Japan’s long-term borrowing costs, gold hit record highs

A global bond selloff extended into Asia on Wednesday with yields in Japan hitting record levels, while gold reached a new peak as investors fret about public finances in countries from Japan to the United States.Investors in Japan are also reacting to concerns that Prime Minister Shigeru Ishiba might soon be forced to step down after the number two in his ruling Liberal Democratic Party (LDP) offered to quit on Tuesday over July’s disastrous upper house election.Asian indexes were largely in the red, with Tokyo down 0.9 percent and Shanghai more than one percent lower at the close.European markets opened higher.Yields on 30-year Japanese government bonds rose to an all-time high of 3.29 percent, while 20-year yields reached 2.69 percent — their highest since 1999.”The Japanese 30-year yield’s breach of 3.25 percent may prove far more destabilising than local politics,” Stephen Innes of SPI Asset Management wrote in a note.”A clean break above that threshold doesn’t just unsettle Japanese savers; it forces insurers, pensions, and reserve managers worldwide to recalibrate their models. Once those rebalancing dominoes start to fall, equity markets everywhere feel the aftershocks,” Innes said.Japan is due to hold a 30-year bond auction on Thursday, though buyer interest has been muted.”The selloff in long-duration bonds is fuelled by several factors: concerns over ballooning sovereign debt, political hurdles to fiscal tightening… and structurally higher inflation,” said Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at Swissquote Bank.The selloff in Japanese debt mirrors widespread moves in the United States and Europe, with investors spooked over substantial piles of government debt globally.The US 30-year yield flirted with the five-percent mark, while Britain’s 30-year gilt yield climbed to levels not seen since 1998. In France, the 30-year yield spiked to 4.5 percent for the first time since 2009 — highlighting concerns around a budget standoff in Paris.Traders have been turning to traditional safe havens, pushing gold to a record high of $3,546.96 an ounce.Prices have risen five percent over the last six days, with traders nervous over the US Federal Reserve’s future after President Donald Trump attempted to fire Fed Governor Lisa Cook.”President Trump’s return to the White House may have altered investor preference of safe havens,” said Carol Kong of the Commonwealth Bank of Australia.”Gold outperformed, gaining more than 30 percent year‑to‑date. The risk is the USD further loses its safe haven appeal if President Trump continues to undermine the independence of key US institutions, particularly the Federal Reserve.”- Key figures at around 0830 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.9 percent at 41,938.89 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.6 percent at 25,343.43 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.2 percent at 3,813.56 (close) London – FTSE 100: UP 0.4 percent at 9,151.80Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,715.60Frankfurt – DAX: UP 0.5 percent at 23,611.50New York – Dow: DOWN 0.6 percent at 45,295.81 (close)Euro/dollar: DOWN at 1.1632 from $1.1640 on TuesdayPound/dollar: DOWN at 1.3365 at from $1.3394Dollar/yen: UP at 148.78 from 148.37 yen Euro/pound: UP at 87.03 pence from 86.92 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.3 at $68.91 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $65.39 per barrel

Vote de confiance: Bayrou juge la démarche du PS “pas très cohérente”

François Bayrou a jugé mercredi “pas très cohérente” la démarche du Parti socialiste de “vouloir abattre son gouvernement” lors du vote de confiance du 8 septembre tout en réclamant de gouverner ensuite avec “le soutien du bloc central”. “Est ce qu’il est logique, cohérent de dire +je vais abattre votre gouvernement et après vous me soutiendrez?+”, s’est interrogé le Premier ministre sur BFMTV/RMC. “Je ne suis pas sûr que ça marche parce qu’il y a un minimum de logique dans la vie. La démarche d’Olivier Faure, dont il ne fait pas mystère qu’il veut devenir Premier ministre, cette démarche me paraît risquée, pas très cohérente et pas très logique”, a jugé M. Bayrou qui restera, même s’il quitte Matignon, le leader d’un des partis du bloc central.Le Premier secrétaire du PS Olivier Faure réclame qu’Emmanuel Macron nomme un Premier ministre de gauche et s’est dit prêt à ne pas recourir à l’article 49.3 de la Constitution pour gouverner, ce qui suppose de trouver des compromis avec le bloc central, faute de majorité pour la gauche à l’Assemblée.François Bayrou doit rencontrer les socialistes jeudi mais n’a fait aucune concession réelle à leur égard mercredi qui leur permettrait de revenir sur leur décision de toute façon “irrévocable” selon M. Faure.Au contraire, il a de nouveau balayé les propositions budgétaires du PS, qui veut diviser par deux l’année prochaine l’effort budgétaire voulu par le Premier ministre de 44 milliards d’euros.”Ce n’est pas diviser l’effort, c’est décider qu’on va de nouveau emprunter 20 et quelques milliards supplémentaires”, a-t-il jugé.Même sur la mesure la plus impopulaire de son plan, la suppression de deux jours fériés, il s’est contenté de répéter sans conviction qu’il était “ouvert” à la réexaminer à condition que les 4 milliards que cette suppression devait rapporter soient compensés “Je suis ouvert à ce que nous trouvions une organisation qui permette d’obtenir les mêmes buts sans avoir les inconvénients, à supposer que ces inconvénients soient majeurs”, a-t-il répondu dans une périphrase. En dépit de l’arithmétique qui lui annonce une chute certaine lundi, il a refusé de se montrer “défaitiste”.”Si vous êtes représentant du peuple, comme c’est la vocation d’un député, alors vous devez vous demander où est l’intérêt national”, a-t-il lancé aux députés. 

