Nouveaux raids israéliens meurtriers à Gaza, le Hamas rejette une proposition israélienne de trêve

Le mouvement islamiste palestinien Hamas a rejeté jeudi une proposition israélienne de trêve à Gaza, réclamant un accord “complet” pour mettre fin à la guerre, après de nouvelles frappes israéliennes qui ont coûté la vie à au moins 40 Gazaouis, selon les secouristes.Le Hamas avait réservé sa réponse sur cette proposition, transmise par le médiateur égyptien. “Les accords partiels sont utilisés par (le Premier ministre israélien Benjamin) Netanyahu et son gouvernement comme couverture pour son projet politique (…) et nous ne participerons pas à cette politique”, a déclaré Khalil al-Hayya, son négociateur en chef. Le ministre des Finances israélien, Bezalel Smotrich, une figure d’extrême droite, a réagi en appelant à “intensifier les combats” à Gaza, pilonnée par l’armée israélienne qui y a aussi élargi ses opérations terrestres, depuis qu’elle y a repris son offensive le 18 mars, rompant une trêve de deux mois.Un responsable du Hamas avait indiqué lundi à l’AFP que le projet israélien prévoyait le retour, en plusieurs temps, de dix otages vivants en échange d’une trêve d'”au moins 45 jours”, de la libération de 1.231 prisonniers palestiniens détenus par Israël et du déblocage de l’entrée de l’aide humanitaire dans le territoire palestinien. Le Hamas a formellement rendu jeudi soir sa réponse par écrit aux médiateurs en Egypte et au Qatar, a dit à l’AFP un responsable du Hamas.Le Hamas “cherche un accord global impliquant un échange de prisonniers en une seule fois en échange de l’arrêt de la guerre, d’un retrait de l’occupation de la bande de Gaza, et du début de la reconstruction” dans le territoire, a ajouté Khalil al-Hayya.Israël a juré de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007 et considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne. Il exige son désarmement et le départ de ses combattants de Gaza, ce que le mouvement refuse.- “Tout a explosé” -Dans la matinée, le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a fait état “d’au moins 16 martyrs, la plupart des femmes et des enfants, dans le tir de deux missiles israéliens sur plusieurs tentes abritant des familles déplacées dans la zone d’Al-Mawassi”, dans la région de Khan Younès (sud).Un père et son enfant ont aussi été tués dans une frappe contre leur tente près d’Al-Mawassi, a-t-il ajouté.  Des images de l’AFP ont montré des tentes en feu dans le secteur, et des membres de la défense civile luttant contre les flammes, et des civils s’employant à recueillir les restes de victimes.”Soudain on a vu une lumière rouge. Puis les tentes ont explosé et pris feu. Tout a explosé. Nous avons couru vers la mer et vu le feu se propager d’une tente à l’autre. Des enfants ont été déchiquetés!”, s’exclame Israa Aboulrouss, une déplacée à Mawassi.Dans le nord de Gaza, la défense civile a aussi fait état de sept morts, “en majorité des femmes et des enfants”, dans une frappe sur une tente de déplacés à Beit Lahia. A Jabalia, une frappe a touché un abri de fortune tuant au moins sept membres d’une même famille et un raid sur une école abritant des déplacés a coûté la vie à six personnes, a-t-elle ajouté. Deux autres Palestiniens ont péri dans des tirs israéliens à Gaza-ville.Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a par ailleurs annoncé qu’un de ses locaux à Gaza avait été “endommagé par un explosif”, le deuxième incident de ce type en trois semaines, s’affirmant “scandalisé”.- “Territoire invivable” -Resserrant l’étau, l’armée israélienne a annoncé mercredi avoir transformé 30% du territoire palestinien “en périmètre de sécurité”, une zone tampon dont est bannie la population. Une “stratégie qui consiste à rendre le territoire invivable”, pour Agnès Levallois, maîtresse de conférence à la Fondation pour la recherche stratégique.La quasi-totalité des 2,4 millions de Gazaouis ont été déplacés au moins une fois depuis le début de la guerre. Alors que “chaque habitant de Gaza dépend pour survivre de l’aide humanitaire”, celle-ci est “menacée d’un effondrement total” en raison du blocus imposé par Israël sur son entrée à Gaza depuis le 2 mars, ont alerté jeudi 12 ONG dans un communiqué commun. Le Hamas a lui accusé Israël d’utiliser “la famine comme arme” de guerre.A Rafah (sud), Nidal Wresh Agha dit “prier” pour que les armes se taisent “pour que nous puissions nous reposer, tenir nos enfants près de nous, respirer à nouveau, et essayer de récupérer les fragments d’une vie enfouie dans les décombres”. La guerre a Gaza a été déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas dans le sud israélien,qui a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 mortes, selon l’armée israélienne. Durant la trêve observée du 19 janvier au 17 mars, 33 otages, dont huit morts, ont été remis à Israël, en échange de la sortie d’environ 1.800 Palestiniens des prisons israéliennes.Selon le ministère de la Santé du Hamas, au moins 1.691 Palestiniens ont été tués depuis le 18 mars, portant à 51.065 le nombre de morts à Gaza depuis le début de l’offensive de représailles israélienne il y a 18 mois.

