Jean-Marie Le Pen hospitalisé, annonce son entourage à l’AFP

Jean-Marie Le Pen, 96 ans, est hospitalisé depuis le début de la semaine pour faire des “analyses”, a indiqué jeudi à l’AFP son entourage.”Il y a des hauts et des bas”, a poursuivi cette même source, qui a néanmoins démenti des rumeurs “pas fondées” quant à un supposé état grabataire du père de Marine Le Pen.Le finaliste de l’élection présidentielle de 2002 a vu son état de santé se dégrader depuis plusieurs années. Poursuivi dans l’affaire des assistants d’eurodéputés du RN, son cas a été “disjoint” après qu’une expertise médicale avait constaté “une profonde détérioration” de son état physique et psychique, estimant qu’il n’était pas en mesure ni “d’être présent”, ni de “préparer sa défense”.”Il est acté que (Jean-Marie Le Pen) n’est pas en capacité de donner son consentement de quelque acte que ce soit”, avait indiqué fin septembre, à l’ouverture du procès, Marine Le Pen.Cette dernière, ainsi que ses deux sÅ“urs Marie-Caroline et Yann Le Pen, sont les bénéficiaires d’un “mandat de protection” – une mesure comparable à une tutelle – depuis la mi-février, qui leur permet de réaliser divers actes au nom de leur père, seules ou de concert.

S.Africa football chief arrested on fraud, theft chargesWed, 13 Nov 2024 13:38:45 GMT

South African Football Association (SAFA) president Danny Jordaan was arrested and charged Wednesday with using the group’s resources for his own purposes in a fraud and theft case amounting to 1.3 million rand ($72,000), police said. Jordaan, who led South Africa’s successful bid to host the 2010 FIFA World Cup, denied the charges in a Johannesburg …

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Paris rend hommage aux victimes du 13-novembre, en présence de Michel Barnier

Plusieurs cérémonies de commémoration étaient organisées mercredi à Paris en présence notamment de Michel Barnier et de plusieurs membres du gouvernement, en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015. Le Premier ministre ainsi que la maire de Paris Anne Hidalgo ont assisté à une cérémonie devant la salle du Bataclan. Les ministres de la Justice Didier Migaud et de l’Intérieur Bruno Retailleau étaient également présents.Le 13 novembre 2015, les attaques terroristes ont coûté la vie à 92 personnes dans cette salle de concert du 11e arrondissement de Paris. Une minute de silence a été observée et des gerbes de fleurs déposées devant son entrée, ont constaté des journalistes de l’AFP. Michel Barnier et Anne Hidalgo sont ensuite allés à la rencontre des rescapés de l’attaque et de leurs proches. Plus tôt dans la matinée, Mme Hidalgo avait aussi rendu hommage aux victimes devant le Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), devant le bar “Le Carillon” et le restaurant “Le Petit Cambodge”, dans le 10e arrondissement de Paris, dont les terrasses avaient été prises pour cibles par les terroristes. Un autre temps d’hommage et de recueil s’est tenu à la mairie du 11e arrondissement. Une cérémonie “intime”, organisée par les associations de victimes des attentats du 13-novembre. “Nous n’oublierons jamais”, a écrit de son côté Emmanuel Macron sur X, assurant que le 13-novembre reste “gravé dans nos mémoires en lettres de douleur”. Le président a rendu hommage “aux victimes, aux familles, à ceux qui ont tout donné pour préserver la vie”. Au total, les attaques terroristes revendiquées par l’organisation Etat islamique ont fait 130 morts. 

Au procès du RN, l’accusation décrit un “système” pour “faire des économies à tout prix”

