Nigeria, Niger foreign ministers meet for security talksThu, 17 Apr 2025 02:19:47 GMT

The foreign ministers of Nigeria and Niger held talks Wednesday on cross-border security, terrorism and economic cooperation, despite tensions between the two neighbours since the July 2023 coup in Niger.It comes after Nigeria this month renewed calls for the release of Niger’s deposed president Mohamed Bazoum, who is being held at the presidential palace in …

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Gisèle Pelicot et Léon Marchand dans les “100 personnes les plus influentes” du magazine Time

Les Français Gisèle Pelicot, devenue un symbole des victimes de viols, et Léon Marchand, nageur triomphant aux Jeux de Paris, sont présents dans la liste des “100 personnes les plus influentes de 2025” publiée mercredi par le magazine américain Time.Connu pour son choix de la personnalité de l’année, désignée en décembre, Time publie aussi, depuis plus de 20 ans, une liste des 100 personnes “les plus influentes sur la planète”, qui inclut cette année des personnalités très diverses, du président Donald Trump au chanteur Ed Sheeran.Et, dans cette liste, deux Français, tous les deux dans la catégorie “icônes”: Gisèle Pelicot et Léon Marchand.La première, “dans une démonstration d’un courage extraordinaire” selon le magazine, a refusé que le procès contre son ex-mari, qui l’avait droguée et violée pendant des années, et des dizaines d’autres hommes également accusés de viol, ne se déroule à huis clos.Ce procès des viols de Mazan, fin 2024, avait connu un retentissement mondial.”Chaque matin, quand Gisèle Pelicot arrivait dans ce tribunal en France la tête haute, elle refusait par là d’être sous la domination d’un ordre patriarcal qui a asservi les femmes depuis si longtemps”, écrit pour Time Gloria Steinem, immense personnalité américaine du féminisme.Gisèle Pelicot avait déjà été distinguée par le magazine dans sa liste des femmes de l’année 2025.Le second est Léon Marchand, dont “la motivation à mettre le premier la main sur la ligne d’arrivée aux Jeux olympiques de Paris a capturé l’attention du monde entier, quatre fois”, écrit pour Time Summer McIntosh, jeune championne canadienne.Le Français de 22 ans a remporté quatre médailles d’or en natation l’été dernier: 200 et 400 m quatre nages, 200 m papillon et brasse.A Paris, “tout le monde ressentait cette énergie quand Léon nageait”, écrit encore la Canadienne, triple médaillée d’or. “Léon est simplement inarrêtable.”

Gisèle Pelicot et Léon Marchand dans les “100 personnes les plus influentes” du magazine Time

Les Français Gisèle Pelicot, devenue un symbole des victimes de viols, et Léon Marchand, nageur triomphant aux Jeux de Paris, sont présents dans la liste des “100 personnes les plus influentes de 2025” publiée mercredi par le magazine américain Time.Connu pour son choix de la personnalité de l’année, désignée en décembre, Time publie aussi, depuis plus de 20 ans, une liste des 100 personnes “les plus influentes sur la planète”, qui inclut cette année des personnalités très diverses, du président Donald Trump au chanteur Ed Sheeran.Et, dans cette liste, deux Français, tous les deux dans la catégorie “icônes”: Gisèle Pelicot et Léon Marchand.La première, “dans une démonstration d’un courage extraordinaire” selon le magazine, a refusé que le procès contre son ex-mari, qui l’avait droguée et violée pendant des années, et des dizaines d’autres hommes également accusés de viol, ne se déroule à huis clos.Ce procès des viols de Mazan, fin 2024, avait connu un retentissement mondial.”Chaque matin, quand Gisèle Pelicot arrivait dans ce tribunal en France la tête haute, elle refusait par là d’être sous la domination d’un ordre patriarcal qui a asservi les femmes depuis si longtemps”, écrit pour Time Gloria Steinem, immense personnalité américaine du féminisme.Gisèle Pelicot avait déjà été distinguée par le magazine dans sa liste des femmes de l’année 2025.Le second est Léon Marchand, dont “la motivation à mettre le premier la main sur la ligne d’arrivée aux Jeux olympiques de Paris a capturé l’attention du monde entier, quatre fois”, écrit pour Time Summer McIntosh, jeune championne canadienne.Le Français de 22 ans a remporté quatre médailles d’or en natation l’été dernier: 200 et 400 m quatre nages, 200 m papillon et brasse.A Paris, “tout le monde ressentait cette énergie quand Léon nageait”, écrit encore la Canadienne, triple médaillée d’or. “Léon est simplement inarrêtable.”