Nouveaux raids israéliens meurtriers à Gaza, le Hamas rejette une proposition israélienne de trêve

Le mouvement islamiste palestinien Hamas a rejeté jeudi une proposition israélienne de trêve à Gaza, réclamant un accord “complet” pour mettre fin à la guerre, après de nouvelles frappes israéliennes qui ont coûté la vie à au moins 40 Gazaouis, selon les secouristes.Le Hamas avait réservé sa réponse sur cette proposition, transmise par le médiateur égyptien. “Les accords partiels sont utilisés par (le Premier ministre israélien Benjamin) Netanyahu et son gouvernement comme couverture pour son projet politique (…) et nous ne participerons pas à cette politique”, a déclaré Khalil al-Hayya, son négociateur en chef. Le ministre des Finances israélien, Bezalel Smotrich, une figure d’extrême droite, a réagi en appelant à “intensifier les combats” à Gaza, pilonnée par l’armée israélienne qui y a aussi élargi ses opérations terrestres, depuis qu’elle y a repris son offensive le 18 mars, rompant une trêve de deux mois.Un responsable du Hamas avait indiqué lundi à l’AFP que le projet israélien prévoyait le retour, en plusieurs temps, de dix otages vivants en échange d’une trêve d'”au moins 45 jours”, de la libération de 1.231 prisonniers palestiniens détenus par Israël et du déblocage de l’entrée de l’aide humanitaire dans le territoire palestinien. Le Hamas a formellement rendu jeudi soir sa réponse par écrit aux médiateurs en Egypte et au Qatar, a dit à l’AFP un responsable du Hamas.Le Hamas “cherche un accord global impliquant un échange de prisonniers en une seule fois en échange de l’arrêt de la guerre, d’un retrait de l’occupation de la bande de Gaza, et du début de la reconstruction” dans le territoire, a ajouté Khalil al-Hayya.Israël a juré de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007 et considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne. Il exige son désarmement et le départ de ses combattants de Gaza, ce que le mouvement refuse.- “Tout a explosé” -Dans la matinée, le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a fait état “d’au moins 16 martyrs, la plupart des femmes et des enfants, dans le tir de deux missiles israéliens sur plusieurs tentes abritant des familles déplacées dans la zone d’Al-Mawassi”, dans la région de Khan Younès (sud).Un père et son enfant ont aussi été tués dans une frappe contre leur tente près d’Al-Mawassi, a-t-il ajouté.  Des images de l’AFP ont montré des tentes en feu dans le secteur, et des membres de la défense civile luttant contre les flammes, et des civils s’employant à recueillir les restes de victimes.”Soudain on a vu une lumière rouge. Puis les tentes ont explosé et pris feu. Tout a explosé. Nous avons couru vers la mer et vu le feu se propager d’une tente à l’autre. Des enfants ont été déchiquetés!”, s’exclame Israa Aboulrouss, une déplacée à Mawassi.Dans le nord de Gaza, la défense civile a aussi fait état de sept morts, “en majorité des femmes et des enfants”, dans une frappe sur une tente de déplacés à Beit Lahia. A Jabalia, une frappe a touché un abri de fortune tuant au moins sept membres d’une même famille et un raid sur une école abritant des déplacés a coûté la vie à six personnes, a-t-elle ajouté. Deux autres Palestiniens ont péri dans des tirs israéliens à Gaza-ville.Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a par ailleurs annoncé qu’un de ses locaux à Gaza avait été “endommagé par un explosif”, le deuxième incident de ce type en trois semaines, s’affirmant “scandalisé”.- “Territoire invivable” -Resserrant l’étau, l’armée israélienne a annoncé mercredi avoir transformé 30% du territoire palestinien “en périmètre de sécurité”, une zone tampon dont est bannie la population. Une “stratégie qui consiste à rendre le territoire invivable”, pour Agnès Levallois, maîtresse de conférence à la Fondation pour la recherche stratégique.La quasi-totalité des 2,4 millions de Gazaouis ont été déplacés au moins une fois depuis le début de la guerre. Alors que “chaque habitant de Gaza dépend pour survivre de l’aide humanitaire”, celle-ci est “menacée d’un effondrement total” en raison du blocus imposé par Israël sur son entrée à Gaza depuis le 2 mars, ont alerté jeudi 12 ONG dans un communiqué commun. Le Hamas a lui accusé Israël d’utiliser “la famine comme arme” de guerre.A Rafah (sud), Nidal Wresh Agha dit “prier” pour que les armes se taisent “pour que nous puissions nous reposer, tenir nos enfants près de nous, respirer à nouveau, et essayer de récupérer les fragments d’une vie enfouie dans les décombres”. La guerre a Gaza a été déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas dans le sud israélien,qui a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 mortes, selon l’armée israélienne. Durant la trêve observée du 19 janvier au 17 mars, 33 otages, dont huit morts, ont été remis à Israël, en échange de la sortie d’environ 1.800 Palestiniens des prisons israéliennes.Selon le ministère de la Santé du Hamas, au moins 1.691 Palestiniens ont été tués depuis le 18 mars, portant à 51.065 le nombre de morts à Gaza depuis le début de l’offensive de représailles israélienne il y a 18 mois.

