14-year-old Vaibhav Suryavanshi becomes youngest IPL player

Indian batter Vaibhav Suryavanshi on Saturday made history as the youngest ever IPL player at 14 years old after Rajasthan Royals brought him in as their impact substitute against Lucknow Super Giants.Suryavanshi, a left-hand batsman, earned a deal in the lucrative T20 tournament after Rajasthan bought him for $130,500 in the November auction when he was still aged just 13.At 14 years and 23 days, Suryavanshi easily beat the previous record for the IPL’s youngest debutant held by Prayas Ray Barman, who was 16 years and 157 days old when he played for Royal Challengers Bengaluru in 2019.Suryavanshi was added as an impact player for the match at Rajasthan’s home in Jaipur after skipper Sanju Samson was ruled out due to injury.The teenager then came out to open the innings alongside Yashasvi Jaiswal as Rajasthan sought to chase down 181, replacing medium-pace bowler Sandeep Sharma.He comes from India’s poorest state, Bihar, and his father is a farmer and part-time journalist, according to Indian media.Suryavanshi is an explosive batter and rose to prominence with a 58-ball century in an Under-19 Test against Australia — the second fastest ton in youth Tests after England’s Moeen Ali, who hit 100 in 56 balls in 2005.Suryavanshi made his domestic Ranji debut aged 12 in January last year.Rajasthan coach Rahul Dravid was impressed by his trial in the net session prior to the auction and later said the kid has got “some really good skills”.

Jeune tué près de Lyon: trois personnes, dont le principal suspect, mises en examen et écrouées

Trois personnes, dont le principal suspect, ont été mises en examen et écrouées samedi dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat d’un jeune homme de 19 ans abattu début avril près d’une école à Vaulx-en-Velin, a constaté un correspondant de l’AFP au tribunal de Lyon.Deux hommes de 19 et 20 ans et une jeune femme de 18 ans ont été mis en examen dans le cadre de l’instruction ouverte pour “meurtre en bande organisée”, “complicité” et “association de malfaiteurs” notamment, puis présentés devant un juge des libertés et de la détention.L’auteur présumé des coups de feu mortels, 19 ans, avait été interpellé mercredi à son domicile du Val-d’Oise. Selon le journal Aujourd’hui/Le Parisien, il aurait été recruté “via les réseaux sociaux”.Il a fait valoir son droit au silence.”Il faut être très prudent, l’information (judiciaire, ndlr) va être longue et complexe. Il ne faut pas encore tirer de conclusions hâtives”, a déclaré son avocat Me Naguin Zekkouti, appelant à la prudence sur le mode de recrutement des protagonistes.Les deux autres personnes avaient été arrêtées mercredi également, en région lyonnaise.”Il faut faire attention que la pression politique qui parle de narcotrafic ne conduise pas à une procédure expéditive. On n’a pas de certitudes sur tout à ce stade”, a pour sa part réagi Me Elise Rey-Jacquot, qui défend la jeune femme mise en cause, accusée d’avoir rendu des services à l’équipe.Le troisième suspect, venu d’Avignon et présent sur les lieux lors des faits, dont le rôle n’a pas été explicité à ce stade, nie avoir eu connaissance de l’entreprise criminelle au moment de sa venue dans la région lyonnaise, rapporte son avocat Me Philippe Duplan.Le 7 avril, un jeune de 19 ans a été tué dans la rue de plusieurs balles dans la tête à proximité d’une école primaire de Vaulx-en-Velin, dans la banlieue est de Lyon.Des trafiquants de drogue se livrent à une “guerre des gangs” dans ce quartier et le jeune homme se trouvait près d’un point de deal, selon les autorités.L’enquête pour “assassinat”, ouverte par le parquet de Lyon, a été confiée aux policiers spécialisés dans la criminalité organisée.