Chez Vinci, Xavier Huillard prend du champ, une page se tourne

Le PDG de Vinci Xavier Huillard quitte jeudi la direction générale du géant du BTP, de l’énergie, et des concessions d’aéroports et d’autoroutes, après une assemblée générale des actionnaires qui devrait amorcer le processus de succession en nommant au conseil d’administration Pierre Anjolras, venu de Vinci Construction.A quelques semaines de son 71e anniversaire, M. Huillard conservera au moins jusqu’à l’AG de 2026 la présidence du groupe, dont il est un pur produit et qu’il façonne depuis 2010, année où il en est devenu le PDG.Ce “vieux loup de mer qui ne se la pète pas”, selon un observateur avisé du monde entrepreneurial français, a marqué Vinci au point qu’il s’identifie au groupe et refuse les interviews qui n’en parlent pas, selon son entourage.”C’est un groupe qui n’a pas d’équivalent dans le monde et qui doit beaucoup à Xavier Huillard”, seulement le deuxième patron depuis la création de l’entreprise en 2000, après Antoine Zacharias, relève l’observateur.Issu d’une myriade de sociétés du bâtiment, Vinci est entré dès 2002 dans la cour des “géants mondiaux” de l’indice CAC40 aux côtés de TotalEnergies, Saint-Gobain, Hermès ou LVMH.Admis aussi dans le monde du patrimoine: le 25 mars, M. Huillard a posé la première pierre du chantier de reconstruction de la flèche de la basilique Saint Denis, démontée en 1845 à la suite d’un ouragan, dont le groupe aux grues bleu-blanc-rouge est devenu le “grand mécène”. Vinci a aussi rénové la galerie des glaces du château de Versailles ou plus récemment les tranchées du musée de la Grande guerre de Meaux.- “Précurseur” -L’action de Xavier Huillard a surtout porté sur la diversification et l’internationalisation du groupe de BTP, via deux axes stratégiques: les très lucratives concessions autoroutières et aéroportuaires, et l’énergie. Dans ce domaine, il a été “précurseur” avec sa filiale Cobra IS qui installe des champs solaires ou des lignes haute tension partout dans le monde, avant ses concurrents Bouygues et Eiffage, souligne Vincent de la Vaissière, président du cabinet en communication VcomV.Un modèle unique, parfois critiqué par la presse de gauche. En 2016, le magazine Le Monde Diplomatique voyait en Vinci un “archétype du prédateur des marchés publics” qui “joue sur deux tableaux pour engranger les profits”: “le rapide retour sur investissement de son activité de construction et les rentes de gestion à long terme”.Sous la houlette de M. Huillard, le groupe est en effet devenu le premier opérateur aéroportuaire mondial, avec plus de 70 aéroports exploités dans 14 pays, dont les trois japonais de Kansai, Osaka et Kobe.Et ses concessions autoroutières représentent 43% de son résultat net alors qu’elles ne pèsent que 9% de son chiffre d’affaires, en faisant les “vaches à lait du groupe”, selon Hervé Maurey, sénateur centriste de l’Eure, dans un rapport sur la rentabilité record des sociétés d’autoroute publié en octobre 2024.Pierre Anjolras, 59 ans, qui a mené à bien l’absorption du constructeur de routes Eurovia par Vinci Construction, a été nommé directeur général opérationnel en mai 2024 pour un tuilage, une transition douce, aux côtés de Xavier Huillard.Son défi le plus important sera “d’exister” selon M. de la Vaissière, aussi bien face à ses barons en interne, que face à ses concurrents. Il devra aussi gérer le délicat renouvellement des concessions d’autoroutes en France, dont les contrats passés avec l’Etat expirent à partir de 2031.Jeudi, l’assemblée générale doit voter une résolution pour que M. Anjolras rejoigne le conseil d’administration. Après l’AG, un premier conseil se réunira, chargé de dissocier les fonctions de président et de directeur-général, confiant la première à Xavier Huillard, et la seconde à Pierre Anjolras, a précisé le groupe mercredi soir. Les deux nominations doivent prendre effet le 1er mai.

