The geologist uncovering Earth’s secrets in S.AfricaWed, 02 Jul 2025 06:00:20 GMT

In the 1997 action film “Dante’s Peak”, Pierce Brosnan plays the role of a volcanologist sent to investigate seismic activity beneath a long-dormant volcano. Years after its release, the story inspired South African Tebogo Makhubela to become a geologist, the 35-year-old told AFP in an interview. Recipient of one of the prestigious National Geographic 2025 Wayfinder Awards, …

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Combs Trial: Day three of jury debate after partial verdict reached

Jurors in the trial of music mogul Sean “Diddy” Combs head back into deliberations Wednesday, aiming to reach a unanimous decision on the case’s most serious charge of leading a criminal organization.The New York jury of eight men and four women have already come to agreement on four of the five charges — those that pertain to sex trafficking and transportation to engage in prostitution — but told the court Tuesday there were “unpersuadable opinions on both sides” concerning the first count of racketeering.That charge paints Combs as the boss of a decades-long criminal group who directed loyal employees and bodyguards to commit myriad offenses at his behest.The alleged crimes include forced labor, drug distribution, kidnapping, bribery, witness tampering and obstruction, arson, sex trafficking and transportation to engage in prostitution.To find Combs guilty of racketeering, jurors would need to find the existence of a criminal enterprise and that the organization committed at least two of the offenses.Days ahead of the July Fourth holiday weekend jurors announced the partial verdict — but Judge Arun Subramanian instructed them to keep working to complete it.He reiterated instructions that they had a duty to carefully consider the case as a team.Only jury members know the verdicts they’ve reached on counts two, three, four and five.Combs, once one of the most powerful figures in the music industry, vehemently denies all charges.- ‘Remarkably efficient’ -Jurors began deliberating on Monday late morning after the judge read them nearly three hours of instructions on how to apply the mountain of evidence and testimony in the case to the law.Up until Tuesday afternoon, all the jury notes concerned legal questions, and a request for portions of testimony.The note announcing a partial verdict brought new tension to the courtroom. Legal teams scrutinized it before it was read aloud. The defense team was seen huddling around a visibly anxious Combs.He alternated between hanging his head, staring straight ahead and rubbing his temples with his hand shielding his eyes.That jurors have reached a verdict on four of the five accounts is “remarkably efficient,” as defense lawyer Marc Agnifilo put it in court after the note was read aloud.The seven-week trial included at-times disturbing testimony along with thousands of pages of phone, financial and audiovisual records.Combs is charged with sex trafficking two women: singer Casandra Ventura and a woman who testified under the pseudonym Jane.Both were in long-term relationships with the entrepreneur and hip hop powerhouse, and they each testified about abuse, threats and coercive sex in wrenching detail.They both said they felt obligated to participate in Combs-directed sexual marathons with hired men.Combs’s lawyers insist that sex was consensual. They concede domestic violence was a feature of his relationships — one harrowing example of him beating and dragging Ventura was caught on security footage that has been widely publicized.Yet while disturbing, that doesn’t amount to sex trafficking, the defense says.But prosecutors in their final argument tore into Combs’s team, who they said had “contorted the facts endlessly.””In his mind he was untouchable,” prosecutor Maurene Comey told the court. “The defendant never thought that the women he abused would have the courage to speak out loud what he had done to them.”

“Ecrire, c’est penser”: les étudiants apprennent-ils moins bien avec ChatGPT ?

