Italie: deux personnes portées disparues suite aux intempéries

Deux personnes sont portées disparues à la suite des intempéries qui ont frappé le nord de l’Italie, ont annoncé vendredi les pompiers, au lendemain du décès d’un nonagénaire retrouvé dans sa maison inondée dans le Piémont.”Les pompiers poursuivent leur recherche de deux disparus (…). Selon les premières informations il s’agirait d’un père et de son fils emportés dans leur voiture par la crue du torrent près de leur habitation” dans la zone de Vicenza (nord), ont écrit les pompiers sur X.Comme les Alpes françaises et suisses, le nord de l’Italie a été frappé jeudi par de fortes pluies qui se sont transformées en neige en altitude, entraînant de nombreuses coupures de routes en raison de glissements de terrain ainsi que des inondations.Des dizaines de personnes ont dû être évacuées, parfois avec leurs animaux domestiques, de zones inondées.Dans le Val d’Aoste, environ 5.000 familles étaient privées de courant jeudi soir, selon le gestionnaire local du réseau électrique.Des images de l’AFP montrent des rues envahies par la boue à Monteu da Po, dans le Piémont, la petite localité où les pompiers ont trouvé jeudi le nonagénaire décédé.Dans d’autres localités de cette région, des débris ont recouvert les rues.Il y a un mois, c’était le centre de l’Italie a être touché par les intempéries.En Toscane des dizaines de personnes avaient été évacuées et des militaires avaient été déployés à Pise pour disposer des sacs de sable en guise de protection sur les rives du fleuve Arno qui traverse la ville avant de se jeter dans la mer.La région voisine de l’Emilie-Romagne avait elle aussi été touchée par ces intempéries, moins graves cependant que celles de mai 2023 qui avaient entraîné la mort de 17 personnes et des milliards d’euros de dégâts.Les scientifiques ont établi que le changement climatique causé par les activités humaines accroît les risques de catastrophes naturelles comme les inondations.

Italie: deux personnes portées disparues suite aux intempéries

Deux personnes sont portées disparues à la suite des intempéries qui ont frappé le nord de l’Italie, ont annoncé vendredi les pompiers, au lendemain du décès d’un nonagénaire retrouvé dans sa maison inondée dans le Piémont.”Les pompiers poursuivent leur recherche de deux disparus (…). Selon les premières informations il s’agirait d’un père et de son fils emportés dans leur voiture par la crue du torrent près de leur habitation” dans la zone de Vicenza (nord), ont écrit les pompiers sur X.Comme les Alpes françaises et suisses, le nord de l’Italie a été frappé jeudi par de fortes pluies qui se sont transformées en neige en altitude, entraînant de nombreuses coupures de routes en raison de glissements de terrain ainsi que des inondations.Des dizaines de personnes ont dû être évacuées, parfois avec leurs animaux domestiques, de zones inondées.Dans le Val d’Aoste, environ 5.000 familles étaient privées de courant jeudi soir, selon le gestionnaire local du réseau électrique.Des images de l’AFP montrent des rues envahies par la boue à Monteu da Po, dans le Piémont, la petite localité où les pompiers ont trouvé jeudi le nonagénaire décédé.Dans d’autres localités de cette région, des débris ont recouvert les rues.Il y a un mois, c’était le centre de l’Italie a être touché par les intempéries.En Toscane des dizaines de personnes avaient été évacuées et des militaires avaient été déployés à Pise pour disposer des sacs de sable en guise de protection sur les rives du fleuve Arno qui traverse la ville avant de se jeter dans la mer.La région voisine de l’Emilie-Romagne avait elle aussi été touchée par ces intempéries, moins graves cependant que celles de mai 2023 qui avaient entraîné la mort de 17 personnes et des milliards d’euros de dégâts.Les scientifiques ont établi que le changement climatique causé par les activités humaines accroît les risques de catastrophes naturelles comme les inondations.

