Stocks fall as Trump ramps up tariff threats

European and US stock markets retreated Friday as US President Donald Trump ramped up his trade offensive, threatening a 35-percent levy on Canada.Trump dampened earlier optimism by firing off more than 20 letters to governments outlining new tariffs if agreements are not reached by August 1.Bitcoin meanwhile pushed on with its climb, reaching an all-time high above $118,000.The dollar was higher against its main rivals, and oil prices gained.Wall Street’s three main indices fell, with both the S&P 500 and Nasdaq retreating from records.But the pullback was relatively modest, implying that many investors are taking a wait-and-see approach to Trump’s latest tariff broadsides.”We have yet to see new substantial tariffs actually be enforced,” said Adam Sarhan of 50 Park Investments, describing investors as skeptical the biggest levies will actually be enacted.A note from Oxford Economics characterized Trump’s moves as “more tariff theatrics,” while allowing that the levy on Canada produced “jitters.”In Europe, where investors were awaiting news of Trump’s new tariff level targeting the European Union, the Paris stock market dropped 0.9 percent and Frankfurt 0.8 percent.”The fallout hasn’t been more pronounced because the market still continues to view all of this as a point of negotiating leverage,” said analyst Patrick O’Hare of Briefing.com.Trump dialed up his trade war rhetoric Thursday, warning that Canada faced a 35-percent tax, while other countries would be handed blanket tariffs of up to 20 percent, from the current 10 percent.That came after he outlined plans to impose 50-percent tariffs on copper imports, while threatening 200-percent levies on pharmaceuticals, and hit Brazil with a new 50-percent charge.The moves are the latest by the White House in a campaign it says is aimed at ending decades of the United States being “ripped off”.Trump’s initial bombshell tariffs announcement in April sent markets into turmoil until he paused them for three months, and the latest measures have had less impact.London’s FTSE 100 and the pound retreated after data showed the UK economy unexpectedly shrank in May — its second consecutive monthly decline.That followed a mixed session in Asia, where Hong Kong rose, Tokyo fell and Shanghai flattened by the close.Shares in BP jumped 3.4 percent in London after the energy giant said it expected to report higher oil and gas production for its second quarter.Levi Strauss & Co. shot up 11.3 percent after reporting higher profits on a 6.4 percent rise in revenues. The denim company scored especially solid growth in the Americas and Europe.- Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: DOWN 0.6 percent at 44,371.51 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.3 percent at 6,259.75 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.2 percent at 20,585.53 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.4 percent at 8,941.12 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.9 percent at 7,829.29 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.8 percent at 24,255.31 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.2 percent at 39,569.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.5 percent at 24,139.57 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,510.18 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1690 from $1.1701 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3497 from $1.3579Dollar/yen: UP at 147.38 yen from 146.26 yenEuro/pound: UP at 86.59 pence from 86.16 penceBrent North Sea Crude: UP 2.5 percent at $68.64 per barrelWest Texas Intermediate: UP 2.8 percent at $66.57 per barrelburs-jmb/des

“Jamais rien vu de tel”: Trump sur le site d’inondations meurtrières au Texas

Donald Trump s’est rendu vendredi au Texas pour observer les dégâts provoqués par des inondations qui ont fait au moins 120 morts, au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.Arbres déracinés, tracteur renversé, et débris en tous genres: le président américain et son épouse Melania ont pu constater la dévastation, une semaine tout juste après la catastrophe.”Je n’ai jamais rien vu de tel”, a déclaré ensuite le président américain lors d’une table ronde avec les autorités locales.”La dévastation est dure à croire”, a-t-il ajouté, citant “des arbres centenaires qui ont simplement été arrachés du sol”.Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés tandis que les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.- Ressources fédérales -La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l’impact des coupes budgétaires, voulues par l’administration Trump, sur les systèmes d’alerte et de secours.Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s’il avait toujours l’intention de supprimer progressivement l’Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n’était pas le moment d’en parler.Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu’en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas des ressources fédérales.La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l’Etat fédéral “a été rapide et efficace”, a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses. Lors de la table ronde, Donald Trump a dénoncé l’opposition démocrate “qui ne veut faire que critiquer”, mais aussi certaines questions de la presse – qualifiant même une journaliste présente de “malfaisante”.”Tout le monde dans cette salle a fait un boulot incroyable, et les gens le savent”, a-t-il ajouté.- Système d’alerte -Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté vendredi “autour de 4 ou 5 heures du matin” par des appels aux services de secours.Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l’envoi d’alertes “code rouge”, un message d’urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.Or d’après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d’attendre, le temps d’obtenir l’autorisation d’un supérieur.Les alertes “code rouge” auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6H du matin, et le message a mis jusqu’à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.Donald Trump a lui assuré vendredi que “le gouverneur et tout le monde” travaillaient désormais à concevoir un meilleur système d’alerte. “Ils vont trouver quelque chose”, a-t-il affirmé.Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes. 