Vote de confiance: Bayrou juge la démarche du PS “pas très cohérente”

François Bayrou a jugé mercredi “pas très cohérente” la démarche du Parti socialiste de “vouloir abattre son gouvernement” lors du vote de confiance du 8 septembre tout en réclamant de gouverner ensuite avec “le soutien du bloc central”. “Est ce qu’il est logique, cohérent de dire +je vais abattre votre gouvernement et après vous me soutiendrez?+”, s’est interrogé le Premier ministre sur BFMTV/RMC. “Je ne suis pas sûr que ça marche parce qu’il y a un minimum de logique dans la vie. La démarche d’Olivier Faure, dont il ne fait pas mystère qu’il veut devenir Premier ministre, cette démarche me paraît risquée, pas très cohérente et pas très logique”, a jugé M. Bayrou qui restera, même s’il quitte Matignon, le leader d’un des partis du bloc central.Le Premier secrétaire du PS Olivier Faure réclame qu’Emmanuel Macron nomme un Premier ministre de gauche et s’est dit prêt à ne pas recourir à l’article 49.3 de la Constitution pour gouverner, ce qui suppose de trouver des compromis avec le bloc central, faute de majorité pour la gauche à l’Assemblée.François Bayrou doit rencontrer les socialistes jeudi mais n’a fait aucune concession réelle à leur égard mercredi qui leur permettrait de revenir sur leur décision de toute façon “irrévocable” selon M. Faure.Au contraire, il a de nouveau balayé les propositions budgétaires du PS, qui veut diviser par deux l’année prochaine l’effort budgétaire voulu par le Premier ministre de 44 milliards d’euros.”Ce n’est pas diviser l’effort, c’est décider qu’on va de nouveau emprunter 20 et quelques milliards supplémentaires”, a-t-il jugé.Même sur la mesure la plus impopulaire de son plan, la suppression de deux jours fériés, il s’est contenté de répéter sans conviction qu’il était “ouvert” à la réexaminer à condition que les 4 milliards que cette suppression devait rapporter soient compensés “Je suis ouvert à ce que nous trouvions une organisation qui permette d’obtenir les mêmes buts sans avoir les inconvénients, à supposer que ces inconvénients soient majeurs”, a-t-il répondu dans une périphrase. En dépit de l’arithmétique qui lui annonce une chute certaine lundi, il a refusé de se montrer “défaitiste”.”Si vous êtes représentant du peuple, comme c’est la vocation d’un député, alors vous devez vous demander où est l’intérêt national”, a-t-il lancé aux députés. 

