Dans la course pour 2027, où sont les femmes ?

Édouard Philippe, Bruno Retailleau, Jean-Luc Mélenchon, François Ruffin… si Marine Le Pen ne peut pas se présenter, la présidentielle 2027 sera-t-elle entièrement masculine ? Un “signal fort” que le monde politique “n’a pas beaucoup évolué” en terme d’égalité hommes-femmes, selon des personnalités interrogées par l’AFP. Ils sont sur la ligne de départ, prêts à être désignés par leur camp et ce sont tous des hommes. A l’exception de Yaël Braun-Pivet qui ne cache pas ses ambitions au centre et de Marine Tondelier, seule cheffe de parti, chez les Écologistes qui comptent partir unis avec le reste de la gauche. Et bien sûr de Nathalie Arthaud (LO). Dans le paysage politique que déserterait une Marine Le Pen inéligible en 2027, les premières études sur les cotes de popularité ou d’influence ne font pour l’instant pas grand place aux femmes. La popularité au zénith de la leader d’extrême droite – de même que celle de sa nièce Marion Maréchal – en ferait la favorite du premier tour pour 2027. Mais elle ne saura qu’à l’été 2026 si elle est en mesure de concourir et d’ici là, tous les partis se seront mis en ordre de marche. Or, dans une étude BVA, la première femme à apparaître derrière les deux personnalités lepénistes (1ere et 7e) est Martine Aubry, 12e, puis Rachida Dati, 19e. Aucune des deux ne se place dans la perspective de 2027. Dans une étude similaire réalisée par Toluna/Harris Interactive, Ségolène Royal arrive au 13e rang et Élisabeth Borne au 14e rang. Dans le détail, aucun camp – sauf le RN – ne porte son premier ou deuxième choix sur une femme, pour le représenter à la présidentielle. – Contrainte nécessaire -Cette situation “traduit une difficulté pour le monde politique à évoluer sur ces questions quand il n’y a pas de contrainte”, explique à l’AFP Christelle Craplet, directrice Opinion chez BVA. Elle rappelle que la loi sur la parité a permis “une vraie progression” dans les exécutifs locaux. Mais que le choix des chefs de parti et des candidats reste à la main des organisations. “Les partis politiques continuent à reproduire exactement la même organisation du pouvoir malgré 25 ans de loi sur la parité”, reconnaît la sénatrice socialiste Laurence Rossignol. Elle y voit la volonté des hommes de “s’organiser entre eux pour conserver le pouvoir”. “Leur misogynie est un moyen au service de leurs ambitions”, explique-t-elle, ça leur permet de “limiter le nombre de candidats au pouvoir, c’est aussi prosaïque que ça”. Une situation qui “n’est pas propre au monde politique”, observe Christelle Craplet, “les grandes entreprises restent massivement dirigées par des hommes”. “Il ne faut pas s’imaginer que dans ce pays, l’égalité femmes-hommes a abouti”, souffle Laurence Rossignol.- Primaires ?  -“Quand j’ai voulu prendre la tête de la fédération LR de Paris, on m’a fait comprendre que tenir un appareil politique n’était pas une affaire de femmes, +il faut des qualités viriles, quand il faudra négocier, tu n’auras pas les nerfs solides+”, raconte la sénatrice Agnès Evren, se rappelant aussi que son parti réservait les circonscriptions difficiles à gagner aux femmes. Elle dépeint une “dichotomie entre les cadres politiques et les électeurs”, convaincue que “les citoyens sont prêts à avoir une présidente”. De fait, les scrutins où la parité est obligatoire ont montré que les électeurs ne s’attachent pas au genre de leur champion. “Il y a un manque de modèles féminins en politique”, estime Marine Tondelier, “et les endroits où il n’y a que des mecs n’ont jamais donné très envie aux femmes”. Outre le “cas Marine Le Pen” qui a “hérité” du parti de son père “sans avoir à se battre” selon Laurence Rossignol, une exception est souvent citée: la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, qui a gravi seule les échelons, toujours contre l’avis du président Emmanuel Macron qui lui préférait, à chaque étape, un candidat masculin. Mais pour s’aligner sur l’élection reine, si les sondages restent les mêmes, sa meilleure chance serait probablement de passer par une primaire de son camp qui permet à des outsiders d’émerger, comme Valérie Pécresse en 2022. De même pour la dirigeante écologiste. Au centre, à gauche comme à droite cependant, l’organisation d’une telle primaire est loin de faire consensus. 

