Mumbai clinch thriller to end Delhi’s winning streak

Spinner Karn Sharma returned figures of 3-36 as Mumbai Indians pulled off a stunning 12-run IPL win on Sunday to end Delhi Capitals’ dominant run this season.Chasing 206 for victory, Delhi looked to be cruising at 135-2 when Karun Nair departed on 89 and leg-spinner Karn soon triggered a collapse to bowl out the hosts for 193 in their home Feroz Shah Kotla ground.It was Delhi’s first defeat after four wins in this edition of the T20 tournament. Five-time champions Mumbai got back to winning ways with just their second victory in six matches.Needing 23 runs off the last 12 balls, Ashutosh Sharma raised hopes with two boundaries off Jasprit Bumrah but the last three balls of the 19th over threw up three run-outs as Mumbai celebrated.The win dampened the return of Delhi’s Nair, who hit a valiant knock off 40 balls in his first IPL match after three years.Nair, 33, came in as an impact substitute with Delhi on 0-1 after Jake Fraser-McGurk fell to the first ball of the team’s chase.Nair, who hit an unbeaten 303 against England in a home Test in 2016 but soon lost favour with the selectors, reached his fifty — first after seven years in IPL — off 22 balls to set up the chase in a stand off 119 with Abhishek Porel.Karn, coming in as impact player, broke the stand as he cut short left-hander Porel’s 33-run knock, and soon left-arm spinner Mitchell Santner bowled Nair to hurt Delhi.Karn dismissed Tristan Stubbs for one and then caught and bowled KL Rahul for 15 as Delhi lost their way.Earlier, Tilak Varma smashed 59 and put on a key stand with Naman Dhir, who hit an unbeaten 38, to help Mumbai reach 205-5.South African left-hander Ryan Rickleton, who hit 41, put on a brisk opening stand with fellow opener Rohit Sharma to set the pace.Rohit made 18 but failed to convert his start after being trapped lbw off Vipraj Nigam, and extend his batting flop in this season of the IPL. He has 56 runs from five matches.Rickleton, a wicketkeeper-batsman, kept up the runs with Suryakumar Yadav, who hit 40 off 28 balls, before being bowled by left-arm wrist spinner Kuldeep Yadav.Suryakumar’s entry made Varma change gears as he went after the bowling as the two hammered 60 runs.Kuldeep claimed his second wicket to send back Suryakumar and Nigam dismissed skipper Hardik Pandya in the next over but the runs kept coming.The left-handed Varma, who departed in the last over, then took the total past 200 with the help of Dhir.

A peine réconciliés, Alger et Paris crispés par la détention d’un agent consulaire algérien