A Damas, les fonctionnaires font la queue pour toucher leur maigre revenu

Assis sur le trottoir devant une banque de Damas, Abou Farès, 77 ans, est à bout de forces après avoir attendu des heures pour toucher une part de sa maigre retraite, à cause du manque de liquidités en Syrie.”Je suis ici depuis environ quatre heures, et je n’ai pas encore pu toucher ma retraite”, affirme ce retraité, qui ne veut pas donner son nom de famille. “Les distributeurs ne sont pas suffisamment approvisionnés et les files d’attente sont longues”, ajoute-t-il.Les nouvelles autorités syriennes, issues d’une coalition de groupes islamistes qui a renversé le 8 décembre le président Bachar al-Assad, ont hérité d’un pays ruiné par une guerre de près de 14 ans.Les sanctions économiques imposées précédemment au pays et dont elles réclament la levée impactent lourdement le pays, où selon l’ONU, 90% des Syriens vivent sous le seuil de pauvreté.La crise de liquidités a forcé les autorités à drastiquement plafonner les retraits.La Russie, alliée de Bachar al-Assad, avait le monopole de l’impression des billets. Depuis décembre, les nouvelles autorités ont annoncé avoir reçu une seule fois, en février, de nouveaux billets imprimés à Moscou.Dans le pays qui compte quelque 1,25 million d’employés de l’Etat, ces fonctionnaires doivent faire la queue devant l’une des deux banques publiques ou devant des distributeurs pour retirer une somme plafonnée à 200.000 livres syriennes, soit environ 20 dollars par jour.Certains fonctionnaires sont ainsi contraints de prendre un congé pour passer la journée à tenter de retirer une part de leurs revenus. Les épargnants qui veulent retirer leurs économies sont dans le même cas.”Il y a des malades, des personnes âgées (…) on ne peut pas continuer comme ça”, lâche Abou Farès. – “Manque clair de liquidités” -Les banques ont la possibilité de relever le plafond des 200.000 livres syriennes en cas de disponibilité de liquidités, selon une employée d’une banque privée ayant souhaité rester anonyme.Mais “il y a un manque clair de liquidités, c’est également pour cette raison que nous désactivons les distributeurs automatiques à la fin des horaires de travail officiels”, ajoute-t-elle à l’AFP.Devant le guichet de la Banque commerciale publique syrienne, une file chaotique de près de 300 personnes s’allonge. Comme Abou Farès, certains attendent assis à même le sol.Mountaha Abbas, une fonctionnaire de 37 ans, doit s’y reprendre à trois fois pour pouvoir retirer l’intégralité de son salaire de 500.000 livres syriennes, soit environ 50 dollars.”Des files, que des files (…) notre vie est faite de files d’attente”, soupire cette femme, le visage encadré par un voile blanc.Après cinq heures d’attente, elle peut finalement retirer 200.000 livres, en espérant avoir davantage de chance le lendemain.”Il y a beaucoup de distributeurs à Damas, mais très peu fonctionnent”, remarque-t-elle. Avant le début du conflit en 2011, un dollar valait environ 50 livres. La monnaie locale a depuis perdu plus de 90 % de sa valeur.L’économiste Georges Khouzam explique que les cambistes, un métier qui était clandestin sous Assad, ont “délibérément réduit la liquidité en livres syriennes pour provoquer des fluctuations rapides sur le marché et en tirer profit, et non pour soutenir la monnaie nationale”.Vendre des devises était passible de sept ans de prison et de lourdes amendes du temps du pouvoir d’Assad, qui gardait la main sur les monnaies étrangères pour se maintenir à flot.