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

“Jamais rien vu de tel”: Trump sur le site d’inondations meurtrières au Texas

Donald Trump s’est rendu vendredi au Texas pour observer les dégâts provoqués par des inondations qui ont fait au moins 120 morts, au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.Arbres déracinés, tracteur renversé, et débris en tous genres: le président américain et son épouse Melania ont pu constater la dévastation, une semaine tout juste après la catastrophe.”Je n’ai jamais rien vu de tel”, a déclaré ensuite le président américain lors d’une table ronde avec les autorités locales.”La dévastation est dure à croire”, a-t-il ajouté, citant “des arbres centenaires qui ont simplement été arrachés du sol”.Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés tandis que les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.- Ressources fédérales -La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l’impact des coupes budgétaires, voulues par l’administration Trump, sur les systèmes d’alerte et de secours.Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s’il avait toujours l’intention de supprimer progressivement l’Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n’était pas le moment d’en parler.Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu’en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas des ressources fédérales.La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l’Etat fédéral “a été rapide et efficace”, a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses. Lors de la table ronde, Donald Trump a dénoncé l’opposition démocrate “qui ne veut faire que critiquer”, mais aussi certaines questions de la presse – qualifiant même une journaliste présente de “malfaisante”.”Tout le monde dans cette salle a fait un boulot incroyable, et les gens le savent”, a-t-il ajouté.- Système d’alerte -Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté vendredi “autour de 4 ou 5 heures du matin” par des appels aux services de secours.Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l’envoi d’alertes “code rouge”, un message d’urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.Or d’après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d’attendre, le temps d’obtenir l’autorisation d’un supérieur.Les alertes “code rouge” auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6H du matin, et le message a mis jusqu’à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.Donald Trump a lui assuré vendredi que “le gouverneur et tout le monde” travaillaient désormais à concevoir un meilleur système d’alerte. “Ils vont trouver quelque chose”, a-t-il affirmé.Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes. 

“Jamais rien vu de tel”: Trump sur le site d’inondations meurtrières au Texas

Donald Trump s’est rendu vendredi au Texas pour observer les dégâts provoqués par des inondations qui ont fait au moins 120 morts, au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.Arbres déracinés, tracteur renversé, et débris en tous genres: le président américain et son épouse Melania ont pu constater la dévastation, une semaine tout juste après la catastrophe.”Je n’ai jamais rien vu de tel”, a déclaré ensuite le président américain lors d’une table ronde avec les autorités locales.”La dévastation est dure à croire”, a-t-il ajouté, citant “des arbres centenaires qui ont simplement été arrachés du sol”.Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés tandis que les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.- Ressources fédérales -La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l’impact des coupes budgétaires, voulues par l’administration Trump, sur les systèmes d’alerte et de secours.Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s’il avait toujours l’intention de supprimer progressivement l’Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n’était pas le moment d’en parler.Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu’en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas des ressources fédérales.La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l’Etat fédéral “a été rapide et efficace”, a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses. Lors de la table ronde, Donald Trump a dénoncé l’opposition démocrate “qui ne veut faire que critiquer”, mais aussi certaines questions de la presse – qualifiant même une journaliste présente de “malfaisante”.”Tout le monde dans cette salle a fait un boulot incroyable, et les gens le savent”, a-t-il ajouté.- Système d’alerte -Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté vendredi “autour de 4 ou 5 heures du matin” par des appels aux services de secours.Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l’envoi d’alertes “code rouge”, un message d’urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.Or d’après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d’attendre, le temps d’obtenir l’autorisation d’un supérieur.Les alertes “code rouge” auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6H du matin, et le message a mis jusqu’à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.Donald Trump a lui assuré vendredi que “le gouverneur et tout le monde” travaillaient désormais à concevoir un meilleur système d’alerte. “Ils vont trouver quelque chose”, a-t-il affirmé.Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes. 

