Republicans skittish over Epstein votes close US House early

The Republican leadership in the House of Representatives on Wednesday sent lawmakers home early for a six-week summer break, to avoid being forced into awkward votes on the probe into the late, politically connected sex offender Jeffrey Epstein. The furor around the disgraced financier, who died in prison in 2019 while awaiting trial for trafficking minors, is still roiling Donald Trump’s administration two weeks after his Justice Department effectively closed the case, announcing there was no more information to share.Democrats in the House — keen to capitalize on the simmering controversy — have been trying to force a vote that would compel the publication of the full Epstein case files. Desperate to avert the effort and unable to bring up anything but the most non-controversial bills, the Republican leadership canceled votes scheduled for Thursday — sending lawmakers home for the August recess a day early.House Speaker Mike Johnson, a Trump loyalist who was under pressure from the president not to allow any Epstein votes, voiced hopes that the break would provide “space” for a resolution. But Democrats accused the majority Republicans of running scared of their own voters, many of whom have been demanding more transparency.”Donald Trump, for quite a while now, has been exaggerating and exploiting this case and making a big deal out of it,” Jim McGovern, the top Democrat on the powerful Rules Committee, told MSNBC. “He wins the presidency, the Republicans control both chambers and, all of a sudden, we’re told forget about it.”In a July 7 memo, the Justice Department said the Epstein “client list” that Attorney General Pam Bondi claimed to have been reviewing did not in fact exist, and reaffirmed that he died by suicide in his prison cell. It sparked a furious backlash from Trump’s “MAGA” support base, who have for years been told by their leaders that a “deep state” cover-up was protecting figures in the Democratic Party whom they accuse of being Epstein’s clients.- ‘Dirtbags’ -Trump’s MAGA lieutenants — including two allies who have since been hired to run the FBI — made careers of fanning the conspiracy theories, including that Epstein’s suicide was actually a murder ordered by his powerful clients.Prominent online influencers and media figures in the movement — as well as ordinary voters — have spoken of feeling betrayed after Trump began publicly castigating them for wanting answers. Trump’s ties to Epstein are extensive. The pair were pictured partying together during a 15-year friendship before they fell out in 2004 over a property deal, and when Trump subsequently denounced his former ally.The White House has been furiously pushing back against a Wall Street Journal report that said Trump had contributed a “bawdy” letter with his signature for Epstein’s 50th birthday in 2003. Under perhaps the biggest political pressure of his career, Trump has authorized Bondi to release “credible” information and has asked courts to unseal grand jury transcripts in the case. Bondi’s deputy Todd Blanche said this week he was seeking a meeting with Epstein accomplice Ghislaine Maxwell, 63, who is serving a 20-year sentence for sex trafficking and other crimes. With a Republican rebellion in the House in full swing, the Oversight and Government Reform subcommittee had already voted to subpoena Maxwell to talk with lawmakers at her Florida prison. “We’ve got to send a message to these dirtbags that do this that this is not acceptable behavior,” said Republican Tim Burchett, who introduced the motion.Epstein admitted two state felony prostitution charges in 2008 as part of a plea deal — arranged by a prosecutor who would go on to serve in Trump’s cabinet — that was widely criticized as being too lenient. 

Un pied à l’Intérieur, un autre à l’extérieur: le “to be or not to be” de Retailleau

