Trump says US ‘talking’ to China on tariffs

President Donald Trump said Thursday that the United States was in talks with China on tariffs, adding that he was confident the world’s largest economies could make a deal to end a bitter trade war.”Yeah, we’re talking to China,” Trump told reporters in the Oval Office. “I would say they have reached out a number of times.”Trump confirmed that the talks had happened since he upped tariffs on China to a whopping 145 percent, after Beijing retaliated to his sweeping “Liberation Day” worldwide levies.But Trump was cagey when asked if he had spoken directly with Chinese President Xi Jinping, despite having dropped several hints in the past that he has.”I’ve never said whether or not they’ve happened,” he said when asked about talks with Xi. “It’s just not appropriate.”Pressed by reporters whether Xi had reached out to him, Trump replied: “You’d think it was pretty obvious that he has, but we will talk about that soon.”Trump’s administration is locked in a war of sky-high reciprocal tariffs with superpower rival China that has unnerved world markets.”I think we’re going to make a very good deal with China,” he said at the White House earlier as Italian Prime Minister Giorgia Meloni visited for talks aimed at ending US tariffs on the European Union.

Salvadoran soldiers stop US senator near prison holding expelled migrant

Salvadoran soldiers on Thursday barred a US senator who is in the country to seek the release of a man wrongfully deported by President Donald Trump’s administration from visiting the prison where he is held.On the second day of his trip to El Salvador, Democratic Senator Chris Van Hollen tried to make his way to the notorious Terrorism Confinement Center (CECOT) outside the capital San Salvador to see Kilmar Abrego Garcia. The car he was traveling in was stopped by soldiers, he said, about three kilometers (1.8 miles) from the complex holding thousands of Salvadoran gangsters, and now also nearly 300 migrants expelled from the United States. “We were told by the soldiers that they had been ordered not to allow us to proceed,” the senator later told reporters. He said the goal had been to check on the health and well-being of Abrego Garcia, who “has had no communication with anybody on the outside,” including his wife and lawyers. He said the man had been “illegally abducted” and was now the subject of “illegal detention” in the same prison built to hold members of gangs who had previously threatened his family.Abrego Garcia, 29, was arrested in Maryland last month and expelled to El Salvador along with 238 Venezuelans and 22 fellow Salvadorans who were deported shortly after Trump invoked a rarely-used wartime authority. Trump administration officials have claimed he is an illegal migrant, a gang member and involved in human trafficking, without providing evidence. Abrego Garcia had enjoyed a protected status in the United States, precluding his deportation to El Salvador for his own safety. A federal judge has since ordered he be returned, but the administration — despite admitting an “administrative error” in his deportation — contends he is now solely in Salvadoran custody. El Salvador’s President Nayib Bukele, who met Trump in Washington on Monday, said he does not have the power to send the man back. – Cots without mattresses -On Wednesday, Van Hollen met Salvadoran Vice President Felix Ulloa, who denied him permission to see the prisoner or even talk to him by telephone. Asked why Abrego Garcia was being held at all, Ulloa told him “that the Trump administration is paying El Salvador, the government of El Salvador, to keep him at CECOT,” the senator recounted.Bukele had built the CECOT to hold gang members rounded up in an iron-fisted anti-crime drive welcomed by most Salvadorans but widely denounced for violating human rights. CECOT inmates are confined to their cells for all but 30 minutes a day, denied visits, forced to sleep on stainless steel cots without mattresses, and subside on a diet of mostly beans and pasta. 