Quand Jocelyn Leitzinger a demandé à ses étudiants de raconter une anecdote personnelle sur la discrimination, elle a remarqué que la victime s’appelait souvent Sally. “Il était clair que c’était un prénom féminin courant pour ChatGPT”, se désole l’enseignante de Chicago.Ses étudiants “n’écrivaient même pas sur leur propre vie!”, s’étrangle Mme Leitzinger, qui enseigne sur le commerce et la société à l’Université de l’Illinois.La professeure estime qu’environ la moitié de ses 180 étudiants ont utilisé ChatGPT de manière inappropriée au cours du dernier semestre – y compris quand il s’agissait d’écrire sur les questions éthiques liées à l’intelligence artificielle (IA)… Et dit à l’AFP ne pas avoir été surprise par les résultats d’une récente recherche suggérant que les étudiants qui utilisent l’IA générative pour écrire des dissertations ont moins l’esprit critique.L’étude préliminaire, qui n’a pas encore été revue par des pairs, est devenue virale sur les réseaux sociaux, trouvant manifestement un écho chez de nombreux éducateurs confrontés à ces pratiques.Depuis sa publication le mois dernier, plus de 3.000 enseignants ont écrit à l’équipe de chercheurs du MIT qui l’a menée, a indiqué Nataliya Kosmyna, son autrice principale à l’AFP.Pour cette étude, 54 étudiants de la région de Boston ont été répartis en trois groupes. Ils devaient écrire des dissertations de 20 minutes, le premier en utilisant ChatGPT, le deuxième un moteur de recherche et le troisième seulement leurs méninges.Les chercheurs ont mesuré l’activité cérébrale des étudiants lors de sessions espacées de plusieurs mois et deux enseignants ont été chargés de noter les écrits.Les utilisateurs de ChatGPT ont eu des résultats significativement moins bons que ceux ayant utilisé leurs seules têtes. Des électroencéphalogrammes ont montré que différentes régions de leur cerveau se connectaient entre elles moins souvent.En outre, plus de 80% des utilisateurs de l’IA ne pouvaient citer aucun passage de la dissertation qu’ils venaient juste d’écrire, contre seulement 10% dans chacun de deux autres groupes.Au bout de la troisième session, ils semblaient se borner principalement à faire des copier-coller.- Ecrits sans âme – De leur côté, les enseignants chargés de corriger les copies ont déclaré être facilement capables de reconnaître celles, “sans âme”, écrites grâce à l’IA. Si la grammaire et la structure étaient correctes, elles manquaient de créativité, de personnalité et de réflexion profonde.Cependant, Mme Kosmyna nuance les interprétations de l’étude faites par certains médias, selon lesquels l’IA rendrait les gens stupides ou paresseux.Lors de la quatrième session, le groupe n’ayant jusque-là mobilisé que son cerveau a été invité à utiliser ChatGPT pour la première fois… et a affiché un niveau de connectivité neuronale encore plus élevé, souligne-t-elle.Il est trop tôt pour tirer des conclusions à partir d’un échantillon aussi réduit, selon la chercheuse, qui appelle à davantage d’études sur la façon de mieux utiliser les outils de l’IA afin de faciliter l’apprentissage.Ashley Juavinett, neuroscientifique à l’Université de Californie San Diego, qui n’a pas participé à la recherche, critique également certaines “extrapolations” faites à partir de l’étude.”Cet article ne fournit pas assez de preuves, ni de rigueur méthodologique pour en tirer des conclusions sur l’impact des grands modèles de langage (comme ChatGPT, ndlr) sur le cerveau”, déclare-t-elle à l’AFP.Pour Mme Leitzinger, ces résultats font cependant écho à sa perception de la façon dont les écrits de ses étudiants ont changé depuis l’arrivée de ChatGPT en 2022, avec moins de fautes d’orthographe mais aussi d’authenticité.L’émergence de l’intelligence artificielle est souvent comparée à l’introduction des calculatrices, qui a obligé les professeurs à changer leurs méthodes.Mais Mme Leitzinger s’inquiète du fait que les étudiants n’ont plus besoin d’aucune connaissance de base avant d’utiliser l’IA, sautant l’étape essentielle de l’apprentissage.Le problème va bien au-delà de l’enseignement. Les revues scientifiques ont du mal face à l’afflux massif d’articles générés par l’IA. Et l’édition n’est pas en reste, alors qu’une start-up prévoit de publier 8.000 livres écrits par l’IA chaque année.”Ecrire c’est penser ; penser c’est écrire. Si l’on supprime ce processus, que reste-t-il de la pensée ?”, s’interroge M. Leitzinger.