Trump says 11 dead in US strike on drug-carrying boat from Venezuela

President Donald Trump said US forces had attacked a boat carrying drugs to the United States Tuesday, killing 11 “narcoterrorists” from a gang he alleged was controlled by leftist Venezuelan leader Nicolas Maduro.Trump posted a video online of an open-topped speedboat carrying a number of people traveling on a body of water before it exploded in a ball of flames. The move is a potentially significant escalation in the standoff between Caracas and Washington, after the United States deployed eight warships to Latin America in what it bills as a war on drug trafficking.Trump initially announced at the White House that US forces had “shot out a boat… a drug carrying boat, lots of drugs in that boat” without giving details.The Republican later posted a statement about the strike on his Truth Social network, along with the black and white video of the exploding boat.”Earlier this morning, on my Orders, U.S. Military Forces conducted a kinetic strike against positively identified Tren de Aragua Narcoterrorists,” Trump said, without specifying the weapon used.”The strike occurred while the terrorists were at sea in International waters transporting illegal narcotics, heading to the United States. The strike resulted in 11 terrorists killed in action.”No US forces were harmed, Trump added.He went on to allege that Tren de Aragua — a Venezuelan group he has frequently referred to as part of his crackdown on undocumented migration — was “operating under the control of Nicolas Maduro.”The United States designated the gang a terrorist organization earlier this year.”Please let this serve as notice to anybody even thinking about bringing drugs into the United States of America. BEWARE!” Trump added in his post.AFP has not been able to verify the number of people in the boat and their identities.- ‘Full might’ -Secretary of State Marco Rubio, a vociferous critic of Maduro, vowed separately to keep using the “full might” of the United States to “eradicate” drug cartels.Trump has “been very clear that he’s going to use the full power of America, the full might of the United States, to take on and eradicate these drug cartels, no matter where they’re operating from,” Rubio told reporters as he left Miami for a visit to Mexico.Rubio earlier said on X that the vessel had “departed from Venezuela.”Venezuela’s Maduro has cast the recent US deployment as a threat to the country.There are currently eight US Navy ships involved in counter-narcotics efforts in Latin America: three amphibious assault ships, two destroyers, a cruiser and a littoral combat ship in the Caribbean and a destroyer in the eastern Pacific, a US defense official said Tuesday on condition of anonymity.The announcement of the strike followed days of mounting tension between Washington and Caracas, with Maduro declaring a state of “maximum readiness” to defend against what he says are US military threats.Maduro has been in Trump’s crosshairs since the Republican’s first term from 2017 to 2021.But the US president’s policy of maximum pressure, including an oil embargo, has failed to dislodge the Venezuelan leader from power.Washington has doubled to $50 million a bounty for the capture of Maduro, whose re-election in 2024 and 2018 were not recognized by the United States or much of the international community amid allegations of fraud and voter oppression.Analysts have told AFP that the deployment of the US warships was likely aimed at ramping up pressure on Maduro, who has repeatedly accused Trump of attempting to bring about regime change.Last week, Caracas petitioned the United Nations to intervene in the dispute by demanding “the immediate cessation of the US military deployment in the Caribbean.”And on Monday, Maduro said Venezuela was prepared for “a period of armed struggle in defense of the national territory” in case of an attack.Venezuelan opposition leader Maria Corina Machado said in a video message on Tuesday that the fall of the Maduro administration was “not far off” and that “Venezuela will soon be free.””With each passing day, the net cast by Western democrats over the narco-terrorist cartel… closes in,” she said in a video shown at a Venezuelan opposition event in Panama City.dk-wd-sct-hol/mtp

Japan’s ex-Suntory chief says CBD was for jet lag

The CEO of Japanese spirits giant Suntory who resigned over a drugs probe said Wednesday he was innocent, and that he was recommended cannabidiol to cope with his hard travel schedule. Takeshi Niinami, one of Japan’s best-known business people, quit this week after he was put under investigation regarding his involvement in supplements sent from the United States to Japan. “I have not broken the law and consider myself innocent,” Niinami told a press conference. The 66-year-old said he believed he bought products with the active ingredient cannabidiol, or CBD, that do not break Japan’s strict drug law.   “I travel frequently for work, so I suffer terribly from jet lag,” said Niinami who has served as an economic adviser to Prime Minister Shigeru Ishiba.”That’s why my acquaintance… strongly recommended CBD.” Japan has strict drug laws and possession can result in jail time. The rule Japan introduced in 2023 leaves CBD products unregulated, but it targets THC — the psychoactive substance that makes people high.Niinami was suspected of importing products containing THC, local media reported. But he said he used to buy the same product in Japan, and believed those in the US were safe to purchase. Police searched his home last month after the arrest of the brother of an acquaintance who received a package containing supplements from the United States.Public broadcaster NHK said police learnt that the brother intended to send it to Niinami’s house in Tokyo.The former CEO, however, said he “was not informed of this at all, and it is unclear whether it is the supplements I purchased”. Suntory on Tuesday said the company had accepted Niinami’s resignation, saying authorities will determine whether the supplements are illegal.However, company president Nobuhiro Torii said the company concluded that Niinami’s actions “inevitably fall short of the qualities required” of a CEO.Niinami will refrain from activities as the head of business lobby Keizai Doyukai for the moment and leave the decision whether he will stay in the group. He joined Suntory Holdings in 2014, after serving as CEO of convenience store chain Lawson.Suntory is known for its internationally acclaimed whisky and has become one of the world’s biggest spirits makers after acquiring the US maker of Jim Beam, a few months before Niinami joined. In 2024, the German-born former CEO of optical equipment firm Olympus was found guilty of a drug charge.In 2017, a German executive working at Volkswagen’s Tokyo office was arrested on suspicion of drug use.