US strikes on Yemen fuel port kill 38, Huthis say

US strikes on a Yemeni fuel port killed at least 38 people, Huthi rebels said Friday, in one of the deadliest attacks of Washington’s renewed campaign against the Iran-backed group.The strikes also injured more than 100 people, according to a Huthi-run television station that broadcast footage of large blazes lighting up the night sky.The US military said its overnight attack on the Ras Issa fuel port aimed to cut off a source of supplies and funds for the Huthis, who control large swathes of the Arabian Peninsula’s poorest country.”Thirty-eight workers and employees killed and 102 others injured in a preliminary toll of the US aggression on the Ras Issa oil facility,” Al-Masirah TV said, quoting health authorities in rebel-held Hodeida.AFP could not independently verify the casualty toll.The US military has hammered the Huthis with near-daily air strikes since March 15 in a bid to end their attacks on shipping in the Red Sea and Gulf of Aden.Claiming solidarity with Palestinians, the rebels began attacking the key maritime routes and Israel after the Gaza war began in October 2023, later pausing their attacks during a recent two-month ceasefire.In a statement, the US Central Command (CENTCOM) said: “US forces took action to eliminate this source of fuel for the Iran-backed Huthi terrorists and deprive them of illegal revenue that has funded Huthi efforts to terrorise the entire region for over 10 years.”The objective of these strikes was to degrade the economic source of power of the Huthis, who continue to exploit and bring great pain upon their fellow countrymen.”Ships “have continued to supply fuel via the port of Ras Issa” despite Washington this year designating the rebels a foreign terrorist organisation, CENTCOM added, without specifying the source of the fuel.- ‘Everything was on fire’ -In images broadcast early Friday by Al-Masirah, a fireball was seen igniting off the coast as thick columns of smoke rose above what appeared to be an ongoing blaze.The Huthi TV station later broadcast interviews with survivors of the attack lying on stretchers, including one man with burns on his arms.”We ran away. The strikes came one after the other, then everything was on fire,” one man who said he worked at the port told Al-Masirah.US strikes on the Huthis began under former president Joe Biden but have resumed and intensified under President Donald Trump.The new wave of attacks follows Huthi threats to resume drone and missile launches against international shipping in protest at Israel’s aid blockade on the Gaza Strip.Israel cut off all supplies to Gaza at the beginning of March and resumed its offensive in the Palestinian territory on March 18, leaving a ceasefire in tatters.Also on Friday, Israel’s military said it intercepted an incoming missile from Yemen that set off sirens in “several areas”.- ‘Commitment to maritime freedom’ -Huthi attacks have hampered shipping through the Suez Canal — a vital route that normally carries about 12 percent of world shipping traffic — forcing many companies into costly detours around the tip of southern Africa.Trump has vowed that military action against the rebels will continue until they are no longer a threat to shipping.France’s Defence Minister Sebastien Lecornu said Thursday a French frigate in the Red Sea destroyed a drone launched from Yemen.”Our armed forces continue their commitment to ensuring maritime freedom of movement,” he said on X.Separately, US State Department spokeswoman Tammy Bruce said that the Chinese satellite firm Chang Guang Satellite Technology Company was “directly supporting Iran-backed Huthi terrorist attacks on US interests”.”Their actions — and Beijing’s support of the company, even after our private engagements with them — is yet another example of China’s empty claims to support peace,” she told journalists.Bruce did not initially provide details on the nature of the company’s support for the rebels, but later referred to “a Chinese company providing satellite imagery to the Huthis”.

Ukraine: nouvelles frappes russes meurtrières au lendemain des discussions à Paris

