Indian rupee hits fresh record low past 90 per dollar

India’s rupee fell to a fresh record low of over 90 per dollar Wednesday, extending recent declines, with traders partly blaming the delay in striking a trade deal with the United States.The rupee is among Asia’s worst forex performers this year, pressured by India’s current account deficit and foreign outflows.New Delhi’s early trade negotiations with Washington sparked optimism that foreign capital would flow into the world’s fifth-largest economy — helping push the rupee to a nearly six-month-high of 83.75 against the dollar in May.But setbacks in trade talks and weak corporate earnings have caused overseas investors to offload well over $16 billion in Indian shares this year so far.On Wednesday morning, the rupee weakened as much as 0.35 percent to a symbolic new low of 90.19, according to Bloomberg data.Dilip Parmar, an analyst at HDFC Securities, told AFP the rupee’s fall was “first and foremost” an “imbalance of demand and supply” with foreign fund outflows and trade deal uncertainty adding fuel to the fire.But another key factor, Parmar added, was a lack of “big and impactful” intervention from India’s central bank.Analysts say the Reserve Bank of India (RBI) has this year sporadically defended the rupee through aggressive dollar sales to support key levels, but also appears of late to be allowing greater currency flexibility.”Defending a specific level in the current macro backdrop would be costly and counterproductive,” Raj Gaikar, research analyst at SAMCO Securities, told AFP.”With inflation running well below earlier expectations, the policy priority has shifted toward supporting growth rather than expending reserves to hold an artificial line,” he said.The central bank was intervening only to ease volatility, not to reverse a trend driven by fundamentals, Gaikar added.He expects the rupee to settle in a “88-92 range”.”This more hands-off approach signals a transition to a market-aligned regime rather than a rigid defence of symbolic levels,” he said.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Sécheresse en Iran: les barrages de Téhéran à moitié vides

Le niveau d’eau des barrages de Téhéran et sa périphérie est inférieur de moitié à celui de l’an dernier en raison d’une sécheresse historique, selon les médias d’Etat, au moment où les autorités iraniennes alertent sur le risque de pénurie.L’Iran est confronté cette année à sa pire sécheresse depuis six décennies et à Téhéran, la capitale, le faible niveau des précipitations est “quasiment sans précédent depuis un siècle”, avait affirmé en octobre un responsable local. Téhéran a connu tardivement lundi ses premières pluies d’automne mais elles restent largement insuffisantes.”Le troisième mois de l’automne a débuté avec seulement 1,7 millimètre de précipitations”, en repli de 96% sur un an, a déclaré Rama Habibi, un responsable de la Compagnie des eaux de Téhéran.”Le volume total (en eau) des réservoirs des barrages de la province de Téhéran est actuellement de 170 millions de mètres cubes”, a souligné M. Habibi, cité mardi soir par l’agence de presse officielle Irna.Ce volume était un an plus tôt de 381 millions de mètres cubes.Le président iranien Massoud Pezeshkian a plusieurs fois averti que Téhéran, une ville de plus de 10 millions d’habitants, pourrait devoir être évacuée faute de pluie, sans préciser comment une opération d’une telle ampleur serait menée.Pour économiser l’eau, le gouvernement a annoncé en novembre des coupures périodiques la nuit.Téhéran, nichée sur le versant sud du massif de l’Alborz, connaît des étés chauds et secs, des automnes parfois pluvieux et des hivers qui peuvent être rigoureux et enneigés.Dans les 31 provinces que compte l’Iran, les précipitations sont cette année inférieures à la normale, selon l’agence Isna.Dans quatre provinces – Bouchehr (sud-ouest), Khorasan du Sud (est), Qom et Yazd (centre) – la situation est particulièrement critique, avec des précipitations inférieures à 100% à la normale, a rapporté dimanche l’agence Isna.