Le boycott des mairies écologistes par Safran relance un débat sur la “réindustrialisation verte”

La décision radicale du patron de Safran de “bannir” tout investissement dans les villes écologistes a ravivé le débat sur la “réindustrialisation verte” de la France, les Ecologistes assumant leur défense d’un développement “durable” tandis que des adversaires politiques tendaient les bras au groupe aéronautique.L’étincelle à l’origine de la polémique est partie lundi d’une déclaration aussi rare que directe du directeur général de Safran : Olivier Andriès, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les freins à la réindustrialisation, a vivement dénoncé les critiques formulées, en février 2024, par des élus écologistes de Rennes contre l’implantation d’une fonderie avec 500 emplois à la clé.”On avait négocié avec la maire socialiste de Rennes, (…) ça s’est très bien passé, et là, les écologistes nous ont jeté des tomates sur le thème: +c’est scandaleux, un groupe vient s’installer, créer de l’emploi, c’est l’aéronautique, c’est l’avion, ils vont polluer, et puis c’est le militaire, c’est pas bien+”, a-t-il déclaré.En conséquence, “pour moi, il n’est plus question aujourd’hui d’investir en France dans une ville qui est détenue par une majorité écologiste”, “chaque fois que l’on aura un choix de localisation, je bannirai une offre faite” par ces mairies, a ajouté le patron du motoriste et équipementier aéronautique français, dont l’Etat détient presque 12%.”Si c’est pour détruire la planète, on a 500 emplois qui vont probablement, derrière, durer un temps très court”, lui a répondu mercredi la députée écologiste Sandrine Rousseau sur BFMTV.”Je suis fier de notre industrie aéronautique française, leader mondial, avec des grands groupes et un tissu de PME d’excellence”, a rétorqué à son tour jeudi soir le ministre de l’Industrie Marc Ferraci.”L’industrie aéronautique a un avenir formidable” et sa décarbonation “est en marche”, a-t-il ajouté dans un réaction transmise à l’AFP.Le site de la fonderie, censé être opérationnel en 2027, doit fournir des aubages de turbine pour les moteurs de Rafale, l’avion de combat français, ou le moteur Leap, qui équipe tous les Boeing 737 MAX et environ 60% des Airbus A320neo.- “Chantage à l’emploi” -“À un an des municipales, cette prise de position très politique d’un industriel nous interroge”, ont réagi Les Ecologistes dans un communiqué jeudi soir.”Le chantage à l’emploi ne fait pas une politique industrielle” et “la question à se poser est donc plutôt de savoir en quoi les emplois créés par Safran seront durables, notamment en cas d’envolée du coût de l’énergie”, se défend le parti.Leurs élus rennais, qui font partie de la majorité municipale conduite par la socialiste Nathalie Appéré, avaient vivement critiqué la décision prise, “dans le dos”, par leurs alliés d’accepter l’implantation de cette usine de Safran sur un terrain racheté par les collectivités locales à Stellantis.”Au regard des urgences climatiques, d’autres solutions, qui étaient à l’étude, notamment avec des PME/PMI du territoire et au-delà, auraient pu être privilégiées”, défend le parti.”La Région ÃŽle-de-France accueillera tous les emplois que Safran souhaitera créer pour ses habitants avec reconnaissance et engagement (à lui simplifier la vie !)”, a opportunément fait valoir sa présidente Valérie Pécresse (LR), dans un message sur X (ex-Twitter). Pour le groupe au 27 milliards d’euros de chiffre d’affaires et aux 100.000 employés, les bras sont ouverts également à Romans-sur-Isère (Drôme), a aussi tweeté la maire de cette commune, Marie-Hélène Thoraval.- “Nativement verte” -Le directeur de Safran “a raison”, a aussi défendu jeudi sur RMC le patron de Bpifrance, Nicolas Dufourcq: “On ne peut pas vouloir à la fois la réindustrialisation (…) et en même temps, poser mille et mille et mille et mille conditions qui font que c’est absolument impossible pour les industriels”.”La réindustrialisation de la France (…) elle est nativement verte” car “ce sont des usines qui sont électrifiées, qui sont conçues pour être décarbonées”, a argué le directeur général de la banque publique d’investissement . “Les Français savent bien que ça suffit, cette situation dans laquelle tout est fabriqué en Chine”.ngu-od-leo-bl/swi

Le boycott des mairies écologistes par Safran relance un débat sur la “réindustrialisation verte”