A Damas, les fonctionnaires font la queue pour toucher leur maigre revenu

Assis sur le trottoir devant une banque de Damas, Abou Farès, 77 ans, est à bout de forces après avoir attendu des heures pour toucher une part de sa maigre retraite, à cause du manque de liquidités en Syrie.”Je suis ici depuis environ quatre heures, et je n’ai pas encore pu toucher ma retraite”, affirme ce retraité, qui ne veut pas donner son nom de famille. “Les distributeurs ne sont pas suffisamment approvisionnés et les files d’attente sont longues”, ajoute-t-il.Les nouvelles autorités syriennes, issues d’une coalition de groupes islamistes qui a renversé le 8 décembre le président Bachar al-Assad, ont hérité d’un pays ruiné par une guerre de près de 14 ans.Les sanctions économiques imposées précédemment au pays et dont elles réclament la levée impactent lourdement le pays, où selon l’ONU, 90% des Syriens vivent sous le seuil de pauvreté.La crise de liquidités a forcé les autorités à drastiquement plafonner les retraits.La Russie, alliée de Bachar al-Assad, avait le monopole de l’impression des billets. Depuis décembre, les nouvelles autorités ont annoncé avoir reçu une seule fois, en février, de nouveaux billets imprimés à Moscou.Dans le pays qui compte quelque 1,25 million d’employés de l’Etat, ces fonctionnaires doivent faire la queue devant l’une des deux banques publiques ou devant des distributeurs pour retirer une somme plafonnée à 200.000 livres syriennes, soit environ 20 dollars par jour.Certains fonctionnaires sont ainsi contraints de prendre un congé pour passer la journée à tenter de retirer une part de leurs revenus. Les épargnants qui veulent retirer leurs économies sont dans le même cas.”Il y a des malades, des personnes âgées (…) on ne peut pas continuer comme ça”, lâche Abou Farès. – “Manque clair de liquidités” -Les banques ont la possibilité de relever le plafond des 200.000 livres syriennes en cas de disponibilité de liquidités, selon une employée d’une banque privée ayant souhaité rester anonyme.Mais “il y a un manque clair de liquidités, c’est également pour cette raison que nous désactivons les distributeurs automatiques à la fin des horaires de travail officiels”, ajoute-t-elle à l’AFP.Devant le guichet de la Banque commerciale publique syrienne, une file chaotique de près de 300 personnes s’allonge. Comme Abou Farès, certains attendent assis à même le sol.Mountaha Abbas, une fonctionnaire de 37 ans, doit s’y reprendre à trois fois pour pouvoir retirer l’intégralité de son salaire de 500.000 livres syriennes, soit environ 50 dollars.”Des files, que des files (…) notre vie est faite de files d’attente”, soupire cette femme, le visage encadré par un voile blanc.Après cinq heures d’attente, elle peut finalement retirer 200.000 livres, en espérant avoir davantage de chance le lendemain.”Il y a beaucoup de distributeurs à Damas, mais très peu fonctionnent”, remarque-t-elle. Avant le début du conflit en 2011, un dollar valait environ 50 livres. La monnaie locale a depuis perdu plus de 90 % de sa valeur.L’économiste Georges Khouzam explique que les cambistes, un métier qui était clandestin sous Assad, ont “délibérément réduit la liquidité en livres syriennes pour provoquer des fluctuations rapides sur le marché et en tirer profit, et non pour soutenir la monnaie nationale”.Vendre des devises était passible de sept ans de prison et de lourdes amendes du temps du pouvoir d’Assad, qui gardait la main sur les monnaies étrangères pour se maintenir à flot.

Espagne: le Barça miraculé face au Celta (4-3)

Mené 3-1, le FC Barcelone a arraché la victoire 4-3 samedi à domicile face au Celta Vigo et conforté sa position de leader avant le match du Real Madrid dimanche, lors de la 32e journée de Liga.Quatre jours après sa défaite 3-1 à Dortmund, sans conséquence toutefois sur la qualification pour les demi-finales de la Ligue des champions, le Barça a bien failli rechuter en championnat. Mais un penalty en fin de match de Raphinha (90+8) a sorti les Catalans d’un très mauvais pas face au 7e de Liga.Un revers ou un match nul aurait ouvert la porte au Real, désormais à sept points de son grand rival, avant de recevoir dimanche (21h) l’Athletic, solide 4e de Liga et qualifié pour les demi-finales de la Ligue Europa.Éliminé lui mercredi en C1 par Arsenal, le Real mise à présent tout sur le championnat et la finale de la Coupe du Roi, qu’il disputera le 26 avril face au… Barça. Titularisé dans le onze barcelonais, Ferran Torres n’a pas laissé passer sa chance en ouvrant le score d’une frappe croisée au milieu d’une défense du Celta attentiste (12e, 1-0). L’ailier espagnol compte désormais dix buts en Liga en seulement dix titularisations.Mais la joie a été de courte durée pour les Catalans. Une sortie manquée du gardien Wojciech Szczesny a offert l’égalisation à Borja Iglesias (1-1,15e).En deuxième période, Iglesias a encore fait mouche. Après une longue ouverture de Yoel Lago, il a inscrit une nouvelle frappe croisée (2-1, 52e) avant de s’offrir un triplé d’une jolie balle piquée (3-1, 62e).Mais en l’espace de cinq minutes, le Barça a recollé. Dani Olmo, parfaitement servi par Raphinha, a réduit le score (3-2, 64e). Puis Lamine Yamal, à peine entré en jeu, a adressé un centre tout aussi parfait à Raphinha pour l’égalisation (3-3, 68e). Le Brésilien a été le héros du match en transformant un penalty dans le temps additionnel (3-3, 90+8).L’Atlético Madrid (3e, 63 points) se déplace dans la soirée à Las Palmas (21h).