Chez Vinci, Xavier Huillard prend du champ, une page se tourne

Le PDG de Vinci Xavier Huillard quitte jeudi la direction générale du géant du BTP, de l’énergie, et des concessions d’aéroports et d’autoroutes, après une assemblée générale des actionnaires qui devrait amorcer le processus de succession en nommant au conseil d’administration Pierre Anjolras, venu de Vinci Construction.A quelques semaines de son 71e anniversaire, M. Huillard conservera au moins jusqu’à l’AG de 2026 la présidence du groupe, dont il est un pur produit et qu’il façonne depuis 2010, année où il en est devenu le PDG.Ce “vieux loup de mer qui ne se la pète pas”, selon un observateur avisé du monde entrepreneurial français, a marqué Vinci au point qu’il s’identifie au groupe et refuse les interviews qui n’en parlent pas, selon son entourage.”C’est un groupe qui n’a pas d’équivalent dans le monde et qui doit beaucoup à Xavier Huillard”, seulement le deuxième patron depuis la création de l’entreprise en 2000, après Antoine Zacharias, relève l’observateur.Issu d’une myriade de sociétés du bâtiment, Vinci est entré dès 2002 dans la cour des “géants mondiaux” de l’indice CAC40 aux côtés de TotalEnergies, Saint-Gobain, Hermès ou LVMH.Admis aussi dans le monde du patrimoine: le 25 mars, M. Huillard a posé la première pierre du chantier de reconstruction de la flèche de la basilique Saint Denis, démontée en 1845 à la suite d’un ouragan, dont le groupe aux grues bleu-blanc-rouge est devenu le “grand mécène”. Vinci a aussi rénové la galerie des glaces du château de Versailles ou plus récemment les tranchées du musée de la Grande guerre de Meaux.- “Précurseur” -L’action de Xavier Huillard a surtout porté sur la diversification et l’internationalisation du groupe de BTP, via deux axes stratégiques: les très lucratives concessions autoroutières et aéroportuaires, et l’énergie. Dans ce domaine, il a été “précurseur” avec sa filiale Cobra IS qui installe des champs solaires ou des lignes haute tension partout dans le monde, avant ses concurrents Bouygues et Eiffage, souligne Vincent de la Vaissière, président du cabinet en communication VcomV.Un modèle unique, parfois critiqué par la presse de gauche. En 2016, le magazine Le Monde Diplomatique voyait en Vinci un “archétype du prédateur des marchés publics” qui “joue sur deux tableaux pour engranger les profits”: “le rapide retour sur investissement de son activité de construction et les rentes de gestion à long terme”.Sous la houlette de M. Huillard, le groupe est en effet devenu le premier opérateur aéroportuaire mondial, avec plus de 70 aéroports exploités dans 14 pays, dont les trois japonais de Kansai, Osaka et Kobe.Et ses concessions autoroutières représentent 43% de son résultat net alors qu’elles ne pèsent que 9% de son chiffre d’affaires, en faisant les “vaches à lait du groupe”, selon Hervé Maurey, sénateur centriste de l’Eure, dans un rapport sur la rentabilité record des sociétés d’autoroute publié en octobre 2024.Pierre Anjolras, 59 ans, qui a mené à bien l’absorption du constructeur de routes Eurovia par Vinci Construction, a été nommé directeur général opérationnel en mai 2024 pour un tuilage, une transition douce, aux côtés de Xavier Huillard.Son défi le plus important sera “d’exister” selon M. de la Vaissière, aussi bien face à ses barons en interne, que face à ses concurrents. Il devra aussi gérer le délicat renouvellement des concessions d’autoroutes en France, dont les contrats passés avec l’Etat expirent à partir de 2031.Jeudi, l’assemblée générale doit voter une résolution pour que M. Anjolras rejoigne le conseil d’administration. Après l’AG, un premier conseil se réunira, chargé de dissocier les fonctions de président et de directeur-général, confiant la première à Xavier Huillard, et la seconde à Pierre Anjolras, a précisé le groupe mercredi soir. Les deux nominations doivent prendre effet le 1er mai.