UK Jewish group launches broadside on Gaza war

Members of the largest organisation representing British Jews have said Thursday they can no longer “turn a blind eye” to the Gaza war and that “Israel’s soul is being ripped out”.In a major break with the Board of Deputies of British Jews’ policy of supporting the Israeli leadership, 36 members criticised Prime Minister  Benjamin Netanyahu’s government in an open letter published in the Financial Times.”The inclination to avert our eyes is strong, as what is happening is unbearable, but our Jewish values compel us to stand up and to speak out,” said the letter, signed by around one in eight members of the Board of Deputies.It is the first time since the start of the war, after the October 7, 2023 Hamas attacks, that members of the body have publicly criticised the Israeli government.”We cannot turn a blind eye or remain silent” about the loss of life since a two-month truce collapsed on March 18, the letter added.”Israel’s soul is being ripped out and we, members of the Board of Deputies of British Jews, fear for the future of the Israel we love and have such close ties to,” added the letter.The signatories accused the “most extremist of Israeli governments” of “openly encouraging violence against Palestinians in the West Bank.””We stand against the war. We acknowledge and mourn the loss of Palestinian life,” they added.A spokesperson for the Board of Deputies told the Guardian that other members would “no doubt put more emphasis on the fundamental responsibility of Hamas for this ghastly situation.”The president of the Board of Deputies of British Jews, Phil Rosenberg, said the letter left an “impression” the criticism was “the position of the Board of Deputies as an organisation, and therefore the position of the UK Jewish community as a whole”. He also said that Hamas “is barely mentioned” and that “absolutely no agency is given to Hamas regarding the failure of the implementation of the second stage of the hostage deal”.Hamas’s October 7 attack left 1,218 dead in Israel, mostly civilians, according to an AFP tally based on official data. Of the 251 hostages seized, 58 are still in Gaza, including 34 the Israeli military says are dead. At least 1,691 Palestinians have been killed since the resumption of the latest Israeli offensive, bringing the death toll in Gaza since the start of the war to 51,065, according to Gaza’s Hamas-controlled health ministry.