Il décrète la fin du macronisme, fustige la “diplomatie des bons sentiments” à l’égard de l’Algérie et entretient la menace de quitter le gouvernement: en enchaînant les déclarations controversées, Bruno Retailleau cherche à se démarquer du camp présidentiel avec 2027 en tête, sans renoncer à Beauvau pour autant.”Il est dans une optique où il ne veut pas apparaître comme membre du socle commun et ça n’aide pas”, déplore un ténor d’Horizons, le parti d’Edouard Philippe, agacé par les polémiques à répétition lancées par le ministre de l’Intérieur, un rival potentiel dans la course à l’Elysée.A la veille d’un entretien prévu jeudi à l’Elysée avec Emmanuel Macron, Bruno Retailleau, dont la popularité s’est érodée ces dernières semaines dans les sondages, s’est même permis de dénigrer “l’impuissance” du +en même temps+, postulat du chef de l’Etat qui revendique d’être à la fois de droite et de gauche.Il n’en fallait pas plus pour excéder les soutiens du président qui n’ont pas manqué de retourner cet argument contre le patron des Républicains. A l’image de la députée EPR Olivia Grégoire qui l’accuse à son tour de faire du +en même temps+, en voulant “être ministre d’un gouvernement ET vouloir être candidat de son parti”.”Je ne vois pas (…) ce que j’ai pu dire de nouveau que je n’aurais pas dit depuis déjà des mois”, s’est justifié le ministre lors d’un déplacement dans le Val d’Oise, estimant que le fait de respecter “à la fois la personne et la fonction présidentielle (..) ne faisait pas de lui un macroniste”.Après avoir qualifié le gouvernement “d’utilité publique”, où “chacun doit pouvoir (…) assumer sa propre différence politique”, il a nié des tensions mercredi avec le président lors du Conseil des ministres, en dépit d’informations de presse en ce sens.       – “Le goût du pouvoir” -Rester ou partir ? C’est le dilemme pour le ministre propulsé sur le devant de la scène depuis son arrivée à Beauvau en octobre dernier et qui entend profiter de cette tribune pour renforcer ses ambitions de porter les couleurs de la droite à la présidentielle.”Vous n’existez que si vous êtes au gouvernement”, observe un cadre de Renaissance pour qui Bruno Retailleau n’a pas vraiment le choix s’il entend se lancer dans la course à l’Elysée: “Il va rester… et se normaliser”, pronostique-t-il. C’est justement cette dilution dans le camp présidentiel que cherche à éviter le ministre de l’Intérieur: “Il a la volonté de continuer à dire ce qu’il pense sur tous les sujets”, prévient l’entourage du Vendéen, rappelant qu’il est entré au gouvernement “pour mener une politique de droite”. Et ce proche d’établir une autre différence, cette fois-ci entre les LR revenus aux affaires avec Michel Barnier l’an dernier et les “débauchés” par le chef de l’Etat avant la dissolution, recrutés “pour mener des politiques macronistes”. Un tacle appuyé contre des ministres comme Gérald Darmanin, Rachida Dati ou Bruno Le Maire.”Il y a une tension qui se voit de plus en plus”, reconnaît cette source, estimant qu’Emmanuel Macron “intervient” sur “tous les sujets” depuis l’arrivée de François Bayrou à Matignon.Et même si le gouvernement Bayrou devait tomber à l’automne sur le budget, le dilemme sur le maintien de Bruno Retailleau au gouvernement persisterait: une nomination du ministre de la Défense Sébastien Lecornu à Matignon “ne déplairait pas à LR qui pourrait mieux travailler avec lui qu’avec le centriste”, confie un cadre LR.C’est d’ailleurs l’opinion du dirigeant d’Horizons qui ne redoute pas une rupture avec LR: “Le bon côté de tout ça, c’est que les LR ont retrouvé le goût du pouvoir et ils n’ont pas envie de le quitter”. Rester au sein de l’exécutif n’est pourtant pas sans risque pour les ambitions élyséennes de Bruno Retailleau, dont le bilan est sans cesse attaqué par le Rassemblement national, qui le présente comme le “ministre de la parole”. Sur l’Algérie, par exemple, le Vendéen entend réitérer jeudi sa demande à Emmanuel Macron d’établir un “bras de fer” pour faire plier Alger, qui refuse d’accueillir les citoyens algériens sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). “L’Algérie, c’est effectivement un bon point de différentiation avec la macronie, mais ce dossier n’est pas forcément une réussite pour lui”, observe le cadre LR,

Ukraine : le Kremlin s’attend à des négociations “très compliquées” avec Kiev à Istanbul

