Retraites, économies: l’Assemblée démarre l’autre marathon budgétaire pour la Sécurité sociale
L’Assemblée nationale a entamé mardi l’examen du budget de la Sécurité sociale, qui contient la suspension de la réforme des retraites mais aussi plusieurs mesures explosives, et dont l’adoption la semaine prochaine est encore très incertaine.Franchises médicales, durée des arrêts de travail,… Les discussions sur le Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) s’annoncent inflammables. La gauche dénonce “un musée des horreurs”, et le RN un “copier-coller mal fagoté” d’un projet initial de François Bayrou.Le gouvernement a prévu des économies massives pour réduire le déficit de la Sécu à 17,5 milliards en 2026, contre 23 cette année.”Sans maîtrise, le système finirait par se consumer de lui-même”, a déclaré la ministre de la Santé Stéphanie Rist.Mardi soir, les députés ont entamé les débats sur le fond en supprimant l’article liminaire, tableau obligatoire des prévisions de dépenses et recettes de la Sécu pour 2025 et 2026.Un premier vote par essence politique, mais serré. Le RN, les Insoumis, les ciottistes et les communistes ont voté sa suppression, les socialistes ont majoritairement voté pour le maintenir, et les écologistes se sont abstenus.Les députés ont aussi écarté dans un vote plus large l’objectif de dépenses de l’Assurance maladie (ONDAM) 2025, la quasi-intégralité des députés PS et écologistes ayant cette fois voté la suppression.Un net coup de frein en 2026 sur ces mêmes dépenses d’assurance maladie, qui n’augmenteraient que de 1,6%, est au coeur des débats, car il supposerait 7,1 milliards d’euros d’économies par rapport à l’évolution naturelle.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a estimé que l’objectif réel de dépenses était plus élevé une fois certains transferts opérés, et assuré que le gouvernement allait débloquer “un milliard de plus à répartir entre l’hôpital, le médicosocial et France Santé”.- La CSG clé ? -Les débats sur les articles sont programmés jusqu’à dimanche soir, avant un vote sur l’ensemble du texte le 12, après deux journées de relâche en raison de l’Armistice du 11-Novembre.Selon plusieurs sources parlementaires et gouvernementale, la discussion sur la suspension de la réforme des retraites, condition de la non-censure du PS, pourrait toutefois être renvoyée au 12 novembre, avant le vote, pour permettre au maximum de députés d’être présents.Mais il faudrait pour cela les députés adoptent la partie “recettes”, dont l’examen a commencé mardi soir, et qu’ils avaient rejeté en commission. S’ils la repoussent à nouveau, l’ensemble du texte sera rejeté sans aborder la partie “dépenses” et donc la suspension de la réforme des retraites.Le budget sera quoi qu’il en soit remanié.”C’est sur le PLFSS que le sort du gouvernement se joue dans les jours qui viennent”, a résumé à l’AFP le socialiste Jérôme Guedj.Sébastien Lecornu a lui-même déclaré être prêt à certains compromis, notamment pour renoncer au gel des pensions de retraite, – casus belli pour de nombreux groupes -, et des minimas sociaux. Mais “on ne va pas mettre l’économie à terre”, a-t-il prévenu devant les députés Renaissance.Des incertitudes planent sur le financement de la suspension de la réforme des retraites (au moins 100 millions d’euros en 2026 et 1,4 milliard en 2027). Les propositions gouvernementales d’une surtaxe sur les complémentaires santé, ou d’une sous-indexation des retraites, ont été fustigées en commission.Pour remplir les caisses, le PS propose une hausse de la CSG sur les revenus du capital, mécanisme auquel Sébastien Lecornu semble ouvert, comme certains députés Renaissance ou MoDem.Le débat sur cette mesure devrait avoir lieu mercredi.Thibault Bazin (LR), rapporteur général du budget est contre, estimant qu’elle pèsera sur “les produits d’épargne de millions de Français”.”Le sujet n’est pas ce que le gouvernement accepte (…) c’est ce que vous votez entre vous”, a insisté plus largement Amélie de Montchalin, invoquant la promesse gouvernementale de renoncer à l’arme du 49.3.Les députés devront se hâter avec près de 2.500 amendements déposés (une partie sera irrecevable). Le 12 novembre, le texte sera transmis au Sénat en raison des délais constitutionnels.Si le vote a lieu, l’adoption du texte dépendra en grande partie des abstentions. A gauche d’abord, alors que le PS a pour l’instant exclu de voter.Au RN aussi éventuellement, Marine Le Pen n’ayant pas exclu la possibilité d’une abstention – tout comme celle d’un vote contre.