Republicans launch probe into top US university Harvard

Republicans in the US Congress announced an investigation into Harvard University on Thursday, accusing it of flouting civil rights law in an escalation of President Donald Trump’s attacks on elite institutions.The lawmakers wrote to the world-renowned education and research establishment demanding documents on its hiring practices, diversity programs and last year’s pro-Palestinian campus protests.The letter — signed by House Oversight Committee chair James Comer and House leadership chair Elise Stefanik — came with Trump seeking unprecedented levels of control over the country’s oldest and wealthiest university.Comer and Stefanik castigated Harvard President Alan Garber for rejecting demands for supervision by the White House, which has canceled $2.2 billion in funding and threatened further reprisals.”Harvard is apparently so unable or unwilling to prevent unlawful discrimination that the institution, at your direction, is refusing to enter into a reasonable settlement agreement proposed by federal officials intended to put Harvard back in compliance with the law,” they told Garber. “No matter how entitled your behavior, no institution is entitled to violate the law.”Trump — furious at Harvard for rejecting oversight of its admissions, hiring practices and political slant — told reporters the university’s conduct had been “horrific.”The president, who is in charge of every aspect of the federal government, said he was “not involved” in its fight with Harvard but had “read about it.” “I think what they did was a disgrace,” Trump told reporters at the White House. “They’re obviously anti-Semitic and all of a sudden, they’re starting to behave.”Harvard is just the latest in a series of top universities and other institutions in the administration’s crosshairs.But while New York’s Columbia University bowed to less far-ranging demands, Harvard flatly rejected the pressure, saying it would not “negotiate over its independence or its constitutional rights.”Trump said Harvard should lose its government research contracts and tax-exempt status, while administration officials threatened to ban the school from admitting foreigners, who make up more than a quarter of the student body.Trump has also targeted Brown, Cornell, Northwestern, Pennsylvania and Princeton universities, threatening each with freezes of between $175 million and $1 billion, according to US media.Republicans have said their campaign against universities is a response to what they call rampant anti-Semitism, following divisive protests against Israel’s war in Gaza that swept campuses last year.Columbia — an epicenter of the activism — agreed last month to oversight of its Middle Eastern studies department after being threatened with a loss of $400 million in federal funds.Harvard staff and students rallied against the Trump administration in a campus protest Thursday aimed at encouraging university leadership to hold the line, research fellow Avi Steinberg told AFP. “They actually want Harvard to make good on its promises to its students and its faculty to protect every single student on campus, to protect the faculty and especially faculty free speech,” he said.

Two dead as police officer’s son opens fire at US university

A mass shooting allegedly carried out by the son of a local deputy sheriff with her old service weapon left two people dead at a university in Florida, police in the southeastern US state said Thursday.Five people were hospitalized when the gunman — identified as Phoenix Ikner — rampaged through Florida State University, shooting at students, before he was shot and injured by local law enforcement.The campus was locked down as gunfire erupted, with students ordered to shelter in place as first responders swarmed the site moments after the lunchtime shootings.Leon County Sheriff Walt McNeil told reporters Ikner, 20, was a student at the university and the son of a an “exceptional” 18-year member of his staff.”Unfortunately, her son had access to one of her weapons, and that was one of the weapons that was found at the scene.He added that the suspect was part of Sheriff’s Office training programs, meaning “it’s not a surprise to us that he had access to weapons.”Ikner was taken to hospital after being shot. His condition was not immediately known.Bystander footage aired by CNN appeared to show a young man walking on a lawn and shooting at people who were trying to get away.Witnesses spoke of chaos as people began running through the sprawling campus as shots rang out near the student union.”Everyone just started running out of the student union,” a witness named Wayne told local news station WCTV.”About a minute later, we heard about eight to 10 gunshots.”The eyewitness said he saw one man who appeared to have been shot in the midsection.”The whole entire thing was just surreal. I just couldn’t believe what I was seeing.”Everything was really quiet, than all chaotic.”- ‘Make them take time’ -The two people who died were not students, police said, but refused to give further details.The university, a public institution with more than 40,000 students, cancelled all classes and told students who did not live on campus to leave.FSU President Richard McCullough said the university was working to support those affected by the attack.”This is a tragic day for Florida State University,” he said.”We’re absolutely heartbroken by the violence that occurred on our campus earlier today.”Student Sam Swartz told the Tallahassee Democrat he had been in the basement of the student union when shooting started. “Everyone started freaking out,” Swartz said, adding he had heard around 10 shots.A group of eight people huddled in a hallway and barricaded themselves with trash cans and plywood.”I remember learning to do the best you can to make them take time,” Swartz said, adding that mass shooters are “just trying to get as many people” as they can.Footage on social media showed a stream of young adults walking through corridors with their hands in the air as they evacuated the building.Mass shootings are common in the United States, where a constitutional right to bear arms trumps demands for stricter rules.That is despite widespread public support for tighter control on firearms, including restricting the sale of high-capacity clips and limiting the availability of automatic weapons of war.President Donald Trump called the shooting “a shame, a horrible thing,” but insisted that Americans should retain unfettered access to guns.”I’m a big advocate of the Second Amendment. I have been from the beginning. I protected it,” he said, referring to the part of the US Constitution gun advocates say protects firearm ownership.”These things are terrible, but the gun doesn’t do the shooting — the people do.”A tally by the non-profit Gun Violence Archive shows there have been at least 81 mass shootings — which it defines as four or more people shot — in the United States so far this year.