“Ecrire, c’est penser”: les étudiants apprennent-ils moins bien avec ChatGPT ?

Quand Jocelyn Leitzinger a demandé à ses étudiants de raconter une anecdote personnelle sur la discrimination, elle a remarqué que la victime s’appelait souvent Sally. “Il était clair que c’était un prénom féminin courant pour ChatGPT”, se désole l’enseignante de Chicago.Ses étudiants “n’écrivaient même pas sur leur propre vie!”, s’étrangle Mme Leitzinger, qui enseigne sur le commerce et la société à l’Université de l’Illinois.La professeure estime qu’environ la moitié de ses 180 étudiants ont utilisé ChatGPT de manière inappropriée au cours du dernier semestre – y compris quand il s’agissait d’écrire sur les questions éthiques liées à l’intelligence artificielle (IA)… Et dit à l’AFP ne pas avoir été surprise par les résultats d’une récente recherche suggérant que les étudiants qui utilisent l’IA générative pour écrire des dissertations ont moins l’esprit critique.L’étude préliminaire, qui n’a pas encore été revue par des pairs, est devenue virale sur les réseaux sociaux, trouvant manifestement un écho chez de nombreux éducateurs confrontés à ces pratiques.Depuis sa publication le mois dernier, plus de 3.000 enseignants ont écrit à l’équipe de chercheurs du MIT qui l’a menée, a indiqué Nataliya Kosmyna, son autrice principale à l’AFP.Pour cette étude, 54 étudiants de la région de Boston ont été répartis en trois groupes. Ils devaient écrire des dissertations de 20 minutes, le premier en utilisant ChatGPT, le deuxième un moteur de recherche et le troisième seulement leurs méninges.Les chercheurs ont mesuré l’activité cérébrale des étudiants lors de sessions espacées de plusieurs mois et deux enseignants ont été chargés de noter les écrits.Les utilisateurs de ChatGPT ont eu des résultats significativement moins bons que ceux ayant utilisé leurs seules têtes. Des électroencéphalogrammes ont montré que différentes régions de leur cerveau se connectaient entre elles moins souvent.En outre, plus de 80% des utilisateurs de l’IA ne pouvaient citer aucun passage de la dissertation qu’ils venaient juste d’écrire, contre seulement 10% dans chacun de deux autres groupes.Au bout de la troisième session, ils semblaient se borner principalement à faire des copier-coller.- Ecrits sans âme – De leur côté, les enseignants chargés de corriger les copies ont déclaré être facilement capables de reconnaître celles, “sans âme”, écrites grâce à l’IA. Si la grammaire et la structure étaient correctes, elles manquaient de créativité, de personnalité et de réflexion profonde.Cependant, Mme Kosmyna nuance les interprétations de l’étude faites par certains médias, selon lesquels l’IA rendrait les gens stupides ou paresseux.Lors de la quatrième session, le groupe n’ayant jusque-là mobilisé que son cerveau a été invité à utiliser ChatGPT pour la première fois… et a affiché un niveau de connectivité neuronale encore plus élevé, souligne-t-elle.Il est trop tôt pour tirer des conclusions à partir d’un échantillon aussi réduit, selon la chercheuse, qui appelle à davantage d’études sur la façon de mieux utiliser les outils de l’IA afin de faciliter l’apprentissage.Ashley Juavinett, neuroscientifique à l’Université de Californie San Diego, qui n’a pas participé à la recherche, critique également certaines “extrapolations” faites à partir de l’étude.”Cet article ne fournit pas assez de preuves, ni de rigueur méthodologique pour en tirer des conclusions sur l’impact des grands modèles de langage (comme ChatGPT, ndlr) sur le cerveau”, déclare-t-elle à l’AFP.Pour Mme Leitzinger, ces résultats font cependant écho à sa perception de la façon dont les écrits de ses étudiants ont changé depuis l’arrivée de ChatGPT en 2022, avec moins de fautes d’orthographe mais aussi d’authenticité.L’émergence de l’intelligence artificielle est souvent comparée à l’introduction des calculatrices, qui a obligé les professeurs à changer leurs méthodes.Mais Mme Leitzinger s’inquiète du fait que les étudiants n’ont plus besoin d’aucune connaissance de base avant d’utiliser l’IA, sautant l’étape essentielle de l’apprentissage.Le problème va bien au-delà de l’enseignement. Les revues scientifiques ont du mal face à l’afflux massif d’articles générés par l’IA. Et l’édition n’est pas en reste, alors qu’une start-up prévoit de publier 8.000 livres écrits par l’IA chaque année.”Ecrire c’est penser ; penser c’est écrire. Si l’on supprime ce processus, que reste-t-il de la pensée ?”, s’interroge M. Leitzinger.