Marine Tondelier réélue sans surprise, dès le premier tour, à la tête des Ecologistes

Marine Tondelier a été réélue sans surprise samedi, dès le premier tour, à la tête des Ecologistes par les militants, a annoncé la direction du parti. Largement favorite, l’élue d’Hénin-Beaumont, qui a explosé médiatiquement depuis près de trois ans, a été réélue avec 73% des voix, sur un total de 6.700 votants (et 49% de participation). Son courant arrive en tête de toutes les instances du parti. “On est très très fiers de ce résultat qui témoigne d’une confiance des militants. C’est un premier tour à 73% avec trois concurrents en face. C’est quand même, je pense, assez rare dans la vie des partis”, s’est-elle félicitée lors d’un point presse en visioconférence.La députée Sandrine Rousseau, qui briguait un poste au sein du bureau politique, n’a pas réussi à y entrer, et le maire de Grenoble Eric Piolle, qui vise un poste de porte-parole, devra, lui, en passer par un second tour. Malgré des critiques internes l’accusant d’avoir verrouillé le parti, d’avoir mal géré l’affaire Julien Bayou, et lui reprochant l’échec cinglant des Européennes (5,5%), Marine Tondelier arrive loin devant ses trois concurrents, moins connus: l’ex-eurodéputée Karima Delli (13%), le maire-adjoint de Paris Florentin Letissier (8%), Harmonie Lecerf Meunier (6%), adjointe à Bordeaux (6%) et proche de Sandrine Rousseau.Ses opposants ont dénoncé ces dernières semaines une récente modification des règles électorales, visant à les simplifier, mais qui au final est apparue, selon eux, très complexe et surtout destinée à servir la secrétaire nationale. A la tête de la formation écologiste depuis décembre 2022, Marine Tondelier avait déjà remporté la semaine dernière un premier vote sur la désignation d’une partie des membres du conseil fédéral, sorte de Parlement du parti. Mais dans cette instance, elle n’a obtenu qu’une majorité relative, ont souligné ses opposants.Dernière étape du congrès écologiste, un nouveau vote est prévu du 24 au 26 pour désigner notamment la dernière partie du conseil fédéral, avant une “convention d’investiture”, le 26, à Pantin (Seine-Saint-Denis). 