Une semaine jour pour jour après le déplacement du chef de la diplomatie française à Alger, la réconciliation entre la France et l’Algérie est déjà mise à l’épreuve avec la détention d’un agent consulaire algérien en France qui a suscité l’ire des autorités algériennes.Le ministère algérien des Affaires étrangères a tonné samedi soir contre “ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable (qui) causera un grand dommage aux relations algéro-françaises”.Il s’est engagé à ne pas “laisser cette situation sans conséquences” et a “reçu” dès samedi l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, pour “exprimer (s)a vive protestation”.Ces propos contrastent avec l’annonce, la semaine dernière par le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, d'”une nouvelle phase” pour les relations entre Paris et Alger, à l’issue d’un entretien avec son homologue Ahmed Attaf et surtout avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune. Le président français Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune avaient acté quelques jours auparavant la fin d’une crise d’une intensité rare, qui avait conduit les deux pays au bord de la rupture diplomatique.Trois hommes, dont l’un employé dans l’un des consulats d’Algérie en France, ont été mis en examen vendredi à Paris pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire suivie de libération avant le 7e jour, en relation avec une entreprise terroriste, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français.Dans cette affaire qui concerne l’opposant au régime algérien Amir Boukhors, influenceur surnommé Amir DZ, ces hommes sont aussi poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Ils ont été placés en détention provisoire.”Nous ne commentons pas une enquête en cours. L’autorité judiciaire, qui agit en toute indépendance, est seule compétente pour se prononcer”, a déclaré à l’AFP une source diplomatique française dimanche.”L’enlèvement est avéré y compris par un individu qui travaille à Créteil au consulat général d’Algérie”, a réagi pour sa part le ministre français de l’intérieur Bruno Retailleau, interrogé sur la chaine LCI.Il s’est en revanche montré prudent sur une éventuelle ingérence des autorités algériennes. “Le lien avec le pays n’est pas avéré”, a-t-il dit tout en soulignant que cette affaire était “grave”. “Nous sommes un pays souverain et nous entendons que sur le sol français nos règles soient respectées”.Plus tôt, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez avait assuré sur Europe 1/CNews que les investigations avaient été menées “de manière extrêmement rigoureuse” et qu’il n’y avait “pas d’instruction politique reçue par les effectifs de police, en l’occurrence, les miens, sous l’autorité de la justice”.Auprès de l’ambassadeur français, Alger avait protesté samedi soir sur “la forme” et sur “le fond” de l’affaire, reprochant notamment l’absence de “notification par le canal diplomatique”.- “Argumentaire vermoulu” -De plus, le ministère algérien des Affaires étrangères a dénoncé “l’argumentaire vermoulu et farfelu” du ministère de l’Intérieur français, fustigeant une “cabale judiciaire inadmissible” reposant “sur le seul fait que le téléphone mobile de l’agent consulaire inculpé aurait borné autour de l’adresse du domicile de l’énergumène” Amir Boukhors.Cet influenceur algérien, qui vit depuis 2016 en France, y a obtenu l’asile politique en 2023. Son pays le réclame pour le juger.Alger a émis neuf mandats d’arrêt internationaux à son encontre, l’accusant d’escroquerie et d’infractions terroristes. En 2022, la justice française a refusé son extradition. Âgé de 41 ans et suivi par plus d’un million d’abonnés sur TikTok, Amir DZ a été la cible “de deux agressions graves, une en 2022 et une autre dans la soirée du 29 avril 2024”, jour de son enlèvement en banlieue sud de Paris (Val-de-Marne), avant d’être relâché le lendemain, selon son avocat Eric Plouvier.A la suite des mises en examen des trois hommes, dont l’agent consulaire, Me Plouvier a parlé d’une “affaire d’Etat” et le ministre français de l’Intérieur Bruno Retailleau avait évoqué “peut-être” un “acte d’ingérence étrangère”.Toutefois, une source proche du dossier en France a appelé samedi à la prudence sur ces trois mises en examen, redoutant que l’enquête ne débouche sur “un dossier vide”, contre des suspects qui ne seraient que des fusibles.Pour le ministère algérien des Affaires étrangères, “ce tournant judiciaire, inédit dans les annales des relations algéro-françaises, n’est pas le fruit du hasard”.Il se produit “à des fins de torpillage du processus de relance des relations bilatérales convenu entre les deux chefs d’Etat lors de leur récent entretien téléphonique”, a déploré ce ministère, en exigeant la libération “immédiate” de son agent consulaire.Alger insiste sur l’immunité diplomatique de cet agent, mais selon une source française proche du dossier, celui-ci dispose d’un passeport de service et non d’un passeport diplomatique.Cette affaire intervient alors que la France a appelé à un geste de clémence pour faire libérer l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné en Algérie à 5 ans de prison notamment pour atteinte à l’intégrité du territoire. 

A peine réconciliés, Alger et Paris crispés par la détention d’un agent consulaire algérien