Retraites, économies: l’Assemblée démarre l’autre marathon budgétaire pour la Sécurité sociale
L’Assemblée nationale a entamé mardi l’examen du budget de la Sécurité sociale, qui contient la suspension de la réforme des retraites mais aussi plusieurs mesures explosives, et dont l’adoption la semaine prochaine est encore très incertaine.Franchises médicales, durée des arrêts de travail,… Les discussions sur le Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) s’annoncent inflammables. La gauche dénonce “un musée des horreurs”, et le RN un “copier-coller mal fagoté” d’un projet initial de François Bayrou.Le gouvernement a prévu des économies massives pour réduire le déficit de la Sécu à 17,5 milliards en 2026, contre 23 cette année.”Sans maîtrise, le système finirait par se consumer de lui-même”, a déclaré la ministre de la Santé Stéphanie Rist.Mardi soir, les députés ont entamé les débats sur le fond en supprimant l’article liminaire, tableau obligatoire des prévisions de dépenses et recettes de la Sécu pour 2025 et 2026.Un premier vote par essence politique, mais serré. Le RN, les Insoumis, les ciottistes et les communistes ont voté sa suppression, les socialistes ont majoritairement voté pour le maintenir, et les écologistes se sont abstenus.Les députés ont aussi écarté dans un vote plus large l’objectif de dépenses de l’Assurance maladie (ONDAM) 2025, la quasi-intégralité des députés PS et écologistes ayant cette fois voté la suppression.Un net coup de frein en 2026 sur ces mêmes dépenses d’assurance maladie, qui n’augmenteraient que de 1,6%, est au coeur des débats, car il supposerait 7,1 milliards d’euros d’économies par rapport à l’évolution naturelle.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a estimé que l’objectif réel de dépenses était plus élevé une fois certains transferts opérés, et assuré que le gouvernement allait débloquer “un milliard de plus à répartir entre l’hôpital, le médicosocial et France Santé”.- La CSG clé ? -Les débats sur les articles sont programmés jusqu’à dimanche soir, avant un vote sur l’ensemble du texte le 12, après deux journées de relâche en raison de l’Armistice du 11-Novembre.Selon plusieurs sources parlementaires et gouvernementale, la discussion sur la suspension de la réforme des retraites, condition de la non-censure du PS, pourrait toutefois être renvoyée au 12 novembre, avant le vote, pour permettre au maximum de députés d’être présents.Mais il faudrait pour cela les députés adoptent la partie “recettes”, dont l’examen a commencé mardi soir, et qu’ils avaient rejeté en commission. S’ils la repoussent à nouveau, l’ensemble du texte sera rejeté sans aborder la partie “dépenses” et donc la suspension de la réforme des retraites.Le budget sera quoi qu’il en soit remanié.”C’est sur le PLFSS que le sort du gouvernement se joue dans les jours qui viennent”, a résumé à l’AFP le socialiste Jérôme Guedj.Sébastien Lecornu a lui-même déclaré être prêt à certains compromis, notamment pour renoncer au gel des pensions de retraite, – casus belli pour de nombreux groupes -, et des minimas sociaux. Mais “on ne va pas mettre l’économie à terre”, a-t-il prévenu devant les députés Renaissance.Des incertitudes planent sur le financement de la suspension de la réforme des retraites (au moins 100 millions d’euros en 2026 et 1,4 milliard en 2027). Les propositions gouvernementales d’une surtaxe sur les complémentaires santé, ou d’une sous-indexation des retraites, ont été fustigées en commission.Pour remplir les caisses, le PS propose une hausse de la CSG sur les revenus du capital, mécanisme auquel Sébastien Lecornu semble ouvert, comme certains députés Renaissance ou MoDem.Le débat sur cette mesure devrait avoir lieu mercredi.Thibault Bazin (LR), rapporteur général du budget est contre, estimant qu’elle pèsera sur “les produits d’épargne de millions de Français”.”Le sujet n’est pas ce que le gouvernement accepte (…) c’est ce que vous votez entre vous”, a insisté plus largement Amélie de Montchalin, invoquant la promesse gouvernementale de renoncer à l’arme du 49.3.Les députés devront se hâter avec près de 2.500 amendements déposés (une partie sera irrecevable). Le 12 novembre, le texte sera transmis au Sénat en raison des délais constitutionnels.Si le vote a lieu, l’adoption du texte dépendra en grande partie des abstentions. A gauche d’abord, alors que le PS a pour l’instant exclu de voter.Au RN aussi éventuellement, Marine Le Pen n’ayant pas exclu la possibilité d’une abstention – tout comme celle d’un vote contre.
