Fuel to Air India jet engines cut off moments before crash: probe
Fuel control switches to the engines of an Air India flight that crashed shortly after takeoff, killing 260 people, were moved from the “run” to the “cutoff” position moments before impact, a preliminary investigation report said Saturday.The report, issued by India’s Aircraft Accident Investigation Bureau (AAIB), did not offer any conclusions or apportion blame for the June 12 disaster, but indicated that one pilot asked the other why he cut off fuel, and the second pilot responded that he had not.The Boeing 787-8 Dreamliner was headed from Ahmedabad in western India to London when it crashed, killing all but one of the 242 people on board as well as 19 people on the ground.In its 15-page report, the investigation bureau said that once the aircraft achieved its top recorded speed, “the Engine 1 and Engine 2 fuel cutoff switches transitioned from RUN to CUTOFF position one after another with a time gap of 01 sec”.”In the cockpit voice recording, one of the pilots is heard asking the other why did he cutoff. The other pilot responded that he did not do so,” it said.The aircraft quickly began to lose altitude.The switches then returned to the “RUN” position and the engines appeared to be gathering power, but “one of the pilots transmitted ‘MAYDAY MAYDAY MAYDAY'”, the report said.Air traffic controllers asked the pilots what was wrong, but then saw the plane crashing and called emergency personnel to the scene.- Investigation ongoing -Civil aviation minister Ram Mohan Naidu Kinjarapu told reporters that investigators probed in a “mature, transparent” way.”This is a preliminary report. We want the final report to come in, so let us wait for it,” he said.Earlier this week, specialist website The Air Current, citing multiple sources familiar with the probe, reported it had “narrowed its focus to the movement of the engine fuel switches”, while noting that full analysis will “take months — if not longer”.It added that “the focus of the investigators could change during that time”.The Indian agency’s report said the US Federal Aviation Administration had issued an information bulletin in 2018 about “the potential disengagement of the fuel control switch locking feature”.Though the concern was not considered an “unsafe condition” that would warrant a more serious directive, Air India told investigators it did not carry out suggested inspections as they were “advisory and not mandatory”.Air India was compliant with all airworthiness directives and alert service bulletins on the aircraft, the report said.The investigations bureau said there were “no recommended actions to B787-8 and/or GE GEnx-1B engine operators and manufacturers”, suggesting no technical issues with the engines (GE) or the aircraft (Boeing).The bureau said the investigation was ongoing, and that additional evidence and information had been “sought from the stakeholders”.Boeing said in a statement it would “continue to support the investigation and our customer”, adding “our thoughts remain” with those affected by the disaster.Air India said it was “working closely with stakeholders, including regulators.” “We continue to fully cooperate with the AAIB and other authorities as their investigation progresses,” it said in a statement on X. The UN’s International Civil Aviation Organization (ICAO) stipulates that states heading an investigation must submit a preliminary report within 30 days of an accident.US and British air accident investigators have taken part in the probe.Suresh Mistry, who lost his daughter Kinal in the crash, told AFP his family was still coming to terms with the loss.”How is possible that there is an internal issue with the flight and nobody knew? Even cars these days indicate when there is a problem. How does it not happen on flights?” he said.Imtiyaz Ali, whose brother was killed along with his wife and two children, said the preliminary report took “nothing forward” for him.”And (it) is not even close to a closure,” he said. “It feels like we are at the same spot, where we were a month ago when the crash happened.”The plane was carrying 230 passengers — 169 Indians, 53 British, seven Portuguese and a Canadian — and 12 crew.Dozens of people on the ground were injured. One passenger miraculously survived, a British citizen who was seen walking out of the wreckage of the crash, and who has since been discharged from hospital.Health officials in the Indian state of Gujarat initially said at least 279 people were killed, but forensic scientists reduced the figure after multiple scattered and badly burnt remains were identified.