Le Kremlin a dit s’attendre à des négociations de paix “très compliquées” avec l’Ukraine mercredi soir à Istanbul, éloignant à nouveau la possibilité d’avancées diplomatiques rapides pour mettre fin à la guerre déclenchée en février 2022.”Personne ne s’attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée”, a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, répétant que les propositions respectives des belligérants pour arrêter le conflit étaient “diamétralement opposées”.Une source au sein de la délégation envoyée par Kiev a, quant à elle, dit à l’AFP espérer une “position constructive” de la Russie et qu’elle renonce à “ses ultimatums”.- Arrivée des délégations -L’équipe de négociateurs ukrainiens est arrivée en fin d’après-midi à Istanbul. Elle a plus tôt dans la journée rencontré à Ankara des hauts responsables turcs, notamment le président Recep Tayyip Erdogan, a raconté sur X le chef du cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, lui-même présent pendant ces échanges.L’avion transportant la délégation russe s’est, pour sa part, posé en milieu d’après-midi à Istanbul, ont rapporté les agences de presse russes.Cette troisième session de pourparlers directs dans cette mégapole turque qui doit commencer autour de 19H00 heure locale (16H00 GMT) intervient une nouvelle fois sous la pression du président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l’Ukraine, sous peine de sanctions sévères.Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l’armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d’un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est), où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d’électricité chez plus de 220.000 clients, selon M. Zelensky.  L’invasion russe de l’Ukraine a fait a minima des dizaines de milliers de morts civils et militaires dans les deux camps.- “Mémorandums” et échanges de prisonniers -Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Les discussions à Istanbul de mai et juin n’avaient débouché que sur des accords d’échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.La délégation ukrainienne est conduite, comme les fois précédentes, par l’ex-ministre de la Défense Roustem Oumerov, considéré comme un fin diplomate.L’équipe russe sera dirigée, elle aussi comme auparavant, par un responsable de second plan, au grand dam des autorités ukrainiennes : l’ex-ministre de la Culture et historien nationaliste Vladimir Medinski.Ces négociations se dérouleront sous la houlette du chef de la diplomatie turque, Hakan Fidan, et en présence du patron des services de renseignement turcs, le MIT, Ibrahim Kalin.Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers porteront principalement sur les “mémorandums” échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix.Il sera également question “du processus très important” d’échange de prisonniers, a confirmé M. Peskov.Kiev, a déclaré une source au sein de la délégation ukrainienne à l’AFP, veut également discuter de l’échange de prisonniers, ainsi que du rapatriement d’enfants ukrainiens emmenés en Russie et d’une potentielle rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine.- Nouvelles frappes nocturnes -Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent. Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l’Ukraine, selon l’armée de l’air.Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d’après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.Pour sa part, l’armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens lancés contre son territoire. Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l’est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d’armes et le déploiement d’un contingent européen, ce à quoi s’oppose la Russie.L’Ukraine insiste aussi, de concert avec ses alliés européens, sur la nécessité d’un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l’avantage sur le terrain.Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter d’arrêter la guerre, sans grands résultats. Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l’égard de la Russie. Il a également affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l’Otan, seraient envoyés à l’Ukraine.

Ukraine : le Kremlin s’attend à des négociations “très compliquées” avec Kiev à Istanbul

Le Kremlin a dit s’attendre à des négociations de paix “très compliquées” avec l’Ukraine mercredi soir à Istanbul, éloignant à nouveau la possibilité d’avancées diplomatiques rapides pour mettre fin à la guerre déclenchée en février 2022.”Personne ne s’attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée”, a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, répétant que les propositions respectives des belligérants pour arrêter le conflit étaient “diamétralement opposées”.Une source au sein de la délégation envoyée par Kiev a, quant à elle, dit à l’AFP espérer une “position constructive” de la Russie et qu’elle renonce à “ses ultimatums”.- Arrivée des délégations -L’équipe de négociateurs ukrainiens est arrivée en fin d’après-midi à Istanbul. Elle a plus tôt dans la journée rencontré à Ankara des hauts responsables turcs, notamment le président Recep Tayyip Erdogan, a raconté sur X le chef du cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, lui-même présent pendant ces échanges.L’avion transportant la délégation russe s’est, pour sa part, posé en milieu d’après-midi à Istanbul, ont rapporté les agences de presse russes.Cette troisième session de pourparlers directs dans cette mégapole turque qui doit commencer autour de 19H00 heure locale (16H00 GMT) intervient une nouvelle fois sous la pression du président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l’Ukraine, sous peine de sanctions sévères.Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l’armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d’un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est), où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d’électricité chez plus de 220.000 clients, selon M. Zelensky.  L’invasion russe de l’Ukraine a fait a minima des dizaines de milliers de morts civils et militaires dans les deux camps.- “Mémorandums” et échanges de prisonniers -Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Les discussions à Istanbul de mai et juin n’avaient débouché que sur des accords d’échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.La délégation ukrainienne est conduite, comme les fois précédentes, par l’ex-ministre de la Défense Roustem Oumerov, considéré comme un fin diplomate.L’équipe russe sera dirigée, elle aussi comme auparavant, par un responsable de second plan, au grand dam des autorités ukrainiennes : l’ex-ministre de la Culture et historien nationaliste Vladimir Medinski.Ces négociations se dérouleront sous la houlette du chef de la diplomatie turque, Hakan Fidan, et en présence du patron des services de renseignement turcs, le MIT, Ibrahim Kalin.Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers porteront principalement sur les “mémorandums” échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix.Il sera également question “du processus très important” d’échange de prisonniers, a confirmé M. Peskov.Kiev, a déclaré une source au sein de la délégation ukrainienne à l’AFP, veut également discuter de l’échange de prisonniers, ainsi que du rapatriement d’enfants ukrainiens emmenés en Russie et d’une potentielle rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine.- Nouvelles frappes nocturnes -Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent. Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l’Ukraine, selon l’armée de l’air.Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d’après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.Pour sa part, l’armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens lancés contre son territoire. Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l’est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d’armes et le déploiement d’un contingent européen, ce à quoi s’oppose la Russie.L’Ukraine insiste aussi, de concert avec ses alliés européens, sur la nécessité d’un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l’avantage sur le terrain.Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter d’arrêter la guerre, sans grands résultats. Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l’égard de la Russie. Il a également affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l’Otan, seraient envoyés à l’Ukraine.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Marne: un retraité meurt après avoir été piqué par des frelons asiatiques