De nouvelles frappes russes ont visé dans la nuit de jeudi à vendredi plusieurs grandes villes d’Ukraine, faisant au moins deux morts et 40 blessés, selon les autorités, au lendemain de discussions entre les alliés de Kiev à Paris sur la position à adopter face à Moscou pour permettre la fin de l’invasion russe.Ces réunions impliquant Américains, Européens et Ukrainiens ont permis “une discussion positive et constructive”, d’après la présidence ukrainienne et le chef de l’Etat français Emmanuel Macron, au moment où les négociations de cessez-le-feu initiées par Washington peinent à avancer.Tous se sont accordés pour se retrouver dès la semaine prochaine à Londres.Dans la foulée, des frappes russes ont visé dans la nuit à Kharkiv et à Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, ont annoncé les autorités ukrainiennes.A Kharkiv, au moins une personne est morte et une quarantaine ont été blessées, a indiqué le maire de la ville, Igor Terekhov, sur Telegram, qui a précisé que plus de 20 immeubles d’habitation ont été touchés.Le gouverneur local, Oleg Synegubov, a assuré de son côté que l’attaque avait visé une “zone densément peuplée”.A Soumy, où 35 personnes ont péri dimanche dans une double-frappe de l’armée russe, une nouvelle attaque de drones a fait un mort et un blessé, a par ailleurs indiqué l’administration militaire locale.Les villes ukrainiennes sont quotidiennement la cible de frappes russes, malgré les tentatives des Etats-Unis d’amener les belligérants à des pourparlers destinés à mettre fin à plus de trois ans de combats qui ont fait des dizaines de milliers de morts.- “Même message” -C’est ainsi qu’Américains, Ukrainiens et Européens se sont retrouvés jeudi à Paris pour tenter de se coordonner sur l’attitude à adopter face au président russe Vladimir Poutine, qui reste bien déterminé à maintenir ses demandes: il souhaite la reddition de l’Ukraine, le démantèlement de son armée, son renoncement à rejoindre l’Otan et pouvoir garder les près de 20% du territoire ukrainien que son armée contrôle.Or, depuis deux mois, Donald Trump a effectué un revirement spectaculaire et inattendu avec la Russie, utilisant à plusieurs reprises la rhétorique de Moscou notamment sur les origines du conflit, faisant craindre à Kiev pour le précieux soutien militaire américain.Les Européens ont, eux, été jusque-là mis à l’écart des négociations impulsées par Washington.Certains, Emmanuel Macron en tête, poussent l’idée de la mise en place future d’un contingent de la paix européen en Ukraine une fois un éventuel cessez-le-feu établi, mais cette option divise parmi les alliés de Kiev et reste une ligne rouge pour Moscou.Les Etats-Unis “ont compris qu’une paix juste et durable (…) ne peut être atteinte qu’avec le consentement et la contribution des Européens”, a affirmé le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, sur la chaîne LCI, à l’issue des discussions jeudi. De son côté, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio, présent à Paris, a appelé son homologue russe Sergueï Lavrov pour lui transmettre le “même message” qu’aux Européens et aux Ukrainiens: “la paix est possible si toutes les parties s’engagent à parvenir à un accord”.Les deux hommes “ont convenu de la nécessité de maintenir des canaux de communication rapides”, a pour sa part indiqué la diplomatie russe, après que le Kremlin eut accusé les Européens de chercher “la poursuite de la guerre”.Jusqu’à maintenant, les efforts de l’administration Trump pour obtenir un cessez-le-feu complet n’ont pas abouti. – “Mémorandum d’intention” signé -Vladimir Poutine a rejeté la demande de Washington d’arrêt total des combats pour 30 jours, une option validée par Volodymyr Zelensky, et seul un fragile moratoire d’un mois sur les attaques visant les infrastructures énergétiques a été conclu en mars. Mais depuis, Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de le violer.En parallèle, Américains et Ukrainiens ont signé jeudi un “mémorandum d’intention”, première étape visant à conclure un accord complexe sur l’accès aux ressources naturelles et aux minerais critiques de l’Ukraine.”Nous avons un accord sur les minerais qui, je pense, sera signé jeudi (…) jeudi prochain. Bientôt. Et je suppose qu’ils vont respecter l’accord. Nous verrons bien”, a affirmé Donald Trump depuis la Maison Blanche.Une précédente mouture de l’accord aurait dû être signée le jour de la visite de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche fin février, mais son altercation avec le président américain dans le Bureau ovale avait précipité son départ sans signature du document.Le président américain souhaite que l’accord constitue une compensation pour l’aide accordée depuis trois ans à l’Ukraine par son prédécesseur, Joe Biden. Kiev appelle, de son côté, à des garanties de sécurité militaires pour dissuader la Russie d’une nouvelle attaque à grande échelle, dans l’hypothèse d’un cessez-le-feu.

Ukraine: nouvelles frappes russes meurtrières au lendemain des discussions à Paris