Vance talks migration with pope’s right-hand man at Vatican

US Vice President JD Vance met the Vatican’s second-highest official on Saturday, discussing the thorny issue of refugees just two months after Pope Francis incurred the wrath of the White House after lambasting the new US administration over its migration policies.Catholic convert Vance and his delegation held “cordial talks” with the Vatican’s secretary of state, Cardinal Pietro Parolin, and Paul Richard Gallagher, the Holy See’s secretary for relations with states, according to a Vatican statement.The late morning meeting came just a day after Vance met Italian Prime Minister Giorgia Meloni and discussed US President Donald Trump’s trade tariffs.Vance, 40, had been hoping to meet the 88-year-old head of the world’s 1.4 billion Catholics, who is recuperating after battling life-threatening pneumonia and spending nearly 40 days in hospital.The Vatican made no mention of any such meeting with the pontiff and Vance’s entourage has not commented on the rest of his programme in Rome.But Francis made a brief appearance at Saint Peter’s Basilica in the late afternoon, greeting visitors from his wheelchair.”During the cordial talks” that praised bilateral relations, “the common commitment to protect the right to freedom of religion and conscience was reiterated,” the Vatican said in a statement.That was a topic Vance brought up during a speech to the Munich Security Conference in February, when he slammed the “retreat” of free speech in Europe.A statement from the White House said that Vance and Parolin “discussed their shared religious faith, Catholicism in the United States, the plight of persecuted Christian communities around the world, and President Trump’s commitment to restoring world peace”.- ‘Valuable service to most vulnerable’ -However, there were also discussions on subjects where the two sides do not see eye to eye.”There was an exchange of opinions on the international situation, especially regarding countries affected by war, political tensions and difficult humanitarian situations, with particular attention to migrants, refugees, and prisoners,” the Vatican added.In February, Francis angered the White House after writing a letter to US bishops in which he condemned Trump’s plan to deport migrants en masse, which he described as a “major crisis”.The United States responded by telling Francis to “stick to” religion.Last year, Francis also made a rare foray into the US election season to call harsh anti-migrant attitudes “madness” and criticise right-wing US Catholic figures for overly conservative stances.But following Saturday’s meeting, the Vatican did acknowledge the US Catholic Church’s “valuable service to the most vulnerable people”.Vance has a close relationship with the most conservative fringe of American churches, which have criticised the pope over his stances on migration, LGBTQ rights and certain questions of social justice.The US vice president, his wife and three children attended a Good Friday liturgy at Saint Peter’s Basilica following his meeting with Meloni.There has been no official confirmation of whether Vance, who converted to Catholicism in his mid-30s, will attend Easter mass on Sunday, where the pope is expected to make an appearance to the thousands of worshippers descending on the Vatican for the occasion.In May 2017, when Trump was in his first term, he was received at the Vatican for a half-hour meeting.

Vance reçu au Vatican, aucune rencontre avec le pape évoquée

Le vice-président américain JD Vance a été reçu samedi au Vatican lors d’un entretien qui a abordé l’épineuse question des réfugiés, deux mois après de vives critiques du chef de l’Eglise catholique contre la politique migratoire de l’administration Trump.Les deux parties avaient maintenu le flou sur une possible rencontre samedi entre M. Vance et le pape de 88 ans. Celle-ci n’a pas été évoquée.JD Vance, converti au catholicisme à 35 ans, pourrait rencontrer François dimanche en marge de la messe de Pâques bien que sa présence n’ait pas été officiellement confirmée.Affaibli après une grave pneumonie et malgré sa convalescence, le pape avait reçu le roi Charles III début avril et a fait plusieurs apparitions surprises ces derniers jours. Samedi, vers 16H00 GMT, il a ainsi été aperçu sur son fauteuil roulant, saluant des fidèles dans la basilique Saint-Pierre où se tiendra dans la soirée la veillée pascale, selon une vidéo publiée par un journaliste.Fervent catholique, JD Vance s’est entretenu pendant plus d’une heure au palais apostolique avec le cardinal italien Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat et N.2 du Saint-Siège, ainsi que Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États.L’entretien “cordial” a abordé “la situation internationale, en particulier dans les pays marqués par la guerre, les tensions politiques et des situations humanitaires difficiles, avec une attention particulière portée aux migrants, aux réfugiés, aux prisonniers”, a indiqué le Vatican dans un communiqué.En février, le pape François s’était attiré les foudres de la Maison Blanche en condamnant, dans une lettre aux évêques américains, les expulsions massives de migrants voulues par Donald Trump, qualifiées de “crise majeure”.”Ce qui est construit sur le fondement de la force, et non sur la vérité de la dignité égale de tout être humain, commence mal et finira mal”, avait-il prévenu, alors que M. Vance entend faire de son pays une forteresse aux valeurs conservatrices en limitant drastiquement l’immigration.Samedi, “les deux parties (…) ont renouvelé leur engagement commun à protéger le droit à la liberté religieuse et de conscience”, selon le Vatican.Un thème abordé à Munich en février par M. Vance, qui avait dénoncé le “recul” de la “liberté d’expression” sur le Vieux Continent, notamment concernant l’opposition à l’avortement, suscitant la colère de plusieurs dirigeants européens.M. Vance est proche de la frange conservatrice de l’Eglise américaine, très critique envers le pape argentin pour ses positions sur les migrants, les fidèles LGBT+ ou certaines questions de justice sociale.”Les deux parties ont exprimé le souhait d’une collaboration sereine entre l’État et l’Église catholique aux États-Unis, dont le service précieux envers les personnes les plus vulnérables a été reconnu”, a indiqué le Vatican.Les deux parties “ont discuté de leur foi religieuse commune, du catholicisme aux États-Unis, du sort des communautés chrétiennes persécutées dans le monde et de l’engagement du président Trump à restaurer la paix dans le monde”, a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.Arrivé vendredi à Rome pour le weekend pascal, M. Vance a rencontré la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Il s’est ensuite rendu à la basilique Saint-Pierre, accompagné de son épouse Usha et de leurs trois enfants, pour assister à l’office de la Passion du Vendredi saint, qui commémore la mort du Christ sur la Croix.