Ligue des champions: le Bayern fait tomber Paris, Liverpool domine le Real
Le Bayern Munich a enchainé une 16e victoire d’affilée en battant le Paris SG (2-1) mardi au Parc des Princes et occupe la place de leader au classement, alors que Liverpool a logiquement dominé Real Madrid dans l’autre choc de la soirée de Ligue des champions.- Le Bayern et Arsenal leaders -Un air de finale. D’un côté, les champions d’Europe, de l’autre l’équipe présentant le meilleur départ de l’histoire des grands championnats, avec notamment 56 buts marqués.Surpris par le but de Luis Diaz (4e) sur la première incursion bavaroise, le PSG a toutefois souffert en première période et le duel a failli tourner court, même si le club parisien a pensé égaliser à la 23e minute par Ousmane Dembélé, un but finalement annulé pour hors-jeu. Le Ballon d’Or, de retour de blessure, a ensuite pris prématurément la direction du vestiaire, puis Paris a encaissé un second but du même Luis Diaz (32e), qui s’est illustré de moins belle manière juste avant la pause en blessant le défenseur marocain du PSG Achraf Hakimi à la cheville gauche d’un tacle violent lui valant d’être exclu.A 11 contre 10, la rencontre a totalement changé de physionomie en seconde période, le PSG dominant largement. Joao Neves a redonné espoir aux Parisiens d’une volée autoritaire (74e, 2-1), suivie par les tentatives de Warren Zaïre-Emery et Neves (81e), dont la tête a frôlé le cadre. En vain.Avec cette première défaite européenne, le PSG, 9 points, sort du rythme des leaders. Le Bayern Munich (1er, +10) est lui accompagné avec 12 points en quatre matches d’Arsenal (2e), tombeur plus tôt dans la soirée du Slavia Prague (3-0).L’Inter aura l’opportunité mercredi de rejoindre ces deux clubs en recevant les Kazakhs du Kairat Almaty (21h00), qui n’ont pris qu’un point dans cette compétition qu’ils découvrent.- Le Real chute à Anfield -Dans l’autre choc de mardi soir, et remake de la finale 2022, les Merengues ont eux manqué l’occasion de suivre le rythme des leaders. Les Madrilènes ont cédé comme l’an passé à Anfield, face à des Reds offensifs.Le gardien Thibaut Courtois, déjà fortement mis à contribution sur une frappe à 25 m d’Alexis Mac Allister et par les multiples tentatives de Dominik Szoboszlai (27e, 37e, 43e, 52e), n’a rien pu faire sur la tête de l’Argentin (61e), trouvé sur coup franc par le milieu hongrois.Muet mardi soir et peu en vue, Kylian Mbappé reste co-meilleur buteur de la C1 (5 buts) avec Harry Kane. Marcus Rashford et Erling Haaland (4 buts), auront l’occasion de marquer des points, respectivement lors du déplacement de Barcelone à Bruges et de la réception de Dortmund par Manchester City.Liverpool, revenu à hauteur de son adversaire du soir et du PSG dans le groupe des poursuivants avec 9 points, confirme de son côté le sursaut entr’aperçu contre l’Eintracht Francfort (5-1) et face à Aston Villa (2-0) samedi en Premier League, après avoir perdu à Galatasaray (1-0) et accusé cinq défaites de rang en Angleterre.A une longueur des Reds, Tottenham (7e) est allé chercher un large succès à Copenhague (4-0). Un point derrière, le Sporting Portugal (10e) confirme ses bonnes dispositions après avoir tenu en échec la Juventus (1-1).- L’ASM se replace pour les barrages -A l’extrême nord de l’Europe, chez le champion de Norvège Bodoe Glimt, Monaco a dû faire preuve de patience pour s’imposer par le plus petit écart sur un tir de Folarin Balogun, bien servi par Maghnès Akliouche (43e).Dominée en deuxième période, l’équipe de la Principauté a tenu pour décrocher sa première victoire en C1 et se replace dans la course aux barrages avant un autre déplacement, chez les Chypriotes de Paphos, dans trois semaines.
