriote “qui a marqué l’histoire, non seulement dans l’Eglise, mais dans le monde”.”C’est un Argentin très connu, un pape qui était très proche des gens, de leurs besoins, un pape qui a fait beaucoup pour le catholicisme”, a-t-il déclaré à l’AFP.Au cours d’une cérémonie au Parlement en hommage au pape François, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, qui s’est ensuite recueillie devant sa dépouille à Saint-Pierre, a évoqué un homme “déterminé” avec qui “on pouvait parler de tout”. Jeudi, les fidèles pourront rendre hommage au pape de 07H00 à minuit et de 07H00 à 19H00 vendredi.- Têtes couronnées -L’affluence a également été massive mercredi à la basilique Sainte-Marie-Majeure, dans le centre de Rome, où le pape sera enterré samedi conformément à sa volonté. Selon le préfet de Rome Lamberto Giannini, plus de 10.000 personnes s’y sont pressées à l’heure du déjeuner.Plus tôt dans la matinée, la dépouille du pape avait été escortée par des dizaines de cardinaux, évêques, religieux et laïcs depuis la petite chapelle de la résidence Sainte-Marthe, où il a vécu de son élection en 2013 jusqu’à sa mort, vers la basilique couronnée par la coupole de Michel-Ange.Le Vatican observera neuf jours de deuil à partir de samedi. Au cours de ces “novemdiales”, des célébrations solennelles auront lieu chaque jour à Saint-Pierre, jusqu’au 4 mai.Le cercueil sera fermé vendredi soir lors d’une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l’Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu’au conclave.Les funérailles de François se dérouleront samedi matin à 08H00 GMT sur la place Saint-Pierre, où devraient converger au moins 200.000 fidèles, et 170 délégations étrangères.”Il est impossible de savoir” combien de personnes seront présentes le jour des funérailles, “quelques centaines de milliers au minimum”, a déclaré à l’AFP Pierfrancesco Demilito, chef du service de presse de la Protection civile italienne.Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d’Etat et de têtes couronnées assisteront aux funérailles du chef de l’Eglise catholique, sous haute sécurité.Parmi eux, le président américain Donald Trump, ses homologues français Emmanuel Macron et ukrainien Volodymyr Zelensky ou encore le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.Le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne, le prince William, Albert II de Monaco et son épouse Charlène seront aussi présents. 