Netflix earnings in first quarter of 2025 top forecasts

Netflix on Thursday reported quarterly profit of $2.9 billion as revenue grew 13 percent with help from recent subscription price hikes.The streaming television service said it was “off to a good start in 2025″ on revenue of $10.5 billion in the recently ended quarter. Shares in the Silicon Valley-based company were up more than four percent in after-market trades.Revenue grew due thanks to slightly higher subscription and ad earnings, along with the timing of some expenses, according to Netflix.Netflix early this year raised premium and standard memberships in the United States two dollars more per month, to $25 and $18 respectively, while a standard ad-supported tier increased by one dollar.In a bid to boost sputtering growth, the company launched an ad-subsidized offering in late 2023 around the same time as a crackdown on sharing passwords.The streaming service had announced in January that a top priority would be growing its ad business.Netflix has been steadily improving its ad platform as viewers continue to turn away from traditional television to streaming shows on demand.”We’re executing on our 2025 priorities: improving our series and film offering and growing our ads business; further developing newer initiatives like live programming and games; and sustaining healthy revenue and profit growth,” Netflix said in a letter to shareholders.Netflix forecast revenue growth of 15 percent in the current quarter, crediting its lineup of shows and films along with improvements to its ad platform.”We remain optimistic about our 2025 slate with a lineup that includes returning favorites, series finales, new discoveries and unexpected surprises designed to thrill our members,” Netflix told shareholders.Netflix touted hits including its  “Adolescence” series that has logged some 124 million views, and the Spanish-language film “Counterattack” from Mexico.Netflix said in February it would spend $1 billion over four years producing films and series in Mexico, in a boost to that government’s efforts to attract investment in the face of US tariff threats.Investors view Netflix as a rare haven in a stock market roiled by US President Donald Trump’s stop-start  tariff plans targeting dozens of trade partners.This quarter marks a shift by Netflix to stop reporting subscriber numbers along with its earnings figures.The company, considered by analysts as the leading video streaming service, finished out last year with more than 300 million subscribers.

Trump sûr à “100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’UE sera trouvé