“Ecrire, c’est penser”: les étudiants apprennent-ils moins bien avec ChatGPT ?

Quand Jocelyn Leitzinger a demandé à ses étudiants de raconter une anecdote personnelle sur la discrimination, elle a remarqué que la victime s’appelait souvent Sally. “Il était clair que c’était un prénom féminin courant pour ChatGPT”, se désole l’enseignante de Chicago.Ses étudiants “n’écrivaient même pas sur leur propre vie!”, s’étrangle Mme Leitzinger, qui enseigne sur le commerce et la société à l’Université de l’Illinois.La professeure estime qu’environ la moitié de ses 180 étudiants ont utilisé ChatGPT de manière inappropriée au cours du dernier semestre – y compris quand il s’agissait d’écrire sur les questions éthiques liées à l’intelligence artificielle (IA)… Et dit à l’AFP ne pas avoir été surprise par les résultats d’une récente recherche suggérant que les étudiants qui utilisent l’IA générative pour écrire des dissertations ont moins l’esprit critique.L’étude préliminaire, qui n’a pas encore été revue par des pairs, est devenue virale sur les réseaux sociaux, trouvant manifestement un écho chez de nombreux éducateurs confrontés à ces pratiques.Depuis sa publication le mois dernier, plus de 3.000 enseignants ont écrit à l’équipe de chercheurs du MIT qui l’a menée, a indiqué Nataliya Kosmyna, son autrice principale à l’AFP.Pour cette étude, 54 étudiants de la région de Boston ont été répartis en trois groupes. Ils devaient écrire des dissertations de 20 minutes, le premier en utilisant ChatGPT, le deuxième un moteur de recherche et le troisième seulement leurs méninges.Les chercheurs ont mesuré l’activité cérébrale des étudiants lors de sessions espacées de plusieurs mois et deux enseignants ont été chargés de noter les écrits.Les utilisateurs de ChatGPT ont eu des résultats significativement moins bons que ceux ayant utilisé leurs seules têtes. Des électroencéphalogrammes ont montré que différentes régions de leur cerveau se connectaient entre elles moins souvent.En outre, plus de 80% des utilisateurs de l’IA ne pouvaient citer aucun passage de la dissertation qu’ils venaient juste d’écrire, contre seulement 10% dans chacun de deux autres groupes.Au bout de la troisième session, ils semblaient se borner principalement à faire des copier-coller.- Ecrits sans âme – De leur côté, les enseignants chargés de corriger les copies ont déclaré être facilement capables de reconnaître celles, “sans âme”, écrites grâce à l’IA. Si la grammaire et la structure étaient correctes, elles manquaient de créativité, de personnalité et de réflexion profonde.Cependant, Mme Kosmyna nuance les interprétations de l’étude faites par certains médias, selon lesquels l’IA rendrait les gens stupides ou paresseux.Lors de la quatrième session, le groupe n’ayant jusque-là mobilisé que son cerveau a été invité à utiliser ChatGPT pour la première fois… et a affiché un niveau de connectivité neuronale encore plus élevé, souligne-t-elle.Il est trop tôt pour tirer des conclusions à partir d’un échantillon aussi réduit, selon la chercheuse, qui appelle à davantage d’études sur la façon de mieux utiliser les outils de l’IA afin de faciliter l’apprentissage.Ashley Juavinett, neuroscientifique à l’Université de Californie San Diego, qui n’a pas participé à la recherche, critique également certaines “extrapolations” faites à partir de l’étude.”Cet article ne fournit pas assez de preuves, ni de rigueur méthodologique pour en tirer des conclusions sur l’impact des grands modèles de langage (comme ChatGPT, ndlr) sur le cerveau”, déclare-t-elle à l’AFP.Pour Mme Leitzinger, ces résultats font cependant écho à sa perception de la façon dont les écrits de ses étudiants ont changé depuis l’arrivée de ChatGPT en 2022, avec moins de fautes d’orthographe mais aussi d’authenticité.L’émergence de l’intelligence artificielle est souvent comparée à l’introduction des calculatrices, qui a obligé les professeurs à changer leurs méthodes.Mais Mme Leitzinger s’inquiète du fait que les étudiants n’ont plus besoin d’aucune connaissance de base avant d’utiliser l’IA, sautant l’étape essentielle de l’apprentissage.Le problème va bien au-delà de l’enseignement. Les revues scientifiques ont du mal face à l’afflux massif d’articles générés par l’IA. Et l’édition n’est pas en reste, alors qu’une start-up prévoit de publier 8.000 livres écrits par l’IA chaque année.”Ecrire c’est penser ; penser c’est écrire. Si l’on supprime ce processus, que reste-t-il de la pensée ?”, s’interroge M. Leitzinger.