Nouvelle journée d’hommage au pape François à la basilique Saint-Pierre

Au deuxième jour de l’exposition de la dépouille du pape François, devant laquelle au moins 20.000 fidèles se sont déjà recueillis, la basilique Saint-Pierre de Rome a rouvert jeudi pour une nouvelle journée d’affluence, avant ses obsèques samedi.La monumentale basilique, qui devait fermer à minuit, est finalement restée ouverte presque toute la nuit, jusqu’à 05H30 du matin (03H30 GMT), pour permettre d’accueillir le flot de fidèles, a indiqué le Vatican.Elle a rouvert jeudi matin à 07H00 et une foule dense se pressait déjà aux abords du plus petit Etat du monde, dont les accès sont filtrés par un lourd dispositif de sécurité qui ralentit l’avancée des fidèles.Mercredi soir, premier jour du transfert de la dépouille papale dans la basilique Saint-Pierre, plus de 19.400 personnes, selon le Vatican, avaient déjà défilé devant le maître-autel pour rendre un dernier hommage au souverain pontife, décédé lundi à l’âge de 88 ans.Rupture avec la tradition, le cercueil en bois clair ouvert du défunt pape, vêtu d’une mitre blanche et d’une chasuble rouge, les mains enserrant un chapelet, ne repose pas sur un catafalque mais est posé sur un support à même le sol, à la demande de Jorge Bergoglio, qui aspirait à plus de sobriété dans les rites funéraires papaux.Mercredi, une longue file d’attente de fidèles, parfois en larmes, s’est étirée sur la place Saint-Pierre encadrée par la célèbre colonnade du Bernin.Selon plusieurs témoignages recueillis par l’AFP, il fallait patienter entre trois et plus de quatre heures pour entrer dans la basilique.Leobardo Guevara, un Mexicain de 24 ans venu à Rome pour l’année jubilaire, a patienté quatre heures et demie pour voir la dépouille du pape, devant laquelle il a ressenti “une sensation de paix”.- “Proche des gens” -Le pape François était “une personne très humble”, quelqu’un de “très humain” qui a “beaucoup incité les jeunes à suivre la religion”, a-t-il ajouté, arborant un drapeau mexicain sur son survêtement noir.Un important dispositif de sécurité est déployé place Saint-Pierre, où la gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens fouillent les sacs à dos et font passer les fidèles à travers des portiques de sécurité. Federico Rueda, un Argentin de 46 ans, a voulu dire adieu à un compatriote “qui a marqué l’histoire, non seulement dans l’Eglise, mais dans le monde”.”C’est un Argentin très connu, un pape qui était très proche des gens, de leurs besoins, un pape qui a fait beaucoup pour le catholicisme”, a-t-il déclaré à l’AFP.Au cours d’une cérémonie au Parlement en hommage au pape François, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, qui s’est ensuite recueillie devant sa dépouille à Saint-Pierre, a évoqué un homme “déterminé” avec qui “on pouvait parler de tout”. Jeudi, les fidèles pourront rendre hommage au pape de 07H00 à minuit et de 07H00 à 19H00 vendredi.- Têtes couronnées -L’affluence a également été massive mercredi à la basilique Sainte-Marie-Majeure, dans le centre de Rome, où le pape sera enterré samedi conformément à sa volonté. Selon le préfet de Rome Lamberto Giannini, plus de 10.000 personnes s’y sont pressées à l’heure du déjeuner.Plus tôt dans la matinée, la dépouille du pape avait été escortée par des dizaines de cardinaux, évêques, religieux et laïcs depuis la petite chapelle de la résidence Sainte-Marthe, où il a vécu de son élection en 2013 jusqu’à sa mort, vers la basilique couronnée par la coupole de Michel-Ange.Le Vatican observera neuf jours de deuil à partir de samedi. Au cours de ces “novemdiales”, des célébrations solennelles auront lieu chaque jour à Saint-Pierre, jusqu’au 4 mai.Le cercueil sera fermé vendredi soir lors d’une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l’Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu’au conclave.Les funérailles de François se dérouleront samedi matin à 08H00 GMT sur la place Saint-Pierre, où devraient converger au moins 200.000 fidèles, et 170 délégations étrangères.”Il est impossible de savoir” combien de personnes seront présentes le jour des funérailles, “quelques centaines de milliers au minimum”, a déclaré à l’AFP Pierfrancesco Demilito, chef du service de presse de la Protection civile italienne.Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d’Etat et de têtes couronnées assisteront aux funérailles du chef de l’Eglise catholique, sous haute sécurité.Parmi eux, le président américain Donald Trump, ses homologues français Emmanuel Macron et ukrainien Volodymyr Zelensky ou encore le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.Le roi Felipe VI et la reine Letizia d’Espagne, le prince William, Albert II de Monaco et son épouse Charlène seront aussi présents. 

I.Coast opposition supporters to protest against leader’s ouster from pollThu, 24 Apr 2025 05:37:58 GMT

Supporters of Ivory Coast’s main opposition party are set to demonstrate outside courts on Thursday to protest the removal of their candidate from an upcoming presidential election. An Abidjan court on Tuesday struck Tidjane Thiam off the electoral list — a decision that cannot be appealed and rules him out of standing in the October 25 …

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Attaque meurtrière de missiles russes sur Kiev, Trump s’en prend à Zelensky