“Un système organisé par la direction du parti et pour servir les intérêts du parti”. En débutant leur réquisitoire au procès du RN, les procureurs ont détaillé mercredi matin comment Marine Le Pen avait bien été selon eux à la manÅ“uvre d’un détournement de fonds européens.Après un mois et demi d’audience, la triple candidate à la présidentielle sera fixée en fin de journée sur les peines réclamées par le parquet contre elle, son parti et 24 autres prévenus – cadres du parti, ex-eurodéputés et anciens assistants parlementaires.”Nous ne sommes pas ici aujourd’hui en raison d’un acharnement”, ni à cause d’une dénonciation “du Parlement européen”, mais au terme “d’une longue information judiciaire”, déclare d’emblée l’une des deux représentantes de l’accusation, Louise Neyton.”Vous prendrez votre décision au vu des pièces du dossier”, et après “six semaines d’audience” et des “débats particulièrement fournis”, poursuit la magistrate dans une salle d’audience pleine où Marine Le Pen s’est assise au premier rang au côté de Louis Aliot, actuel numéro 2 du RN.”Je suis dans le même état d’esprit que la semaine dernière, que la semaine d’avant. C’est le déroulé normal d’un procès, avec aujourd’hui une accusation qui accuse, ce n’est pas non plus très original”, avait déclaré la cheffe de l’extrême droite en arrivant au tribunal.En entamant leurs réquisitions qui doivent durer toute la journée, les deux magistrats détaillent l’architecture d’un “système” qui a selon eux été mis en place au Front national (devenu RN) entre 2004 et 2016, consistant à embaucher des assistants parlementaires européens “fictifs” qui travaillaient en réalité pour le parti.A l’époque, “le parti est dans une situation financière particulièrement tendue. Tout ce qui peut contribuer à l’allègement des charges va être utilisé de manière systématique”, que ce soit “légal ou pas”, affirme Louise Neyton, alors que Marine Le Pen fait des “non” vigoureux de la tête.Le Parlement européen ne fait que des “contrôles comptables”, pour le reste il fait “confiance” aux eurodéputés quant à l’utilisation de leur dotation mensuelle de 21.000 euros: “Alors, c’est trop tentant, ces enveloppes vont apparaître comme une aubaine et être utilisées comme telles”, insiste la magistrate.- “Fiction alternative” -Pour l’accusation, ce “système va encore se renforcer et prendre une nouvelle dimension” avec l’arrivée, en 2011, de Marine Le Pen à la tête du parti, avec un salarié chargé de la gestion des contrats européens, qui rend compte “seulement” à la présidente, la “donneuse d’ordres”.En 2014, après l’élection d’une vingtaine d’eurodéputés FN, le trésorier du parti Wallerand de Saint-Just écrit: “Nous ne nous en sortirons que si nous faisons des économies importantes grâce au Parlement européen”, rappelle la procureure.Et d’évoquer les mails – “pas tous, il y en a trop” – parlant de “montages financiers”, de “transferts” de tel assistant “sur” tel député en fonction de la disponibilité des enveloppes. L’un ou l’autre, “tu peux choisir”, est-il écrit dans un message.Elle aborde aussi cette fameuse réunion d’accueil des nouveaux députés, à l’été 2014, où Mme Le Pen aurait averti ceux fraîchement élus qu’ils ne devaient prendre qu’un assistant, le reste de l’enveloppe devant revenir au parti. Alors face à tout cela, “la fiction alternative qui vous est présentée en défense” n’est, elle, “corroborée par aucun élément”, estime la procureure.La suite du réquisitoire, qui reprendra à 14H00, doit s’attarder sur chacun des prévenus: les neuf ex-eurodéputés frontistes, leurs 12 anciens assistants parlementaires, les experts-comptables et le trésorier, et enfin le parti lui-même. Ils encourent des peines allant jusqu’à 10 ans d’emprisonnement, un million d’euros d’amende et une peine d’inéligibilité, qui pourrait sérieusement entraver les ambitions de Mme Le Pen à la présidentielle de 2027.En l’occurrence, cela se résume en une “question simple”: “l’assistant parlementaire travaillait-t-il pour son député ou pour un tiers ?”, a estimé le second procureur, Nicolas Barret. Concernant les “preuves” de leur activité pour leurs élus, “on n’a rien !”. “On a bien une capacité de conservation des documents, donc si la preuve n’est pas retrouvée, c’est qu’elle n’existe pas”, a-t-il ajouté.Le Parlement européen a évalué son préjudice financier à 4,5 millions d’euros, mais n’en réclame que 3,4 (une partie ayant été remboursée). 