Une semaine jour pour jour après le déplacement du chef de la diplomatie française à Alger, la réconciliation entre la France et l’Algérie est déjà mise à l’épreuve avec la détention d’un agent consulaire algérien en France qui a suscité l’ire des autorités algériennes.Le ministère algérien des Affaires étrangères a tonné samedi soir contre “ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable (qui) causera un grand dommage aux relations algéro-françaises”.Il s’est engagé à ne pas “laisser cette situation sans conséquences” et a “reçu” dès samedi l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, pour “exprimer (s)a vive protestation”.Ces propos contrastent avec l’annonce, la semaine dernière par le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, d'”une nouvelle phase” pour les relations entre Paris et Alger, à l’issue d’un entretien avec son homologue Ahmed Attaf et surtout avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune. Le président français Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune avaient acté quelques jours auparavant la fin d’une crise d’une intensité rare, qui avait conduit les deux pays au bord de la rupture diplomatique.Trois hommes, dont l’un employé dans l’un des consulats d’Algérie en France, ont été mis en examen vendredi à Paris pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire suivie de libération avant le 7e jour, en relation avec une entreprise terroriste, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français.Dans cette affaire qui concerne l’opposant au régime algérien Amir Boukhors, influenceur surnommé Amir DZ, ces hommes sont aussi poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Ils ont été placés en détention provisoire.”Nous ne commentons pas une enquête en cours. L’autorité judiciaire, qui agit en toute indépendance, est seule compétente pour se prononcer”, a déclaré à l’AFP une source diplomatique française dimanche.”L’enlèvement est avéré y compris par un individu qui travaille à Créteil au consulat général d’Algérie”, a réagi pour sa part le ministre français de l’intérieur Bruno Retailleau, interrogé sur la chaine LCI.Il s’est en revanche montré prudent sur une éventuelle ingérence des autorités algériennes. “Le lien avec le pays n’est pas avéré”, a-t-il dit tout en soulignant que cette affaire était “grave”. “Nous sommes un pays souverain et nous entendons que sur le sol français nos règles soient respectées”.Plus tôt, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez avait assuré sur Europe 1/CNews que les investigations avaient été menées “de manière extrêmement rigoureuse” et qu’il n’y avait “pas d’instruction politique reçue par les effectifs de police, en l’occurrence, les miens, sous l’autorité de la justice”.Auprès de l’ambassadeur français, Alger avait protesté samedi soir sur “la forme” et sur “le fond” de l’affaire, reprochant notamment l’absence de “notification par le canal diplomatique”.- “Argumentaire vermoulu” -De plus, le ministère algérien des Affaires étrangères a dénoncé “l’argumentaire vermoulu et farfelu” du ministère de l’Intérieur français, fustigeant une “cabale judiciaire inadmissible” reposant “sur le seul fait que le téléphone mobile de l’agent consulaire inculpé aurait borné autour de l’adresse du domicile de l’énergumène” Amir Boukhors.Cet influenceur algérien, qui vit depuis 2016 en France, y a obtenu l’asile politique en 2023. Son pays le réclame pour le juger.Alger a émis neuf mandats d’arrêt internationaux à son encontre, l’accusant d’escroquerie et d’infractions terroristes. En 2022, la justice française a refusé son extradition. Âgé de 41 ans et suivi par plus d’un million d’abonnés sur TikTok, Amir DZ a été la cible “de deux agressions graves, une en 2022 et une autre dans la soirée du 29 avril 2024”, jour de son enlèvement en banlieue sud de Paris (Val-de-Marne), avant d’être relâché le lendemain, selon son avocat Eric Plouvier.A la suite des mises en examen des trois hommes, dont l’agent consulaire, Me Plouvier a parlé d’une “affaire d’Etat” et le ministre français de l’Intérieur Bruno Retailleau avait évoqué “peut-être” un “acte d’ingérence étrangère”.Toutefois, une source proche du dossier en France a appelé samedi à la prudence sur ces trois mises en examen, redoutant que l’enquête ne débouche sur “un dossier vide”, contre des suspects qui ne seraient que des fusibles.Pour le ministère algérien des Affaires étrangères, “ce tournant judiciaire, inédit dans les annales des relations algéro-françaises, n’est pas le fruit du hasard”.Il se produit “à des fins de torpillage du processus de relance des relations bilatérales convenu entre les deux chefs d’Etat lors de leur récent entretien téléphonique”, a déploré ce ministère, en exigeant la libération “immédiate” de son agent consulaire.Alger insiste sur l’immunité diplomatique de cet agent, mais selon une source française proche du dossier, celui-ci dispose d’un passeport de service et non d’un passeport diplomatique.Cette affaire intervient alors que la France a appelé à un geste de clémence pour faire libérer l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné en Algérie à 5 ans de prison notamment pour atteinte à l’intégrité du territoire. 