De nouvelles frappes russes ont visé dans la nuit de jeudi à vendredi plusieurs grandes villes d’Ukraine, faisant au moins deux morts et 40 blessés, selon les autorités, au lendemain de discussions entre les alliés de Kiev à Paris sur la position à adopter face à Moscou pour permettre la fin de l’invasion russe.Ces réunions impliquant Américains, Européens et Ukrainiens ont permis “une discussion positive et constructive”, d’après la présidence ukrainienne et le chef de l’Etat français Emmanuel Macron, au moment où les négociations de cessez-le-feu initiées par Washington peinent à avancer.Tous se sont accordés pour se retrouver dès la semaine prochaine à Londres.Dans la foulée, des frappes russes ont visé dans la nuit à Kharkiv et à Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, ont annoncé les autorités ukrainiennes.A Kharkiv, au moins une personne est morte et une quarantaine ont été blessées, a indiqué le maire de la ville, Igor Terekhov, sur Telegram, qui a précisé que plus de 20 immeubles d’habitation ont été touchés.Le gouverneur local, Oleg Synegubov, a assuré de son côté que l’attaque avait visé une “zone densément peuplée”.A Soumy, où 35 personnes ont péri dimanche dans une double-frappe de l’armée russe, une nouvelle attaque de drones a fait un mort et un blessé, a par ailleurs indiqué l’administration militaire locale.Les villes ukrainiennes sont quotidiennement la cible de frappes russes, malgré les tentatives des Etats-Unis d’amener les belligérants à des pourparlers destinés à mettre fin à plus de trois ans de combats qui ont fait des dizaines de milliers de morts.- “Même message” -C’est ainsi qu’Américains, Ukrainiens et Européens se sont retrouvés jeudi à Paris pour tenter de se coordonner sur l’attitude à adopter face au président russe Vladimir Poutine, qui reste bien déterminé à maintenir ses demandes: il souhaite la reddition de l’Ukraine, le démantèlement de son armée, son renoncement à rejoindre l’Otan et pouvoir garder les près de 20% du territoire ukrainien que son armée contrôle.Or, depuis deux mois, Donald Trump a effectué un revirement spectaculaire et inattendu avec la Russie, utilisant à plusieurs reprises la rhétorique de Moscou notamment sur les origines du conflit, faisant craindre à Kiev pour le précieux soutien militaire américain.Les Européens ont, eux, été jusque-là mis à l’écart des négociations impulsées par Washington.Certains, Emmanuel Macron en tête, poussent l’idée de la mise en place future d’un contingent de la paix européen en Ukraine une fois un éventuel cessez-le-feu établi, mais cette option divise parmi les alliés de Kiev et reste une ligne rouge pour Moscou.Les Etats-Unis “ont compris qu’une paix juste et durable (…) ne peut être atteinte qu’avec le consentement et la contribution des Européens”, a affirmé le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, sur la chaîne LCI, à l’issue des discussions jeudi. De son côté, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio, présent à Paris, a appelé son homologue russe Sergueï Lavrov pour lui transmettre le “même message” qu’aux Européens et aux Ukrainiens: “la paix est possible si toutes les parties s’engagent à parvenir à un accord”.Les deux hommes “ont convenu de la nécessité de maintenir des canaux de communication rapides”, a pour sa part indiqué la diplomatie russe, après que le Kremlin eut accusé les Européens de chercher “la poursuite de la guerre”.Jusqu’à maintenant, les efforts de l’administration Trump pour obtenir un cessez-le-feu complet n’ont pas abouti. – “Mémorandum d’intention” signé -Vladimir Poutine a rejeté la demande de Washington d’arrêt total des combats pour 30 jours, une option validée par Volodymyr Zelensky, et seul un fragile moratoire d’un mois sur les attaques visant les infrastructures énergétiques a été conclu en mars. Mais depuis, Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de le violer.En parallèle, Américains et Ukrainiens ont signé jeudi un “mémorandum d’intention”, première étape visant à conclure un accord complexe sur l’accès aux ressources naturelles et aux minerais critiques de l’Ukraine.”Nous avons un accord sur les minerais qui, je pense, sera signé jeudi (…) jeudi prochain. Bientôt. Et je suppose qu’ils vont respecter l’accord. Nous verrons bien”, a affirmé Donald Trump depuis la Maison Blanche.Une précédente mouture de l’accord aurait dû être signée le jour de la visite de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche fin février, mais son altercation avec le président américain dans le Bureau ovale avait précipité son départ sans signature du document.Le président américain souhaite que l’accord constitue une compensation pour l’aide accordée depuis trois ans à l’Ukraine par son prédécesseur, Joe Biden. Kiev appelle, de son côté, à des garanties de sécurité militaires pour dissuader la Russie d’une nouvelle attaque à grande échelle, dans l’hypothèse d’un cessez-le-feu.