Indépendantistes et loyalistes signent un accord actant un “Etat de la Nouvelle-Calédonie”
Les forces politiques calédoniennes, réunies depuis dix jours près de Paris pour tenter de tracer un avenir institutionnel au territoire, ont signé samedi matin un accord “historique” actant notamment un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution.Ce “projet d’accord” doit encore être entériné en Nouvelle-Calédonie après consultation interne des partis et mouvements l’ayant signé. Participaient à ces négociations à Bougival (Yvelines) toutes les forces politiques du Congrès calédonien: Union calédonienne et UNI-Palika pour les indépendantistes, Loyalistes et Rassemblement-LR pour les non-indépendantistes, Calédonie ensemble et Éveil océanien au centre.Le président Emmanuel Macron a salué un “accord historique” actant un “Etat de Nouvelle-Calédonie”, une victoire du “pari de la confiance”, et annoncé qu’il recevrait à 18H00 les négociateurs.François Bayrou a exprimé sa “fierté d’un accord à hauteur d’Histoire”. “Honneur au courageux négociateurs, merci à M. (Manuel) Valls”, le ministre des Outre-mer, ajoute sur X le chef du gouvernement.- “Rien n’est gagné” -Dans une réaction transmise à l’AFP, M. Valls salue lui “le choix du courage et de la responsabilité” des responsables calédoniens.Lors d’un échange avec la presse, l’ex-Premier ministre a ensuite évoqué un “compromis intelligent” et “historique”, soulignant que l’accord acte un “Etat de la Nouvelle-Calédonie dans l’ensemble français”, un lien avec la France “maintenu” avec “davantage de souveraineté pour la Calédonie” et un socle de “reconstruction politique, économique et sociale”, rendu nécessaire par les émeutes de 2024.”Mais rien n’est gagné”, prévient-il, appelant à “convaincre les Calédoniens”.Dans un communiqué, les Loyalistes et le Rassemblement-LR se félicitent eux d'”un accord historique” en mesure “d’instaurer une nouvelle ère de stabilité”, soulignant notamment que l’accord permettra “la réouverture du corps électoral à de nombreux Calédoniens”.Un des points de l’accord stipule que le corps électoral local sera ouvert aux résidents en Nouvelle-Calédonie depuis au moins dix ans à partir des élections provinciales de 2031, alors que la réforme du corps électoral avait été à l’origine des émeutes de mai 2024, qui ont fait 14 morts.Ils se félicitent aussi que “ce choix respecte la volonté souveraine exprimée par les Calédoniens” lors des trois référendums d’indépendance de 2018, 2020 et 2021 et évoquent des “concessions” nécessaires, avec “la transformation de la collectivité Nouvelle-Calédonie en Etat intégré dans l’ensemble national”.”Un statut dans la France. Avec des Calédoniens qui restent Français. Plus aucun référendum en vue si ce n’est celui qui sera organisé pour valider cet accord. Une ouverture du corps électoral”, a déclaré le député non indépendantiste Nicolas Metzdorf auprès de l’AFP. – Nationalité calédonienne -Intitulé le “pari de la confiance”, les 13 pages du projet d’accord, consulté par l’AFP, actent la création d’une nationalité calédonienne, les habitants répondant aux critères de citoyenneté du Caillou bénéficiant de la double nationalité française et calédonienne.Un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution de la République française sera créé, qui pourra être reconnu par la communauté internationale, souligne l’accord. Cela ne signifie pas que la Nouvelle-Calédonie disposera d’un siège à l’ONU.L’accord aborde l’économie avec un futur “pacte de refondation économique et financière” qui prévoit notamment un “plan stratégique” pour le nickel, ressource-clé du territoire, mais reste vague dans les ambitions et les termes.Une fois validé par les “bases” en Nouvelle-Calédonie, le texte prévoit d’abord l’adoption à l’automne d’une loi organique reportant les élections provinciales – déterminantes pour la composition du Congrès et du gouvernement local – à juin 2026.Suivra un projet de loi constitutionnelle, modifiant le titre XIII de la Constitution relatif à la Nouvelle-Calédonie, qui devra être adopté par le Parlement réuni en Congrès. Les Calédoniens seront ensuite appelés à se prononcer sur l’accord lors d’un référendum, prévu en février 2026.La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a salué un moment où “chacun a su se hisser à la hauteur de l’Histoire, renouer le dialogue et aboutir à un accord historique”, estimant que “l’espoir renaît pour la Nouvelle-Calédonie”.”Il sera essentiel d’analyser les conséquences sur le statut constitutionnel de la France et de ses principes profondément bouleversés par ces dispositions”, prévient sur X Jean-Luc Mélenchon, leader de la France insoumise.