Prisons visées par des dégradations: “nuit calme”, pas de piste privilégiée par les enquêteurs

Les investigations se poursuivent dans l’enquête antiterroriste sur des attaques de prisons: après une “nuit calme”, le parquet ne privilégie jeudi aucune piste à ce stade, mais celle du narcobanditisme reste mise en avant au sein de l’exécutif.Le procureur de la République antiterroriste a indiqué jeudi matin qu’il n’y avait, pour le moment, “pas de piste qui soit privilégiée” dans cette enquête sur les attaques ayant visé des prisons en France lors de trois nuits consécutives, de dimanche soir à mercredi matin.Les enquêteurs devraient avoir “les premiers résultats, dans les prochaines heures et jours qui viennent”, de multiples “expertises techniques, notamment les retours d’expertise ADN”, a précisé Olivier Christen sur France info.”A partir de cela, des pistes seront privilégiées mais au moment où nous nous parlons, ce serait une erreur de fermer l’une ou l’autre des voies”, a insisté le procureur.Au sein de l’exécutif, des analyses sont pourtant déjà avancées.”L’intime conviction qu’un certain nombre de nos agents du ministère de l’Intérieur ont, c’est plutôt la piste du +narcoracaille+, du narcotrafic”, a déclaré sur RTL le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, évoquant des “pieds nickelés”.Même “sentiment personnel” pour Cédric Logelin, porte-parole du ministère de la Justice, qui a dit sur BFMTV voir dans ces actions des “mesures de représailles”.- “Terrorisme par intimidation” – Pendant trois nuits, plus d’une dizaine de faits ont été recensés, selon M. Christen.”Deux contre des domiciles personnels d’agents de l’administration pénitentiaire”, une attaque conduite “sur des véhicules dans les parkings de l’Ecole nationale de l’administration pénitentiaire” mais aussi “neuf directement, contre des établissements pénitentiaires et également, une fois, contre un établissement de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ)”.Parmi ces attaques, “deux faits plus lourds ont été commis avec des armes à feu” à Toulon à Aix-Luynes, sans faire de victime.”Ce sont huit départements touchés en tout”, avec “un tiers des faits commis dans les Bouches-du-Rhône et un tiers en ÃŽle-de-France”.Le parquet national antiterroriste s’est saisi de cette “opération concertée” derrière laquelle “pourrait être retenue” la qualification de “terrorisme par intimidation”, explique M. Christen.Le but “est de faire pression sur la population ou sur les pouvoirs publics pour qu’ils fassent, ou ne fassent pas, quelque chose”.Les enquêteurs, notamment ceux de la Sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire, doivent encore identifier “les auteurs”, “les personnes qui coordonnent les actions” et “le ou les commanditaires”.”Il n’y a pas d’arrestation au moment où nous parlons, et encore une fois, pas de ciblage de profil spécifique”, a assuré le procureur.”A ma connaissance”, dans la nuit de mercredi à jeudi, “il n’y a pas eu de fait commis de la même nature” que ceux faisant l’objet des investigations, a aussi précisé M. Christen. “C’était une nuit calme”, a aussi relevé M. Retailleau.Ce dernier a, avec le ministre de la Justice Gérald Darmanin, envoyé jeudi des consignes aux préfets, au préfet de police et au directeur de l’administration pénitentiaire, pour renforcer la sécurisation des prisons.Dans un télégramme dont l’AFP a eu connaissance, ils demandent à la police et la gendarmerie d'”organiser des patrouilles dynamiques” aux abords des établissements, et aux services de renseignement de faire une “veille renforcée des réseaux sociaux”. Ils demandent aussi des travaux de sécurisation des parkings et enceintes des prisons.En outre, le garde des Sceaux a adressé une circulaire aux parquets, appelant à une “mobilisation sans faille” et une “réponse ferme et rapide”. En cas de faits visant établissements ou agents pénitentiaires, il est demandé aux procureurs d’informer immédiatement le parquet antiterroriste “afin que celui-ci apprécie s’il entend se saisir des faits”.Dans la plupart des actions recensées depuis dimanche, de mystérieuses inscriptions “DDPF”, apparemment pour “défense des droits des prisonniers français”, ont été retrouvées. Le groupe Telegram à ce nom a été fermé “à la demande de l’autorité judiciaire”, a indiqué le procureur antiterroriste, selon qui ce groupe “n’existait pas il y a quelques jours” et était “totalement inconnu des différents services de renseignements”.Ce “peut être des groupes plus radicalisés, politiques, des groupes plus liés avec la criminalité organisée” ou encore “une convergence d’objectifs et de personnes qui se manipulent les uns et les autres”, a souligné M. Christen. “Tous les champs sont ouverts.”clw-sc-al-edy-spe/mat/bow