‘Defend ourselves’: Refugee girls in Kenya find strength in taekwondoFri, 18 Apr 2025 06:40:29 GMT

Along one of the many dirt tracks leading into Kenya’s Kakuma refugee camp there is a large hidden compound, where inside, twice a week, adolescent girls gather to learn taekwondo, the martial arts lessons offering a safe space in the often chaotic settlement.Kakuma is Kenya’s second-largest refugee camp, home to over 300,000 people — from …

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Sri Lanka: des milliers de pèlerins pour une exposition exceptionnelle d’une relique de Bouddha

Des milliers de pèlerins ont campé toute la nuit devant le temple bouddhiste le plus sacré du Sri Lanka pour admirer vendredi une relique de Bouddha exposée pour la première fois depuis 16 ans. Environ 10.000 policiers ont été déployés pour protéger le Temple de la Dent, dans la ville de Kandy (centre) lors de cette exposition qui se clôture le 27 avril et au cours de laquelle les Bouddhistes se presseront pour voir ce qui serait la canine gauche de Bouddha. Ce temple du XVIe siècle, cible d’une attaque-suicide de rebelles tamouls en janvier 1998 qui avait fait 16 morts. “Nous prévoyons (la venue) d’environ deux millions de fidèles au cours de ces 10 jours d’exposition”,  a déclaré un responsable de la police. Les écoles ont été fermées dans la région pour accueillir le grand nombre loger les militaires venus  renforcer la sécurité. Les files d’attente pour entrer dans ce temple, le lieu de culte le plus sacré pour les cinghalais bouddhistes, s’étendaient sur plus de deux kilomètres, cinq heures avant l’ouverture de l’exposition vendredi après-midi, selon des données de la police. Plus d’un million de personnes étaient venus vénérer cette relique lors de la dernière exposition en mars 2009. La ville de Kandy, située à 112 kilomètres au nord-est de la capitale Colombo, est inscrite au  au patrimoine mondial de l’UNESCO. Lors de l’attentat de janvier 1998, l’explosion avait mis à jour des peintures murales inestimables qui avaient été recouvertes de plâtre à plusieurs reprises depuis trois siècles. Une partie de ces peintures murales, qui auraient été réalisées entre 1707 et 1739, sont désormais visibles et une copie d’une peinture d’éléphant est exposée dans le musée. 

Yémen: l’armée américaine dit avoir “détruit” un port pétrolier, les Houthis font état de 38 morts

L’armée américaine a indiqué avoir détruit un port pétrolier stratégique au Yémen où elle cible les rebelles houthis qui ont fait état vendredi de 38 morts et plus de 100 blessés, selon un nouveau bilan.”Trente-huit ouvriers et employés ont été tués et 102 autres blessés, selon un bilan provisoire de l’agression américaine sur le site pétrolier de Ras Issa”, a indiqué la chaîne de télévision Al-Massirah des Houthis, citant les autorités sanitaires de Hodeidah, ville de l’ouest du pays contrôlée par les rebelles.L’armée américaine avait annoncé jeudi avoir mené des bombardements ayant abouti à la “destruction” de ce port.Un précédent bilan faisait état de 20 morts et 50 blessés.Sur des images diffusées tôt vendredi par la chaîne des rebelles Al-Massira et présentées comme les “premières images de l’agression américaine” contre le port pétrolier, une boule de feu éclaire la zone où se trouvent des navires, tandis que d’épaisses volutes de fumée s’élèvent au-dessus de ce qui semble être un incendie.”Les équipes de secours de la défense civile et les ambulanciers déploient tous leurs efforts pour rechercher et extraire les victimes et éteindre l’incendie”, a souligné vendredi Anees Alasbahi, porte-parole du ministère de la Santé des Houthis.Des manifestations pour protester contre les frappes américaines et en signe de soutien aux Palestiniens de la bande de Gaza sont prévues vendredi au Yémen par les Houthis.Ces rebelles contrôlent de larges régions du Yémen, pays pauvre de la péninsule arabique en proie à une guerre civile depuis 2014, qui a fait des centaines de milliers de morts et provoqué une catastrophe humanitaire.- “Revenu illégal” -Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) avait expliqué jeudi que “l’objectif de ces frappes était de s’en prendre aux sources économiques du pouvoir des Houthis”.”Les Etats-Unis ont pris (ces) mesures, afin d’éliminer cette source d’hydrocarbures pour les terroristes houthis, soutenus par l’Iran, et les priver du revenu illégal qui a financé les actions des Houthis pour terroriser toute la région depuis plus de dix ans”, a ajouté le Centcom.Washington, qui a désigné les Houthis comme organisation terroriste étrangère début mars, accuse ceux-ci de s’accaparer les revenus de ce port situé au nord de Hodeida.”Ces hydrocarbures devraient être fournis de manière légitime aux habitants du Yémen”, souligne le Centcom.Jeudi, Washington a imposé des sanctions contre une banque du Yémen et ses principaux dirigeants, en raison de son soutien jugé “essentiel” aux Houthis.Le groupe rebelle est entré dans le collimateur de Washington en déclenchant, en novembre 2023, des attaques contre des navires empruntant la mer Rouge, perturbant le trafic maritime international.Les Houthis, qui disent agir en solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza où le mouvement islamiste Hamas est en guerre contre Israël depuis le 7 octobre 2023, ciblent également régulièrement Israël avec des missiles.Vendredi matin, l’armée israélienne a une nouvelle fois annoncé avoir intercepté un tel missile en provenance du Yémen.L’armée amérciaine a accentué ses frappes sur le Yémen à la mi-mars sur instruction du président américain, Donald Trump.Mercredi, les rebelles ont accusé les Etats-Unis d’avoir mené plusieurs frappes aériennes contre la capitale Sanaa, où une personne a été tuée, selon eux.  Les attaques en mer Rouge et dans le golfe d’Aden, une zone maritime essentielle pour le commerce mondial, ont poussé les Etats-Unis à mettre en place une coalition navale multinationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du Royaume-Uni.Jeudi soir, le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, a annoncé la “destruction par une frégate française d’un drone tiré depuis le Yémen”.”Nos armées continuent leur engagement pour garantir la libre circulation maritime”, a-t-il ajouté sur le réseau social X.