Pour Yaël Braun-Pivet, “on ne peut exclure d’emblée toute hausse d’impôts”

La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet (Renaissance), estime mercredi dans un entretien aux Echos qu'”on ne peut faire l’impasse sur les recettes et exclure d’emblée toute hausse d’impôts” pour le budget 2026.”Faire cet effort (pour trouver 40 milliards d’euros) uniquement par des économies sur les dépenses publiques n’est pas réaliste. Cela ne correspond pas à l’objectif d’équité qui doit être le nôtre. On ne peut pas faire l’impasse sur les recettes et exclure d’emblée toute hausse d’impôts”, fait valoir l’élue des Yvelines, selon qui “il faut privilégier les mesures qui ont le moins d’impact possible sur la croissance”.Mme Braun-Pivet se dit par ailleurs “favorable au principe d’une année blanche”, qui pourrait même, “en fonction de l’évolution de l’inflation (…) être envisagée au-delà de 2026″.”Le périmètre devra, selon moi, être assez large pour avoir un véritable impact en termes d’économies: désindexation de l’impôt sur le revenu, du barème de la CSG (contribution sociale généralisée, ndlr) sur les retraites, des pensions”, ajoute-t-elle, en plaidant pour “épargner les plus fragiles”.Elle estime en revanche que “les retraités les plus aisés pourraient davantage être mis à contribution”, en rappelant son souhait de supprimer “l’abattement fiscal de 10% sur les pensions, qui ne pénalise pas les petites retraites”, une mesure qui pourrait rapporter 4 milliards d’euros par an.”Une alternative pourrait être d’aligner le taux le plus élevé de CSG sur celui des salariés”, ajoute-t-elle.La présidente de la chambre basse considère en outre “nécessaire” de “se pencher sur la taxation des +super héritages+”, notant que “0,1% des héritiers reçoivent des montants supérieurs à 13 millions d’euros et ne paient en moyenne que 10% des droits de succession”.A propos de la TVA sociale, Mme Braun-Pivet se dit “partagée”, n’y voyant un intérêt que “si cette hausse de TVA se répercute à 100% sur une baisse du coût du travail”.Concernant les collectivités locales, elle estime “possible d’agir sur la masse salariale, qui a fortement augmenté ces dernières années”. Et elle en appelle, “au-delà de 2026” à des “réformes structurelles” pour réduire le “coût du mille-feuille territorial” en clarifiant les compétences.Elle souhaite à cette fin que “députés et sénateurs se réunissent sur le sujet pour aboutir à une initiative parlementaire consensuelle avant la fin de l’année à partir des propositions existantes”.