Donald Trump s’est dit sûr “à 100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’Union européenne serait conclu, en recevant jeudi à Washington la dirigeante italienne Giorgia Meloni, pressée par Bruxelles de parler au nom des Vingt-Sept.”Il y aura un accord commercial, à 100%”, a affirmé le président américain. La Première ministre italienne, première dirigeante européenne à visiter la Maison Blanche depuis la brutale offensive douanière lancée par son locataire, a répondu à l’unisson, “certaine” qu’un accord sera trouvé.Signe qu’il reste beaucoup à faire, Donald Trump a précisé qu’il n’était “pas pressé” et que Giorgia Meloni ne l’avait pas fait varier de stratégie.Au moment où les relations sont tendues entre l’UE et les Etats-Unis par la guerre commerciale menée par le président républicain avec ses droits de douane tous azimuts, la cheffe de la coalition ultraconservatrice au pouvoir à Rome a affirmé “ne pas pouvoir négocier au nom de l’Union européenne”.En pleine guerre commerciale, la Banque centrale européenne (BCE) vient de s’accorder pour une baisse de 0,25 point des taux directeurs pour renforcer l’économie de la zone euro.Sa présidente Christine Lagarde a déclaré jeudi que la BCE devait “faire face à l’imprévisible” et se montrer “agile” face au contexte économique mouvant.Le président américain a également déclaré que Washington était “en discussion” avec la Chine afin de résoudre leur différend commercial, assurant qu'”ils nous ont contactés à plusieurs reprises”.Les Etats-Unis appliquent au minimum 145% de droits de douane sur les produits chinois, Pékin ayant répondu par des taxes à hauteur de 125% sur les produits américains.- “Relation très spéciale” -Donald Trump a en revanche renforcé ses attaques contre Jerome Powell, le patron de la Fed, la banque centrale américaine, dont la politique de taux d’intérêts lui déplaît. “Je ne suis pas content de lui. Je lui ai fait savoir et si je veux qu’il parte, il partira vite fait, croyez-moi”, l’a défié l’hyper-président.Les relations entre Giorgia Meloni et Donald Trump, qui partagent un large socle idéologique, sur l’immigration en particulier, sont réputées très bonnes. La Première ministre, qualifiée de “dirigeante fantastique” par le républicain, avait été la seule dirigeante de l’UE invitée à son investiture en janvier.”Mon objectif est de rendre sa grandeur à l’Occident, et je pense qu’on peut le faire ensemble”, a-t-elle déclaré jeudi en référence au slogan “Make America Great Again” de Donald Trump.Soulignant cette “relation très spéciale”, de hauts responsables américains ont estimé que Giorgia Meloni pourrait servir d’intermédiaire pour un accord entre l’Europe et les Etats-Unis.”Nous sommes ouverts, nous sommes disponibles, nous sommes prêts à conclure des accords avec les pays qui prennent cela au sérieux. Nous espérons que l’Italie et l’UE en feront partie”, a déclaré un responsable de l’administration Trump aux journalistes avant la rencontre.- Cavalier seul -Le président américain Donald Trump a imposé depuis le 5 avril des droits de douane d’au moins 10% sur l’ensemble des produits entrant aux Etats-Unis, à l’exception des produits chinois largement surtaxés.Dépendante des exportations de son industrie, qui pèse près d’un quart de son PIB, Giorgia Meloni a critiqué cette offensive tarifaire tout en jouant le dialogue et exhortant Bruxelles à ne pas prendre de mesures de rétorsion.Son pas de deux avec Donald Trump inquiète ses partenaires européens, à l’instar du ministre français de l’Industrie, Marc Ferracci, qui a dit craindre, à l’annonce de la visite de Giorgia Meloni à Washington, qu’elle ne fasse cavalier seul.Une porte-parole de la Commission européenne a toutefois décrit l’initiative de Giorgia Meloni comme “bienvenue” et coordonnée avec Bruxelles.Si les deux dirigeants partagent bon nombre de positions, Donald Trump et Giorgia Meloni sont moins en phase sur l’Ukraine, que Rome a toujours ardemment défendue.Donald Trump, qui s’est rapproché de manière spectaculaire de Vladimir Poutine depuis son retour au pouvoir et dont la rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait tourné au clash fin février, a certes déclaré jeudi ne pas le “tenir pour responsable” de la guerre en Ukraine. Mais “j’estime qu’il n’a pas fait le meilleur job du monde. Je ne suis pas un grand fan”, l’a-t-il critiqué une fois de plus dans la foulée.burs-els/eml

Trump sûr à “100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’UE sera trouvé