Wall Street en baisse, n’échappe plus aux craintes commerciales

La Bourse de New York a terminé la semaine dans le rouge vendredi, laissant entrevoir ses craintes face aux multiples menaces douanières de Donald Trump, dont celles visant le Canada.Le Dow Jones a perdu 0,63%, l’indice Nasdaq 0,22% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 0,33%.”Une nouvelle série de menaces de droits de douane de la part du président Trump pèse sur l’appétit pour le risque à la fin de la semaine, alors que les actions redescendent des nouveaux records atteints lors des échanges d’hier”, résume Jose Torres, d’Interactive Brokers.Le président américain Donald Trump a de nouveau ciblé jeudi le Canada, en lui imposant 35% de surtaxe, l’un des taux les plus élevés annoncés depuis le début de la semaine, reprochant au deuxième partenaire commercial des Etats-Unis d’avoir riposté à ses droits de douane.Depuis le début de la semaine, une vingtaine de pays, principalement asiatiques, ont déjà reçu un courrier visant à leur notifier le taux de surtaxe qui sera appliqué à leurs produits à compter du 1er août.Interrogé par l’AFP, Adam Sarhan, de 50 Park Investments, estime que la réaction du marche reste “vraiment haussière”, malgré le recul observé vendredi.Le Nasdaq et le S&P 500 ont tous deux réalisé plusieurs records en clôture ces derniers jours.”Nous n’avons pas encore vu de nouveaux droits de douane substantiels être effectivement appliqués”, explique-t-il.Les investisseurs attendent également le sort qui sera réservé à plusieurs puissances, dont l’Inde et l’Union européenne.Pour la semaine à venir, “une longue liste de données importantes” pourra donner une direction au marché, prévient Jose Torres.Les acteurs de marché attendent notamment les chiffres de l’inflation côté consommateur (CPI) et producteur (PPI) la semaine prochaine. Un nouvel indicateur concernant la confiance des consommateurs sera aussi publié.”Les économistes et les investisseurs surveilleront de près si les droits de douane imposés par Trump se répercutent sur la chaîne d’approvisionnement ou les rayons des magasins, et utiliseront ces informations pour évaluer le rythme auquel la Fed descend les marches de l’escalier de la politique monétaire”, anticipe M. Torres.La grande majorité des investisseurs estiment que la banque centrale américaine va maintenir ses taux à ce niveau à l’issue de sa prochaine réunion, selon l’indicateur publié par CME, FedWatch.Mais ils sont de moins en moins à anticiper une baisse de taux en septembre.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt américain à dix ans se tendait nettement à 4,42%, contre 4,35% la veille en clôture.Au tableau des valeurs, le fabricant de jeans Levi Strauss (+11,25% à 21,95 dollars) a bondi, porté par des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, notamment un bénéfice net par action de 22 cents là où les analystes tablaient sur 13 cents. L’entreprise a aussi relevé ses prévisions pour l’année.L’entreprise Strategy (+3,04% à 434,58 dollars) plus grand détenteur privé de bitcoins, a profité du niveau record de la plus capitalisée des cryptomonnaies.Le géant pétrolier britannique BP a gagné 3,55% à 32,64 dollars, après avoir annoncé s’attendre à une hausse de la production et à de meilleures performances dans le raffinage et le commerce pétrolier.Les compagnies aériennes ont perdu du terrain, après avoir profité des bons résultats de Delta Air Lines jeudi. American Airlines a lâché 5,56% à 12,22 dollars, United Airlines a perdu 4,34% à 87,89 dollars et Delta a limité la casse, lâchant 0,23% à 56,65 dollars.