Prisons visées par des dégradations: “nuit calme”, pas de piste privilégiée par les enquêteurs

Les investigations se poursuivent dans l’enquête antiterroriste sur des attaques de prisons: après une “nuit calme”, le parquet ne privilégie jeudi aucune piste à ce stade, mais celle du narcobanditisme reste mise en avant au sein de l’exécutif.Le procureur de la République antiterroriste a indiqué jeudi matin qu’il n’y avait, pour le moment, “pas de piste qui soit privilégiée” dans cette enquête sur les attaques ayant visé des prisons en France lors de trois nuits consécutives, de dimanche soir à mercredi matin.Les enquêteurs devraient avoir “les premiers résultats, dans les prochaines heures et jours qui viennent”, de multiples “expertises techniques, notamment les retours d’expertise ADN”, a précisé Olivier Christen sur France info.”A partir de cela, des pistes seront privilégiées mais au moment où nous nous parlons, ce serait une erreur de fermer l’une ou l’autre des voies”, a insisté le procureur.Au sein de l’exécutif, des analyses sont pourtant déjà avancées.”L’intime conviction qu’un certain nombre de nos agents du ministère de l’Intérieur ont, c’est plutôt la piste du +narcoracaille+, du narcotrafic”, a déclaré sur RTL le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, évoquant des “pieds nickelés”.Même “sentiment personnel” pour Cédric Logelin, porte-parole du ministère de la Justice, qui a dit sur BFMTV voir dans ces actions des “mesures de représailles”.- “Terrorisme par intimidation” – Pendant trois nuits, plus d’une dizaine de faits ont été recensés, selon M. Christen.”Deux contre des domiciles personnels d’agents de l’administration pénitentiaire”, une attaque conduite “sur des véhicules dans les parkings de l’Ecole nationale de l’administration pénitentiaire” mais aussi “neuf directement, contre des établissements pénitentiaires et également, une fois, contre un établissement de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ)”.Parmi ces attaques, “deux faits plus lourds ont été commis avec des armes à feu” à Toulon à Aix-Luynes, sans faire de victime.”Ce sont huit départements touchés en tout”, avec “un tiers des faits commis dans les Bouches-du-Rhône et un tiers en ÃŽle-de-France”.Le parquet national antiterroriste s’est saisi de cette “opération concertée” derrière laquelle “pourrait être retenue” la qualification de “terrorisme par intimidation”, explique M. Christen.Le but “est de faire pression sur la population ou sur les pouvoirs publics pour qu’ils fassent, ou ne fassent pas, quelque chose”.Les enquêteurs, notamment ceux de la Sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire, doivent encore identifier “les auteurs”, “les personnes qui coordonnent les actions” et “le ou les commanditaires”.”Il n’y a pas d’arrestation au moment où nous parlons, et encore une fois, pas de ciblage de profil spécifique”, a assuré le procureur.”A ma connaissance”, dans la nuit de mercredi à jeudi, “il n’y a pas eu de fait commis de la même nature” que ceux faisant l’objet des investigations, a aussi précisé M. Christen. “C’était une nuit calme”, a aussi relevé M. Retailleau.Ce dernier a, avec le ministre de la Justice Gérald Darmanin, envoyé jeudi des consignes aux préfets, au préfet de police et au directeur de l’administration pénitentiaire, pour renforcer la sécurisation des prisons.Dans un télégramme dont l’AFP a eu connaissance, ils demandent à la police et la gendarmerie d'”organiser des patrouilles dynamiques” aux abords des établissements, et aux services de renseignement de faire une “veille renforcée des réseaux sociaux”. Ils demandent aussi des travaux de sécurisation des parkings et enceintes des prisons.En outre, le garde des Sceaux a adressé une circulaire aux parquets, appelant à une “mobilisation sans faille” et une “réponse ferme et rapide”. En cas de faits visant établissements ou agents pénitentiaires, il est demandé aux procureurs d’informer immédiatement le parquet antiterroriste “afin que celui-ci apprécie s’il entend se saisir des faits”.Dans la plupart des actions recensées depuis dimanche, de mystérieuses inscriptions “DDPF”, apparemment pour “défense des droits des prisonniers français”, ont été retrouvées. Le groupe Telegram à ce nom a été fermé “à la demande de l’autorité judiciaire”, a indiqué le procureur antiterroriste, selon qui ce groupe “n’existait pas il y a quelques jours” et était “totalement inconnu des différents services de renseignements”.Ce “peut être des groupes plus radicalisés, politiques, des groupes plus liés avec la criminalité organisée” ou encore “une convergence d’objectifs et de personnes qui se manipulent les uns et les autres”, a souligné M. Christen. “Tous les champs sont ouverts.”clw-sc-al-edy-spe/mat/bow