Ligue des champions: Liverpool rugit de plaisir contre le Real Madrid
Au fond du trou cet automne, Liverpool a offert un redressement spectaculaire à son public d’Anfield mardi dans le choc des titans contre le Real Madrid (1-0), battu pour la première fois de la saison en Ligue des champions.Les Reds s’étaient avancés vers cette affiche avec les jambes tremblantes, secoués qu’ils étaient par six défaites dans leurs huit derniers matches. Ils l’ont dominée et maîtrisée avec panache.”Je pense qu’il y avait beaucoup d’énergie, de travail acharné mis dans la performance d’aujourd’hui”, a résumé le capitaine Virgil van Dijk sur Amazon Prime. “La qualité nous l’avons, ce n’est pas le problème”.Thibaut Courtois a sorti sa boîte à magie pour étouffer la révolte des locaux, mais le gardien a fini par s’incliner devant une tête puissante d’Alexis Mac Allister (61e), bien servi par l’excellent Dominik Szobozlai.C’est un coup d’arrêt pour le Real Madrid de l’entraîneur Xabi Alonso, ancienne légende de Liverpool revenu à Anfield avec un moral au plus haut, porté par treize victoires en quatorze matches cette saison.L’autre retour très attendu était celui de Trent Alexander-Arnold, l’ex-enfant chéri d’Anfield, pris en grippe par une partie du public pour avoir rejoint le Real cet été après deux décennies sous le maillot rouge.Le latéral droit a essuyé des sifflets appuyés à son entrée (82e) tandis que la fresque murale en son honneur, à deux pas du stade, a été dégradée par de la peinture et un message hostile.Son successeur à Liverpool, Conor Bradley, a lui délivré un match de patron face à Vinicius Junior et donné le tempo d’un match joué tambour battant par les Reds, bien plus entreprenants et tranchants.- Courtois sur-sollicité -Globalement, les locaux n’ont laissé que des miettes aux partenaires de Kylian Mbappé (tir dévissé à la 17e) et Jude Bellingham (tir arrêté à la 45e), et seule la masterclass de Courtois a repoussé l’inéluctable.Le gardien belge a déjoué une tête menaçante de Virgil van Dijk (48e), une autre de Hugo Ekitike juste après, et surtout brillé sur des tentatives de Szoboszlai de près (27e), de loin (43e) et sur coup franc direct (52e).Le milieu offensif hongrois, étincelant mardi, a également crû obtenir un pénalty mais l’arbitre a jugé, avec la VAR, que la main commise par Aurélien Tchouaméni sur sa frappe n’était pas intentionnelle (33e).La persévérance de l’élégant N.8 a fini par être récompensée sur un coup franc brossé qu’a coupé Mac Allister de la tête, à la limite du hors-jeu (61e).L’Argentin semble apprécier la venue du Real: il avait déjà ouvert le score, en novembre la saison dernière, à Anfield contre le club aux 15 titres en Ligue des champions, battu 2-0.Son coup de casque permet à l’entraîneur Arne Slot de retrouver le sourire et d’empocher une troisième victoire en quatre rencontres de Ligue des champions (contre une défaite à Galatasaray).”C’est une victoire importante, mais nous savons qu’elle ne signifie rien, car nous avons l’expérience de la saison dernière où nous avons terminé premiers de la phase de ligue, puis été éliminés assez tôt ensuite”, a nuancé Mac Allister. Mais il était “important de renforcer notre confiance, donc c’est une bonne journée”, a-t-il poursuivi. “Nous devons continuer sur notre lancée”.D’ici la fin de la phase de ligue, Liverpool aura deux déplacements délicats à négocier à l’Inter Milan et à Marseille, entre autres.Quant au Real, il devra notamment croiser le fer contre Manchester City en décembre et Monaco en janvier, à chaque fois à domicile.