US govt agency seeks criminal probe of Trump legal foe

A US government agency has asked for a criminal probe of New York State Attorney General Letitia James, one of President Donald Trump’s main adversaries, on grounds of alleged mortgage fraud, US media said Wednesday.James drew the wrath of Trump after leading a civil fraud case against him that saw the Republican ordered to pay a multi-million dollar penalty last year.Trump and allies on the right regularly attacked James during the trial in New York, and he has put revenge against his foes high on the agenda since returning to the White House in January.US media reported the Federal Housing Finance Agency has asked the Justice Department to investigate James, alleging that she “appeared to have falsified records” related to properties she owns in Virginia and New York to obtain better loan terms.”Attorney General James is focused every single day on protecting New Yorkers, especially as this Administration weaponizes the federal government against the rule of law and the Constitution,” her office said in a statement.”She will not be intimidated by bullies — no matter who they are,” it added.US Attorney General Pam Bondi told the Fox News channel that she and her staff were “reviewing” the allegations.The housing agency did not immediately respond to AFP requests for comment.”Based on media reports, Ms Letitia James has, in multiple instances, falsified bank documents and property records to acquire government backed assistance and loans and more favorable loan terms,” the housing agency wrote in its referral letter, parts of which were carried in US media.In James’s civil case, Trump was found liable for fraud by conspiring to alter his net worth to get better loan and insurance terms. Trump and his older sons were ordered to pay $454 million.The US president has vowed repeatedly to exact vengeance on those he feels wronged him during and following his first 2017-2021 term.His second term in office has seen FBI and Justice Department staff involved in criminal cases against Trump fired, among other acts of retribution.