Indépendantistes et loyalistes signent un accord actant un “Etat de la Nouvelle-Calédonie”
Les forces politiques calédoniennes, réunies depuis dix jours près de Paris pour tenter de tracer un avenir institutionnel au territoire, ont signé samedi matin un accord “historique” actant notamment un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution.Ce “projet d’accord” doit encore être entériné en Nouvelle-Calédonie après consultation interne des partis et mouvements l’ayant signé. Participaient à ces négociations à Bougival (Yvelines) toutes les forces politiques du Congrès calédonien: Union calédonienne et UNI-Palika pour les indépendantistes, Loyalistes et Rassemblement-LR pour les non-indépendantistes, Calédonie ensemble et Éveil océanien au centre.Le président Emmanuel Macron a salué un “accord historique” actant un “Etat de Nouvelle-Calédonie”, une victoire du “pari de la confiance”, et annoncé qu’il recevrait à 18H00 les négociateurs.François Bayrou a exprimé sa “fierté d’un accord à hauteur d’Histoire”. “Honneur au courageux négociateurs, merci à M. (Manuel) Valls”, le ministre des Outre-mer, ajoute sur X le chef du gouvernement.- “Rien n’est gagné” -Dans une réaction transmise à l’AFP, M. Valls salue lui “le choix du courage et de la responsabilité” des responsables calédoniens.Lors d’un échange avec la presse, l’ex-Premier ministre a ensuite évoqué un “compromis intelligent” et “historique”, soulignant que l’accord acte un “Etat de la Nouvelle-Calédonie dans l’ensemble français”, un lien avec la France “maintenu” avec “davantage de souveraineté pour la Calédonie” et un socle de “reconstruction politique, économique et sociale”, rendu nécessaire par les émeutes de 2024.”Mais rien n’est gagné”, prévient-il, appelant à “convaincre les Calédoniens”.Dans un communiqué, les Loyalistes et le Rassemblement-LR se félicitent eux d'”un accord historique” en mesure “d’instaurer une nouvelle ère de stabilité”, soulignant notamment que l’accord permettra “la réouverture du corps électoral à de nombreux Calédoniens”.Un des points de l’accord stipule que le corps électoral local sera ouvert aux résidents en Nouvelle-Calédonie depuis au moins dix ans à partir des élections provinciales de 2031, alors que la réforme du corps électoral avait été à l’origine des émeutes de mai 2024, qui ont fait 14 morts.Ils se félicitent aussi que “ce choix respecte la volonté souveraine exprimée par les Calédoniens” lors des trois référendums d’indépendance de 2018, 2020 et 2021 et évoquent des “concessions” nécessaires, avec “la transformation de la collectivité Nouvelle-Calédonie en Etat intégré dans l’ensemble national”.”Un statut dans la France. Avec des Calédoniens qui restent Français. Plus aucun référendum en vue si ce n’est celui qui sera organisé pour valider cet accord. Une ouverture du corps électoral”, a déclaré le député non indépendantiste Nicolas Metzdorf auprès de l’AFP. – Nationalité calédonienne -Intitulé le “pari de la confiance”, les 13 pages du projet d’accord, consulté par l’AFP, actent la création d’une nationalité calédonienne, les habitants répondant aux critères de citoyenneté du Caillou bénéficiant de la double nationalité française et calédonienne.Un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution de la République française sera créé, qui pourra être reconnu par la communauté internationale, souligne l’accord. Cela ne signifie pas que la Nouvelle-Calédonie disposera d’un siège à l’ONU.L’accord aborde l’économie avec un futur “pacte de refondation économique et financière” qui prévoit notamment un “plan stratégique” pour le nickel, ressource-clé du territoire, mais reste vague dans les ambitions et les termes.Une fois validé par les “bases” en Nouvelle-Calédonie, le texte prévoit d’abord l’adoption à l’automne d’une loi organique reportant les élections provinciales – déterminantes pour la composition du Congrès et du gouvernement local – à juin 2026.Suivra un projet de loi constitutionnelle, modifiant le titre XIII de la Constitution relatif à la Nouvelle-Calédonie, qui devra être adopté par le Parlement réuni en Congrès. Les Calédoniens seront ensuite appelés à se prononcer sur l’accord lors d’un référendum, prévu en février 2026.La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a salué un moment où “chacun a su se hisser à la hauteur de l’Histoire, renouer le dialogue et aboutir à un accord historique”, estimant que “l’espoir renaît pour la Nouvelle-Calédonie”.”Il sera essentiel d’analyser les conséquences sur le statut constitutionnel de la France et de ses principes profondément bouleversés par ces dispositions”, prévient sur X Jean-Luc Mélenchon, leader de la France insoumise.