Thai veteran politician set for single day as acting PM

Thailand’s acting prime minister is set to helm the country for only one full day Wednesday, standing in for suspended premier Paetongtarn Shinawatra before being replaced himself in a cabinet reshuffle.Transport minister and deputy prime minister Suriya Jungrungreangkit began his engagements by attending a ceremony in Bangkok celebrating the longevity of the prime minister’s office.The event marked the 93rd anniversary of an institution Suriya is set to command for far fewer than 93 hours as Thailand reels from the suspension of Paetongtarn, heiress of the country’s dominant political dynasty.During a brief ceremony open to media Suriya declined to respond to queries asking how he felt about his ephemeral leadership, which caps a decades-long political career.He said his most urgent business had been to “sign a paper” ensuring a smooth transition to his successor on Thursday.The Constitutional Court said Tuesday there was “sufficient cause to suspect” Paetongtarn breached ministerial ethics in a diplomatic spat with Cambodia, suspending her pending a probe that may last months.- ‘I don’t know the guy’ -The 38-year-old Paetongtarn is the daughter of political heavyweight Thaksin Shinawatra, whose family and party have been jousting with Thailand’s conservative establishment since the early 2000s.Power immediately passed to 70-year-old Suriya, a veteran operator with a reputation in Thai media as a political weathervane for always aligning himself with the government of the day.”I don’t really know the guy, but I don’t care anymore who becomes prime minister,” 54-year-old motorbike taxi driver Paitoon Kaewdee told AFP.”I’ve lost hope in Thai politics. I used to care a lot about politics and the Shinawatra family but now, it’s all the same.”Suriya’s time as acting premier is due to end with a cabinet reshuffle already scheduled before Tuesday’s court bombshell.It takes effect in an oath-swearing ceremony scheduled on Thursday, when he is set to be superseded by incoming interior minister Phumtham Wechayachai.The ruling Pheu Thai party said late Tuesday that Phumtham will take over after the cabinet reshuffle because he will receive a deputy prime minister title that is higher in the order of succession than Suriya.The “power vacuum at the top” may threaten Thailand’s bid for a US trade deal to avert President Donald Trump’s threat of a 36 percent tariff, said Capital Economics senior Asia economist Gareth Leather.”I want a new election,” complained 40-year-old Bangkok office worker Chatchai Summabut. “This country needs stability.”- Waning influence -Paetongtarn — who became prime minister only last August — assigned herself the culture minister position in the new cabinet before she was suspended, meaning she is set to keep a perch in the upper echelons of power.She, Suriya and Phumtham are all members of Pheu Thai, which came second in the 2023 election but secured power by forming an unsteady coalition with its former enemies in pro-military parties.But analysts say Paetongtarn’s pause from office represents a dramatic waning of the Shinawatras’ influence, even though the acting prime ministers are still considered their loyal lieutenants.Tuesday also saw the second day of Thaksin’s criminal trial for royal defamation, in which he faces a possible 15-year sentence if convicted.Paetongtarn has been hobbled over a longstanding territorial dispute between Thailand and Cambodia, which boiled over into cross-border clashes in May, killing one Cambodian soldier.When she made a diplomatic call to Cambodian ex-leader Hun Sen she called him “uncle” and referred to a Thai military commander as her “opponent”, according to a leaked recording causing widespread backlash.A conservative party abandoned her ruling coalition — sparking the cabinet reshuffle — while her approval rating plunged and thousands mustered to protest over the weekend.Conservative lawmakers accused her of kowtowing to Cambodia and undermining the military, entering a case with the Constitutional Court alleging she breached the constitution’s ministerial ethics code.