‘Promises kept?’: Trump base bristles over lack of reprisals

Inflamed by endless claims of liberal “deep state” operatives targeting their president for prosecution, Donald Trump’s supporters dreamed of the day when he would return to office and take his revenge.But three months into his second term, the promised arrests and show trials of high-profile Democrats have not materialized — and Trump’s “Make America Great Again” (MAGA) movement is losing patience.Frustrated MAGA figures have been complaining for weeks over the pace of efforts by the FBI and Justice Department to deliver on Trump’s threats to target the lawmakers, journalists and prosecutors he considered “enemies from within.”This is especially true among “J6ers” — hundreds of MAGA rioters convicted over the 2021 US Capitol insurrection, and then repeatedly promised vengeance by Trump on the presidential campaign trail.The Republican leader may have hoped for plaudits over his order to criminally investigate two officials from his first term who defied him, and for his strong-arming of law firms that represented his adversaries.But MAGA has indicated that it will only be fully appeased by significant indictments on the Democratic side.And what MAGA wants, it often gets — several members of the White House National Security Council seen as insufficiently loyal learned this recently when they were fired at the behest of far-right influencer Laura Loomer, who has Trump’s ear.- ‘You’ve been let down’ -The targets of the angry backlash are Attorney General Pam Bondi, FBI Director Kash Patel and Patel’s second-in-command, former talk show host Dan Bongino.Bongino and other right-wing influencers have been telling their audiences for years that a criminal cabal of Democrats, guilty of calumnies against the Trump family, were about to get their comeuppance.Rattled by accusations that he is letting the side down now he is on the other side of the fence, he has taken to X multiple times in recent weeks to protest that he was working hard in his new job.In an appeal for patience this week, Bongino said cryptically that he was developing “a number of significant initiatives to ensure that the mistakes of the past are never repeated.””I know you’ve been let down in the past,” he said on X. “You’re owed better. And we’re going to produce it.”The deputy director didn’t address anyone in particular in his posts, but the replies were dominated by MAGA figures angry over the lack of political prosecutions.”We aren’t trying to be the enemy. We want justice!” Richard “Bigo” Barnett, who was photographed with his feet on then-House speaker Nancy Pelosi’s desk during the Capitol riot, posted separately.”We want the promises made kept! We stood! We showed up when Donald asked! We have seen nothing.”- ‘Scared in the corner’ -Despite receiving more than 1,500 pardons and commutations from Trump, the J6ers have been among the most disgruntled MAGA figures. Suzzanne Monk, founder of the “J6 Pardon Project,” has been tracking the arrests of insurrectionists during Democratic president Joe Biden’s first year and comparing them unfavorably with the threadbare action against Democrats under Trump.”Today is April 16th,” she posted Wednesday. “By 4/16/21, the Biden regime had already arrested 406 January 6th Defendants and would go on to convict 99.7% of their arrests. How many arrests has Pam made?”To be clear, the only Democrats credibly accused of crimes in the Trump era were investigated — by Biden’s justice department.But MAGA is demanding heads on spikes.Tom Fitton, head of the right-wing group Judicial Watch, echoed many MAGA figures in giving Trump a pass on the lack of prosecutions — arguing that the president has a lot on his plate.But he told Trump ally Steve Bannon’s “War Room” podcast that Bondi and Patel need to be “much more aggressive.” “There may be good people working at the FBI, but they’re scared in the corner and unable to do anything,” said Fitton.

Menendez brothers set for resentencing hearing

Erik and Lyle Menendez will appear in a Los Angeles court on Thursday in a bid to persuade a judge to reduce their life sentences for the shotgun murders of their own parents.The brothers — who are among America’s most infamous murderers — are hoping the current life-without-parole term will be cut to one that could allow them to walk free, more than 35 years after the brutal double killings.During blockbuster trials in the 1990s, prosecutors said the men killed Jose and Kitty Menendez in their luxury Beverly Hills home to get their hands on a $14 million fortune.They initially blamed the deaths on a Mafia hit, the first of five disparate explanations they offered.But at trial they claimed they had acted in self-defense, striking first before their abusive and controlling father could kill them, after years of emotional and sexual abuse.A lengthy campaign, backed by their family and with growing support from the public, whose appetite for the case was whetted by a hit Netflix series, has sought to have them freed.Supporters say Erik Menendez, 54, and Lyle Menendez, 57, have been model prisoners, who are reformed, and deserving of a second chance.Their hand was strengthened by the former chief prosecutor for Los Angeles, who asked the court to resentence the men.But when the more hardline Nathan Hochman became district attorney last year, he reversed course.He says the men have not atoned for their crimes and continue to lie about the murders, in which they repeatedly shot their parents, including in the knees.He also points to the premeditated nature of the slayings — the men had tried to set up alibis in advance — and their efforts to get people to cover for them after the fact.And he claims that their unwillingness to come clean about the true circumstances of the crime makes them ineligible for parole.However, last week Los Angeles County Superior Court Judge Michael Jesic rejected his office’s effort to withdraw its resentencing motion.The hearing, which begins on Thursday morning in Los Angeles, is expected to last up to two days.The brothers’ original trials were huge events, and the case saw a surge of renewed interest last year with the release of the Netflix hit “Monsters: The Lyle and Erik Menendez Story.”