La décision radicale du patron de Safran de “bannir” tout investissement dans les villes écologistes a ravivé le débat sur la “réindustrialisation verte” de la France, les Ecologistes assumant leur défense d’un développement “durable” tandis que des adversaires politiques tendaient les bras au groupe aéronautique.L’étincelle à l’origine de la polémique est partie lundi d’une déclaration aussi rare que directe du directeur général de Safran : Olivier Andriès, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les freins à la réindustrialisation, a vivement dénoncé les critiques formulées, en février 2024, par des élus écologistes de Rennes contre l’implantation d’une fonderie avec 500 emplois à la clé.”On avait négocié avec la maire socialiste de Rennes, (…) ça s’est très bien passé, et là, les écologistes nous ont jeté des tomates sur le thème: +c’est scandaleux, un groupe vient s’installer, créer de l’emploi, c’est l’aéronautique, c’est l’avion, ils vont polluer, et puis c’est le militaire, c’est pas bien+”, a-t-il déclaré.En conséquence, “pour moi, il n’est plus question aujourd’hui d’investir en France dans une ville qui est détenue par une majorité écologiste”, “chaque fois que l’on aura un choix de localisation, je bannirai une offre faite” par ces mairies, a ajouté le patron du motoriste et équipementier aéronautique français, dont l’Etat détient presque 12%.”Si c’est pour détruire la planète, on a 500 emplois qui vont probablement, derrière, durer un temps très court”, lui a répondu mercredi la députée écologiste Sandrine Rousseau sur BFMTV.”Je suis fier de notre industrie aéronautique française, leader mondial, avec des grands groupes et un tissu de PME d’excellence”, a rétorqué à son tour jeudi soir le ministre de l’Industrie Marc Ferraci.”L’industrie aéronautique a un avenir formidable” et sa décarbonation “est en marche”, a-t-il ajouté dans un réaction transmise à l’AFP.Le site de la fonderie, censé être opérationnel en 2027, doit fournir des aubages de turbine pour les moteurs de Rafale, l’avion de combat français, ou le moteur Leap, qui équipe tous les Boeing 737 MAX et environ 60% des Airbus A320neo.- “Chantage à l’emploi” -“À un an des municipales, cette prise de position très politique d’un industriel nous interroge”, ont réagi Les Ecologistes dans un communiqué jeudi soir.”Le chantage à l’emploi ne fait pas une politique industrielle” et “la question à se poser est donc plutôt de savoir en quoi les emplois créés par Safran seront durables, notamment en cas d’envolée du coût de l’énergie”, se défend le parti.Leurs élus rennais, qui font partie de la majorité municipale conduite par la socialiste Nathalie Appéré, avaient vivement critiqué la décision prise, “dans le dos”, par leurs alliés d’accepter l’implantation de cette usine de Safran sur un terrain racheté par les collectivités locales à Stellantis.”Au regard des urgences climatiques, d’autres solutions, qui étaient à l’étude, notamment avec des PME/PMI du territoire et au-delà, auraient pu être privilégiées”, défend le parti.”La Région ÃŽle-de-France accueillera tous les emplois que Safran souhaitera créer pour ses habitants avec reconnaissance et engagement (à lui simplifier la vie !)”, a opportunément fait valoir sa présidente Valérie Pécresse (LR), dans un message sur X (ex-Twitter). Pour le groupe au 27 milliards d’euros de chiffre d’affaires et aux 100.000 employés, les bras sont ouverts également à Romans-sur-Isère (Drôme), a aussi tweeté la maire de cette commune, Marie-Hélène Thoraval.- “Nativement verte” -Le directeur de Safran “a raison”, a aussi défendu jeudi sur RMC le patron de Bpifrance, Nicolas Dufourcq: “On ne peut pas vouloir à la fois la réindustrialisation (…) et en même temps, poser mille et mille et mille et mille conditions qui font que c’est absolument impossible pour les industriels”.”La réindustrialisation de la France (…) elle est nativement verte” car “ce sont des usines qui sont électrifiées, qui sont conçues pour être décarbonées”, a argué le directeur général de la banque publique d’investissement . “Les Français savent bien que ça suffit, cette situation dans laquelle tout est fabriqué en Chine”.ngu-od-leo-bl/swi