India delivery app Swiggy shares gain on market debut 

Indian food delivery firm Swiggy rose nearly 17 percent on its market debut Wednesday after raising $1.34 billion in the country’s second-biggest IPO this year, as investor optimism offset profit concerns.A booming stock market in the world’s fifth-largest economy has stoked an IPO frenzy over the past two years, with start-ups and established companies alike raking in billions of dollars at rich valuations.Swiggy, which is backed by Japan’s SoftBank and investment giant Prosus, has pushed the limits of rapid commerce in India, with the help of a network of local warehouses and tens of thousands of delivery riders.The tech firm, like many of its rivals, has expanded beyond traditional food delivery business into having everything from groceries to electronics dropped off at doorsteps in under 20 minutes.Group chief executive Sriharsha Majety, speaking at the listing ceremony in the financial capital Mumbai, said India had “so much economic growth” ahead, and that “growth is obviously going to show up in the cities” — a boost for firms like Swiggy.The company’s shares defied an overall weak market and closed at 456 rupees($5.4), 16.9 percent higher than the issue price, on their first day of trade.In the run-up to the listing, analysts had raised concerns over stiff competition from industry leader Zomato and unlisted rival Zepto.”Swiggy’s initial focus on in-house innovation gave it an edge, but competitors like Zomato and Zepto have since overtaken it in food delivery and quick commerce,” Ninad Sarpotdar, an analyst at Aditya Birla Capital, wrote in a pre-listing note.Sarpotdar said that ongoing losses and a “slightly high valuation” were also negative factors.Swiggy’s financial filings show its losses increased to 6.1 billion rupees ($72.3 million) in the June quarter.The delivery app plans to use $66 million from its IPO proceeds to expand its warehouse network as it looks to boost revenue and cut losses. 

Stock markets diverge as Trump fears build

Global stock markets diverged Wednesday as traders fret over the impact of Donald Trump’s presidency on the Chinese and global economies, with fears that his policies could also reignite US inflation.The prospect of higher prices on the back of Trump’s planned tax cuts, import tariffs and an easing of regulations gave fresh impetus to the dollar, which has rallied since the Republican’s election win last week.Focus is now on the release of key US October consumer price data due later in the day, with expectations for a slight uptick from the previous month.”It’s particularly pertinent given concerns that Trump’s tariff policies will be inflationary,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.”If prices are already looking unruly, expectations will rise for Trump’s threats to be watered down.”The reading will be pored over for an idea about the Federal Reserve’s plans for borrowing costs when it meets again in December.Major European indices edged higher around midday Wednesday.Shares in Siemens Energy surged more than 15 percent after the German company posted positive annual results and upgraded its outlook.Asian markets mostly ended lower as Trump named known China hawks to key cabinet positions, fuelling concerns about another debilitating trade war between the economic superpowers.”We expect the effective tariff rate on US imports from China to rise to around 40 percent,” said Harry Murphy Cruise at Moody’s Analytics.”That would effectively double the rate today,” he told AFP.”It’s likely the threat of further tariffs up to the touted 60 percent would be used as a negotiating tool.” Cruise said “China would almost certainly follow suit, imposing tariffs of its own of equal magnitude”.The threat of another standoff comes as Beijing struggles to kickstart growth at home, unveiling a raft of measures at the end of September but leaving traders disappointed.China’s state media on Wednesday reported that Beijing had announced a raft of tax policies aimed at boosting the country’s ailing property market.Wall Street provided a negative lead, with its three main indices finishing in the red Tuesday as investors took a breather from a week-long rally to more record highs.Traders are keeping tabs on bitcoin after it came within a whisker of breaking $90,000 for the first time on Tuesday owing to Trump’s pro-crypto campaign pledges.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 8,062.73Paris – CAC 40: UP 0.3 percent at 7,248.33Frankfurt – DAX: UP 0.3 percent at 19,096.11Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.7 percent at 38,721.66 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 19,823.45 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,439.28 (close)New York – Dow: DOWN 0.9 percent at 43,910.98 (close)Dollar/yen: UP at 154.98 yen from 154.59 yen on TuesdayEuro/dollar: DOWN at $1.0617 from $1.0625Pound/dollar: DOWN at $1.2741 from $1.2748Euro/pound: DOWN at 83.31 pence from 83.34 penceBrent North Sea Crude: UP 0.7 percent at $72.38 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.7 percent at $68.61 per barrel

Bees help tackle elephant-human conflict in KenyaWed, 13 Nov 2024 11:33:52 GMT

“We used to hate elephants a lot,” Kenyan farmer Charity Mwangome says, pausing from her work under the shade of a baobab tree.The bees humming in the background are part of the reason why her hatred has dimmed.The diminutive 58-year-old said rapacious elephants would often destroy months of work in her farmland that sits between …

Bees help tackle elephant-human conflict in KenyaWed, 13 Nov 2024 11:33:52 GMT Read More »

No end in sight to Sudan war as both sides seek ‘decisive’ winWed, 13 Nov 2024 11:28:19 GMT

Sudan has seen a surge in extreme violence in recent weeks as the warring military and paramilitary push for a decisive victory, with no political solution in sight.Fighting between the Sudanese army and the Rapid Support Forces (RSF) has intensified since late October, with reports of attacks on civilians including sexual violence against women and …

No end in sight to Sudan war as both sides seek ‘decisive’ winWed, 13 Nov 2024 11:28:19 GMT Read More »