Yémen: l’armée américaine dit avoir “détruit” un port pétrolier, les Houthis font état de 38 morts

L’armée américaine a indiqué avoir détruit un port pétrolier stratégique au Yémen où elle cible les rebelles houthis qui ont fait état vendredi de 38 morts et plus de 100 blessés, selon un nouveau bilan.”Trente-huit ouvriers et employés ont été tués et 102 autres blessés, selon un bilan provisoire de l’agression américaine sur le site pétrolier de Ras Issa”, a indiqué la chaîne de télévision Al-Massirah des Houthis, citant les autorités sanitaires de Hodeidah, ville de l’ouest du pays contrôlée par les rebelles.L’armée américaine avait annoncé jeudi avoir mené des bombardements ayant abouti à la “destruction” de ce port.Un précédent bilan faisait état de 20 morts et 50 blessés.Sur des images diffusées tôt vendredi par la chaîne des rebelles Al-Massira et présentées comme les “premières images de l’agression américaine” contre le port pétrolier, une boule de feu éclaire la zone où se trouvent des navires, tandis que d’épaisses volutes de fumée s’élèvent au-dessus de ce qui semble être un incendie.”Les équipes de secours de la défense civile et les ambulanciers déploient tous leurs efforts pour rechercher et extraire les victimes et éteindre l’incendie”, a souligné vendredi Anees Alasbahi, porte-parole du ministère de la Santé des Houthis.Des manifestations pour protester contre les frappes américaines et en signe de soutien aux Palestiniens de la bande de Gaza sont prévues vendredi au Yémen par les Houthis.Ces rebelles contrôlent de larges régions du Yémen, pays pauvre de la péninsule arabique en proie à une guerre civile depuis 2014, qui a fait des centaines de milliers de morts et provoqué une catastrophe humanitaire.- “Revenu illégal” -Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) avait expliqué jeudi que “l’objectif de ces frappes était de s’en prendre aux sources économiques du pouvoir des Houthis”.”Les Etats-Unis ont pris (ces) mesures, afin d’éliminer cette source d’hydrocarbures pour les terroristes houthis, soutenus par l’Iran, et les priver du revenu illégal qui a financé les actions des Houthis pour terroriser toute la région depuis plus de dix ans”, a ajouté le Centcom.Washington, qui a désigné les Houthis comme organisation terroriste étrangère début mars, accuse ceux-ci de s’accaparer les revenus de ce port situé au nord de Hodeida.”Ces hydrocarbures devraient être fournis de manière légitime aux habitants du Yémen”, souligne le Centcom.Jeudi, Washington a imposé des sanctions contre une banque du Yémen et ses principaux dirigeants, en raison de son soutien jugé “essentiel” aux Houthis.Le groupe rebelle est entré dans le collimateur de Washington en déclenchant, en novembre 2023, des attaques contre des navires empruntant la mer Rouge, perturbant le trafic maritime international.Les Houthis, qui disent agir en solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza où le mouvement islamiste Hamas est en guerre contre Israël depuis le 7 octobre 2023, ciblent également régulièrement Israël avec des missiles.Vendredi matin, l’armée israélienne a une nouvelle fois annoncé avoir intercepté un tel missile en provenance du Yémen.L’armée amérciaine a accentué ses frappes sur le Yémen à la mi-mars sur instruction du président américain, Donald Trump.Mercredi, les rebelles ont accusé les Etats-Unis d’avoir mené plusieurs frappes aériennes contre la capitale Sanaa, où une personne a été tuée, selon eux.  Les attaques en mer Rouge et dans le golfe d’Aden, une zone maritime essentielle pour le commerce mondial, ont poussé les Etats-Unis à mettre en place une coalition navale multinationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du Royaume-Uni.Jeudi soir, le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, a annoncé la “destruction par une frégate française d’un drone tiré depuis le Yémen”.”Nos armées continuent leur engagement pour garantir la libre circulation maritime”, a-t-il ajouté sur le réseau social X.