Pour produire plus, il y a “d’autres manières” que supprimer des jours fériés, selon de Montchalin

La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a estimé mercredi qu’il y avait “évidemment plein d’autres manières” que la suppression de deux jours fériés pour “encourager à produire plus” en France, souhaitant notamment une répartition élargie des cotisations sociales. “Les jours fériés, c’était quoi l’intention politique ? C’est de dire +dans notre pays, si on produit pas plus, (…), s’il n’y a pas plus de croissance, nous n’arriverons pas dans le temps à financer notre modèle social, nos services publics+”, a déclaré Mme de Montchalin sur la radio franceinfo. “Il y a évidemment plein d’autres manières d’encourager à produire plus. Il y a évidemment plein d’autres manières de s’assurer que si on travaille plus, on gagne plus”, a-t-elle ajouté. Elle était interrogée sur des propos du Premier ministre François Bayrou, qui s’est dit mercredi sur BFMTV “ouvert” à réexaminer la suppression de deux jours fériés en cas de solution alternative pouvant rapporter 4,2 milliards d’euros. “Pour moi, la plus grande conviction, c’est qu’il faut que les actifs ne soient pas les seuls à financer la solidarité nationale, la santé et tous les enjeux de modèle social”, a déclaré Amélie de Montchalin: “dans un pays où on est 70 millions, on ne peut pas dire aux 30 millions d’actifs +vous payez pour tout le monde+”. “Et donc je propose qu’une partie des cotisations sur le travail payées par les entreprises, payées par les salariés, payées par les fonctionnaires, payées par nous, actifs qui travaillons, soient re-réparties sur toutes les richesses”, a-t-elle développé, citant le capital, l’épargne, le foncier, l’héritage ou la consommation. Une augmentation de la TVA? “Ca peut être, mais ce n’est pas obligé”, a-t-elle dit. “Concrètement, je prends votre feuille de paie et on pourrait dire: on retire des charges qui pèsent sur les entreprises pour qu’elles puissent investir et vous augmenter; et je retire des charges qui pèsent sur les salariés pour que, directement sur votre feuille de paie, il y ait plus d’argent.”Concernant la taxation des plus aisés, la ministre des Comptes publics a indiqué qu’il y avait “plusieurs options” sur la table pour s’assurer que ceux-ci paient l’impôt “que tous les Français paient” ou viser des holdings permettant de contourner l’impôt. 

Pour produire plus, il y a “d’autres manières” que supprimer des jours fériés, selon de Montchalin

La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a estimé mercredi qu’il y avait “évidemment plein d’autres manières” que la suppression de deux jours fériés pour “encourager à produire plus” en France, souhaitant notamment une répartition élargie des cotisations sociales. “Les jours fériés, c’était quoi l’intention politique ? C’est de dire +dans notre pays, si on produit pas plus, (…), s’il n’y a pas plus de croissance, nous n’arriverons pas dans le temps à financer notre modèle social, nos services publics+”, a déclaré Mme de Montchalin sur la radio franceinfo. “Il y a évidemment plein d’autres manières d’encourager à produire plus. Il y a évidemment plein d’autres manières de s’assurer que si on travaille plus, on gagne plus”, a-t-elle ajouté. Elle était interrogée sur des propos du Premier ministre François Bayrou, qui s’est dit mercredi sur BFMTV “ouvert” à réexaminer la suppression de deux jours fériés en cas de solution alternative pouvant rapporter 4,2 milliards d’euros. “Pour moi, la plus grande conviction, c’est qu’il faut que les actifs ne soient pas les seuls à financer la solidarité nationale, la santé et tous les enjeux de modèle social”, a déclaré Amélie de Montchalin: “dans un pays où on est 70 millions, on ne peut pas dire aux 30 millions d’actifs +vous payez pour tout le monde+”. “Et donc je propose qu’une partie des cotisations sur le travail payées par les entreprises, payées par les salariés, payées par les fonctionnaires, payées par nous, actifs qui travaillons, soient re-réparties sur toutes les richesses”, a-t-elle développé, citant le capital, l’épargne, le foncier, l’héritage ou la consommation. Une augmentation de la TVA? “Ca peut être, mais ce n’est pas obligé”, a-t-elle dit. “Concrètement, je prends votre feuille de paie et on pourrait dire: on retire des charges qui pèsent sur les entreprises pour qu’elles puissent investir et vous augmenter; et je retire des charges qui pèsent sur les salariés pour que, directement sur votre feuille de paie, il y ait plus d’argent.”Concernant la taxation des plus aisés, la ministre des Comptes publics a indiqué qu’il y avait “plusieurs options” sur la table pour s’assurer que ceux-ci paient l’impôt “que tous les Français paient” ou viser des holdings permettant de contourner l’impôt.