50 ans après, le Cambodge commémore la prise de Phnom Penh par les Khmers rouges

Le Cambodge a commémoré jeudi les 50 ans de la prise de Phnom Penh par les Khmers rouges et l’installation d’un régime génocidaire qui a duré quatre ans, mais les survivants des massacres se sont vu interdir de prier devant les dépouilles des victimes.Un parti d’opposition avait demandé aux autorités la permission d’organiser une cérémonie à Choeung Ek, le plus célèbre des “champs de la mort” du régime, dans la capitale Phnom Penh.Mais la mairie a refusé de donner son feu vert, avertissant les responsables de l’opposition qu’ils seraient tenus légalement responsables en cas de troubles à “l’ordre public”, selon une lettre consultée par l’AFP.”Les victimes du génocide des Khmers rouges ne devraient être interdites par aucune règle si elles souhaitent commémorer cette période très difficile de l’histoire du Cambodge”, a déclaré Youk Chhang, directeur du Centre de documentation du Cambodge (DC-Cam), qui effectue des recherches sur les atrocités commises par le régime et les enregistre.Les commémorations ont été discrètes. Au mémorial de Choeung Ek, les survivants étaient absents jeudi, et quelques poignées de touristes visitaient le site et prenaient des photos des crânes exposés derrière des vitres.Sum Rithy, un survivant de 72 ans interrogé à l’extérieur du site, se souvient que les habitants de Phnom Penh, fatigués par la guerre, ont accueilli les Khmers rouges avec prudence lorsqu’ils sont entrés dans la ville, leurs écharpes à carreaux rouges flottant derrière eux.Mais assez rapidement, les chefs ont commencé à évacuer la ville de deux millions d’habitants sous la menace des armes, dans le cadre de l’un des plus grands déplacements forcés de l’histoire récente.”Il y avait du sang dans tous le pays… Les Khmers rouges ont chassé les gens de leurs maisons partout dans le pays”, raconte Sum Rithy.Il raconte que son père et ses trois frères et sÅ“urs ont été tués, qu’il a été affamé et emprisonné pendant deux ans sur la base d’allégations selon lesquelles il était membre de la CIA. Il n’y avait “pas de bonheur, pas de sourire, mais seulement de la tristesse et de la souffrance”, a-t-il déclaré à l’AFP. “Je n’oublierai jamais cela”.- Politique de réconcilation  -Avant que les Khmers rouges ne ramènent le Cambodge à “l’Année Zéro” avec une révolution paysanne utopique, le pays était loué comme étant “la perle de l’Asie” pour sa musique, sa culture et son architecture coloniale.Les Khmers rouges ont capturé Phnom Penh le 17 avril 1975 à l’aide de chars, renversant l’armée républicaine de Lon Nol, soutenue par les États-Unis, et instaurant un régime communiste qui durera quatre ans.Sous le joug de Pol Pot entre 1975 et 1979, deux millions de Cambodgiens, soit un quart de la population de l’époque, sont morts d’épuisement, de faim, de maladie, sous la torture ou au gré des exécutions.Ce n’est qu’après que les Khmers rouges ont été chassés par les soldats vietnamiens en 1979 que l’ampleur de leurs atrocités est apparue, lorsque les ossements de milliers de victimes, y compris des enfants, ont été découverts dans des fosses communes à travers le pays.Pol Pot est mort en 1998 sans avoir eu à répondre de ses actes devant la justice.La politique de réconciliation à tout prix mise en oeuvre par l’ex-Premier ministre Hun Sen, un ancien Khmer rouge repenti, a découragé le travail de mémoire, selon les chercheurs.Un tribunal spécial parrainé par l’ONU a condamné trois anciens hauts dirigeants khmers rouges, mais de nombreux anciens cadres du mouvement n’ont eu à rendre aucun compte à la justice et vivent toujours en liberté.Le mois dernier, le Cambodge a adopté, à la demande de Hun Sen, une loi interdisant de nier les atrocités commises par les Khmers rouges, mais les défenseurs des droits de l’homme et les universitaires pensent que celle-ci pourrait également être utilisée pour étouffer les dissidents.