Vance reçu au Vatican, aucune rencontre avec le pape évoquée

Le vice-président américain JD Vance a été reçu samedi au Vatican lors d’un entretien qui a abordé l’épineuse question des réfugiés, deux mois après de vives critiques du chef de l’Eglise catholique contre la politique migratoire de l’administration Trump.Les deux parties avaient maintenu le flou sur une possible rencontre samedi entre M. Vance et le pape de 88 ans. Celle-ci n’a pas été évoquée.JD Vance, converti au catholicisme à 35 ans, pourrait rencontrer François dimanche en marge de la messe de Pâques bien que sa présence n’ait pas été officiellement confirmée.Affaibli après une grave pneumonie et malgré sa convalescence, le pape avait reçu le roi Charles III début avril et a fait plusieurs apparitions surprises ces derniers jours. Samedi, vers 16H00 GMT, il a ainsi été aperçu sur son fauteuil roulant, saluant des fidèles dans la basilique Saint-Pierre où se tiendra dans la soirée la veillée pascale, selon une vidéo publiée par un journaliste.Fervent catholique, JD Vance s’est entretenu pendant plus d’une heure au palais apostolique avec le cardinal italien Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat et N.2 du Saint-Siège, ainsi que Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États.L’entretien “cordial” a abordé “la situation internationale, en particulier dans les pays marqués par la guerre, les tensions politiques et des situations humanitaires difficiles, avec une attention particulière portée aux migrants, aux réfugiés, aux prisonniers”, a indiqué le Vatican dans un communiqué.En février, le pape François s’était attiré les foudres de la Maison Blanche en condamnant, dans une lettre aux évêques américains, les expulsions massives de migrants voulues par Donald Trump, qualifiées de “crise majeure”.”Ce qui est construit sur le fondement de la force, et non sur la vérité de la dignité égale de tout être humain, commence mal et finira mal”, avait-il prévenu, alors que M. Vance entend faire de son pays une forteresse aux valeurs conservatrices en limitant drastiquement l’immigration.Samedi, “les deux parties (…) ont renouvelé leur engagement commun à protéger le droit à la liberté religieuse et de conscience”, selon le Vatican.Un thème abordé à Munich en février par M. Vance, qui avait dénoncé le “recul” de la “liberté d’expression” sur le Vieux Continent, notamment concernant l’opposition à l’avortement, suscitant la colère de plusieurs dirigeants européens.M. Vance est proche de la frange conservatrice de l’Eglise américaine, très critique envers le pape argentin pour ses positions sur les migrants, les fidèles LGBT+ ou certaines questions de justice sociale.”Les deux parties ont exprimé le souhait d’une collaboration sereine entre l’État et l’Église catholique aux États-Unis, dont le service précieux envers les personnes les plus vulnérables a été reconnu”, a indiqué le Vatican.Les deux parties “ont discuté de leur foi religieuse commune, du catholicisme aux États-Unis, du sort des communautés chrétiennes persécutées dans le monde et de l’engagement du président Trump à restaurer la paix dans le monde”, a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.Arrivé vendredi à Rome pour le weekend pascal, M. Vance a rencontré la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Il s’est ensuite rendu à la basilique Saint-Pierre, accompagné de son épouse Usha et de leurs trois enfants, pour assister à l’office de la Passion du Vendredi saint, qui commémore la mort du Christ sur la Croix.