China’s manufacturing backbone feels Trump trade war pinch

Sky-high tariffs imposed on China by US President Donald Trump have triggered a slump in factory orders, manufacturers told AFP this week — with some fearing business may never return.China’s vast southern province of Guangdong, crisscrossed with factories making everything from clothing to electronics, has long been the country’s biggest manufacturing hub.For decades, it has churned out products for the insatiable American consumer base, offering low prices few can compete with and serving as a key driver in China’s meteoric rise to global economic superpower status.But Trump’s drive to bring manufacturing back to the United States and launch of a brutal trade war with China now threatens to upend that — adding to the country’s already grim economic outlook.Xiao Junyi, a clothing factory owner in the province’s largest city of Guangzhou, told AFP that the US market had accounted for between 20 to 30 percent of orders.But after the tariffs were announced, “we were genuinely affected,” he said.”Our sales and orders clearly declined.”Many of his factory’s products are sold to consumers in the United States via Temu, the low-cost overseas e-commerce platform operated by Chinese retail giant PDD Holdings.In response to the US tariffs — now 145 percent for most products and as much as 245 percent on others — Temu issued a notice saying there will be reduced advertising in the US market going forward, Xiao said.The 24-year-old factory owner said he was hoping to find other markets for his clothes.”Aside from the United States, we can do business with the whole world,” he said.But he admitted it was “really unlikely” that other countries would replace the US market.”The United States is a truly developed country, and the order volume is bigger.”- ‘Boundless competition’ -Nearby, businesspeople from across the globe convened for the opening phase of the Canton Fair — a colossal trade show held every spring and autumn.The event serves as an opportunity for merchants from around the world to meet face-to-face with Chinese manufacturers and assess their products up close, establishing new supply arrangements or shoring up old contacts.But buyers from the United States this year were few and far between.Those that were there declined to comment when asked by AFP which products they were interested in — or if the tariff war would complicate business.One Chinese firm keen to make contacts was Wosen Lighting Technology, a supplier to US e-commerce juggernaut Amazon.”It’s a new round in the trade war,” Andy Lin, the firm’s business development manager, told AFP at one of its factories in nearby Zhongshan.”It becomes a case where you add tariffs and I also add tariffs — then it turns into a boundless competition,” said Lin.”This situation won’t be able to last long, because after all, it has very real impacts on all countries,” she added.”I think it will especially affect the lives of the American people.”- ‘Manufacturing powerhouse’ -The downturn in shipments to the United States could also affect the local manufacturing industry, for which Wosen provides several hundred jobs.Nevertheless, factories visited by AFP this week in Guangdong were buzzing with activity as workers sat at production lines, the air filled with the clanging and whirring of conveyor belts.Many manufacturers admitted the heightened trade war with the United States will cause turbulence for businesses.But they hoped that would encourage them to find new customers in other countries.The tariffs are also likely to cause pain among American consumers, with US Federal Reserve boss Jerome Powell warning this week that they may increase inflation in the country.As for China’s reciprocal tariffs on US goods, Lin said she was not concerned about it affecting her lifestyle — she is used to buying things on local e-commerce platforms from Chinese manufacturers.”They can all basically be produced domestically,” said Lin.”After all, China is a manufacturing powerhouse. If you are not looking for certain special products, the impact will be small.”