Mondial des clubs: Dortmund résiste au retour de Monterrey et défiera le Real en quart

Dortmund a pris rendez-vous avec le Real Madrid en quart de finale de la Coupe du monde des clubs, en faisant montre de plus de réalisme que Monterrey qui l’a pourtant bousculé (2-1), à l’image de Serhou Guirassy auteur d’un doublé, mardi à Atlanta.Le Borussia est la cinquième équipe européenne à atteindre ce stade du tournoi, après le Real donc mais aussi le Paris SG et le Bayern Munich qui seront opposés, ainsi que Chelsea. Palmeiras et Fluminense seront les deux sud-américaines en lice et la surprenante formation saoudienne d’Al-Hilal la seule asiatique.Mais il s’en est fallu de pas grand-chose finalement pour que Monterrey représente la confédération de la Concacaf (Amérique du Nord, centrale et Caraïbes) dans le dernier huit de la compétition pour la première fois élargie à 32 participants, tant les “Rayados” ont chèrement vendu leur peau.Mais ils ont cruellement manqué de précision devant les cages allemandes, malgré des occasions nettes. Tout le contraire de Dortmund, qui a moins eu d’opportunités, mais avec un but en plus à l’arrivée..Le Borussia le doit à son avant-centre Serhou Guirassy, sur sa lancée aux Etats-Unis d’une saison remarquable, qui l’a notamment vu finir co-meilleur buteur de la dernière Ligue des champions 2024-2025 (13 réalisations), à égalité avec Raphinha, le Brésilien du FC Barcelone. Il avait d’ailleurs collé un triplé aux Catalans en quart de finale retour, insuffisant néanmoins pour forcer la qualification.En première période, son entente avec l’ailier Karim Adeyemi a donné le tournis à la défense de Monterrey, souvent prise de vitesse, à l’image du une-deux qui a abouti à son ouverture du score (14e). Guirassy a doublé la marque au bout d’une contre-attaque éclair menée par le même Adeyemi, qui l’a encore parfaitement trouvé en retrait, esseulé (24e).- Ramos tout près d’égaliser -Le match semblait alors déjà plié, mais en ratant d’un rien le triplé, malgré deux situations très favorables dans la surface (31e, 34e), l’attaquant guinéen a quelque part laissé à Monterrey une once d’espoir de revenir dans la partie. L’équipe mexicaine, qui avait commencé à solliciter le gardien Gregor Kobel, auteur d’une très belle parade sur une frappe puissante de Nelson Deossa (29e), est passé plus près encore de la réduction par Sergio Canales, qui a buté dans un angle fermé devant le gardien (41e).Et très vite, au retour des vestiaires, c’est l’attaquant Argentino-Mexicain German Berterame, qui a rendu possible une remontada en marquant d’une tête dans le petit filet après un corner (48e). De quoi réveiller l’ultra-moderne Mercedes-Benz Stadium, loin d’être rempli mais suffisamment pour permettre au Mondial des clubs de dépasser les deux millions de spectateurs depuis le début du tournoi. Après quoi, les joueurs de Dormtund, bien moins sereins, ont tangué, surtout sur leur côté gauche, frôlant la noyade à plusieurs reprises. Heureusement pour eux, l’attaquant très remuant Jesus Corona a par deux fois échoué seul face au gardien (59e, 64e).Monterrey a encore fait trembler la défense allemande quand son capitaine, Sergio Ramos, délaissant sa défense pour créer le surnombre en attaque, a placé une tête qui a frôlé le poteau. Si habitué à faire basculer les matches à fort enjeu tout au long de sa carrière, avec le Real Madrid et la sélection espagnole, le vétéran de 39 ans ne réalisera pas son rêve de croiser la route des Merengues.Le Borussia, trop intermittent, devra quant à lui en faire un peu plus pour rallier les demi-finales, samedi justement face aux Madrilènes qui ont écarté la Juventus Turin (1-0).