Somalia air strikes, combat kill dozens of jihadists: govtThu, 17 Apr 2025 11:14:40 GMT

Joint US-Somalia air strikes and combat killed dozens of Al-Shabaab jihadists attacking a key town and a military base and also destroyed a shipment of weapons, the Somali government said on Thursday.Growing attacks by the Al-Qaeda-linked Islamist group, including one on President Hassan Sheikh Mohamud’s convoy, are fuelling worries of a jihadist resurgence after militants …

Somalia air strikes, combat kill dozens of jihadists: govtThu, 17 Apr 2025 11:14:40 GMT Read More »

Angleterre: Liverpool parvient à prolonger Virgil van Dijk

Liverpool a annoncé la prolongation pour deux ans de son capitaine et roc défensif Virgil van Dijk vendredi, six jours après un développement similaire concernant la star d’attaque Mohamed Salah, dont le précédent contrat s’achevait également à l’issue de l’actuelle saison.Contrairement à l’Egyptien, au coeur d’un interminable feuilleton ces derniers mois, le Néerlandais de 33 ans n’avait jamais entretenu le flou concernant son avenir à Anfield, où il évolue depuis janvier 2018.”Ça a toujours été dans ma tête, ça a toujours été le plan et ça a toujours été Liverpool”, a confirmé l’arrière central dans le communiqué du club, évoquant lui-même une prolongation “de deux années supplémentaires”.Capitaine permanent depuis l’été 2023, van Dijk a remporté sept titres majeurs avec les Reds, dont la Ligue des champions en 2019 et la Premier League en 2020. Il a porté le maillot de Liverpool à 314 reprises (27 buts).Il est devenu au fil des années un personnage central de Liverpool, comme Mohamed Salah, arrivé six mois plus tôt que lui sur les rives de la Mersey.”L’autre jour, quelqu’un m’a dit que j’étais un Scouser (le surnom des habitants de Liverpool, ndlr) d’adoption. Je suis très fier d’entendre ce genre de choses, cela me procure un sentiment incroyable”, a commenté van Dijk, ancien joueur du Celtic Glasgow et de Southampton.Le Néerlandais guide l’actuelle deuxième meilleure défense de Premier League, derrière Arsenal, en compagnie de son coéquipier français Ibrahima Konaté.A six journées de la fin du championnat, Liverpool, premier, compte treize points d’avance sur les Gunners, un écart qui leur assure quasiment le titre, cinq ans après le dernier, acquis en pleine pandémie de coronavirus.Contrairement à 2020, les supporters vont cette fois pouvoir fêter ce triomphe domestique au stade et dans les rues, avec des perspectives d’avenir plus stables désormais.La fin de contrat du défenseur Trent Alexander-Arnold, courtisé par le Real Madrid selon la presse spécialisée, est le seul nuage qui encombre encore le ciel bleu des Reds.L’entraîneur Arne Slot, successeur de Jürgen Klopp, aura à coeur de faire mieux la saison prochaine en Ligue des champions, après avoir été éliminé cette année par le Paris Saint-Germain en huitièmes de finale.

Anger as China club plays hours after striker Boupendza’s deathThu, 17 Apr 2025 10:59:16 GMT

Football fans in China were outraged by Zhejiang FC’s decision to go ahead with a league match hours after the death of their Gabon international striker Aaron Boupendza.Police have ruled out foul play in the death of the 28-year-old, who died after falling from the 11th floor of a building in the eastern city of …

Anger as China club plays hours after striker Boupendza’s deathThu, 17 Apr 2025 10:59:16 GMT Read More »

Afrobeats star Davido sees Nigeria’s star risingThu, 17 Apr 2025 10:47:35 GMT

The way Davido sees it, Nigerian culture is having a moment.”We’re very popular, not only in music,” the 32-year-old Afrobeats star told AFP during a recent interview in Paris, pointing to the film, food and fashion influence his country is increasingly exporting to the rest of the world.Even amid criticism from some that American artists …

Afrobeats star Davido sees Nigeria’s star risingThu, 17 Apr 2025 10:47:35 GMT Read More »