Ex-Zimbabwe cricket captain Williams treated for ‘drug addiction’Tue, 04 Nov 2025 22:36:00 GMT
Former Zimbabwe captain Sean Williams is being treated for drug addiction and will not play for the country again, the national cricket board said on Tuesday.Zimbabwe Cricket (ZC) confirmed the 39-year-old all-rounder had made himself unavailable and would not be selected again.Williams had recently withdrawn on the eve of the ICC Men’s T20 World Cup …
California voters weigh election boundary changes in rebuke to Trump
Californians were voting Tuesday in a ballot measure likely to further tilt the liberal state towards the Democrats, as the party seeks to neutralize gerrymandering ordered by President Donald Trump.Governor Gavin Newsom and his allies want voters to approve a temporary re-drawing of electoral districts that could give the Democratic Party five more seats in the scramble for control of the US Congress in next year’s midterm elections.They say they are only doing it to level the playing field after Texas Republicans pushed through their own redistricting — under White House pressure — to help maintain a narrow Congressional majority that has so far given Trump carte blanche.Republicans say it is a naked power grab that will disenfranchise the party’s voters in California, a state where they are heavily outnumbered by Democrats.Unsurprisingly in today’s America, one figure looms over the proceedings, with a finger perpetually hovering over the caps lock.”The Unconstitutional Redistricting Vote in California is a GIANT SCAM in that the entire process, in particular the Voting itself, is RIGGED,” Trump wrote on his social media site on Tuesday.That prompted a now-customary zinger from Newsom, who is staking his claim to Democratic leadership — and a likely White House shot — on standing up to Trump.”The ramblings of an old man that knows he’s about to LOSE,” the governor wrote.- Gerrymandering -Electoral districts across the US are traditionally drawn following the national census taken every ten years, theoretically so the electoral map reflects the people who live there.In reality, most boundaries are party political decisions, so whichever grouping is in power at the time gets to set the rules for the next decade’s contests.California did away with such partisan gerrymandering under former governor Arnold Schwarzenegger, giving the power instead to an independent panel. But if “Proposition 50” passes on Tuesday, politically drawn boundaries will take effect for all elections until the next census, when the panel will once again determine the maps.The vote is “a political ink-blot test,” Los Angeles Times columnist Mark Barbarak wrote Monday.”A reasoned attempt to even things out in response to Texas’ attempt to nab five more congressional seats. Or a ruthless gambit to drive the California GOP to near-extinction.”What many California voters see depends on, politically, where they stand.”People at the polls in Los Angeles on Tuesday said the vote was about fighting back against Republican shenanigans elsewhere in the country.”I’ll take anything we can get, anything we can get. We got to sometimes use the methods they’re using, whatever will get us moving forward,” Casey Mason told AFP.Makela Yepez said he wasn’t particularly pleased that the state’s independent boundary commission was taking a temporary back seat, but felt the ends justified the means.”I think we’re using the tools that are at our disposal, and I think we have to have faith that it’s going to work,” he said.
Ligue des champions: la Juventus n’arrive toujours pas à gagner
La Juventus Turin court toujours après sa première victoire en Ligue des champions cette saison: pour les débuts de son nouvel entraîneur Luciano Spalletti en C1, elle a dû se contenter, face au Sporting, d’un troisième nul (1-1), mardi à domicile.”La Vieille Dame” a tremblé et si elle a fini par retrouver quelques couleurs, elle se traîne toujours en bas de classement de la phase de ligue (23e, 3 points). Le Sporting lui peut sourire: il est 10e avec sept points.Cinq jours après son arrivée en remplacement d’Igor Tudor, Spalletti a retrouvé l’Europe après une pause de plus d’un an et demi depuis son dernier match dans l’épreuve-reine avec Naples.Ces retrouvailles n’ont pas été de tout repos: l’ancien sélectionneur de l’Italie a d’abord vu son équipe prendre l’eau de toute part.Plus incisif, le Sporting a logiquement pris l’avantage sur un superbe mouvement collectif conclu par une frappe enroulée de Maximiliano Araujo (12e).Le vice-champion du Portugal 2025, battu (2-1) par Naples lors de la deuxième journée, a même cru doubler la mise deux minutes plus tard, mais la reprise de Francisco Trincao a été repoussée par la transversale turinoise.Ce catastrophique premier quart d’heure passé, la Juve a commencé à retrouver ses esprits, notamment grâce à Dusan Vlahovic qui a d’abord buté deux fois sur Rui Silva (16e et 18e).- “Trop impatients” -Mais le gardien portugais n’a rien pu faire quand le Serbe a coupé au premier poteau un centre de Khéphren Thuram, parti en contre (34e).Les Bianconeri ont nettement pris l’ascendant en fin de première période, mais la reprise de Francisco Conceiçao, sur un service de Kenan Yildiz, a été contré du bout du pied par Gonçalo Inácio (40e).En seconde période, le club le plus titré du football italien a continué à dominer, mais sans concrétiser, jusqu’à une dernière tentative dans le temps additionnel.Entré en jeu peu auparavant, Jonathan David a repris de la tête un centre à bout portant, mais Rui Costa l’a détourné au-dessus de sa transversale d’un spectaculaire claquette.”Nous avons mal débuté ce match, mais nous avons bien su réagir face à une belle équipe, il faut féliciter mes joueurs, même s’ils ont fait des erreurs et se sont montrés parfois trop impatients”, a souligné Spalletti sur la chaîne de télévision Sky Sport.Sa Juve n’a plus le droit à l’erreur si elle veut atteindre le phase à élimination directe, ou au moins les barrages d’accession aux 8e de finale. Ses deux prochains adversaires, les Norvégiens de Bodoe/Glimt et les Chypriotes de Pafos peuvent lui permettre de reprendre espoir.