Donald Trump s’est dit sûr “à 100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’Union européenne serait conclu, en recevant jeudi à Washington la dirigeante italienne Giorgia Meloni, pressée par Bruxelles de parler au nom des Vingt-Sept.”Il y aura un accord commercial, à 100%”, a affirmé le président américain. La Première ministre italienne, première dirigeante européenne à visiter la Maison Blanche depuis la brutale offensive douanière lancée par son locataire, a répondu à l’unisson, “certaine” qu’un accord sera trouvé.Signe qu’il reste beaucoup à faire, Donald Trump a précisé qu’il n’était “pas pressé” et que Giorgia Meloni ne l’avait pas fait varier de stratégie.Au moment où les relations sont tendues entre l’UE et les Etats-Unis par la guerre commerciale menée par le président républicain avec ses droits de douane tous azimuts, la cheffe de la coalition ultraconservatrice au pouvoir à Rome a affirmé “ne pas pouvoir négocier au nom de l’Union européenne”.En pleine guerre commerciale, la Banque centrale européenne (BCE) vient de s’accorder pour une baisse de 0,25 point des taux directeurs pour renforcer l’économie de la zone euro.Sa présidente Christine Lagarde a déclaré jeudi que la BCE devait “faire face à l’imprévisible” et se montrer “agile” face au contexte économique mouvant.Le président américain a également déclaré que Washington était “en discussion” avec la Chine afin de résoudre leur différend commercial, assurant qu'”ils nous ont contactés à plusieurs reprises”.Les Etats-Unis appliquent au minimum 145% de droits de douane sur les produits chinois, Pékin ayant répondu par des taxes à hauteur de 125% sur les produits américains.- “Relation très spéciale” -Donald Trump a en revanche renforcé ses attaques contre Jerome Powell, le patron de la Fed, la banque centrale américaine, dont la politique de taux d’intérêts lui déplaît. “Je ne suis pas content de lui. Je lui ai fait savoir et si je veux qu’il parte, il partira vite fait, croyez-moi”, l’a défié l’hyper-président.Les relations entre Giorgia Meloni et Donald Trump, qui partagent un large socle idéologique, sur l’immigration en particulier, sont réputées très bonnes. La Première ministre, qualifiée de “dirigeante fantastique” par le républicain, avait été la seule dirigeante de l’UE invitée à son investiture en janvier.”Mon objectif est de rendre sa grandeur à l’Occident, et je pense qu’on peut le faire ensemble”, a-t-elle déclaré jeudi en référence au slogan “Make America Great Again” de Donald Trump.Soulignant cette “relation très spéciale”, de hauts responsables américains ont estimé que Giorgia Meloni pourrait servir d’intermédiaire pour un accord entre l’Europe et les Etats-Unis.”Nous sommes ouverts, nous sommes disponibles, nous sommes prêts à conclure des accords avec les pays qui prennent cela au sérieux. Nous espérons que l’Italie et l’UE en feront partie”, a déclaré un responsable de l’administration Trump aux journalistes avant la rencontre.- Cavalier seul -Le président américain Donald Trump a imposé depuis le 5 avril des droits de douane d’au moins 10% sur l’ensemble des produits entrant aux Etats-Unis, à l’exception des produits chinois largement surtaxés.Dépendante des exportations de son industrie, qui pèse près d’un quart de son PIB, Giorgia Meloni a critiqué cette offensive tarifaire tout en jouant le dialogue et exhortant Bruxelles à ne pas prendre de mesures de rétorsion.Son pas de deux avec Donald Trump inquiète ses partenaires européens, à l’instar du ministre français de l’Industrie, Marc Ferracci, qui a dit craindre, à l’annonce de la visite de Giorgia Meloni à Washington, qu’elle ne fasse cavalier seul.Une porte-parole de la Commission européenne a toutefois décrit l’initiative de Giorgia Meloni comme “bienvenue” et coordonnée avec Bruxelles.Si les deux dirigeants partagent bon nombre de positions, Donald Trump et Giorgia Meloni sont moins en phase sur l’Ukraine, que Rome a toujours ardemment défendue.Donald Trump, qui s’est rapproché de manière spectaculaire de Vladimir Poutine depuis son retour au pouvoir et dont la rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait tourné au clash fin février, a certes déclaré jeudi ne pas le “tenir pour responsable” de la guerre en Ukraine. Mais “j’estime qu’il n’a pas fait le meilleur job du monde. Je ne suis pas un grand fan”, l’a-t-il critiqué une fois de plus dans la foulée.burs-els/eml

Trump sûr à “100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’UE sera trouvé