Angleterre: Liverpool et Newcastle répondent présents, Chelsea en crise

Liverpool a dû attendre les dernières minutes pour battre West Ham (2-1) et reprendre ses treize points d’avance sur Arsenal, dimanche lors de la 32e journée du championnat d’Angleterre, marquée par la large victoire de Newcastle contre Manchester United (4-1) et une nouvelle grosse contre-performance de Chelsea contre Ipswich (2-2).- Un pas de plus pour Liverpool -Le probable futur champion d’Angleterre a cru renouer avec l’élan irrésistible de sa première partie de saison face à West Ham (2-1), notamment dans une première période où les Reds ont montré de belles séquences. La passe décisive de Mohamed Salah, en méforme depuis quelques semaines, restera l’un des bijoux de sa saison. Son extérieur du gauche a mis Luis Diaz en position idéale pour ouvrir le score (1-0, 18e).Mais l’équipe d’Arne Slot a ensuite montré sa fatigue psychologique et physique, souvent observée depuis le début de l’année, forçant Alisson à deux arrêts décisifs face à Jared Bowen et Mohammed Kudus.Une mésentente d’Andrew Robertson avec Virgil van Dijk, a permis aux Hammers d’égaliser (1-1, 86e) seulement trois minutes…. avant une tête décisive du Néerlandais (2-1, 89e).Les Reds pourraient être sacrés officiellement champions dès la prochaine journée, en cas de victoire à Leicester et de défaite d’Arsenal à Ipswich. Le timing le plus probable reste un sacre devant leur public face à Tottenham, le 27 avril, s’ils remportent leurs deux prochains matches.- Newcastle robuste quatrième -Privés de leur entraîneur Eddie Howe, hospitalisé vendredi, les Magpies n’ont pas fait dans le détail contre Manchester United (4-1) et remporté une quatrième victoire de suite en championnat qui leur permet d’être quatrièmes, avec deux points de plus que le premier non-qualifiable pour la Ligue des Champions, Chelsea, et un match en retard à disputer contre Crystal Palace, mercredi.Dirigé par l’adjoint de Howe, Jason Tindall, qui devrait continuer d’assurer l’intérim cette semaine, Newcastle  a progressivement accéléré à partir de la 20e minute puis trouvé l’ouverture grâce à Sandro Tonali (24e). Etouffé dans tous les compartiments, Manchester United a égalisé contre le cours du jeu grâce à Alejandro Garnacho (37e), mais a complètement explosé sur le plan défensif en seconde période et vu Harvey Barnes (49e et 64e) puis Bruno Guimaraes (77e) régaler St James’ Park.Les Mancuniens, désormais quatorzièmes, n’avaient jamais encaissé quatre buts en championnat cette saison, et aborderont fébrilement leur match retour de Ligue Europa contre Lyon, jeudi (aller 2-2)- Chelsea en état d’urgence -Avec 1 point sur 6 pris contre Ipswich, déjà promis à la relégation, Chelsea a déjà une idée de l’explication qui pourra être avancée en fin de saison au moment du bilan comptable, s’il échoue de nouveau à se qualifier pour la Ligue des champions.Battu 2-0 lors de la phase aller, Chelsea a été pris en défaut deux fois dans la première demi-heure, d’abord avec une frappe lointaine de Julio Enciso, pleine lucarne (1-0, 19e), puis un oubli par Marc Cucurella de Ben Johnson au second poteau (2-0, 31e). Un but contre son camp d’Axel Tuanzebe a remis les Blues dans le match au retour des vestiaires (2-1, 46e), mais il a fallu attendre la 79e minute pour voir Jadon Sancho égaliser (2-2).Signe des difficultés offensives depuis quelques semaines, l’équipe d’Enzo Maresca n’avait plus marqué deux buts en championnat depuis le 25 février, contre un autre relégable, Southampton (4-0). L’avant-centre Nicolas Jackson n’a quant à lui pas marqué une seule fois depuis la mi-décembre.Sixièmes avec 54 points, les Londoniens voient Aston Villa revenir au même niveau, avec une différence de buts inférieure. Le calendrier des six dernières journées n’incite pas à l’optimisme puisqu’ils rencontreront trois équipes du haut de tableau (Liverpool, Newcastle et Forest).A quatre jours de son match retour de quart de finale d’Europa League à Francfort (aller 1-1), Tottenham ne s’est pas rassuré avec une nouvelle défaite sur le terrain de Wolverhampton (4-2), la quatrième de suite à l’extérieur.