Accord au sein de l’UE pour y interdire le gaz russe à l’automne 2027

Un accord a été trouvé entre eurodéputés et Etats européens pour interdire toutes les importations de gaz russe dans l’UE à l’automne 2027, ont-ils indiqué dans la nuit de mardi à mercredi.C’est un compromis entre le Parlement européen, qui souhaitait une interdiction plus rapide, et les Etats membres qui voulaient prendre un peu plus de temps. Pour les gazoducs, l’interdiction des contrats de long terme, les plus sensibles car ils courent parfois sur des dizaines d’années, entrera en vigueur le 30 septembre 2027, sous réserve que les stocks soient suffisants et s’appliquera au plus tard le 1er novembre 2027.Pour le gaz naturel liquéfié, le GNL, l’interdiction des contrats longs s’appliquera dès le 1er janvier 2027, conformément aux annonces de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen pour sanctionner la Russie.Pour les contrats courts, l’interdiction s’appliquera à partir du 25 avril 2026 pour le gaz naturel liquéfié et du 17 juin 2026 pour le gaz acheminé par gazoduc Ce calendrier devra être approuvé une dernière fois par les Etats membres et le Parlement, mais cet accord ouvre la voie à un vote sans suspense.Les entreprises européennes pourront invoquer un cas de “force majeure” afin de justifier légalement ces ruptures contractuelles, en mentionnant l’interdiction d’importation décidée par l’UE.L’exécutif européen a opté pour une proposition législative plutôt que des sanctions, car elle peut être adoptée à la majorité qualifiée des Etats membres.Le but est d’éviter un veto de la Hongrie et de la Slovaquie, considérées comme proches de Moscou et fermement opposées à ces mesures.Près de quatre ans après l’invasion de l’Ukraine, l’Union européenne veut priver la Russie de la manne financière tirée de son gaz.La part du gaz russe dans les importations de gaz de l’Union européenne est passée de 45% en 2021 à 19% en 2024.Mais si l’UE s’est efforcée de réduire ses approvisionnements par gazoducs, elle s’est en partie tournée vers le gaz naturel liquéfié (GNL), transporté par navire, déchargé dans des ports, regazéifié puis injecté dans le réseau européen.Derrière les Etats-Unis (45%), la Russie occupe une place centrale avec 20% des importations de GNL de l’UE en 2024, soit 20 milliards de mètres cubes sur la centaine de milliards importés.

Sri Lanka counts cyclone cost as toll hits 465

Sri Lankan authorities said Wednesday they would need some $7 billion to rebuild homes, industries and roads destroyed by Cyclone Ditwah, which has left at least 465 people dead so far.Hopes have faded for the 366 other people unaccounted for after mudslides and floods triggered by the cyclone, which brought record rains across the island last week.”Our initial estimate is that we will need about six to seven billion dollars for the reconstruction,” said Prabath Chandrakeerthi, the Commissioner-General of Essential Services who is leading the massive recovery effort.Chandrakeerthi added that the government was providing 25,000 rupees ($81) to each family to help clean their homes, while those who lost their homes would receive up to 2.5 million rupees ($8,100).President Anura Kumara Dissanayake said foreign assistance was essential to finance the recovery, as the country was still emerging from its worst ever economic crisis three years ago.Dissanayake declared a state of emergency on Saturday and has vowed to rebuild with international support.”We were just coming out of the economic crisis when we were hit by this disaster, which is the biggest challenge faced by any government,” Dissanayake told his top officials on Tuesday.Sri Lanka declared a sovereign default on its $46 billion external debt in April 2022 after the country ran out of foreign exchange to finance even the most essential imports, such as food, fuel and medicines.The country secured a $2.9 billion bailout loan from the IMF, which has said the economy has since stabilised, but Sri Lanka must maintain its reforms, including austerity measures.The crisis in 2022 led to months of street protests which forced then-president Gotabaya Rajapaksa to step down.Floodwaters in the capital Colombo were receding Wednesday after major flooding over the weekend.Over 1.5 million people in the country have been affected by the natural disaster, with some 200,000 in state-run shelters.Some of the worst-affected areas in the central hills remain inaccessible, and authorities were working to clear the roads and restore communication lines.Despite the disaster, the tourism-reliant country welcomed a luxury cruiseliner to Colombo port on Tuesday, authorities said.The arrival sends “a clear message to the world: Sri Lanka is safe, open, and ready to embrace visitors once again,” the country’s tourist board said.

Dans un fief républicain du Tennessee, une victoire en demi-teinte pour le camp Trump

Les républicains ont remporté mardi une législative partielle dans le Tennessee, mais avec une marge bien plus faible que celle obtenue par Donald Trump dans cette circonscription en 2024, envoyant de nouveaux signaux d’alarme pour la majorité présidentielle à moins d’un an des élections de mi-mandat.Selon les projections du New York Times, CNN et NBC, …

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Washington ne fait “que commencer” à couler des embarcations du narcotrafic, dit le chef du Pentagone

Le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, a surenchéri mardi en défendant les frappes de Washington contre des embarcations de narcotrafiquants présumés, affirmant qu’elles ne faisaient que débuter malgré la remise en question de leur légalité par des experts.L’administration du président Donald Trump est critiquée pour ses frappes en mer des Caraïbes et dans …

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