Un retraité est mort mardi après avoir été piqué par des frelons asiatiques dans son jardin à Fismes (Marne), a-t-on appris mercredi auprès des pompiers et de la mairie. Les pompiers de la Marne ont confirmé à l’AFP le décès de cet homme, annoncé par les médias locaux, et la destruction d’un nid de frelons asiatiques. Cet homme de 67 ans était occupé à tondre l’herbe de son jardin et a roulé sur un nid de frelons asiatiques, selon le Directeur général des services de la mairie de Fismes, Damien Landini. Le retraité a été piqué “plus d’une dizaine de fois”, selon M. Landini. “À la suite du tragique incident survenu ce mardi à Fismes”, la mairie a présenté sur sa page Facebook ses condoléances aux proches de la victime et rappelé que la communauté urbaine de Reims pouvait accorder une aide financière pour la destruction des nids de frelons situés sur une propriété privée.Le frelon asiatique (Vespa velutina), apparu il y a environ 20 ans en France, s’est largement répandu depuis sur le territoire. Il est responsable d’environ 20% de la mortalité d’abeilles dans les ruchers selon les estimations. D’après le site internet de l’Agence régionale de Santé (ARS) du Grand-Est, le frelon asiatique a été signalé en 2015 en Lorraine et en Champagne-Ardenne et en 2016 en Alsace.Le Parlement a adopté début mars une proposition de loi contre sa prolifération, qui vise à coordonner la lutte au niveau national puis départemental, en espérant une action plus efficace que des initiatives à l’échelon des communes ou collectivités locales.Début juillet à Aurillac (Cantal), trois personnes avaient été hospitalisées en urgence absolue après une virulente attaque d’abeilles. Selon le maire de la ville, Pierre Mathonier, l’agressivité des insectes était “probablement (due à) une attaque de frelons asiatiques, des prédateurs importants” pour elles.

Texas’s Alamo honors Ozzy despite notorious urination incident

Ozzy Osbourne was a pioneering musician but the Black Sabbath frontman was perhaps best known in the mainstream for his antics — including offending all of Texas when he drunkenly urinated on the US state’s monument to its fallen Alamo heroes.The stunt earned him a years-long ban from playing in San Antonio but after repeated apologies, the organization behind the Alamo site paid homage to Osbourne’s journey “from regret to reconciliation” in light of his death on Tuesday.”We at the Alamo are saddened to hear of the passing of legendary musician Ozzy Osbourne. His relationship with the Alamo was marked initially by a deeply disrespectful incident in 1982,” the institution posted on social media. “However, redemption and reconciliation eventually became part of his history as well.”The incident saw the self-styled “Prince of Darkness” — who was wearing his wife Sharon’s dress, in defiance of her bid to prevent him from going out by hiding his own clothes — relieve himself on the 60-foot cenotaph that stands as a Texas war memorial.The Alamo was the setting of a much-mythologized battle between Mexican and Texan troops in 1836.Osbourne was arrested and barred for years from performing in San Antonio.But a decade later, he personally apologized to the then-mayor “and expressed genuine remorse for his actions,” including donating $10,000 to the Daughters of the Republic of Texas.In 2015 he revisited the Alamo grounds “to learn and appreciate the site’s history,” said the institution, which added that Osbourne “openly demonstrated humility and understanding.”That visit was filmed for a television show on The History Channel.”At the Alamo, we honor history in all its complexities,” read the statement.”Today, we acknowledge Ozzy Osbourne’s journey from regret to reconciliation at the historic site, and we extend our condolences to his family, friends, and fans around the world. May he rest in peace.”The British metal trailblazer died Tuesday at age 76, mere weeks after he played his final show in his home city of Birmingham.