Donald Trump s’est dit sûr “à 100%” qu’un accord sur les droits de douane avec l’Union européenne serait conclu, en recevant jeudi à Washington la dirigeante italienne Giorgia Meloni, pressée par Bruxelles de parler au nom des Vingt-Sept.”Il y aura un accord commercial, à 100%”, a affirmé le président américain. La Première ministre italienne, première dirigeante européenne à visiter la Maison Blanche depuis la brutale offensive douanière lancée par son locataire, a répondu à l’unisson, “certaine” qu’un accord sera trouvé.Signe qu’il reste beaucoup à faire, Donald Trump a précisé qu’il n’était “pas pressé” et que Giorgia Meloni ne l’avait pas fait varier de stratégie.Au moment où les relations sont tendues entre l’UE et les Etats-Unis par la guerre commerciale menée par le président républicain avec ses droits de douane tous azimuts, la cheffe de la coalition ultraconservatrice au pouvoir à Rome a affirmé “ne pas pouvoir négocier au nom de l’Union européenne”.En pleine guerre commerciale, la Banque centrale européenne (BCE) vient de s’accorder pour une baisse de 0,25 point des taux directeurs pour renforcer l’économie de la zone euro.Sa présidente Christine Lagarde a déclaré jeudi que la BCE devait “faire face à l’imprévisible” et se montrer “agile” face au contexte économique mouvant.Le président américain a également déclaré que Washington était “en discussion” avec la Chine afin de résoudre leur différend commercial, assurant qu'”ils nous ont contactés à plusieurs reprises”.Les Etats-Unis appliquent au minimum 145% de droits de douane sur les produits chinois, Pékin ayant répondu par des taxes à hauteur de 125% sur les produits américains.- “Relation très spéciale” -Donald Trump a en revanche renforcé ses attaques contre Jerome Powell, le patron de la Fed, la banque centrale américaine, dont la politique de taux d’intérêts lui déplaît. “Je ne suis pas content de lui. Je lui ai fait savoir et si je veux qu’il parte, il partira vite fait, croyez-moi”, l’a défié l’hyper-président.Les relations entre Giorgia Meloni et Donald Trump, qui partagent un large socle idéologique, sur l’immigration en particulier, sont réputées très bonnes. La Première ministre, qualifiée de “dirigeante fantastique” par le républicain, avait été la seule dirigeante de l’UE invitée à son investiture en janvier.”Mon objectif est de rendre sa grandeur à l’Occident, et je pense qu’on peut le faire ensemble”, a-t-elle déclaré jeudi en référence au slogan “Make America Great Again” de Donald Trump.Soulignant cette “relation très spéciale”, de hauts responsables américains ont estimé que Giorgia Meloni pourrait servir d’intermédiaire pour un accord entre l’Europe et les Etats-Unis.”Nous sommes ouverts, nous sommes disponibles, nous sommes prêts à conclure des accords avec les pays qui prennent cela au sérieux. Nous espérons que l’Italie et l’UE en feront partie”, a déclaré un responsable de l’administration Trump aux journalistes avant la rencontre.- Cavalier seul -Le président américain Donald Trump a imposé depuis le 5 avril des droits de douane d’au moins 10% sur l’ensemble des produits entrant aux Etats-Unis, à l’exception des produits chinois largement surtaxés.Dépendante des exportations de son industrie, qui pèse près d’un quart de son PIB, Giorgia Meloni a critiqué cette offensive tarifaire tout en jouant le dialogue et exhortant Bruxelles à ne pas prendre de mesures de rétorsion.Son pas de deux avec Donald Trump inquiète ses partenaires européens, à l’instar du ministre français de l’Industrie, Marc Ferracci, qui a dit craindre, à l’annonce de la visite de Giorgia Meloni à Washington, qu’elle ne fasse cavalier seul.Une porte-parole de la Commission européenne a toutefois décrit l’initiative de Giorgia Meloni comme “bienvenue” et coordonnée avec Bruxelles.Si les deux dirigeants partagent bon nombre de positions, Donald Trump et Giorgia Meloni sont moins en phase sur l’Ukraine, que Rome a toujours ardemment défendue.Donald Trump, qui s’est rapproché de manière spectaculaire de Vladimir Poutine depuis son retour au pouvoir et dont la rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait tourné au clash fin février, a certes déclaré jeudi ne pas le “tenir pour responsable” de la guerre en Ukraine. Mais “j’estime qu’il n’a pas fait le meilleur job du monde. Je ne suis pas un grand fan”, l’a-t-il critiqué une fois de plus dans la foulée.burs-els/eml

Trump says US ‘talking’ to China on tariffs

President Donald Trump said Thursday that the United States was in talks with China on tariffs, adding that he was confident the world’s largest economies could make a deal to end a bitter trade war.”Yeah, we’re talking to China,” Trump told reporters in the Oval Office. “I would say they have reached out a number of times.”Trump confirmed that the talks had happened since he upped tariffs on China to a whopping 145 percent, after Beijing retaliated to his sweeping “Liberation Day” worldwide levies.But Trump was cagey when asked if he had spoken directly with Chinese President Xi Jinping, despite having dropped several hints in the past that he has.”I’ve never said whether or not they’ve happened,” he said when asked about talks with Xi. “It’s just not appropriate.”Pressed by reporters whether Xi had reached out to him, Trump replied: “You’d think it was pretty obvious that he has, but we will talk about that soon.”Trump’s administration is locked in a war of sky-high reciprocal tariffs with superpower rival China that has unnerved world markets.”I think we’re going to make a very good deal with China,” he said at the White House earlier as Italian Prime Minister Giorgia Meloni visited for talks aimed at ending US tariffs on the European Union.