McLaren’s Piastri powers to ‘mega’ win in Bahrain

Oscar Piastri powered to victory at the Bahrain Grand Prix on Sunday, coasting clear from George Russell’s Mercedes to maintain McLaren’s strong start to the season.Pole-sitter Piastri kept his composure in an incident-packed race to give the Bahraini-backed McLaren team a first ever win at the 21st attempt in a race at their ‘second home’.Piastri, who also won in China last month, crossed the line 15.499sec clear of Mercedes’ George Russell, who was under investigation for an issue with the DRS (drag reduction system), meaning he could take a five-second penalty.Lando Norris in the other McLaren took third while Max Verstappen’s trying weekend at the desert track ended with the four-time world champion only managing sixth place.Norris, the winner of the season opener in Melbourne, leads the drivers’ standings on 77 points, with Piastri overtaking Verstappen into second ahead of next weekend’s race in Jeddah.There was no-one happier in the crowd than the ruler of Bahrain, King Hamad Bin Isa Al Khalifa, whose sovereign fund owns McLaren.”That should be one hell of a party tonight. Mega weekend everyone. That was pretty damn fun,” Piastri said after marking his 50th start in perfect style.”I’m proud to have done it here in Bahrain as well. It’s obviously a very important race for us given our owners and it’s never been a track that has been kind to us so it’s nice to finally have that first win for the team here,” he added.Taking the chequered flag under floodlights on a balmy Sunday evening in the Gulf kingdom was just reward after a weekend he had dominated, both in practice and in qualifying.Norris, who started in sixth and picked up a five-second time penalty for being out of position on the grid, commented: “It was a tough race. I made too many mistakes with the overtakes and being out of position.”It was a messy race from me and I’m disappointed not to bring home a one-two for McLaren because that would have been lovely at home, it’s a tough one but still a few positives.”Charles Leclerc came in fourth with his Ferrari teammate Lewis Hamilton fifth ahead of Verstappen and Pierre Gasly earned Alpine’s first points of the year at the fourth attempt.Rounding out the top 10 were Esteban Ocon (Haas), recovering from a big smash in qualifying, Yuki Tsunoda in the second Red Bull, and Ocon’s teammate Oliver Bearman.- Gloves off -As the sun dipped down over the Gulf the start lights went out on the fourth race of the season with Piastri roaring off from pole and getting his gloves off early to fend off Russell’s Mercedes to turn one.Norris got a dream getaway, jumping from sixth to third to muscle back into contention after a disappointing qualifying.The anticipated news then arrived from the stewards about his start sanction and he was quickly ‘boxed’ to serve the penalty in the pits.He resumed 14th with a fifth of the 57-lap race completed.After pitting, Piastri emerged with Ferrari duo Leclerc and Hamilton in front of him, as Norris scythed his way through the pack up into sixth.The Australian was soon back in front when the two Ferraris were summoned in for a change of footwear.Verstappen, winner in Japan last weekend, has not cut a contented figure in Bahrain, grumbling to his pitlane: “I can’t even brake anymore, it’s ridiculous.”At the halfway point Piastri led from Russell, with Leclerc nipping past Norris into third.With the safety car then deployed to pick up debris at turn three Piastri took the opportunity to dive into the pits for a ‘free’ stop’, followed by his closest pursuers.The restart was manic, with mayhem behind Piastri as Norris muscled past Hamilton who pointed out “Lando passed me off the track”.Norris gave the position back, but just up the road sailed past the seven-time champion.Entering the business end of the race, Piastri turned the screw to pull clear of Russell as Norris lunged past Leclerc.

Fin de vie: pour Retailleau, le texte va “dans le très mauvais sens”

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, s’est dit dimanche “stupéfait” par la proposition de loi relative à la fin de vie étudiée en commission parlementaire, jugeant que ce texte “tellement permissif” va “dans le très mauvais sens”.”Le texte que j’ai découvert m’a stupéfié”, a dit le ministre qui était interrogé sur LCI. Les députés ont commencé vendredi en commission l’examen de ce texte et approuvé la création d’un droit à l’aide à mourir, en élargissant les cas où la substance létale pourra être administrée par un soignant.”Le texte aujourd’hui est tellement permissif, demain ce que je crains, c’est qu’il soit beaucoup plus facile de demander la mort que d’avoir des soins”, a-t-il argué. “C’est un texte qui va cumuler aussi bien le suicide assisté que l’euthanasie. Or, dans tous les pays qui ont autorisé ce double choix, et bien, c’est toujours l’euthanasie qui a écrasé le suicide assisté”, a-t-il poursuivi.”Bien sûr, c’est une proposition de loi, mais ce texte pour moi, il est terrible parce que c’est un texte d’abandon”, selon lui.Si “par malheur, il était demain voté, et bien, au moment de votre mort, les uns ou les autres devront se poser cette question non pas de tendre une main ou de demander une main secourable, mais de dire: +Suis-je un fardeau pour la société?+ “, a souligné Bruno Retailleau. “Quand on voit que dans la dernière année d’une vie, le coût pour la santé, c’est plus de 35.000 euros, ce que je crains demain, c’est que ces considérations matérielles, ces considérations économiques prennent le pas sur la dignité de la vie humaine”, a-t-il souligné.”Ce n’est pas un texte de fraternité, c’est un texte d’abandon” qui va “dans le très mauvais sens”, a-t-il jugé.Les députés ont notamment approuvé un amendement d’Elise Leboucher (LFI) accordant à la personne qui souhaite recourir à l’aide à mourir la liberté de choisir entre auto-administration du produit létal et administration par un médecin ou un infirmier. Le texte initial prévoyait que celle-ci ne soit possible que lorsque le patient “n’est pas en mesure physiquement d’y procéder”.