Mondial des clubs: Fabian Ruiz, lentement mais sûrement
Auteur d’un doublé contre le Real Madrid mercredi, le milieu de terrain du Paris SG Fabian Ruiz est désormais incontournable au cœur de la meilleure équipe actuelle, avant la finale du Mondial des clubs dimanche (21h00) contre Chelsea.A 29 ans, Fabian Ruiz, critiqué il y a encore deux ans pour sa lenteur tant sur le terrain qu’à l’échelle de sa carrière, a atteint la plénitude de ses moyens. Huit buts et 11 passes décisives sur la saison: ces statistiques à elles seules sont ébouriffantes pour un milieu de terrain, elles racontent un joueur déterminé à venir faire la différence aux avant-postes.A cela, Ruiz ajoute une technique soyeuse et une intelligence pour employer les bons types de passes au bon moment.Contre le Real Madrid, l’Espagnol a été tout sauf impressionné par son vis-à-vis Jude Bellingham. Il a marqué deux fois, bien placé après s’être projeté de l’entrejeu vers la surface. Mais Fabian Ruiz a aussi été bluffant dans la régulation du jeu au côté de Vitinha, réussissant 93% de ses 76 passes en 66 minutes de jeu, avant de sortir.C’est son coach Luis Enrique qui est venu lui remettre le trophée d’homme du match en plein interview avec le diffuseur officiel DAZN: “C’est très mérité”, s’est-il exclamé, lui qui est d’habitude avare en compliments individuels.- Ballon d’or ? -Interrogé sur le Ballon d’Or par la presse, Fabian Ruiz a fait mine de s’étonner tout en assumant une certaine ambition: “Chaque fois que je suis nommé pour un prix aussi important que le Ballon d’Or, je suis content d’en faire partie, mais je ne me concentre pas là-dessus parce qu’il y a de très bons candidats et que cela ne dépend pas de moi. J’aimerais pouvoir le gagner, mais je sais que c’est très difficile et ce qui est important, c’est de bien finir la saison avec l’équipe”.Il a ajouté: “C’est vrai que je fais un grand tournoi avec trois buts à mon actif. Si je peux aider l’équipe à gagner dimanche, marquer un but et devenir meilleur buteur (du tournoi, NDLR), eh bien pour moi c’est fantastique”.Le joueur, recruté à Naples en 2022, a pris son temps pour réaliser son potentiel. Il a d’abord peiné à s’imposer au temps des superstars Messi, Neymar et Mbappé, puis sous Luis Enrique, avec la concurrence du jeune Warren Zaïre-Emery. Au début de la saison 2023-24, pendant plusieurs mois, Fabian Ruiz était loin dans la hiérarchie, officiant comme joueur d’appoint pour les matches de Ligue 1.- Combler les espaces -En revanche depuis début 2025, il est devenu indéboulonnable, tout à son aise aux côtés de joueurs aussi travailleurs et discrets que lui. Il s’est appuyé sur le souvenir de son Euro réussi, remporté avec l’Espagne l’été dernier.”Nous on connaît la qualité du joueur, depuis le premier jour, peut-être que les gens ne le voyaient pas à l’extérieur, relate son capitaine Marquinhos. Mais il a une compréhension tactique, des espaces, des mouvements comme très peu de joueurs ont. Il mérite d’être reconnu comme l’un des meilleurs milieux de terrain du monde”.”C’est l’un des rares joueurs qui joue en fonction de ce que font les autres, capable de combler les espaces”, racontait de son côté Luis Enrique en avril, décrivant un joueur “d’expérience”, d’autant plus précieux dans cette jeune équipe. “Il est capable de jouer entre les lignes, d’être bon sans ballon, de créer des occasions, et il a un bon tir”.Sa constance au plus haut niveau ces six derniers mois appelle une confirmation la saison prochaine. En attendant, la valeur de 40 millions d’euros affichée par le site de référence sur le marché des joueurs, Transfermarkt, apparaît bien basse au regard de l’influence de Fabian Ruiz au sein de la meilleure équipe actuelle.
Pakistan won’t send hockey teams to India: govt sources
Pakistan will not travel to India for upcoming hockey tournaments over “security” concerns, government sources told AFP on Saturday, potentially jeopardising their place in next year’s World Cup.The nuclear-armed neighbours traded the worst violence in decades during a four-day conflict in May that killed 70 people. Pakistan was due to participate in the Men’s Asia Cup for field hockey to be hosted by India in August and September, for which the federation had sought the government’s clearance.”After the recent war the security and safety of our hockey players will be at risk,” said a sports ministry source, who asked not to be identified.Pakistan will also not participate in the Junior World Cup in India in November, the source said.Once a force in international hockey, with three Olympic gold medals and four world titles, Pakistan has slumped to 15th in the rankings. Not featuring in the Asia Cup will likely cost Pakistan a place in next year’s senior World Cup to be held in the Netherlands and Belgium.A second government source also confirmed the decision to AFP.Pakistan’s foreign office has not responded to AFP’s request for comment.India stalled all bilateral sporting ties with Pakistan in the wake of the 2008 Mumbai attacks, which it blamed on militants based across the border.Cricket has been the most affected sport, with the two countries only meeting each other in multinational events abroad.India refused to visit Pakistan this year when it hosted the Champions Trophy, forcing the final to be staged on neutral ground in Dubai.In a tit-for-tat move, Pakistan will also not send its women’s cricket team to India for the 50-over World Cup later this year and the T20 World Cup in 2026.They agreed instead to play their matches in Sri Lanka.Pakistan’s hockey team last toured India for the 2023 Asian Champions Trophy, finishing fifth amongst six teams.