Le boycott des mairies écologistes par Safran relance un débat sur la “réindustrialisation verte”

La décision radicale du patron de Safran de “bannir” tout investissement dans les villes écologistes a ravivé le débat sur la “réindustrialisation verte” de la France, les Ecologistes assumant leur défense d’un développement “durable” tandis que des adversaires politiques tendaient les bras au groupe aéronautique.L’étincelle à l’origine de la polémique est partie lundi d’une déclaration aussi rare que directe du directeur général de Safran : Olivier Andriès, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les freins à la réindustrialisation, a vivement dénoncé les critiques formulées, en février 2024, par des élus écologistes de Rennes contre l’implantation d’une fonderie avec 500 emplois à la clé.”On avait négocié avec la maire socialiste de Rennes, (…) ça s’est très bien passé, et là, les écologistes nous ont jeté des tomates sur le thème: +c’est scandaleux, un groupe vient s’installer, créer de l’emploi, c’est l’aéronautique, c’est l’avion, ils vont polluer, et puis c’est le militaire, c’est pas bien+”, a-t-il déclaré.En conséquence, “pour moi, il n’est plus question aujourd’hui d’investir en France dans une ville qui est détenue par une majorité écologiste”, “chaque fois que l’on aura un choix de localisation, je bannirai une offre faite” par ces mairies, a ajouté le patron du motoriste et équipementier aéronautique français, dont l’Etat détient presque 12%.”Si c’est pour détruire la planète, on a 500 emplois qui vont probablement, derrière, durer un temps très court”, lui a répondu mercredi la députée écologiste Sandrine Rousseau sur BFMTV.”Je suis fier de notre industrie aéronautique française, leader mondial, avec des grands groupes et un tissu de PME d’excellence”, a rétorqué à son tour jeudi soir le ministre de l’Industrie Marc Ferraci.”L’industrie aéronautique a un avenir formidable” et sa décarbonation “est en marche”, a-t-il ajouté dans un réaction transmise à l’AFP.Le site de la fonderie, censé être opérationnel en 2027, doit fournir des aubages de turbine pour les moteurs de Rafale, l’avion de combat français, ou le moteur Leap, qui équipe tous les Boeing 737 MAX et environ 60% des Airbus A320neo.- “Chantage à l’emploi” -“À un an des municipales, cette prise de position très politique d’un industriel nous interroge”, ont réagi Les Ecologistes dans un communiqué jeudi soir.”Le chantage à l’emploi ne fait pas une politique industrielle” et “la question à se poser est donc plutôt de savoir en quoi les emplois créés par Safran seront durables, notamment en cas d’envolée du coût de l’énergie”, se défend le parti.Leurs élus rennais, qui font partie de la majorité municipale conduite par la socialiste Nathalie Appéré, avaient vivement critiqué la décision prise, “dans le dos”, par leurs alliés d’accepter l’implantation de cette usine de Safran sur un terrain racheté par les collectivités locales à Stellantis.”Au regard des urgences climatiques, d’autres solutions, qui étaient à l’étude, notamment avec des PME/PMI du territoire et au-delà, auraient pu être privilégiées”, défend le parti.”La Région ÃŽle-de-France accueillera tous les emplois que Safran souhaitera créer pour ses habitants avec reconnaissance et engagement (à lui simplifier la vie !)”, a opportunément fait valoir sa présidente Valérie Pécresse (LR), dans un message sur X (ex-Twitter). Pour le groupe au 27 milliards d’euros de chiffre d’affaires et aux 100.000 employés, les bras sont ouverts également à Romans-sur-Isère (Drôme), a aussi tweeté la maire de cette commune, Marie-Hélène Thoraval.- “Nativement verte” -Le directeur de Safran “a raison”, a aussi défendu jeudi sur RMC le patron de Bpifrance, Nicolas Dufourcq: “On ne peut pas vouloir à la fois la réindustrialisation (…) et en même temps, poser mille et mille et mille et mille conditions qui font que c’est absolument impossible pour les industriels”.”La réindustrialisation de la France (…) elle est nativement verte” car “ce sont des usines qui sont électrifiées, qui sont conçues pour être décarbonées”, a argué le directeur général de la banque publique d’investissement . “Les Français savent bien que ça suffit, cette situation dans laquelle tout est fabriqué en Chine”.ngu-od-leo-bl/swi