Dans l’une des pires attaques de missiles russes contre la capitale ukrainienne, neuf personnes ont été tuées et 63 blessées dans la nuit de mercredi à jeudi, au moment où Donald Trump accuse Volodymyr Zelensky de saboter un possible accord avec la Russie.Le bilan de ces frappes sur Kiev n’a cessé de s’alourdir pendant la nuit.Les services de secours ont fait état d’un bilan provisoire de “neuf personnes tuées, 63 blessées, dont 42 hospitalisées parmi lesquelles six enfants”.”Des bâtiments résidentiels ont été endommagés: la recherche de personnes sous les décombres est en cours”, ont-ils indiqué sur Telegram. Plusieurs incendies désormais éteints, se sont par ailleurs déclarés à la suite des bombardements russes.A Kiev, une journaliste de l’AFP a vu une dizaine d’habitants réfugiés dans un abri en sous-sol d’un immeuble résidentiel dès que l’alerte anti-aérienne a retenti.La dernière attaque de missiles contre la capitale ukrainienne remontait à début avril.Dans la ville de Kharkiv, son maire Igor Terekhov a, lui aussi, annoncé des “frappes répétées de missiles” sur sa cité, ayant fait au moins deux blessés.- “Désir de tuer” -La présidence ukrainienne a aussitôt accusé sur Telegram le président russe Vladimir Poutine d’avoir “uniquement le désir de tuer”.Ces attaques de missiles et drones russes surviennent alors que le président ukrainien Volodymyr Zelensky est arrivé jeudi, pour la première fois, en Afrique du Sud, longtemps taxée de positions pro-russes.”Il est important que nous nous rapprochions d’une paix véritable. Nous faisons en sorte que les pays du G20 soient impliqués dans les efforts diplomatiques”, a écrit M. Zelensky sur les réseaux sociaux à son arrivée à Pretoria, avant de s’entretenir avec son homologue sud-africain Cyril Ramaphosa.La veille, Donald Trump s’en est pris violemment au président ukrainien, en l’accusant de tenir des propos “incendiaires” sur la Crimée annexée, alors qu’un accord avec la Russie serait “très proche”, selon lui.”Je pense avoir un accord avec la Russie”, a lancé le président des Etats-Unis dans le Bureau ovale. Mais la discussion est “plus difficile” avec le chef de l’Etat ukrainien, a dit celui qui s’est rapproché du président russe.Le refus de Kiev d’accepter les termes américains pour mettre fin à la guerre déclenchée par la Russie en février 2022 “ne fera que prolonger les tueries”, a averti le milliardaire républicain, qui n’a jamais reconnu la responsabilité russe dans le déclenchement du conflit.Au cÅ“ur de ce regain de tension: la question de la péninsule de Crimée, annexée par la Russie en 2014.Le territoire est, selon Donald Trump, “perdu” pour l’Ukraine, a-t-il écrit dans un long message sur son réseau Truth Social, dont le ton menaçant rappelle sa très difficile entrevue avec le président ukrainien fin février, dans le Bureau ovale.”Il peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays”, a déclaré le président américain à propos de son homologue ukrainien.Le républicain reproche à Volodymyr Zelensky d’avoir déclaré mardi, au sujet de la Crimée: “Il n’y a rien à discuter (…) C’est notre territoire”.”Le président (américain) est très mécontent. Sa patience atteint ses limites”, a insisté sa porte-parole Karoline Leavitt, laissant entendre à nouveau que les Etats-Unis, premier soutien militaire de Kiev jusqu’au retour de Donald Trump au pouvoir, étaient tentés d’abandonner l’Ukraine à son sort.Alors qu’il a prévu de se rendre en mai en Arabie Saoudite, Donald Trump a jugé “possible” d’y rencontrer son homologue russe, comme il l’avait déjà évoqué en février, bien que cette perspective soit “peu probable”.Plus tôt mercredi, son vice-président JD Vance avait suggéré de “geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu’elles sont aujourd’hui”, et de procéder à des “échanges territoriaux” entre l’Ukraine et la Russie.- “Intégrité territoriale” -“Les Etats-Unis poursuivent leurs efforts de médiation, et nous nous (en) félicitons”, a réagi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.Volodymyr Zelensky réclame lui un cessez-le-feu “immédiat, complet et inconditionnel” en amont de négociations de paix.Alors que des discussions viennent de s’achever à Londres entre responsables américains, ukrainiens et européens, le Royaume-Uni a redit qu’il appartenait “à l’Ukraine de décider de son avenir”.La présidence française a elle affirmé que l'”intégrité territoriale” de l’Ukraine était une “exigence très forte” des Européens.Sur le terrain, les attaques aériennes russes ont repris à la suite d’une brève trêve de Pâques. Avant les bombardements russes de la nuit, neuf personnes avaient été tuées et 32 blessées dans une attaque de drone russe contre un bus à Marganets, dans le sud-est de l’Ukraine. A Londres, les discussions se sont tenues au niveau de conseillers, et non des ministres des Affaires étrangères, comme c’était initialement prévu.L’émissaire spécial Steve Witkoff, considéré comme le négociateur de confiance de Donald Trump, doit lui faire pour la quatrième fois le voyage jusqu’à Moscou cette semaine.burs-rr/nr/pt