Son of Mexico’s ‘El Chapo’ pleads guilty in US drugs case: report

A son of Mexican drug kingpin Joaquin “El Chapo” Guzman pleaded guilty to narcotics charges in a Chicago court Friday, US media said, part of a deal he struck with prosecutors in return for a reduced sentence.Nicknamed “El Raton,” or “The Mouse,” Ovidio Guzman signed a deal dated June 30 indicating he would enter a guilty plea to avoid a jury trial and a potentially harsher sentence had he been convicted.The guilty plea was formalized during a hearing in a Chicago court after months of negotiation with the justice department — the first time one of El Chapo’s sons has inked a deal with prosecutors. Ovidio Guzman, 35, is accused of conspiring in a continuing criminal enterprise, importing and distributing fentanyl, laundering money, and using firearms.His formal guilty plea, reported by the local CBS2 broadcaster, will likely result in a far shorter prison term than the life sentence given to his father El Chapo following a high-profile trial held in 2018.He could offer US authorities “valuable information” about the cartel and its protectors, Mike Vigil, former head of operations for the Drug Enforcement Administration, told AFP.His lawyers and prosecutors did not respond to requests for comment.Ovidio Guzman gained prominence in October 2019 when Mexican authorities detained him — only to release him later on orders from then president Andres Manuel Lopez Obrador amid a standoff between law enforcement and gang members.Ovidio Guzman was recaptured in January 2023, while Lopez Obrador was still in office, and later extradited to the United States.US authorities accuse Ovidio and his three brothers of leading Los Chapitos, a faction of the Sinaloa Cartel designated by the administration of US President Donald Trump as a global “terrorist” organization. His father, one of the world’s most infamous drug traffickers, is serving a life sentence in a US prison.The United States alleges Ovidio Guzman and his associates trafficked fentanyl into the country, where the opioid epidemic is linked to tens of thousands of deaths.The Sinaloa cartel is one of six Mexican drug trafficking groups that Trump has designated as terrorist organizations.Another son, Joaquin Guzman Lopez, was arrested after arriving in the United States last July on a private plane with cartel co-founder Ismael “El Mayo” Zambada, who claimed he had been kidnapped.The arrests sparked cartel infighting that has left more than 1,200 people dead and 1,400 missing in Sinaloa state, located in northwestern Mexico.In its aggressive policy against drug cartels, the Trump administration announced additional sanctions against Los Chapitos in June for fentanyl trafficking and increased the reward to $10 million for each of the fugitive brothers.

US State Department begins laying off more than 1,300 employees

The US State Department began laying off more than 1,300 employees on Friday as part of President Donald Trump’s campaign to massively downsize the federal government workforce.A State Department official said 1,107 members of the civil service and 246 Foreign Service employees were being informed that they were being fired.The layoffs at the department come three days after the Supreme Court cleared the way for the Trump administration to begin carrying out mass firings of federal workers.The conservative-dominated top court lifted a temporary block imposed by a lower court on Trump’s plans to potentially lay off tens of thousands of government employees.The American Foreign Service Association (AFSA) condemned the State Department layoffs, calling them “a catastrophic blow to our national interests.””At a moment of great global instability — with war raging in Ukraine, conflict between Israel and Iran, and authoritarian regimes testing the boundaries of international order — the United States has chosen to gut its frontline diplomatic workforce,” AFSA said in a statement.”We oppose this decision in the strongest terms.”The State Department employed over 80,000 people worldwide last year, according to a fact sheet, with around 17,700 in domestic roles.US Secretary of State Marco Rubio announced a major restructuring of his department at the end of April, sharing an article on social media site X that suggested plans for cuts to 15 percent of staff.Since returning to the White House, Trump has made reducing the federal workforce one of his main priorities, pursuing drastic cuts to jobs and spending through the so-called Department of Government Efficiency (DOGE) previously headed by Elon Musk.The US Agency for International Development, the primary vehicle to provide US assistance around the world, was among the agencies gutted by DOGE.According to The Washington Post, State Department employees were being informed of their firings by email.Foreign Service officers will lose their jobs 120 days after receiving the notice and will be immediately placed on administrative leave while civil service employees will be separated after 60 days, the newspaper said.Ned Price, who served as State Department spokesman under Democratic former president Joe Biden, condemned the layoffs as haphazard.”For all the talk about ‘merit-based,’ they’re firing officers based on where they happen to be assigned on this arbitrary day,” Price said on X. “It’s the laziest, most inefficient, and most damaging way to lean the workforce.”Former ambassador Barbara Leaf, Biden’s top Middle East diplomat, said the move “will have terrible consequences for our ability to protect American citizens abroad, pursue and defend the national interest and our national security.””This is not a re-org. This is a purge,” Leaf said in a post on LinkedIn.