Stocks waver as ECB cuts rate, Trump slams Fed chief

Stock markets wavered Thursday despite another interest rate cut by the European Central Bank as investors remain on edge over the fallout from President Donald Trump’s tariffs blitz.In New York, the Dow and the tech-heavy Nasdaq extended losses while the broad-based S&P 500 edged up.Wall Street had slumped on Wednesday as Federal Reserve chief Jerome Powell warned that Trump’s sweeping tariffs were “highly likely to generate at least a temporary rise in inflation.”He said it could put the US central bank in the unenviable position of having to choose between tackling inflation and unemployment.Trump hit back Thursday, slamming Powell for not lowering interest rates as the ECB has done and saying his “termination cannot come fast enough.””All-in-all, the trade news and Powell’s comments provided a tough backdrop for markets,” said a Deutsche Bank analyst note.The Paris and Frankfurt stock exchanges closed in the red ahead of the Easter holiday as the ECB warned that rising trade tensions could weigh on eurozone growth.While Trump’s tariffs have increased the risk that growth could slow in the eurozone, ECB President Christine Lagarde said their impact on inflation was “less than clear.”The ECB decided to lower interest rates by a quarter point to 2.25 percent, the sixth consecutive time it has moved to ease borrowing costs.Trump imposed 10 percent tariffs on all imports this month, although he suspended higher duties on dozens of nations for 90 days. He has also placed 25 percent levies on imported steel, aluminium and cars.Shares in French luxury giant Hermes fell more than three percent after the Birkin handbag maker said it would raise prices at its US stores to offset the tariff impact.Elsewhere, the London stock exchange finished flat.- ‘Big Progress!’ -Investors found solace in Trump declaring “Big Progress!” in tariff negotiations with Japan, with Tokyo leading Asian stocks higher.Tokyo’s envoy Ryosei Akazawa said: “I understand that the US wants to make a deal within the 90 days. For our part, we want to do it as soon as possible.”With Japanese companies the biggest investors into the United States, Tokyo’s negotiations are of particular interest to markets.While Japan’s Prime Minister Shigeru Ishiba warned that the talks “won’t be easy”, he said the president had “expressed his desire to give the negotiations… the highest priority.”Elsewhere, safe-haven investment gold hit a fresh record above $3,357.78 an ounce before paring back gains, while the dollar and oil prices firmed.Hopes that Trump’s blistering tariffs could be pared back have helped temper some of the disquiet on markets after a rout at the start of the month fuelled by talk of a global recession and an upending of historic trading norms.”But don’t get carried away — the market remains jittery,” said Fawad Razaqzada, market analyst at City Index and Forex.com.- Key figures at 2030 GMT -New York – Dow: DOWN 1.3 percent at 39,142.23 points (close)New York – S&P 500: UP 0.1 percent at 5,282.70 (close)New York – Nasdaq: DOWN 0.1 percent at 16,286.45 (close)London – FTSE 100: FLAT at 8,275.66 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,285.86 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.5 percent at 21,205.86 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.4 percent at 34,377.60 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 21,395.14 (close)Shanghai – Composite: UP 0.1 percent at 3,280.34 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1370 from $1.1395 on WednesdayPound/dollar: UP $1.3268 at $1.3235Dollar/yen: UP at 142.39 yen from 142.12 yen Euro/pound: DOWN at 85.67 pence from 86.06 penceBrent North Sea Crude: UP 3.2 percent at $67.96 per barrelWest Texas Intermediate: UP 3.5 percent at $64.68 per barreldan-bcp-lth-bys/tgb

Wall Street termine en ordre dispersé, à l’issue d’une séance en dents de scie

La Bourse de New York a terminé sans direction claire, à l’issue d’une séance volatile, et en l’absence de développements majeurs sur la guerre commerciale lancée par les Etats-Unis, l’indice Dow Jones ayant pour sa part accusé le coup face au plongeon de l’assureur santé UnitedHealth.Le Dow Jones a lâché 1,33%, l’indice Nasdaq s’est effrité de 0,13% et l’indice élargi S&P 500 a grappillé 0,13%.C’était “essentiellement une journée calme”, résume auprès de l’AFP Peter Cardillo, de Spartan Capital Securities.En raison du week-end pascal, la Bourse de New York sera fermée vendredi, comme la majorité des places mondiales. Lors des semaines raccourcies, les volumes d’échanges tendent à être plus faibles, pouvant ainsi favoriser la volatilité.”Nous n’avons pas entendu grand-chose de Washington ou de la Chine concernant de nouveaux développements dans la guerre commerciale”, explique M. Cardillo.De fait, “le marché est clairement dans l’expectative” en ce qui concerne les droits de douane, détaille auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management. “La Maison Blanche tente d’être optimiste quant à de possibles accords”, ajoute l’analyste.Donald Trump s’est dit sûr “à 100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’Union européenne sera conclu, en recevant jeudi la dirigeante italienne Giorgia Meloni, pressée par Bruxelles de parler au nom des Vingt-Sept.La présidente du Conseil italien a parlé d’une même voix au début de la rencontre à Washington, se disant elle aussi “certaine” qu’un accord sera trouvé.Par ailleurs, Tokyo a entamé mercredi à Washington des négociations sur les massives surtaxes douanières imposées par les Etats-Unis, et réclame un accord “au plus vite”, avant la fin du délai de 90 jours que Donald Trump a accordé la semaine dernière au monde entier sur les droits de douane “réciproques”, à l’exception de la Chine.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans s’est tendu à 4,32% contre 4,28% la veille en clôture.”Le marché s’est plutôt concentré sur les informations relatives aux entreprises”, selon M. Hogan.Au tableau des valeurs, l’assureur santé UnitedHealth – pondération la plus importante du Dow Jones – a entraîné l’indice historique de la place américaine dans le rouge. Le groupe a plongé de 22,38% après avoir annoncé un abaissement surprise de ses prévisions pour l’exercice en cours, face à une hausse de ses coûts. Au premier trimestre, l’entreprise a fait moins bien qu’attendu par les analystes, avec notamment un bénéfice net par action de 7,20 dollars. D’autres noms du secteur ont emboîté le pas de UnitedHealth, à l’instar de Humana (-7,40%) ou d’Elevance Health (-2,42%).Ailleurs à la cote, le laboratoire américain Eli Lilly, qui fabrique notamment les traitements anti-obésité Zepbound et Mounjaro, a brillé (+14,30%) après avoir dévoilé des résultats encourageants d’essais cliniques pour une nouvelle pilule anti-obésité.Novo Nordisk, connu pour Ozempic et Wegovy, ses traitements pour le diabète et la perte de poids a en revanche terminé en baisse (-7,54%).Alphabet – maison mère de Google – a perdu du terrain (-1,38%) après qu’une juge fédérale américaine a conclu que Google avait monopolisé le marché de la publicité sur internet, estimant que le géant américain des technologies avait “sciemment entrepris une série d’actions anticoncurrentielles” et avait causé des “dommages importants” à ses clients. Google a indiqué avoir l’intention de faire appel de cette décision rendue publique jeudi.Le loueur de véhicules Hertz a été propulsé pour la deuxième séance consécutive (+43,87%) après que le fonds de l’investisseur activiste Bill Ackman a racheté 12,7 millions d’actions du groupe, soit une part d’environ 4% du capital. Selon le média américain CNBC, le fonds est désormais le deuxième plus gros actionnaire du loueur, avec une participation totale d’environ 19%.